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 (v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest.

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Anonymous

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(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Sam 31 Oct - 23:56





« comme la pluie nous manque parfois, un orage aurait plus d'allure... »


Elle est assise sur un rocher et regarde la mer. Ses pieds d'enfants voudraient bouger, se balancer à une vitesse folle, mais son frère lui a dit de ne pas faire ça sur la falaise, parce que c'est dangereux. Elle fait ce que dit son frère. Elle regarde la mer en souriant et sans bouger. Elle l'attend. Il vient. Il met son bras sur son épaule. Il est à peine plus grand qu'elle. Ils regardent l'eau tout près d'eux, l'eau qui aujourd'hui n'est pas déchainée par le vent. Ils regardent leur reflet dans l'eau, balayé effacé déchiré régulièrement par les vagues. Ils existent dans l'eau n'existent plus et existent à nouveau. Dans leurs cheveux blonds se reflètent les rayons d'or du soleil reflétés par le doux mouvement des vagues. Elle regarde l'écume blanchir le rocher. Elle trempe ses pieds dans l'eau alors qu'il a dit de ne pas le faire. Il la gronde du regard. La vague veut emporter son pied. Alors il a de la peur dans l'eau de ses yeux. Il serre très fort la petite enfant dans ses bras. Il ne veut pas qu'il y ait les noirs nuages sur son destin. Mais il a vu le temps se couvrir et la mer s'agite. Les enfants se lèvent et rentrent à la maison, main dans la main. La petite fille sautille sur la lande et chantonne des airs qu'elle n'a pas appris.

« ...comme le soleil nous tue. comme ses rayons nous semblent froids... »


Elle est assise sur la barrière. Ses jambes se balancent furieusement. Elle regarde le soleil se couchant sur les champs. Elle fredonne un air que lui a appris sa grande sœur. Sa grande sœur est partie à la ville. Elle l'a laissée là au milieu des champs. Son père va peut-être venir la chercher où elle rentrera toute seule, parce qu'elle connait toujours le chemin vers la maison. Le soleil rose donne des reflets rougeoyants à ses cheveux bruns. Le soleil est éblouissant et les yeux fermés elle le regarde. Un balancement de trop et elle glisse de la barrière, pour tomber dans le foin. Elle donne des larmes mais ne pleure pas. La lumière a décliné. Il va bientôt faire nuit. Un loup hurle au loin. Elle n'a pas peur. Elle n'a jamais peur. Elle a un peu mal au dos quand elle se relève. Sur une branche elle trébuche. Il y a un peu de sang sur sa robe. Elle marche sur le petit sentier de terre jusqu'à la caravane. Demain ils partiront. Il pleuvra demain.

« comme les forces nous manquent parfois, une bagarre aurait plus de gueule... »


Elle court sur la lande. Son frère court derrière elle. Elle a le tomahawk qu'elle lui a volé dans les mains. Il lui crie de lui rendre. Il crie qu'il va lui jeter un maléfice de Jambencoton si elle ne s'arrête pas. Il n'a même pas encore de baguette. Elle sourit. Il ne rit plus du tout. Il ne joue plus beaucoup. Elle joue encore et toujours. Elle ne regarde pas où elle va. Il la rattrape au bord de la falaise. Il l'empêche de tomber. Et il lui donne une gifle. Parce qu'elle a failli tomber. Parce qu'il sait qu'il y a les nuages sur elle. Elle pleure. Il pleure aussi et la prend dans ses bras. Ils rentrent à la maison. Il se met à pleuvoir.

« ...comme les forces nous manquent parfois, comme nos bras nous trahissent... »


Elle est emmitouflée dans ce gros manteau qui gratte. Sa mère lui a dit qu'il n'y avait pas d'autre choix, qu'elle devait le porter ou mourir de froid. Elle préfèrerait le froid. Elle marche dans la neige, dans la montagne. Elle est seule. Son petit frère est resté en bas. Elle part chercher du bois parce qu'il fait froid. Mais le manteau gratte beaucoup. Il n'y a plus de soleil quand elle s'engouffre dans la forêt. Il n'y avait presque plus de soleil déjà. Elle enlève le manteau et le pose dans la neige. Elle marche quelque pas. Le froid la mord jusqu'au sang, jusqu'aux os. Un loup hurle à la lune qui se lève. Elle court vers le manteau qu'elle remet de travers. Elle se remet à marcher. Elle marche longtemps et trouve assez de bois pour faire du feu en bas. Elle redescend sans se perdre parce qu'elle connait toujours le chemin vers la maison. Il commence à neiger. Il fait trop froid pour qu'ils là restent cet hiver.

« comme les pleurs nous manquent parfois, un mélo aurait plus de classe... »


Elle a les cheveux blonds qui volent au vent. Elle est sur la falaise, comme avant. Son frère est à la maison. Ils vont bientôt partir pour un an, dire au revoir aux parents. Ils vont à l'école très loin. Ils vont dans une école très spéciale. Son frère est très doué avec sa baguette. Elle fait trop de bêtises et n'est pas assez concentrée. Elle n'est pas méchante. Elle est un peu distraite, dans la lune toujours à regarder défiler ses pensées. Il y a beaucoup de vent ce soir sur la falaise. Il y a de la houle en mer. Elle descend dans les rochers. Un vague frappe et glace son petit corps frêle. Elle sourit. Elle aime ce froid humide qui la mord. Quand elle rentre elle est trempée, et son frère la trouve sur le chemin. Il la gronde du regard puis la prend dans ses bras pour la réchauffer. Il a senti les nuages et le vent se lever sur la falaise. Il savait qu'elle n'aurait pas dû y aller seule. Il ne doit plus la laisser seule.

« ...quelques larmes, nous valions bien ça, mais c'est trop nous demander hélas... »


Elle va voir la voyante. Toutes les filles font la voir dès qu'elles commencent à devenir femmes. La voyante va lui prédire son avenir et lui dire comment sera son mari et ses enfants. Elle n'a pas vraiment envie d'y aller. Elle ne veut pas de mari, elle ne veut pas d'enfants. Elle ne veut rien. Elle veut juste marcher sur tous les sentiers, sur tous les chemins et dans tous les champs. Elle marche tout le temps, même quand on n'a pas assez d'argent pour lui acheter des chaussures. Elle n'a jamais plus froid aux pieds. La voyante déplore ses pieds nus et sales quand elle entre dans la caravane. Elle hausse à peine les sourcils. La voyante prend ses mains froides qu'elle n'essaye pas de réchauffer. Elle les lâche. Elle a senti qu'elle est différente, que quelque chose d'étrange est dans ses mains. Elle pose un voile noir dans sa main. Le voile se transforme en une boule noire parfaitement lisse. Elle est spéciale. Mais elle ne doit pas le dire à ses parents. Parce qu'ils auraient peur. Parce que de toute façon ils n'ont pas assez d'argent pour qu'elle puisse être différente. Ils sont déjà tous assez différents comme ça. Elle rentre sous la pluie. Elle ne reverra plus jamais la voyante parce qu'elle part. Elle partira bientôt aussi.

« ...comme la nuit nous manque parfois, le noir serait plus à mon goût... »


Elle marche sur la lande dans la nuit. Elle vient de rentrer et son frère va bientôt rentrer aussi. Elle va voir les vagues et marche dans les herbes et dans les chemins sablonneux. Il fait froid et sombre. Elle est un peu triste sans savoir pourquoi. Il y a des nuages très noirs dans le ciel qui l'empêche de voir la lune et les étoiles. Elle aimait beaucoup regarder les étoiles dans le ciel avec son frère, allongés dans les herbes moelleuses de la lande. Il connaissait le nom de toutes les constellations alors qu'elle ne savait jamais les placer sur ses cartes d'Astronomie et finissait toujours par réinventer la voute céleste avec son imagination d'enfant. Une bourrasque de vent fait trembler les minces herbes et son petit corps encore tout frêle. Un cri s'est déchiré dans le vent. C'est un cri qui fait froid. Ses cheveux blonds volent devant ses yeux quand elle sent passer un éclair froid sur son coté droit. Elle n'ose plus bouger. Elle entend craquer les brins d'herbe et ferme les yeux. Elle n'a plus peur. Son frère arrive trop tard quand le couteau transperçe son ventre. Elle voit le visage sombre aux cheveux noirs fugacement voler au dessus d'elle puis le si lumineux visage blond de son frère se pencher sur le sien qui lui sourit. Elle n'a pas mal. Elle a froid par contre. Des gouttes d'eau tombent sur son visage. Ce sont les larmes de son frère. Elle ne pleure pas. Elle lui sourit. Elle sait. Il sait qu'elle s'en va. Elle ne peut rien faire. Le poignard est surement magique. Il a déchiré le petit corps fragile, l'innocence immaculée de la petite fille. Ses pensées s'envolent et virevoltent dans le ciel, ballotées par le vent. Le long des sentiers, sur les brins d'herbe, jusqu'en haut des arbres, sous les ailes des oiseaux, dans le creux des vagues. Elle n'a jamais vu le monde si beau. Elle n'a jamais été si libre. Elle n'a jamais été si sereine. Les fragments de son âme qui ne se sont pas perdus dans les nuages viennent se mêler aux larmes de son frère et retombent sur sa peau, puis glissent jusqu'à la blessure dans son ventre, jusqu'au sang qui en coule et à la lame froide du destin qui s'est abattu sur elle enfin pour la faucher comme un blé trop mur. Elle voit le visage de son frêre ravagé par le chagrin, la douleur, la culpabilité de n'avoir rien pu faire, même s'il l'avait senti, même s'il l'avait depuis toujours protégée des nuages noirs sur son destin. Elle sourit. Elle sait qu'elle doit partir. Elle connaissait depuis toujours son destin. Elle ne peut rien contre lui. Elle lève sa main et pose deux doigts sur sa joue, deux doigts légers mais déjà trop faibles. Elle sourit. Il ne veut pas qu'elle parte mais elle part. Ses yeux se ferment, le petit fragment scintillant d'âme qu'ils abritaient s'éteint dans le vent. Maintenant il fait tout le temps nuit sur elle.

« ...comme la nuit nous manque parfois. comme elle tarde à venir... »


Elle marche dans la forêt. C'est le crépuscule. Le soleil part bientôt se cacher derrière les montagnes et les arbres. Il ne verra plus rien. On ne verra plus rien. Elle ne verra plus rien, mais sourira quand même. Elle sourit pour ne pas dire qu'elle pleure. Elle pourrait dire à la nature qu'elle pleure, parce qu'elle ne se moquera pas d'elle, parce qu'elle ne dira rien à personne, mais elle ne veut même pas. Elle a honte. Honte de ce qui se passe en bas. Honte même d'être partie là-haut entre les arbres hauts pour ne pas pleurer. Honte de ne pas même pouvoir pleurer. Elle a oublié comment on pleure. Elle aimerait pouvoir pleurer comme quand elle était enfant. Quand elle ne savait pas ce qu'était le monde. Quand elle imaginait encore le monde comme un magnifique terrain de jeu. Ce soir-là, elle l'a suffisamment parcouru. Elle a déjà beaucoup vécu. Elle a pris déjà trop de coups. Elle a déjà trop saigné. Parce qu'elle est une honte. Parce qu'elle fait honte à ceux qui font déjà honte. On ne la regarde plus qu'avec ces yeux méprisants, ces yeux qui la réduisent à l'état de poussière qui ne mérite que d'être balayée par le vent. Elle ne sait pas si elle va redescendre à la caravane, à ses parents, au regard des autres. Elle sait qu'elle ne redescendra pas. Mais elle sait qu'elle ne mourra pas. Elle errera. Toute la nuit durant peut-être. Plusieurs nuits peut-être. La lumière a décliné. On entend déjà les loups hurler à la lune qui s'est levée. Elle n'a pas peur. Elle ne sait pas ce qu'est la peur. Elle sent le souffle du vent derrière elle. Ce souffle est glacé. Elle sent un grain rauque quelque part dans ce souffle, une idée seulement d'un peu de chaleur. Elle arrive à un abrupt bord de la montagne. Elle regarde le monde. Elle regarde la nuit. Elle voit les champs. Elle voit les broussailles. Elle voit les arbres, beaucoup d'arbres. Elle voit des lumières quelque part. Ce sont les caravanes. Il y a de l'agitation. Cela veut dire qu'il vont bientôt partir. Elle se dit que c'est la dernière fois qu'elle les voit. Elle se dit que c'est la dernière fois qu'elle voit tout ce monde. Le vent soulève ses cheveux bruns foncés. Le vent froid et saisissant fait en ses yeux rougis naitre le début d'une larme peut-être. Mais elle ne sait pas comment la faire retomber sur ses joues. Il n'y a plus rien en elle. Il n'y a que de la poussière que le vent emporte. Mais cette poussière est même trop lourde pour le vent, trop encombrante pour le monde. Elle s'écrase sur le sol. Le vent lui donne un peu de douceur, en la déposant lestement sur la terre sablonneuse d'un sentier découvert. Lestement mais avec tous les os cassés, la peau déchirée sur des branches tombées d'un arbre. Mais toujours un souffle, toujours ces yeux ouverts qui ne parviennent pas à pleurer même s'ils le veulent terriblement. Elle voit quelque chose bouger. C'est précipité. Ce sont des pas qui courent vers elle. Elle ne sourit pas. Elle ne veut pas être sauvée. Si le vent et le vide ne sont pas parvenus à l'emmener dans le néant, ce sera une bête sauvage, ou simplement l'épuisement, car épuisée de ne vivre pour rien qui le vaille, de ne vivre pour la honte et la mort, autant ne plus vivre du tout. C'est un homme, elle le sent. Elle ne le voit pas. Il pose ses mains sur son dos. Il murmure quelque chose dans une langue qu'elle ne connait pas. Il est doux. Il ne lui fait pas mal. Les blessures lui font très mal. Mais elle ne sait pas pleurer pour le dire. Elle sent de la chaleur, de la lumière dans son dos, sur ses membres. Il la fait se retourner sur le dos. Elle voit à peine ses cheveux blonds et ses yeux bleus assombris par un nuage noir, alors qu'il transperce son ventre d'un poignard. Elle ne voit plus rien, même si ses yeux sont ouverts. Le noir complet. Elle ne verra plus rien. Elle se souviendra de ce visage flou. De cette douleur. De ces larmes qui ne voulaient pas couler. De la nuit qui s'étendait sur elle. De cette nuit qui n'était pas sa nuit.

« quand elle tombe, ne trembles-tu de ça ? toutes ces nuits à venir... »



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(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Sam 31 Oct - 23:56






June Scylla Jane Nightingale.
Sous le tutorat de Jude Charybde Nightingale. Seize années même pas, comme elle est née le deux Novembre mille neuf cent quatre-vingt-treize, un jour après la Toussaint, deux jours après Halloween. Originaire de Roumanie, avec un père pourtant anglais. Des parents morts dans un accident, et elle amnésique. Recueillie par un excellent ami de son père. Envoyée à Poudlard, mais ne sait plus rien de la magie. Se souviens à peu près de l'anglais, aussi du roumain. A été donné les noms Jane et Scylla de la sœur défunte de Jude Nightingale. Est brune avec des reflets changeants rouges et blonds. A les yeux bleus tachés de verts ou inversement. Pas de relations connues autre qu'avec son tuteur.


C'est officiel. C'est écrit.
C'est une réalité. Ce n'est qu'une réalité.

Un regard fixe. Un regard froid, glacé comme la banquise. Un regard qui ne parvient jamais à briller. Désespérément vide. C'est l'amnésie dit-on. C'est la mort. C'est un fantôme qui erre dans le jour qui devrait être sa nuit. C'est un fantôme qui n'a pas sa place. C'est un fantôme de désespoir. C'est un fantôme de la tristesse infinie. C'est un fantôme quine sait pas pleurer. Ce n'est parfois plus un fantôme. C'est un cri. C'est une bataille. Ce sont deux forces. C'est le feu. C'est la glace. C'est le feu qui veut remplir le vide qui l'étouffe.

C'est une anglaise blonde. C'est une rom brune. C'est le parfum de la mort. L'une est morte et doit vivre. L'autre vit et doit mourir. L'une vit et doit mourir. L'autre est morte et doit vivre.

C'est Jane Scylla. C'est Nanosh Laszlo « Noush ». Peut-être seize ans. Née il y a vingt-trois ans. Deux âmes dans le corps d'une pauvre petite rom délaissée par les siens et par le monde. Si elle n'avait plus besoin de ce corps, Jude l'a gardé pour y mettre l'âme de sa sœur, assassinée sept ans plus tôt. Cette âme était restée dans le poignard qui l'avait arraché. C'est une magie étrange, profondément sombre. Son âme était l'étincelle dans la noirceur du monde. Il ne devait pas faire nuit sur cette âme. Elle a erré dans le monde. Elle a erré dans une lame de métal. Elle a erré dans les volutes de la magie. Un sifflement dans l'esprit du petit garçon qui ne voulait pas laisser partir sa sœur. Une poussière qui aurait dû s'envoler depuis longtemps mais n'y parvient même pas, retenue par la magie, par l'amour, par l'obscurité de la nuit où elle a été plongée. C'est une autre âme, qui crie dans le silence et dans le vide de la nuit éternelle. C'est un vol. C'est un viol. Elle voulait mourir, et non pas mutilée d'elle-même. Personne ne l'entend. Elle aurait dû être effacée, balayée par la mort, balayée par la poussière. Mais la flamme est restée tout au fond. La flamme est puissante et ne s'étend pas. La flamme n'est pas assez forte pour brûler la glace. Elle crie et il l'a entendue. Il a eu peur. Il a fait un mal et une souffrance terrible. Mais il ne peut plus revenir en arrière. Alors il a fait du champ de bataille de ces deux âmes un vide intersidéral. L'amnésie. Il a tout effacé. Tous les souvenirs. Mais restent quelques images. Les images qu'on ne peut effacer, ou celles qui réapparaissent. Il a peur quand il la regarde. Peur de ce qu'il a fait. Peur de ce qu'elle peut faire. Peur de ce regard désespérément vide qui ne sourit plus. Peur de ce sourire qui signifie que la flamme de la petite rom brûle encore.

C'est un cauchemar. C'est un terrible cauchemar pour deux âmes. Ces âmes qui erraient dans le monde, ces âmes qui ne voulaient que la paix et le silence de la nuit sur leurs yeux fermés.









Anonymous

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(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Sam 31 Oct - 23:57


Quelle forme prend votre Epouvantard ? Rien. L'épouvantard disparait. Il ne devient rien.
Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Rien. Du noir.
Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Dans l'abysse d'un océan. Ou dans le noir complet. Dans le vide.
Quelle forme prend votre Patronus ? Un nuage de fumée informe. Quelque part l'oreille d'un loup, quelque part les plumes d'un rossignol.
Quel est votre sortilège favori ? Aucun. Ou ceux qui font disparaitre.
Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Aucun. Ou ceux qui font disparaitre. Ceux qui font apparaitre aussi.
Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Rien. Le vide.
Quelle forme de magie vous attire le plus ? Aucune. La magie du vide. Et les formes de magie étranges et inconnues.
Appréciez-vous la discipline ? Non. La discipline ne fait rien.
Quelle est la pureté de votre sang ? Sans pureté. Sans saleté. Sans rien.









Anonymous

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(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Dim 1 Nov - 12:17



(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. 2cfcr3m
    PSEUDONYME, PRÉNOM
    mascha, weddie, norway...
    AGE
    seize ans.
    AVATAR UTILISE
    léa seydoux.
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?
    j'y suis déjà (=
    QU’EN PENSEZ-VOUS ?
    il me rend folle.
    LE MOT DE LA FIN ?
    et... patatras.

Ce personnage est compliqué, et très bizarre. Si cette histoire apparait trop alambiquée et impossible, je la laisserais tomber.
J'avais juste envie d'écrire et de créer un personnage vraiment étrange, que je ne comprends même pas entièrement.
(euh aussi, je ne me souviens plus s'il y a des restrictions sur les doubles comptes?)









Anonymous

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(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Dim 1 Nov - 12:32


Le gros délire schizophrénique et fantomatique est enfin achevé. Enfin écrit et couché noir sur blanc. Donc je l'espère, pas fini... (v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. 232727

Et j'attends que sur moi s'abattent les terribles faux de la mort et que me consument les flammes de l'enfer. MOUHAHAHAAAAH.
humpf. je la ferme, ouais.


EDIT: grosse nullasse, j'ai oublié une partie de la fiche, je me disais bien. v.v"
RE-EDIT: c'est bon tout y est! What a Face









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Dim 1 Nov - 13:49



    RE-BIENVENUE! (v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. 0572

    Comme d'hab je suis totalement fan de ton imagination délirante et de ton choix d'avatar. Je t'envoye dans la maison des tordus (Ezechkiel, Marla &co) XD. J'adore à force on va refaire la réputation de cette maison XD. Bref, je te refais pas faire le tour du propriétaire, je vais aller t'ajouter ton rang et ton dortoir itou itou Wink


    SERDAIGLE!










Anonymous

Invité
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(v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. #Dim 1 Nov - 16:27


Miaouuuuuww <3
ce qui en langage de fou, signifie merci What a Face

Et je suis pour le dévergondage et le détournement de la maison Serdaigle, bien entendu. (v) you keep your heart from yout chest. it'll be gone, just like the rest. 232727
(de toutes les maisons aussi en fait xD)










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