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| Ah ma belle blonde... | Charly | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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R. & S. TraianescuSORCIERE.► décédée.
► MESSAGES : 90 Mar 29 Juin - 19:01 |
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| Raph avait bien envie d’une petite blonde. Pétillante, rafraichissante et pas trop cher… Vous avez bien tous compris qu’il pensait à une bière là hein ? xD Non parce que même si Raph était un peu coureur de jupons, il était surtout alcoolique. Et il devait avouer qu’à l’heure actuelle, une petite bière ne lui ferait vraiment pas de mal. Il en avait marre de poireauter comme un con devant le palais de justice moldu pour rien. Et une fois qu’il eut jugé qu’il attendait dans le vent, le breton décida d’aller noyer sa frustration dans un bon petit verre. Son intuition ne lui avait pas menti pour le coup. Non seulement il aurait vraiment attendu pour rien, mais en plus juste quand il remballa tout son barda, il se mit à pleuvoir. Vive l’Angleterre… Ca faisait 2 semaines qu’il était arrivé dans ce pays de dingues, et il n’avait presque pas vu le soleil. Heureusement qu’il n’avait pas un bronzage à conserver comme Aurore, sinon il aurait carrément peu d’espoir d’y arriver.
Raph transplana directement au bureau (et pas dans les toilettes). Le breton déposa ses affaires dans son box, et il se dirigea vers quelques uns de ses nouveaux collègues pour leur demander si une petite blonde ne les tentait pas. Après toutes ses années de baroudage dans des pays anglophones l’anglais n’avait plus de secret pour lui. Il connaissait tous les noms d’alcool et toutes les techniques de drague en anglais, le strict nécessaire pour survivre. Mais bon, en plus de ca on pouvait dire qu’il était bilingue. Il se démerdait aussi très bien en espagnol. C’était ca le baroudage et de vivre de petits boulots pendant des années. Et vu qu’il était vraiment très débrouillard, il s’adaptait à tout. Autant dire qu’il se sentait chez lui partout, sauf chez sa mère, ca, ca le perturbait toujours. Bref, ses collègues anglais ayant trop de boulots (bande de fiotes) Raph se retrouvait seul. Les autres lui avaient bien dit qu’ils le rejoindraient plus tard mais bon, Raph n’y croyait pas trop. C’est vrai qu’il était sensé crouler sous le boulot là. Mais le fait était qu’il avait déjà fini. Et oui, quand le Raph bossait ce n’était pas à moitié. Certes on devait avouer qu’il était un bon gros glandu, mais le peu de temps où il se mettait à bosser, il le faisait pas à moitié, ca c’était sur. Il avait aussi (surtout) eut un bon gros coup de chatte et avait facilement eut les informations nécessaire à son article. La chance, ca le connaissait aussi beaucoup.
Bref, Raph décida d’aller au bar avant de rentrer à la coloc’. Comme ca Aurore ne lui sauterait pas dessus quand elle le verrait « ENCORE BOIRE » devant la télé. Il allait boire avant comme ca elle ne dirait rien pour une fois. XD Raph poussa les portes d’un de ses bars pas vraiment préférés (il était glauque fallait bien le dire) mais où il savait trouver un petit rayon de soleil. Il la vit dès son arrivée et le breton lui offrit tout de suite un grand sourire en la saluant de manière enjouée. Charly, une fille très spéciale qu’il ne draguait pas. Non, non (pas trop quoi, juste le strict minimum pour vivre quoi).
{ Raph } Hey ! Charly ma belle, je pourrais avoir une pinte s’il te plait ?
Raph se dirigea vers une table du fond, son journal sous le bras. Il s’installa tranquillement en attendant ses deux jolies blondes. D’un côté Charly, et de l’autre la meilleure : sa bière. Autant dire que si on lui demandait de choisir entre les deux il hésiterait. Après je ne vous dirais pas celle qu’il choisirait… | |
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Charly R. NichollsSORCIERE. ► vendeuse en pâtisserie.
► MESSAGES : 184 Lun 23 Aoû - 17:47 |
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| Doucement, elle quitta le grand lit du salon qui lui servait de chambre. C’était leur seul chambre de toute manière. Charly ne vivait pas dans le grand luxe. Pourtant, elle avait déjà un peu plus qu’auparavant. L’argent arrivait de plus en plus jusqu’à ses poches malgré qu’elle travaillait moins. Yon était bon pour elle, même si elle avait eu peur lorsqu’il avait monté les marches jusqu’à son appartement. Dionysos. Son Dionysos, si sombre, mais si beau à ses yeux. Elle n’avait jamais autant aimé avoir quelqu’un auprès d’elle. Elle dormait chaque nuit à ses côtés en se blondissant contre lui. Elle aimait sentir sa chaleur contre son corps. Il était quelqu’un de bien pour elle. Elle en était certaine. Elle ne savait pas ce qu’il faisait lorsqu’ils n’étaient pas ensemble. Elle ne savait pas qu’elle n’était pas la seule maintenant à faire des choses dans un lit avec Dionysos, mais pour l’instant vaut mieux qu’elle ne sache jamais. Elle avait déjà du mal à concevoir que Dionysos ait été un meurtrier ou un criminel à ses yeux, il était tout. Il était beau, gentil et terriblement parfait à ses yeux. Son Dionysos dormait toujours lorsqu’elle quitta le grand lit. Elle devait travailler, comme d’habitude. Elle remit doucement la couverture sur ce dernier pour ne pas qu’il prenne froid pendant qu’elle allait se préparer pour quitter le petit appartement au-dessus du travail même. Elle s’était dirigé vers les toilettes où elle avait pris une bonne douche. Elle repensait à sa nuit dans ses bras. C’était bon d’avoir quelqu’un avec elle. Charly se sentait bien moins seule. Elle avait toujours hâte de le retrouver. Elle avait toujours envie de se blottir dans ses bras en lui parlant de tout et de rien, car avec lui, elle était libre de le faire. Il l’écoutait. Elle était prête aussi à l’écouter. Elle était prête tout avec lui. Elle sortit finalement douche allant se promener à moitié nu dans le salon qui leur servait de chance en cherchant quelques choses à se mettre. Elle passa tout près de Dionysos et lui donna un baiser sur la joue. Elle sourit d’un petit sourire encore un peu fatigué. Elle était fatiguée, comme toujours. Elle ne dormait pas toujours la nuit préférant passer des nuits bien « chaudes » avec ce dernier. Elle s’habilla finalement pour descendre au travail en le regardant une dernière fois avant de quitter en fermant la porte derrière elle. Elle avait terriblement envie de rester dans ses bras où elle aurait passé son temps à se blottir contre lui en faisant la grasse matinée. Pourtant, elle devait entrer au travail pour rapport des sous pour réussir à vivre une vie plus facile. Elle avait de la chance que Yon ait augmenté son salaire. Elle descendit tout doucement rentrant dans le bar par une porte à l’extérieur puisque l’escalier n’était pas à l’intérieur de l’établissement. Bref, Charly s’était dirigée à l’intérieur du bar et avait commencé sa longue journée qui était bien moins longue depuis qu’elle avait des horaires moins chargés qu’avant. Elle avait du temps pour elle. Elle avait plus d’argent. Elle avait Dionysos. Sa vie n’avait jamais été aussi superbe. Dionysos n’était pas vraiment son amoureux, mais en fait, c’était presque ça, mais pas encore totalement ça. C’était complètement compliqué pour tout dire. Elle passa sa journée en bas en espérant le croiser sous une de ses formes. Celle qui voudra en fait. Elle voulait voir Dionysos, mais apparemment, il ne montra pas le bout de son nez. Il devait être occupé, même si au fond elle était déçue. Pourtant, elle gardait espoir de le voir descendre dans les prochaines minutes. Elle lavait des verres lorsque quelqu’un pénétra à l’intérieur du bar. Charly leva les yeux vers cette personne. Elle le reconnut… C’était Raphael. Elle baissa le regard sentant que le rouge allait monter à ses joues, il la gênait par moment. Elle avait l’impression de ne pas savoir comment devant lui. Pourtant, il l’intriguait. Il n’était pas un client commun. Il était différent. Trop enjoué pour être un des ivrognes qu’elle a l’habitude de voir ici. « Hey ! Charly ma belle, je pourrais avoir une pinte s’il te plait ? » Elle posa son regard bleu sur l’homme hochant de la tête pour lui montrer qu’elle avait compris. Elle sortit un pichet qu’elle remplit avec la bière qu’elle avait l’habitude à lui servir. Il n’était plus obligé de lui dire laquelle sorte qu’il désirait. Elle la connaissait depuis le temps qu’il demande ce qu’il veut. Il n’était pas comme les autres… elle avait donc plus de facilité à retenir ce qu’il prenait. Bref, elle s’approcha de la table où il était assis. Elle déposa la commande de l’homme. « Je peux m’asseoir ? » dit-elle tout simplement. « Je sais que je ne suis pas supposée de faire ça, mais j’ai envie de parler. Vous n’êtes pas un client comme les autres… vous êtes différent… » Elle attendait gentiment étant un peu gêné devant Raphael. | |
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R. & S. TraianescuSORCIERE.► décédée.
► MESSAGES : 90 Dim 17 Oct - 12:53 |
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| Raph ouvrit son journal pour commencer à le lire tranquillement. Il tomba notamment sur un article particulièrement médiocre écrit par le journaliste préféré des anglais. Le breton se demandait vraiment pourquoi une belle tête blonde et un sourire à la colgate suffisait généralement aux gens pour prouver qu’on était un journaliste hors du commun qui en valait le coup. C’était ridicule, mais il lut tout de même l’article jusqu’au bout, ca faisait aussi partie de son job que de surveiller la concurrence à vrai dire. Raphaël en était encore à la moitié de son article lorsqu’il fut interrompu par Charly qui lui apportait sa belle blonde au passage. Raph afficha un grand sourire, comme à son habitude, content de pas grand-chose mais content quand même.
« Ah merci Charly ! »
Raph attrapa la pinte, et allait limite commençait à la boire goulument lorsqu’il se rendu compte que Charly était toujours en face de lui. Raph s’en étonna un peu, ce n’était pas dans les habitudes de la timide Cha à vrai dire. Mais le français finit juste pour sourire alors qu’elle prenait la parole.
« Je peux m’asseoir ? Je sais que je ne suis pas supposée de faire ça, mais j’ai envie de parler. Vous n’êtes pas un client comme les autres… vous êtes différent… » « Ah ouais ? Moi qui pensais être un alcoolique comme un autre, ca me touche ma belle. »
Raphaël rit légèrement avant de tirer une chaise à côté de lui pour l’inviter à s’asseoir. Quelque part c’était tout de même assez bon pour son égo tout cela. Après tout on ne disait pas souvent à quelqu’un qu’il était assez spécial pour qu’on ait envie de passer du temps avec lui et pas avec un autre. Mais si il y avait bien une chose à laquelle Raphaël ne pensait pas à cet instant, c’était au prix que venait de recevoir son égo. Il était comme ca lui, il parlait aux gens parce qu’il aimait les échanges sociaux, après les privilèges et les inconvénients, il s’en fichait comme de sa première bombabousse. Après avoir prit quelques gorgées de sa bière (et oh mon dieu ce que ca faisait du bien), Raph se tourna vers Charly, et il lui demanda avec son entrain naturel.
« De quoi veux-tu donc parler ? Rien que pour toi je vais tenter d’élargir mes domaines de conversations, qui basiquement se limitent à la boisson, à la fête et aux filles ca je peux pas le nier. Bon dis comme ca j’ai l’air d’un pauvre con, mais je te jure que sur moi ce mélange rend pas si mal en fin de compte. »
C’était faux bien entendu, ses sujets de conversations étaient très variés, mais Raph avait toujours le mot pour rire, et l’auto-dérision faisait partie de ses techniques pour une ambiance conviviale et festive. Il arborait toujours son sourire tout simplement heureux, et si craquant à vrai dire. Comme quoi, le naturel ca a son sex appeal aussi. | |
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Charly R. NichollsSORCIERE. ► vendeuse en pâtisserie.
► MESSAGES : 184 Dim 24 Oct - 16:23 |
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| La vie au bar avait toujours été très difficile pour Charly qui vivait depuis peu des moments paisibles avec un patron qu’elle aimait bien. Elle n’avait pas eu de mauvaise visite ce qui la rendait très heureuse. Yon comprenait ses besoins. Il ne faisait pas sa vie d’un enfer, mais elle ne cherchait pas à avoir des problèmes avec son patron. Au contraire, elle rentrait au travail lorsque c’était ses quarts de travail sans se dire absente ou malade lorsque c’était faux. Elle était à ses affaires sans toutefois être lécheuse de cul de patron. Elle avait mieux à faire. Charly ne devait jamais perdre son emploie. Elle avait besoin de cette argent pour faire vivre elle et son pseudo petit-ami qui habitait avec elle qui lui donnait maintenant un coup de main grâce à Yon qui avait accepté le fait qu’il y avait un criminel dans cette foutu baraque qui tombait en ruine auparavant. Elle vivait une vie presque normale, mais elle n’était pas aussi normale qu’elle aurait voulu avoir lorsqu’elle était arrivée ici. Elle était avec Dionysos qui lui avait fait connaître des beaux moments, mais elle devait aussi sortir pour travailler pour pouvoir les nourrir tous les deux. Elle avait eu si peur qu’il sorte pour le perdre. Maintenant, il travaillait dans le bar avec elle. Elle avait complètement oublié son don. Son don pouvait lui servir beaucoup. C’était un don du ciel si je peux me permettre de dire. Charly était contente d’avoir une relation humaine pour une fois que quelques choses de bien lui arrivaient. Elle voulait que cela dure, bien sur. Pourtant, elle savait qu’un jour qu’il partirait. Elle avait cette impression. Peut-être que c’était de la peur dans le fond. Une peur injustifiée qui lui faisait devenir folle. Elle l’aimait. C’était la première fois qu’elle ne voulait plus se sauver loin des gens. La première fois qu’elle aimait se faire toucher. La première fois qu’elle était complètement, follement amoureuse. Dionysos était son ange. Elle ne pourrait se défaire de lui aussi facilement qu’auparavant. Elle avait passé beaucoup de temps avec lui en toute intimité. Elle l’aimait énormément. Pourtant, ce matin, elle a du le quitter pendant qu’il dormait pour descendre en bas par le petit escalier qui menait à l’extérieur pour prendre la porte d’entrée du bar. Elle travaillait comme à son habitude. Presque chaque jour. Il était rare que Dionysos travaillait pendant la journée puisque les problèmes arrivaient plus souvent le soir que pendant la journée. De toute manière Charly était une femme forte qui avait toujours sorti les personnes à trouble à coup de pied dans le cul sans problème. Elle avait eu quand même deux frères complètement ignobles avec elle. Elle savait se servir de ses poings et de baguette. Elle était agile. Elle avait un avenir, si elle n’avait pas été une fille. C’était le problème de sa vie. Elle avait été une fille. Il était avant midi qu’un client régulier vint s’attabler lui demandant avec ce sourire accrocher aux lèvres de lui emmener de la bière. Elle avait l’habitude avec lui, même si elle ne s’approchait jamais trop près de lui. Elle passa derrière le bar chercher ce qu’il désirait boire. Elle vint à sa table déposant le pichet sur la table. Elle resta planter là. Raphaël leva les yeux la regardant. « Ah ouais ? Moi qui pensais être un alcoolique comme un autre, ca me touche ma belle. » Elle fit un petit sourire. Elle tira la chaise pour pouvoir s’asseoir devant lui. Le bar était vide. Ses verres étaient nettoyés. Elle avait déjà passé le balai partout. Elle avait déjà nettoyé la presque totalité des tables. Elle avait de l’avance. Elle pouvait se permettre d’avoir un rapport humain. « De quoi veux-tu donc parler ? Rien que pour toi je vais tenter d’élargir mes domaines de conversations, qui basiquement se limitent à la boisson, à la fête et aux filles ca je peux pas le nier. Bon dis comme ca j’ai l’air d’un pauvre con, mais je te jure que sur moi ce mélange rend pas si mal en fin de compte. » Elle hocha négativement de la tête. Elle n’était pas d’Accord avec ce qu’il pouvait bien dire. « Vous n’êtes pas un con. Vous n’êtes pas un vrai ivrogne… en fait, pas le type d’ivrogne que je vois depuis déjà depuis à peu près trois ans et même plus je crois. » Elle fronça les sourcils un peu. Elle ne savait plus combien de temps, elle était ici. « Je n’ai pas besoin de vous dire que je connais le nom des alcools sans pour autant en avoir bu de ma vie. Au sujet des fêtes, je n’ai jamais été invité… mauvais souvenir, c’est tout » pour ne pas dire qu’elle n’était pas invitée, mais elle avait été violée dans sa propre maison lorsqu’elle lisait des livres. Elle ne parlait jamais de cela. Elle ne parlait jamais ce que ses frères lui ont fait. C’était le plus grand des secrets. Il y avait que les deux concernés et celui qui a aperçu le viol, Dionysos, qui était au courant de toute cette histoire. « Pour les relations humaines, je ne connais pas beaucoup. Je suis un peu perdue. Je n’ai pas d’ami. Je n’en ai qu’un… Vous l’avez sûrement déjà vu en venant au bar. C’est Dionysos. Le tatoué, si vous préférez… Je voulais vous dire que je me demande pourquoi vous êtes ici. Jamais, je ne vous ai vu avec quelqu’un. Encore, vous ne semblez pas le profil du type de client qui devrait venir depuis l’ancien propriétaire. Vous êtes un peu… celui qui fait que je veuille m’approcher des clients… » elle venait de parler pour la première à ce type mise à part de les fois où prenait sa commande. | |
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