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| | Et ils vécurent heureux ? {Karly} |  |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420
 Sam 8 Jan - 11:19 |
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| L’été venait de commencer et William qui était d’ordinaire ravie de retrouver la maison Slayers tirait une tête de six pieds de long. Il était râleur, bougon, ne voulait rien faire, disait non a tout et était désagréable à souhait. Tout le monde l’avait remarqué. Certain lui attribué cette mauvaise humeur à la fin de ses études à Poudlard qui marqué là le début d’autre chose pour le jeune qui n’avait jamais trop aimé les changements et qui malgré ses dires aimait l’école de magie au final. Mais ça n’avait rien à voir avec ça ou du moins pas totalement. Ça avait a voir avec Karly… Beaucoup de chose avait a voir avec Karly ces dernier mois. Bien trop à son gout. Il ne sentait plus à l’aise dans sa propre chambre. Quand il posait sur son lit il repensait aux vacances d’avril. C’était là qu’ils l’avaient fait. Sur son propre lit. Dans sa chambre. Le moindre recoin de la pièce semblait maintenant imprégner de sa touche « Karly » et ça l’agaçait au plus haut poing. Quand il sortait dehors frapper quelque cognard à l’aide de sa batte sur son balai il se rappelait que Karly avait entrainé Gryffondor ou même qu’ils s’étaient embrassé dans les vestiaires de Quidditch. Au final c’était ça le problème. CE baiser. William s’était fait à l’idée que ce n’était qu’une question d’un coup d’un soir entre eux jusqu’à ce qu’il y est ce baiser et qui lui fasse sa déclaration. Depuis à chaque fois qu’il avait une journée un peu pourrit il repensait à se jour là et de suite il allait un peu mieux. Dans ses souvenirs c’était comme si la scène c’était dérouler comme dans un rêve. Mais la réalité l’avait rattrapé… Qu’elle réalité ? Celle que Karly n’avait pas rompu avec Josh ou du moins n’avait pas trouvé important de l’en informé. Il avait preuve d’une grande patience qui ne lui ressemblait pas, attendant qu’elle soit de nouveau célibataire pour qu’ils soient ensemble mais le dernier jour d’école était arrivé et toujours aucune nouvelle de Karly. C’était donc le cœur lourd qu’il avait quitté Poudlard se disant qu’il était définitivement des fois bien trop naïf. Allonger sur son lit, essayant de chasser les images de lui et Karly faisant l’amour et qui le hanter, il balançait des fléchettes contre la porte de sa chambre quand la clochette accroché à l’entrée tenta. « William c’est pour toi » cria Ariane en bas de l’escalier. Le jeune Slayers poussa un soupir et se releva, ouvrant la porte et commençant à descendre les marches avant de relever la tête et de se rendre compte de qui était là. Elle… Karly était là. | |
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194
Sam 8 Jan - 23:17 |
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| Plantée devant la porte blanche, Karly laissa son doigt en suspens devant la sonnette d’entrée. Avec les bêtises de Mac sur son réveil, elle était incapable de savoir si elle avait une heure d’avance ou de retard. Et sa montre n’indiquait seulement que l’état des membres de sa famille. Si bien, qu’elle préférait la laisser dans une boite sous son lit. Après tout, cela ne lui servirait à rien de savoir où se trouvait chaque membre. Finalement, elle se décida à pousser le bouton. Elle trouverait bien une raison, non ?
- « Bonjour, Madame Slayers ! »
- « Bonjour, Karly. Nous ne t’attendions pas si tôt. »
- « Oh… je suis désolée. Si vous voulez, je peux repasser plus tard. Je ne m’étais pas rendue compte que j’étais autant en avance… » Et bouse de dragon, il était vrai qu’arrivé chez quelqu’un avec une heure d’avance n’était pas la meilleure idée qu’elle avait pu avoir. Mac le lui payerait.
- « Non, entre je t’en prie. Ce n’est pas grave. Nous ne sommes jamais contre un coup main en plus. » Le sourire chaleureux et sincère d’Ariane Slayers la réconfortait. Tout en entrant dans le hall de la maisonnée, elle entendit cette dernière élevait un peu la voix pour prévenir la personne concernée. « William, c’est pour toi ! » avant de quitter le hall précipitamment, prétextant un rôti ou un poulet sur le feu avant même qu’elle n’ait pu ouvrir la bouche.
Restant en plan dans le hall, Karly ne savait sur quel pied danser. Un doigt en l’air, elle tenta de faire remarquer à Ariane son erreur mais déjà, cette dernière avait disparu dans les couloirs. Si bien qu’elle se retrouva bête avec son doigt en l’air et son air mi-figue, mi-raisin. Ariane Slayers venait quelque peu de se tromper dans l’appellation de la personne, confondant les deux jumeaux – désormais triplet-. Ce n’était pas que cela la dérangeait mais, tout le monde savait qu’elle venait chez eux sur demande de Willara… Lapsus ou erreur ? De toute façon, il fallait qu’elle lui parle mais… elle avait imaginé quelque chose de plus subtil que çà. Bon et bien, il ne lui restait plus qu’à attendre. Et déjà, elle entendait des bruits de pas dans l’escalier. Se retournant de moitié, elle aperçut le fameux jeune homme qui avait provoqué pas mal de changements dans sa vie. « Salut ! » lui lança-t-elle avec son plus beau sourire. Ce n’était pas comme si elle n’était pas contente de le voir. Néanmoins, ce dernier ne changea pas son expression, ni ne répondit de suite. Un sourcil en l’air, Karly avait l’impression de revivre une scène pénible. Ce qui n’était pas pour l’enchanter et lui fit remarquer. « Quoi ? On ne va pas recommencer comme la dernière fois ? » lui demanda-t-elle, un peu excédée. Mais, elle n’eut pas le temps d’en dire plus qu’une paire d’yeux aussi curieux qu’une pie ouvrit rapidement l’une des portes du hall. La petite bouille d’Orphée apparut en même temps que sa légère voix guillerette. « Tu vois, Mélu’, je t’avais dit que ce n’était pas son amoureuse cachée. C’est Karly ! » Vlan, dans les dents. Et après, on ose dire que la vérité sort de la bouche des enfants… Orphée entra tout sourire dans la pièce et vint la serrer dans ses bras en guise de bonjour avec de repartir en criant le prénom de Willara. Mélusine resta quelques instants. Karly la trouva étrange, comme si quelque chose clochait. Finalement, elle finit par s’en aller, de façon aussi bizarre qu’elle n’était arrivée. Mais bon, Karly n’allait pas s’en plaindre. Autant avancer sa petite discussion avec William. Ce n’était pas comme si c’était une mauvaise discussion… Se retournant vers le concerné, elle monta une marche dans sa bonne volonté. « On peut parler ?! » Néanmoins, l’heure ne devait pas se prêter à la discussion car un nouveau cri retentit et Karly se fit emporter dans les bras enthousiastes de sa meilleure amie. « Oh, c’est génial. T’es déjà là ! » Ah bah oui tiens, c’était génial… Elle n’arrivait pas à en placer une avec cette famille aujourd’hui… | |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420
Sam 15 Jan - 14:04 |
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| « Salut » William arqua un sourcil, le regardant un peu perplexe genre « Sérieux ? ». C’est fou qu’à chaque fois qu’il voyait Karly après une situation délicate, comme par exemple l’autre fois aux vestiaires, le premier mot qui sortait de la bouche de l’ancienne rouge et or était « Salut ». Comme la dernière fois William trouvait cela un peu déplacé et il préférait qu’elle en vienne au but même si à vrai dire il n’avait aucune envie de lui parler. Elle n’avait qu’à venir plus tôt ! C’était peut-être puérile comme réaction mais après avoir passé plusieurs journée à l’attendre il n’avait aucune envie de se montrait rationnel et adulte. « Quoi ? On ne va pas recommencer comme la dernière fois ? ». Cette phrase le fit un sourire malgré lui. Ils avaient pensé à la même chose. Elle aussi s’était souvenu que leurs dernière rencontre avait commençait par un « Salut » gêner qui n’avait fait que le mettre en colère comme aujourd’hui. Déjà il se détendait un peu plus, son air se faisait moins agressif bien qu’il lui en voulait toujours. Ça aurait était trop facile qu’il efface tout juste parce qu’elle était là mais il était néanmoins déjà plus apte a lui laisser le bénéfice du doute et à écouter ses explications.
C’est alors qu’Orphée pointa le bout de son nez venant regarder qui se trouvait à l’entrée. « Tu vois, Mél, je t’avais dit que ce n’était pas son amoureuse cachée. C’est Karly ! ». De nouveau un sourire amusé apparut sur les lèvres de William, lui qui n’avait pourtant pas sourit depuis l’épisode du terrain de Quidditch… Orphée n’avait pas idée à qu’elle point ce qu’elle venait de dire était risible. Et si c’était son amoureuse secrète ! Néanmoins ces mots lui rappelèrent que bien des gens seraient surpris voir choquer de les savoir ensemble. Enfin si Karly en avait toujours envie… Il ne savait plus quoi penser ni même sur quel pied danser avec elle. Il avait l’impression qu’un jour s’était oui, un jour c’était non. La présence d’Orphée et Mélusine le gênaient. Ils les adoraient mais il s’en serait vraiment passer. Heureusement elles finirent par partir et l’ancienne rouge et or se tourna vers lui et grimpa une marche de l’escalier alors que lui-même n’avait pas bougé attendant qu’ils soient seul à seul pour qu’ils puissent avoir une conversation car si Karly était venu pour lui - et non pour Willara comme il aurait pût le penser - c’est qu’elle avait sûrement quelque chose à lui dire. Non ? « On peut parler ?! ». Il en avait envie. Depuis des jours. Depuis des jours il imaginait cette conversation mais elle n’était jamais arrivé et il avait finit par se dire qu’elle n’en voulait pas. Un sourire assez simple apparut sur ses lèvres. « Bien s… » . William ne pût terminer sa phrase car l’ainée des filles Slayers fit irruption ravie de retrouver sa meilleure amie. Dire qu’elle n’arrivait pas au bon moment était un euphémisme. Si William avait eut le pouvoir de lancer des flammes avec les yeux nul doute que Lara se serait sûrement retrouver en petit tas de cendre sur la seconde. Franchement elle pouvait pas arriver plus tard ??? De plus ce que venait de dire sa jumelle l’éclaira sur un point.
« Donc tu es venu voir Lara… » On sentait dans sa voix une certaine déception. Il la regarda un instant, insistant et les yeux plein d’une certaine colère froide. « Super ». Sur ce il fit demi tour et remonta les escaliers se dirigeant vers sa chambre. Ah quoi bon parler puisqu’elle n’était pas là pour lui comme il l’avait espéré. Ah quoi bon ? Il avait sa fierté. Si elle croyait qu’il allait continuer indéfiniment à attendre que mademoiselle se décide elle pouvait se fourré la baguette dans l’œil. Lui il avait pris ses responsabilité, se montrant adulte en ayant le courage de lui avouer ses sentiment. Elle croyait quoi au juste ? Que ça avait était facile ? Qu’il faisait des déclarations d’amour tout les jours et à n’importe qui ? Bien sûr que non ! Il avait prit énormément sur lui et ses principes pour lui faire cette aveux et il aurait espéré obtenir un peu l’attention de sa part. Juste un peu d’attention…
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194
Lun 17 Jan - 13:17 |
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| « Donc tu es venu voir Lara… » Tournant la tête vers William, Karly ne comprenait pas ce qu’il voulait dire. Certes, elle était venue voir son amie mais, elle ne pouvait pas non plus dire qu’elle était venue rien que pour ça. Depuis son retour chez elle, les règles avaient changé. Les Anciens n’avaient pas appréciés son écart de conduite qui, s’il n’avait pas été lourdement caché à tous, aurait pu mettre en danger la réputation de leur établissement. Et c’était peu dire : elle ne pouvait plus se déplacer librement. Même pour venir chez les Slayers. Même ses pauvres hiboux étaient surveillés. Elle avait surpris Tobias en apporter un dans le bureau de son grand-père. La pauvre bête. Après que les Anciens aient reçu la confirmation qu’elle se rendait bien chez eux, ils l’avaient fait escorter de loin par l’un des leurs. Ce n’était pas comme si Karly n’avait pas repéré le vieux Oscar après avoir transplaner. Les buissons n’éternuent pas face au pollen. Mais, elle n’avait rien dit. Elle ne savait que trop ce qui se passait lorsqu’on désobéissait aux anciens et Oscar ne se faisait plus tout jeune. Un « super » sarcastique provenant de William la tira de ses réflexions. Mais qu’est-ce qu’il avait encore ? Sérieusement, elle avait l’impression que quoiqu’elle fasse, il prendrait constamment la mouche véreuse. Un vrai chieur. Finalement, elle aurait préféré qu’il crache son venin comme la dernière fois. Au moins, elle ne se retrouvait pas seule avec son amertume… qu’elle devait bien entendu cacher devant Willara, bien que sa surprise était trop grande. Si bien que la demoiselle le remarqua : « Qu’est-ce qu’il y a ? Bah, il est de mauvais poil depuis qu’on est rentré. Tu sais comment il est. » Karly en aurait rigolé si elle ne se sentait pas piquée au vif. Elle n’allait quand même pas essuyer toutes ses frasques à chaque fois qu’ils se voyaient. Néanmoins, elle se sentait en partie responsable. Elle avait bien entendu le reproche et, une fois la colère passant, elle l’avait bien comprise. Mais, elle n’avait pas le temps de pouvoir parler que Lara lui avait empoigné le bras pour la guider joyeusement en direction de la cuisine où sa mère venait de les appeler pour aider.
« T’étais pas censé avoir un rendez-vous ce matin ? » lui demanda l’écossaise tout en attendant de savoir en quoi elle pouvait servir dans une cuisine. Surtout elle…
« Si mais j’ai annulé. Si tu voyais ce qu’ils ont fait aux cheveux de Lisa Carlman, c’est une horreur. Hors de question d’avoir çà sur la tête. » lui réponda la Slayers tout en attrapant un panier et deux couteaux. Karly grimaça tout en apercevant le fameux couteau lui être destiné et ne lâcha qu’un faible « Ah » pour réponse. Après tout, elle ne s’y connaissait pas vraiment et n’était quasiment jamais allée chez le coiffeur alors toutes ses histoires… Pendant ce temps-là, Ariane avait croisé son fils et lui avait demandé de descendre aider un peu aux préparations, au moins en ce qui concernait de sortir et laver la grande table du jardin pour pouvoir accueillir tout le monde. Lorsque ce dernier apparut plus tard dans la cuisine, Karly avait l’impression qu’ils tiraient la tronche tous les deux. Bien qu’elle ait dû en être amusée, ce ne fut pas le cas. Cette situation commençait à lui taper doucement sur les nerfs et ce fut la pomme de terre qui gouta aux délices de sa frustration. Certes, si elle ne savait pas cuisiner, elle savait éplucher les légumes mais, elle avait plutôt envie de faire autre chose avec ce couteau…
La cuisine foisonnait mais au final, elle se vida petit à petit et pas à-coup. Orphée et Nymphadora étaient partis cueillir des fruits et des herbes, Willara préparait la nappe tout en continuant à ignorer Sawyer qui fixait la pergola pour protéger du soleil de midi et Mélusine et Ariane sortaient la vaisselle. Il ne restait que la charmante compagnie de Tarabiscoté qui disparaissait à intervalle irrégulier pour aller on-ne-savait-où. Si bien que tentant sa chance lorsque William fut en vue bien que de passage et qu’elle entendit le « plop » de l’elfe, Karly ne prit même pas de lever son regard de sa pomme de terre qu’elle lâcha sa pensée. « Si tu fuis constamment, je pourrai pas en placer une. Et si tu veux tout savoir, Lara n'était pas censée être là avant une heure. »
Tarabiscoté réapparut alors comme par enchantement pour s’occuper de sa tambouille mais, il grommela rapidement concernant un manque de thym ou de romarin que les petites devaient lui ramener mais qui ne serait jamais là à temps. Enfin, si Karly avait bien compris. Elle craignait un peu cet elfe de maison. Il était… bizarre. Mais cela ne l’empêchait pas de continuer à passer ses nerfs sur sa pomme de terre… si bien qu’au lieu de l’éplucher délicatement, elle finit par la couper en deux manquant ses doigts de justement. « Damned… »
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420
Jeu 20 Jan - 21:34 |
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| Elle n’était même pas montée ! C’était débile mais à peine avait-il monté l’escalier qu’il s’était imaginé que Karly serait venu le rejoindre pour l’insulter et le traiter de tout les noms parce qu’il était partit. Mais non elle n’était même pas montée ! Il avait presque envie de redescendre juste pour lui dire : « ET TU NE MONTE MEME PAS ??? » mais ça aurait était définitivement puérile et il était tous puérile c'était bien connu. La vérité c’est qu’il avait voulu qu’elle monte, si elle était montée ça aurait montré qu’elle tenait à lui faute de le dire. Mais non elle était resté en bas avec Willara, ce qui ne l’aider pas à chasser sa mauvaise humeur. En plus de ça sa mère l’obligea à descendre aider alors que la seule chose qu’il désirait c’était de continuer d’envoyer des fléchettes dans la photo de Karly. Arrivait en cuisine on ne pouvait pas franchement qu’il affichait le visage d’un jeune homme heureux mais personne ne fit de commentaire, chacun occupé à une tache. William s’occupa de sortir la table aidait de Sawyer en ignorant tout simplement Karly mais il finit malheureusement par se retrouvé seule en cuisine avec elle. La Mcgregor en profita alors pour essayer de nouveau de communiquer avec lui.
« Si tu fuis constamment, je pourrai pas en placer une. Et si tu veux tout savoir, Lara n'était pas censée être là avant une heure. »
Il tourna la tête en sa direction intéressé parce qu’elle venait de dire. Elle n’était donc pas venu QUE pour Lara alors ? Intéressant. Une lueur d’espoir brilla dans les yeux de William au moment même où Tarabiscoté réapparaissait. Eh merde ! Décidément il y avait trop de monde dans cette maison ! Un coup d’œil à Tarabiscoté, un coup d’œil à Karly, et il se rendit compte que la jeune fille avait bien faillit se couper un doight. Sans attendre il s’approcha alors d’elle.
« Fait attention ! Tu pourrais te faire mal… » Sans lui demandait quoique ce soit, il retira l’économe de la main de Karly et reprit dans sa main un bout de la pomme de terre pour l’éplucher. Il lui adressa un regard et un sourire avant d’ajouter un « laisse-moi faire » qui était plus amuser et protecteur qu’arrogant et supérieur. Comme toujours William ne laisser que supposer son attachement sans jamais vraiment oser l’avouer. Il n’était pas du genre à dire les choses simplement mais plutôt à les faires comprendre de manière détourner comme dans le cas présent.
« Monsieur Slayers Monsieur à besoin d’être seule avec Karly Mademoiselle ? » demanda alors Tarabiscoté comme s’il lisait dans les pensées ou que la façon dont William la regardait trahissait la tendresse qu’il avait pour elle. Le jeune Slayers se sentit alors brusquement mal à l’aise en entendant cette question et il porta son poing à sa bouche faisant mine de tousser. Non il n’avait pas regardé Karly. Non non pas du tout. C’était pas lui.
« Euh… oui non enfin… Pas vraiment, mais va aider Ariane ! » Finit-il par dire agacer. Tarabiscoté vexer l’écouta non sans dire avant que Monsieur Slayers Monsieur était méchant ce qui fit soupirait William qui avait parfois du mal à supporter l’elfe. De nouveau seul, le jeune homme se tourna vers Karly et tout en épluchant la pomme de terre demanda innocemment « Alors… Comment va Josh ? » un demi sourire sur les lèvres. N’allait pas croire qu’il se réjouissait d’apprendre qu’il était arrivé malheur au blondinet mais il aurait tout de même aimé que Karly lui annonce leurs rupture…
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194
Dim 30 Jan - 15:16 |
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| Tss, elle avait failli se couper. La cuisine n’était pas son ami. Qu’importe dans quelle famille elle se trouvait. Faillir. Décidément, qu’importe ce qu’elle faisait, tout restait au stade « faillir de ». Elle avait failli pouvoir rester seule avec lui sans sa famille. Elle avait failli lui parler sans être coupé dans son élan. Elle avait failli passer une journée chez les Slayers sans s’énerver contre le fils ainé. Mais çà, cela semblait de plus en plus impossible, qu’importe l’état de leur relation.
« Fait attention ! Tu pourrais te faire mal… »
Non, c’est vrai ? Elle n’y avait pas pensé. C’est surement ce qu’elle aurait dit, si la cuisine était désencombré d’âme humaine… et animale. Et surtout si elle avait envie de faire la guerre. Encore. Cela n’aurait pas été dérangeant si certaines choses n’avaient pas changé dernièrement. Mais, les habitudes sont souvent coriaces et William n’échappa pas au regard meurtrier. Surtout que son couteau dérapa juste après qu’il en a parlé. Mais le pire de tout fut ce « Laisse-moi faire ». Sans lui laisser le temps de répondre, elle n’avait plus ni couteau, ni pomme de terre entre les mains. Fort heureusement pour lui car, elle aurait été capable de le lui enfoncer sur la main. Elle n’arrivait pas à y croire. Etait-elle réellement vue comme une simple gamine à éduquer ? Même si son expression faciale était différente qu’à l’accoutumée, l’écossaise n’apprécia pas. Elle n’aimait pas qu’on tente de l’entraver sur sa route. Elle reconnaissait qu’elle ne savait pas cuisiner, coudre et autres prérogatives que les hommes avaient souvent laissé aux femmes. Une main sur la table où ses doigts pianotaient l’imaginaire au rythme de sa colère enfouie, l’autre en forme de poing sur sa hanche, elle s’attarda à tourner sept fois sa langue dans sa bouche afin de se calmer ou, au moins, de changer son discours. Mais rien n’y fit.
Ouvrant la bouche, aucun son n’en sortit car une autre voix parla. « « Je… »« Monsieur Slayers Monsieur a besoin d’être seule avec Karly Mademoiselle ? » N’écoutant que d’une oreille, elle ne tilta même pas face à ses paroles. « Euh… oui non enfin… Pas vraiment, mais va aider Ariane ! » Oh bah tiens, vraiment ? Monsieur n’avait aucune envie de rester en sa compagnie ? Elle était devenue si indésirable que cela ? Mais pourquoi était-elle venue alors qu’elle aurait pu rejoindre ses cousins en forêt ?! Et encore, elle n’avait pas découvert le pire (à savoir une cible à son effigie). Tarabiscoté ne mit pas longtemps à disparaitre pour aller rejoindre la maitresse de maison. Ayant alors la possibilité d’étrangler William à sa guise, Karly opta pour une solution moins radicale pour eux : s’éloigner de lui. A peine eut-elle fixé son idée qu’une question sortit de la bouche du jeune homme. Une question qui laissa Karly stupéfaite. « Alors… Comment va Josh ? » Elle rêvait. Ou cauchemardait, au choix des protagonistes. Elle était d’accord qu’elle était venue en avance chez les Slayers pour pouvoir en parler avec lui mais… elle ne s’attendait absolument pas à discuter joyeusement autour d’une tasse de thé sur son ex. La tournure de la situation ne lui plaisait pas. Absolument pas. Surtout pas après l’entrée en matière. Car, entretemps, Monsieur s’était renfermé pour X raisons, comme à son habitude. Chacune de leurs conversations commençaient par une dispute. Même quand celles-ci étaient bénéfiques. C’était surement pour cela que Kaprice s’était clairement moquée d’elle pendant des semaines avant qu’elle ne la menace pour qu’elle n’arrête. Mais, une fois qu’elle aura les pieds en Ecosse, caftera-t-elle ? Surement pas si elle ne voulait pas être abandonnée en pleine forêt. Certes, Karly n’en n’aurait pas été capable mais, qui le savait ?
Le regardant comme s’il venait de perdre la tête au point d’en devenir fou, elle resta abasourdie face à l’inattendue question. Ne savant si elle devait répondre posément ou le gifler, elle préféra sa première idée. S’éloigner de lui. Au moins, elle n’aura pas la possibilité de le gifler, l’étrangler avec un torchon ou avec une pomme de terre coincé dans le gosier. Il arrêterait de jacasser pour rien ainsi. Se plaçant devant la cuisinière, elle fit semblant de s’intéresser à ce qui cuisait. Elle n’en avait rien à faire. Elle connaissait les recettes mais n’arrivait pas à les appliquer. Alors, la cuisine en elle-même… Elle pensait que tout ceci allait la calmer, mais non. « Non mais tu te fous de moi ? Comment va Josh ? C’est tout ce que tu as en tête ? Rahh, sérieusement !! » Tout en s’égosillant en prenant soin de ne pas parler trop fort pour ne pas alerter toute la maisonnée, elle s’approchait de lui en le pointant du doigt pour l’accuser. « A chaque fois, c’est la même chose. Oh non, laisse-moi terminer ! » le coupa-t-elle avant même qu’il n’ouvre la bouche. Autant prévenir que guérir, pour une fois. « Serait-il possible, un jour, de pouvoir commencer une conversation normalement. Pas de cris. Pas de rancune. Pas d’accusation merdique à chaque fois. Pas de prise de tête ? Hein ?! » lui demanda-t-elle avec beaucoup de gestes. Elle n’était pas certaine qu’il le prenne bien mais, si cela devait être un début de relation autant qu’elle soit un tant soit peu bénéfique. Au fur et à mesure, sa voix s’était calmée. « Si tu prends constamment le billiwyg pour n’importe quelle raison que je ne connais pas puisque tu n’en parles pas, comment veux-tu qu’on communique ? C’est pas possible. Comment veux-tu que je me sente quant au lieu de me sortir un ‘salut, ça va ? Ça fait plaisir de te voir’, j’ai plutôt droit à une porte de prison qui veut que je m’en aille et qui se casse ? Ça te ferait quoi, si je faisais la même chose ?»
Non, elle n’avait vraiment pas imaginé cette conversation. Ça ne devait pas se passer comme çà. Ils n’étaient pas censés vivre leur première dispute. Car, elle était certaine que William n’allait pas apprécier son petit discours. Qui l’aurait apprécié ? Surtout qu’ils n’étaient pas ensemble alors il n’y avait pas de ‘leur’. Ca la déprimait. Et dire qu’elle était venue ici pour officialiser les choses malgré le passé et les possibilités de se brouiller avec sa meilleure amie. Finalement, elle ne voulait même pas savoir ce qu’il en penserait. Une énorme dispute allait éclater et elle n’en avait aucune envie. Alors, elle décida à son tour de fuir les lieux. Pour une fois que c’était elle. Et le cri de Willara l’aida dans cette volonté. « Karly, tu peux aller me chercher mon chapeau dans ma chambre ?! » « Mais, il y a une pergola pour çà ? » « Justement !! » Les Slayers étaient vraiment de drôles de phénomènes quand même. Enfin, c’est surement ce qu’on pouvait appeler être une famille. Après tout, elle avait les mêmes phénomènes chez elle. « Tu devrais parler de Sawyer avec ta sœur. Vraiment ! » lança-t-elle à William avant de se diriger vers la porte de la cuisine, exerçant la volonté de son amie au risque d’avoir une pie jacasse tout au long de l’après-midi.
Mais avant de passer la porte, elle répondit quand même à sa question : « Je suis étonnée qu’elle n’ait rien cafté » en parlant de Willara « mais, j’ai rompu avec Josh. Si tu veux de ses nouvelles, hibou-le. » D’accord, humour mal placé, elle le reconnaissait. Mais, ça faisait du bien de se moquer parfois. Ce n’était pas comme si c’était méchant. Et elle fila en direction de la chambre de miss casse-noisette, respirant avant les représailles. Surement…
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420
Mar 1 Fév - 9:26 |
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| Pas vraiment à vrai dire. Ce n’était pas Josh qu’il avait en tête – Merlin Merci – mais elle. Seulement manque de bol pour lui les deux étaient liés depuis qu’ils avaient la gééééniale idée de se mettre ensemble. S’il demandait comment allait Josh ce n’était pas parce qu’il en avait quelque chose à foutre du Pouffsouffle mais parce qu’il mourrait d’envie de pouvoir la serré dans ses bras. « A chaque fois, c’est la même chose. » Il ouvrit la bouche pour se défendre mais elle anticipa sa réaction et le coupa avant qu’il puisse en placer une. Le connaissait-elle SI bien que ça ??? Flippant ! « Serait-il possible, un jour, de pouvoir commencer une conversation normalement. Pas de cris. Pas de rancune. Pas d’accusation merdique à chaque fois. Pas de prise de tête ? Hein ?! » Bonne question. C’est vrai que les conversations « normale » c’était pas trop leurs trucs. William haussa les épaules l’air de dire « J’en sais rien ». D’autre côté même si elle n’avait pas tord, le moins que l’ont pouvait dire c’est qu’ensembles ils ne s’ennuyaient pas. C’était peut-être jamais le calme plat mais c’était passionné et passionnant ! Moui à y réfléchir il était peut-être un brin sado-maso sur les bords…
« Si tu prends constamment le billiwyg pour n’importe quelle raison que je ne connais pas puisque tu n’en parles pas, comment veux-tu qu’on communique ? C’est pas possible. Comment veux-tu que je me sente quant au lieu de me sortir un ‘salut, ça va ? Ça fait plaisir de te voir’, j’ai plutôt droit à une porte de prison qui veut que je m’en aille et qui se casse ? Ça te ferait quoi, si je faisais la même chose ?»
Hum… William ne savait plus quoi dire. En fait non il n’avait plus envie de rien dire. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle avait raison ! Et ça ce n’était vraiment pas une chose facile à admettre pour le jeune homme qui avait beaucoup de fierté.
« Tu marque un point » dit-il en levant les yeux au ciel un peu bougon.
Laisser vaguement sous entendre qu’elle n’avait pas totalement tord passait encore, mais qu’elle avait raison ? C’était là une première. Parce que ce n’était pas ce qu’il avait dit mais ça revenait au même. Il n’avait pas envie de se disputé avec elle, il était buter mais il lui arrivait quand même de reconnaitre ses tords. Enfin parfois… C’est vrai qu’à chaque fois qu’il la voyait il y avait toujours une raison pour qu’il veuille sans prendre à elle, la Mcgregor le blessant toujours sans s’en rend compte. Mais ce n’était sûrement pas en agissant comme ça qu’il ferait évoluer les choses… N’empêche depuis quand était-elle devenu plus mature que lui, analysant tranquillement les choses au lieu de s’emportait ? Waw. Elle l’impressionnait presque sur le coup. Non à la réflexion pas seulement presque…
« Karly … Je suis dés… » « Karly, tu peux aller me chercher mon chapeau dans ma chambre ?! » Décidément avoir une grande famille c’était l’horreur ! Il y avait pas moyen d’être tranquille DEUX MINUTE dans cette maison ??? Apparemment non… « Tu devrais parler de Sawyer avec ta sœur. Vraiment ! » Peut-être le devrait-il en effet puisque que Willara ignorait toujours leur frère sortit de nulle part. Mais c’était à Karly et d’eux qu’il voulait le plus parler pour l’instant. La jeune Mcgregor quittait la cuisine alors qu’il ne lâchait plus des yeux. « Je suis étonnée qu’elle n’ait rien cafté mais, j’ai rompu avec Josh. Si tu veux de ses nouvelles, hibou-le. » Alors c’était fait… William la regarda montait les escaliers, jeta un coup d’œil à gauche et droite et les monta à son tour. Il ouvrit la porte de la chambre de Lara et regarda Karly droit dans les yeux.
« Sort avec moi »
Ne lui demandait pas ce qui lui était passé par la tête il n’en avait aucun idée, il n’avait qu’exprimé ce qui lui semblait évident de dire. C’était irréfléchie et même un peu fou étant donné le monde qu’il y avait au manoir Slayers. N’importe qui aurait pût arrivait à n’importe quel moment mais il s’en fichait. Il l’avait vu partir ( même si elle n’allait que dans la chambre de sa sœur ), c’était rendu compte de son comportement un peu puérile – oui oui juste un peu – et avait la réponse à sa question concernant sa vie amoureuse alors il ne voulait plus attendre pour être avec elle…
« Je répète… Sort avec moi. »
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194
Dim 6 Fév - 20:29 |
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|  feat Karly McGregor
Arrivée dans la chambre de Lara, Karly s’arrêta net. Sur le lit, il y avait au moins une dizaine de chapeaux tous différents les uns que les autres. Or, elle était incapable de dire comment chacun s’appelait. La seule chose dont elle était certaine, c’était la couleur de chacun d’eux. Mais, ça ne l’avançait pas. Un bras calait sous l’autre, servant en même temps à soutenir le droit, elle réfléchissait. Lequel intéressait Lara ? Elle n’en avait aucune idée et, à vrai dire, elle n’en avait rien à faire. Elle pensait plutôt à l’état actuel de sa relation avec William. Jusqu’à ce que l’intéressé ne se ramène. « Sors avec moi. » Interdite, Karly se retourna vers la provenance de la voir reconnue. La surprise l’avait rendu muette. D’ailleurs, elle était si surprise qu’il dut réitérer sa demande. « Je répète… sors avec moi. » Ce fut comme une décharge. Elle ne s’y était vraiment pas attendue. Amusée, un sourire apparut sur ses lèvres. Les demandes formelles, ce n’était pas son truc. Elle préférait l’action. Après, tu vois bien si la gifle suit ou non. Et pas celui de William non plus. Une situation comique en fait malgré ce qui se déroulait sous ses yeux. « Hum… » Tout en faisant mine de réfléchir, Karly s’avançait vers lui le plus lentement possible. « Je ne sais pas… peut-être. Peut-être pas. » Elle jouait avec lui. Peut-être par petite vengeance, mais surtout par amusement. Autant ne pas se prendre la tête de suite, et surtout pas dans cette relation. Car, ce n’était pas parce que la réponse se faisait languir que le choix n’avait pas été fixé. En y réfléchissant, il avait été pris bien avant qu’elle n’arrive chez les Slayers. Mais ca… vous mettrez longtemps avant de le savoir. « Oh allez, boude pas. Quoique… » laissant sa phrase en suspens, Karly en profita pour poser ses lèvres sur celles de William. « J’aime bien cette expression. A moins que ce ne soit celle de la colère. » Ne souhaitant pas tout gâcher non plus – il était capable de penser qu’elle se foutait de lui – elle recommença à l’embrasser avec plus de passion tout en poussant la porte de la chambre de sa main libre, histoire que personne n’intervienne de nouveau. Mais cela n’empêcha rien…
Quelques minutes plus tard, la voix de Willara retentit ainsi que le grincement de ses pas indiquant qu’elle était assez près. Ouvrant gros les yeux, Karly en fut si surprise qu’elle paniqua. Et qu’est-ce qu’ils faisaient maintenant ? Lara n’aurait surement pas été la première personne à prévenir. Surtout par la famille… déjà qu’elle avait eu droit à des remontrances pour apprécier Sawyer. Sans réfléchir car il ne lui restait pas beaucoup de temps, elle remarqua la porte ouverte du placard de Willara. Ni une, ni deux, elle poussa William dedans qui se prit les pieds dans les boites de chaussure de sa sœur. « Désolée » murmura-t-elle rapidement tout en refermant la porte sans laisser le temps à William d’en placer une… et déjà Lara entrait dans la pièce.
 feat Willara Slayers
Deux minutes plus tôt.
Des bruits de pas se firent entendre dans les escaliers mais, nos jeunes amis semblaient être trop occupés pour pouvoir les entendre. Au contraire de la voix tant familière de Willara. La jeune femme avait littéralement fui le jardin où elle se retrouvait petit à petit avec celui qu’on lui imposait comme frère jumeau. Elle ne connaissait rien de lui et d’ailleurs, ce dernier ne semblait pas avoir envie de la connaitre non plus. D’après Lara. La réalité prenait parfois de drôles de perspectives subjectives avec elle. Avec énergie, elle accéda à la dernière marche lui permettait d’accéder au premier étage. Replaçant une mèche derrière son oreille, elle se demandait pourquoi Karly mettait autant de temps. Ce n’était pas si compliqué de prendre un chapeau quand même ? A moins qu’il n’y eut un souci en cours de route.
« Karly, tu trouves ? » demanda-t-elle avant de poser sa main sur la poignet de la porte de sa chambre. Le plop de Tarabiscoté se fit entendre. Tournant la tête vers l’elfe de maison, elle laissa la porte en suspens. « Madame Slayers Madame vous demande dans la cuisine, Mademoiselle Willara Mademoiselle. » »J’arrive.” lui répondit-elle tout en soupirant. Elle sentait qu’elle allait se faire enguirlander. « Maintenant, Mademoiselle Willara Mademoiselle » « Oui, oui. Ca va, cinq minutes.” grogna-t-elle en entrant dans la chambre afin de couper court aux répliques de Tarabiscoté.
Willara entra dans sa chambre au moment où Karly refermait la porte du placard du pied. « Qu’est-ce que tu fous ? Il n’est pas dans le placard. » « Je sais. Je sais. C'est juste qu’il y en a tellement de sortie que je me suis demandée s’ils étaient tous là. » lui répondit son amie sans pour autant changer de place. C’était comme si le placard allait exploser et qu’elle retenait la porte. Mais, Willara ne s’en étonna même pas. Se retournant vers son lit, elle remarqua la dizaine de chapeaux qu’elle avait sortie dans la matinée. « Ben, je vais porter un bob en laine en été. Karly ! » la réprima-t-elle tout en soupirant. « Faut vraiment que je te donne un cours en même temps que Kaprice. » Karly se contenta d’acquiescer sans demander son reste. Attrapant son chapeau, Lara le plaça sur sa tête avant de se tourner vers le miroir pour vérifier qu’il allait toujours bien avec sa tenue puis se dirigea vers la porte de sa chambre. « Tu viens ? »
 feat Karly McGregor
« Tu viens ? » Réfléchis Karly, réfléchis. Parce que si elle laissait William dans le placard, c’était certain : il allait râler. Déjà qu’il allait surement râler parce qu’elle l’y avait poussé. Il lui fallait une excuse pour rester un peu plus longtemps sans trop éveiller les soupçons. « J’arrive. J’ai égaré une boucle d’oreille. Elle doit être au sol. » Excuse bidon. Elle ne savait même pas si elle en avait mis le jour-même. Mais, elle fut en quelque sorte sauvée par Tarabiscoté qui revenait d’apparaitre devant Lara pour lui réitérer la demande de Madame Slayers qui l’attendait toujours dans la cuisine. Willara partit pour de bon. S’appuyant de dos contre la porte, Karly se permit une petite pause pour respirer. C’était moins une. Elle ne savait même pas pourquoi elle avait réagi comme çà. C’était stupide et idiot mais… elle n’avait même pas réfléchi. L’impulsion. Comment est-ce qu’elle allait expliquer çà à William, hein ? Ouvrant la porte de la penderie, elle se retint de rire face à la vision de William avec plusieurs vêtements colorés de Lara en travers car ceux-ci étaient tombés dans sa chute. Si elle riait, il le prendrait mal mais en même temps, c’était tentant. Un sourire d’excuse en coin, elle s’accrochait à la porte comme pour éviter de tomber à son tour. « Ca va ? » lui demanda-t-elle. Après tout, il aurait pu se faire mal vu comme elle l’avait poussé par instinct. « Je suis désolée… l’habitude. » tenta-t-elle d’expliquer. Elle n’avait pas d’excuse et le savait bien. Pour une fois, il pouvait s’énerver, elle était pleinement coupable… mais terriblement amusée. « Besoin d’aide ? » C’était bien pour ne pas le froisser qu’elle se mordait la lèvre inférieure afin de ne pas rire à gorge déployée de tout çà.
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420
Dim 20 Fév - 19:42 |
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| Elle exagérait. Elle le faisait mariner alors qu’il lui avait demandé quelque d’important pour lui. En même temps c’était de bonne guerre, il s’était tout de suite braquer lorsqu’il l’avait vu arrivé au manoir Slayers plusieurs minute plus tôt. Si elle n’avait pas profité du fait qu’il soit plus frais et dispo pour se venger un peu ça n’aurait pas était Karly. Si la jeune fille lui aurait sauté au cou en articulant un « ouiiiiiiiiii je le veux !!! » enthousiaste, William aurait très certainement flippé et ce serait demandé si la Mcgregor n’avait pas était cloné ou enlevé par des extraterrestre. Il la regarda toutefois avec un air demi sévère demi amusé, levant légèrement un sourcil l’air de dire « c’est bon t’a fini ? » Il ne stressé pas malgré l’attente car à la façon qu’elle avait de se comporter il devinait déjà la réponse à la question qu’il lui avait posait il y a quelque minute. Si elle n’avait pas voulu sortir avec lui elle n’aurait pas était aussi détendu. Elle l’aurait insulté, traité de tous les mots ou alors flippé devenant muette comme une tombe. « Oh allez, boude pas. Quoique… ». Il croisa ses bras contre son torse. Il ne bouder pas, n’était même pas fâcher à vrai dire, mais il aimait bien l’idée qu’elle pense qu’il faisait la gueule pour qu’elle trouve une façon de se faire pardonner. S’il pouvait lui voler un ou deux baisers ou faveur il n’allait certainement pas ce faire prier. Apparemment il avait opter pour le bon comportement puisqu’elle déposa ses lèvres sur les siennes, lui donnant ainsi la réponse à la question qu’il lui avait poser. Oui, elle voulait sortir avec lui. « J’aime bien cette expression. A moins que ce ne soit celle de la colère. » « Oh oui je suis trèèèèèèèèèès en colère » dit-il avec ironie, continuant son petit manège, espérant ainsi pouvoir regouter les lèvres de la jeune fille. Elle l’embrassa de nouveau et il passa autour d’elle pour que leurs échange soit plus passionné. Alors que William se laissait aller à leurs baiser la voix de sa sœur retentit alors dans la maison et sans s’y attendre il se retrouva pousser dans le placard par Karly, manquant au passage de tomber. Ah bin génial ! Voilà qu’il se retrouvait dans le noir, caché. En même temps si ça avait était un ami à lui qui était rentré il aurait certainement agit de la même manière. Le jeune Slayers espérait tout de même ne pas passer des heures dans cet endroit clos mais ce ne fût pas le cas puisque que quelque minute plus tard la porte s’ouvrir sur une Karly qui semblait des plus désolé. A voir sa tête elle pensait sans aucun doute qu’il lui voulait déjà énormément. Mais lorsqu’elle prononça un gentil « Besoin d’aide ? » un sourire se dessina sur ses lèvres et il l’attrapa par son pull en réponse et l’attira à l’intérieur du placard avant de l’embrasser et de fermer la porte. Ne chercher pas William et Karly pour les quinze minute à venir, ils rattrapent le temps perdu…
RP TERMINER | |
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