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| (anim) L'appel du sang. (finish) | |
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PROFIL & INFORMATIONS |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Mar 6 Oct - 16:54 |
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| wolfgang. pnj mangemorts : moony, vitaly, jake, clash, diana. C'était leur bataille, leur guerre. Ils étaient tous là, prêt, les muscles tendus par l'excitation d'un jour nouveau, d'une nouvelle air qui s'offrait à eux avec un goût délicieux de victoire, de gloire, et de sang. Les lycanthropes se tenaient à droite, en un troupeau d'une trentaine de personne, tous collés les uns aux autres, rigolant derrière des rangées de dent effrayantes. De l'autre côté, un groupe d'une dizaine de personne faisait office de représentant américain. À leur tête, il y avait Edward Clash, le regard qui brille derrière des lunettes noires épaisses. Pas de masque. Il n'a pas peur d'être reconnu. Derrière lui, sa femme et ses amis, quelques sorciers aux têtes de bandit. À leur droite, il y a Heinrish, l'allemand, et ses cheveux coupés de prêt. Derrière lui, Diana, la blonde pulpeuse, fine et élancée, les seins dont aucune main n'aurait été capable de faire le tour. Elle n'a rien d'une puissance extraordinaire, mais elle sait jouer la comédie mieux que personne. À leur droite encore, il y a Altaïr, des déserts du sud, au teint tanné et à la gueule grave. Il n'a l'air de rien comme ça, jeune comme il est, mais il en a sous le turban. Derrière lui, un groupuscule, composé de ses amis sans doute. Leur peau sent le sable en tout cas. Encore à côté, il y a Cassandre et quelques anglais. C'est pour elle, ou presque, qu'ils sont tous ici. Ils vont réduire en cendre Azkaban, ils vont la démolir. Terre battue elle fut, terre battue elle redeviendra. S'ils sont là, c'est pour une chose. À première vu, ils sont là pour sortir Lester Grey d'ici, et les quelques prisonniers. À première vu tout du moins. Intérieurement, le lycanthrope prépare quelque chose, et il sait que quelque chose va se passer, ici. Derrière lui, le visage d'une gamine de quatorze ans est rayonnant. C'est Moony qui tire sa manche pour attirer son attention, et chuchote alors au géant de muscle : « Nous sommes tous là, je crois. Il ne manque plus que les jumelles et Kirill, et nous serons au grand complet. »Le grand loup la regarde et acquise en silence, lui tapotant la tête de sa large main avant de reporter son attention sur les mangemorts. Il ne faut pas attirer l'attention des gardes, il ne faut faire aucun bruit. C'est une « surprise » made by Wolfgang. Ça a tout l'air d'un traquenard... c'est pourtant si paisible, Azkaban, la nuit. Il se racle la gorge, puissant, son aura s'étends alors, sombre et inquiétante, au dessus de leur tête, alors qu'il se rapproche d'eux, groupe maintenant compact de suppôt démoniaque. C'est hilarant... c'est effrayant. « Si nous sommes réunis ce soir, ce n'est pas pour rien. Ce soir, nous prenons Azkaban et nous la réduisons en poussière. Je veux que rien ne subsiste de ces roches, de ces pierres, rien qui n'en vaille la peine tout du moins. » Il regarde alors, un à un, les mangemorts autour de lui. « Les lycans entreront en premier. Ils égorgeront les gardes et les surveillants. Altaïr, je veux que tu montes au dernier étage le plus vite possible et que tu fasses taire le directeur afin qu'il ne lance aucune alerte. Clash, je veux que descende tout en bas et que tu libères tous les prisonniers. Les allemands... faîtes le ménage. Pour ce qui est de toi, Cassandre, tu me suivras. Nous monterons au deuxième étage et nous irons sortir Lester de son trou. Si l'alerte venait à être sonner et que l'un de vos groupes se trouvent en difficulté, n'hésitez pas à faire le sort de pleine lune. Sur ce, je pense que le plan est très clair. Nous comptons surtout sur l'effet de surprise, donc aucun bruit. C'est bien compris? »Le grand loup se tu. Chacun, à partir de maintenant, était maître de sa propre vie et de celle du groupe. S'il l'un d'eux échoué, tout le monde échouerait. Mais aucun besoin de le rappeler. | |
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Kheeva CallaghanHUNTER. ► membre du staff
► MESSAGES : 233 Mar 6 Oct - 17:44 |
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| Mes chères filles, L'appel est lancé. Venez me rejoindre à Azkaban, sur la terre ferme, ce soir. Ce soir, il y aura le feu dans nos coeurs. C'est le début de tout.
W.
Le message était sans équivoque, après un mois et demi à attendre des ordres, Il se manifestait enfin. La surprise n'était pas le message lapidaire, le style abrupte ou la rapidité à recevoir des instructions, mais plutôt à l'endroit où elles devaient se rendre... Azkaban ? Les jumelles échangèrent un regard dénué d'expression, alors que Kheeva froissait le message pour le réduire en cendre. L'appel était lancé... et tous y répondraient. Un fin sourire naquit simultanément sur leurs lèvres, l'heure était grave, l'heure était à la guerre, et pourtant au fonds d'elles mêmes les deux lycanes ressentait une joie qui s'en allait crescendo, elles allaient revoir Jake ! Et ce pour la seconde fois en si peu de temps, chose rarissime. Peu leur importait la raison de la convocation, pour elles Jake passait avant tout. Ce soir disait le message...
La fin de journée passa tellement vite qu'elles ne virent pas la nuit arriver, elles seraient en retard mais qu'importe ? Elles devaient donner le change, jusqu'à nouvel ordre de Wolfgang, elles devaient restées à Poudlard, quoiqu'il arrive. Aussi prirent-elles le temps de terminer les dernières tâches alors que le soleil tombait sur le parc et la forêt. Là bas, en mer du nord, la nuit devait être déjà sur place... Presque silencieusement, les jumelles mirent en ordre la cabane, avant de sortir et de refermer soigneusement derrière elles, épées à l'épaule, baguettes dans la poche des leurs manteaux et arbalètes sous le bras, elles s'engagèrent, déterminées dans la forêt résolues à aller aussi loin que possible de l'école. Après un quart d'heure à courir dans les bois, elles disparurent dans un craquement sonore, comme une branche d'arbre qui se brise.
Crac. Changement de décor, la marée montante et le vent ravirent les jumelles qui sourirent comme des enfants, la mer avait toujours été une source de fascination pour elles. Elles se reprirent plus rapidement qu'elles ne l'auraient voulues en voyant qui étaient présents. Si Altaïr leur était plus que familier pour être lui aussi professeur à Poudlard, Cassandre Grey leur étaient connue par la presse... et autant dire qu'elle n'appréciait guère cette femme et sa réputation, les autres leur étaient inconnus. Tournant résolument le dos aux autres groupes, elles se dirigèrent prestement vers les autres lycans, adressant un sourire à Vitaly et embrassant Jake au passage, avant d'aller saluer Wolfgang et Moony d'une révérence.
Seigneur, pardonnez nous pour notre retard,... ...nous avons du faire comme si de rien n'était. Brouiller les cartes. Nous sommes à vos ordres.
Nouvelle révérence avant d'aller se ranger auprès de Jake, elles avaient semble-t-il rater les consignes d'Orlov mais elles comptaient sur Jake pour avoir un résumé rapide.
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Marla & Lester GreySORCIER.
► MESSAGES : 291 Mar 6 Oct - 20:04 |
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| Azkaban la forte dit-on. Un rire vrille les tripes d'une nuit noire comme un puits avant que dans un sinistre froissement de velours, le clan Grey s'avance derrière la plus jeune, la plus terrible: Cassandre Grey. Les cheveux propres pour une fois, relevés négligemment sur sa nuque droite, Cassandre Grey n'a jamais eu tant de noblesse. Noblesse, un mot qu'elle vomit entre ses dents serrées. La noblesse ça ne sert à rien. Sans un regard pour les autres, ceux qui se disent les siens, ceux qu'elle méprise pour leur timidité dans l'action. Cassandre ne connait pas la demie mesure et dans son velours rouge au col relevé, elle semble presque flottait au dessus de la tourbe marine. Magnifique Cassandre Grey. Terriblement magnifique. Le gris acier noir de ses prunelles exultent déjà, pupilles dilatées, sourire acérée. L'élégante se pose retenant son légendaire rire. Celui là même qui fait frémir même dans les rangs qui s'ammassent derrière Wolfgang. Mais elle a promis d'être sage ce soir. Théâtralement elle laisse ses bras retomber, ne faisant plus aucun cas de ses pairs, elle va d'abord saluer Heinrish, son compagnon d'ignominie comme elle aime à l'appeler et lui tends la main comme une grande dame qui attend qu'on la salue comme il se doit. Puis, son regard se porte sur les six drôles qui accompagnent l'Allemand de ses cauchemars préférés.
Cassandre- Mais quelle élégance!... Travis.
Fait-elle en s'adressant directement à Joshua, elle a un mal fou à ne pas exploser de rire. Elle a un sourire coupé à la lame de rasoir pour Pravda, un sourire amical retords et complètement pervers mais n'allait pas croire. Ensuite les charmantes Ervewood et l'homme qui ne connaissait pas le mot non, charmant jeune homme selon les dire de Cassandre. Enfin elle tourne le dos et va faire une révérence à Wolfgang qu'elle se plait à appeler Wolfy quand il lui plait ou...
Wolfgang - Cassandre, tu me suivras. Nous monterons au deuxième étage et nous irons sortir Lester de son trou. Cassandre- Ah pourquoi me punis-tu mon Wolfy, j'ai pourtant été une sage petite fille?
Elle s'efface sans vraiment s'éloigner de lui. Qu'importe qu'elle soit à la droite de Dieu, dès lors que Lester sera libre, elle pourra y aller de toute sa si spéciale personne...
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InvitéInvité
Mer 7 Oct - 9:02 |
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| - Ce soir Travis, on fait quoi ?- Heinrish nous l'a dit. Tout comme le gros lycan. Bouge à les rejoindre. On va être en retard.- Oui.En voilà une nouveauté. L'homme d'une trentaine d'année entra dans une petite chapelle abandonné, sombre, et ténébreuse. En son sein, l'on sentait une mauvaise vibration, quelque chose de complètement dégueulasse. Visiblement, cet endroit qui ne devait plus être fréquenté par des gens normaux depuis pertpette les olivettes, semblait habiter d'une force maléfique. Lorsque Joshua et son jumeau imaginaire entrèrent, ils virent Heinrish avachit dans un grand fauteuil défoncé, une jambe posée négligemment sur l'un des accoudoirs. Anastasia était assis à côté de son bassin, tandis que Cheyenne était un peu plus loin, entrain de nettoyer sa baguette magique, les fesses posées sur ce qui semblait être un autel. Pravda sortit de l'ombre en compagnie de sa douce, un sourire au lèvre, regardant Yvan, le serbe, qui était emmitouflé dans une grande cape noire et élégante. - Bien.... On y va, maintenant. Avait dit Heinrish, d'une voix langoureuse, délicate et sensuel, faisant apparaître un sourire animal sur toutes les lèvres sauf celle de Joshua, qui se contentait de suivre, comme habituellement. [...] Ils avaient transplané. Ils étaient non-loin de Wolfgang en personne. Heinrish avait les soeurs Everwood à chacun de ses bras, le regard brillant, l'air stupéfait devant quelque chose de beau. La vision de la prison d'Azkaban, réduite à néant, qu'il s'imaginait, était belle, magnifique... Époustouflante. Un léger sourire amusé vint se loger sur ses lèvres délicates, lorsqu'il vit arriver Cassandre Grey qui vint tous les saluer. Elle s'arrêta devant Heinrish, tel une grande dame, lui présentant la main, qu'il saisit délicatement, retirant son bras de celui d'Anastasia pour embrasser d'une façon douce et élégante le dos de la main de la soeur de Lilith. - Mais quelle élégance!... Travis.- Merci. Fit il dans un sourire. - ...Joshua était boudeur. C'était toujours son frère qui se faisait complimenter. Merde à la fin ! Heinrish eut un petit sourire amusé tandis qu'il regardait les jumelles lycanes, avant de remettre son bras dans celui d'Anastasia qui lui mordilla délicatement l'oreille, lui arrachant un petit frisson de plaisir. Wolfgang parla. Heinrish s'en amusa. Alors ainsi le rôle de la destruction était pour eux... Ce dernier ne put s'empêcher d'en avoir les yeux étincellant comme des diamants. L'allemand observa les alentours avec un amusement à peine voilé, puis il murmura doucement aux oreilles des deux jumelles de se retirer. Ces dernières transplanèrent dans une moue boudeuse, comme... Si on leur retirait le banquet de noël. Sauf que bon... Là c'est tout autre. Heinrish eut un léger sourire. Andreas embrassa doucement sa femme. Cette dernière s'eclipsa à son tour. En effet, pour une représentante officielle du Ministère... Il ne restait plus que trois. Trois hommes. Et peut être les pires du bataillon à l'heure actuel. Du moins, ils se disputeraient bien la place avec Clash et Cassandre. Heinrish s'approcha doucement de Cassandre l'air abattu. - Que diable... Nous ne serons point ensemble pour cette aventure... Promets moi de faire attention... Ils sont viles et perfides !Tout était de la mise en scène. Son regard attristé, son visage de l'homme abattu, le ton de voix à la XVIIème siècle... Bref. Autant vous dire qu'Heinrish était une star dans le domaine. Joshua et Travis observaient la scène avec une curiosité à peine voilé, tandis qu'Yvan se mettait à siffler une vieille chanson de guerre serbe, en sortant délicatement sa baguette qu'il frotta sur sa manche comme pour enlever une tâche. | |
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Luke MidnightMAGISTER. ►ès Métamorphoses.
► MESSAGES : 573 Mer 7 Oct - 19:40 |
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| Azkaban. Ca avait plus ou moins bercé toute son enfance. Son père en avait été le directeur adjoint au temps de sa gloire passée et il avait eu la facheuse habitude d'accrocher dans son bureau des posters de la prison de haute sécurité, ainsi que des photos animées de ses plus célèbres détenus. Souvent, il emmenait Luke et Gabriel dans cette pièce lugubre en leur montrant ce qu'ils deviendraient s'ils enfreignaient les lois. Glauque comme enfance, c'est un fait. Sans doute était-ce ces images terrifiantes qui avaient donné à Luke l'envie d'être célèbre lui aussi, d'avoir sa photo enfin accrochée quelque part à la vue de son père. Les mangemorts, avant de les rejoindre par conviction, ils les avaient surtout joints pour faire chier son paternel. Azkaban... Après leur départ du quartier général, la voilà qui s'élevait devant elle, majestueuse, belle à sa manière et leur. Cette nuit, elle serait leur. Dans le monde magique, ils seraient les premiers. Ils entreraient dans l'Histoire. Ce soir...
Son regard s'attarde sur la prison de pierre, balayée par les vents, puis caresse des yeux ses camarades. Certains ont dans les yeux des lueurs d'excitation, d'autres dissimulent vainement leur impatience. La plupart dégagent un calme froid et inquiétant. Chacun a reçu ses ordres de mission, chacun son rôle, pas de place pour l'improvisation. Pour que la scène soit parfaite, chacun doit jouer son personnage dans les règles de l'art. Un frisson court le long de son dos : excitation, fébrilité, appréhension sans doute aussi. Il a reçu son rôle : rester devant la porte et empêcher les Aurors d'entrer, aussi longtemps qu'ils pourront les retenir. Dure mission, certes, mais gratifiante à ses yeux car elle est importante. Une moue désagréable s'affiche sur son visage quand il comprend que Wolfgang et Heinrish ne seront pas dans le même groupe que lui. Il aurait bien aimé un grand méchant pour couvrir ses arrières. Ou même ses avants. Voire ses côtés aussi. Loin de lui l'idée d'être un pleutre, mais bon s'il peut prendre le moins de risques possibles et sauver sa peau en même temps... Tandis que ses "collègues" du soir se dirigeaient déjà vers l'entrée, prêts à les défendre corps et âmes, Luke, plus lent, marmonnait gaiement entre ses dents :
« Allez-y, je vous rejoins ! »
Traînant un peu plus les pieds que les autres, plein d'entrain, Luke réfléchissait déjà à comment éviter un maximum de se faire tuer.
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Ven 9 Oct - 2:36 |
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| Maïka avait une petite sortie inhabituelle avec son mari. Quel genre de sortie ? Une sortie vraiment étrange, mais … quand est-ce que la chère Maïka allait dire non à la liberté de voir plus loin que le bout de son nez ? Jamais. Elle n’allait jamais dire non à une petite sortie en compagnie de son mari. Elle avait besoin de sortir de la maison, respirée le grand air. Mais où allait-elle avec ce dernier ? Pourquoi devait-elle se préparer différemment ? Mais qui avait parlé de différent ? Eh bien, c’était une sortie inhabituelle, comme je l’avais dit plus haut. Elle devait cacher son identité aux autres pour ne pas avoir de problème par rapport à la justice qui viendront certainement la faire chier devant ses petits bouts de choux et ça… elle ne voulait pas. Alors elle s’était habillée de façon à pouvoir bouger plus rapidement que dans ses habits de haute société ou encore d’aguicheuse. Le temps n’était pas à séduire son mari, mais cela sera beaucoup plus tard qu’ils joueront à leur jeu préféré. Elle avait pour but de participer aux activités d’Edward. Elle devait aller à Azkaban avec son mari pour faire une chose dont elle ne comprenait pas trop, mais elle verrait en temps et en lieu. Elle comprenait sans trop comprendre, mais ce qu’elle savait c’est que ça pouvait être dangereux. Le danger la seule chose qui était excitante dans la vie, ce n’est pas pour rien qu’elle était mariée avec un homme dangereux, il était excitant, viril et bel homme, tout pour plaire à la métisse.
Azkaban une énorme prison où renfermait de dangereux criminelles. Maïka regardait les pierres sombres de la prison face à elle. La métisse était postée tout près d’Edward le tenant à l’œil. Il y avait d’autres personnes présentes, l’hawaïenne étudiait chaque personne… Pourquoi étudier les gens qui étaient présents ? Pour savoir à qui elle avait à faire. La métisse resserra les rangs allant plus près de son mari sans toutefois se coller contre lui. Elle restait silencieuse et fixa Wolfgang. Elle écoutait ce qu’il avait à dire sans dire quelques choses. Pour une fois qu’elle gardait le silence sans essayer de contrôler, sans essayer d’être la plus forte. Il fallait comprendre que Maïka avait toujours agi en conséquence de devoir être celle qui dirige tout, mais après s’être mariée avec Edward, elle avait perdu ce pouvoir de domination sur à peu près tout le monde qui ne faisait pas parti du cercle Clash. Elle n’avait plus moyen d’exercer ce qu’elle avait toujours appris chez les femmes appelez Lady. Qu’est-ce que ça servait cette petite formation qu’on lui avait obligée de faire ? À rien. Les maris ne se basaient pas sur ça, encore moins Edward en première vu… Tout le monde partit et, elle, elle avait gardé le silence. Elle avait suivi instinctivement son mari. Elle pénétra dans la prison sachant ce que son mari devait faire. Elle allait le couvrir tout en se défoulant… se défouler ? À quoi ça servait ? À taper sur d’autre à cause des infidélités de son mari. En ce moment, elle devait faire le vide complet pour pouvoir faire ce qu’elle avait à faire… Pour le moment tout allait bien… tout allait bien.
{ C'est court, c'est laid... c'est du blabla ! Mais j'ai cru que je devais bien participer à cette animation... Je me reprendrai dans le prochain ? En tout cas, je suis désolée pour cette merde }
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Lun 12 Oct - 5:55 |
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| Le regard obsidien se posa sur les jumelles, sans ciller, d'un impassible froid et sévère. Elles étaient en retard, mais pouvait-il vraiment leur en vouloir? C'était lui qui les avaient envoyer là bas. En somme, il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même. Il signifia d'un geste de tête qu'il comprenait, et que ce n'était pas grave.
Seigneur, pardonnez nous pour notre retard,... ...nous avons du faire comme si de rien n'était. Brouiller les cartes. Nous sommes à vos ordres.
À côté, Jake fit apparaître comme par magie deux masques vénitiens, à la mode des grands carnavals et de la comedia dell'arte, de quoi les faire sourire, elles qui semblaient si tristes durant leur dernière rencontre. Le jeune Orlov se pencha vers elles et chuchota, sans déranger le moins du monde les autres mangemorts autour :
« Wolfgang a déjà donner ses ordres. Nous, nous allons commencer par défoncer l'entrée avant de faire tous les étages et de les vider de leur garde. Ça sera tout pour nous... mais sait-on jamais, s'il y a du grabuge, vaut mieux rester à plusieurs et ne pas s'exiler chacun dans son coin. »
En d'autres termes, c'était purement une invitation à rester à trois. Wolfgang, quant à lui, était resté droit, cherchant du regard dans les troupes celles et ceux qu'il ne connaissait pas, et à vrai dire, il y en avait aucun. Diana lorgnait d'un oeil indiscret Izaak qui, devant César, lui expliquait comme saisir un steack d'humain aux petits oignons. Ce gamin – bien qu'il fut âgé – était infernal. Et c'était bien. Wolfgang porta son attention sur Cassandre, la belle et terrible Cassandre, avec un sourire amusé.
« Cassandre, tu me suivras. Nous monterons au deuxième étage et nous irons sortir Lester de son trou. » « Ah pourquoi me punis-tu mon Wolfy, j'ai pourtant été une sage petite fille? »
Son sourire s'agrandit, se fendant, dévoilant le bout d'une rangée de dent effrayantes. Malgré sa vingtaine de siècle passées, Wolfgang restait ce que l'on appelait un « lycan en pleine forme », autrement dit, d'un seul coup de mâchoire, aurait pu vous faire exploser la boîte crânienne. Il leva doucement la tête, et son œil se fit miroir de l'astre pâle qui lui servait de déesse, d'amour, de tendresse. Bien. C'était l'heure. Il reporta son attention sur Izaak qui, tout de suite, se tourna vers lui, les yeux plein d'envie. Izaak était un dingo. Petit, mais redoutable. On ne prenait pas bien conscience de ce qu'il était vraiment avant de l'avoir vu à l'œuvre, et si on se moquait de son corps, il n'en restait pas moins que n'importe qui n'aurait pas voulu être face à lui en temps de pleine lune. César approcha de Wolfgang en même temps qu'Izaak et siffla à voix basse :
« Midnight est un bon mangemort, mais il a peur de son ombre. Veillez à l'entrée avec lui. » Izaak eut un large sourire, auquel Wolfgang répliqua sèchement : « ...et je le veux entier, Izaak, pas en petits morceaux. Si à mon retour il n'est plus là, tu paieras les pots cassés. »
Le sourire du Solokoff se transforme en grimace. Wolfgang releva la tête et fit signe à tout le monde qu'il était l'heure. Izaak regarda Wolfgang et persifla entre ses lèvres :
« Puis-je au moins me transformer pour la percée? » « Si tu te contrôles, tu le peux. » « Merci... »
Izaak fit une révérence et sauta à l'avant du groupe de mangemort qui avançaient sans un bruit dans la nuit. Comme une centaine de pupille brillantes, Izaak, lui, ne ressemblait pas à une vague d'étoile mais à un brasier à lui seul. Derrière ses mèches noires, le gamin de quinze ans, avança, avec un rictus qui annonçait déjà que ça allait faire mal, très mal. Izaak était sorcier, ce qui était un plus quand on était lycan, un très grand plus. Moony, elle, ne l'était pas, et c'est pourquoi elle resta derrière Wolfgang, suivant de prêt l'immense montagne de muscle et de sang. Izaak ferait son travail, et le ferait bien. Pendant quelques secondes, Izaak sortit du champ de vision des autres mangemorts, étant plus en avance qu'eux. Alors que les mangemorts avançaient, Izaak achevait sa besogne, s'éclaboussant de sang après avoir réduit au silence toutes personnes susceptibles de déclencher l'alarme. Quand Wolfgang et les mangemorts arrivèrent devant Azkaban, jonchaient alors sur le sol ce qui ressemblaient vaguement à deux humains réduits en purée, en charpie. Rien de bien humain qu'un tas d'os et de chair immonde et sanguinolent. Izaak avait alors le visage recouvert de sang, et son regard brillait. Il le posa sur Wolfgang qui tapota la tête du Solokoff en passant, et ne s'arrêta pas.
Wolfgang s'arrêta à l'intérieur du bâtiment, le regarda, et avec un sourire satisfait, siffla :
« C'est l'heure. »
Les mangemorts, en groupe plus ou moins important, se dispersèrent dans l'immense bâtisse. Les Allemands suivirent Heinrish de prêt, les lycans partirent de leur côté, et Wolfgang jeta un regard à Cassandre et Vitaly pour qu'ils les suivent. À trois, ils étaient bien assez. Wolfgang laissa Cassandre et Vitaly montaient en premier, sifflant. Izaak, à l'entrée, se retourna, tout excité.
« Izaak, je compte sur toi pour ne laisser personne entrer, mais s'il venait à y avoir beaucoup trop de personne... déguerpit. » Izaak haussa un sourcil, surpris. « Je ne veux pas perdre un bon élément dans une première attaque. » Le Solokoff grimaça. « Ne fais pas ton téméraire, Izaak. Sinon je viendrais te botter le cul moi même. »
Izaak alla pour répliquer quand César lui mit une claque derrière la tête et acquiesa à sa lace. Izaak grogna contre César quand Wolfgang commença à monter les marches, une à une, avec une certaine impériorité. Un cri résonna dans Azkaban. Izaak et César froncèrent les sourcils alors que Wolfgang serra les dents. Encore un qui n'avait pas écouté les consignes. Le cri s'arrêta net... et aussitôt, l'Alarme résonna. Maintenant, il fallait faire vite. Il ne fallait pas faire dans la dentelle. Wolfgang fronça les sourcils et rejoingnit Vitalye et Cassandre, au deuxième étage.
______________ Alarme sonnée, les aurors/adultes peuvent s'inscruster! (; have fun!
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Izaak A. SolokoffCRIMINEL. ► meurtrier. membre du staff.
► MESSAGES : 93 Lun 12 Oct - 7:43 |
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| La guerre… cette odeur de sang, de peur, de sueur et d’excrément, le son du dernier soupir, des cris retenus et des appels au secours muets… tout ça, ça lui avait horriblement manquer. Izaak avait passé des années et des années dans les terres gelées d’un monde où il n’y a ni jour, ni nuit, un monde où avec César, ils avaient chassé les chasseurs sur leur propre territoire, permettant à la communauté lycane de survivre au mieux dans ce qui était leur royaume de prédilection. Izaak, durant ses années, s’était sentit seul malgré la présence de César. Le peu de viande qu’ils mangeaient était de l’humain, mais un humain vieux et tordu par l’effort, pas l’humain tendre, quand les hommes ont à peine vingt ans et que leur peau est encore souple. Izaak ne regrettait pas ce temps là. De tout, il avait aimé les guerres sanglantes. Le vietnam, durant lequel il courrait à travers les arbres avec une insouciance perturbante, et qu’il se jetait sans regarder sur le premier casque qui passait, arrachant tripes et boyaux, dans un festin de sang, de chair et d’os. Ce temps là aussi était passé. Aujourd’hui, c’était l’ascension, la grande et belle ascension. Celle du loup chez l’homme. Wolfgang lui avait dit de ne pas faire de vague, mais Izaak, pour exister, avait besoin d’un raz de marée à son encontre, pour se persuader qu’il était bel et bien vivant, et surtout, qu’il n’était pas prêt de mourir. Aussi, quand Wolfgang lui signifia que lorsque les renforts ennemis arriveraient en nombre il faudrait déguerpir, la tête du lycan se rembrunit, ne comprenant pas pourquoi il lui disait de fuir quand il fallait être fort et courageux, mais le jeune lycan ne répondit pas, aussitôt happer par la large main de César, derrière lui, dont la fameuse main lui maintenait le visage alors que l’autre essuyait nerveusement le sang qui marquait la peau diaphane de l’éphèbe adolescent âgé de quelques siècles.
« Wolfgang a dit aucune bavure, Izaak. » « Mphrrf ! » César relâcha la mâchoire du lycan et roula des yeux, exaspéré de l’attitude gamine du lycan. « C’est moi qui décide de ma vie ! Si j’ai envie, je reste, ici ! » « …parfois, Izaak, tu es épuisant » « Hey ! C’est toi qui me dis ça ?! » « Oui, c’est moi… » « Je t’ai mordu ! Tu me dois le respect ! » « Tu es le surbodonné de Wolfgang. Tu lui dois obéïssance. » Izaak arqua un sourcil et fit la moue. « T’es vraiment pas drôle… » « Et toi, t’es surexcité comme si on t’avait pas nourrit pendant trois siècles. » « C’est p’être parce que c’est le cas… » Il roula des yeux, agacé. « Voici Calimero le retour. »
Izaak envoya un coup de poing à César qui le rattrapa. Le duo était comique, mais ce n’était qu’une façade, un jeu entre deux louveteaux avant la guerre, avant la grande menace, le grand dépassement de soi. César relâcha le poignet d’Izaak qui pencha la tête, apercevant l’humain. Il grimaça.
« Pourquoi on nous a mit avec lui ? » « Wolfgang a dit qu’entre gay, vous vous entendrez bien. » « Il a dit ça ? » Siffla Izaak. « …sale vieux… »
Tout de même, c’était intéressant, comme information. Izaak s’approcha d’un pas quand un cri retentit dans Azkaban, un cri perçant, et ensuite, un silence de quelques secondes, et une alarme. L’air de César, jusqu’alors imperturbable, se changea. Il se rembrunit et fronça doucement les sourcils. César, à l’inverse d’Izaak, n’était pas même sorcier, ce qui le désavantageait considérablement face à l’ennemi. Izaak sembla à l’arrêt, le regard fixe vers les falaises de l’île d’Azkaban, le regard clair, bien que froid.
« Je crois pas que c’était dans le plan, ça… » Izaak avança d’un pas quand la lourde main de César le retint du place. « Que … ? » « Il a dit, on attends. On sait pas encore combien ils sont, Izaak. » « Bon... » Izaak posa son regard sur le Midnight. « Tu nous suis à la trace, le mioche. Si on te perds, t'es cuit. »
Izaak siffla. Le jeune Solokoff avait toute une réputation de grand tueur, de grand assassin, etc. Si on le sous estimait de par l’apparence, César savait que lorsqu’il le voudrait, Izaak pouvait très bien le broyer en deux sans aucune difficulté. Izaak avait beau être un gringalet de quinze ans en apparence, il n’en restait pas moins un sang pur, et un psychopathe pullulant. | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 12 Oct - 8:32 |
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| feat. Phyllis & Catharsis. ______________________
Elle retira le lourd capuchon noir qui dissimulait son visage et sa chevelure blonde. La nuque légèrement raide, elle secoua la tête pour se délasser, relâchant une cascade de mèches brunes, d'un froid presque chaleureux. L'homme qui se tenait à ses côtés inspira profondément mais à la dérobée, visiblement le seul parfum des cheveux de la brune lui faisait quelque chose de pas très catholique. Il tendit la main vers ses cheveux comme pour toucher mais referma sa main en la ramenant, crispée, comme si ça lui était douloureux. La brune fit volte face, suspicieuse. Son expression était mauvaise, ses yeux d'un bleu cyanide mauvais.
- Si je n'y étais pas obligée vous ne seriez pas là Catharsis... Qu'est-ce que vous faites encore?',
La haine transpirait par tous les pores de la femme de cette étrange couple et quand à l'homme, Catharsis, il semblait respecter une certaine distance mais au prix d'un effort assez surhumain, sur-vampire peut-être même. Ce dont souffrait Catharsis pourrissait en lui depuis le commencement bien des siècles auparavant. Déjà quand Dante l'avait trouvé au prieuré et qu'il se substituait au saint homme qui recueillait la confession du jeune novice aux cheveux blonds, la mauvaise graine était déjà en lui, forte de racines frustrées mais si fortes... le diable au corps d'un si jeune enfant, cela n'avait pu que séduire le vampire. Catharsis pourtant avait consacré sa vie, et même sa mort au Seigneur, se frustrant jusque dans la chair pour l'honorer, pour se flageller en son nom et chaque fois Dante, la tentation, le faisait choir jusqu'aux enfers, et il adorait ça et il en concevait la pire des hontes, la pire des extases. Mais même quand Dante n'était pas près de lui, quand il respirait le parfum dans les cheveux de la brune, quand il regardait sa bouche aux lèvres pleines dès qu'elle déversait sa haine en d'acerbe parole ça lui faisait mal, Catharsis avait physiquement mal et mal dans l'âme. Enfer!
Elle s'arrêta déjà à quelques mètres de lui déjà, il s'était perdu dans la contemplation mais il avait péché simplement par la pensée, il venait de tromper le Seigneur. Catharsis referma encore un peu plus son visage si fermé et obéit silencieusement. Ce n'était pas à elle qu'il obéissait, c'était à lui, Dante. C'était lui qui l'avait envoyé ici, il obéirait comme le chien fidèle qu'il était.
- Passez devant.
Elle s'écarta toujours aussi mauvaise ne comptant plus lui adresser la parole avant que de n'y être obligée. Elle était venue pour rencontrer le détenu UE932. Caligulus Adder. Un fou disait-on, mais il savait des choses. Il savait ce qu'elle avait besoin de savoir, du moins en partie. Il connaissait une partie de l'histoire du poète. Elle allait à pas vif, fendant les couloirs jusqu'à ce qu'elle s'arrête net, en même temps que Catharsis:
Catharsis - Des lycans ici.. - Non, Wolfgang Orlov... c'est pire.
Ils échangèrent enfin un regard. Catharsis lui ouvrit la voie. Pas question qu'elle ne soit découverte elle était trop importante, trop... défendue. Il avait le visage de plus en plus sombre. Comment pouvait-elle déjà nommer Orlov? Elle n'avait pas les sens aussi affûtés que la mort avait donné à Catharsis. Mais elle avait une intelligence vive et un esprit logique assez hors du commun. Wolfgang était là en bas, c'était une évidence pour elle, un fait pour lui. Elle prit un détour, de nouveau devant Catharsis qui, l'esprit préoccupé par Wolfgang Orlov, avait cessé de souffrir le martyr un court instant. Ils pouvaient déjà les entendre et vu la configuration de la prison ils allaient forcément se tomber dessus, l'essentiel était alors de rester absolument telle qu'elle était car si Catharsis n'avait pas d'odeur propre et pouvait passer inaperçu, elle par contre, était déjà repérée par les deux lycans, sans doute cette si douce odeur de mûre sauvage qui ne la quittait jamais peu importe l'allure qu'elle se donnait...
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Luke MidnightMAGISTER. ►ès Métamorphoses.
► MESSAGES : 573 Lun 12 Oct - 21:30 |
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| Un dernier regard sur le groupe de mangemorts et ils avancèrent, masse compacte et plus ou moins disciplinée, vers Azkaban, ses hautes falaises et son air lugubre. Comprenant qu'il devait faire équipe avec les deux lycaons, Luke avait esquissé un reniflement plus méfiant que dédaigneux. On lui avait appris à ne pas les approcher, à éviter ces étranges créatures mi-hommes mi-bêtes un peu contre-nature soumises à leurs pulsions. Dangereuses car imprévisibles. En plus, le plus jeune des deux, Izaak (s'il avait bien compris son prénom), ne semblait pas avoir plus de quinze ans. Midnight passa une main contrariée dans ses cheveux châtains, les ébouriffant nerveusement. Il ne le sentait pas ce coup. Bien, advienne que pourra. Luke se met en marche, suivant des yeux César et Izaak qui s'élançaient, plus rapides que les autres, comme des jeunes chiots fous. Un haussement d'épaules désapprobateur et un ricanement sarcastique plus tard, Luke glissait subrepticement à son voisin de droite :
« Dis, tu veux pas échanger ? Le môme là-bas, il ne me dit vraiment rien qui vaille. »
Remarque complètement inutile et puérile à quoi son interlocuteur répliqua par un grognement dans une langue étrangère. Luke ne chercha pas à avoir le dernier mot et suivit d'un pas un peu plus rapide les deux lycaons, un air renfrogné sur le visage. Il avait jamais de chance. Enfin, sauf si l'on prenait le côté positif des choses : il ne rencontrerait surement pas de détraqueurs et ça, c'était plutôt une bonne nouvelle. Il arriva à la hauteur de ses deux compagnons du jour et ouvrit une bouche sidérée en voyant le carnage qu'ils avaient déjà fait. Corps informes et méconnaissables. A vomir. Izaak semblait pourtant avoir dans les yeux une lueur folle et joyeuse proprement effrayante. Et la vision de César lui essuyant le visage du sang de ses victimes ajoutait davantage de poids à cette scène d'horreur. Non, mais franchement... Aucun style, aucune finesse.. Il attrapa sa baguette du bout des doigts et joua quelques secondes avec avant de se diriger vers César et Izaak. Ce dernier ne semblait de toute évidence pas ravi de le voir parmi eux. Ouais, ben tant pis, il n'allait pas non plus s'excuser de venir à leurs côtés risquer sa peau. S'il avait eu à choisir, il aurait aussi préféré crever aux côtés de vrais humains.
« Eh. » commença-t-il en arrivant à leur hauteur.
Mais un cri strident interrompit sa phrase, perçant le silence. Un air contrarié sur le visage, Luke se tourna vers les deux lycaons. L'expression de surprise et d'embarras sur leur visage ne laissait aucun doute. Ca c'était une belle bavure. Durant quelques secondes qui parurent interminables, le silence régna, laissant croire que tout était passé inaperçu puis soudain... l'alarme se mit à sonner, appelant à la rescousse Aurors et gardiens. Tout commençait ici.
« Tu nous suis à la trace, le mioche. Si on te perds, t'es cuit. » « Ouais, c'est ça, louveteau. »
Un brin sarcastique. Bien qu'il l'ait vu le visage ruisselant de sang, Luke se basait avant tout sur l'apparence d'Izaak qui n'était guère impressionnante. Sans doute le sous-estimait-il mais il n'en avait cure pour le moment. Le lycaon l'avait attaqué dans son amour propre et il le fusillait proprement du regard. Enfin, il reprit contenance, et scruta l'étendue devant eux. Bientôt, elle serait pleine de renforts et, tant bien que mal, il faudrait les retenir. En veillant à ne pas y passer. En veillant aussi à ne pas perdre un des deux lycaons. Wolfgang ne lui pardonnerait surement pas s'il revenait sans l'un de ses loups. | |
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InvitéInvité
Lun 12 Oct - 23:45 |
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| Je réponds pour sûr demain soir attendez-moi é_è | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Sam 17 Oct - 5:05 |
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| Wolfgang montait les étages rapidement, impassible, suivi de prêt de Cassandre et Vitaly. Jake était resté en bas, avec les Allemands et surtout avec les jumelles. Tout autour, un silence macabre et des craquements d'os. Certains lycanthropes avaient opté pour la méthode facilement, qui finalement n'était peut être pas la plus mauvaise. L'Alpha monta les deux étages rapidement et s'arrêta devant la lourde porte de fer qui était la fameuse cellule de Lester Grey. Il tendit la main pour l'ouvrir quand Vitaly grogna. Wolfgang, en se retournant, sentit lui aussi cette fameuse odeur, étrangère et incongrue. Vitaly jeta un regard à Wolfgang qui acquiesça et se transforma en lycanthrope à leur côté, ses os craquant avec facilité. Il ne lui resta qu'un lambeau de vêtement pour tout attirail, mais déjà le loup noir aux yeux bleus s'élançait dans les escaliers, faisant des bonds surhumains pour rattraper la fameuse « proie ». Wolfgang se retourna, assuré que son fils aîné saurait quoi faire, et reporta son attention sur la cellule. Il essaya d'ouvrir la porte et nota qu'elle était fermée à clef, comme il aurait du s'y attendre. Il fronça doucement les sourcils et regarda autour de lui. Pas de gardiens, donc pas de clefs. Il soupira et regarda Cassandre, son regard signifiant clairement « recule ». Il regarda la porte, toqua trois fois, et prit un élan d'un pas, rejetant son poing en arrière avant de le propulsait en avant, fracassant la porte qui se lia en deux, malgré l'épaisseur du métal. Pour un lycanthrope, briser n'était rien. C'était même ce pourquoi ils étaient nés. La porte, pliée en deux, ne ressemblait plus à rien. Le poignet de l'Alpha saignait pourtant, écorché par le métal, mais les plaies se refermèrent et il ne resta que le sang, marbrant sa peau pâle. Il l'essuya nonchalamment sur son manteau alors que la porte glissa, et tomba sur le sol. Wolfgang regarda Cassandre, lui laissant le plaisir d'annoncer à son frère combien il était libre.
De son côté, le loup noir, immense et au pelage épais, montait les étages avec une facilité déconcertante, se jetant d'un étage pour aller à un autre, se rattrapant tel un acrobate. L'escalier en cercle ne fut pas un obstacle pour le loup noir qui tomba, lourd, au bout du couloir. Devant lui, à quelques mètres, un vampire – au vu de sa non-odeur – et une jeune femme – au parfum de mûre – se tenaient. Il y eut un craquement d'os rapide, l'homme apparaissant alors nu au bout du couloir avant de sortir sa baguette et de se constituer un nouvel ensemble sobre, noire. Vitaly était à nouveau Vitaly, bien que ses cheveux étaient en bataille. Son regard bleu de glace se posa sur le vampire et il grogna d'une voix rauque. Il n'y avait jamais eut de guerre ouverte entre lycanthrope et vampire, mais les deux peuples n'avaient jamais été non plus très amis. Vitaly, avec un sourire lupin, s'approcha des deux individus, sans une seule force d'animosité. Il semblait étrangement calme et serein, pacifique aussi. Il s'arrêta à quelques pas des deux, et son regard se posant sur la vivante, évitant de croiser le regard du vampire volontairement.
« Vous... vous êtes au mauvais moment, au mauvais endroit. »
Ce n'était pas une menace, juste une remarque. Le lycanthrope n'avait pas tord. En plein milieu d'une attaque lycanthrope, tout de même...
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InvitéInvité
Lun 26 Oct - 2:24 |
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| L'appel du sang. Vous connaissez? C'est ce qui fait qu'à Azkaban, les alarmes sonnent, explosent, gueulent, vomissent. Sur la terre, les premiers canots débarquent des dizaines de mage, foules compactes qui se regroupent, parlent tout bas. Trois de ses formes se détachent, plus déterminées que les autres qui les fixent, étonnés. Derrière les longues capes, trois silhouettes. La première d'entre elle retire la cape de sur ses épaules, laissant apparaître un corps fin et droit, à le tenu fier et au menton haut. Le regard bleu de glace balaye les alentours. C'est Misha Vanna Syl, la chasseuse, la démoniste. Tant de nom ridicule. Dans sa main droite, elle tient sa baguette. Dans la main gauche, elle porte une arbalète à carreaux d'argents. À la ceinture, deux colts à balle de six millimètres soixante six, bénis et argentés. On est jamais mieux protéger que par soi même. Elle court plus vite que les deux autres silhouettes. Celle à sa droite découvre sa cape à son tour, laissant apparaître un visage doucement tanné. C'est Caïn de Riviera, un enfer pour les mexicains. Sa baguette d'acajou brille d'une lueur auburn dans la nuit. Elle attends le moment. À la gauche de Misha, une troisième cape s'envole. Le visage pâle, le regard noir, des gants blancs et des cheveux noirs, c'est Abaddon Van Hellsing, le professeur de sortilèges de Poudlard qui tient une baguette mais qui sait qu'il n'en aura pas besoin ce soir, qu'il a bien meilleur dans ses mains. Leurs trois silhouettes avancent rapidement. Ils savent ce qu'ils ont à faire. Au loin, quatre silhouettes se font justement attaquer par des mangemorts. Trois qui se trouvent à l'entrée d'Azkaban. Les guets, donc. Misha se met en arrière, elle vise. À côté d'elle, les deux hommes sourient narquoisement.
« SPERO PATRONUM! »
Un sort ridicule et inutile? Pas vraiment. Un basilic immense s'échappe de la baguette de l'alchimiste alors qu'un desperado, dragon mexicain, s'extirpe du bois de l'hispanique. La lumière des deux patronus fait l'effet d'une deuxième soleil. Tout le monde est aveuglé. Sauf Misha. Alors que le basilic et le desperado s'élancent vers l'entrée, aveuglant l'ennemi, elle lance son sort.
« Absumere. »
La voix froide, presque un souffle, forme pourtant un sort puissant. La boule rouge, électrique, file à une vitesse effrayant vers Azkaban. Le Desperado et le Basilic disparaissent alors, et les trois mangemorts ont à peine le temps de bouger que le sort touche la parois de la prison. Absumere. Du latin DETRUIRE. Et ça a tout à fait un effet... magique. La boule pourpre a l'effet d'une décharge de dynamite surpuissante. Ça explose la parois qui éclate en morceaux. Un nuage de poussière s'élève, cachant les mangemorts. Maintenant que l'entrée est faite, il ne manque plus qu'à attendre les renforts. Le nuage de poussière retombe doucement... les gravats bougent, pris d'une nouvelle vis.
« Ils sont pas crever. » « C'est des lycans à coup sûr. »
Elle grogne dans ses moustaches. Mais qu'est-ce que fous Knox, bon sang? Abaddon et Caïn semblent plus calmes. Relativement plus calmes.
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Izaak A. SolokoffCRIMINEL. ► meurtrier. membre du staff.
► MESSAGES : 93 Lun 26 Oct - 2:31 |
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| « Tu nous suis à la trace, le mioche. Si on te perds, t'es cuit. » « Ouais, c'est ça, louveteau. » « Y me cherche le pédé? » « Izaak... » soupira César. « Quoi?! »
Le « jeune » lycanthrope répliqua d'un ton incisif et acerbe. César le regardait, toujours aussi calme et imperturbable. L'avantage d'être un lycan, c'était que l'on soignait d'une fracture plutôt facilement et rapidement... et ça servait quand on était en compagnie d'un Izaak survoltait, le regard fou, cherchant l'affût d'une proie, de sang, de chaire fraîche. Si César n'était pas sorcier, Izaak l'était, mais la magie ne lui servait pas réellement dans le sens où il avait une force physique plus qu'impresionnante, de quoi briser une jambe rien qu'avec un coup de poing, et il avait montré plus d'une fois qu'il était particulièrement doué pour. Tout le riait bien de sa condition de gamin de quinze ans, pré pubère, imberbe, qui mesurait à peine un mètre soixante cinq et qui était fin comme un fil de fer, mais personne ne riait quand justement le lycan s'énervait, car Izaak n'avait vraiment, vraiment, vraiment pas d'humour – si ce n'est le sien. Izaak, pourtant, après avoir entendu l'alerte sonnée, était redevenue d'un calme froid et effrayant, l'œil balayant toujours la plaine devant eux. Il y avait quelques buissons, mais pas de quoi cacher un corps d'homme. Pas de forêt, ou alors au loin, très loin. Le lycanthrope grinça des dents et huma l'air, ses narines se dilatant une fois, puis deux, puis il siffla entre ses lèvres :
« Ils sont quatre. Trois mâles, une femelle. Ils se chient dessus. À mon avis, les renforts sont pas encore arrivés. Ça doit être les gardes côtes... »
Il n'y avait personne pourtant. César huma l'air mais ne sentit rien. Izaak était un bon pisteur, et il avait un avantage sensible sur César : il était sang pur, et il était bien plus vieux que lui, du haut de ses huit siècles passées. Pendant huit minutes, il n'y eut aucun bruit, aucun mouvement, un silence de mort. César lui même douta de voir quelque chose approchait quand on au loins, quatre points noirs apparurent. Le regard d'Izaak brilla et il fit un pas en avant, mais César lui attrapa à nouveau l'épaule.
« Wolfgang a dit que tu devrais te transformer juste si y avait besoin. » « Et là, y a pas besoin? » vociféra le lycan. « Non. T'as une baguette. »
Izaak regarda César et frappa la main. Il y eut un crac sonore. Izaak, en un seul coup bien placé, venait de casser le poignet de César. La main pendait mollement, et César grimaça de douleur alors qu'Izaak le fixa, comme cherchant une lueur de soumission. César attendit quelques secondes et il y eut un nouveau crac. La régénération lycane venait de faire qu'il venait de récupérer son poignet et donc sa main. Il se plaça à gauche d'Izaak, alors que ce dernier sortait sa baguette de sa poche. Les points noirs devinrent rapidement des silhouettes informes. Izaak fit un informulé de protection magique, un champio, sur chacun de ses coéquipiers, et émit un grognement rauqua en voyant que les silhouettes s'étaient stoppées et sortaient alors leurs baguettes. Il tendit la sienne et cracha :
« Experlliamus. »
Le sort était certes bénin, mais le sort frappa de plein fouet l'un d'entre eux qui fut propulsé quelques mètres en arrière. Ses coéquipiers, tout tremblant, suait, et le lycanthrope le sentait d'ici. Les quatre gardes n'étaient qu'à une dizaine de mètres d'eux, et Izaak les garda en joue, attendant le moment précis où il pourrait lancer le fameux sort. César, lui, restait impassible.
...
Il y a trois ombres qui arrivent. Izaak est méfiant. Très méfiant. Ils sentent le calme, la puissance aussi. César aussi grogne. Ses muscles se tendent sous sa peau tannée. Le jeune Solokoff se penche un peu, serrant un peu plus sa baguette entre ses doigts. Deux lumières violentes apparaissent. Des patronus! Izaak a comprit, presque aussitôt. Il a comprit, et il le gueule.
« AURORS! César, Luke! »
Ce n'était pas pour appeler Luke qu'il disait ça, mais pour le protéger, et César l'eut très bien comprit. Aussitôt que la boule rouge fit disparaître les deux patronus, le grand lycan qu'était César sauta sur Luke. Izaak regarda la parois éclatait contre le sort. La façade du premier étage dégringola et tomba violemment sur eux. Dans un nuage de poussière, les lourds gravats les frappèrent... Izaak sentit son corps entre deux gros blocs de pierre et renifla, sentant le sang coulait le long de ses sinus. Merde, pensa t-il, avant de repousser le gravât et de se relevait difficilement. Un peu plus loin, c'était César qui était réapparu, et en dessous de lui Luke, protégeait par le lycan. César jeta un regard à Izaak alors que le nuage retombait.
« Et là, je peux me transformer? » « On voit ça. À trois, c'est faisable. » « Il sent pas l'humain, le grand brun, César. » « Wolfgang a dit en cas de nécessité... » « Putain, mais... »
Izaak grogna et reporta son attention sur les trois silhouettes qui avaient cessé de bouger. Bien. | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 26 Oct - 12:34 |
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| Catharsis le sait, il doit mourir pour elle, la superbe brune à la chevelure cascadant jusqu'au bas d'une chute de rein royalement interdite. Il n'a aucune envie de mourir pour elle, mais c'est la loi. Alors il se place au devant d'elle en sentant la puanteur de ces animaux qui se baladent sous les traits avenants d'hommes jeunes. Les lycans. Le vampire leur voue une haine presque toute naturelle, mais ça non plus il n'y a pas le droit. Pas de vague, soyez discrets, c'est ainsi qu'avait parlé l'Aîné. Alors Catharsis serre les dents, son regard est mauvais sous sa capuche de bure noire, ils ne bougeront pas. Sa protégée elle, se tient tranquille et fière. Elle ne tremble pas, pauvre mortelle, devant la menace qui s'avance vers eu, grandissante. Ils devinrent par avance le crac sonore, puis une silhouette se dessine. La jeune femme observe, c'est un homme d'apparence jeune, mais elle ne s'y laisse pas tromper. Elle passe devant Catharsis; dédaignant le bouclier qu'il faisait de son corps pour la protéger. C'est une femme de caractère bien que ses traits doux de princesse ne semblent pas calquer parfaitement avec ce trait de sa personnalité. Elle remarque un effort de diplomatie de la part de leur "ennemi":
Vitaly - « Vous... vous êtes au mauvais moment, au mauvais endroit. » - Semble-t-il, je présume qu'il n'est pas à l'ordre de passer nos chemins et de s'ignorer?
Elle ne dirait pas son nom à moins qu'un ordre d'en haut ne le lui commande. Sa mission était simple, elle se devait de conserver l'anonymat avant tout. Avant même sa propre survie quand bien même cela semblait contre nature. Elle avait un ton de voix posé et agréable et semblait également très au fait de ce qui se faisait entre les lycans et les vampires, et particulièrement devant un des fils de Wolfgang Orlov, car elle reconnaissait bien Vitaly Orlov si lui n'avait encore aucun moyen de la deviner sous sa couverture. Celui qui l'envoyait ici, l'avait toujours préservée des regards indésirables. Elle était donc décidée à suivre sans faire d'histoire afin de ne pas perdre tout espoir de négociation, elle devait avant toute chose parlait à ce prisonnier qu'ils étaient venu visiter. Catharsis ne parlait pas, dardant d'un regard noir l'intrus qui les interrompait. Soudain, une vibration se fit sentir dans les murs, quelque chose de puissant mais ça ne venait pas de l'aile où ils se trouvaient. La jeune femme leva les yeux pour évaluer le danger avant de reprendre posément:
- Vous n'avez pas été suffisamment discrets semble-t-il, les Aurors sont déjà là. Menez nous à celui que vous savez, il n'est pas dans nos intérêts de perdre notre temps en bavardage maintenant...
Et tandis qu'elle faisait ce tour impressionnant de diplomatie Catharsis fulminait:
Vous voulez nous faire tuer! Ne parlez pas avec cet homme il est dangereux, vous ne le connaissez que de vos études je l'ai vu de près à la guerre. Vous êtes folle et imbu de votre pouvoir, je pourrais le tuer et nous partirions...
- Le tuer? Il ne serait guère judicieux de tuer un prince Catharsis', répondit-elle de sorte que Vitaly puisse entendre,' Préfères tu être emmener de force ou dignement?
Elle montrait par là qu'elle ne cachait rien, bien qu'en somme c'était faux. Dans le fond elle était aussi par une curiosité dévorante de rencontrer Wolfgang Orlov, son si prestigieux ennemi de toujours.
Catharsis - Nous vous suivrons', grinça-t-il,' ... mais je vous tuerai s'il est fait le moindre mal à cette femme.
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InvitéInvité
Lun 26 Oct - 12:44 |
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| A peut-être une dizaine de milliers de pieds, le ciel se déchira. Un éclair particulièrement violant se fit apercevoir avant de retentir comme un millier d'explosion au dessus de la prison d'Azkaban. La foudre tapa le sol avec force laissant apparaître un petit groupe de personnes. Au centre, encore fumant, l'on pouvait apercevoir un jeune homme de dix-sept ans, le sourire aux lèvres, une lueur amusée dans son regard. Il regarda à côté de lui, son grand frère, qui sortit sa baguette noire de sa poche en même temps que les trois autres. Parmi les trois autres, il y avait Knox, un ex-auror douteux mais que l'on ne pouvait qu'avoir confiance en lui dans ce genre de situation, une jeune demoiselle à la chevelure blonde qui se prénommait Judith, dont le métier n'était autre que langue-de-plomb, et un homme d'un quarantaine d'année. Un homme que beaucoup de personnes pouvaient connaître étant donné sa réputation dans les bas-fonds des villes sorcières, comme moldus. C'était Alicante. Le petit groupe se regardèrent furtivement, avant de se voûter légèrement pour commencer à avancer en direction de l'entrée où l'on entendait une explosion retentir avec force. Knox soupira doucement, avant de murmurer :
- Misha.
Enrique fronça un sourcil, tandis qu'Alicante fit mine de s'arrêter, levant sa main en forme de poing. Tout le monde s'arrêta. Un sortilège fusa en leur direction, et Knox en dévia la trajectoire d'un mouvement de la baguette. C'était un mouvement fluide et gracieux, comme si il se battait au Katana. Judith lança un patronus de la forme d'un aigle royal tandis qu'elle était copiée par Javier qui envoyait un fabuleux taureau en direction du sort.
Tout à coup, sur le côté, un homme surgit de nulle part, se jetant sur Enrique qui s'écroula au sol. L'homme lui saisit la tête à l'aide de ses deux mains pour la lui taper au sol. Rapidement une main se fit sentir sur l'épaule de l'homme. Alicante souleva l'homme à la seule force de son bras pour l'envoyer paître contre un tas de caisses en bois. Enrique se releva, le rouge au visage. Il était énervé. Il sortit à son tour sa baguette, et lança un seul et unique sort :
- Murus Incarcerem !
Le sortilège l'atteignit violemment alors qu'il sortait sa baguette pour tenter de contrer le sort d'Enrique. Le sort était d'une telle violence qu'il envoya le mangemort contre un mur, où des mains sortirent de ce dernier pour lui maintenir bras et jambes, torse et tête. Et enfin, une main vint se blottir sur les lèvres de l'homme, tandis qu'il tentait de lancer des sorts à l'aide de sa baguette. Javier lui avait lancé un sortilège de désarmement, tandis que Judith, qui s'était approché de lui, ramassa la baguette et la brisa en deux devant ce dernier. Elle eut un léger petit sourire, avant de finalement rejoindre le groupe.
- Maintenant, on fonce !
Knox était devant, en compagnie de Judith, tandis qu'Alicante fermait la marche avec Enrique et Javier. Ils arrivèrent à la hauteur de Misha, en cinq minutes. Knox ne dit rien, mais dans son regard, il y avait ce genre de phrases que l'on pouvait y lire : Qu'est ce que tu fais là ? Oh, ce n'était pas vraiment un reproche, c'était juste un instinct conservateur de ce cher bonhomme. Alicante murmura :
- Avec 'Rico & Jay', on va passer par un autre chemin... Le coup de la porte d'entrée c'est classe... Mais ça manque d'un petit quelque chose...
Il eut un sourire et se retira dans les ténèbres en compagnie d'Enrique et de Javier. | |
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Kheeva CallaghanHUNTER. ► membre du staff
► MESSAGES : 233 Mar 27 Oct - 20:48 |
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| L'apparition des masques vénitiens avaient réussi à tirer un sourire amusé aux jumelles, même si elles n'étaient pas ravies de la situation. D'une elles n'appréciaient guère de se retrouver avec ces sorciers crasseux aux allures de corbeaux répugnants, de deux, elles ne comprenaient pas ce qui motivait une prise de risque aussi importante de la part de Wolfgang pour quelque chose qu'elles jugeaient sans réelle importance. Ce qu'il s'apprêtait à faire ce n'était ni plus, ni moins qu'une déclaration de guerre, or si les jumelles avaient passées la majeure partie de leur vie sur les champs de batailles à travers l'histoire et le monde, elles redoutaient une guerre ouverte avec les sorciers. Car ce ne serait plus seulement les chasseurs qui s'acharneraient à vouloir les exterminer... Non, vraiment les jumelles ne comprenaient pas ce qui pouvait pousser Wolfgang à pareil acte, mais s'il avait pris sa décision, elles n'avaient plus qu'a lui faire confiance et a serrer les dents en voyant qui les accompagnaient. Devoir aider d'une quelconque manière, de près ou de loin, une personne comme Cassandre Grey leur était déjà suffisamment douloureux. Surtout depuis qu'elles connaissaient la sœur et la fille de cette vieille carne au cœur noir. A leurs yeux Lilith méritait davantage de respect et de considération qu'elle. Quand à Marla, elle ne méritait pas d'avoir une mère pareil... Aussi furent-elles quelque peu soulagées de se retrouver avec le groupe d'allemands, au moins on ne leur avaient pas imposer la présence de l'épouvantail en chef. Elles se débarrassèrent rapidement de leur arsenal, le renvoyant dans la cabane d'un sortilège car trop encombrant et surtout trop révélateur de leur identité. Réajustant leurs masques qui ne laissaient voir que le bas de leurs visages, elles embrassèrent rapidement Jake -qui s'il avait sentit leur malaise n'en avait souffler mot- en roucoulant quelques mots en italien avant de se reporter vers les allemands. Il était l'heure.
Folgen Sie wir schweigend. Lachèrent-elles un doigt sur les lèvres.
* * *
C'était un sale boulot, mais au moins c'était un boulot bien fait, les uns après les autres les gardiens tombaient dans le silence ouaté de la mort que les jumelles distribuaient avec art. Dans le dos, une main plaquée sur la bouche ou un sort bien ajusté, et une lame bien aiguisée qui glissait le long de la gorge. Ces allemands s'ils faisaient preuve de moins de finesse compensait par une brutale efficacité, chose que les jumelles étaient bien forcées de reconnaitre malgré elles. Profitant qu'ils passaient à l'étage suivant, Lheena demanda à Jake en chuchotant :
Ancora quanto, Jake, prima di avere finito ?
Ils avaient terminés de nettoyer celui là, l'étage d'en bas était quasiment désert, méthodiquement ils rejoignaient Wolfgang qui devait maintenant se trouver près de la cible, tout se déroulait comme prévu, à tel point que Kheeva se permit un sourire quand le silence fut romput brutalement.
Mierda !', le silence fut rétablie brutalement, et on aurait un court instant put croire que rien ne se passerait quand l'alarme se déclencha, assourdissante,' Jake, faut bouger tout de suite !
Trop tard, dévalant quatre à quatre les marches un groupe de gardiens fit irruption dans l'escalier et une bataille éclata entre les deux groupes. Kheeva se délesta de son poignard au profit de la gorge d'un homme qui s'effondra l'air surpris puis ce fut le chaos. L'affrontement fut aussi bref que violent mais les mangemorts alertés par les sens des lycans avaient l'avantage de la surprise pour eux. Confusément les jumelles firent abstraction du reste pour se concentrer sur les deux hommes qu'elles avaient choisit pour cible, le premier s'effondra d'un sectumsempra au cou, le second eut moins de chance. Kheeva incanta rapidement en pensant à de la poix un Linere qui enduisit le malheureux des pieds à la tête alors qu'un flambios de Lheena y mit le feu. L'inconnu se tortilla en hurlant comme un damné avant de dévaler les escaliers, finissant de bruler un étage plus bas. L'affrontement cessa presqu'avant d'avoir commencé sans trop de dégâts, Lheena grimaçait en tenant les bords d'une entaille pour hâter la régénération de sa plaie, Kheeva tournait la tête en tout sens inquiète.
Jake ? | |
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Marla & Lester GreySORCIER.
► MESSAGES : 291 Ven 30 Oct - 20:06 |
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| Qui pouvait se vanter d'être entouré d'hommes aussi galants que Cassandre Grey? D'abord son allemand préféré puis son cher Wolfy qui lui tenait la porte (enfin disons que vu ce qu'il avait fait de la porte il n'y avait plus vraiment besoin de la tenir). Il le lui céda avec son habituelle galanterie désuète... un homme charmant ce Wolfgang. Rien à voir avec le rat puant qui croupissait dans sa crasse et les regardait avec des yeux déments. Cassandre relève le menton en même temps que ses robes dans un geste tout Grey, tandis le fils du chef allait s'occuper de son côté.
Cassandre - Allez debout, tu as bien assez fénéanté comme ça! Lester- Cassandre, ma chère Cassandre...
L'homme se redressa, les cheveux noirs et longs tombant de part et d'autre de sa figure et c'est un regard haineux qu'il pose sur sa soeur, bien plus petite en taille que lui, bien plus grande en prestance. Mais on essuie pas quelques années à Azkaban sans s'en ressentir. L'homme a l'air usé. Il hoquète d'un rire caverneux et déplacé mais ce n'est pas Cassandre qui le lui reprocherait, elle qui lui répond d'un rire tout aussi aliéné. Est-ce qu'elle se moque de lui, est-ce qu'elle partage sa démence. Quoiqu'il en soit Lester Grey est debout, aussi rassurant qu'un détraqueur. Il arrête de rire quand son regard ce pose sur Wolfgang mais finalement il prend ce que lui tend sa si douce soeurette, sa baguette et disparaît dans le noir. Cassandre s'envole à sa suite. Tous deux on entendu le fracas de l'entrée des aurors ils vont leur tomber dessus et faire un massacre.
Perchée tout en haut de la tour noire d'Azkaban, Cassandre réapparait. Personne ne l'aurait remarqué d'ailleurs mais elle brandit son bras vers le ciel noir, baguette en érection vers les ténèbres qu'elle marque d'une inscription dans un coeur d'anatomie lumineux et fumant:
Cassy + Rish =
L'inscription d'un rose carnation vira petit à petit à un rouge très sombre avant de disparaître balayée par les zéphyrs des hautes altitudes. Son rire surplombant les combats elle avança un pied au dessus du vide, relevant encore son jupon presque jusqu'à mi-cuisse pour voir le vide vertigineux en dessous d'elle. Allait-elle se suicider aussi bêtement? Elle avança plus franchement le pied, se laissant tomber en hurlant comme une folle. Elle se rattrapa d'un sortilège habilement jeté, presque dans les bras de son allemand préféré. Elle lui fit une courbette au bout de laquelle se trouvait un verdoyant:
Cassandre - AVADA KEDAVRAAhahah!
Une silhoutte tomba comme une mouche dans laquelle elle donna un formidable coup de pied pour le faire rouler sur les quelques centimètres qui le séparait des rugissants de la mère. Dans son dos une petite balle sifflant, l'arme favorite de Lester. Une balle à filet nécrosant. Joli joujou.
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InvitéInvité
Ven 30 Oct - 20:23 |
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| Les oreilles délicates des chats sont peut-être plus sensibles que la moyenne. C'est peut-être ce qui met Mélian de si mauvais poil quand il transplane dans un bouillon de fumer noire. Les alarmes d'Azkaban sonnent le moment d'un peu d'action. Quand son pied se pose c'est sur le sol humide de la prison dans laquelle les premiers aurors ont déjà ouvert une entrée. Si seulement il avait pu savoir que quelques étages plus haut, sa nièce tant recherchée était livrée entre les griffes de l'ennemi et qu'elle s'arrêtait un instant stoppait par une odeur douce de sable chaud par dessus toutes les autres odeurs de sang et de poussière mêlées. Mais il n'en saurait probablement jamais rien. Mélian poursuivit, évitant de justesse un sortilège. Il ne cherchait pas le chef des Aurors, il était là sans doute, mais lui qui était un vieux de la vieille savait qu'attendre les ordres quand on avait déjà tâter un terrain semblable ne serait qu'une perte de temps pour tous.
Un grognement sourd se fit entendre dans son dos. Un lycan. Le chat en lui se hérissant pratiquement déjà furieux. C'est un cruel videntraille qui fusa droit sur l'assaillant. C'était entre l'auror et le lycan et pas question que ce soit lui qui y passe. A quelque coups de baguettes prêt, l'animagus se retrouve non loin des autres. Vanna Syl, et Knox principalement. Il va falloir percer dur pour espérer bouter l'ennemi hors d'Azkaban. Au dessus d'eux une marque dans le ciel. Cassy + 'Rish. Toujours les deux mêmes noms que personne ne serait capable d'inculper raisonnablement comme toujours. Cela n'avait aucune importance, si l'un des deux était tué dans l'action tant mieux.
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InvitéInvité
Ven 30 Oct - 22:17 |
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| Izaak les fixait, un à un. Il jeta un regard à Luke puis à César. Bon... c'était pas le moment de paniquer ou de s'énerver. Izaak inspira profondément et jeta un regard aux deux autres.
« César, tu prends la gamine. Luke, tu t'occupes de l'hispanique. J'me charge du pas-humain. »
En désignant le « pas-humain », Izaak soulignait surtout le fait qu'il ne « sentait » pas comme un humain normalement constitué. Luke devait donc s'occuper de Caïn de Riveira, un auror compétant, et Misha... Misha devait passer sur le corps de César. Izaak et César s'élancèrent.
…
Misha haussa un sourcil et se tourna, croisant le regard d'Alicante. Aussitôt, poussée par un instinct sans doute lointain, elle chercha des yeux Knox et porta sur lui toute son attention alors que la poussière, aux pieds d'Azkaban, retombait lentement. Ses yeux l'interrogeaient, mais pourquoi exactement...? Elle fronça doucement les sourcils, s'avança vers lui, et lui mit un coup de poing plutôt gentillet au niveau du coeur, le pointant avec son index. Vilaine chose!
« Tu es encore en retard figure toi! Et ne me regarde pas avec ses yeux! Je n'ai pas seize ans pour rester à la maison! »
Caractérielle? Capricieuse? ...non, juste Misha Vanna Syl, qui du haut de son mètre soixante trois gueulait autant qu'elle frappait – bien que quand elle frappait, ça faisait bien plus de bruit. Elle soupira et reporta son attention sur un chat noir, balafré, qui venait d'arriver. Ayant travailler assez longtemps au ministère pour avoir regarder les fameuses listes d'animagi reconnu, et sa mémoire lui faisant rarement défaut, il lui sembla avoir bel et bien vu cet animal quelque part. Avouez que sur un île, un chat, c'était quand même assez rare... Elle eut un sourire mutin, pratiquement lupin.
« Bonsoir monsieur de Saint Ange... » « Tu diras bonjour une autre fois Misha. On a de la compagnie. » « Accueillons les comme il se le doit. » « On perce » siffla Caïn « J'en ai marre d'attendre, on avance. » « Que jeunesse se passe... »
Rit l'alchimiste. Devant lui, le plus jeune semble être son ennemi. Comme ça, il ne paye pas de mine, mais quand l'enfant de quinze ans se métamorphose en lycanthrope, Abaddon ne s'y trompe pas : c'est pas une petite frappe. Courant aussi vite qu'il le peu, le lycan se jette sur l'alchimiste qui le réceptionne, transformant sous lui la terre en deux mains de béton. Ça pète au contact. Izaak grogne, les pattes prises dans le béton, se débattant comme un fou pour se libérer, mais l'alchimiste n'a pas dit son dernier mot. Il recule d'un pas, ses gants brillent, et de la terre s'élève, retombant lourdement sur le corps du lycan, et la terre devient alors béton. Pris au piège, le lycan casse le béton, peu à peu, mais il en a pour quelques minutes, et les gants de l'alchimiste s'éteignent, regardant le reste du groupe.
…
De son côté, Misha n'a pas perdu de temps, pas vraiment. Alors qu'Abaddon s'amusait avec Izaak, César a foncé sur elle sous sa forme humaine. Mordu, la lune n'était pas pleine et surtout, non sorcier, ce dernier ne peut rien. Il a tiré le mauvais tiqué, mais c'était pas elle qui allait s'en plaindre. Elle le visa et siffla entre ses lèvres :
« Viniculum helix argentum maxima! »
Le lierre sortit du sol et se colla aussitôt à César, l'enrobant dans une toile épaisse d'argent. Il se mit à hurler. Bien vu. C'était lui aussi un lycanthrope, et il allait souffrir. Elle passa devant lui, avançant aussitôt. Sa priorité? Entrée dans Azkaban et faire le ménage. Vite.
…
Caïn s'avança. Imperturbable, la baguette en main. L'hispanique n'était pas prêt de reculer, l'air sombre.
…
Abaddon suivait de prêt Misha qui, devant lui, avançait plus rapidement. Elle avançait si vite, si pressée, comme une bête à l'affût, qu'ils arrivèrent rapidement aux portes de Poudlard. Stupeur? Non. Pire. Étonnement. Ils étaient nombreux. Très nombreux. Misha resta … abasourdie.
…
Plus Abaddon s'éloignait, plus la couche de béton qui emprisonnait le lycan s'affaiblissait, et quand le Hellsing atteignit les portes d'Azkaban, le lycan donna un coup sec dans ce dernier qui explosa, le laissant à nouveau libre. S'extirpant de son lit froid, Izaak posa son regard sur César qui se tortillait sur le sol, hurlant, mais ne pleurant pas. Izaak secoua la gueule, et redevint humain. Il ne lui restait que quelques lambeaux, son torse fin et imberbe dévoilait. Un corps d'adolescent pour un esprit que trop grand. Il s'approcha et pointa César de sa baguette. Un informulé, et le lierre d'argent lâcha, relâchant un César mutilait. Izaak posa son regard sur César et siffla entre ses crocs.
« Ils paieront... cher cet affront. »
Ils se dirigèrent à nouveau vers Azkaban, bien décidé à faire chier leur petit monde. Oh que oui, ça allait saigner...
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Ven 30 Oct - 23:12 |
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| Sous le regard noir et patient de Wolfgang, Cassandre entra dans la cellule de son frère. Reportant son attention ailleurs, Wolfgang ne remarqua pas même qu'ils avaient tous deux détalaient pour mieux se battre, plus en bas. Il attendait, d'instinct, que son fils revienne avec les deux pairs... il savait que ce n'était pas pour rien qu'un mort traînait ses lambeaux de chair ici, et cette odeur... oui, cette odeur, il savait à qui elle appartenait, et ça, ça fit qu'un large sourire à dents blanches fendit son visage avec une satisfaction particulière.
…
« Semble-t-il, je présume qu'il n'est pas à l'ordre de passer nos chemins et de s'ignorer? » « Il va de soit que, passant sur notre territoire, il vous faut décliner votre identité. Loi purement lycane, je m'en excuse, mais loi tout de même... »
Vitaly gardait un calme et un sérieux remarquable. Imperturbable était le mot, car le lycan ne dirait rien de plus, et il s'adressait avec autant de diplomatie et de politesse que son rang, sa race et son sang lui permettait. Izaak, lui, de moindre race mais aussi puissant, aurait déjà sauter à la gorge de ces deux là. Non, Vitaly était posé et réfléchit, à l'image de la brune en face. Comment le savait-il? Instinct lupin, sans doute. C'était inné. Se fier à qui, se diriger, manger, survivre... tout ça, c'était génétique. Inscrit dans leur gêne dès leur naissance, sans aucun doute. Plus bas, quelque chose explosa, et le sol vibra. Vitaly ne cilla pas. Les odeurs emportaient pas le vent ne trompait pas. Ce n'était pas lycan, ni de leur côté, mais ça, il s'en souciait que très peu. Rares étaient les personnes qui pouvaient le blesser, lui, Prince Vitaly Orlov. Le reste ? ...ça lui passait au dessus de la tête. En dehors de son fils, de ses brues et de son père, le reste important peu...
« Vous n'avez pas été suffisamment discrets semble-t-il, les Aurors sont déjà là. Menez nous à celui que vous savez, il n'est pas dans nos intérêts de perdre notre temps en bavardage maintenant... » « Cela me semble être un bon compromis. » Souria le lycan. « Le tuer? Il ne serait guère judicieux de tuer un prince Catharsis. Préfères tu être emmener de force ou dignement? » Le regard se posa sur le vampire. Un sourire amusé naquit sur le visage du prince. Le tuer, lui?... pitié... c'était trop drôle. « Nous vous suivrons ... mais je vous tuerai s'il est fait le moindre mal à cette femme. » « Au moindre mouvement contre moi, ils vous tueront. » Souria le lycanthrope, signifiant à Catharsis qu'Azkaban vibrait sous la présence lycane, mais il ajoute aussitôt derrière : « Mais il n'arrivera rien à cette femme. Pas tant qu'elle n'aura parler à mon Père. Cela va de soit. »
Vitaly tourna le dos. Avait-il tant confiance qu'il tournait le dos à l'ennemi? La chose était que même s'il était blessé par les deux vampires, il y avait peu de chance qu'ils le tuent, et s'ils venaient à le tuer, qu'importe, puisqu'il serait sans doute venger par la centaine de lycan qui grouillait dans Azkaban. Avec le sang d'un prince sur les mains, il n'était pas permis d'avancer plus de dix mètres. Surtout avec la ventripotée de lycanthrope tout à fait capable qu'il y avait ici, à Azkaban. Vitaly descendit les marches, une à une, tout à fait serein. Sa façade imperturbable et souriante n'était pas qu'une image qu'il se donnait : il était réellement serein.
…
Wolfgang posa son regard sur son fils qui s'avançait vers lui, souriant et calme. En effet. C'était bel et bien elle. Vitaly se posta à la droite de son père, toujours aussi souriant, alors que Wolfgang posait son regard sur la brune, ignorant radicalement le vampire à ses côtés. Il se rapprocha d'elle, d'un pas, et tendit sa main, prenant entre ses doigts le visage de la jeune fille. Son regard était fixe dans le sien, comme s'il voulait lire dans ses pensées. Un lycan n'était pas doué d'un tel don, mais il avait bien mieux : l'instinct.
« Nospheratov... jamais je n'aurais imaginé vous croiser ici, princesse. » Il eut un petit rire et la relâcha, faisant une légère révérence que les années avaient rendues élégante. « Vous cherchez quelque chose? » Son sourire était large, soulignant le nombre de ses dents, et surtout leur longueur. « Ou... quelqu'un? »
Wolfgang cessa de regarder la brune pour poser son regard sur le blond et pencha la tête. À l'odeur, bien que mort, il en ressortait que le jeune homme était particulièrement... tendu. Comment ça se sent? Ça ne se sent pas. Ça se « sent » dans un sens différent. Il fronça doucement les sourcils.
« Vitaly... » « Ce n'est qu'un vampire chargé de sa protection. » souffla le brun derrière Wolfgang, mais ajouta avec un petit sourire au coin des lèvres « ...il doit être jeune ou téméraire. Il a cru qu'il pourrait me tuer et fuir avec elle. »
Wolfgang posa son regard sur Catharsis, haussa un sourcil, et eut un rire bref mais froid, un de ces rires jaunes que l'on arrache que grâce à de mauvaises plaisanteries. Il garda son regard sur le fils de Dante, sans un cillement.
« Au moindre geste, je t'arracherais les bras de leur cavité et je te donnerais en pâture à mes fils, petit homme... Je ne suis pas là pour m'occuper des affaires de mon vieil... » il reporta son attention sur la brune, et ajouta avec un sourire amusé « ..ami Nospheratov... j'ai d'autres chats à fouetter... »
C'était bel et bien le cas. Les chats en question venaient de pénétrer à Poudlard. Wolfgang s'en souciait peu. D'ici quelques minutes, la tour d'Azkaban tomberait en ruine, et il repartirait chez lui, tranquille.
« ...Mais je serais curieux de savoir ce qu'il prépare. »
Sourire amusé.
…
L'alarme le surprit. Jake rentra la tête dans les épaules, par habitude, et regarda le couloir quasiment vide. Les jumelles n'étaient pas loin, juste à côté de son point de vue. Et le groupe de gardien aussi. Il ne prit pas en compte Lheena et Kheeva. Il aurait voulu, oui, mais déjà un gardien lui envoyait un avada qu'il esquiva pour finalement se prendre en plein dans le bide un experlliamus bien placé, qui l'expulsa dans le mur, l'encastrant. Rigolant un instant, le gardien se rapprocha, voyant que Jake ne bougeait plus. Il y eut un crac sonore : c'était les vertèbres qui se remettaient en compte. Rigolant plus fort, se moquant du russe, il tourna la tête pour rire avec son ami, juste derrière lui. Grossière erreur. Sortant brutalement du mur, Jake attrapa le visage du premier gardien et le tourna violemment. La colonne tourna sur elle même, se rompant, et le sorcier tomba sur le sol, inerte. Gueulant de peur, reculant, apeuré par un autre gardien qui tombait, pas très loin, la jugulaire tranchait, et un autre qui s'enflamma, le quatrième ne vu pas même Jake qui lui attrapait la gorge, lui arrachant la pomme d'adam, et il tomba de même sur le sol, mort. Quatre victimes. Le groupe était alors inerte, mort... bien. Dans l'obscurité, Jake passait inaperçu. Juste le temps de remettre quelques côtes en place.
« Jake ? »
Sortant de l'ombre, à la lumière des quelques néons qu'il restait et surtout du brasier humain qu'était le gardien, Jake fit craquer sa nuque, soupirant.
« Je haïs les remises en place... on s'casse? »
La question était la bienvenue, sauf qu'un niveau plus haut, les premiers aurors arrivaient en masse.
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Jeu 5 Nov - 1:27 |
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| Jamais, elle n’avait fait ça. Jamais, elle ne s’était sentie aussi nerveuse, mais elle devait garder son calme pour ne pas montrer qu’elle n’avait jamais fait ça. Comment pouvait-elle être la femme d’Edward Clash sans avoir tué une personne en la compagnie de son mari ? Car elle ne bougeait rarement de chez elle, heureusement pour elle que personne ne se rendait à la maison pour tenter de tuer l’un des habitants du manoir Clash. Ça faisait longtemps qu’elle ne s’était pas servie de sa baguette autre pour les tâches régulières à la maison. Malheureusement pour elle, elle aurait peut-être du s’exercer. Elle devait faire marcher sa mémoire, elle savait les trois sorts impardonnables et quelques sorts qu’elle avait utilisés régulièrement, mais il était difficile de se servir à nouveau d’une baguette pour tenter de blesser l’ennemie. Elle continuait de suivre son mari qui libérait les prisonniers et gardait le silence tout en le suivant. Elle ne lui parlait pas, il était un autre homme ici. La métisse avait été assez observatrice pour remarquer qu’il ne valait mieux pas déranger son mari pour des caprices quelconques sans importance. Elle le suivait en écoutant tous les instructions qu’il pouvait bien lui donner ne rouspétant jamais quand elle devait accomplir quelques choses. Elle était venue, elle allait le faire jusqu’au bout. Mais ce qu’elle avait peur, mais c’était à la fois excitant… Ça sentait le danger. Ce que ça faisait longtemps qu’elle ne s’était pas sentie ainsi. La monté d’adrénaline que la situation lui procurait… envie de plus du danger. Elle jeta un bref coup d’œil en direction de son mari, Rawwr ce qu’il était sexy quand il était sérieux. Ce qu’elle le voulait, mais ce n’était pas le temps… Elle devait travailler, si elle lui sautait dessus, elle allait passer un mauvais quart d’heure, donc elle devait patienter… Et elle se savait capable. Elle allait jouer plus tard avec son mari, mais pas maintenant. Continuant de suivre son mari en le couvrant sans qu’il en ait vraiment besoin, elle ne le quittait pas des yeux en attaquant parfois les quelques gardiens qui restaient dans la place. Elle s’amusait. C’était terrifiant à la fois, si elle ne surveillait pas, elle pouvait se faire tuer… ses enfants n’auraient donc plus de mère et le bébé qu’elle attendait viendrait avec elle en enfer… Une seule déconcentra la métisse… des bruits… qui ne devaient pas être présent.
« Ed, je crois qu’on devrait partir… parce que je crois que ça ne va bien là haut… » Elle était sérieuse. Elle pointait le plafond pour lui faire entendre ce qu’elle attendait. « Tu ne trouves ça pas étrange ? » Elle fronça les sourcils sans prendre panique, elle était calme. « Je crois qu’on a de la visite… » finit-elle par dire en entendant des hurlement provenant d’en haut. Que devait-elle faire ? Elle ne voulait pas laisser sa peau, mais elle ne pouvait se sauver sous le regard de son mari. Elle aurait bien trop honte… elle ne voulait pas voir le regard déçu et dégoûté d’Edward posé sur elle, elle le voulait fière d’elle. La métisse ne voulait pas le décevoir quoiqu’il en coûte, mais… Dans quoi qu’elle s’était embarquée cette fois-ci ? « Edward, je crois que se serait justifié de voir ce qui se passe en haut, si on y passe… » Elle restait calme, mais on voyait qu’elle n’était pas du tout bien dans cette situation, oubliant les autres mangemorts présents sur place… qu’est-ce qu’elle en avait à foutre d’eux… | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Mer 11 Nov - 22:50 |
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| Vitaly - « Il va de soit que, passant sur notre territoire, il vous faut décliner votre identité. Loi purement lycane, je m'en excuse, mais loi tout de même... » - Je suis au fait de vos lois. Nous les respecterons...
Elle ne pouvait qu'être au fait des lois de ces ennemis naturels bien que dans le fond elle n'entendait pas grand chose à ces querelles de lycans et de vampires. Elle n'en faisait pas son affaire quoiqu'il en fut. Elle suivit donc, très courtoise. On ne pouvait pas en dire autant de Catharsis qui lui, englué jusqu'au cou dans la guerre, ne pouvait faire confiance à ce représentant de la plus basse des espèces:
Catharsis - « Nous vous suivrons ... mais je vous tuerai s'il est fait le moindre mal à cette femme. » Vitaly - « Au moindre mouvement contre moi, ils vous tueront. Mais il n'arrivera rien à cette femme. Pas tant qu'elle n'aura parler à mon Père. Cela va de soit. »
Ils suivirent donc, la brune et le blond, parce que c'était elle qui l'avait décidé, parce qu'il n'avait rien à lui refuser, malgré toute la haine qu'il lui portait. Elle le savait, elle s'en fichait royalement, c'était bien le cas de le dire. Enfin leur regard se posa sur Wolfgang Orlov en personne. Catharsis sans grand amour de l'homme, la brune aux yeux bleus, plus admirative mais elle avait une retenue exemplaire. Wolfgang Orlov en personne c'était une chose à laquelle elle n'aurait jamais pu croire prétendre. Elle ne parlerait pas avant lui, question de bienséance. On ne prenait pas la parole à un roi, pire à un roi des lycans. Elle esquissa un léger signe de tête très respectueux que n'imita certainement pas Catharsis. Elle se tenait la tête haute, le regard droit comme il convenait. Un frisson étrange la parcourut comme la main de son vis à vis se referma fermement mais doucement à la fois sur son visage. Elle n'avait pas l'habitude d'être touchée, et elle ne s'était pas attendu à l'être avec douceur d'ailleurs. Catharsis lui, se raidit littéralement, bien conscient que le lycan aurait pu briser la mâchoire de sa jeune protégée d'une simple pression. Elle aussi le savait.
Son propre père ne l'avait jamais touchée avec tant d'égard. Il l'avait bien giflée quelques rares fois mais Vlad Alexandrei Nospheratov restait de toute façon avare de toute forme de... douceur. Hypocrite ou non. Il restait simplement froid. Elle ne s'en plaignait pas.
Wolfgang - « Nospheratov... jamais je n'aurais imaginé vous croiser ici, princesse. » - C'est un honneur monseigneur.
Tant de courtoisie sans le quitter une seule fois des yeux. Ca n'avait rien d'hypocrite ce "monseigneur". Elle était véritablement honorée d'être en présence d'un tel homme. Elle ne répondit rien au rire du lycan, elle n'était pas en position de le faire. Dans quelques années peut-être mais pas là...
Wolfgang - « Vous cherchez quelque chose? » Son sourire était large, soulignant le nombre de ses dents, et surtout leur longueur. « Ou... quelqu'un? » - Quelqu'un serait plus juste effectivement. Rien qui ne puisse interférer dans vos affaires. Wolfgang - « Au moindre geste, je t'arracherais les bras de leur cavité et je te donnerais en pâture à mes fils, petit homme...', le regard de la jeune femme se durcit un peu. Elle ne pouvait pas laisser tuer Catharsis malgré la haine qu'elle avait de lui. Ce n'était pas son style, elle voudrait calmer le jeu,' Je ne suis pas là pour m'occuper des affaires de mon vieil... ami Nospheratov... j'ai d'autres chats à fouetter... »
Et les chats étaient en passe de réduire à rien le peu d'espoir qu'elle avait d'accomplir ce pourquoi elle était là.
Wolfgang - « ...Mais je serais curieux de savoir ce qu'il prépare. »
Elle ne répondit pas. Pas question de lui faciliter la tâche. Si elle devait être torturée soit, mais elle doutait qu'il s'embarrasse d'elle à ce moment. Au pire la donnerait-il a un de ses chiens de garde et il l'oublierait jusqu'à ce qu'il ait cinq minutes à lui accorder à elle et à son père. Ce dont elle était sûre maintenant c'était qu'elle passerait un sale quart d'heure, que ce soit aux mains de Orlov ou de Nospheratov.
Catharsis - Si vous avez fini nous partons.', grinça-t-il.
Elle lui jeta un mauvais regard. Il devait cessé d'offenser ainsi Wolfgang. Catharsis baissa les yeux, frustré.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Mar 17 Nov - 22:41 |
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| « Nospheratov... jamais je n'aurais imaginé vous croiser ici, princesse. » « C'est un honneur monseigneur. » « De même. »
Wolfgang est un homme calme. Il n'a pas l'air froid. Pourquoi? Mais car il ne l'ait pas. Il est différent de Nospheratov l'acariâtre. Wolfgang, dans le passé, a été quelqu'un de bien. Il a eut une âme pure et l'envie de faire le bien, mais le monde l'a changé et l'a rendu mauvais. Quelque part, les hommes ne peuvent s'en prendre qu'à eux même si Wolfgang veut les détruire aujourd'hui. Il parle, il parle. Wolfgang sait qu'il a tout le temps devant lui. C'est qu'il n'a absolument aucune peur, ici bas, et que les aurors ne lui feront rien. Ils ont bientôt finis. Bientôt.
« ...Mais je serais curieux de savoir ce qu'il prépare. »
Aucune réponse. Bien. Il a un sourire large et lupin quand les aurors montent vers le première étage. Il jette un regard calme vers le bas d'Azkaban. Très bien. Le grand lycanthrope regarda autour de lui et fronça doucement les sourcils. Où il était ce con...? Il grogna et siffla. À un étage au dessus d'eux, quelqu'un de tourna. Wolfgang leva sa main et lui indiqua de descendre. À l'étonnement de certains – bien que pour les vampires et les loups garous ce n'étaient pas vraiment très surprenant – le lycan au dessus se jeta de l'étage du dessus et se réceptionna sur le sol, dans un fracas violent. Il se releva, flexible et puissant, et se rapprocha de Wolfgang et de Vitaly.
« Si vous avez fini nous partons. »
L'homme qui venait d'arriver posa son regard sur Catharsis et fit deux pas rapides vers lui, levant la main mais Vitaly s'interposa, et l'homme se calma aussitôt, mais son regard resta froid.
« Il va de soit que nous ne voulons aucune guerre... pas à l'heure qu'il est. » La voix de Wolfgang était grave et chaude, et eut pour effet de calmer aussitôt l'homme qui venait d'arriver. « Vous serez accompagner de Vitaly, mon fils, et de Mircea. C'est un de mes généraux. Ils vous protègeront si jamais il y a trop de ces bâtards d'auror, même si je doute qu'ils traversent nos premières lignes. Qu'importe. Je ne voudrais pas que Nospheratov vienne me reprocher que sa fille ait pu mourir, d'une quelconque façon. » Il regarda en contre bas et on voyait dès lors les lycanthropes se transformer, repoussant les lignes ennemis. Wolfgang eut un sourire bref mais satisfait. « Vitaly et Mircea, accompagnez mademoiselle et son garde du corps. Je ne veux aucun écart, Mircea. Pas de bras manquant. » Il reposa son regard sur la brune, avec un sourire calme. « Dîtes à votre père que je passerais le visiter dans la semaine, pour parler affaire... Bonne chance. »
Vitaly et Mircea se regardèrent. Mircea était un gros lycanthrope baraqué, aussi grand et large, avec des épaules larges et puissantes, une carrure à broyer des hommes à mains nus. À côté, Vitaly était petit et mince, mais il était un Prince lycanthrope, aussi sa force équivalait celle de son ami d'enfance. Les deux ouvrirent la marche, calmes. Mircea avait les mains dans les poches, et son regard dur et ses sourcils fronçaient. À côté de lui, Vitaly avait un sourire légèrement amusé et semblait calme. Très calme.
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Kheeva CallaghanHUNTER. ► membre du staff
► MESSAGES : 233 Sam 21 Nov - 13:19 |
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| Les jumelles se précipitèrent sur Jake, soulagées qu'elles étaient de le voir entier. Comment avaient-elles pu seulement en douter ? Jake fit craquer sa nuque, soupirant, les deux sœurs s'écartèrent légèrement pour le laisser remboiter ses os en grimaçant. Par expérience, ce n'était pas des plus plaisants.
Crétin ! Tu nous as fichue la trouille à jouer à cache-cache ! Je haïs les remises en place... on s'casse ? Heureuse de te l'entendre dire ! M'est avis que le chemin pour sortir est un peu encombré... On contourne ou on passe au travers ?
Question intéressante... les trois lycans pourrait peut être réussir à se frayer un chemin à coup de griffes et de crocs, mais les sorciers qui les accompagnaient risquaient davantage... Il fallait se décider et vite, en haut des bruits de course se rapprochaient.
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| | | (anim) L'appel du sang. (finish) | |
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