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| vacances forcées (libre) (post-anim) | |
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InvitéInvité
Sam 6 Mar - 22:25 |
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| Elle ouvrit les yeux avec cette détestable impression que la lumière trop blanc les lui perçaient avec ses aiguilles vicelardes. C'était bon. Ca suffisait. Elle avait son compte. Elle ne voulait plus ouvrir les yeux elle avait compris. Sainte-Mangouste. Du moins c'était ce qui lui semblait le plus logique compte tenu des quelques évènements disparates qui lui revenaient en mémoire. D'abord le thé avec Rufus Scylence, un homme charmant. D'ailleurs à ce propos quand elle aurait Monsieur le Ministre sous la main elle lui ferait savoir que finir dans un lit d'hôpital ce n'était pas ce qu'elle avait entendu quand elle lui avait dit qu'elle ne voyait pas l'intérêt de commencer quelque chose si ce n'était pas pour s'y investir à fond. Est-ce que ça avait vraiment été sa dernière conversation avec Ezio ça? Elle n'en était même plus tout à fait sûre. Les choses étaient plongées dans un espèce de brouillard et tout ce dont elle se souvenait c'était d'avoir entendu un des professeurs hurler à l'intrus et puis ensuite le chaos.
Dr Reed - Vous êtes réveillée? C'est excellent. Talia - Mmmh?
Voilà qui allait l'obliger à ouvrir les yeux plus tôt que prévu. Il tira légèrement le rideau, bien conscient que la lumière la gênait. C'était toujours dans ce genre de moment qu'elle se félicitait d'avoir assez de sang de vélane dans les veines pour attendrir le plus froid des médecins qui se donnait sans aucun doute trop d'importance. Cela dit ça n'empêchait pas le médicomage d'avoir les mains glacées.
Dr Reed - Asseyez vous un peu nous allons voir ça... oui...oui, vos pupilles sont très réactives c'est excellent.', puis comme il voyait que Talia regardait sous sa chemise de patiente qu'est-ce qui pouvait la corseter à ce point sachant que les corsets 18e ne faisaient pas partie de ce qu'elle avait habituellement dans sa lingerie,' on vous a retirer un éclat de bois de dix huit centimètre qui était venu se loger entre la 8e et la 9e asternales ... vos côtes.', très drôle. Elle détestait son air suffisant. Okay elle n'avait pas fait médecine mais ce n'était pas en lui sortant du jargon incompréhensible qu'il allait l'impressionner et d'ailleurs ça ne lui disait pas plus ce qu'elle avait... enfin le diagnostique est bon vous êtes une sacrée veinarde. Le pieu c'est logé juste entre vos organes sans les toucher. Plus de peur que de mal. Talia - Donc je peux sortir? Dr Reed - Nous préférons vous garder encore une nuit en observation, si ça ne vous fait rien.
Puis il sortit de la chambre. C'était dingue ça, à peine réveillée qu'il l'avait déjà mise en colère. Et en plus elle avait mal maintenant. Mais il y avait encore pire! Elle devait avoir une mine affreuse si elle avait à ce point morflé à Poudlard. Elle allait essayer de se lever quand la porte de sa chambre s'ouvrit une première fois. | |
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Andrew M. DangeloSORCIER.
► MESSAGES : 104 Dim 7 Mar - 1:29 |
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| Des cris montèrent jusqu’aux oreilles de Andrew. Il descendait les marches lorsqu’il entendit ses cris qui montèrent jusqu’à ses oreilles. Andrew avait quitté la tour d’astronomie en hâte. Il avait terriblement peur. Magda était sûrement à quelques parts et le bruit d’enfer que ça faisait en bas. Le poufsouffle avait laissé ses livres et avait pris ses jambes à son tour pour intercepter le plus de monde qu’il le pouvait pour connaître la situation. Qu’est-ce qui se passait? Plus qu’il descendait, plus qu’il entendait les cris. Ses horribles cris… Il avait l’impression que plus bas les gens se faisaient tuer, mais il ne pouvait penser à ce genre de scénarios. C’était impossible, Poudlard était un édifice des plus sécurisés. Il ne pouvait croire cela. C’était tout simplement impossible. Totalement impossible. Andrew descendait les marches à quatre à quatre. Il croisa un groupe d’élève ensanglanté. Il tomba sur des élèves morts. Le cœur d’Andrew s’arrêta net. Tout ça n’était pas logique ou encore normal. Le jeune homme avait plutôt peur que quelqu’un dont il adorait soit blessé ou quoique ce soit. Le jeune homme arriva à la moitié du chemin qui vit la belle stagiaire dont il espérait voir depuis déjà quelques temps qui se tenait tout près de lui. Un sort fût lancé et une poutre lâcha venant se fracasse sur le sol. Un morceau avec une rapidité surprenant traversa la jeune femme. Andrew lâcha un cri grave. Elle était couverte de sang. Le sang coulait. Le jeune homme entendait des gens montés. Vite, il devait se cacher avec elle le plus vite possible et trouvé une personne au plut vite pour ne pas qu’elle meurt. Elle ne devait pas mourir. Son cœur battait rapidement lorsqu’il la souleva. Elle était si légère. Le sang coulait sur ses mains essayant de penser à des moments heureux. Il se planqua dans un coin loin de tous. Il respirait à peine surveillant et essayant de faire arrêter l’hémorragie le plus rapidement. Elle ne devait pas mourir, sinon la vie aurait été injuste pour lui. Totalement injuste. Il voulait la connaître. Andrew ressentait des choses pour cette femme totalement inconnue. Il caressait ses cheveux par instant, comme pour la rassurer, mais il se rassurait. Il surveillait son pouls. On le trouva enfin en compagnie de Talia qu’on devait hospitaliser le plus tôt que possible.
Andrew avait pris des nouvelles de la jeune femme en arrivant à l’hôpital. Il n’avait rien eu pendant cette guerre à poudlard. Il avait été tâché de sang par celle pour qui son cœur battait dans le silence le plus absolu, car il n’avait pas le droit d’aimer une femme aussi belle et aussi désirable. Il n’était pas de la même classe qu’elle. Il n’était pas à sa hauteur. Elle était trop différente, bien trop différente de lui. Elle devait avoir du succès avec les hommes, même avoir un compagnon de vie depuis bien longtemps. Personne ne pouvait être indifférent à son charme. Andrew avait pris la route pour Londres pour lui rendre visite. Il avait passé chez un fleuriste prendre des fleurs et une bonbonneries où il acheta une boîte de chocolat avant de se diriger vers l’hôpital St-Mangouste Il demanda à l’accueil où était situé Talia. Ah merde, il ne se souvenait plus du nom de la jeune femme, mais la gentille réceptionniste finit sa phrase par le nom de la jeune femme. Il le mémorisa pour une prochaine fois, s’il en avait besoin. Peut-être qu’elle lui avait répondu par son beau sourire ? Ça l’étonnerait. Peut-être, elle était vraiment connue et il n’aurait jamais de chance avec cette femme merveilleuse et si belle. Andrew avait la boîte de chocolat dans une main et l’autre l’énorme bouquet de fleur hors de prix. Il arriva devant la chambre. Il croisa un médecin qui sortit d’un coup de la chambre. Andrew toqua à la porte et rentra tout de suite après. Il poussa la porte tout doucement et lui sourit en croisant son regard.
« Bonjour. Tu vas mieux ? » il s’approcha du lit. « J’ai pensé à t’apporter des fleurs et du chocolat.» Il lui tendit les fleurs et la boîte de chocolat. Il prit une chaise qui était contre le mur et s’assit sur cette dernière. « tu m’as fait une sale peur. Tu sais ? Quand la poutre est tombée…Je ne savais pas quoi faire. Parfois, Talia, tu me regardais… je ne sais pas si tu avais confiance de tout ça… Je… je ne sais pas quoi te dire. Je suis désolé…» | |
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InvitéInvité
Dim 7 Mar - 11:40 |
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| . JAVIER, TEYO ALMADOVAR. Le jeune Almadovar s'était rendu en Angleterre lorsque les autorités britannique avaient contacté son père pour leur annoncer la nouvelle. Lola n'avait pas pu l'accompagner à son plus grand damn pour des raisons politiques. Cette dernière avait encore réussi à mettre sa vie en danger en pestant sur je-ne-sais-quel-grande-entreprise. Elle avait fait sa grande écolo, et de ce fait, il y avait une paire de tueurs qui voulaient sûrement sa tête pour la ramener à ses commanditaires. Miguel était donc, avec des hommes à lui, entrain de tirer l'affaire au clair, et pourquoi pas, réduire la population mexicaine de quelques individus non-regrettable. Maria était enceinte jusqu'aux yeux et l'on ne savait pas quand est-ce qu'elle allait accouchée. Cela pouvait être aujourd'hui, comme demain, ou dans la semaine. Enfin. Tout ça pour vous expliquez que Javier avait été le seul à pouvoir se déplacer. Et d'ailleurs, il serait même venu dans le cas où il n'avait pas pu se déplacer. Il aimait sa soeur plus que tout au monde, et même si cela ne faisait que quelques mois qu'il l'avait revu, il ne pouvait s'empêcher de se sentir obliger de venir l'aider, de la surveiller, de voir si tout aillait bien pour elle. Venir à son appart', passer manger un bout avec elle pendant sa pose au boulot, etc. Il ne s'y forçait même pas. Il en ressentait ce besoin. Sa soeur, c'était sa soeur. Comme il avait réagit avec Lola, ou l'un de ses cousins/cousines.
Ste. Mangouste. Il observa la bâtisse du côté moldu avec un regard dégouté. Les anglais sont vraiment étrange. Ils avaient de ses manières de camoufler les choses... Autant pour le chaudron baveur c'était une technique que Javier appréciait, autant celle-là... Il observa le mannequin dans la vitrine, puis il finit par entrer dans l'hôpital. La première chose qu'il trouvait à redire, avant même de voir la longue file d'attante aux urgences, ou les gens en blouses qui trimballaient des gens sur de longs lits, ce fut de critiquer mentalement cette putain d'odeur qu'il détestait par-dessus tout. Il avait le visage du gars que si tu lui dis non ou que tu lui parles mal, il t'en retourne une avant même que t'es eut le temps de dire quoique ce soit. Javier s'avança donc dans l'hôpital prenant les escaliers pour monter directement à l'étage où sa soeur logeait.
Trouvant sa chambre, il entra sans taper. Son regard se posa sur l'espèce de grand benêt qui tenait des fleurs et des chocolats, puis sur sa soeur qui semblait plus ou moins remis de ce qu'elle avait eut. Javier eut un léger sourire pour sa soeur, avant de finalement, s'approcher vers elle, le regard aussi dur que le métal le plus sombre et le plus incassable. Il se posa auprès d'elle, puis, il l'a prit contre elle sans adresser ne serait-ce qu'un regard vers le jeune homme. Il eut un léger sourire avant de lui dire :
- Estoy contento de ver que te vas bien...
Et il ajouta :
- ¿ Quién es este idiota sombrío ? ¿ Quieres que yo le arranque la cabeza ?
Il a un regard chaud, et violent. C'est un vélane, mais surtout, un homme qui protège une femme de sa famille.ps : Traduction fournie par PROMT http://www.promt.fr bah quoi ? si c'est faux, au moins, c'est pas ma faute ! (a) | |
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Dim 7 Mar - 13:43 |
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| William – « Il a fait quoi ??? » Candice – « Bin il vient de partir à St Mangouste emmener des fleurs et des chocolats à la fille qu'il a sauvé et dont il n’arrête pas de te parler. Pourquoi c’est pas bien ? » William – « Oh putain… »
Lorsque William avait dit à la jeune Pouffsouffle qu’il se chargerait d’Andrew il n’avait pas imaginé qu’il y prendrait goût. Pas que jouer les baby sister et tenter d’apprendre au jeune homme les bases pour faire battre le cœur de celle pour qui le sien battait était son passe temps favoris, mais le jeune Slayers prenait ça comme un défis à relever et il avait tous sauf envie d’échouer. Au début il avait accepté sans grand conviction mais à présent il avait vraiment le désir de faire d’Andrew un homme digne de ce nom et tuer pour toujours ce gentil garçon bien trop gentil qui se fesait toujours marcher sur les pieds et qu’il était aujourd’hui.
Mais à croire qu’il ne pouvait pas laisser le jeune Dangelo seul plus d’une heure sans qu’il ne fasse de bêtise… Avec de la chance il n’était pas encore trop tard alors sans attendre William se rendit à Londres, sachant d’avance que son absence l’empêcherait de faire les nombreux devoirs qu’il avait déjà accumulé mais peu l’importer.
Arrivait à St Mangouste il se dirigea vers la réception avec une certaine impatience qui manifester bien un certain agacement. Andrew n’aurait pas pût lui demander avant d’agir ?!? Non bien sûr que non !!! Avec ses fleurs et ses chocolats il allait faire le même effet qu’un pauvre inconnu qui vous offre une carte de St Valentin. En bref vous ne vous y attendez pas, ça vous plaisir mais vous savez pas trop quoi en faire. Eh bien là c’était pareil ! Avec autant de geste d’affection autant lui dire cash je t’aime et là c’était la fin assuré. Heureusement que William était là et c’était déplacé exprès pour l’empêcher de faire la plus grosse erreur de sa vie !
Will – « Vous avez pas vu un crétin passait avec des fleurs et des chocolats ? »
La réceptionniste lui indiqua la direction tandis qu’il roulait des yeux au ciel, n’en revenant toujours pas de ce qu’Andrew allait faire. Des fleurs et des chocolats ! Non mais sérieux quoi ! Il avait vraiment beaucoup à apprendre celui là, pour passer du mec « gentil » avec qui on veut être ami au mec viril et sexy qu’on mettrait bien dans son lit. William aperçut alors Andrew de loin mais… trop tard il était entré. Et Merde ! Le jeune Slayers s’apprêtait à faire demi tour pour rejoindre Poudlard au plus vite quand il croisa un homme aux allures des plus ch arismatiques qui attira son regard. L’homme semblait étranger et des plus sûr de lui. William admira secrètement le style sans rien dire et se retourna même sur son passage alors que lui ne l’avait même pas remarqué. Le visage de rouge et or se décomposa alors quand il vu l’inconnu entrait exactement dans la même chambre qu’Andrew. Oh mon dieu ! Elle avait un copain et ce dernier allait le démolir ! Etant donné la carrure des deux hommes, autant dire qu’il n’y avait pas de suspense quand au vainqueur. Non il ne pouvait pas laisser Andrew dans cette merde… Sans réfléchir il se dirigea alors vers la chambre et entra. Les regards se tournèrent vers lui.
William – « Oh oh j’crois que j’me suis trompé de porte » mentit-il en jouant les innocents, grimaçant en signe d’excuse . Son regard se tourna alors vers son camarade de classe. « Andrew ?!? Mais qu’est-ce que tu fais là ? » Lui demanda-t-il sur un ton qui se voulait surpris.
Voilà son entrée était faite, manquer plus qu’a limiter les dégâts….
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Magdaleyna C. Dangelo
► MESSAGES : 30 Dim 7 Mar - 17:52 |
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| « […]Les troubles fêtes. Ceux qui arrivent juste pour tout mettre en l’air. Des gens pas fréquentables car pas sympathiques, qui vous donnent l’impression d’avoir raison, parce qu’ils vous blessent au plus profond de vous. Je n’ai jamais eu affaire à des gens comme ça, et je ne sais pas comment je réagirais dans ce cas. Je prendrais sur moi, sûrement, comme d’habitude. Je ne vais pas dans les fêtes, ça ne sert à rien. Les gens y vont pour libérer ce qui leur colle à leur peau, qui les empêche de vivre normalement. C’est ce même sentiment de glue qui les poussent à aller vers la drogue ; drogue qu’on trouve dans lesdites fêtes. L’autre jour une fille de ma classe m’a demandé si ça m’intéressait de venir à l’une d’elles. J’ai dit non, je n’ai pas cherché à me trouver d’excuses. Cette fille est gentille et un peu faux-cul, je sais très bien que c’est par pure politesse qu’elle m’a invitée. Non seulement l’idée ne m’enchantais pas, mais en plus je doutais que mes parents auraient apprécié d’entendre quelque rumeurs a ce sujet. Peu importe. Je suis actuellement dans le hall, entre deux cours. Ou plutôt, entre une heure de cours et une heure de libre. Les professeurs me sourient, et c’est un peu inquiétant parfois, comme s’ils trouvaient tous que je progressais. Etais-je à ce point médiocre avant que mon cousin me ramène à la dure réalité avec ces fichus mots. Trouble fête ? Non. Pas lui. Il ne faisait jamais de mal. Il en était incapable, pas envers des gens. Et pourtant je souffre et je ne peux pas le montrer. Parce que c’est comme ça, je ne pas lui pourrir la vie en étant son boulet et en le retenant au lieu de l’encourager. Je dois penser à autre chose, et j’y parviens. Les gens ont un regard différent sur moi. On dit que je mûris. Je crois que j’aurais préféré ne pas grandir, parce que » Le jeune Serdaigle avait refermé son journal sans avoir finit sa phrase, et pourtant ceux qui la côtoyaient – car connaître est bien trop grand mot – savaient que c’était un exploit, et que ça devait être la première fois de son existence. Quand Magdaleyna s’enfermait dans son journal, rien ni personne ne pouvait transpercer la bulle de solitude et de quiétude qui l’entourait. Et pourtant, de son plein gré, elle avait relevé la tête. Les autres faisaient trop de bruit. Troubles fêtes. Le massacre qui s’offrit a ses yeux lorsqu’elle daigna reprendre conscience du monde qui s’agitait la déstabilisa, et elle resta bien une minute à contempler le chahut teinté de sang qui se déroulait devant ses yeux. Ensuite, elle sut qu’elle devait réagir. Agir. Oui, mais comment ? La seule chose qui lui vint à l’esprit fut de crisper ses doigts sur son journal, l’une des deux choses les plus précieuses qu’elle avait au monde et de se mettre debout. Avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, la deuxième chose la plus précieuse pour elle fit son entrée, l’air désemparé. Abasourdie, elle vit son cousin, rongé par l’inquiétude et l’appréhension, soulever une jeune femme – car il s’agissait d’une femme, pas d’une élève – et l’emporter vers l’infirmerie. La cloche sonna, signe que tout le monde devait être en cours, mais personne ne l’entendit. Même pas Clara, l’élève sérieuse et exemplaire, qui resta figée dans un coin sombre du hall, prenant peu à peu conscience de ce qui venait de se dérouler. Elle resta debout une vingtaine de minutes, jusqu'à ce que le hall se vide et que tout le monde soit prié de partir afin que le concierge puisse nettoyer. Contrairement à ce qu’elle avait planifié, elle n’alla pas à la bibliothèque, mais à l’infirmerie. Pas de trace de son cousin, ni de la belle inconnue qu’il avait embarquée. « Mademoiselle Dangelo. » La voix avait surgi, toute proche, de derrière elle. Contrairement aux autres qui auraient sursauté, elle se tourna simplement vers l’auteur de ces paroles, et tomba face à l’infirmier. « vous semblez en état de choc, avez-vous subi vous aussi des…dégâts ? » Magda ne fit pas attention à ces paroles. « Où est mon cousin ? » L’infirmier tiqua, faute de ne pas avoir obtenu de réponse à sa question. Quand il évoque Sainte Mangouste, un gros nœud se forma dans le ventre de la jeune fille. Contrairement à ses principes, elle partit rapidement, sans même dire au revoir, ou merci.
J’aurais pas du y aller. Cette phrase, elle se l’était répété des dizaines de fois, pourtant elle continuait d’avancer vers cette sinistre bâtisse blanche, ou tous les jours des gens naissaient et mouraient. Arrivée à l’entrée, elle ne sut plus quoi faire. Elle ne connaissait pas le nom de l’inconnue d’Andrew, et si elle citait le nom de cousin elle ne trouverait sans doute rien. Elle allait commencer à s’aventurer dans les couloirs au hasard quand une vois familière résonna a ses oreilles. En jetant un regard derrière elle, elle reconnut William, un ami d’Andrew, qui demandait si quelqu’un n’avait pas vu un crétin passer avec des fleurs et des chocolats. Des fleurs ? Et des chocolats ? Andrew n’avait jamais été radin, mais son attitude étonnait sa cousine, qui ne put éviter de ressentir une pointe de jalousie lui tordre le ventre. Elle se dissimula suffisamment pour que William ne la voie pas, puis elle lui emboita le pas. Il la conduisit jusqu'à la chambre ou, en effet, Andrew était présent avec des fleurs et du chocolat. Mais il n’était pas seul. Il y avait également un homme, qui parlait…espagnol, sûrement ; en tous cas ça ne ressemblait ni à du français, ni à de l’italien. Et puis, la fameuse femme, l’inconnue qu’Andrew regardait d’une façon qui ne plaisait pas du tout à Clara. Elle s’obstint néanmoins de tout commentaire et même de toute présence, restant dans l’encadrure de la porte à observer la scène, un peu inquiète de ce que tout cela pouvait signifier.
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InvitéInvité
Dim 7 Mar - 18:50 |
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Lorsque Nouchka, fraîchement revenu des Balkans, avait appris par Rose, l’une des stagiaires au bureau de Aurors, que Talia Almadovar était à l’hôpital, il avait filé à Sainte-Mangouste sans demander son reste, plantant une Rose qui aurait bien voulu un peu plus de considération de la part du séduisant Auror qu’elle s’évertuait à essayer d’intéresser. Mais c’était peine perdue ; il n’avait d’yeux que pour une belle Mexicaine, avec qui pourtant les rapports n’avaient jamais été au beau fixe. Il fallait dire que les deux caractères plutôt antithétiques de Talia et Nouchka rendaient leur entente des plus compliquées. De plus, cela n’allait certainement pas s’arranger. Nouchka, fidèle à lui-même, avait filé à l’anglaise il y a trois mois pour disparaître comme il savait si bien le faire, sans rien dire à personne et encore moins à la femme qui lui plaisait depuis des lustres. Grossière et fatale erreur. La raison de cette fuite, qui n’en était pas vraiment une, était en fait une mission mandatée par le Ministère qui exigeait la plus haute confidentialité. Nouchka, à contrecoeur, avait dû obéir à sa hiérarchie et quitter le pays le plus vite possible. Et maintenant qu’il était revenu … Il retrouvait son pays dans le même état qu’il l’avait laissé, en pire. La Gazette parlait de fin du monde. Nouchka voulait bien y croire.
Le jeune Russe entra en trombe dans le Hall de Sainte-Mangouste ; il alla s’adresser à l’accueil pour savoir où était la chambre de Talia. « Beaucoup d’hommes viennent la voir. Elle a bien de la chance … » Pour Nouchka, ce fut fortement désagréable, mais à quoi s’attendait-il ? Talia n’était pas une princesse enfermée dans sa tour. Le jeune homme prit l’ascenseur et s’engagea dans le couloir indiqué. Il allait bientôt arriver à la chambre de Talia, lorsqu’il vit que la porte de celle-ci était largement entrouverte. Il stoppa un peu avant, jeta un rapide coup d’œil sans se montrer et analysa la scène : trois hommes et une femme. L’un des hommes, un latino, ressemblait fortement à Talia ; son frère, ou un homme de sa famille. Les deux autres semblaient être des adolescents, mais l’un d’eux avait apporté des fleurs et du chocolat. Etrange. Et encore plus désagréable. Il y a une jeune femme aussi, que Nouchka n’avait jamais vu.
Il décida de ne pas entrer pour l’instant. Il y avait trop de monde. Il aurait tant voulu lui parler seul à seul, lui expliquer … Il doutait qu’elle veuille bien l’entendre, mais rester sur un malentendu … Nouchka n’appréciait pas l’idée. Puis de là où il était, il pouvait entendre ce qui se disait dans la pièce sans être vu. Ce devait être son côté Auror qui reprenait le dessus, ce côté fouineur qui agaçait tant sa hiérarchie qui aurait bien voulu que Nouchka Vanna Syl se tienne un tant soi peu tranquille. Mais passons. S’adossant sur le mur, croisant les bras, Nouchka prit son mal en patience, et décida d’attendre que la pièce se vide pour pouvoir parler à la jeune femme. Il ignorait que ce serait plus difficile que prévu.
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Dim 7 Mar - 20:10 |
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| Maïka avait entendu que Talia était hospitalisée à St-Mangouste, parce qu’elle se trouvait à Poudlard lorsque la bande de son mari, les loups-garous et les vampires sont venus attaquer la belle et grand école. Maïka avait participé à cette attaque. Pourtant, personne ne l’avait reconnu. Elle avait changé d’apparence que pour cette soirée pour garder son identité secrète. C’était les risques à prendre pour avoir une vie bien tranquille en pleins milieux de l’Arizona et quand on était la femme d’Edward Clash. Elle sortait que pour se balader au bras de son mari ou encore pour faire du tort à tous ceux qui étaient pointés par Edward. Elle n’avait jamais le droit au raison de ses meurtres. Il lui disait que c’était que pour le plaisir de le faire. Elle ne savait jamais rien, car il ne lui disait pratiquement rien. Ce qu’elle savait par contre, c’était qu’elle avait aperçu Talia descendre les marches de Poudlard, pourtant elle n’avait pas visé dans sa direction pour ne pas qu’elle soit blessé ou touché. La jeune femme se trouvait au mauvais endroit et au mauvais moment. Maïka avait très peu d’ami et elle n’aurait jamais fait de mal à Talia, car elle ne pourrait se le pardonner. Alors pourquoi faisait-elle du mal aux gens qui l’entouraient ? Pourquoi cette double vie ? Parce qu’elle était sur le point de devenir folle à force d’endurer son mari parfois trop dominateur. Elle ne pouvait jamais rien faire sans lui demander et sans qu’il ne sache. Elle savait que sa vie tenait que par lui, il pouvait décider du jour au lendemain que c’était fini d’elle et pour de bon. L’hawaïenne avait déjà subi bien des coups pour rester auprès de celui qu’elle aimait malgré tout ce qu’il pouvait lui faire. Elle n’avait jamais le droit à un moment de tendresse. Ça l’énervait. Elle devait faire ce qu’il demandait pour voir le soleil à nouveau se lever et revoir les visages de ses nombreux enfants. Si vous saviez à quel point Edward contrôlait la vie de ceux qui formaient sa famille. C’était totalement déroutant. Complètement. Edward savait tout. Il contrôlait même les moments où elle serait enceinte… Ce n’était pas pour rien qu’elle avait treize enfants. Talia était une amie qu’elle voulait garder. Elle ne voulait pas la perdre, même si cette dernière risquait de contrarier un jour Edward. Talia ne portait pas dans son cœur le mari de Maïka…
La métisse partit donc en compagnie d’une de ses petites. Bien sur, c’était Roselanie qui adorait plus que tout Talia. Quand elle avait entendu parler sa mère de son projet de rendre visite à Talia, Roselanie n’avait pu retenir un petit cri. Elle ne savait pas que son idole, Talia, était à l’hôpital. Maïka avait accepté que Roselanie l’accompagne puisqu’elle n’aurait pu la contenir plus longtemps. Elle n’était incapable de comprendre comment sa propre fille fonctionnait par moment. Elle n’était pas comme les autres, elle le savait. Elle avait un mélange entre le caractère dominateur de son père et son comportement, lorsque Maïka n’avait pas un Edward qui lui disait qu’elle allait mourir à un pas de travers. Maïka n’était pas la même avant. Auparavant, elle disait tout ce qui lui passait par la tête, elle n’était pas très polie, elle était aussi une manipulatrice qui disait régulièrement des choses blessantes ne se souciant pas de ce que les autres individus pouvaient ressentir. On s’y faisait à force, mais Roselanie avait un de ses sales caractères. Maïka avait bien peur qu’Edward perd la tête voulant faire du mal à sa propre fille, mais elle ne pouvait croire qu’il se rendrait jusqu’à là. Contrairement à comment il se comportait avec sa femme, il était un excellent père. Il était peu présent, mais elle savait qu’il « travaillait ». Maïka avait jeté un regard interrogateur sur Roselanie qui avait emmené un sac avec elle. Elle se tapa le front, lorsqu’elle se rendit compte que sa fille avait fait des dessins à Talia. Roselanie n’arrêtait jamais de dessiner pour tous les gens qu’elle aimait. Au manoir Clash, il y avait des murs tapissés de dessins de Roselanie. Maïka et Edward collectionnaient toutes les feuilles de papier que cette dernière donnait à ses parents. Maïka n’avait pas le temps de lui interdire et elle n’avait surtout pas envie d’endurer une crise de la part de Roselanie. Puis, elles étaient déjà arrivées à Londres devant St-Mangouste. Maïka passa par la réceptionniste qui le pointa la direction et l’étage où se trouvait son amie. Maïka fronça les sourcils. La réceptionniste devait être habituée de répondre aux gens qui voulaient visiter Talia. Maïka prit Roselanie par la main et l’emmena avec elle voir Talia. Cependant, la chambre semblait plus que remplie. La métisse vit un homme en dehors de la pièce. L’hawaïenne tenta de voir à l’intérieur et elle regarda l’homme.
« Tous ses gens, c’est pour voir Talia ? » Roselanie se détacha et partit en courant dans la chambre. « Roseeee » Réussit-elle à dire pour essayer d’arrêter sa fille. Mais il n’avait rien à fait. Roselanie avait son petit chemin jusqu’au lit de Talia en jouant des coudes. Elle s’arrêta jusqu’au lit où elle fixait l’amie de sa mère avait un gros sourire. | |
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InvitéInvité
Lun 8 Mar - 17:20 |
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| Elle avait à peine eu le temps de voir disparaître l'agaçant médecin que l'on frappa trois petits coups très polis, très correctes à la porte de sa chambre. Elle se demanda qui c'était car bien souvent, dans les chambre d'hôpital les gens entrez comme ça sans vraiment se poser la question. Aussi releva-t-elle la tête l'air intriguée pour voir un petit sourire très bien élevé la saluer. Le sourire emmenait avec lui un joli bouquet de fleur, du chocolat, et un jeune homme dont elle se rappelait pour avoir pris un café au ministère. Un instant il lui sembla qu'elle oubliait quelque chose, un détail...
Andrew - « Bonjour. Tu vas mieux ? » Talia - Je n'ai rien vu passer je me réveille à peine.', avoua-t-elle toujours si avenante.
Elle n'avait véritablement rien vu passer, et la douleur était déjà oubliée. Elle ne venait se rappeler à elle que quand elle essayait de bouger un peu trop mais pour l'instant...
Andrew - « J’ai pensé à t’apporter des fleurs et du chocolat.» ', elle fronça les sourcils, oh rien de bien méchant, on s'en serait à peine rendue compte, puis un sourire amusé naquit sur ses lèvres. Allait-il encore lui parler de dîner aux chandelles? Elle le sentait un pue venir mais ne dit rien, ne voulant pas encore le mettre mal à l'aise. Peut-être exagérait-elle aussi, et il n'oserait pas réitérer sa tentative... Elle le remercia, soulignant que l'attention été très gentille,' « tu m’as fait une sale peur. Tu sais ? Quand la poutre est tombée…Je ne savais pas quoi faire. Parfois, Talia, tu me regardais… je ne sais pas si tu avais confiance de tout ça… Je… je ne sais pas quoi te dire. Je suis désolé…»
Elle éclata de rire, doucement, mais il fallut s'arrêter très vite parce que c'était assez douloureux. Elle en aurait presque oublié qu'elle n'était pas en vacances mais en convalescence. Il lui revenait en tête quelques autres détails comme il lançait le sujet:
Talia - Je pense que c'est plutôt à moi de m'excuser, j'ai été assez exécrable avec toi si je me souviens bien.', elle se rappelait vaguement lui avoir dit de s'occuper de ses affaires ou encore qu'elle pouvait se débrouiller seule puis ensuite le noir totale,' J'ai plutôt mauvais caractère dans ce genre de ...
Mais elle ne put terminer sa phrase, la porte s'ouvrait à nouveau et un sourire radieux se peint sur le visage de la jolie mexicaine.
Talia - Javier!', lui n'avait pas tapé à la porte mais elle n'avait pas l'air de s'en alarmer. Au contraire elle le serra dans ses bras alors qu'il lui disait en guise de bonjour... Javier - Estoy contento de ver que te vas bien...
Elle répondit d'un mmh ronronnant visiblement heureuse et épanouie. Son frère tenait une place dans son coeur que personne n'était prêt de lui voler. A les regarder tous les deux, on voyait à quel point il se ressemblaient physiquement bien que Javier était une force de la nature alors que Talia était une brindille dans ses bras. Mais sa présence la rendait tout de suite différente de la Talia que l'on pouvait voir au ministère. Elle faisait facilement oublier le bourreau de travail qu'elle pouvait être alors.
Javier - ¿ Quién es este idiota sombrío ? ¿ Quieres que yo le arranque la cabeza ? Talia - iJavier!', se moqua-t-elle avec un petit ton reproche, il exagérait,' Te presento a Andrew, mi salvador en cierto modo. Je te présent mon frère Javier. Il n'est pas très à son aise en anglais.', expliqua-t-elle pour qu'il ne se sente pas exclu de la conversation. Elle savait que ça n'était pas toujours agréable de... William – « Oh oh j’crois que j’me suis trompé de porte » ', Talia fronça les sourcils de plus bel, un drôle de petit rictus lui passa sur le visage. Que venait-il faire ici celui là? « Andrew ?!? Mais qu’est-ce que tu fais là ? »
Étrange coïncidence.
Talia - C'est un de tes amis?', demanda-t-elle à Andrew assez perplexe. Tout cela ne lui laissait même pas l'occasion de le remercier comme il se devait. Elle allait peut-être attendre de se retrouver avec seulement son frère et le jeune homme dans sa chambre.
Visiblement le nouvel arrivant avait amenée avec lui sa petite amie, une fille très jolie d'ailleurs avec des yeux magnifiques mais qui avait l'air terriblement timide, ou alors... enfin Talia ne savait pas trop. Elle lui fit un sourire poli comprenant qu'elle n'avait pas la moindre intention d'entrer. Mais visiblement ce n'était pas tout. Bientôt la petite chambre allée se retrouver bondée, elle ça ne la dérangeait pas le moins du monde. Elle s'ennuierait lorsqu'elle se retrouverait seule et les médecins ne laisseraient sans aucun doute pas son frère dormir avec elle quoique... Javier avait l'art et la manière de se montrer persuasif.
Che - Ma che stai?! Un GUARDONE!!! Ma jé lé crois pas oun voyeur à ta porte! Basta allez zou! Paparazzi! Zzzzzzzzz! Pschhhhht! andatevene! Du balais! Talia - Même Che?
S'étonna Talia alors que le responsable de tout ce vacarme était toujours derrière la porte, invisible, mais elle savait bien que le petit quarantenaire italien était bien assez nerveux pour avoir trouver quelqu'un sur qui s'exiter là dehors, et qui n'avait probablement rien fait.
Talia - Vous êtes tous venu chercher Andrew? J'espère qu'il n'y a rien de grave.', reprit-elle à l'intention du petit couple qui était entrée en dernier.
C'est alors qu'un petit bout de gamine adorable accourut vers le lit.
Talia - Ooh Rosie. Viens là me faire un bisous.
Elle ne pouvait pas la porter dans ses bras mais elle lui fit une petite place près d'elle. Tandis que dehors Che répondait à une nouvelle visiteuse qui le détournait un instant de son paparazzi voyeur:
Che - Ma! Est -ce qué jé l'air dé la réceptionniste moi?! | |
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InvitéInvité
Lun 8 Mar - 22:26 |
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| Javier eut un léger sourire lorsque Talia lui répondit. Cependant, lorsqu'il reposa sa soeur délicatement dans son lit, lui bordant délicatement les draps, il se redressa en direction d'Andrew avec un regard assez malsain, voir violent. Que voulait-il, lui... Avec ses chocolats et ses fleurs ? Hein ? Javier était entrain de se demander de quel manière il allait se charger de cet énergumène lorsqu'un autre cas social entra dans la pièce. J'ai l'honneur de vous présentez... William Slayers. Javier posa son regard blasé sur ce dernier, puis sur Andrew. Deux hommes dans la chambre de sa soeur ? Non. Là, ça n'allait pas se passer comme ça. D'autant plus que c'était... Etrange comme... Comme scène. S'en suivit l'arrivée d'une gamine, puis d'une femme un peu plus âgée accompagné d'une... Rosie. Là, Che débarqua sur ses entrefaits, faisant preuve de... Bah, de "Cheisme" ce qui mit du baume au cœur du frère de Talia.
- ...
Il voulait dire un mot, voir deux, pour saluer son arrivé, mais il ne put le faire. Il n'était pas à son aise, là. En faites, la chose qui le mettait mal à l'aise, c'était l'envie d'exploser la gueule des deux jeunes hommes. Serrant sa mâchoire pour garder son calme, Javier laissa Che faire son petit numéro. Finalement, il posa son regard sur Andrew, puis sur William, et enfin sur les autres présents. Son regard était mauvais, laissant entendre qu'il valait mieux écouter et faire ce qu'il disait pour éviter de s'attirer ses foudres.
- Toi, toi toi y toi ! Dehors ! Ahora !
De sa main, il montrait la porte.
- Elle a besoin de dodo. Vous... Partir !
Partez où sinon, il s'énerve. | |
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Andrew M. DangeloSORCIER.
► MESSAGES : 104 Mar 9 Mar - 23:22 |
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| « Je pense que c'est plutôt à moi de m'excuser, j'ai été assez exécrable avec toi si je me souviens bien. J'ai plutôt mauvais caractère dans ce genre de ... » « Oh ! Ça, ce n’est rien, mais je ne pouvais pas écouter ce que tu me disais. Si je l’avais fait, j’aurais été terriblement con. Ce n’est pas mon genre de laisser les gens mourir sur le sol et encore moins d’écouter une jeune femme qui n’est pas en état voulant à tout prix se débrouiller seule. Alors, je vous pardonne, malgré la peur que vous m’aviez fait » Il lui sourit légèrement. Il n’était pas bien méchant, pourtant il était un peu beaucoup étrange. Andrew était au côté de celle qu’il avait sauvé. Ce n’était pas parce qu’il avait tombé sur son charme qu’il avait mis nécessairement sa vie en danger. Il l’aurait fait pour quelqu’un d’autre. Il ne supporterait pas de ne pas tenter de sauver la vie de quelqu’un qui était en danger. Si cette personne mourrait sans qu’il ait essayé quoique ce soit pour cette personne, il ne se pardonnerait jamais. Le poufsouffle n’était pas le genre de personne qui laisserait les gens mourir sans faire l’effort de sauver la personne pour avoir la conscience en paix. Il ne s’était jamais entendu de tomber nez à nez avec un homme de cette carrure qui semblait plutôt agressif envers lui. Il ne comprenait aucunement ce qu’il disait. Pourtant, il pouvait comprendre par les intonations de la voix de cet homme qu’il ne connaissait pas. Andrew pensait encore une fois qu’il n’aurait décidemment jamais une chance avec cette femme. Il pensait que c’était quelqu’un de beaucoup plus important pour elle que n’importe qui au monde. Il n’était pas écrit dans le front de personne que c’était son frère. Andrew avait lâché les fleurs et la boîte de chocolat tout près de Talia. Il était toujours assis sur la chaise. Pourtant, il écoutait plus qu’il ne parlait par rapport à la situation qui se présentait devant lui.
« ¿ Quién es este idiota sombrío ? ¿ Quieres que yo le arranque la cabeza ? » « iJavier!'' Te presento a Andrew, mi salvador en cierto modo. Je te présent mon frère Javier. Il n'est pas très à son aise en anglais. » « Oh oh j’crois que j’me suis trompé de porte Andrew ?!? Mais qu’est-ce que tu fais là ? » Andrew souffla presque, tout d’abord il était soulagé, mais un stresse immense revint. Il se doutait que Javier ne l’aimait pas, parce qu’il venait de se retrouver dans une situation assez compromettante en lui apportant des fleurs et du chocolat. En fait, Andrew ne voulait pas empirer la situation plus qu’autres choses. « Aaaah… ! » Andrew se retourna entendant quelqu’un rentré à nouveau, puis une deuxième. « Will ? Magda ? Mais qu’est-ce que vous faites ici ? » Il ne comprenait rien du tout de ce qu’ils faisaient ici. Ils l’avaient suivi, c’était sur. Pourtant ce qui était certain, c’était que la présence de Magda le dérangeait grandement. Il n’aimait pas que sa cousine soit dans les parages lorsqu’il allait voir quelqu’un qu’il appréciait et qui n’était pas une femme de sa famille, car il ne savait pas pourquoi, mais Magda semblait avoir des humeurs assez vacillantes. Il les regarda un long moment, puis reposa son regard sur Talia. Il était désolé, totalement désolé. «C'est un de tes amis? » « Oui c’est un de mes amis et celle en arrière, c’est ma cousine.» dit-il tout doucement quittant à nouveau le regard de Talia. Il avait posé ses yeux sur William et Magda. Il fronça les sourcils lorsqu’une autre personne rentra dans la place. Andrew ignora la phrase de Talia sur le fait que tout avait l’impression qu’ils étaient tous venus chercher Andrew quand ce dernier avait juste voulu avoir des nouvelles de Talia. Il n’avait rien d’autre en tête que de prendre ses nouvelles. Elle lui avait déjà dit non pour manger avec lui, alors il ne tentait plus pour l’instant. Il attendrait encore un peu avant de lui répéter la question. Puis une petite fille rentra jouant du coude pour venir s’installer tout près de Talia qui venait de l’inviter à s’asseoir sur le lit. Le frère de Talia revint à la charge quelques minutes après… «Toi, toi toi y toi ! Dehors ! Ahora ! Elle a besoin de dodo. Vous... Partir ! » Il remit son regard sur Talia. « J’espère que je pourrai te revoir, parce qu’en ce moment, je ne peux pas te parler, comme au ministère. Je ne crois pas que ton frère me supporte. Ça doit être à cause des petits cadeaux que je t’ai emmené ! C’est mon erreur… Désolé. Mais j’espère que ses cadeaux te plairont… » | |
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InvitéInvité
Mer 10 Mar - 18:58 |
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Décidément, ça n'arrêtait pas. La chambre de Talia allait se retrouver bondée de monde d'ici peu. Et aucun médecin ne faisait rien. Ils étaient apparemment débordés. Une jeune femme métis, accompagnée d'une petite fille, arriva en même temps qu'un étrange personnage, petit, typé latino lui aussi. Nouchka essaya de paraître le plus indifférent possible, genre le type posé ici par hasard, mais c'était sans compter que le petit latino se mit à s'énerver contre lui d'une façon exagérément démonstrative, sans qu'il sache pourquoi. « Ma che stai?! Un GUARDONE!!! Ma jé lé crois pas oun voyeur à ta porte! Basta allez zou! Paparazzi! Zzzzzzzzz! Pschhhhht! andatevene! Du balais! » Durant quelques secondes, Nouchka regarda son « assaillant », qui avait l'air visiblement nerveux et absolument pas gêné de crier dans un hôpital. Un instant, l'italien – car c'en était un, Nouchka avait perçu quelques mots – se détourna de lui pour houspiller la métis qui n'avait rien demander, la pauvre. La gamine de la métis fila à l'intérieur sans demander son reste. Nouchka était à la fois amusé et perdu par la situation. Il y avait trop de monde. Il n'avait pas prévu ça. Doucement, il tapa sur l'épaule de l'italien. « Du calme, amigo. Je ne suis pas paparazzi, je suis Auror. » Il se garda bien de dire qu'il était ici en tant que civil. Il jaugea l'italien du regard ; il devait être proche de Talia pour s'attaquer ainsi sans réfléchir à un inconnu. Et la volubilité du quarantenaire était plutôt semblable à celle de Talia. Nouchka n'aurait pas voulu se trouver dans la même pièce que les deux. Pourtant, c'était bien ce qui allait se passer car le Russe décida de prendre son courage à deux mains. D'un geste de la tête, il invita l'italien à le suivre. « Allez. De toutes façons, y a déjà bien assez de monde dans cette chambre. Alors, un de plus ou un de moins ... » Courage. Nouchka poussa légèrement la porte de la chambre, qui s'ouvrit sur le tableau suivrant : Talia, tel l'enfant Jésus au milieu de l'étable, allongée sur un lit, et de nombreuses personnes présentes autour d'elle, tels les Rois Mages.
C'était paralysant, de se retrouver là face à elle, après trois mois. Nouchka aurait voulu que ça se passe différement. Elle allait être furieuse contre lui. Ou alors, et ce serait encore plus douloureux, elle resterait totalement indifférente à sa venue, parce qu'elle avait décidé qu'il n'en valait pas la peine. Le Russe ne voulut pas rester silencieux, craignant qu'une gêne s'installa, alors il lança rapidement, d'une voix douce : « Bonjour, Talia. » S'il avait maîtrisé chacun de ses gestes, son regard, en revanche, le trahissait comme jamais.
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Jeu 11 Mar - 20:29 |
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| Dire que la chambre était pleine de monde était un euphémisme. William ne connaissait pas Talia et à vrai dire pour lui elle était seulement « la fille qu’Andrew a sauvé. ». Mais à voir les nombres de personne venu lui rendre visite, il commençait à se demander si cette jeune femme n’était pas célèbre. Bien que tout ce qui importait le jeune Slayers c’était de sauver les fesses d’Andrews. Les autres il s’en fichait même s’il afficha un sourire lorsque son regard se porta sur une charmante brune qui restait prêt de l’entrée. Qui était cette ravissante créature ? Pas le temps de lui demander son nom qu’Andrew lui révéla l’information, demandant ce que lui et elle faisait là. Magda apparemment… William réfléchissait à une façon de partir au plus vite en compagnie de son ami qui s’était foutu lui-même dans de beau drap mais l’intervention du frère de Talia l’aida au plus haut point. Bon niveau vocabulaire ce n’était pas le top mais y’avait de l’idée.
William – « Moi comprendre Toi. Nous dehors aller. » Lui dit-il en minant chacun de ses mots avant de lui adresser un clin d’œil et de relever son pouce en sa direction comme pour lui dire « top ».
William n’était pas en train de se moquer de Javier, loin de là, il essayait juste de lui montrait qu’il était cool et que c’était pas la peine de s’énerver, rien de plus. Andrew quand a lui faisait preuve d’un sentimentalisme agaçant au plus haut point le vert et argent et il roula ses yeux vers le ciel. Non mais quel idiot !
William – « Bon Andrews… On y va ? « demanda-t-il avec un certaine impatience alors qu’un homme rentrait dans la chambre.
Il regarda tantôt l’inconnu, tantôt Talia et se rendit alors compte du certain malaise qui existait entre eux. Oùlà il y avait comme de l’amour dans l’air… William tarda son regard vers le nouvel arrivant, ayant une impression bizarre de déjà vu avant qu’il ne se souvienne l’avoir croisé au ministère. C’était le jour de son transfert d’Amérique en Angleterre alors qu’il était escorté par Thomas. Cet homme était donc Auror et un certain tract l’envahie bien qu’il continuait d’être fidèle a lui-même, souriant et sans prise de tête.
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Magdaleyna C. Dangelo
► MESSAGES : 30 Dim 14 Mar - 18:06 |
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| Elle n’avait pas l’air méchante, pourtant. Quand Magdaleyna entra dans la pièce, elle fut accueillie par un joli sourire de la belle inconnue, qui la poussa à s’avancer un peu. Il était inutile qu’elle reste planquée dans l’encadrement de la porte, si elle l’avait vue, Andrew risquait de la voir aussi, de plus elle était positionnée derrière William, qui, comme à son habitude, faisait un bruit pas possible. Cependant si elle semblait gentille, l’homme assis près d’elle en paraissait tout autant impressionnant. Mais impressionnant du genre auquel on a tendance à obéir. Et a avoir peur. Deux autres personnes entrèrent suite à la jeune brune. Une femme avec ses enfants, qui allèrent directement sauter sur les genoux de la malade, et un homme dont l’allure rappelait celle des hommes d’actions. Un homme avec un fort accent italien entra a la suite, en une entrée digne de William, sauf qu’il paraissait en colère. Un peu gênée par tant de bruit, Magda hésita à lui demander poliment en bon italien de se calmer parce que c’était un hôpital, ici, tout de même ! Mais elle n’allait pas tenter de faire son intéressante ici, de plus, si l’italien était une langue familière pour elle, elle n’était pas bilingue, elle avait juste de très bonnes bases. Peut-être plus qu’Andrew, elle ne savait aps. Mais comme à son habitude, Magda s’effaça et ne dit rien. « Will ? Magda ? Mais qu’est-ce que vous faites ici ? » «C'est un de tes amis? » « Oui c’est un de mes amis et celle en arrière, c’est ma cousine.» Elle n’était pas sûre d’apprécier le ton qu’avait pris Andrew pour leur demander ce qu’ils faisaient ici. Il était surpris, certes, mais cela n’expliquait pas pourquoi il passa un peu plus de temps sur elle avec une certaine contrariété lisible dans ses yeux. Elle se racla la gorge et ouvrit la bouche, mais ne sut quoi dire. A vrai dire, elle ne savait pas comment prendre tout ça. Bien sûr, Andrew n’avait pas voulu la blesser, la brusquer, lui faire de mal, ou elle ne savait quoi, parce qu’Andrew ne veut jamais faire de mal à qui que ce soit, mais cette attitude blessa Magda plus profondément qu’elle ne l’aurait souhaité. Par la force des choses, elle apprit que la blessée s’appelait Talia. Etant donné que l’un des derniers arrivants était auror et qu’il semblait la connaître, Magdaleyna en déduisit qu’elle avait au moins l’âge d’être prof ; sauf qu’elle ne l’était pas. Comment Andrew avait-il pu bien la connaître ? Il était impossible que ce soit grâce à ses parents, en général, si un Dangelo connaissait quelqu’un, tous les Dangelo le connaissaient. Alors, seul Andrew la connaissait, de la famille. Plusieurs hypothèses naquirent dans l’esprit de Magda, et certaines, vicieuses, faillirent la faire rougir mais elle parvint à se contenir. Elle se sentait mal. Mal parce qu’un feu la consumait, différent, bien trop étranger à ce qu’elle ressentait lorsqu’elle était avec Andrew. La jalousie commençait à la bouffer lentement, et elle se força a expirer longuement pour ne pas mettre en action ses plans de contre-attaque qu’elle avait échafaudés à l’instant même où elle avait décelé une lueur déplaisante dans les yeux d’Andrew. Talia paraissait gentille. Elle n’avait sûrement pas ensorcelé Andrew pour qu’il soit a ce point à ses petits soins. Le garçon n’était pas assez idiot pour se laisser berner par un quelconque sort. « Bon Andrew… On y va ? » Les mots de William la ramenèrent à la réalité. Elle acquiesça, espérant que cela encouragerait Andrew à partir avec eux. Elle se racla la gorge, n’osant pas trop parler, de peur que sa jalousie ne se voie trop. Parce que la jalousie était mal, et que n’importe quel faux pas entraînerait Magda dans le péché. « Oui, il a raison, je suis sincèrement touchée par ce qui est arrivé à…Talia, mais notre absence à Poudlard risque de ne pas trop être appréciée si elle se rallonge encore… »
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InvitéInvité
Dim 14 Mar - 20:09 |
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| Andrew - « Oh ! Ça, ce n’est rien, mais je ne pouvais pas écouter ce que tu me disais. Si je l’avais fait, j’aurais été terriblement con. Ce n’est pas mon genre de laisser les gens mourir sur le sol et encore moins d’écouter une jeune femme qui n’est pas en état voulant à tout prix se débrouiller seule. Alors, je vous pardonne, malgré la peur que vous m’aviez fait »
Talia eut un petit sourire en coin toujours autant amusée par l'extrême politesse d'Andrew. Pour elle ça venait presque d'un autre temps. Qui de nos jours s'excusait autant ou était aussi prévenant tant dans les mot que dans les gestes. Si elle semblait trouvait les manières d'Andrew amusante, son frère Javier lui, ne semblait pas si enclin à sourire. Sauf peut-être...
Che - Ma! Est -ce qué jé l'air dé la réceptionniste moi?!
Ils reconnurent sans peine la voix de Che, Talia se demanda une seconde qu'est-ce qui prenait au photographe de péter sa coche comme ça mais après coup... c'était presque la norme pour l'italien d'en faire des tonnes. Talia tendit la tête pour le voir entrer mais au lieu de lui, ce fut Roselanie qui bondit sur son lit. C'était donc May qui avait fait les frais des excentricités de Che. Talia eut un petit rire mais son ami ne rentrait toujours pas... qu'est-ce qu'il pouvait bien fabriquer dehors?
Javier - Toi, toi toi y toi ! Dehors ! Ahora ! Elle a besoin de dodo. Vous... Partir !
Talia se retourna vers son frère l'air surprise. Elle s'apprêtait à dire que ça allait, et que personne n'était obligé de partir - elle aimait le monde elle - mais on l'arrêta dans son élan. Après tout peut-être que Javier avait raison et qu'ils étaient trop nombreux ici...
William – « Moi comprendre Toi. Nous dehors aller. » Talia - Madre de Dios. Je rêve! Si c'est pour te moquer de mon frère je préférerai effectivement que tu sortes petit.', autant dire qu'elle n'aimait pas du tout le comportement de l'ami d'Andrew... si elle n'avait pas été au lit elle lui aurait sans aucun doute servi un de ses pavés peu succulent qu'elle savait si bien faire à l'oral et qui avait le don de vous faire regretter d'avoir ouvert la bouche.
Andrew - « J’espère que je pourrai te revoir, parce qu’en ce moment, je ne peux pas te parler, comme au ministère. Je ne crois pas que ton frère me supporte. Ça doit être à cause des petits cadeaux que je t’ai emmené ! C’est mon erreur… Désolé. Mais j’espère que ses cadeaux te plairont… » Talia - Oh euh très bien alors... William – « Bon Andrews… On y va ? «', mais quel grossier personnage celui là... enfin sans commentaire. Magda - « Oui, il a raison, je suis sincèrement touchée par ce qui est arrivé à…Talia, mais notre absence à Poudlard risque de ne pas trop être appréciée si elle se rallonge encore… »
Talia regarda la jeune fille qui elle avait l'air très polie et lui était tout de suite plus agréable que ce guignol qui se moquait de son frère. Les gamins n'avaient plus de limite de nos jours. Bref, ce que dit Magda lui parut tout à fait censé et c'était ce qu'elle s'apprêtait à dire mais...
Talia - Oui c'est tout à f...
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Nouchka - « Du calme, amigo. Je ne suis pas paparazzi, je suis Auror. » Che - Amigo! Ma chi credi di essere?! Yé m'en fous moi des Aurors, on a pas gardé les poulets ensemble!!!
S'il y avait bien une chose dont Che se souciait peu c'était bien de l'exactitude des expressions qu'il utilisait. Si vous aviez osé lui faire la remarque "Che ce n'est pas les poulets mais les cochons", il se serait sans aucun doute mit dans un état pas possible tout ça pour vous dire qu'en fin de compte, cochon, poule, coq c'était la même chose.
Nouchka - « Allez. De toutes façons, y a déjà bien assez de monde dans cette chambre. Alors, un de plus ou un de moins ... »
Le petit italien haussa les épaules et passa bien évidemment devant le paparazzi qui se prétendait auror...
***
Che - Ah! Que des beaux garçons! Sauf loui là... Talia - Oui c'est tout à f...
Elle s'était arrêtée net en voyant l'homme qui entrait à la suite de Che. Elle ne prêta d'ailleurs pas attention à l'italien qui disait à la cousine d'Andrew qu'elle était bien jolie mais que si elle avait vu le goujat à l'entrée, elle aurait tout à fait cautionné le houspillage intensif dont il avait fait l'objet. S'ensuivait tout un speech sur les voyeurs et les paparazzi que la pauvre Magda - je l'espère pour elle - n'aurait pas l'idée d'écouter jusqu'à la fin.
Il y avait eu comme un grand silence avec l'entrée de Nouchka, ou peut-être était-ce seulement Talia qui n'arrivait pas à détacher son regard de l'auror, visiblement interdite. Il était difficile de dire ce qu'elle pensait à la voir comme ça avec cette expression blanche sur le visage. Passée la surprise pourtant ses yeux se durcirent et c'est avec un regard noir charbon, une voix froide qu'elle finit par répondre à son bonjour:
Nouchka - « Bonjour, Talia. » Talia - Bonjour. Tu cherches quelqu'un peut-être?
Là elle était vraiment mauvaise. Inutile d'avoir fait harvarde pour le voir. | |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Lun 15 Mar - 2:17 |
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| « Ma! Est -ce qué jé l'air dé la réceptionniste moi?! » « Humm, si une réceptionniste vous ressemblait, ça serait la pire des catastrophes. Vous avez la langue bien pendue et vous ne savez pas de quoi que vous parliez, surtout que je parlais à lui » elle mit son regard sur l’homme qui se trouvait tout près de cette énergumène. « Et surtout, vous allez finir par mourir d’une crise cardiaque à stresser autant. Autant pour dire de vous la fermez sérieusement. » dit-elle froidement, tandis que Roselanie atteignait le lit de sa majesté Talia qui semblait dans son royaume avec tous ses sujets. La métisse regarda à l’intérieur de la pièce voyant sa fille bien installée sur lit en regardant les adultes tour à tour. L’hawaïenne fit un salut de loin. Elle était presque prête à crier d’où elle se trouvait pour lui demander si elle allait bien ou non. Elle regardait tour à tour les gens qui se trouvaient là. Elle fit un sourire désolée à l’homme qui se trouvait tout près d’elle qui n’était pas ce foutu italien qui l’avait énervé un peu plus tôt. La pauvre jeune femme étant à l’écart ne comprenait absolument rien de ce qui se passait. Elle tentait de surveiller sa fille du mieux qu’elle le pouvait sachant que c’était une petite fille super effrontée par moment. Roselanie jouait tout doucement dans les cheveux de Talia, comme si les adultes n’existaient pas. Elle avait huit ans et déjà, elle savait ignorer aussi bien que sa mère les autres. Il était vrai que Roselanie vivait dans une famille particulièrement nombreuse. Elle passait ses journées avec ceux-ci, voyant beaucoup plus sa mère que son père. Ellis, le grand-frère de Roselanie, était le plus proche de son père qui passait rarement du temps à la maison. Pourtant, quand son père était là, elle savait très bien se montrer aussi dur que lui par moment. Elle avait une de ses têtes de cochon que même sa mère se frappait le front lorsqu’elle parlait à son père sur un ton dont Maïka n’acceptait aucunement. Elle avait peur que son mari décide de faire du mal à sa propre fille. Elle le savait lunatique. Il changeait rapidement d’humeur et de comportement. Ce n’était pas le temps de lui faire perdre les pédales. Roselanie jouait avec les beaux cheveux de la malade. Elle oubliait les gens autour et surtout son petit sac à dos qui était à ses côtés. Elle oubliait de donner ses dessins Maïka regardait sa petite fille qui semblait être plus attaché à Talia qui était l’amie de sa mère. Parfois, cela blessait le cœur de cette mère déjà blessée par le comportement de ses enfants. Elle se décida en même temps que l’homme qui se tenait tout près de rentrer. Elle vit alors que Talia semblait en vouloir à cet homme. Maïka fronçait les sourcils. Elle bouscula un peu l’homme dont elle ne connaissait pas le nom. La métisse se faufila en bousculant un peu les gens pour venir se placer à côté d’un homme qui semblait un peu sur les nerfs. Elle leva les yeux vers lui. Il était grand, mais elle ne dit pas un mot. Elle surveillait Roselanie pour défaire le froid qui s’était installé, Maïka décida de parler. « Talia, Rose, ne te dérange pas. Sinon, je vais sortir et revenir une autre journée, lorsqu’il y aura moins de monde… » | |
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InvitéInvité
Mar 16 Mar - 6:02 |
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| Expression de Javier devant la réaction d'Andrew : ... Traduction : Il était tout simplement... Choqué. Comment diable pouvait-on avoir une réaction de la sorte alors que le XXIième siècle débute ! Tout d'un coup, Andrew eut l'air beaucoup moins dangereux pour sa soeur et le regard de Dak' devient proche de la pitié. Qu'est ce qu'il était... Il ne finirait pas sa pensée. Cela ne servait à rien. D'autant plus qu'il avait obtenu ce qu'il souhaitait. Tout le monde avait compris qu'il fallait dégager maintenant, car Talia avait besoin de repos. Simplement, il fallut que l'autre boulet n'attire l'attention de Javier lorsqu'il se foutu de sa gueule.
- Moi comprendre Toi. Nous dehors aller. - Madre de Dios. Je rêve! Si c'est pour te moquer de mon frère je préférerai effectivement que tu sortes petit.
La main de Javier jaillit dans sa poche pour en ressortir une baguette d'une taille moyenne, d'un bois noire et des étincelles jaillissant avec force de part son extrémité. Un mot de plus, et il le fusillait sur place d'une vingtaine de sorts, histoire de lui refaire la face, et de lui introduire les bonnes manières dans sa tête de blanc ! Pour un peu, on aurait dit l'un de ses putains d'Américains qui se croyaient être d'une importance cruciale pour la face de la planète !?!! ?!
...
Ils étaient à peu près tous partit. Sauf... Lui. Che d'ailleurs, fut tout aussi secoué que Javier. L'hispanique s'approcha de sa soeur, lorsqu'il comprit qu'il y avait quelque chose de plus profond entre les deux.
- Bonjour, Talia. - Bonjour. Tu cherches quelqu'un peut-être ? - Pas une gen, non. Il veut un truc. La porte est derrière toi. Adios.
Fit-il dans un anglais assez limité mais qui était tout de même spontané. Il accompagna sa phrase d'un regard noire, sa baguette toujours aussi crépitante, tandis qu'il prenait avec sa main libre, l'une des mains de Talia avec une certaine délicatesse. | |
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InvitéInvité
Ven 2 Avr - 20:24 |
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Talia - Bonjour. Tu cherches quelqu'un peut-être ?
Il y avait des choses terribles sur Terre. Des tsunamis, par exemple. Des éruptions volcaniques, des tremblements de terre, des inondations. Il y avait des guerres, des maladies. Il y avait des hommes qui possédaient tout entre leurs mains, jouant avec des sommes folles. Mais tout ça n'était rien face à une femme. La colère d'une femme, plus précisément. Elles sont des bataillons à elles toutes seules. Un talon aiguille, lorsqu'il est bien manié, est plus dangereux qu'une mitraillette. Mais passons.
Nouchka se fichait absolument de tous les gens qui se trouvaient autour de lui. Il avait déjà oublié le petit italien qui s'agitait autour de lui, et qui marmonnait. Il n'y avait plus que Talia. Il la fixait dans les yeux. Ils s'affrontaient silencieusement. Oui, il avait déconné. Il était parti sans rien dire, comme d'habitude, sans explications. Il était parti risquer sa vie dans des pays en guerre, pour protéger les intérêts du Ministère. Il n'avait pas eu le choix. Mais était-ce véritablement un argument valable ? Accepterait-elle de recevoir cette excuse ? Il en doutait beaucoup. Non, en fait, elle ne voudrait même pas l'écouter. Mal à l'aise, le Russe jeta un coup d'oeil autour de lui, et s'approcha doucement du lit de la jeune femme, en gardant toutefois une distance respectable.« Je comprends que tu sois en colère contre moi, fit-il d'une voix douce et égale, et si tu veux ne plus jamais voir ma tête, okay, je m'y plierais. Mais si jamais tu veux bien me laisser une chance de t'expliquer, tu sais où j'habites. C'est tout. Rétablis-toi bien. » C'était tout ce qu'il pouvait lui dire pour le moment. IL ne voulait pas que leur conversation tourne au pugilat en public. Nouchka voulait bien se battre, mais en petit comité. Il recula sans tourner le dos à la jeune femme, et ne tourna les talons qu'au moment où il passait au niveau de l'homme hispanique. « Prenez bien soin d'elle » murmura-t-il en le regardant dans les yeux. Il ressentait une curieuse sensation vis-à-vis de cet inconnu. Une sensation comparable à celle du chasseur qui se retrouve brusquement face à un lion à un tigre. Dès lors, le lion n'est plus une proie, mais un véritable adversaire. Etrange. Nouchka tourna la tête, et adressa un léger signe de la main à la jeune femme. Il lui sourit faiblement, et disparut comme une ombre, pour repartir dans la cohue de la ville.
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