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 ❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là...

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PROFIL & INFORMATIONS









Valente Judas Visconti

Valente Judas Visconti
SERPENTARD. ► sixième année.

► MESSAGES : 69
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Ven 2 Sep - 12:45


❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 Erin
feat. Artemisia Visconti

    Le jour où une magnifique chouette d’athénas en or, certainement enchantée, était apparue sur son bureau, Valente Visconti en était resté sceptique. Pourquoi l’invité lui ? Parce qu’il était un Visconti ? Un sang-pur ? Ce n’est qu’après avoir consulté Artemisia au sujet de cette dîtes fête qu’il décida de s’y rendre. Sa cousine avait accepté l’invitation en répondant que tous les Visconti seront présents, et qu’ils avaient été ravi d’avoir été conviés. Lorsque le jour J arriva, l’Italien n’avait toujours pas décidé comment s’habiller, car ses habits n’étaient pas faits pour ce genre de soirée, encore moins ses nombreux pierçings et tatouage. Alors, lorsque la ravissante blonde frappa à la porte, Valente avait rendu invisible son tableau de La Madone et l’avait fait entrer… présenté en boxer. Artemisia ne put s’empêcher de froncer ses sourcils en le voyant dans cette ridicule tenue avant d’éclater de rire.

    « Ah oui, là tu risques de faire très forte impression. »
    « Per favore, Artemisia, semplicemente, aiutami. »
    « Tu devrais parler plus anglais… »
    « Certamente non con te. »

    Sa cousine ne peut retenir un sourire avant de se diriger vers l’armoire de Valente et d’ouvrir la porte. Elle cherche quelque chose de sobre, mettant en valeur son cousin sans lui donner son air anticonformiste, même s’il l’affectionnait tant. Finalement elle trouve un pantalon noir, et un t-shirt de la même couleur, très simple. Lorsqu’il prend les habits, le Serpentard d’âme tire une tête de criminel troquant ses habits pour ceux d’Azkaban. Mais il les enfile, parce qu’il sait qu’il faut faire bonne impression, qu’il faut faire mieux que les Della Gherardesca, mais surtout il faut le faire pour sa cousine qui semble ronger, au bord de l’évanouissement.

    Et ce n’est pas peu dire car si Artemisia a accepté l’invitation en certifiant la venue de tous les Visconti, et en mettant un point d’honneur a tout dirigé elle-même, ce n’est pas pour rien. Après avoir reçu l’invitation, la jeune femme en avait parlé à sa mère, et ce n’était pas une réponse d’elle qui lui était parvenue mais une de son père. Regard sombre en la lisant, car il ordonnait à sa fille de s’y rendre, ainsi que toute la tribu Visconti, et de les éblouir de leurs richesses, de leurs présences, d’écraser les Della Gherardesca et prouver que c’est une famille fiable. Pour ne décevoir personne, la jolie blonde jouait alors sur les deux tableaux. Elle donnerait une bonne image des Visconti sans pour autant dire un seul mot sur les Della Gherardesca, le but d’Halloween est surtout de s’amuser. Elle ne souhaite que le bonheur de ses cousins.

    « On peut changer la couleur de tes cheveux, du blanc et du vert pâle ça passe moyen… »
    « Si. »

    Les deux Visconti faisaient donc un effort particulier. Et au bout d’une demi-heure, les deux descendaient bras dessus, bras dessous, comme pour ouvrir le bal de la famille Italienne. Valente avait donc revêtue ses habits sombres, et ses cheveux avaient pris une teinte noire qui faisait encore plus ressortir ses yeux étonnement bleu-vert. Quant à Artemisia, son père avait pris un soin particulier à lui envoyer une robe d’un grand créateur, qui plaisait plutôt à la jeune fille. Cintrée dans sa robe noire et or, ses longs cheveux blonds légèrement ondulés, la fille Visconti marchait aux côtés de son cousin. Lorsqu’ils entrèrent les deux se séparèrent automatiquement, non sans échanger une étreinte qui les faisait plus penser à des frères et sœur, voir un couple, qu’à des cousins.

    Alors que la jeune fille partait dans un coin pour s’assoir, ne connaissant peu de personnes, et habitué à être scrutée de tous les coins pour sa beauté de semi-vélane, elle n’osa bouger de sa chaise. Ses jambes croisées, elle s’amuse distraitement à bouger le talon de sa chaussure, alors que son menton trouvait refuge au creux de sa main.
    Valente, lui, avait repéré Anna-Lisa et il fut automatiquement attiré par sa demi-sœur. Il la voit en grande discussion avec la Reine de Poudlard, et pour rien au monde il a envie de s’attirer là-dedans. Alors il passe derrière elles, se met contre le mur, pile en face d’Anna-Lisa, et quand son regard tombe sur lui, il lui fait un signe pour lui dire qu’il l’attend. Plus fasciné par elle que par Fausta, qu’il n’a même pas vu alors qu’elle se trouve à quelques pas, c’est juste qu’Anna Lisa est magnifique dans sa robe.









Lenny Clearwater

Lenny Clearwater


► MESSAGES : 13
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Ven 2 Sep - 18:19


Et il erre au milieu des ténèbres, ce triste jack
Jack o'lantern
Horrible tête de citrouille maudite
pour l'éternité.


Un ange était venu égayer la soirée d'Halloween que les élèves de Poudlard défavorisés n'auraient pu célébrer. De quel droit des sangs-de-bourbe, des traîtres s'amuseraient-ils ? Mais la douce bibliothécaire veillait toujours sur les autres et s'était quelqu'un que Lenny appréciait pour sa gentillesse, bien qu'elle ne lui ai jamais réellement parlé. La jeune fille ne conversait que rarement et en général, c'était avec Clyde et Lucy. Sa famille. Elle n'était pas à l'aise avec les autres : elle n'aimait pas le contact physique, qu'elle ne percevait pas comme les autres même si elle ne savait pas expliquer son ressenti. Elle n'acceptait ce contact que de sa fratrie car elle y était habituée. C'est pourquoi ce soir là, elle se tenait assise un peu à l'écart, perdu dans son univers imaginaire à contempler toutes ces créatures qui célébraient cet évènement : des dragons, des citrouilles, des oiseaux, et d'autres encore. Mais était-ce seulement le fruit de son imagination pour une fois ?

Lenny n'était pas triste seule, mais c'est vrai qu'elle n'était pas complètement dans l'esprit d'Halloween. Elle s'était promis de ne pas déranger sa soeur et son frère ce soir car ils prenaient toujours soin d'elle.
Elle n'avait pas pris de bonbons, elle aimait bien les friandises bien qu'elle préfère les pâtisseries mais elle ne voulait pas spécialement se retrouver au milieu de trop de monde. Elle savait aussi qu'elle était étrange pour les autres, un peu spéciale même si elle ne comprenait pas toujours tout. Elle s'était améliorée c'était certains mais il lui restait du chemin à faire. Assise en tailleur avec un petit pull bleu marine, la cadette Clearwater observait les nouveaux arrivants, qui n'auraient pas du se trouver là normalement. Il semblait que les interdits n'effraient guère ces élèves là mais de toute façon, il ne semblait pas y avoir grand danger puisqu'on leur avait dit que la ténébreuse sorcière, la directrice était absente ce soir. C'était une excellente nouvelle. Lenny était tout sourire et elle chantonnait pour elle même.




Petite princesse dans son monde coloré, perdue dans son royaume imaginaire










Milo Della Gherardesca

Milo Della Gherardesca
GRYFFONDOR. ► sixième année.

► MESSAGES : 44
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Sam 3 Sep - 14:50


    Si Milo détestait bien une chose, c'était de devoir se montrer en spectacle devant de parfaits inconnus et il semblait cependant que ce bal d'Halloween organisé par une certaine Azur, fille qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam tant il s'était évertué à rester dans son coin et à ne parler à personne. A vrai dire, ici, il ne connaissait que les membres de sa propre famille et ceux de la famille rivale depuis toujours, les Visconti. La plupart du temps, il errait comme une ombre dans le château, se gardant bien de se lier d'amitié avec qui que ce soit. Il s'était habillé selon les conseils de Severino et de Celestia mais aurait été bien incapable de déterminer de quelle couleur était le costume qu'ils lui avaient fait enfilé. Noir ? Les vêtements étaient en réalité d'un gris anthracite brillant mais ça il ne pouvait pas le savoir, lui qui ne voyait qu'en noir et blanc. Avec un soupir blasé, il descend donc dans la salle de réception improvisée. A peine entré, il sait déjà qu'il va détester cette soirée ; son regard bleuté balaye la pièce à la recherche d'un visage connu. Ses prunelles s'arrêtent sur une jeune fille que tout le monde semble féliciter, l'organisatrice de la soirée sans doute, mais il ne s'y attarde pas. Il ne voit pas pourquoi il irait remercier une gamine d'avoir organisé une fête à laquelle il ne désirait pas participer, quitte à passer pour un malpoli sans sens des convenances. Il aperçoit au loin Fausta et Anna Lisa en grande conversation et se contente d'un bref signe de main dans leur direction, sans oser aller les interrompre. Allez comprendre pourquoi il a toujours eu du mal à se sentir à sa place au sein même de sa famille. Une personne avisée conclurait certainement que l'isolement dans lequel ses parents l'ont fait grandir n'y était pas étranger. Il n'y avait bien qu'avec Gabriele qu'il se sentait parfaitement bien, d'autant plus lorsque son cousin lui faisait voir les "couleurs". A cette idée, il a un demi-sourire, essayant d'imaginer à quoi pouvaient bien ressembler l'endroit et les vêtements des étudiants en réalité. Quelles couleurs ils avaient choisi, quelles nuances avaient les guirlandes... Il n'y avait que Gab' qui pouvait lui montrer ça. C'est alors que ses iris croisent ceux d'Artemisia et, aussitôt, son sourire s'évanouit. Cette garce, il la déteste au plus haut point, sans doute plus que tous les autres Visconti réunis, car il voit bien dans quel état de trouble elle parvient parfois à plonger Gabriele. Ses poings se serrent malgré lui et il avance vers elle, le regard dur. Toutefois, sur son chemin vers elle, il bouscule un des élèves, appuyé contre un des piliers. Aussitôt, il fait volte-face pour s'excuser. « Pardon, je suis dé... » Il fronce les sourcils en reconnaissant Valente. Sans mot dire, il le toise de haut en bas avant de lâcher, dédaigneux à souhait. « Non, en fait, je ne suis pas désolé. » Il a un sourire narquois mais Valente ne l'intéresse pas ; son regard s'est déjà reporté sur Artemisia.









Anna Lisa d. Gherardesca

Anna Lisa d. Gherardesca


► MESSAGES : 36
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Sam 3 Sep - 18:36


Anna Lisa, après avoir remercié Azur comme il se devait, vit Valente juste derrière leur hôte. Appuyé contre le mur, le jeune homme était bien la dernière personne que l’italienne pensait voir ici. Alors qu’elle s’éloignait avec Fausta de l’anglaise, celui qui était en réalité son demi-frère, ce qu’elle ne savait pas, lui fit signe de venir le voir. Anna Lisa s’en retrouva perplexe. Certes ils s’étaient pas mal parlé en haut de la tour de divination l’autre jour, mais ce n’était pas pour autant qu’ils étaient amis ou quoique ce soit. De plus, sans prendre en compte le fait que sa sœur allait le prendre très mal si elle allait le voir, Anna Lisa ne pouvait pas ne pas penser que Valente cherchait à atteindre sa sœur en l’utilisant elle. Même si l’artiste ne s’était jamais préoccupée de ces histoires de famille, c’était difficile pour elle de ne pas en faire partie. Après tout, elle était une Della Guerardesca.
De toute manière, la question d’aller voir Valente ou non ne se posait plus car Milo se trouvait maintenant près de lui à lui parler. Enfin, Anna Lisa doutait que ce soit une conversation bien constructive… Ces histoires la fatiguaient et elle n’y mettrait pas le pied, surtout pas. Alors elle tourna le dos à Valente, et alla se chercher un verre. Non, non, elle ne comptait pas aller se sociabiliser avec tout le monde ici, pas même avec un ou deux. Anna Lisa ne voulait qu’une chose : rester tranquille dans son coin. Et qui sait dans moins d’une heure elle se serait déjà échapper de là pour voir sa merveille. Jusque-là, cette soirée, charmante oui oui, sera surement simplement ennuyeuse. Mais bon, elle était avec Fausta donc elle survivrait. D’ailleurs en parlant de Fausta, Anna Lisa se tourna vers elle après avoir porté son verre à ses lèvres et but quelques gorgées.

« Amo molto l'abito di artemisia. Ciò gli va molto bene. »
« J’aime beaucoup la robe d’Artemisia. Ca lui va bien. »


Elle allait tout de même pas détester sa robe parce que c’était une Visconti non plus hein.









Valente Judas Visconti

Valente Judas Visconti
SERPENTARD. ► sixième année.

► MESSAGES : 69
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Dim 4 Sep - 11:53


❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 Erin
feat. Artemisia Visconti

[list]Valente qui s’ennuyait profondément –et oui, déjà- observait déjà le plafond sans se rendre compte qu’Anna Lisa l’avait déjà vu. Il cherche une quelconque attraction, et lorsque son regard tombe sur Fausta, une vive brûlure le réveille. Elle est vraiment belle aussi, mais comme d’habitude… Lâchant un peu son pilier, le jeune Italien se redresse sur et observe silencieusement la jeune femme. Avec un léger soupire, il se mord la lèvre et détourne le regard, c’est beaucoup trop difficile. Sa tête lui fait un mal de crâne pas possible et des légers points noirs apparaissent devant ses yeux. Il ne peut pas réfléchir un seul instant, il est même sur le point de tomber, ses jambes le trahissent. Alors il s’appuie à nouveau contre le pilier en attendant que ça passe, comme à chaque fois. Alors que quelqu’un le bouscule, manquant de lui faire perdre son dernier équilibre, Valente se retient de justesse. Lorsqu’il relève les yeux, il ne reconnait pas Milo Della Gherardesca.

« Pardon, je suis dé... » Mais il s’arrête et sourit, hautainement. « Non, en fait, je ne suis pas désolé. »

Valente aurait bien répliqué quelque chose au sujet de le fait qu’un inconnu ne soit pas désolé de bousculer quelqu’un, une douleur fulgurante lui traverse le front, et vrille son regard. Le jeune homme porte sa main à son front et sent que ses jambes le lâchent, jamais la douleur n’a été aussi importante. Alors quand enfin la douleur se calme, il relève la tête et peut voir l’inconnu observer fixement une personne… Artemisia. Un léger froncement de sourcil de la part du jeune homme, pourtant ce n’était pas Gabriele qu’il avait en face de lui.

« Pourquoi tu la regarde comme ça ? »

Si le ton au début avait été assuré, la fin elle se perdait au creux de sa gorge, la douleur était revenue. Bordel, c’était quoi tout ça ? Sans se douter une seule seconde du mal qui lui ronge le cerveau, Valente sent ses jambes le lâcher et en quelques secondes il se retrouve au sol alors que son front vient taper contre son genoux, ses mains tremblantes. Une seule pensée lui vient à l’esprit : et merde…

Quant à Artemisia, bien trop occupée à regarder la foule s’amuser non loin d’elle, elle n’a pas remarqué son cousin tomber. En réalité, elle pense surtout à un échappatoire car personne ici ne l'intéresse réellement, et tombé sur Gabriele n'enchanterais pas sa soirée. Elle n'est pas en état de guerre ce soir, enfin elle ne pense pas l'être. Alors finalement elle tire sa baguette de sa poche avant de tendre sa paume devant elle et d'écrire quelque chose dans une fine écriture bleu, directement adressée à Phoenix, 7 étages plus bas.

« RDV dans une heure dans la salle des trophées. Sauve moi ! »









Milo Della Gherardesca

Milo Della Gherardesca
GRYFFONDOR. ► sixième année.

► MESSAGES : 44
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Dim 4 Sep - 21:53


    « Pardon, je suis dé... Non, en fait, je ne suis pas désolé. » Il ne s'attarde pas davantage, Valente ne l'intéresse pas, il n'a d'yeux que pour Artemisia, sa cible. Elle ne semble pas l'avoir remarqué et d'ailleurs même si elle le faisait, elle ne le reconnaîtrait sans doute pas. Dans son enfance, en raison de sa santé fragile, Milo a vécu dans un cocon, surprotégé par ses parents et, durant les rares occasions pendant lesquelles il aurait éventuellement pu croiser un des Visconti, il devait sans doute être enfermé à la maison, de peur qu'il ne se casse quelque chose. « Pourquoi tu la regardes comme ça ? » Il tourne le visage vers Valente, fronçant les sourcils, visiblement contrarié que le Visconti ose le déranger dans sa réflexion. « Qu'est-ce que ça peut te foutre ? Tu veux te taper ta cousine aussi, à défaut d'avoir la mienne ? » Il le crucifie du regard. Ce n'est pas parce qu'il est l'un des plus discrets qu'il n'est pas au courant de ce qui se trame autour de lui. Peu bavard, il n'en reste pas moins observateur, regardant deux fois plus que les autres comme il doit tout embrasser du regard deux fois afin de bien en saisir chaque nuance. C'est le moment que Valente choisit pour s'effondrer à ses pieds sous le regard à peine étonné de Milo. Il ne réagit même pas, ignorant les yeux qui se posent sur eux pour laisser ses prunelles partir à nouveau à la recherche d'Artemisia mais cette dernière s'est déjà éclipsée sans qu'il ne puisse dire par où elle avait bien pu aller. Il serre les poings, agacé.

    Il gronde en reportant son attention sur l'Italien, toujours à terre. Tout ça, c'est de sa faute. S'il ne l'avait pas retenu en lui parlant et s'il ne l'avait pas distrait en s'écroulant d'un coup comme ça, il aurait déjà fait part de ses quatre vérités à Artemisia. Il siffle. Tant pis après tout, une Visconti de perdue, un de retrouvé, non. Il lève les yeux au ciel, se penche et attrape Valente sous les aisselles pour le relever. Oui, il a bien pensé à l'achever à coups de pied, juste là, mais avec autant de témoins ça aurait sans doute fait désordre. Aux élèves qui le regardent faire, il explique simplement. « Il se sent mal, j'l'emmène aux toilettes pour se rafraîchir. » Pour tous, ça passe comme un hibou à la poste. Il faut dire que cette rivalité inter-famille est assez méconnue des autres alors personne n'y prête attention quand un Della Gherardesca prétend aider un Visconti. Sans rien ajouter de plus, il passe le bras de Valente autour de ses épaules et l'emmène dans les toilettes des hommes, mais pas les plus proches, question de tranquillité. Une fois arrivés à destination, il le relâche aussitôt, comme si le contact du Visconti ne pouvait que le salir, le repoussant même brusquement. Il ferme la porte des toilettes d'un coup de pied en arrière. « Tu ne me remets pas, Valente ? » Ses lèvres dévoilent ses dents en un sourire narquois.









Valente Judas Visconti

Valente Judas Visconti
SERPENTARD. ► sixième année.

► MESSAGES : 69
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Lun 5 Sep - 19:48


    « Qu'est-ce que ça peut te foutre ? Tu veux te taper ta cousine aussi, à défaut d'avoir la mienne ? »

    Connard, pense simplement Valente alors que sa tête menace d’exploser. Il a donc affaire avec un Della Gherardesca, qui raconte des trucs horribles sur Artemisia. Sa chère cousine… Il la défendrait plus que tout au monde, autant qu’eux défendront Fausta. Alors le jeune homme se fait violence pour relever son visage vers l’italien, pour tenter de répliquer quelque chose, mais une nouvelle douleur lui donne la nausée. Alors tout ce qu’il aurait pu faire c’est de lui rendre dessus… Bon, ce n’est pas si mal que ça en réalité. Même une bonne idée. Sauf si ses jambes ne s’étaient pas écroulées. Alors le Serpentard d’âme se maudit, son poing serrer contre lui mais surtout tremblant comme jamais. Il ne remarque même pas tous les regards sur lui, que les gens l’observent comme une bête en cage. Ou plutôt sortit de sa cage.

    D’un coup, il sent des bras le soulever par les aisselles et il sent son cœur battre plus fort. C’est le Della Gherardesca qui le tient là ? Valente a envie de se dégager, de lui donner un coup pour oser l’avoir touché. Garde tes microbes, sale traître. Inconsciemment il se redresse juste pour pouvoir s’appuyer sur le jeune homme, et ainsi lui rendre la tâche un peu plus facile que de le traîner au sol. Il l’entend dire alors qu’il compte l’emmener aux toilettes et, même s’il veut lui répondre, une nausée le coupe net et confirme plutôt le choix de l’italien … c’est une bonne idée. Sa tête n’est qu’un bourdonnement infâme, une bombe à retardement, et Val ne sait pas réellement ce qu’il se passe autour de lui, il ne remarque presque pas que le jeune homme l’avait relâché brusquement. Il tombe presqu’aussitôt après, à genoux face aux toilettes et ne peut plus contenir ses nausées. Son corps tremblant ne bouge plus, lové contre la porcelaine blanche, sa vision trouble et il voit des choses qui ne sont pas là. Surtout lorsqu’il redresse la tête vers le jeune homme qu’il regarde longuement, et d’un coup il le reconnait.

    « Tu ne me remets pas, Valente ? »
    « Sei tu che hai il nome di Hannah Montana ? »
    « C’est toi qui a le nom de Hannah Montana ? »

    Miley quelque chose, non ? Et alors que ses yeux bleu-vert se posent sur le Della Gherardesca, tellement vitreux que ça ne ressemble plus à des yeux, il semble voir quelque chose derrière lui… Quelque chose qui l’effraie réellement, de grand et sombre, qui l’a hanté pendant de longues années. Valente se redresse alors, tremblant comme jamais, ne sachant même pas que le mal qui le ronge vient à présent de lui donner un excès de fièvre, ainsi qu’une vision bien altérée.

    « Attenzione, non restare ! Soprattutto tu, Gherardesca, soprattutto tu … Viene a vendicarsi, Milo… va ad uccidermi »
    « Attention, ne restes pas là ! Surtout toi, Gherardesca, surtout toi… Il vient se venger, Milo… il va me tuer. »










Laël J. Oridor

Laël J. Oridor
SORCIER. ► pâtissier.


► MESSAGES : 248
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Lun 5 Sep - 19:58


Décidément, Laël n'était vraiment pas à l'aise dans cette petite fête. Que ce soit les yeux hautains de la fille Winchester ou l'ambiance glaciale qui régnait dans la salle, le bleu et argent ne se sentait décidément pas dans son élément ici. Il préféra aller s'assoir dans un coin de la salle en grignotant un cookies qui trainait dans ses poches, espérant que personne ne le remarquerait ou ne viendrait lui poser des questions embarrassantes. Anxieusement, il vit la suite des invités arriver, reconnaissant tour à tour Sin Midnight, une vipère plutôt hautaine malgré le fait qu'elle soit déshérite – mais, à en voir son visage confiant, on pouvait penser qu'elle n'avait pas été mise au courant – suivit de près par les membres de la famille Visconti, les italiens fraichement arrivés... d'Italie. L'aigle y reconnut de suite Artemisia, qui, en un clin d'œil, était devenu une des ses plus proches amies, il lui arrivait même de la considérer comme sa petite sœur par moment, mais le fait qu'elle soit accompagner de son cousin anticonformiste refroidit un peu le serdaigle qui voulait l'approcher, il avait toujours été un peu impressionné par ce garçon aux cheveux verts, bien qu'aujourd'hui, ils soient noirs. Doucement, le bleu et argent finit de manger son cookie avant de s'adosser un peu plus au mur, comme s'il voulait rentrer dedans, il avait presque envie de vomir, il commençait à transpirer, son col le serrait. Non, décidément, il devait sortir d'ici, mais il se voyait mal partir en courant, c'était trop impoli pour que l'aigle n'ait assez de courage pour le faire, et ses yeux étaient tellement omnibulés par la porte de sortie qu'il ne remarqua même pas que des nouveaux arrivant – avec un nom de famille imprononçable ceci dit, les Ghella.. Non, Gerades... Bon bref, des italiens aussi – et encore moins que le cousin d'Artemisia avait fait une sorte de malaise, si bien que quand les deux jeunes hommes sortirent, l'aigle sursauta sous le joug de la surprise. Non, décidément, il fallait qu'il s'en aille et, doucement, il s'approcha de la seule Visconti qui restait dans la salle, posant doucement sa main sur son épaule. « Bonsoir Arte » dit-il avec un sourire crispé. « Je... On s'amuse vraiment bien ici non ? Ah ah... » Il regardait autour de lui, un regard discret vers Azur qui était occupé avec d'autres invités. « J'ai cru comprendre qu'une fête un peu plus sympa se déroulait au cachot... » chuchota-il à l'italienne, essayant d'être le plus discret possible. Ce n'était certes, qu'un bruit de couloir, mais l'aigle était sûr d'y trouver quelques anciens amis qui, il en était sûr, voudrait bien encore de lui. « Ça te dirait de m'y accompagner ? » dit-il, tout en proposant son bras Arte.









Milo Della Gherardesca

Milo Della Gherardesca
GRYFFONDOR. ► sixième année.

► MESSAGES : 44
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Lun 5 Sep - 23:46


    « Tu ne me remets pas, Valente ? » « Sei tu che hai il nome di Hannah Montana ? » Milo fronce les sourcils, ne comprenant pas de quoi il parle. Hannah Montana ? C'est qui celle-là encore ? Le jeune Italien n'y comprend rien. Il faut dire qu'il n'est pas très adepte du second degré et que la télévision moldue lui est totalement étrangère. Il a bien envie de lui dire, à cet imbécile, qu'il ne s'appelle pas Hannah mais Milo, mais ce serait de la salive gaspillée pour rien et ce traître, ce chien, n'en vaut pas la peine. L'illusionniste siffle, agacé de le voir aussi faible, traînant à ses pieds ou presque. Ce crétin lui vole sa victoire ; à vaincre sans péril on triomphe sans gloire et il n'y aurait pas grand honneur à mettre une raclée à un type qui ne tient même pas debout. Les yeux bleu-vert du jeune homme se posent sur lui et Milo aurait sans doute trouvé la couleur belle si tant est qu'il avait pu voir les couleurs bien sûr. Pour lui tout ça n'était qu'une teinte de gris un peu plus claire. D'un coup, Valente se redresse et Milo se tend, sur ses gardes, mais quelque chose dans le regard de son ennemi lui indique qu'il n'est pas agressif, bien au contraire, il a plutôt l'air mort de peur. « Attenzione, non restare ! Soprattutto tu, Gherardesca, soprattutto tu … Viene a vendicarsi, Milo… va ad uccidermi. » Le garçon fait volte-face, brusquement, mais il ne voit rien de tout ça, alors il reporte son attention sur Valente, se demandant s'il se moque de lui mais ce dernier n'a pourtant pas l'air de jouer la comédie.

    Milo passe une main perplexe dans ses cheveux et esquisse une moue contrariée comme il ne comprend pas ce qui se trame. Il rouvre la porte des toilettes, jetant un œil circulaire dans le couloir, à la recherche de Gabriele. Il n'y a que lui qui aurait pu créer une illusion aussi parfaite. Ses yeux bleus-gris détaillent le corridor désert et il fronce les sourcils, agacé, avant de refermer la porte sur lui. Il avance à pas rapides vers le Visconti, voit les gouttes de sueur perler sur son front et, sans prévenir, il lui colle une gifle qui claque sur sa joue comme un coup de fouet. Ses doigts saisissent le menton de Valente, fermes, peut-être un peu durs sans doute aussi, le forçant à le regarder dans les yeux. « Il n'y a rien, Valente ! » Il le dit d'une voix forte pour le faire réagir mais le Visconti semble toujours aussi effrayé. Il ferme les yeux à demi pour se concentrer et il projette sa voix à l'intérieur même de l'esprit, de la tête de Valente, par le biais d'une illusion auditive. « Non c'è niente, Valente ! Guardami ! » Il n'y a rien, Valente ! Regarde-moi ! Ses prunelles bleues captent enfin le regard du jeune homme et ne le lâchent plus, cherchant à le calmer. Il ne fait pas ça par bonté de cœur, bien au contraire. Il veut juste le faire aller mieux pour avoir le plaisir de le détruire lui-même. Milo inspire profondément et diffuse dans son esprit une musique apaisante. « Non c'è niente. »









Cassandra E. Alinovitch

Cassandra E. Alinovitch


► MESSAGES : 123
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mar 6 Sep - 12:28


- AH c'est un vrai ! Bonjour toi, t'es qui ? « Je crois que oui Louanne. Bonjour le chien » Et voilà… Sublime avait encore fait des victimes. Pire qu’une vélane pur-sang, ce chien… Et je savais de quoi je parlais, puisque j’étais à demi-vélane. Je poussai un soupir, sachant que, de toute façon, il était entre de bonnes mains, ici… Je me détournai pour faire demi-tour, mais, déjà, la main de Louanne se glissait dans la mienne… - Je crois que tu as autant droit de t'amuser que ton chien. Reste ça fera plaisir à tout le monde et si quelqu'un dit le contraire je lui ferais sa fête. Allez sortez les citrouilles ! « Louanne, je… » Je sais pas si c’est une bonne idée pensai-je sans avoir le temps de prononcer la phrase puisque je fus interrompue par quelqu’un d’autre. « Bien sûr. Mais pourquoi tu ne reste pas ? » Bon… Visiblement, il était donc admis que je reste, même si j’ignorais ce que j’allais bien pouvoir faire là…

« Bah… Kassy ! Fait pas ca voyons ! J’suis sensible moi ! » J’avais fait quoi ? Absolument rien, pourtant… Je fronçai les sourcils sur mes prunelles noisettes. Etait-ce parce que j’avais voulu repartir ? « Nan plus sincèrement vas-y moi ca me dérange pas le moins du monde bien au contraire hein !... Et merde ! » Alors là, je ne comprenais absolument plus rien. Serrant la main de Louanne dans la mienne, je demandai à la jeune fille : « J’ai fait quoi, au juste ? » Sur le coup, j’étais tellement habituée à ce qu’on m’appelle Cassie que je n’avais pas pensé qu’il pouvait s’agir de Kassy Salvatore. On n’a pas idée, non plus, d’avoir le même nom… Une chose était claire cependant, je risquais de bientôt me sentir un peu gênée d’avoir cru qu’il s’agissait de moi…

« HE HE ! LES GENS ! JE VOULAIS VOUS DIRE ! J’SUIS VRAIMENT TROP HEUREUSE D’ETRE LA AVEC VOUS, C’EST GENIAL ! » « Mais oui Alice nous aussi on t‘aime tu sais ! » « Oula, qui a refiler un bonbon d'euphorie à la Maestriani? Vous êtes pas bien les gars! » D’accord… Il se passait des trucs pas nets dans ce dortoir où des bonbons bizarres circulaient visiblement en totale liberté. Et pourtant, je ne pus m’empêcher d’en demander un. Si je devais me mêler aux autres, autant que je le fasse dans les mêmes conditions qu’eux, n’est-ce pas ? « Je peux avoir un bonbon, moi aussi ? » demandai-je en tendant la main. Quelqu’un m’en déposa un dans la paume et je le déballai rapidement avant de l’enfourner et de le mâcher consciencieusement. Et là…

Là, j’écarquillai des yeux ronds comme des billes. J’y voyais ! Je voyais autour de moi ! Les couleurs étaient, certes, particulièrement bizarres, mais… J’y voyais ! Un large sourire se dessina sur mon visage avant que je n’éclate de rire. J’avais comme l’impression de revivre, pour le coup. Mon regard tout neuf se posa sur Kassy entrain d’enlever son tee-shirt. Ah d’accord… Je comprenais mieux… Et pourtant, cela ne me gêna pas autant que quelques secondes plus tôt et je me tournai vers celui qui avait interpelé Kassy : « Si ce qu’elle fait te plait tant, pourquoi tu ne le fais pas aussi ? » demandai-je, un sourire charmeur sur le visage sans me rendre compte que mon côté vélane se déclenchait au même instant.

« Est-ce qu'on peut le caresser Cassandre? » « Bien sûr… Il est adorable… » répondis-je avant de préciser que c’était Cassandra et non Cassandre. « Ah si finalement j’ai un truc. Hey les amis vous en pensez quoi ? Jesse j’te plait ? » « Ca te va très bien. Tu devrais la garder » Et visiblement, je n’étais pas la seule à le penser… « J’sais pas pour Jesse mais moi je te trouve fichtrement canon Will ! » Mais l’effet du bonbon commençait à passer et ma vision se troubla avant de laisser place au noir, à nouveau. Non… Non ! pensai-je alors qu’une larme discrète coulait sur ma joue.









Valente Judas Visconti

Valente Judas Visconti
SERPENTARD. ► sixième année.

► MESSAGES : 69
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mar 6 Sep - 14:34


    La présence inquiétante de l’ombre derrière Milo effrayait Valente plus que tout, elle est imposante et glaciale. L’Italien n’a eu aucun doute concernant l’apparition derrière le jeune homme, il savait pertinemment qui c’était, même si le visage été déformé par la haine, il reconnaissait aisément le visage de Parise Visconti… revenu d’entre les morts. Son visage n’exprime que de la rancœur, de la haine, un tel flot même, que Valente en est terrifié. Il sait très bien que s’il est comme ça, c’est parce que Val n’a pas réussi à le venger, et n’y arrivera jamais, qu’il méritait de mourir lui aussi. Comme ça, le Serpentard d’âme ne peut que le détester, surtout quand il repense au visage calme et doux d’Anna-Lisa. Lui, Parise, le fait mourir de peur. Au point que lorsque Milo se lève pour ouvrir la porte –pour partir ? Il ne peut retenir un faible ‘non’ de ses lèvres. Ses yeux, affolés, se posent sur la silhouette et l’Italien déglutit difficilement avant de reculer de quelques pas, manquant de tomber sur les toilettes. Lorsque soudainement Milo lui met une gifle, retentissante, mais qui ne change en rien le regard affolé posé sur la grande tâche noire. Et lorsqu’il le prend par le menton, il sent bien la pression, et il l’entend bien lui dire qu’il n’y a rien mais lui il voit parfaitement la forme derrière lui.

    « Non c'è niente, Valente ! Guardami ! »

    La voix résonne dans la tête de Valente qui tourne enfin son regard vers le Della Gherardesca. Une musique apaisante résonne dans son esprit, alors que ses yeux se plonge dans les prunelles océan de Milo et il attend. La musique l’apaise, réellement, mais il voit toujours dans le coin de son œil la silhouette, et sa tête lui fait tellement mal qu’on dirait qu’il la cogne contre un mur. Brûlant comme jamais, il ne se rend même pas compte que c’est le Della Gherardesa qui l’aide, qui est à côté lui, il ne ressent même pas encore la honte brûlante qui le prendra lorsqu’il se rendra compte que c’est Milo. Pour l’instant le mal qui le ronge gagne du terrain, détruit petit à petit l’esprit précis de Valente et lui faire croire des choses. Tremblant, prêt à faire un nouveau malaise, il attrape le poignet de Milo dans sa main et le serre avec le peu de force qu’il a.

    « Sento nella mia testa... è là, va ad uccidermi. Mi detesta… Milo, non bisogna restare. »
    « J’entends dans ma tête… il est là, il va me tuer. Il me déteste… Milo, il faut pas rester là. »

    Il perd à nouveau l’attention de Milo pour regarder la silhouette de Parise, ses yeux affolés retombent sur le Della Gherardesca alors que sa tête est sur le point d’exploser. Ca lui vrille la tête, Valente tente alors de prévenir l’Italien.

    « Mia testa… vado… »
    « Ma tête… je vais… »

    Mais il est trop tard, le mal frappe un grand coup, coupant la parole à Valente qui finit par sentir son esprit partir, alors que son corps tombe subitement contre Milo.










Artemisia E. Visconti

Artemisia E. Visconti
SERDAIGLE. ► sixième année.

► MESSAGES : 49
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mar 6 Sep - 18:59


    Artemisia, assise sur sa chaise et après avoir envoyé son message à Phoenix, observe les autres personnes présentes. Elle croise finalement ses longues jambes et ses yeux vert tombent sur Fausta et Anna-Lisa, qu’elle reconnait aussitôt grâce à Valente, et les observe en silence avant de détourner le regard lorsqu’elle prend un bonbon dans le saladier à côté d’elle. En forme de petit cône, elle le mange alors mais l’acidulé soudaine lui pique les yeux, alors elle ferme ses yeux et attend patiemment que l’effet passe. C’est à ce moment que l’Italienne sent une main se posé sur son épaule et elle ne peut retenir un sursaut, alors qu’elle tourne son regard vers la personne qui l’avait interpelé, ses yeux brillaient de larmes. Soudainement, la demoiselle reconnait Laël, son protecteur. C’est vrai qu’en quelques mois, ils étaient devenus très proches, malgré le fait qu’Artemisia se fait souvent discrète et ne parle avec personne. Tout a commencé avec des cookies, c’est la meilleure des amitiés quand ça commence avec du gâteau ! Surprise de le voir là –sûrement parce que son côté gentil faisait trop tâche au milieu des autres Sang-Pur. Le visage de la semi-vélane s’illumine d’un coup.

    « Bonsoir Arte » Un sourire lui répond, alors qu’elle le voit mal. « Je... On s'amuse vraiment bien ici non ? Ah ah... »
    « Bonsoir Laël … Oui, c’est la fête ici. »

    Le ton est un peu moqueur alors qu’elle observe le jeune homme qui a réellement l’air mal à l’aise. Le pauvre, elle le comprend. Elle se tourne légèrement sur sa chaise en croisant ses jambes et en s’appuyant sur le dossier, tout sourire. C’est que voir un visage familier dans cette soirée lui réchauffe tellement le cœur, alors Artemisia sourit réellement comme une enfant, et toute sa beauté de vélane est déclenchée. Finalement Laël murmure doucement pour qu’elle seule l’entende.

    « J'ai cru comprendre qu'une fête un peu plus sympa se déroulait au cachot... »
    « Je suis pas sûre qu’on puisse appeler ça une fête, les pauvres. »

    Artemisia pense alors à Phoenix et son allure maigrichonne lorsqu’elle l’avait vu dans la salle des trophées. Que faisait-il pour Halloween ? Et tous les autres, toutes ces personnes pour lesquelles Arte a volontiers accepté de l’aider et de lui donner de la nourriture. Et lorsque le jeune homme lui propose de descendre, elle hésite, ça serait réellement dangereux… Surtout pour ceux en bas, mais l’envie d’aller les voir, où l’ambiance doit être quand même plus … ‘chaleureuse’ qu’ici était assez tentante. Alors elle acquiesce silencieusement mais sait très bien que ça ne marchera pas aussi facilement, alors elle se lève et prend le bras, son corps se collant à celui de Laël alors que ses lèvres vont se promener près de son oreille, murmurant :

    « Juste un tour alors… Et fait comme si on s’éclipsait toi et moi. »

    Un clin d’œil accompagne ses paroles alors qu’elle vient se lover contre lui en ronronnant, ses mains caressant son bras comme une réelle amoureuse. Alors que ses yeux papillonnent, son air de vélane lui donne un parfait alibi. Elle tire alors Laël en dehors de la pièce et le tient toujours par le bras lorsqu’ils descendent les escaliers, alors qu’un sourire dessine ses lèvres.

    « Faudrait prendre l’un des passages secrets pour qu’on soit plus discrets. »










Milo Della Gherardesca

Milo Della Gherardesca
GRYFFONDOR. ► sixième année.

► MESSAGES : 44
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mer 7 Sep - 13:50


    « Non c'è niente, Valente ! Guardami ! » L'Italien prend son poignet entre ses doigts et, aussitôt, premier réflexe, il le retire d'un mouvement sec, ramenant son bras contre lui et fusillant du regard l'impudent qui s'était permis de le toucher, lui, cet infâme traître. « Sento nella mia testa... è là, va ad uccidermi. Mi detesta… Milo, non bisogna restare. » Milo a un sifflement agacé, levant les yeux au ciel ; qu'est-ce qui lui avait pris aussi de vouloir jouer les bons samaritains ? Certes, l'idée n'était pas sans arrières-pensées mais quand il l'avait emmené ici, à l'abri des regards, c'était dans l'espoir secret de pouvoir lui refaire le portrait et voila qu'en fait Valente était réduit à l'état de légume au bord de la rupture psychiatrique et qu'il se retrouvait à jouer les infirmières. Milo plisse le nez, énervé, et recule d'un pas, bien décidé à s'en aller et à le laisser crever là. Après tout, ce n'était pas ses problèmes et il ne voyait pas pour quelle raison il aurait du faire preuve de compassion envers un Visconti. « Mia testa… vado… » Et sans prévenir voilà que l'un de ses ennemis jurés lui tombe dans les bras, au bord de l'évanouissement. Par réflexe, il le rattrape du mieux qu'il peut, se retrouvant avec Valente collé à lui. Ironie du sort. « Che cazzo ! » Fait chier. C'est plus ou moins l'idée. Il pourrait bien le laisser là en priant pour qu'il meure mais trop de gens l'ont vu quitter la salle du banquet en compagnie du jeune homme et, si par bonheur, il venait à mourir, on l'accuserait au mieux de non-assistance à personne en danger, au pire de meurtre. Il grogne, blasé que ce soit sur lui que ça tombe. Résigné finalement, il passe sa tête sous le bras de Valente, enlace sa taille de son bras droit et attrape la main qui pend sur son épaule de l'autre main, avant de monter comme il peut les escaliers avec un poids mort pareil, jusqu'aux chambres des sangs-purs. S'il se souvient bien, le Visconti a élu domicile quelque part dans la tour de Serdaigle.

    Suite ici.









Louanne Mathewsen

Louanne Mathewsen


► MESSAGES : 16
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Ven 9 Sep - 11:17


Fêter halloween n'était pas réellement dans ses habitudes. Durant toute une période, elle n'avait plus eu goût à fêter quoi que ce soit et elle allait souvent se coucher le plus tôt possible. Cependant, elle se rendait compte qu'elle avait gâcher ces moments et c'est pourquoi elle avait envie que Cassandra participe avec eux même si elle était juste présente ce serait suffisant. Elle avait bien senti une hésitation au début mais elle n'avait pas lâché sa main et l'avait amené doucement au milieu des autres. Elle n'était pas la seule à vouloir que la jeune femme reste. Autant que l'on soit là tous ensemble à profiter de ce moment de répit...Ce soir, le château semblait bien calme tandis que la directrice était absente.

Louanne aurait bien voulu que cela dure plus qu'un soir mais comment cela aurait-il pu ? Elle sentit soudainement la main de Cassie serrer légèrement la sienne et elle se tourna vers elle. Reprenant conscience du cours de la soirée. Elle ne comprit pas tout de suite ça question mais elle entendit bientôt d'autres voix et se tourna vers les joyeux lurons avant de comprendre : " Aaaah c'est de Kassy Salvatore qu'il s'agit..." Elle sourit à Cassandra avant de se souvenir qu'elle ne pouvait pas la voir et par réflexe, elle se leva, lâchant sa main. Un peu mélancolique, elle souriait toujours gentiment et posa alors son regard sur Lenny. La soeur cadette des Clearwater. Elle était seule, comme chaque fois que son frère et sa soeur n'étaient pas avec elle...

C'était plaisant d'être là auprès des autres mais la jeune fille se disait que tout disparaîtrait. Est-ce que l'on se voilait la face ce soir. Est-ce qu'on préférait oublier en se contentant de vivre l'instant présent ? C'était sans doute mieux ainsi. Elle se pencha vers Cassie et posa sa main sur son épaule : "je te laisse profiter d'halloween avec les autres". Vérifiant que sa baguette était dans sa poche, elle comptait sortir des cachots, mais la soirée n'était pas finie. On était qu'en début de soirée, non ?

Alors que faire ?










Laël J. Oridor

Laël J. Oridor
SORCIER. ► pâtissier.


► MESSAGES : 248
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Sam 10 Sep - 12:29


La jeune femme se retourne et ses yeux s'illuminent comme si elle voyant en Laël son sauveur. Il avait visé juste en pensant que la pauvre italienne ne devait pas se sentir plus à l'aise que lui dans cette fête très sélective. Elle se leva et, en un éclair, vint se coller au petit aigle tout en ronronnant, comme un parfaite amoureuse. « Juste un tour alors… Et fait comme si on s’éclipsait toi et moi. » murmura-t-elle à son oreille, avant de tirer l'aigle vers la sortie, ses airs de vénale ne laissant aucun doute à ses intentions. En à peine quelques secondes, ils étaient déjà sorti sans que presque personne ne les remarque, et, dans les escaliers, Artemisia se retourna vers le bleu et argent « Faudrait prendre l’un des passages secrets pour qu’on soit plus discrets. » Elle n'avait pas tort, il se voyait mal jouer la carte de l'escapade amoureuse devant un surveillant, surtout que leur dortoir était à tous les deux dans les tours, ils n'avaient rien à faire en bas, près de ces pauvres sangs impurs. Mais Laël en avait lu assez sur Poudlard pour en connaître les moindre secret, alors, doucement, il attrapa la main de la rouge et or et l'entraina derrière lui. « Il y en a un pas loin, suis moi. » dit-il tout en gravissant encore quelques marches, avant de s'engouffrer dans un couloir tout en longeant les murs, essayant de se faire le plus discret possible. En quelques instants, ils arrivèrent devant un grand miroir et l'aigle tendit sa baguette en sa direction, tout en chuchotant une formule comme pour lui-même. En un léger craquement, le miroir s'ouvrit, laissant entrevoir des escaliers, et les deux jeunes élèves s'y engouffrèrent. C'était un passage étroit et les marches était glissante, les murs de pierres noircies donnait une impression d'infini, et l'aigle ne pouvait pas voir plus loin que le bout de son nez alors qu'il avait allumé sa baguette d'un léger « Lumos ». Au bout de quelques minutes qui lui avait semblé interminable, l'aigle aperçu enfin la sortit, qui n'était autre qu'un duplicata du même miroir, qui arrivait pile dans le hall du château, ce qui leur avait fait descendre quatre étage en tout discrétion. Il mit son doigt sur la bouche, pour signifier à l'italienne de faire avec discrétion, alors qu'il ouvrit la porte du passage aussi doucement qu'il pouvait, essayant d'entrevoir le hall. Personne. Il reprit Artemisia par la main avant de descendre au cachot, finissant par arriver là où la où tous les autres fêtaient Halloween. « Bonsoir. » lança-t-il, timidement, un petit sourire sur les lèvres. Il y avait bien des gens qu'il connaissait là dedans, mais il avait peur de ne pas être trop bien accueillie. Après tout, il était sang-pur et, il faut l'avouer, il n'avait pas été souvent là pour ses amis alors qu'ils avaient vécu une année difficile. Mais il préférait toujours être ici que dans l'ambiance étouffante de la fête d'Azur Winchester.









Danny Brisbow

Danny Brisbow


► MESSAGES : 278
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Sam 10 Sep - 23:28


[hrp: Pour simplifier l'action, mon post est à placer juste avant l'arrivée de Lael...]



    Pour le jeune Brisbow, ce soir était loin d'être ordinaire. C'était en effet ce soir que devait se dérouler le plan que Kassy et lui même avaient minutieusement préparé. Un plan difficile, dangereux et technique, qui devait leur permettre d'envoyer un message en dehors de l'école. Non pas que cela leur était interdit. Mais comme le destinataire de ce message n'était autre qu'Aleksander Hallen, la "créature" fugitive, ils ne pouvaient se permettre de passer par le circuit classique d'envoi de message.

    La date n'avait pas été choisie au hasard non plus. Halloween, un jour particulier à Poudlard. Un jour de fête, de folies, de désordre... Qui leur permettrait d'arriver à leur fin en toute discrétion... Ils l'espéraient.

    Les deux complices s'étaient donné rendez vous dans les sous-sol de l'école lorsque Danny aurait accompli sa part de la mission: capturer le hiboux de la sang-pur Sin Midnight. Sauf que voilà, s'ils avaient pensé à tout. S'ils étaient certains qu'aucun aspect du plan ne pouvait leur échapper. Ils avaient oublié un détail: à Halloween... Curieusement. Les élèves ne restaient pas dans les dortoirs. Peut-être n'auraient-ils pas rencontré ce problème du temps où chaque maison festoyait dans leur coin. Mais, cette année, Danny eut beau faire preuve de toute la discrétion dont il était capable. Rien n'y fit. Et le Hiboux... Resta. Inaccessible.

    Echec, donc. Colère, déception. Danny se rendit d'un pas pressé et visiblement tendu au point de rendez vous. Rater la fêtes ne le gênait pas... Il n'aimait pas ça. D'ailleurs, depuis que sa mère avait été envoyée à Azkaban, il y a un mois. Depuis que son père ne donnait plus de nouvelles... Les contacts avec d'autres élèves s'étaient fait encore plus rares. Grâce à la Gazette, tout le monde était au courant de l'histoire. Gênant... Il préférait éviter les autres élèves de peur qu'ils ne lui en parlent.

    Second imprévu. Au rendez vous: personne. Il était en retard, après tout. Kassy avait peut-être cru qu'il ne viendrait pas. Elle devait s'en être allé pleurer pour son Alek dans un coin, se dit Danny. Vu son sale caractère, il doutait encore que quiconque puisse lui faire confiance (à Danny)... Dans tout les cas, vu qu'il avait échoué, elle n'avait pas tord.

    Le jeune homme parti donc à sa recherche. Au dortoir des sang-mêlés, avant tout, puis dans la direction opposée, vers les cachots. Une fête s'y déroulait, apparemment. Et peut-être Kassy avait-elle préféré s'y rendre... Plutôt que d'honorer son engagement. Il ne la connaissait pas fêtarde, et pourtant, lorsqu'il arriva finalement devant la porte des cachots... Outre une bande d'élèves joyeux, ses yeux se tournèrent vers la fameuse Kassy... En soutiens-gorge.

    " Kassy ? Tu... " Dit-il, gêné, le visage virant au rouge, avant de pénétrer dans la pièce en jetant quelques coups-d'oeil vers le reste des occupant. Le moins qu'on puisse dire, c'est que la fêtes battait son plein... Il était surprenant, d'ailleurs, que les élèves, sang de bourbe pour la majorité, avaient eut accés à tant de friandises. Enfin, peu importe. Esquissant un petit sourire timide, Danny ajouta.

    " Heu... Non... Rien.
    Bonsoir tout le monde. " Et il se demandait s'il devait rester ou non lorsque quelqu'un se présenta derrière lui. Lael: Bonsoir.

    Sans surprise, l'arrivée de ce dernier attira d'avantage de regards que celui de Danny. Tant mieux, si ça pouvait éviter d'attirer toute l'attention sur lui.










La Directrice de Poudlard

La Directrice de Poudlard


► MESSAGES : 104
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mer 21 Sep - 10:48


Les festivités battaient leur plein comme on approchait lentement mais sûrement de minuit. Il n'y avait pas qu'à Poudlard d'ailleurs. Londres était en fête, quoique derrière l'immense mur du district E. il n'y avait guère de réjouissances pour les malmenés de la société, laissés là à mourir de faim à quelque chose près.

Le Ministère avait organisé un grand défilé d'Halloween et revue pour l'occasion l'heure du couvre-feu encore plus à l'avantage des sangs purs avec bien sûr la promesse que les choses reviendraient à la normal dès le lendemain.
A Pré-Au-Lard, on ne faisait pas moins bien puisque les chansons à boire et les histoires d'horreur faisaient frémir tout le village et s'il l'on fêtait Halloween plus petitement à Ealdwic, c'était sans doute parce qu'on était encore écrasé par les récents événements qui avaient secoués l'université et la Grande Bretagne.

Même l'Ordre du Phoenix, confiné dans son QG dont nous devrons taire ici et le lieu et le nom, trinquait à leur prochain coup d'état tandis que la gente dirigeante, forte de son installation au pouvoir, croyait dormir sur ses deux oreilles. Mais revenons en à Poudlard.

❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 Azur10
feat. Azur Winchester

Dans la grande salle de bal, Azur Winchester, bien entourée faisait ses comptes. Certains semblaient partager ses désidératas et ses espérances, d'autres, moins assidus, partez deux par deux, dans les couples les plus improbables. Les yeux de vipère d'Azur suivirent du regard Milo Della Gherardesca et Valente Visconti puis successivement, Lael Oridor qui croit subtiliser en douce Artemisia Visconti. Décidément. Mais c'est un sourire venimeux tout autant que malicieux qui fleurit sur les lèvres de notre enfant des Ténèbres alors qu'elle murmure à son cercle de proches:

- Minuit approche, je n'ai pas l'intention de rester là à regarder tous ces petits bourgeois enivrés d'hydromel pétillant se vanter de ce que papa et maman vont leur léguer en héritage. J'avais dans l'idée de me rendre aux catacombes ce soir nous pourrions avoir beaucoup de choses à y faire. Qui m'aime me suive...

Le sous entendu est bien assez clair, d'autant que tout le monde sait que les catacombes dissimulent monts et merveilles de pouvoir, dangereux autant que fascinant. Quel meilleur projet pour Halloween?

INDICATION DE JEU:

♦ Un petit groupe de 10 personnes suit d'ores et déjà Azur Winchester, libre à vous de la suivre. En faisant ce choix vous entrez dans la deuxième partie de l'animation et vous verrez confier une mission. Je vous contacterai individuellement par MP pour vous communiquer vos instructions.

♦ Pour ceux qui ne suivront pas Azur, vous pouvez rester dans l'animation mais bien sûr il ne serait pas du tout logique que vous descendiez aux cachots puisque vous êtes sangs purs et donc peu désireux de partager le sort des sang de bourbe. Je vous rappelle que si la directrice n'est pas là, ses sbires si.

♦ Pour ceux qui sont aux cachots, attendez le poste de Mélisande









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Lun 26 Sep - 10:30


Mélisande suivait d'un oeil amusé les jeux des uns et des autres. Il y avait deux mois qu'elle n'avait pas entendu un vrai éclat de rire ou vu un sourire sur les visages fatigués des petits martyrs des cachots. Soit. La soirée se passait donc plutôt bien, et d'un certain point de vue, on pouvait dire qu'elle gérait. Pour l'instant...

Cassandra et son chien faisait l'animation pour une bonne part et d'ailleurs les plus petits vinrent vite se rassembler autour de l'animal dès lors que la jeune femme donna la permission de le caresser.

- N'hésitez pas à dire stop Cassandra s'ils vous dérangent..., précisa Mélisande, toujours observatrice.

Elle suivit du regard Louanne, mi rassurée de n'avoir pas à justifier de sa présence et d'un autre côté, elle restait sceptique. Était-ce une bonne idée de la laisser se balader seule dans les couloirs?
C'est un grand cri de l'exhubérante fille Maestriani qui l'empêcha de pousser plus loin sa réflexion. Un regard à Miss Salvatore qui se retrouvait en sous-vêtement (doit-on rappeler que la jolie Mélisande avait clairement du mal avec ce genre de comportement...?) et Mélisande crut bon de poser malgré tout un haut-là:

- S'il vous plait un peu de...

Mais l'arrivée de deux autres élèves, non trois, la coupa dans son élan. Clairement, elle allait être dépassée sous très peu de temps. Il fallait que le professeur Van Hellsing se dépêche de revenir.

« Bonsoir. »

Mélisande pâlit. Ses clairs yeux d'eau passèrent successivement sur Danny Brisbow puis sur Laël Oridor et Artemisia Visconti comme par ordre de dangerosité. Bien sûr à ses yeux à elle cela restait des enfants, des élèves qu'elle avait pour la plupart reçus à la bibliothèque. Mais elle ignorait de quoi chacun pouvait être capable compte tenu du contexte. Une vendetta anti-sang pur n'était pas plus souhaitable qu'une dénonciation dans les règles.

Avisant le petit groupe Konstantine & co qui tiquait sévère, l'ancienne bibliothécaire intervint:

« Je... j'ai bien peur que ce ne soit pas une très bonne idée. Si l'on vous voit ici les conséquences risquent d'être véritablement désastreuses et... »

Elle s'interrompit, ou tout du moins quelqu'un qui tambourinait comme un ours à la porte des cachots la coupa dans son élan. Elle retourna un regard inquiet aux élèves et fit signe aux derniers arrivants de faire profil bas. Là dessus il ne lui restait plus qu'à espérer qu'ils allaient obéir. Après tout elle n'avait pas non plus l'autorité du professeur Van Hellsing.

« Bon tu ouvres créature de Frankenstein! J'ai pas la nuit moi figure toi!!! »

Rien qu'à la voix du type on ne pouvait pas se tromper, il était ivre. Ce devait entre le cas de la plupart des sbires de la directrice qui eux étaient toujours bien là mais qu'on avait pas trop vu ce soir, ceci expliquant cela...

Mélisande tiqua mais pour le moment, que les élèves se demandent pourquoi le geôlier l'appelait "créature de Frankenstein" était bien le cadet de ces soucis. Elle ouvrit, pour voir une montagne qui tenait une pauvre élève par l'oreille, et sa baguette dans son autre main:

« C'est d'ici ça je suppose? Je l'ai pêchée dans le couloir. »
« Pas du tout c'est... une... sang pur et j'ai bien peur que cela ne vous retombe sur le nez si la directrice l'apprend. Vous devriez... relâcher tout de suite... Mademoiselle Azur... »

C'était la première fois de toute sa vie que Mélisande mentait et aussi effrontément d'ailleurs. Pourtant elle ne rougit pas et si ses mains tremblaient, l'homme en face d'elle était trop aviné pour se rendre compte de quoi que ce soit.

« Ma... QUOI?! Mademoiselle Azur? Azur Winches... mille excuses, je vous demande pardon, je ne voulais pas, je vous ai prise pour un de ces ... enfin pour quelqu'un d'autre. Je ... je vous assure que ça ne se reproduira JAMAIS. Je porterai vos affaires jusqu'à la fin de l'année... je... »

L'homme ne savait plus comment se tirer de ce pétrin. Maltraiter la fille du seigneur des Ténèbres c'était un peu comme aller faire son footing du matin à Azkaban avec les détraqués et les détraqueurs. Du suicide quoi.

Juste devant l'élève Mélisande croisait les doigts, inspirant confiance à cette pauvre fille qui se retrouvait momentanément à devoir jouer le rôle de l'insupportable petite reine de Serpentard... bon courage.

INDICATION DE JEU:

♦ pour rester logique, la pauvre élève que le garde ramène devrait a priori être Louanne mais sous deux semaines si Louanne n'a pas répondu vous pouvez considérer que c'est une autre élève pourvu qu'elle soit brune sinon ça n'est pas crédible.









Clyde Clearwater

Clyde Clearwater


► MESSAGES : 38
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mer 28 Sep - 23:43


Adresser aux staffs:

    Halloween, un fête qui n'était pas très joyeuse pour Clyde. Fêtait les morts c'était... morbide dans un sens. Puis les déguisements de monstres... Cela le rappelait de mauvais souvenirs. Mais pour oublié tout ça le jeune homme était parti, sortie en douce de Poudlard afin d'avoir des petites ''fournitures'' afin de mieux fêter cette soirée. Et oui les Bonbons étaient le seul truc qui faisait craqué Clyde par rapport à Halloween, c'était la seule et unique raison qu'il tolérait cette ''fête''. Il c'était échappé par les nombreux raccourcie qu'offrait les tableaux de Poudlard, il connaissait les mots de passe et c'était lié d'amitié avec certains portraits. Clyde avait pu rejoindre préau-lard afin d'acheter des bonbons pour ses amis, surtout pour Louanne, sa petite amie. Mais il avait prit aussi une boite de Cookie pour Lenny, elle était pas trop Bonbon, mais plus Gâteau. Mais sa petite ''escapade'' fut trop longue, il c'était baladé un peu dans préau-lard, la liberté avec un goût excellent, et cela lui plaisait. Mais il n'avait guère le temps de flâner et rêvasser sur son moment éphémère de liberté absolu. Si il rentrait pas le plus vite possible les sbires de la directrice sauraient qu'un Clearwater manquerait à l'appel, et ses sœurs s'en inquiéteraient. Il n'avait pas vu l'heure, il était en retard... . Agrippait, avec la manière d'un joueur de foot américain, à son sac remplis de sucrerie et pâtisserie il accourut hors de ce petit village. De sa main libre il sorti sa baguette, l'agita en l'air en criant un léger '' Accio Nimbus 2000! '' Son balai arriva tel un aimant négatif attiré par le positif. Rangeant sa baguette il enfourcha son balai et partie à toute vitesse, direction Poudlard. Le lieu qui aimait tant... enfin avant ses changements de politiques administratives....

    Apercevant les premières tours du château il prit une légère accélération afin de finir sa course à une petite fenêtre du bâtiment principale. S'y faufila et récupéra d'une main son balai magique. Descendant quatre à quatre les escaliers il arriva bien rapidement aux cachots de Poudlard. Ouvrit discrètement la porte et entra parmi la foule comme si de rien n'était avec son sachet et son balai. Il alla rangeait son balai, bien cacher dans ses affaires et rejoignit Lenny, se mit a ses côtés et lui donna un léger coup de coude suivit d'un clin d'oeil.


    '' Hé! Regarde ce que je t'ai apporté...! ''

    Lui offrant son paquet de Cookie avec un large sourire, tout fier de son action ''héroïque''. Il avait un nouveau moment de tendresse fraternel avec sa petite soeur adorée. Mais ce fut de courte durée car lorsque la porte du Cachot s'ouvrit il vit le Professeur Van Helsing gueulant à tout bout de champ... Arf se disait Clyde, qu'est ce qu'il ne pouvait le voir en peinture cet ivrogne là.... Mais ce qui perturba Clyde et ce qui fit faire un seul tour au sang du jeune homme ce fut lorsqu'il vit Louanne à ses côtés... Il l'avait prise à marcher dans les couloirs de l'école selon lui. Clyde était à deux doigts de sortir sa baguette et de lui mettre sa raclé du siècle à cet ivrogne! Mais il fut, fort heureusement d'ailleurs, stoppé par Mélisande en prenant la parole, et en prétextant un mensonge pour sauver sa petite amie, chose qui ferait que Clyde serait toujours reconnaissant envers Mélisande, directement après le professeur. Clyde se calma et observa la scène dans son coin, lançant des regards à Louanne lui demandant ce qu'il c'était passer.









Louanne Mathewsen

Louanne Mathewsen


► MESSAGES : 16
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Sam 1 Oct - 11:30


Les couloirs étaient silencieux, plutôt déserts même. Louanne ne prêtait pas grand attention aux alentours tant elle pensait encore à la petite fête du sous-sol, à tous ses petits événements de la soirée. Elle avait tellement la tête ailleurs qu'elle avait oublié un léger petit mini détail. Et ce détail s'appelait un geôlier. Pourtant pour venir ici, elle n'avait eu aucun mal à déjouer la surveillance mais là... elle était tombée juste sous son nez. Il pointait sa baguette vers elle et confisqua la sienne au passage. D'habitude, elle était excellente pour se défendre ou trouver une solution mais cette unique pensée, celle qui était revenue en plein milieu de la soirée lui avait un peu fait perdre ses moyens et c'est pourquoi elle s'était laissée traîner par l'oreille. Enfin disons qu'elle avait beau essayer de lui faire comprendre que c'était une grossière erreur, il ne semblait pas l'entendre et alla frapper à la porte des cachots. La jeune Mathewsen avait finit par se taire et aperçut bientôt Mélissande juste en face d'elle qui ouvrait la porte. Entendre la bibliothécaire mentir fut un véritable choc mais elle se ressaisit vite pour ne rien en montrer. Après tout autant jouer le jeu. Rien que pour savoir si le geôlier allait la croire. Il n'empêche qu'être comparée à la pire des pestes de Poudlard ne la réjouissait pas trop : il fallait voir la façon dont se comportait cette fille pour comprendre qu'elle n'avait aucune notion d'empathie. Même un serpent ou une mygale était beaucoup plus adorables en comparaison...
Heureusement que la jeune sorcière était d'un tempérament calme parce que la réaction du geôlier était des plus comiques et elle avait envie d'en rire mais bon, la situation n'était pas des plus drôle à l'origine. Mais il fallait avouer qu'il paraissait soudainement très honteux. Il l'avait aussitôt lâchée et elle en profita pour se tourner vers lui et lui lancer un regard terriblement froid.

- Comment avez vous osé me prendre pour un de ces sang de bourbe, de ces impurs !

L'homme était devenu rouge et ne disait plus un traître mot. Louanne se recoiffa, posa les mains sur les hanches. Mon Dieu mais que devait-elle faire maintenant ? Mentir c'était bien mais un de ces quatres, cet homme apprendrait la vérité et là il en cuirait pour elle. Enfin... ce n'était pas le moment de penser à cela. D'un geste impérieux, elle lui fit signe de lui rendre sa baguette.

- J'exige que vous me rendiez ce qui m'appartient à moins que vous ne souhaitiez en endurez les conséquences.

Elle espérait vraiment que ce soit plausible, parce qu'elle n'avait rien d'une jeune fille détestable. C'était même tout l'inverse : Louanne faisait toujours de son mieux pour aider les autres. Cependant, elle avait un bon avantage : cette froideur qu'elle portait sur son visage. Si on ne la connaissait pas bien on pouvait s'y méprendre. Une fois, sa baguette en main, elle hésita. Elle avait une envie qui la démangeait assez de stupéfixer ce pauvre gardien. Parce qu'après tout qu'allait elle faire ensuite ? Si elle restait là c'était suspect mais elle n'allait pas se jeter dans les bras des sangs purs, surtout si elle risquait de croiser la véritable Azur.
Elle venait d'apercevoir Clyde, à côté de Lenny qui lui demandait ce qu'il s'était passé. Discrètement, elle essaya de dire "ce n'est rien, ne t'en fais pas". Elle savait qu'il aurait fait quelque chose si Mélissande n'était pas intervenue.
Louanne espérait donc que parmi les personnes du cachots, tout le monde avait bien compris la situation. Sinon ils risquaient d'avoir des ennuis...









Artemisia E. Visconti

Artemisia E. Visconti
SERDAIGLE. ► sixième année.

► MESSAGES : 49
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Sam 1 Oct - 12:06


    « Il y en a un pas loin, suis moi. »
    « Hm... »

    Une boule au milieu de ventre, comme une mauvaise impression, et l'idée de fuite et de liberté qui se battent dans sa tête. Que faire ? Artemisia a envie de reculer, trouver quelque chose à dire, mais elle ne veut pas laisser croire qu'elle a peur. Élevée par son père, si dur et intransigeant, elle ne montrait jamais ses peurs. Elle n'en a pas l'habitude. Et sa main dans celle de Laël tremble un peu avant de la serrer, elle se sent comme une enfant. Mais elle ne doit pas avoir peur, tout repoussé au loin,et si jamais ça devait mal tourné en bas, il était temps de se ranger avec les nés-moldus, ou d'inventer une histoire en béton. Tellement absorbée par ses pensées, elle ne remarque même pas à quel point les escaliers sont raides et qu'elle manque de se tordre la cheville. Ce passage secret lui foutait une peur monstre, et en silence, Artemisia inspire. Elle entend son coeur qui bat à tout rompre dans sa poitrine, certainement qu'il essaye de s'échapper. Alors que Laël reprend sa main pour l'emmener jusque dans le cachot et y entrer, la Visconti appréhende de plus en plus, comme si l'angoisse la prenait à mesure que ses pas la ramènent vers les nés-moldus et que son compagnon les salut d'un bonjour timide. Heureusement pour elle, dont la gorge affreusement sèche ne l'aidait en rien et l'empêchait de parler, une jeune femme blonde se plante devant eux d'eux et semble plutôt inquiète. Artemisia sent son coeur se briser un peu en reconnaissant la bibliothécaire, et dont le joli visage montre bien que leur place n'est pas ici. Même si le visage de la semi-vélane ne montre rien, elle tire un peu sur le bras de Laël, comme pour lui faire signe de faire demi-tour.

    « Je... j'ai bien peur que ce ne soit pas une très bonne idée. Si l'on vous voit ici les conséquences risquent d'être véritablement désastreuses et... »

    Alors qu'Artemisia allait limite faire demi-tour sur ces paroles, quelqu'un frappe à la porte, prêt à l'arracher. Même si son visage ne semble rien refléter, la peur tient son ventre entre ses griffes et s'amuse à le serrer petit à petit, et ses grands yeux verts se posent sur Mélisande, comme si c'était elle qui allait lui donner la réponse qu'elle attend. Le signe était juste de se faire discret, alors doucement, Artemisia pousse Laël vers l'ombre des cachots pour s'y dissimuler un peu.

    « Pas du tout c'est... une... sang pur et j'ai bien peur que cela ne vous retombe sur le nez si la directrice l'apprend. Vous devriez... relâcher tout de suite... Mademoiselle Azur... »
    « Ma... QUOI?! Mademoiselle Azur? Azur Winches... mille excuses, je vous demande pardon, je ne voulais pas, je vous ai prise pour un de ces ... enfin pour quelqu'un d'autre. Je ... je vous assure que ça ne se reproduira JAMAIS. Je porterai vos affaires jusqu'à la fin de l'année... je... »

    Artemisia ne peut s'empêcher d'avoir un petit sourire sur ses lèvres alors qu'elle écoute la scène, ne préférant pas la regarder au cas où. L'envie d'intervenir lui prend, confirmer qu'il s'agissait d'Azur, prétendre qu'il la cherchait ou n'importe quoi d'autres, mais elle préfère rester dans son coin, toujours dissimulée, à attendre la suite des évènements. Comment allait réagir l'élève ?

    « Comment avez vous osé me prendre pour un de ces sang de bourbe, de ces impurs ! J'exige que vous me rendiez ce qui m'appartient à moins que vous ne souhaitiez en endurez les conséquences. » Et sur ces paroles, la blonde se penche à l'oreille de Laël pour murmurer tout doucement, sa peur lui faisant oublier toutes paroles convenables.
    « Je crois qu'on est dans la merde. »


Lol c'est nul, mais c'pour dire que je suis vivante o/









Danny Brisbow

Danny Brisbow


► MESSAGES : 278
❦ ANIM' : Quand le Chat n'est pas là... - Page 2 #Mar 25 Oct - 21:24




    De toute évidence, Kassy avait trouvé autre chose à faire que d'exécuter le plan qu'elle même et Danny avaient mis tant de temps à préparer. Ne savait-elle donc pas ce qu'elle voulait ? Avait-elle déjà oublié cette fois où, en larmes, elle avait avoué son désarroi à Danny ? Et lorsque ce dernier lui avait promis de l'aider ? Du vent... Apparemment. Elle était passée à autre chose, à cette fête dont on s'était bien gardé de l'inviter, et elle même n'avait de toute évidence pas semblé bon de le prévenir que l'amour qu'elle prétendait avoir pour Alek était aussi bidon que leur petit plan. Et dire qu'il avait prit le risque de se rendre jusqu'à la volière pour rien...

    Il lui en voulait, à elle, à eux. Frustré, surpris. De nombreux scénarios lui passèrent par la tête avant qu'il ne découvre face à lui la silhouette de Mélisande. Toujours à traîner avec ces sang de bourbe, pensa-t'il. La directrice serait sans doute contente d'apprendre qu'elle incitait ces derniers à faire la fête dans leur coin. Mais outre le regard qu'ils échangèrent, il ne se passa rien, et Danny s'écarta rapidement du pas de la porte lorsque nombre d'arrivants débarquèrent derrière lui... Dont était le professeur Van Hellsing.

    Quelques cris et insultes fusèrent devant le jeune homme interloqué tandis que toute la salle était soudain devenue plus silencieuse. Tout ceci n'annonçait rien de bon, rien du tout, et Danny se demandait finalement s'il avait bien fait de venir ici. Quoiqu'en cas de pépin il pourrait toujours prétendre être en mission... Encore faudrait-il qu'il parvienne à articuler quelques mots avant de se faire stupéfixer, ou pire encore.

    « Pas du tout c'est... une... sang pur et j'ai bien peur que cela ne vous retombe sur le nez si la directrice l'apprend. Vous devriez... relâcher tout de suite... Mademoiselle Azur... »

    Quoi ! Danny s'empêcha in-extremis de laisser paraître sa surprise. Mélisande venait de mentir... Sous ses yeux. Couvrant une sang-mêlée et du même coup trompant son propriétaire...

    Et Danny, détournant un instant le regard vers Artemisia Visconti, vit apparaître sur les lèvres de cette dernière un petit sourire qui ne présageait rien de bon.











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