« Au fond de la matière pousse une végétation obscure; dans la nuit de la matière fleurissent des fleurs noires. Elles ont déjà leurs velours et la formule de leur parfum. » Maël est juste étourdis à la présence de la belle Serpentarde quand il la voit. Sa Préfète à le don de le mettre sous tout ses états et aurait voulu être Préfet juste pour pouvoir partager sa salle de bain (eh bien quoi ?). Malheureusement leurs caractères est ce qui les oppose le plus. Un jour Maël et Velvet font la guerre ensemble, le lendemain ils se la font. Ils n'arrivent pas à se décider car c'est tellement mieux d'être ennemis, mais l'amitié fait aussi tellement bien les choses qu'ils ne savent plus où donner de la tête. En plus de ça, Velvet est attirante, électrisante. Comment résister ?

« Plutôt que de répéter sans cesse à l'enfant que le feu brûle, consentons à le laisser un peu se brûler : l'expérience instruit plus sûrement que le conseil. » Maël a toujours trouvé Meghan très attirante, elle a un certain charme qui ne lui déplait pas et, il en était sur, c'était la personne parfaite pour enrager Avril. Il lui demanda donc ce petit service, sachant très bien qu'il jouait avec le feu comme un enfant.

« Derrière l'attente, il y a tout : la permission gratuite d'évoquer un beau visage ou de dialoguer avec une ombre. » En tant normal, ces deux là s'entendent plutôt bien, ils n'ont pas de réelles raisons de se détester, mais sur le terrain de Quidditch c'est tout autre. En tant que tyran, Maël n'hésite pas à crier sur William et à le traiter de tout les noms possible simplement pour qu'il joue bien parce qu'il faut se l'avouer, il joue mieux lorsqu'il sort de ses gongs. Il sait qu'il joue bien mais ne dira jamais quoique ce soit exprès pour que William se démène.

« L'immoralité est un mythe inventé par les honnêtes gens pour expliquer la curieuse attirance qu'exercent les autres. » Greg est assez... attirant, physiquement parlant. Et Maël l'a bien remarqué, il y a quelques temps, et à force de ruse et de manipulation il est parvenu à avoir le garçon. D'abord un simple baiser, mais impossible d'en rester là, et ils ont fini par coucher ensemble. Depuis, le Darshwood se sert de cette nuit pour faire chanter Greg, et n'hésite pas à le manipuler. Cependant, il ne sait pas que le Serpentard est réellement gay...

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« La tyrannie est une habitude malsaine qui se développe progressivement et dégénère en maladie. » Ah Jude... Entre eux, c'est tout et rien. Depuis l'enfance, Maël s'est toujours inquiéter pour le Petit Frère, tyrannisant les deux autres pour le retrouver lorsqu'il se perdait, et finalement s'est éprit de lui. Quelle douce chose, avec des tendres sourires échangés, des rires, et un amour sans limite. Et finalement, frustré par tellement de choses, Maël n'a su qu'accueillir ça comme une violence, une légère folie, et derrière ses coups, il y a de l'amour, de la tristesse. Personne ne peut réellement le comprendre. Mais ce qu'il sait c'est que jamais, oh non jamais, il ne laisserait s'échapper sa précieuse poupée... La poupée de Dresde, rêveuse et idéaliste, le petit frère.

« Le sexe entre deux personnes, c'est beau. Entre cinq personnes, c'est fantastique... » On peut dire que leur rencontre fut étrange. Maël entrait dans la salle sur demande et cherchait juste un lit, de quoi pouvoir faire sa petite affaire. Mais en entrant, il se rendit compte que la pièce était déjà occupée, et surtout, chose plus intéressante: la demoiselle simulait et ça se sentait à quinze kilomètres. Il a alors abandonnée sa proie du soir, et était allez prendre, lentement mais sûrement, la place du mec. Il sait pas s'occuper d'une fille au lit ? Il allait lui montrer à cette pauvre Raven, et il l'avait attachée au lit, tant qu'à faire, avant de prendre la place et l'autre s'enfuir presque. Peut-être qu'il a prit la proie de Maël ? En tout cas, lui a fini sa nuit avec Raven.

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« Il lui fera bientôt, aidé de Lucifer, Goûter en paradis les plaisirs de l'enfer » Le baiser mortel de Lucifer, et voilà Maël qui sombre. Avril est ce qui l'attire, il la veut, il veut son corps, ses lèvres, son... coeur ? Il semblerait que c'est le but du jeu. Pour mieux le détruire ensuite. Ils jouent tout le temps, se faisant des coups équivaux et la vengeance est terrible entre eux. Si vous demandez à Maël s'il est attaché à cette demoiselle, il vous rit au nez. Ce n'est que le jeu du chat et de la souris, un je t'aime moi non plus prononcé.

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« Pour faire des économies de téléphone, j'essaie d'appeler ma soeur par transmission de pensée mais elle doit être en dérangement... » Indiana et Maëlan. Ca date de leur naissance, on se plaisait à dire au sein du quatuor que ces deux là ont menés une rude course pour savoir lequel des deux allaient sortir en premier de leur mère. Et si l'un dit que c'est lui, l'autre clame que c'est-elle, et bien sûr personne ne connait la vérité vraie. Ce qu'ils savent, par contre, c'est que l'un ne peut rien cacher à l'autre et vice-versa. Ils savent tout ce qu'ils pensent d'un simple regard, aussi facilement que si l'autre avait gueulé ce qu'il ressentait. Maël est dingue de sa soeur, il l'aime d'un amour sans limite, elle est sur qui il n'a pas hésité à déversé sa colère, à la frapper, à pleurer dans ses bras, à l'embrasser... Personne ne peut comprendre ce lien qui les uni, ils seront toujours là l'un pour l'autre malgré tout ce qui peut leur arriver. La poupée de Dresde, la douce et calme, la mère perdue.

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