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 i thought i was your muse. (ec)

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PROFIL & INFORMATIONS









Anonymous

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i thought i was your muse. (ec) #Lun 8 Fév - 1:16




OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.


    i thought i was your muse. (ec) 2rqlun5 NOM : Hansley-Oxburry. Même aujourd'hui ce nom me donne la nausée. Il n'est pas nécessairement laid, simplement porté par les personnes les plus ignobles qui soient.
    PRENOM(S) : Muse. Très simple et, je dois l'avouer, il me plait bien. Court et assez peu commun. Il je ne l'ai pas toujours apprécié, comme toute les petites filles sûrement, mais J'ai finis par l'aimer. Le deuxième me plait déjà moins. Je ne l'utilise jamais, mais la plupart des gens m'appellent ainsi quand ils parlent de la meurtrière. Erasme, celle qui est aimée. Et c'est étrangement devenu le nom commun qui m'est attribué dans la communauté.
    AGE : vingt-six ans déjà.
    ORIGINE(S) : J'ai des origines lointaines serbes, mais sinon, je suis purement anglaise.
    PROFESSION : Criminelle en liberté depuis l'attaque à Azkaban. Je me cache, je travaille au noir. Rien de très glorieux, mais plus rien ne pourra me retirer ma liberté.
    ETAT CIVIL : Seule, encore et toujours.


OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent.

    Ici, vous avez aller devoir nous prouver que vous êtes digne d’intégrer le forum. Nous voulons une histoire de 1000 mots minimum (ce n’est pas bien compliqué à atteindre) mais souvenez-vous que la qualité est le point central ! Racontez tout de votre personnage : son enfance, ses parents, les évènements marquants de sa vie … Enjoy !


OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler.


    Quelle forme prend votre Epouvantard ? Un portrait de famille où il y mes frères et soeurs qui prennent la place de mes parents.
    Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Je suis dehors. Des détraqueurs passent à côté de moi sans me toucher, comme si j'avais été blanchie. Et ils sont avec moi.
    Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Le plus loin possible. J'imagine que j'irais aux neiges éternelles, où personne ne pourrait me trouver.
    Quelle forme prend votre Patronus ? Une gazelle.
    Quel est votre sortilège favori ? Riddikulus. Ne me demandez pas pourquoi.
    Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Impero, ou sortilège de l'Imperium. J'ai souvent perdu le contrôle et... ça ne doit plus se reproduire.
    Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? L'inconnu. J'étais naïve et bien différente. J'ai beaucoup aimé mes années à Poudlard. Je ne m'imaginais pas que j'allais un jour devoir cotoyer Azkaban...
    Quelle forme de magie vous attire le plus ? La magie dont s'écoule cette couleur sombre m'est maintenant destinée. Et, même si je refuse d'enrober mes paroles pour les rendre plus jolies, je suis passionnée par tout ce qui est relié aux illusions; la métamorphose, les hallucinations auditives et visuelles... J'imagine que c'est ma vengeance pour ce perpetuel néant pastel qui m'a fait tomber de si haut à mes 17 ans.
    Appréciez-vous la discipline ? Tant qu'elle finit par mener à un but si attendu, oui.
    Quelle est la pureté de votre sang ? Mes parents étaient tous les deux des sorciers de sang-mêlé.


OO4. Vous ! Oui, vous !


    PSEUDONYME, PRENOM : Ysalys, ou Justine si vous préférez
    AGE : 14 ans et toutes mes dents
    AVATAR UTILISE : Elsa Hosk
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? C'est ma grande Chaley qui me l'a chaudement recommandé et je dois avouer que jusqu'à maintenant, il me plait beaucoup.
    LE MOT DE LA FIN ? Pommmees de rainettes et pommes d'apiiiiis, petit tapis rouge....











Anonymous

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i thought i was your muse. (ec) #Lun 8 Fév - 1:18


i thought i was your muse. (ec) 2rhmxhg

Une odeur de poulet avait envahi la pièce. Les couverts étaient parfaitement répartis sur la table. Nous mangions tranquillement. Le silence pesant s'était installé dans la salle à manger, comme à chaque fois que nous étions seuls. Nous partions parfois quelques discussions redondantes sur notre journée, nos résultats scolaires, notre bonheur éternel d'être un Hansley-Oxburry… Mon père commença alors son discours habituel.

« Alors, comment a été votre journée?
- Très bien.
- Génial.
- Bien. »

Un tout petit «bof» s'échappa alors de la bouche de mon frère. Mon père se retourna alors pour fixer mon frère. Je voyais bien que celui-ci regrettait déjà amèrement ce qu'il venait de dire.

« Raconte-nous, on doit bien pouvoir y faire quelque chose chéri.
- Non, je ne crois pas. Désolé…
- Nous devons le savoir, c'est important.
- Laissez tomber. Demain sera meilleur…
- Non. J'insiste. »

Je regardais mon assiette. Mon appétit s'était soudainement envolé. Puis, on sonna à la porte. Mon frère se précipita vers l'entrée, mais il fut intercepté par ma mère. Elle lui prit le bras et le fixa pendant de longues secondes avant de le laisser aller répondre. Il ouvrit la porte à une dame assez âgée d'après ce que je pouvais voir de la table. Je pus entendre leur conversation.

« Bonjour Jonathan!
- Bonjour Mme Russel.
- En as-tu parlé à tes parents?
- Oui, et ils ont été assez emballés, mais le projet me tentait déjà moins. Je crois que je ferais mieux de me concentrer sur mes études, la foire des sciences... »

J'avalai de travers. D'aussi loin que je me rappelle, les sciences lui avaient toujours donné la nausée. Je reconnu enfin la dame qui se tenait sur le seuil de la porte. C'était sa professeure d'arts plastiques à l'école. C'est ainsi que ma mère s'avança, quittant le côté jardin des coulisses.

« Bonjour! Voulez-vous entrer?
- Non, c'est bien gentil. Je venais juste voir si Jonathan avait accepté ma proposition. Il était vraiment doué, je trouve dommage qu'il ne vienne pas donner des cours privés avec moi.
- Et oui, je suis vraiment d'accord avec vous. Mais, que voulez-vous? On ne peut pas les forcer tout de même. »

L'hypocrite. Je sentis la colère monter en moi. Je savais qu'il en avait envie. Je sais aussi qu'il n'avais jamais utilisé le mot "emballé" de toute sa vie. Je… Ça m'enrageait. Je fulminait en silence, comme d'habitude, écoutant ma mère étaler son désarroi devant l'étrange décision de son fils. Quand la femme se décida enfin à quitter, mon frère et ma mère retournèrent s'asseoir. Mon père enchaîna.

« Voyons, de me dis pas qu'un Hansley-Oxburry a eu une mauvaise journée! On est des combattants! Rien ne nous fait peur!
- Sauf un fils qui aime la peinture. »

C'était sortit tout seul. Ma première flèche empoisonnée depuis le début de mon existance. Tout le monde se tut. Le sourire de ma mère se crispa légèrement, mais elle tenu le coup comme elle avait l'habitude de le faire. Je bouillonnais de colère. Je pouvais ressentir leur surprise, leur inquiétude. Ils ne contrôlaient plus rien. Je ne les avais jamais contredit. Leur petite fille muette se tenait debout. Puis, la nervosité monta en moi si rapidement que je ne pus l'arrêter. L'inquiétude de ne plus être aimée, de ne plus être ce que je devrais être, de me trahir. La peur m'étouffait, mais je continuai. Je me levai brusquement, m'accrochant sur la table. Mon père tenta d'éviter ma chute, mais je le repoussai. Je me relevai rapidement, raide et confuse. Je retenais les larmes qui menaçaient de s'écouler le long de mes joues. Je me retins à l'aide du comptoir et j'essayai de parler encore.

« Et tu sais quoi? Je veux aller à cette école. J'irai à cette école, dis-je en montrant la lettre que j'avais reçu au début de la semaine.
- Muse, nous en avons déjà parlé. C'est hors de question. Nous n'appartenons plus à ce monde.
- VOUS n'appartenez plus à ce monde. J'y ai droit.
- Livia croyait y avoir droit elle aussi, tu vois ce qui lui est arrivé. »

Je perdis alors le peu de courage qu'il me restait. Livia. Ma sœur aînée, celle que j'avais toujours adulée, admirée. Elle était partie. Du jour au lendemain sans qu'on ne puisse rien faire. Elle était partie étudier à Poudlard. Malheureusement, elle avait beaucoup de difficulté à l'école et avait préféré retourner directement étudier à Londres. Je lui parlais environs une fois par an au téléphone seulement. Elle était toujours pressée. Elle me rappelait seulement assez souvent à quel point le monde des sorciers était cruel, sans pitié. Je buvais ses paroles.

Je m'assis tête baissée, essayant d'éviter le regard de mes parents. Je ne savais pas ce qui m'avait prit. J'avais tout ce que je désirais ici non? J'allais avoir de brillantes études comme mon frère. Il oublierait vite la peinture. « Il faut que je regarde des deux côtés de la rue avant de traverser, que je ne le lâche pas des yeux, que je ne saute pas dans les flaques d'eau et que je reste calme. Il faut que… »









Anonymous

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i thought i was your muse. (ec) #Lun 8 Fév - 1:34


i thought i was your muse. (ec) 20i4oi

Il faisait beau, le soleil brillait intensément. Je sentais la chaleur à travers le rayon de lumière qui passait par la fenêtre de ma chambre. Il devait bien faire dans les 30°C. C'était notre première journée chaude depuis le début du mois de juin. J'avais ouvert ma fenêtre pour entendre les enfants rire, jouer, s'amuser. J'essayais d'illuminer du mieux que je pouvais ma prison feutrée. J'étais clouée au lit depuis presque une semaine. Je sais, c'était idiot. J'aurais dû rester à la maison pour réviser. Ça m'aurait évité bien des ennuis. Je regrette. J'ai dû faire terriblement honte à mes parents. En fait, ce n'est pas un doute, c'est un fait. Je leur aie fait honte. La preuve, je suis restée ici. Je n'aurais pas dû les écouter. Ils n'étaient que des fauteurs de troubles, ces Mr. Darcy juniors. Mais bien sûr, il fallait que je les écoute. J'aurais dû être forte, comme ma mère. Résister à la tentation.

Je n'aurais pas dû les accompagner, les suivre dans les bois. Pourtant, je savais que c'était interdit, mais je les aie tout de même suivis en pleine nuit sur les sentiers boueux. Il pleuvait si fort que j'avais l'impression que chaque goutte perçait ma peau pour y atteindre mes entrailles. J'avais embarqué sur une moto. Nous roulions comme des débiles. La vitesse me faisait frissonner. Ce qui était un défi ridicule devint rapidement une pause dans ma vie, une entaille dans le temps. Je me souviens à peine de ce qui c'est passé, après nos premiers verres de bière, on oublie vite. J'ai eu l'impression que quelqu'un était venu nous rejoindre. Claes. Mais j'étais simplement trop aveuglée par ma joie que je ne pouvais pas me rendre compte de sa présence. Puis, mon père est finalement venu. Il savait où j'étais. Il le savait toujours. Il était venu me "sauver". De quoi, me direz-vous. De ma folie. Il avait sûrement peur que j'attrape la mort en me promenant dehors en pleine nuit à une température pareille. Mais, quelque chose me permit d'en douter. Il prit les trois jeunes garçons à l'écart et leur parla avant de les ramener quelques rues plus près de chez eux. Il me ramena alors à la maison. Je pouvais lire dans ses yeux la colère, la déception. Il m'enferma dans ma chambre et ne me rejoignit que le lendemain. C'est à ce moment qu'il m'expliqua quoi faire. Il m'expliqua ce que je savais déjà. Il ne fallait pas que ça se sache. Que j'allais rester à la maison aujourd'hui parce que j'avais été très malade. J'écoutais du mieux que je pouvais, mais ma main se promenait sur mon lit. Elle traçait un chemin précis sans que je puisse l'identifier. Il continuait de me dire à quel point il avait honte, et qu'il espérait de tout cœur que personne ne le saurait jamais. Sa fille, cette dévergondée de 16 ans qui buvait dans les bois en pleine nuit. Mon doigt continuait de se déplacer de plus en plus vite, et je perdais ma concentration. Mon père prit mon menton et l'approcha brusquement de son visage. Il me demanda si je l'avais bien compris. Je hochai doucement la tête. Il partit alors travailler, me laissant seule dans la maison. Je restai couchée pendant quelques heures avant que la peur se mette à me ronger de l'intérieur. Ils devaient tous le savoir en ce moment. Jacob et Connor devaient avoir tout raconté aux autres élèves. Ils devaient être bien trop fiers de leur coup. Avoir réussi à faire tomber Muse.

C'est ainsi que des phrases qui ne m'étaient pas inconnues commencèrent à me harceler. Je me les répétais continuellement dans ma tête. Je le faisais souvent pour ne pas les oublier. Mais là, c'était différent. Ma tête allait exploser. Je sortis une feuille de papier et commençai à les écrire. Cette action provoqua un tel soulagement que j'en sortis une deuxième, puis une troisième… jusqu'à toutes les arracher unes par unes de mon cartable. Je les remplissais complètement. Mais je n'avais plus de feuille, les phrases revenaient en force. Ils allaient tous se moquer de moi. J'allais devenir l'une des leurs, une personne imparfaite. Non, ça ne pouvait pas arriver. Ma famille ne le supporterait pas. Les Hansley-Oxburry étaient de bonnes personnes, pas des saoulons. Je pris mon feutre, le seul crayon que j'avais trouvé, et je commençai à écrire sur mon bureau, puis, celui-ci remplis, je m'attaquai à un coin de mur. J'allais tout nettoyer. Chaque phrase devait être la dernière avant que je pense à une autre encore plus importante. J'écrivais, prise d'une frénésie puissante. C'est alors que mon feutre manqua d'encre. Je reculai alors du mur, constatant qu'il était plein. Je regardai partout autour de moi, espérant me tromper. J'avais tout écris. Des centaines, non, des milliers de fois. «Il faut que je regarde des deux côtés de la rue avant de traverser, que je ne le lâche pas des yeux, que je ne saute pas dans les flaques d'eau et que je reste calme. Il faut que…» Mes murs étaient remplis de ces phrases qui résonnaient dans ma tête depuis longtemps. Je regardai mes mains pleines d'encre, incrédule. C'est alors qu'elle entra. Ma petite sœur Tally. Elle recula sans trop comprendre. Je me sentais impuissante. Elle m'avait toujours admirée pour ma droiture, ma force d'esprit. Maintenant, elle voyait sa sœur aînée cernée, perdue, épuisée. Bien sûr, elle alerta ma mère. Encore une fois, le reste est assez flou. Mes parents sont arrivés. Ils n'ont rien dit. Ils m'ont emmenés chez ma grand-mère pour y passer la nuit. Elle ne m'en a pas parlé elle non plus. Elle me souriait. Ce sourire qui m'avait toujours paru si réconfortant quand j'étais petite, me rendait mal alaise. J'ai préféré aller me coucher très tôt. Mes parents sont venus me chercher le lendemain. Ils étaient tous si… heureux? Je me suis excusée brièvement.

« Je suis désolée.
- Mais de quoi chérie?
- Ben… pour les murs de…
- Ça? Ce n'est rien, tu avais à peine tracé quelques lignes à côté de ton bureau. Nous avons tout nettoyé. »

J'étais bouche bée. Autant ils pouvaient rendre pire la moindre mes erreurs, autant ils minimisaient sans cesse ce qu'ils savaient qu'ils ne pouvaient pas contrôler. En rentrant dans ma chambre, j'ai alors compris. Mes murs étaient repeints. Un bleu poudre qui s'agençait parfaitement à ma nouvelle literie et mes rideaux.

Maintenant, je devais accepter ce néant pastel qui s'adonnait à être ma vie. Je ne suis pas allée voir un médecin, même si je leur aie demandé maintes et maintes fois. Ils devaient se dire que c'était inutile. Leur fille était parfaite. Mes parents avaient même raconté à tout le monde que j'avais attrapé une mauvaise grippe et qu'ils avaient refait ma chambre pour me remonter le moral. Il ne me restait plus qu'à regarder dehors. Ce que je faisais de mieux, ne rien faire. On m'appréciait ainsi. Les paroles de ma mère résonnaient encore dans ma tête. Elle nous les répétait à chaque fois que nous nous lamentions. Je ne sais pas si elle y a déjà cru ou si elle a préféré se forcer à y croire. Disons que c'est toujours plus facile. Quand même ce que j'avais de contrôle s'enfuit en courant devant les regards de tous, je préfère moi aussi me dire: « Ce n'est pas grave. Va te coucher, demain est un autre jour. »

i thought i was your muse. (ec) 15s93dg









Anonymous

Invité
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i thought i was your muse. (ec) #Lun 8 Fév - 13:29


Bienvenue chez nous What a Face
J'adore les photos que t'as choisi *O*









Magdaleyna C. Dangelo

Magdaleyna C. Dangelo


► MESSAGES : 30
i thought i was your muse. (ec) #Lun 8 Fév - 13:53


Elsa I love you
Bienvenue !









Anonymous

Invité
Invité

i thought i was your muse. (ec) #Mar 9 Fév - 23:16


Merci! i thought i was your muse. (ec) 640783









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
i thought i was your muse. (ec) #Mer 3 Mar - 17:18


Pensez à finir vos fiches, ou à indiquer qu'elles sont terminées si vous voulez être validés. Ne nous laissez pas penser que votre fiche est inactive elle risque d'être déplacer à tord (ou à raison). Bon courage pour la fin.










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