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| | 'Cause I had the time of my life ( pv ) |  |
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Lizbeth T. SmithSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 111
 Jeu 3 Mar - 15:57 |
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| Comment faire pour se débarrasser des paparazzis qui vous suivent peu importe l’endroit où vous vous trouvez ? Elle s’était enfuie aux toilettes. Par surprise, elle avait repéré une journaliste cachée dans la cabine voisine. Lizbeth s’était assise sur la toilette pour respirer et réfléchir, tandis que l’autre se préparait avec hypocrisie à la prendre en photo. Merde. C’était quoi son foutu problème à celle-là ?! Si elle était en train de faire autres choses que de réfléchir, les photos se seraient retrouvés dans la presse avec le titre : « la playwitch de l’année lors de ses besoins dans une toilette public ! » Par pitié, c’était horrible. Lizbeth l’avait aperçue avant que la photo soit prise. Elle avait donné un coup de pied dans la porte en se sauvant le plus vite possible. Depuis qu’elle était la playwitch de l’année, sa vie était un enfer constant. Les paparazzis la mitraillaient de tous les côtés. Au début, elle aimait toute cette attention. Aujourd’hui, elle n’en pouvait plus. Elle voulait avoir la paix. Sérieusement, pouvait-elle sortir une fois faire ses emplettes tranquilles sans qui que ce soit la prenne en photo ? Il y avait ses fans qu’elle acceptait de signer des autographes ou encore prendre une photo avec eux. C’était différent. Ceux-ci ne tentaient pas de détruire sa réputation. Elle était contente de pouvoir leur faire plaisir. Pourtant de ces temps-ci, elle voulait avoir la tête tranquille. Il y avait d’autres problèmes dans sa vie qu’elle devait régler. Les paparazzis l’énervaient donc plus que jamais. Elle avait une vie personnelle qu’elle gardait jalousement secrète. Elle voulait que son fils garder l’anonymat, mais elle commençait à penser que bientôt les gens découvriront ses secrets. Il était à la petite école. Elle avait laissé le nom de Smith à son fils, même si ce nom était très répandu dans le monde. Elle avait demandé à la directrice de l’école de ne jamais dire à personne que son fils se trouvait parmi eux. Elle faisait confiance à une inconnue. Lizbeth devait faire confiance, même si elle n’en avait pas envie du tout. Bref, Lizbeth se trouvait à la merci de tous les paparazzis en ce moment même. Elle courait le plus vite que ses talons lui permettaient. Elle était toujours bien habillée, coiffée et maquillée. Elle devait toujours bien paraître. Lizbeth avait appris de ne jamais dévoiler ses mauvais jours au travers de son apparence. L’apparence était la règle numéro un. Elle ne devait pas avoir non plus d’incident diplomatique. Elle imaginait déjà les grands titres et tout ce qu’elle devra faire pour avoir cette bonne réputation qu’elle n’avait certainement pas chez les Blake. Aidev avait des plans pour elle si elle ne donnait pas l’argent qu’elle ne devait pas nécessairement. Elle était le gage, alors elle héritait. Elle héritait tout ce qui se passait. Elle n’y était pour rien. Elle n’avait pas de dette, car elle savait gérer son budget et donner de l’argent sans le regretter. Jamais, elle ne pourrait regretter ses achats voulant garder l’argent. Elle avait voulu rembourser la dette régulièrement, mais ses parents l’avaient menacé. Ils disaient que c’était du gaspillage d’argent. Lizbeth courait très vite. Elle s’arrêta net dans une allée sombre. Elle vit les paparazzis passés devant elle sans jamais la voir. Elle laissa échapper un soupire. Elle finit par transplaner chez elle. Elle était épuisée de cette course à travers la ville. Elle était essoufflée. Lizbeth enleva ses talons. Aaaaaaah, cela était bon. Ses orteils et ses talons ne supportaient plus. Elle découvrait que courir avec des talons n’était pas une chose facile et confortable. Soulagement. Elle alla dans la salle de bain trempé ses pieds un petit cinq minutes dans l’eau. Aaaah, cela faisait du bien. Elle se sécha les pieds. Son fils était parti à l’école. Elle l’avait inscrite cette année. Il était tout heureux. Cela lui faisait plaisir de le voir se faire des amis. Elle ne pouvait pas penser qu’à elle. Elle devait le laisser vivre comme un enfant normal. Elle passa dans le salon se préparant à nouveau à sortir pour rejoindre directement sans flâner un restaurant privé. Un détail la frappa. Pourquoi y avait-il un jeune homme assis sur le sofa ? Elle était bien chez elle non ? Elle regarda tout autour. Oui. Effectivement. C’était bien son chez elle. Elle dévisagea l’inconnu. Elle le replaça bien vite. Sylar Blake. Que faisait-il ici ? « Sylar … ? Tu fais quoi ici ? La dette… est en cour de processus, si c’est pour ça… Aidev sait ce que je vais faire. » Elle s’approcha de lui. « T’es entré comment ? » question conne, mais bon. | |
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