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 Simple vérification (Lizbeth)

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PROFIL & INFORMATIONS









Erika N. Bathory

Erika N. Bathory


► MESSAGES : 55
Simple vérification (Lizbeth) #Dim 27 Fév - 11:18


19h00. Erika marchait en direction de l’adresse qu’elle avait notée un peu plus tôt dans un coin de sa mémoire. Difficile de dire ce qu’elle ressentait. Elle était à la fois curieuse et énervée. Elle ne savait pas encore ce qui allait résulter de cette petite visite. Bain de sang ou simple discutions avant de rentrer chez elle. La première solution était toujours sa favorite, mais il semblait y avoir un étrange lien entre cette jeune fille et son mari. Un lien qu’elle n’arrivait pas encore à déterminer, et qu’elle était prête à trancher s’il le fallait. Elle s’était tout de même renseignée. Lizbeth T. Smith. Jeune mère célibataire, playwitch de surcroit. Voilà un point qui n’allait pas en sa faveur. La dernière qu’elle avait croisée gisait six pieds sous terre, façon de parler. La belle Hongroise ne savait pas si elle allait se retrouver devant un spécimen de la trempe de Bridget, autant dire une abrutie complète ne sachant pas aligner trois mots sans en confondre un avec un autre, mais si c’était le cas, au moins sa décision se prendrait rapidement.

Cette décision justement, aurait pu déjà être prise sans prendre la peine de la rencontrer, mais Yon semblait réellement avoir un lien puissant avec elle, et la question se posait : lequel ? Oh, elle avait bien une petite idée qui ne lui plaisait guerre. Cet enfant, elle ne savait rien de lui, qui était son père. En fait, la véritable question était de savoir est ce que Yon était son père. Elle avait eu assez de renseignement pour savoir qu’ils avaient eu une relation, mais de là à savoir si un enfant en était né de cette union, impossible de le dire. Erika ne voyait pas pour quelle autre raison Yon se serait sentit obligé d’être présent à leur côté aussi souvent, et ce soir elle comptait bien trouver les réponses. Premièrement en voyant l’enfant, elle saurait immédiatement s’il était le fils de Yon, ensuite, en tentant de déceler les mensonges que pourrait lui raconter la playwitch.

Elle avait très peu d’estimes pour ce genre de personne. En réalité, la seule qu’elle avait connue n’avait pas vécu assez longtemps pour lui prouver qu’elle valait la peine d’être connue. Elle s’imaginait donc qu’elles avaient toute été faites à partir du même moule. Cervelle de moineaux, tombé dans un pot de peinture, bonne à se prostituer, pas grand-chose de plus. Dans un sens la playwitch avait de la chance. Seul son enfant la sauvait d’une mort rapide, mais non moins douloureuse. Si elle avait été seule, le simple fait qu’elle ait pu toucher son mari, le connaitre dans l’intimité lui aurait valut la peine de mort. Bien sur, à lui elle ne lui en voulait pas, il l’avait crue morte, et au bout d’un certain temps, il était normal qu’il ait repris sa vie, mais maintenant qu’elle était de retour, elle comptait faire le ménage dans toutes ses petites greluche qui le pensait leur propriété. Elle se devait de leur faire comprendre qu’il n’appartenait qu’à elle, et qu’elle pouvait l’oublier immédiatement, sous peine de disparaitre dans des circonstances louches.

Arrivée devant la porte, Erika s’assurât que sa dague était bien en place, contre sa cuisse, avant de taper à la porte. Elle était déjà impatiente d’en finir. Elle espérait presque tomber nez à nez avec Bridget numéro deux, histoire de s’amuser un peu avant de rentrer à la maison. Elle attendit bien sagement que la porte s’ouvre. Lizbeth ne la connaissait pas, pourtant, elle saurait immédiatement de qui il s’agissait, elle en était certaine.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
Simple vérification (Lizbeth) #Jeu 3 Mar - 13:57


    Une belle journée en compagnie de son fils. Elle avait préparé une belle journée pour son fils qui avait eu souvent à quitter l’appartement pour règlement de compte. Sérieusement, elle ne voyait rien qui pourrait détruire la journée de Lukas. Pour tout dire, elle ne prévoyait pas recevoir qui que ce soit pour n’importe quelle raison qu’il pouvait y exister sur cette misérable planète. Lizbeth pouvait donc garder son fils à la maison. Elle lui avait promis de faire des activités. Elle ne l’envoya pas à la petite école de cracbadaboum situé sur le chemin de traverse. Il méritait bien cette journée. Elle se sentait coupable de l’envoyer en australie chez l’une de ses cousines à cause de la dette qu’elle avait envers les Blake. Pourtant, cette dette ne lui appartenait pas vraiment. C’était un gage. Elle était le gage en question. Elle ne devait pas d’argent à personne, car elle savait comment gérer son argent. De plus, elle ne voyait pas le rapport dans le fait de ne pas rembourser cette dernière surtout que sa famille était incroyablement riche. Où était le problème dans toute cette putain d’histoire de merde ? C’est simple ses chers parents étaient des grands radins. Il n’y avait pas pire qu’eux. Ils ne donnaient aucun sous par peur de faire de mauvaises aubaines. Au diable les aubaines ! C’était la vie de leur fille et de leur petit-fils qui était en jeu, mais ils s’en foutaient. L’argent. L’argent c’était le plus important. Que faire sans argent ? Il fallait du blé pour vivre, alors les vies ont s’en fout. Eh bien, ce qu’ils ne savent pas, c’était que Lizbeth retournait à nouveau la balle dans leur camp. Elle s’organisait et fricotait avec les Blake depuis un moment. Elle avait réussi à convaincre de ne pas la tuer. Elle devait par contre les faire tuer. Ah oui. Ses chers et tendres radins de parents. Il le méritait. C’était pour son fils qu’elle le faisait pour sa conscience. Elle n’était pas méchante par nature. C’était ses parents après tout. Ils ne lui avaient jamais donné d’amour et ni d’attention, mais il y avait ce lien qui les unissait les uns aux autres. Une vraie merde. Elle savait ce qui l’unissait à son fils. C’était un lien dès plus puissant. Elle en était consciente, mais elle n’avait pas cette impression d’avoir ce lien aussi puissant avec ses parents. Peut-être parce qu’ils l’avaient délaissé au profit de l’argent. Elle se souvient toujours les leçons qu’elle recevait sur l’argent. C’était eux qui l’avaient poussé à devenir un mannequin. Elle avait obtenu plus tard un contrat avec les playwitch, mais elle n’avait jamais cru pouvoir vivre cette vie. Elle s’était fait une autre voie dans sa tête. Parfois, elle regrettait secrètement de ne pas l’avoir suivi. Bref, son fils avait dormi aujourd’hui. Elle l’avait laissé coucher. Il était en congé d’école, alors pourquoi le forcé à se lever ? Il devait profiter de cette belle journée en compagnie de sa mère. Elle lui avait acheté un cadeau la veille avant de rentrer à la maison. Elle avait tout pensé pour se faire pardonner d’avoir été abominable en l’abandonnant chez de la famille en australie. Elle le devait, parce que les Blake se seraient pris à lui. Lukas venait à peine de se lever lorsqu’à la porte quelqu’un frappait. Lizbeth finit de servir son fils et alla répondre. Elle ouvrit la porte pour se retrouver nez à nez avec… Erika. Elle la reconnut pour tout ce que Yon lui avait dit sur sa femme avant sa supposée mort et à son retour. Lizbeth était étonnée de la voir. Elle ne s’attendait pas à cela. « Bonjour… » dit-elle en ouvrant grand la porte. « Entrée. Entrée. Je n’attendais pas de visite aujourd’hui. Je suis désolée pour le désordre. J’ai promis à mon fils une journée spéciale aujourd’hui. » elle lui sourit gentiment. Elle n’avait rien contre ses femmes, mais il y avait une chose qu’elle savait, c’était qu’Érika n’était pas un enfant de cœur. Elle jouait la carte de la franchise avant même d’essayer une autre tactique. « Est-ce que je peux vous servir quelques choses ? Thé ? Café ? Eau ? jus ? » Elle accueillait la femme de son amie de la même façon qu’elle accueillerait Yon. Elle était comme une amie, même si au fond cette femme lui voulait du mal. Elle ne savait pas. Elle ne savait rien. Lizbeth ne pensait pas que Yon lui appartenait. Il était un homme avec une famille qui était un de ses seuls amis. Ils avaient peut-être couché ensemble, mais ils avaient découvert quelques choses l’un à l’autre. L’histoire d’une nuit, c’était alors transformé en amitié qui durait. Elle avait confiance en lui. C’était l’important. Il vivait dans la vie secrète de cette dernière et elle vivait dans la sienne sans jamais vouloir se l’approprier. Elle respectait le retour d’Érika. Elle ne venait pas toquer à toute heure à la porte. Elle ne s’invitait pas. Elle attendait qu’on le fasse ou que ce soit permis de le faire. Lizbeth ne dérangeait personne, mais Lukas dérangeait sans le savoir réellement. Il était celui qui la tenait jusqu’à maintenant en vie. Elle l’ignorait totalement.









Erika N. Bathory

Erika N. Bathory


► MESSAGES : 55
Simple vérification (Lizbeth) #Lun 14 Mar - 15:05


Erika aurait pu s’impatienter, mais ce n’était pas son genre. La première fois qu’on la rencontrait, en général, les gens ne se doutaient pas d’un simple regard que leur vie pouvait basculer d’un instant à l’autre. Elle savait donner le change ; Afficher un sourire qui pourrait presque passer pour un vrai, beaucoup se laissait berner. L’apparence est une chose importante, et c’était une chose qu’elle savait entretenir. Elle savait mettre en confiance, jouer les séductrices pour faire tomber les hommes dans ses pièges, passer pour une amie, ou tout simplement pour quelqu’un de gentil. Mais il se dégageait d’elle une telle aura que beaucoup de gens préféraient éviter de se tenir sur son chemin. Ceux qui la connaissait pour ce qu’elle était, la craignaient, encore plus depuis qu’elle s’était marié à Yon. Les anges du mal, roi et reine d’un monde ou règne la terreur. Elle aurait très bien pu jouer la comédie ce soir, se montrer amicale, cependant même si elle ne connaissait pas Lizbeth, elle savait que « elle » en savait déjà assez sur elle. Cela avait le don de lui déplaire. Mais elle avait l’intension de jouer franc jeu ce soir, elle n’avait donc pas envie de s’embarrasser à jouer les femmes parfaites.

La porte avait mis un temps raisonnable, pour ne pas défoncer la porte, avant de s’ouvrir sur une jeune femme. Plutôt jolies, cheveux clair, grands yeux bleu. Celle-ci parut étonnée de la voir. Apparemment, pas besoin de s’annoncer, elle savait à qui elle avait affaire C’était plutôt troublant de se retrouver face à quelqu’un qu’on ne connait ni d’Adam ni d’Eve, et de voir que lui vous connait sans même vous avoir rencontré. Au moins, elle savait à qui elle avait à faire. Erika ne se dérida pas une seconde, affichant cet air froid, glacial même.

Bonjour…

Pas un froncement de sourcil de son côté, une statue de glace n’aurait pas pu tenir la comparaison devant tant d’immobilité.

Entrée. Entrée. Je n’attendais pas de visite aujourd’hui. Je suis désolée pour le désordre. J’ai promis à mon fils une journée spéciale aujourd’hui.

Lizbeth lui adressa un sourire. Sans effet. Erika avança d’un pas léger dans la pièce principale. Le désordre lui importait peu, tout autant que le reste d’ailleurs. Elle balaya la pièce du regard à la recherche du petit garçon qui occupait toute ses pensées, avant de revenir sur la jeune mère qui lui proposait déjà tout un tas de boisson.

Est-ce que je peux vous servir quelques choses ? Thé ? Café ? Eau ? jus ?

Au moins elle avait le sens de la courtoisie, et le peu de mot qu’elle avait sortit lui montrait déjà qu’au moins, elle savait aligner trois mot de suite. Pas comme cette stupide Bridget qui n’était déjà plus de ce monde.

- Non merci. Je ne suis pas venu pour boire.

Voilà qui avait le don de refroidir l’assistance. En effet, elle n’était pas venue pour papoter ou passer un moment agréable. Du moins pas avant d’avoir des réponses à ses questions.

- Je suis venu vous poser quelques questions. Etant donné que vous êtes si… Proche de mon mari.

Elle avait bien insisté sur le « proche » histoire de bien faire comprendre à Lizbeth qu’il valait mieux qu’elle soit franche avec elle.

- Premièrement, j’aimerais voir votre fils… Ne vous inquiétez pas, je ne lui veux aucun mal, ce n’est qu’un enfant. Je suis mère aussi, et je pourrais comprendre votre réticence à me le présenter. Deuxièmement, j’aimerais savoir qu’est ce qui vous rend si unique aux yeux de mon mari pour qu’il puisse prendre la peine de me décommander pour venir vous voir.

Terrain miné. Attention ou tu met les pieds Lizbeth.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
Simple vérification (Lizbeth) #Dim 24 Avr - 17:36


    Jamais, elle n’aurait cru à une visite d’une telle importance, mais aussi d’une dangerosité inouïe. Yon lui avait bien parlé de sa femme. Elle n’était pas une enfant de cœur, mais elle devait faire le mieux qu’elle pouvait pour ne jamais la froisser. Dieu sait à quel point, elle avait une grande gueule. Elle finissait toujours par s’attirer les merdes. Elle finissait aussi par être dans un énorme merdier. Avez-vous vu l’histoire Blake-Smith ? Tout était dit dans ces deux noms là. Elle n’aimait pas être dans les terrains dangereux, mais elle semblait les attirer, comme un aimant attire si bien le métal. C’était malheureux à dire, mais il se peut que Lizbeth n’atteigne pas la trentaine. Lukas avait besoin d’une mère et d’un père. Il n’avait pas les deux, mais qu’une mère qui l’aimait plus que tout au monde. Il serait dommage de perdre la seule chose qu’il avait mise à part un parrain qui était nulle autre que Yon Winchester le mari de la femme qui venait de toquer à sa porte. Elle regardait cette femme tout à fait magnifique qui ne montrait aucun signe d’amitié envers la Playwitch qui était bien aimable, même si elle était dérangée dans une journée plus qu’importante qu’elle passait avec son fils. Elle était même mieux d’agir ainsi si elle tenait réellement à la vie. Acceptée de parler à cette pour vivre jusqu’à ses trente ans au moins. Erika était une beauté froide. Elle le savait. Elle très belle la femme de Yon. Lizbeth était une beauté du sud. La couleur de la peau prouvait le tout, mais ce n’était pas dans le sujet d’aujourd’hui. Lizbeth avait ouvert la porte pour laisser passer Erika. Elle lui demanda si elle désirait boire quelques choses. Il fallait être poli tout de même. Un peu de politesse ne faisait jamais du mal. « Non merci. Je ne suis pas venu pour boire » Elle regardait toujours Erika. C’était clair, elle n’était pas là pour une rencontre amicale. Lizbeth avait même plutôt peur. Elle jouerait la carte de la franchise. C’était certain. « Je suis venu vous poser quelques questions. Etant donné que vous êtes si… Proche de mon mari. » Elle la regardait toujours voyant bien qu’elle avait intérêt à bien répondre. « Je vous écoute. » La politesse était de mise. Lizbeth savait très bien se tenir. Elle n’était pas toujours impolie. « Premièrement, j’aimerais voir votre fils… Ne vous inquiétez pas, je ne lui veux aucun mal, ce n’est qu’un enfant. Je suis mère aussi, et je pourrais comprendre votre réticence à me le présenter. Deuxièmement, j’aimerais savoir qu’est ce qui vous rend si unique aux yeux de mon mari pour qu’il puisse prendre la peine de me décommander pour venir vous voir. » Elle se demandait bien pourquoi Erika voulait voir son fils. Son cerveau se mit en marche. Elle eut l’impression de connaître le réponse, même si elle trouvait que c’était une hypothèse idiote. Elle n’eut pas l’idée de le dire. « Oui, je veux bien montrer mon Lukas. Ce qui le rend unique, c’est qu’il est son parrain … suivez-moi... » dit-elle en la conduisant la salle à manger où Lukas mangeait ses céréales. Il posa le regard sur la nouvelle arrivant qui accompagnait sa mère. Lukas avait les cheveux châtains clair, les yeux bleus, la peau pâle comme son père biologique. Il ne ressemblait en rien à Yon, mais sa couleur de peau faisait étrange avec le fond de teint de sa mère. « Je vous présente Lukas Maddox. Lukas, dis bonjour à la femme de Yon. » dit-elle avec beaucoup de gentillesse. Lukas se leva et s’approcha d’Erika. Il présenta sa petite main. Il avait vu faire les grands. « Enf’chanté » Il avait encore quelques problèmes avec le C sans rajouté un f. Le message était tout de même clair. Bref, il retourna sagement à sa place pour manger ses céréales. « Qu’elles sont vos questions ? »










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