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 Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101

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PROFIL & INFORMATIONS









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Jeu 31 Déc - 4:16


    - premier post pour Aaron -

    Candice était assise sur une branche d’arbre depuis déjà quinze minutes. Que faisait-elle là-haut par ce froid ? Que faisait-elle assise sur une branche d’arbre quand les feuilles étaient tombées sur le sol ? Vous ne savez pas. C’était tout simplement pour regarder le paysage et réfléchir en hauteur. Elle adorait pouvoir voir une vue en hauteur du paysage qu’offrait Poudlard à l’approche de la période des fêtes ou encore de noël. Elle aimait le paysage qui s’offrait à elle, comme si la nature était morte, mais toujours vivante. Elle n’aimait pas la mort, mais le paysage d’hiver était toujours captivant. Candice regardait à l’horizon tout le paysage qui se présentait près d’elle. Cette dernière souriait en pleine dent. La Poufsouffle était heureuse de voir que Poudlard l’émerveillait toujours après toutes ses années. Elle ne s’était jamais tannée de ce que Poudlard lui offrait, c’était déjà mieux que de vivre avec sa parenté dans la grande maison en Louisiane. Elle était consciente qu’elle aurait pu aller à Salem, mais la plupart des gens de sa famille ont été à Poudlard, elle voulait donc les suivre. Ils lui avaient dit que Poudlard était une belle endroit où que l’on regardait chaque petit recoin au tout début, mais à force d’y être, on perdait l’envie d’y rester, de regarder tout autour, comme si la magie était disparue. Pourtant, Candice était totalement différente de ses derniers. Elle adorait Poudlard, chaque recoin était différent. Cette dernière faisait toujours des découvertes sur ce château fantastique qui avait mis un peu plus de soleil dans sa petite vie. Elle avait fait des rencontres merveilleuses, mais aussi des mauvaises. Il fallait de tout pour construire un monde et surtout son monde. Elle n’était pas déçue de vivre tout ça, elle avançait jour après jour, elle voyait son chemin se tracer devant elle. Le destin était-il déjà tracé pour elle ? Non, elle le traçait. Ce paysage, elle ne l’oublierait jamais. Il était gravé dans sa mémoire et croyez-moi pour lui faire oublier, il lui fallait un bon sortilège d’amnésie.

    Les jours passés à Poudlard étaient inoubliables, même si elle s’ennuyait de certaines personnes qui formaient aussi son monde hors de Poudlard, mais il y avait un temps pour tout. Elle les voyait plus tard. Elle était capable d’attendre. Candice avait toujours hâte aux vacances, mais elle finissait par le regretter. Elle était loin de ceux qu’elle appréciait réellement. La préfète aurait préférée passé chaque jour de sa vie entourée des gens qui l’aimaient et qu’elle aimait en retour. Elle n’aimait pas les cours à Poudlard, mais elle aimait passer du temps avec les gens, parlé de tout et de rien pendant des heures des heures avec les autres élèves. Il y avait des gens comme Elladora et Aaron qu’elle n’oubliera jamais, lorsqu’elle sera une adulte accomplie. Elle ne voulait pas perdre contact avec aucun des deux, ils étaient uniques dans son cœur. Personne ne pourra être à la hauteur de ses deux là. Elle s’attachait beaucoup aux gens, parfois un peu trop, mais Candice était comme ça, on ne pouvait pas la changer. Elle était différente et ça changeait un peu le monde à sa façon. Quand on voyait la Poufsouffle pour la première fois, les gens disaient : « oh merde, une autre qui veut se faire remarquer », mais le problème c’est qu’en parlant d’elle et en l’insultant, vous lui donnez de l’attention ce que certains moutons n’avaient pas…. Les gens pointaient régulièrement la jeune femme la ridiculisant, au fond, le cœur de Candice était hors d’atteinte, elle se disait qu’ils n’en valaient pas la peine et qu’ils étaient jaloux. La préfète continuait son chemin en les ignorant. Poudlard lui avait forgé un caractère, elle était moins sensible qu’à ses débuts, sauf qu’elle avait toujours une faiblesse, c’était les personnes qu’elle appréciait plus que tout au monde qui savait la faire pleurer… énormément pleurer.

    Le vent s’était levé. Ce dernier soufflait fort sur le parc de Poudlard. Candice sentit le premier frisson parcourir son corps. Cette dernière mit ses mains à son visage et souffla dans ses mains. Elle voulait encore rester quelques temps à regarder encore et encore le paysage. Pourtant le temps était peu recommandé pour la jeune femme qui ne s’était pas habillé encore chaudement. Candice fût déçue de ne pas avoir pensé à s’habiller plus chaudement, comme il se devait à ses temps-si de l’année. Elle devait le savoir, depuis le temps qu’elle était ici, mais elle ne se domptait donc jamais. Tête en l’air ? Peut-être, mais c’était Candice. La jeune femme soupira bruyamment et se prépara à descendre de l’arbre avec délicatesse. « J’aurais peut-être dû m’habiller différemment pour grimper à un arbre, ses vêtements ne vont pas bien dans ce genre de cas… Quand est-ce que je vais réfléchir un millième de seconde ? » pensa-t-elle déçue d’autant de stupidité de sa part. Elle descendit en douceur le long du tronc se tenant aux branches qui étaient à sa porter. Quand elle fût les deux pieds au sol, elle épousseta son manteau venant d’une boutique moldu. Encore, une fois, Candice montrait son merveilleux côté de préférence des moldus pratiquement chaque jour à Poudlard. Mais qu’aimait-elle le plus chez les moldus ? Leur vêtement. Elle appréciait le style qu’ils avaient. Différent de celui des sorciers. En ce jour, elle s’était habillée d’une façon classique, mais toujours moldu. Elle avait un pantalon moulant ( skinny ) avec un simple chandail à manche court et portait des souliers ballerines. Quelle idée de sortir ainsi dehors à ce temps pareil ? Il était peut-être temps qu’elle rentre se sentant toute grelottante.

    Candice prit la direction du château. Il ne lui fallut qu’un bon gros cinq minutes pour atteindre l’énorme porte menant au hall d’entré du château. La jeune femme souriait toujours et regarda tout autour d’elle abaissant le capuchon de son manteau dans le hall. La Poufsouffle avait une folle envie de se faufiler dans la salle sur demande continuer les œuvres qu’elle faisait et même d’en créer des nouvelles. Avant tout, elle devait dessiner ce qu’elle voyait et placer le modèle de ce qu’elle pensait dans son portfolio. Il était sur que dans la salle sur demande, elle allait être au calme. La jeune femme se mit à monter les marches en direction de la salle sur demande. Elle ne s’arrêtait pas sur le chemin des gens autres élèves qui la regardaient par moment. Elle ne se fondait certainement pas dans la masse surtout avec le look qu’elle, mais elle s’était habituée. Il fallait avoir du cran pour être aussi différente, mais elle en avait, sauf que parfois elle aimerait de ne pas être remarquée… Mais ses journées là, il fallait avouer que son petit cœur souffrait, ce qui n’était pas le cas en ce moment. Elle était heureuse, rien ne pouvait changer sa bonne humeur, sauf…. Ça ! Elle était rendue devant la porte de salle sur demande qu’elle aperçut Aaron dans une drôle de position. Cette dernière s’approcha de ce dernier et le toucha du bout du doigt de son ami.

    « Mon pauvre Aaron, tu devrais apprendre à dire non. Un jour, tu vas te faire tellement mal. » elle le regardait sérieusement. « tu es blessé ? » demanda-t-elle gentiment en lui proposant sa main pour l’aider. « Qu’est-ce que tu as fait encore ? Si j’étais toi, je commencerais à me sauver des gens, surtout que tu dis toujours oui. C’est troublant. Aaron, je vais te donner un cour. Il le faut, ça va trop loin. » Elle lui sourit. « Oui je suis une mère poule qui protège ses petits. » Elle lui sourit encore plus. « Il faut que tu fasses attention à toi. Qu’est-ce que je ferais sans toi ? Mes journées seraient si sombres. »










Aaron O. Vanna Syl


► MESSAGES : 218
Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Mer 6 Jan - 15:58





Aaron était le genre de gars qui s'amusait de tout, de rien... mais surtout de tout. Ce n'était pas vraiment sa faute. On l'avait éduqué ainsi. Quand on lui demandait s'il voulait faire telle chose, il disait oui par pur automatisme, par pur réflexe. Petit, il avait compris très rapidement que le « non », chez les Vanna Syl, était abbhoré, et que pour être aimer, il fallait se rendre serviable et agréable. Il essayait. Tant bien que mal, dirons nous. Car si Aaron était un gryffondor courageux et espiègle, il avait cette retenue qu'ont les plus naïfs, et un peu ingénue de certaine chose du monde – duquel il avait grandit éloigné – il s'était rapidement rendu compte que les gens ne s'intéressaient à lui que quelques minutes, quelques heures, puis le laisser totalement. Durant ses premières années, Aaron n'en avait pas particulièrement souffert. Il était aimé, il rendait service, il aidait particulièrement bien son prochain, et puis, il était sympathique. Seulement, arrivé à l'âge de quinze ans, cette gentilesse avait pris un tournant malsain où on s'amusait à voir ce qu'Aaron ferait, de plus en plus idiot, de plus en plus dangereux. Juste pour voir, pour s'amuser. Ce qui n'était absolument pas amusant. Puis était venu sa première fois, un peu ingénue, un peu ridicule. « Aaron, tu veux pas faire 'ça' avec moi? ». Il n'avait pas compris. Il avait appris. Cette nuit là, il avait fait ça avec douceur et maladresse, mais il avait apprécié voir rougir la jeune fille, la voir soupirer sous quelques lents vas et viens, et sans s'en rendre compte, il avait donné un plaisir en en recevant un aussi grand. Puis il y en avait eut d'autres. Le mot avait été passé : Aaron ne disait jamais non. À la moindre demande, il hochait consciemment la tête. À quinze ans, sa réputation était toute faite. Il était un gars facile, et si on s'ennuyait, on pouvait aller le voir pour « s'amuser ». Cette réputation ne lui plaisir pas plus que ça, mais il s'y était fait. Puis il y avait Kelso, qui changeait un peu ses nuits, lui faisant oublier combien il était difficile d'être tout simplement soit. Il l'aimait, son Greg Kelso, tellement qu'il aurait fait n'importe quoi pour lui. Comme accepter l'infidélité devant ses yeux, et aussi l'humiliation de chaque jour devant les autres, pour ne pas qu'on le soupçonne. Pour pas que son père l'aprenne. Au final, Aaron n'était pas lâche. Il avait tenu tête à sa famille, il avait été renié. Il n'était pas plus un Vanna Syl qu'un chien à leur yeux. Car il était de ce bord là, car il était tout ce qu'ils ne voulaient pas. Car il était comme ça. Qu'il était lui.

Seulement, cette fois-ci, Aaron ne s'était méfié de rien. Lucy Spencer avait sourit, comme à son habitude, et l'avait doucement ammené dans la salle sur demande. Elle lui avait dit : monte sur ce tabouret, j'ai oublié ma barette sur l'étagère. Alors il était monté, sans savoir vraiment pourquoi, après avoir empiler deux tabourets. Puis une fois en haut, il avait glissé sur la pointe des pieds pour attraper la barette, et à un bon mètre du sol, les tabourets étaient tombés, le laissant seul là, accroché à l'étagère. Lucy avait hurlé de rire avant de partir, le laissant là, accroché à l'étagère, les pieds à un mètre du sol. Un mètre, ce n'était rien. Mais sa main était coincée entre l'étagère et le mur, et s'il la décochait, tout son bras finirait râpé par le bois, et peut être même cassé. Il ne pouvait pas se permettre ça. Il était batteur de l'équipe de Quidditch. Sans lui, il n'y aurait plus aucun match! Il resta là, quelques secondes. La porte s'ouvrit à nouveau. Une lueur d'espoir dans les yeux, il regarda derrière lui. Merde. Candice. Lucy n'était même pas revenue pour l'aider. Il maugréa en silence, bien qu'heureux de voir la poufssoufle ici, avec lui.

« Mon pauvre Aaron, tu devrais apprendre à dire non. Un jour, tu vas te faire tellement mal. Ttu es blessé ? Qu’est-ce que tu as fait encore ? Si j’étais toi, je commencerais à me sauver des gens, surtout que tu dis toujours oui. C’est troublant. Aaron, je vais te donner un cour. Il le faut, ça va trop loin. Oui je suis une mère poule qui protège ses petits. Il faut que tu fasses attention à toi. Qu’est-ce que je ferais sans toi ? Mes journées seraient si sombres. »
« La question exacte serait plutôt, qu'est-ce que je ferais sans toi, Candy? »

Mh, distraction. Il avait voulu pivoté, mais finalement le bras se décoinça et il tomba lourdement sur le sol. Le carrelage le reçu et il étouffa un gémissement de douleur. Foutu carrelage de merde. Il ferma les yeux, un instant, pour reprendre sa respiration qui haletait. La douleur était puissante, mais au moins, son bras était intacte. C'était déjà ça. Il se releva avec l'aide de Candice et regarda son bras. Rien. Bien. Il reporta son regard sur elle, en haussant les épaules.

« Tu sais, je suis pas sûr que fuir les gens m'aide vraiment. Après tout, c'est eux qui viennent me voir, puis... 'fin, j'ai été élevé comme ça. À dire oui. Donc c'est pas vraiment gênant pour moi, tu vois. C'est une habitude, on va dire. » Il la regarda et arqua un sourcil. « Pourquoi t'es là au fait? »

Question un peu ridicule. Pourquoi il était lui, après tout? C'était la réponse qu'elle allait lui retourner, à coup sûr.











Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Jeu 7 Jan - 3:06


    Qu’est-ce qu’il s’était passé pour que Aaron soit dans cette position ? Il était pendu par le bras sur une étagère. Ça ne devait pas être une position dès plus confortable. Elle le fixait ne sachant trop quoi faire. Candice avait peur de le voir se blesser. Elle n’aimait pas le voir dans des positions peu confortables où il pouvait se blesser. Pourquoi les gens étaient-ils aussi méchants avec lui ? Pourquoi les gens voulaient-ils voir à quel point que sa naïveté et son bon cœur ( pour elle ) pouvait le mener ? Candice savait que c’était bien de rendre des services, mais quand ça restait faisable. Il était possible de ne rien pouvoir pour aider la personne, mais Aaron ne semblait ne pas le voir. Peut-être s’en rendait-il compte sans vraiment être capable de dire le non qu’elle attendait avec impatience. Ce nom qui serait si doux à ses oreilles. Elle attendait le jour où ce merveilleux mot sortirait de la bouche de son ami. C’était horrible, comment elle était impatiente face à tout ça, elle voulait son bien, alors elle avait hâte. Hâte qu’on cesse de lui dire des bêtises pour le mettre dans des positions à risque. Elle ne voulait pas le voir encore dans ce genre de situation. Elle en avait sa claque. Alors, elle devait tout faire pour qu’il apprend ce fameux mot ; non. Candice ne demandait rien de plus à ce gentil garçon qu’elle voulait prendre soin le plus possible puisque les gens ne faisaient aucunement attention à son ami. Candice adorait Aaron, il était différent des autres élèves. Avec lui, elle pouvait s’amuser, même s’il disait toujours oui à tout ce qu’elle lui disait, mais elle essayait le moins possible de lui demander des trucs gênants ou dans le genre. Elle ne voulait pas faire, comme les autres. Elle était différente des autres, mais parfois elle faisait la gaffe de lui dire des choses qui pourraient le mettre dans des positions gênantes, elle le voyait assez rapidement…

    Aaron tomba sur le sol et la préfète lâcha un petit cri effrayé. Elle vint près de lui, lui donner sa main pour l’aider à se relever. Elle lui fit un léger sourire avant de lui lâcher un flot de parole. Elle lui disait tout ce qu’elle voulait ouvertement à Aaron, puisqu’elle ne voulait pas le voir encore une fois dans des positions aussi atroces. Elle n’écoutait pas les rumeurs sur Aaron, ni ce que les gens disaient à son propos. Un garçon facile, non merci… Il était incapable de dire non, même elle, si elle lui demandait… il allait lui dire oui. Elle en était consciente, par moment, elle avait envie de lui demander ce genre de choses, mais elle agirait comme les autres, ce qui la dégoûtait. Elle n’avait pas le droit de penser un millième de seconde de lui demander ce genre de choses, même si ce n’était certainement pas pareil. Elle ne le rejetterait jamais. Elle l’aimerait, comme s’ils étaient des amants depuis toujours. C’était peut-être un peu pour ça que Candice était terriblement blessée à chaque fin de relation, mais ça… elle le savait. Elle savait qu’elle était un peu trop collante, qu’elle tombait amoureuse trop rapidement et surtout elle était naïve sur les rebords quand il était question de sentiment. Pourtant, ici, il n’y avait pas questions de sentiment, mais plutôt d’amitié entre les deux. Candice l’aida à se relever avec un sourire.

    « Tu sais, je suis pas sûr que fuir les gens m'aide vraiment. Après tout, c'est eux qui viennent me voir, puis... 'fin, j'ai été élevé comme ça. À dire oui. Donc c'est pas vraiment gênant pour moi, tu vois. C'est une habitude, on va dire. Pourquoi t'es là au fait? »
    « Une habitude Ronron. T’es sincère d’aimé ce qu’on te fait. Oui je peux croire qu’aider son prochain est bien, mais quand il est rendu au point de blesser celui qui veut aider ou qui dit oui à pratiquement tout. Ça dépasse les bornes. » Candice venait un peu d’éclater en fait devant lui. Elle était enragée qu’on lui fasse autant de mal. Elle n’aimait pas qu’on touche à ses amis de cette manière, même si techniquement le pauvre Aaron était suspendu à une étagère, mais ça revenait au même. On portait atteinte à lui. « Moi, ce que je fais là ? Bah je voulais venir créer et dessiner, mais j’ai trouvé autre chose à faire. Et cette chose consiste à te faire dire non. Toi Ronron ? » Candice prit le bras qui n’était pas pris un peu plutôt à l’étagère et vint le faire asseoir son ami sur un sofa qui était présent dans la salle sur demande. « Bon, dis-moi… N-O-N » Elle savait qu’elle devait user plus qu’il dise non, elle devait le mettre en situation, mais lui demander quoi. Quelques choses de difficile pour qu’il réfléchisse à deux fois. « Aaron, embrasse-moi ! » Elle espérait qu’il lui dise non ou qu’il montre qu’il ne veut pas. Juste une fois entendre ce mot tant chéri par les oreilles de la Poufsouffle. Elle voulait l’entendre sortir des lèvres Aaron. Elle ne voulait pas profiter de lui. C’était un essaie. Elle voulait faire tout pour qu’on cesse de lui faire du mal, car ça lui faisait à elle aussi du mal. Pourquoi ? Parce qu’elle était touchée quand il souffrait. Elle était ainsi, on ne pouvait faire autrement, même lorsqu’Elladora pleurait, Candice pleurait. La poufsouffle se souvenait quand sa meilleure amie s’était mise à pleurer, elle n’avait pas plus se contenir plus autant. Elle s’était mise à son tour à pleurer chaudement, comme si elle partageait la même peine. C’était peut-être fou aux yeux des gens, mais la jeune femme était comme ça. On ne pouvait comprendre, comment elle réagissait. Elle était fragile. C’était une sentimentale. Il n’y avait aucun mot pour décrire comment les larmes montaient vite et coulaient aussi rapidement sur ses joues. Les gens finissaient par s’y habituer…










Aaron O. Vanna Syl


► MESSAGES : 218
Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Jeu 25 Fév - 18:14





Aaron avait bon coeur. C'était une bonne poire, comme on disait par chez lui. Un peu trop naïf, pas assez Vanna Syl. Il était devenu plus critique cependant, avec le temps, peu à peu. Un regard plus sévère sur l'humanité, sur ce qu'elle faisait aux gens, sur ce qu'elle lui faisait subir à lui. Il aurait aimé ne plus en faire partit. Vivre seul, quelque part, loin. Avec Gregory Kelso, l'aimer tous les soirs, quitte à en mourir d'épuisement. Il l'aimait, son Greg Kelso. Il voudrait l'épouser, embrasser sa bouche, ne l'avoir qu'à lui seul. Mais... mais ça, ça n'arriverait jamais, car Kelso avait un père, et qu'Aaron a côté, devait sans doute faire bien moins peur. Greg ne l'écouterait jamais, il ferait sa petite vie, épouserait une femme aussi blonde que belle, avec qui il n'aurait aucun enfant, que des ébats violents, et peut être une maîtresse. Et lui? Lui... il n'avait jamais réfléchi à l'avenir. Ça le rendait un peu triste d'y penser. Serait-il toute sa vie ce pauvre garçon que l'on prenait en pitié, ou à qui l'on jouait de mauvais tour? Toute sa vie, ainsi? ...non. Ça ne se pouvait pas. Aaron souffrait trop pour se laisse faire ainsi toute une vie. Non? ...quoi que. Il tomba sur les fesses, dans un moment d'inattention, et se releva. Il avait un peu mal. Ça tombait mal, puisque demain ils avaient un match, et qu'il ne voulait pas le rater. Greg viendrait le voir, le regarder – il espérait. Oui. Il espérait à chaque fois qu'il le regarde, puis qu'il le rejoigne, un jour ou l'autre, dans les vestiaires. Il préférait le torse de Greg, tout de Greg. Benoît était certes très beau, mais il était moins doux, moins attentionné. Et il n'était tout simplement pas Kelso. Aaron soupira finalement, se massant le bras. Visiblement, il avait mal. Un peu, pas beaucoup. Pas même une grimace. Juste que ça chauffait.

« Tu sais, je suis pas sûr que fuir les gens m'aide vraiment. Après tout, c'est eux qui viennent me voir, puis... 'fin, j'ai été élevé comme ça. À dire oui. Donc c'est pas vraiment gênant pour moi, tu vois. C'est une habitude, on va dire. Pourquoi t'es là au fait? »
« Une habitude Ronron. T’es sincère d’aimé ce qu’on te fait. Oui je peux croire qu’aider son prochain est bien, mais quand il est rendu au point de blesser celui qui veut aider ou qui dit oui à pratiquement tout. Ça dépasse les bornes. » Il se frotta la tempe, avec un sourire désolé.
« J'aurais du faire plus attention, c'est tout... »
« Moi, ce que je fais là ? Bah je voulais venir créer et dessiner, mais j’ai trouvé autre chose à faire. Et cette chose consiste à te faire dire non. Toi Ronron ? » Il la regarda, les yeux ronds. Il haussa un sourcil.
« ...moi? Dire... eeh? »

Si Aaron se laissa guidait par la main de Candice, il n'en revenait pas. Non. C'était un mot qui n'avait jamais fait partit de son vocabulaire. Aaron était quelqu'un de serviable. De trop serviable. Il aurait quasiment pu sauter du deuxième étage si on le lui avait demandé. Il se posa sur le sofa et posa ses mains sur ses genoux, regardant Candice, avec un sourire légèrement moqueur. Comme allait elle pouvoir lui apprendre un mot dont il ne s'était pas accommodé en seize ans? Ou de rare fois, rebelle. Quand il était énervé. Et seul dieu savait que c'était plus rare qu'une éclipse en un siècle.

« Bon, dis-moi… N-O-N »
« Euh... certes? » Il se frotta la tempe, un peu gêné.
« Aaron, embrasse-moi ! »

Aaron la regarda et arqua un sourcil. Elle était sérieuse ou...? Il haussa finalement les épaules, se pencha et l'embrassa. Chastement, sur les lèvres, et se décolla presque aussitôt. Aaron n'y voyait rien de dérangeant, tout simplement car il n'avait pas conscience des limites de sa gentillesse, qui, en passant, n'avait visiblement aucune limite.











Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Sam 27 Fév - 18:44


    Elle n’aimait pas que son Aaron, SON ami se fasse autant marcher sur les pieds. Elle avait peur pour lui. Les gens pouvaient être terriblement méchants. Elle ne se pensait pas méchante pour sa part, pourtant elle faisait des actions plutôt douteuse par moment, mais pouvait-on lui en vouloir réellement ? Non, car des gens faisaient bien pire. Elle était humaine après tout. Elle ressentait de fortes émotions qui lui faisaient perdre un peu la carte. Elle faisait souvent des actions sur des coups de tête sans avoir réfléchir à ce qu’elle avait fait. Les sentiments et les émotions pouvaient faire bien des choses inconsciemment passant de petit geste à des gestes complètement extrémistes qui finissent toujours très mal. Les gestes extrémistes étaient dans les cases de meurtre passionnel. Combien de femmes ou d’hommes ont tué par passion se rendant compte de leur erreur trop tard lorsque leur âme sœur quittait l’enveloppe corporelle. Si vous saviez, comment Candice ne faisait pas autant de mal que ça ? Saviez-vous qu’elle détestait jouer les méchantes, mais elle était une jalouse par nature, donc elle ne contrôlait pas ses humeurs lorsqu’elle voyait le garçon qui faisait battre son cœur regardé une autre. Elle finissait par avoir mal, c’était certains. Elle ne se croyait pas désirable, alors… elle vivait dans un silence constant de ses amours qui finissaient par un échec total. Aaron n’avait pas le droit de souffrir, comme elle avait souffert. Il n’avait pas le droit de subir ce que les autres lui faisaient faire pour le plaisir de le voir se faire mal dans des situations cocasses pour ceux qui ne retrouvaient pas en position du Gryffondor. La poufsouffle était terriblement hors d’elle quand ça l’arrivait. Elle avait qu’une envie étranglé la personne qui voulait du mal de son gentil Aaron. Il était près à tout pour rendre service aux gens, mais les gens étaient bien méchants pour un aussi gentil garçon qui rendait service à ceux qui lui demandaient de l’aide. Elle ne comprenait pas les gens. Pourquoi s’en prendre à lui ? Pourquoi ? Elle n’aurait pas de réponse, elle savait qu’elle aussi par moment, les gens s’en prenaient à elle puisqu’elle était prête à aider son prochain… pourtant, elle savait dire non pour se protéger de ses mauvaises blagues. Candice avait peut-être une tête de mule plus grande que celle de son ami qui se laissait un peu trop marcher sur les pieds en disant oui à tous ceux qui lui demandaient des trucs.

    Candice s’était décidée de lui apprendre à dire non. C’était simple en fait. Ce mot n’était pas si compliqué à dire, mais pourtant Aaron ne savait pas comment le dire. Elle ne l’avait jamais entendu dire ce mot qu’elle attendait avec impatience. Il semblait la trouver bizarre dans ses propos. Peut-être, mais elle voulait lui apprendre. Elle le guida jusqu’à un sofa qui avait dans la salle sur demande. Elle le regarda avec tant de sérieux tandis que lui avait un sourire moqueur. Elle ne trouvait pas que la situation était drôle. Elle était plutôt alarmante pour la jeune femme qui ne voulait pas que son ami finisse par souffrir par la méchanceté des autres. Elle n’était pas une sainte, mais elle aimait beaucoup Aaron et ne voulait absolument pas qu’il souffre. Elle lui demanda de l’embrasser s’attendant à se faire dire non, mais ce dernier se pencha et l’embrasse d’un baiser chaste, mais il l’avait tout de même embrassé. Candice eut les yeux ronds. Elle le fixait presque frustrer de ce qu’il venait de faire. Elle ouvrit la bouche, mais aucun sons n’y sortit. Elle était fâchée, plutôt choquée de ne pas avoir trouvé le moyen de lui dire non du premier coup. Candice ferma la mâchoire et la rouvrit à nouveau.

    « Aaaaaaaron ! Il ne fallait pas que tu m’embrasses » dit-elle un peu énervée. « bon, faut que je t’apprenne à te dire non. Je veux absolument réussir Aaron. On y passera la nuit, mais je m’en fou. On doit régler ce grave problème. Aaron, fais-moi un bébé et ensuite mari-moi » dit-elle avec un grand sérieux. Elle voulait l’entendre dire ce qu’elle attendait depuis trop longtemps. Elle voulait l’entendre dire ce non qui lui ferait du bien extrême. Elle voulait entendre ce mot. Il ne fallait surtout pas s’en faire, Candice ne voulait pas se marier avec son ami. Justement, elle voulait l’entendre dire le mot qu’elle attendait. « Aaron, j’attend ta réponse. » Elle posa ses mains sur lui. Au niveau de son bras pour jouer le jeu pour qu’il dise ce qu’il pensait réellement. Elle ne sera pas déçue par sa réponse si elle est négative, car tout ça, ça serait sérieuse. Elle voulait avoir cette réponse. Candice caressait délicatement le bras de Aaron avec ce petit sourire innocent qu’elle avait régulièrement sur son visage.










Aaron O. Vanna Syl


► MESSAGES : 218
Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Sam 6 Mar - 2:35






    « Aaron, embrasse-moi ! »

    Aaron s'était penché, tout simplement, et l'avait embrassé comme on embrasse dans les vieux monastères. Il l'avait embrassé, et avait ouvert les yeux. Elle était belle. Dans l'obscurité. Mais ce n'était pas le plus important, car cette beauté n'avait aucune valeur aux yeux d'Aaron. Il aimait son Gregory Kelso, assez pour faire abstraction de tous et de toutes. En revanche, il l'avait embrassé chastement, et n'avait pas compris pourquoi elle le regardait avec un air médusé. C'était si gênant que ça? … oh! Elle n'avait pas qu'à demander. Aaron arqua un sourcil, pas vraiment sûr de comprendre la situation. Était-elle fâchée qu'il est fait ce qu'elle est demandée? Mais n'étais-ce pas le but – justement – d'un ordre ? D'une demande? Que l'on fasse? Aaron était beau. On lui excusait bien souvent cette naïveté toute poufssoufle qu'il avait. On le lui excusait car même des reproches à ce propos, il n'en tenait jamais compte. C'était comme parler pour ne rien dire. … c'était parler pour ne rien dire.

    « Aaaaaaaron ! Il ne fallait pas que tu m’embrasses »
    « Mais tu m'as demandé! Tu me demandes, je fais. Sinon ça sert à quoi de demander si tu ne veux pas qu'on le fasse? »

    Aaron avait une logique très... logique. Son raisonnement n'était pas bête. Aaron était quelqu'un de travailleur, et rendait tous ses devoirs dans les premiers, car il prenait le temps nécessaire pour tout faire. Avoir des devoirs, ça ne le dérangeait pas. Avoir quelques entraînements de plus ou des heures de cours en plus, ça ne le dérangeait pas non plus. En réalité, Aaron avait cet esprit russe poussé à l'extrême, c'est à dire cette sensation d'appartenance à un groupe où il faut donc plier devant l'autorité. Aaron n'avait rien d'un leader – ou alors fallait il le mettre en colère, ce qui prenait plus de temps qu'il n'en fallait à prendre sa décision seul. Dans l'ensemble, Aaron n'était pas désagréable. Il était juste un bon travailleur, qui se donnait à fond dans ce qu'il faisait.

    « bon, faut que je t’apprenne à te dire non. Je veux absolument réussir Aaron. On y passera la nuit, mais je m’en fou. On doit régler ce grave problème. Aaron, fais-moi un bébé et ensuite mari-moi »

    Et elle touchait son bras. Aaron Vanna Syl écarquilla les yeux. Il était … eeh? Aaron avait toujours pensé finir sa vie comme amant secret de Gregory Kelso pendant que ce dernier collectionnerait une femme, des enfants, et une bonne dizaine de maîtresse. Et Aaron n'avait jamais imaginé avoir, lui, une famille. Et même s'il y pensait, il n'arrivait jamais à écarter Gregory de ses plans, comme s'il s'y accrochait, comme habité par le désespoir. Sans doute la peur de le perdre, avec cette année qui se terminait, peu à peu? … c'était atroce. Aaron ferma les yeux. Il ne voulait pas vraiment se marier. Il se frotta la tempe. Mais il ne pouvait pas le lui dire comme ça... Il grimaça.

    « Aaron, j’attend ta réponse. »
    « Bah tu sais, Candy'... c'est pas que je t'aime pas, mais j'avais pas prévu de me marier, ni d'avoir des enfants. Je suis plutôt gay, alors à la limite, si tu as un frère, mais sinon... »

    Il n'avait pas dit non. Juste qu'il n'allait pas se marier avec une femme.
    C'était impensable. Il aimait trop son confort d'homosexuel. Et les corps de joueurs de quidditch. Question de fétichisme.












Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


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Oh non ! Pas encore. Il faut que je te donne un cour 101 #Sam 6 Mar - 19:21


    Aaron était un drôle de spécimen. Candice le savait et elle n’avait pas à jugé le comportement de son ami. Elle était considérée comme un être aussi étrange et même plus que lui par moment. La poufsouffle avait de drôle de façon de vaincre ses peur et affrontés la réalité. Elle ne réagissait pas vraiment, comme une personne dès plus normal. Elle était une personne totalement différente qui ne suivait pas les normes que l’école s’était faite. De plus, elle suivait certaines normes que les autres suivaient, mais ce n’était pas pour les vêtements ou encore quelques façons d’agir. Elle n’avait pas peur d’agir comme un enfant parce que les autres la regardaient de travers. Elle vivait sa vie. On ne pouvait pas lui en vouloir de le faire, car elle avait assez de cran pour ne pas s’arrêter aux regards des inconnus. La seule chose qu’elle respectait dans les normes, c’était ceux qui étaient par rapport à la politesse. Elle n’oubliait jamais de dire merci, elle attendait son tour lorsqu’elle était en file… elle respectait les gens. Elle respectait aussi grandement son ami, même si elle ne faisait peut-être pas la bonne chose pour le faire changer d’avis sur sa façon d’agir en essayant de lui faire dire non en lui dictant quoi faire. Elle ne s’attendait aucunement que son ami l’embrasse, même si ce n’était pas un vrai baiser. Il l’avait fait quand même. Elle aurait voulu que ce dernier lui dise tout simplement non. Elle n’avait pas envie d’entendre autres chose que ce simple mot qui montrait une négation qu’elle avait si souvent dit lorsqu’elle n’était pas d’accord pour quelques choses. Elle devait aller plus loin, alors. Elle devait trouver un moyen de lui faire dire non. Candice était fâchée contre le beau Aaron. Il y avait une raison derrière tout ça, mais elle allait lui pardonner dans les quelques secondes qui allaient suivre. Elle ne pouvait rester éternellement fâchée contre lui. Candice respira par le nez et trouva une nouvelle idée de scénario pour lui faire dire non. Elle laissait son regard sur lui. Elle s’approcha de lui dangereusement et fit sa séductrice en dévoilant son idée qu’il lui fasse un enfant et qu’il la marie par la suite. Elle caressait du bout des doigts le bras de son ami. Elle n’était pas sérieuse, mais jouait les sérieuses pour entendre ce qu’elle voulait entendre. Il lui fournit une réponse près de ce qu’elle voulait entendre.

    « Bah tu sais, Candy'... c'est pas que je t'aime pas, mais j'avais pas prévu de me marier, ni d'avoir des enfants. Je suis plutôt gay, alors à la limite, si tu as un frère, mais sinon... »
    Candice lui sourit tout doucement déposant sa tête contre Aaron, en fait, elle déposa sa tête sur l’épaule d’Aaron. Elle avait le menton sur l’épaule de ce dernier et le regardait avec un sourire moqueur. « Dis-le mot que j’attend. Dis-le, tu y es presque, sinon tu vas devoir coucher avec moi. Tu ne veux pas que ça arrive, han Ronron ? Puis après je te présenterai peut-être mon cousin. Il est lui aussi homosexuel. Se serait plutôt cool que tu sois de la famille. » Elle avait les yeux tout brillants. « Puis, il est bien fait en plus. Mon cousin, c’est comme un peu mon frère, puisque j’habite depuis l’âge de trois ans chez lui. On m’a adoptée, donc… je te fais confiance pour faire des trucs avec… Mais, qu’est-ce que je dis là ? Je suis presque en train de faire deux plans culs … » Elle avait la bouche grande ouverte. Candice posa son regard Aaron à nouveau et décolla sa tête de l’épaule de Aaron. « Mais je dois entendre le mot. Je veux l’entendre, sinon… sinon je te jure que ça ne va pas être drôle, choupinou. » Elle lui sourit et elle osa même venir s’asseoir en califourchon sur son ami. « Je suis sérieuse, Ronron. Je ne l’entend pas et tu m’appartiens pour toujours. Ce serait dommage de perdre ta liberté pour un fameux mot. Dis-le et je serai heureuse. Dis-le pour moi, Ronron. Je t’en supplie. » Elle restait assise sur les genoux de Aaron en califourchon. Elle le touchait un peu et ce n’était pas une façon d’agir avec un ami, mais elle s’en foutait. Elle n’agissait pas comme tout le monde et voulait entendre le fameux mot. « Fais-le pour moi, parce qu’on est ami… S’il te plaît et je vais te laisser complètement en paix. Je serai sage dans mon coin et je… je vais pu venir te déranger, mais je t’en supplie, dis-le. » Elle était sur le bord des larmes que pour entendre ce qu’elle attendait.










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