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| Question d'éducation {Llorente] | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Jeu 1 Juil - 21:09 |
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| Dire que Kathleen était énervée était un euphémisme. Elle était plus que ça ! Elle était carrément remonté et son côté impulsif remonté plus que jamais. Pourquoi était-elle énervait ? Tout simplement parce que la terre entière était peuplé de crétin sans cervelle de sexe masculin. Brittany Emersson , pouffiasse de Gryffondor n’avait pas pût s’empêcher de lui lancer un « Et les amours ? » alors qu’elle en avait sûrement rien à faire ! Pour toute réponse, la jeune féministe qu’elle était n’avait pas pût s’empêcher de lui répondre « Oh mais ta gueule ! » avec une grimace non dissimulé, agacer que tout le monde lui pose cette question. C’était sûrement a cause de se genre de phrase que la jeune fille avait droit à une réputation de sauvage jaune et de personne agressif. Pour sa part elle se trouvait seulement franche et naturelle. Non mais sérieux quoi ! Comment va les amours ? Ce n’était pas parce qu’elle ne s’affichait pas avec un garçon qu’il fallait forcément s’inquiéter de son sort. Elle se porter très bien sans un homme et n’avait pas besoin qu’un crétin vienne fourrer sa langue dans sa bouche. Il pouvait se la foutre ou elle pense…. En restant polie bien évidemment. N’empêche qu’après ce que venait de dire Brittany et son états ,il valait mieux que les garçons se tiennent loin d’elle s’ils ne voulaient pas s’attiré ses foudres. En temps normal elle passait déjà pour une fille pas vraiment sympathique… mais là ! Donc autant dire que moins elle parlait à des gens pour l’heure mieux c’était, même si la grande salle était loin d’être vide. Sauf qu’un garçon posait les yeux sur elle…
Kathlyn – « Quoi ? » lui demanda-t-elle d’un ton pas franchement engageant. « T’a jamais vu de fille ? Tu veux ma photo ? »
Bin quoi c’était vrai. Il pouvait pas regarder ailleurs celui là ?
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InvitéInvité
Sam 3 Juil - 0:06 |
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| - Quoi ? lui demanda-t-elle d’un ton pas franchement engageant. T’as jamais vu de fille ? Tu veux ma photo ?
Llorente retira son sandwich aux rosbifs mayonnaises de sa bouche, les yeux aussi gros que des coupelles. Pour tout vous dire, il avait posé son regard sur elle sans réellement faire exprès. Oh, il l'avait remarqué. Qui ne pouvait pas remarquer Korbel la lesbienne refoulée. Oui, c'était bien entendu ce qui se disait sur cette pauvre fille dans son dos... Entre autres moqueries des plus exotiques. Il s'essuya la bouche d'un geste de la manche avant de lui dire :
- Penses à te calmer, la vieille. Tu veux ?
Llorente ne savait pas vraiment quoi penser d'elle. C'était une fille que l'on ne voyait qu'en cours, qui était très renfermée sur elle pour des raisons qu'il ignorait. Faut dire aussi, qu'il ne s'était même pas posé la question. Il avait tellement mieux à faire que de s'intéresser à une fille qui maudissait à peu près la terre entière quatre ou cinq fois par jour en tant ensoleillé. Ce qui est tout aussi rare que de voir le soleil se lever à l'ouest dans un pays où il pleut trop souvent pour un garçon comme lui.
- En plus, c'est même pas toi que je regardais. Je regardais autours de moi pour voir si je voyais un pote ou deux. Toi, t'étais juste dans le décors. Alors va péter un peu plus loin, et m'fait pas chier.
Il porta à nouveau son sandwich à ses lèvres pour en croquer un bon bout, puis, il fit mine de continuer sa route sans réellement se soucier de l'état de la demoiselle. Sûrement l'avait-il aggravé... En tout cas, il était à des milles et des cents de se douter qu'il y avait des chances qu'il est empiré l'état de miss bégueule. | |
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InvitéInvité
Sam 3 Juil - 11:42 |
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| Llorente - « Penses à te calmer, la vieille. Tu veux ?
En réponse elle lui adressa une grimace genre « hein ? », se fichant bien de se qu’il venait de dire avant de remuer les épaules d’un air je m’en foutiste. Elle était sur les nerfs et s’en serait pris à n’importe qui mais elle n’avait pas de réel raison de lui en vouloir. Elle connaissait le garçon qui venait de s’adresser à elle. Ils étaient dans la même maison et dans l’année. Llorente Santillian. Latino assez sûr de lui sur lequel beaucoup de filles sûrement fantasmé. En gros pas vraiment le type de gars qui faisait craquer Kathlyn. Faut dire que contrairement aux autres filles, elle avait mieux à faire que passer son temps à penser maquillage et garçons.
Llorente – « En plus, c'est même pas toi que je regardais. Je regardais autours de moi pour voir si je voyais un pote ou deux. Toi, t'étais juste dans le décor. Alors va péter un peu plus loin, et m'fait pas chier. »
Il s’adressait à elle de façon aussi peu sympathique qu’elle-même en avait l’habitude et ça l’a surpris un peu. En général on déguerpissait vite devant elle. Il paraitrait que les gens avait peur bien que Kat ne comprenait vraiment pas pourquoi. Bon d’accord elle n’était pas sœur sourire ni mère Theresa mais ce n’était pas parce qu’elle ne courrait pas après la popularité qu’elle allait mordre. Bien qu’il est vrai qu’elle donnait toujours cette impression et qu’au final tant mieux, au moins on la laissait tranquille. Mais Llorente lui avait pris la peine – et le courage - de lui répondre. Un bon point pour lui bien qu’elle n’avait pas pour optique de se faire un nouvel ami. Elle était très bien toute seule. Elle était d’ailleurs presque ravie d’apprendre que ce n’était pas elle qu’il avait regardé, comme ça elle pourrait continuer de remuer sa mauvaise humeur sans personne pour l’interrompre. Si Llorente pensait l’avoir vexer avec ses mots il se trompait. Certes ce n’était de tel propos qui allait soudainement la rendre heureuse et euphorique mais elle n’était jamais comme ça donc… A part bien sûr quand elle était soule, mais c’était tellement rare. Enfin elle répliqua toutefois alors qu’il continuait sa route comme si de rien n’était.
Kathlen- « Oh tu m’voie extrêmement peiné de t’avoir déranger dans un moment siii important » fit-elle avec sarcasme et une mauvaise humeur évidente. Pendant qu’tu bouffe comme un goinfre y’en a qui crève la dalle dans un autre pays mais va y… régale toi. Quand ta conscience sera revenu fait moi signe ! »
Les restes du propre plateau de la jeune fille finiraient quand à eux dans l’assiette des Elfes de maison. Elle détestait jeter de la nourriture et son habitude ça ne faisait partit qu’une des nombreuses choses que Kathlyn faisait pour essayait d’arrangeait ce monde en pleine perdition. Heureusement qu’il y avait des gens comme elle sur terre, sinon elle n’osait imaginer l’état de la planète. La rouge et or recommença alors à manger, piquant d’un coup sec dans son ravioli si fort qu’il toucha un autre qui s’envola. Elle se retourna pour voir où il avait atterrit et se rendit compte que c’était en pleine figure de Llorente. Son geste n’était pas prémédité mais étant donné leurs dialogues il y avait de quoi se poser la question… La jeune Kordel le regarda sans avoir l’air confuse ou s’excuser, attendant sa réaction pour dire quoi que ce soit ou réagir…
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InvitéInvité
Sam 3 Juil - 16:26 |
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| - Oh tu m’voie extrêmement peiné de t’avoir déranger dans un moment siii important. Pendant qu’tu bouffe comme un goinfre y’en a qui crève la dalle dans un autre pays mais va y… régale toi. Quand ta conscience sera revenu fait moi signe ! - Quoi ? T'as tes règles du con ?
Qu'est ce qu'elle était conne. Llorente venait de comprendre à quel point elle méritait parfaitement sa réputation. Cependant, lui, il aurait ajouté : Non... Elle est juste en colère contre le monde entier. Les hormones changeants, et étant dans l'adolescence la plus profonde, elle est juste... Dans l'âge con. Néanmoins, chez elle, c'est très prononcé. Secouant la tête comme si il tentait de chasser une mouche particulièrement chiante, il posa son regard sur son sandwich dans lequel il mordit dedans. Si il allait s'arrêter de manger parce que sous prétexte, dans un autre monde, y en avait qui crevé de faims, ce n'était pas ses oignons. Car lui, il ne gaspillait pas.
Llorente tourna donc la tête vers sa droite pour voir d'autres personnes et s'insérait dans une discussion avec d'autres collègues/potes/amis de Gryffondor. Riant avec les autres au sujet d'une blague sur un élève de Serpentard - Dorrington -, Llorente s'essuya les mains avant d'attraper le pot à jus de citrouille pour s'en servir un verre.
Mais il fut vite stopper dans sa course. Un ravioli venait de le percuter en plein sur la joue. Les élèves autours de lui stoppèrent presque de manger, retenant quasiment leur souffle. Llorente tourna sa tête vers la gauche avec un regard mauvais. Il lâcha le pot, avant de reprendre sa serviette pour s'essuyer la joue. Il retira le ravioli de son jean, enlevant la tâche grâce à un rapide sortilège récurvite incanté par Jason, à côté de lui.
- Je crois que tu... Il saisit le pot à jus de citrouille tout en se levant, avant de le verser intégralement sur la tête de Korbel. A besoin de te calmer. Je ne suis pas ton pote, alors arrête de me casser les couilles !
Il la fusilla littéralement du regard. Un sale regard. On avait presque l'impression qu'il avait déjà tué, qu'il avait déjà fait des choses que peu de gens ont fait au cours de leur vie. Un regard de tueur. Il n'avait rien d'irrésistible en ce moment précis. Son côté latino en rajoutant sur l'expression de part ses traits sombres.
- Maintenant, prends tes clicks et tes clacks et casse-toi avant que je ne me fâche.
Une menace... Mais surtout une promesse. | |
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InvitéInvité
Mar 6 Juil - 15:31 |
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| Llorente - « Je crois que tu... A besoin de te calmer. Je ne suis pas ton pote, alors arrête de me casser les couilles ! »Le pot de Jus de citrouille que Llorente avait en main se déversa alors sur la tête de Kathlyn et elle ouvrit la bouche de surprise tant elle ne s’y était pas attendu. Elle resta là sans bouger, un peu choquer alors que Llorente la fusillait du regard et la menaçait. Elle trouva cela tout simplement ridicule. S’il pensait que ça allait suffir à l’impressionner… Ce n’est pas parce qu’un chien aboi qu’il mort. Kathlyn n’avait jamais aimé se fier aux apparences et c’était souvent auprès de ceux que les autres se plaisait à appeler « paria » qu’elle aimait se trouvait des amis. Ça ne signifiait pas qu’elle voulait être amis avec Llorente mais seulement que même si on lui avait affirmait que son père était chefs de la mafia et son oncle agents dans une société secrète, elle n’aurait pas eut peur. N’empêche que le coup du jus de citrouille, elle ne l’avait pas vu venir… Bon elle y était peut-être aller un peu fort. Après tout il n’était pas Brittany Emersson et c’était sûrement elle plutôt que lui qui aurait bien eut besoin d’une leçon de morale. Au final Llorente n’avait rien fait d’autre que s’essayer de se défendre face à elle et à sa mauvaise humeur. Elle n’essaierait toutefois pas de se justifier ou même d’essayer de faire en sorte qu’il la comprenne car il n’y arriverait pas. Le jeune Latino n’avait sûrement aucune idée de se qu’on ressentait quand on était dans un monde où on ne se trouvait à sa place. Kathlyn n’avait beau avoir que dix huit ans, elle était bien plus nature que la plupart des élèves peuplant Poudlard. Ce qui l’énervait vraiment au final c’était la superficialité des gens. Ce que voulait la jeune Korbel depuis toujours c’était se rendre utile et faire quelque chose pour son pays, les autres et arrangeait tout ce qui n’allait pas. On avait beau la traité de dingue ou truc du genre parce qu’elle était plus préoccupé par les élections présidentielle que par le concours de Miss Monde, elle s’en fichait. Le problème c’est qu’a force de prendre tout à cœur et d’avoir l’impression que la terre entière ne tourner pas rond, étant peuplé de gens incapable de se soucier de quelqu’un d’autre qu’eux même ( ou alors par simple intérêt pour obtenir privilège et popularité ), elle finissait pas s’en prendre à des personnes innocente comme Llorente. Il était bien sûr évident que le geste du jeune homme était humiliant et la plupart des filles de son âge se serait sûrement mise à pleuré en partant au courant ou peut-être même que certaines d’entre elles auraient fait subir le même sort au jeune homme, ou aurait profité de l’occasion pour s’énerver d’avantage contre lui. Mais s’il y avait une chose évidente à savoir c’est que Kathlyn n’était pas comme les autres et c’était même évident. Elle était consciente d’avoir sa part de responsabilité dans cette affaire et était assez mûre pour s’en rendre compte. Certes elle était bien trop fière pour s’excuser, et de toute façon il en aurait eut également à lui en faire à cause du pichet qu’il avait déversé sur sa tête, et elle n’était pas assez naïve pour penser qu’il le ferait. Puis au final, il se serait sûrement bien contrefoutue de ses excuses bien que ça aurait plus était par bonne conscience que pour rétablir se qu’il pensait d’elle, s’en fichant bien. Résultat, alors que les élèves de la grande salle rigolait sans gêne et discrétion et que le jus sur sa tête dégouliner au sol et sur son visage, Kathlyn s’essuya d’un revers de la main et resta bien droite, affichant un air fière ne flanchant pas une seule seconde. Par une once de honte ou de peur ne pouvait se lire sur ses traits. Ils voulaient se moquer ? Qu’ils se moquent ! Elle était forte et avait appris depuis bien longtemps à ne compter que sur elle-même et à vivre sa vie sans se soucier de sa réputation. Quand on est élevé par un couple de Lesbiennes en même temps on a pas trente six solutions. Soit on passe sa vie a regarder le sol en marchant en espérant un jour devenir invisible pour de vrai afin d’échapper enfinaux railleries des autres, soit on apprend a rendre chaque coup donné. Elle n’avait aucun coup à rendre à Llorente car il n’avait fait que rendre celui qu’elle lui avait donné. Ils étaient quittes en quelque sorte. Kathleen ne s’en irait pas. Le latino pouvait bien s’attaquer de nouveau à elle, mais là se serait lui qui serait dans son tords. Elle se remit tranquillement à manger comme si de rien n’était et que le jus de citrouille sur sa tête ne la rendait pas ridicule, fidèle à elle-même. Du coup bizarrement au bout de quelque minute les élèves cessèrent leurs rires et retournèrent à leurs occupations superficielles. A quoi bon ce moquer quand la victime s’en fiche éperdument ? Un comportement typique d’adolescent sans cervelle. Au bout de quelque bouché, elle tourna sa tête quelque seconde vers Llorente, le regardant sans aucune agressivité, juste avec une once de curiosité et d’intérêt peut-être, avant de s’intéresser de nouveau à sa nourriture. [interdiction de le cloturer ! Ou alors j'veux la suite...] | |
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InvitéInvité
Mar 6 Juil - 21:48 |
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| Llorente ne put s'empêcher de ressentir une sensation de victoire. Il gonfla quelque peu le torse, avant de se rasseoir tout la fusillant une dernière fois du regard. ¤¤¤¤ Quelques minutes plus tard, alors que tout le monde se levait pour retourner en cours, Llorente attendit quelques instants, observant Kathlyn qui prenait son temps, tout en gardant la tête haute comme elle l'avait fait pendant tout le repas. Llorente ne pouvait s'empêcher de ressentir quelque chose d'autre que de l'admiration. Enfin, une admiration quelque peu minime mais qui lui valait d'éprouver un minimum de curiosité. Finalement, il se leva de table après que cette dernière ne le fasse. Il posa son morceau de tarte aux citrouilles, s'essuyant la bouche avec une serviette qu'il lança sur la table, pour rattraper Katlhyn a la sortie de la Grande Salle. - Hey, attends !Il attendit qu'elle s'arrête avant de s'approcher d'elle, un léger sourire gêné sur le visage. Il resta quelques instants sans savoir quoi réellement dire, cherchant visiblement ses mots. Enfin, il finit par se lancer. - Euh... Je voulais savoir... Qu'est ce qui t'a mis en rogne comme ça ? Et pourquoi m'avoir gueuler dessus comme une dégénérée ? Parce qu'à part enfoncer un peu plus ta réputation, je vois pas ce que ça t'a fait.Llorente ne savait pas vraiment comment tourner sa phrase. Et il fallait dire qu'il n'avait pas l'habitude de revenir vers les gens avec qui il s'était embrouillé. C'était pas du tout son genre. Il était plutôt du genre, habituellement, à les enfoncer dès qu'il le pouvait. Ce qui était assez facile avec un esprit aussi retord que le sien. Llorente eut un léger haussement d'épaules en signe d'excuses sur sa façon de l'aborder. | |
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InvitéInvité
Jeu 8 Juil - 12:05 |
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| Kathlyn avait fini son repas, et ce n’était pas ses cheveux de couleurs orange à cause du jus de citrouille sur sa tête qui l’avait fait abréger ce moment de la journée. Elle se releva pour prendre un peu l’air quand on l’interpella.
Llorente - « Hey, attends ! »
Un peu surprise elle se retourna et aperçut Llorente qui lui faisait face et lui adressa même un sourire. Là où d’autre aurait pût le prendre de haut et s’empressait de l’incendier, elle se contenta de le regarda avec une certaine curiosité. Llorente ne devait pas agir comme ça avec tout le monde tout les jours, elle en était certaine. Elle en était honoré et fière mais par respect elle s’abstiendrait de le lui faire remarquer.
Llorente - « Euh... Je voulais savoir... Qu'est ce qui t'a mis en rogne comme ça ? Et pourquoi m'avoir gueuler dessus comme une dégénérée ? Parce qu'à part enfoncer un peu plus ta réputation, je vois pas ce que ça t'a fait. »
Elle se mit à sourire, plus amuser par ce qu’il venait de dire qu’autre chose. C’est vrai qu’au final et à la place du jeune homme peut-être que c’est qu’elle pouvait semblait être. Une dégénérée ! Kathlyn elle, se voyait plus comme une passionnée.
Katlyhn - « Bien vu. Mais en fait pour être honnête… j’me fiche totalement de ma réputation. Je sais que ça peut surprendre mais… A quoi ça va me servir plus tard ? Mon futur patron ne me demanderait sûrement pas d’écrire sur mon CV ce que les autres penser de moi. »
La rouge et or était suffisamment mûre pour se projeter dans l’avenir et non se soucier de l’instant présent. Elle savait que même si ses journée n’était pas toujours idéale, elle ne serait pas éternellement élève à Poudlard. Elle était indépendante et avait ses propres idées des choses. Kathlyn ne voulait pas suivre le troupeau si ce troupeau ne savait pas vraiment où il allait.
Kathlyn – « Quand au « Pourquoi » en fait je ne sais pas vraiment. Au début j’pensais que c’était parce que cette idiote de Brittany ne trouve rien de mieux que penser que le bonheur équivaut à une vie de couple. Mais au final… Est-ce que tu a déjà désiré avoir quelque chose sans savoir que tu le voulait et être déçue par la suite de ne pas l'avoir même si ça ne te ressemble pas ? »
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InvitéInvité
Ven 9 Juil - 22:08 |
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| - Bien vu. Mais en fait pour être honnête… j’me fiche totalement de ma réputation. Je sais que ça peut surprendre mais… A quoi ça va me servir plus tard ? Mon futur patron ne me demanderait sûrement pas d’écrire sur mon CV ce que les autres penser de moi. - Certes.
Llorente se rapproche de la gryffondor, un sourire sur ses lèvres. Son regard la dévisage rapidement avant qu'il ne baisse le regard pour lancer un coup d'œil aux sabliers des quatre maisons. Gryffondor était en tête... Après avoir stagner à la troisième place pendant presque sept mois. Il redressa son visage, lui lançant un regard plein de chaleur.
- Qui est-ce qui t'as dit que ton prochain patron ne se trouvait pas à Poudlard en même temps que toi ? Il est toujours préférable de ne pas avoir de réputation, à une réputation que la tienne. Il hausse les épaules avant d'ajouter : M'enfin, tu as bien raison. Ce n'est pas nous qui faisons ta vie. Mais toi. Les autres, ils ne sont qu'au second plan.
Son sourire s'affiche. Il y a de la compassion, mais aussi de l'encouragement. C'était une gryffondor tout comme lui. Et cette maison semblait lui aller comme un gant au vue de son caractère de battante. Llorente aimait bien avoir ce genre de filles... Ça cassait les clichés que certaines aiment conserver.
- Quand au « Pourquoi » en fait je ne sais pas vraiment. Au début j’pensais que c’était parce que cette idiote de Brittany ne trouve rien de mieux que penser que le bonheur équivaut à une vie de couple. Mais au final… Est-ce que tu a déjà désiré avoir quelque chose sans savoir que tu le voulait et être déçue par la suite de ne pas l'avoir même si ça ne te ressemble pas ?
Euh... Tu peux la lui refaire s'il te plaît ? Non, parce que là... Llorente la regarde d'un air du genre : je dois répondre quoi là ? tout en conservant un sourire quelque peu forcé pour le coup.
- Euh... Je comprends pas le chinois. Nan mais c'est vrai ! C'est quoi cette phrase ?! Y a vraiment que les gonzesses pour se prendre le chou comme ça!
Il hausse les épaules avant d'avoir un petit rire amusé. | |
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InvitéInvité
Mar 13 Juil - 15:13 |
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| « Qui est-ce qui t'as dit que ton prochain patron ne se trouvait pas à Poudlard en même temps que toi ? « Honnêtement j’espère pas » fit-elle avec une grimace qui trahissait assez ce qu’elle pensait : tous des abrutis ! Ou presque… Heureusement. Llorente lui apparaissait moins débile que la plupart des élèves peuplant l’école. Peut-être parce qu’il semblait plus posé et qu’il semblait difficile de déterminer ce qu’il avait en tête. Un peu comme s’il réfléchissait constamment ou analyser les choses, là où les autres ce contenter d’être superficielle et puérile.
« Il est toujours préférable de ne pas avoir de réputation, à une réputation que la tienne. » « Ya pire » répondit-elle avec humour et simplicité. « J’pourrais être qualifié de tueuse en série. » rajouta-elle avec un léger sourire. « Quoique… je ne suis pas sûr que ça me déplaise. J’aurais au moins plus d’impact sur les pollueurs de cette écoles. La peur ça peut aider. » « M'enfin, tu as bien raison. Ce n'est pas nous qui faisons ta vie. Mais toi. Les autres, ils ne sont qu'au second plan. »
Elle apprécia son raisonnement et ses mots et lui rendit son sourire. Elle aima cette façon qu’il eut de la regardait, comme s’il l’encourageait secrètement. Elle avait plus l’habitude qu’on critique ses idées qu’on ne les encourage et ne pouvait donc qu’apprécier son comportement. Elle tenta par la suite de lui expliquait la raison de son attitudes des minutes précédentes mais elle ne s’exprima pas vraiment avec simplicité.
« Euh... Je comprends pas le chinois. Nan mais c'est vrai ! C'est quoi cette phrase ?! Y a vraiment que les gonzesses pour se prendre le chou comme ça! »
Kathlyn eut un rire amusé, réalisant qu’en effet ça ne voulait sûrement rien dire. La remarque de Llorente était un poil machiste et pourtant elle passa inaperçue auprès de la jeune féministe – étrange d’ailleurs, qu’avait-elle en tête ? - qui en fait ne l’avait pas perçut comme cela sur le coup. « Désolé » fit-elle toujours en riant légèrement avant de la refaire en version plus simple. « Je ne voulais pas aller au bal » expliqua-t-elle simplement. « Ça ne correspond pas à mes idées et à se que je suis. Je nourrie de plus grande ambition qu’être une potiche et passé ma soirée à sourire à un homme qui portera plus d’intérêt à ses pectoraux qu’a moi-même » Elle leva légèrement les yeux vers le ciel en pensant à se genre de filles. « Mais… Je n’ai pas était invité » fit-elle en haussant les épaules et un léger sourire qui manquer de conviction. « J’devrait en avoir rien à foutre car j’voulais pas y aller de toute façon… et j’me fiche de plaire ou non mais… en fait ça me fait chier ! ».
Elle venait d’admettre quelque chose devant Llorente qu’elle n’avait pas était capable de s’avouer a soie même tout à l’heure quand elle s’était énervé face à Brittany. Si elle s’était si vite emporté c’est parce qu’au final son égo avait était blesser. Elle avait beau se penser différente des autres, plus mûre et à même de se soucier des vrais problèmes de la vie et non d’une marque de shampoing ou d’une couleur de vernie à ongle, elle n’en restait pas moins une adolescente qui comme toute les autres filles aimaient se savoir apprécier. C’était peut-être cela qui lui faisait le plus de mal, se rendre compte qu’au final pour une fois, elle désirait la même chose que les autres…
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InvitéInvité
Sam 17 Juil - 10:30 |
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| - Désolé. Elle rigola quelques instants, tandis que Llorente lui adressait un petit sourire tranquille. Cette dernière continua, en devenant un poil plus sérieuse, histoire de lui expliquer ce qu'elle avait dit, car Llorente, lui, n'avait rien comprit du tout. Je ne voulais pas aller au bal. Ça ne correspond pas à mes idées et à se que je suis. Je nourrie de plus grande ambition qu’être une potiche et passé ma soirée à sourire à un homme qui portera plus d’intérêt à ses pectoraux qu’a moi-même.
Llorente ne put s'empêcher de laisser son sourire s'agrandir. Cette fille se contredisait toute seule. Pour Llorente, c'était clair : Elle se cherchait et ne savait vraiment pas où se trouver. Elle savait ce qu'elle ne voulait pas être, mais visiblement, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle comptait faire. Un peu comme Llorente, tout comme tous les adolescents, et les futurs/jeunes adultes du monde. On en arrive tous à un point, où l'on nous donne tellement de choix possibles, sans réellement nous permettre de tous les choisir. Llorente s'était déjà posé la question, et rapidement, il avait trouvé des réponses en discutant un peu avec Machado. Ce dernier était vieux... On ne savait pas l'âge qu'il avait, mais il dégageait quelque chose de fort, de puissant. C'était un fils de la terre et du feu. Il était d'une sagesse sans limite, mais il avait des yeux partout. Il lui avait rapidement expliqué ce qu'il en pensait et ce qu'il avait vu au cours des années. On passait tous par là. Et un jour, on se lèverait en sachant quoi faire de sa vie.
- J’devrait en avoir rien à foutre car j’voulais pas y aller de toute façon… et j’me fiche de plaire ou non mais… en fait ça me fait chier ! - Hum... Je vois.
Il l'attira vers une salle vide, derrière la grande salle. Il n'y avait que rarement du monde, et cette pièce ne servait que rarement pour certains cours. Llorente s'assit sur un bureau, avant de regarder la Gryffondor, pour lui dire :
- Tu es adolescente, c'est normal. Tu veux faire certaines choses, mais tu ne veux pas les faire car ceux sont des trucs que l'on voit souvent faire par les Queens du coin, ou encore les beaux gosses du Quidditch. Bien qu'il n'y est pas plus beau que moi. Il explosa de rire, après y avoir poser cette touche d'humour, qu'il balança comme un pavé dans une marre, il fallait se l'avouer. En faites. Tu refuses d'être ce que tu es. Tu te veux féministe, la grande justicière, la défenseuse de noble cause, et tutti cuanti. Mais comment comptes tu t'y prendre si tu te refuses de vivre ?
Llorente eut un sourire amusé. La laissant réfléchir ce qu'il venait de dire. C'était une discussion psychologique, ça, c'en était indéniable. En faites, il servait plus de psychologue qu'autre chose à l'heure actuel. Non pas que ça le dérangeait, hein ? Mais disons qu'il n'avait pas vraiment l'habitude de répondre aux questions d'une fille, même si elles étaient informulées.
- Ce n'est pas parce que tu vas aimer la mangue, et que la petite pouf du coin l'aime également, que tu deviendras une garce à ton tour. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Et ils ne se choisissent que rarement. Donc, laisse toi vivre un peu. Cesse de faire la révolté de cette façon. Car là, on a plus l'impression que tu te révoltes sans savoir réellement pourquoi... Que tu te révoltes contre celle que tu es. Tu te rends compte de ce que tu m'as balancé tout à l'heure alors que je mangeais tranquillement ? C'était complètement incohérent ! Surtout que tu mangeais à ton tour ! Ce n'est pas avec de l'air que tu sauveras la famine dans le monde, mais avec des actes. Et surtout, en te connaissant bien. Toi et tes limites. On est sorcier. Pas dieu. Hélas. La magie nous aide à parvenir à nos fins, certes, mais il faut se bouger à son tour. Apprends à te connaître d'abords, et acceptes toi. Aimer un bal ne signifie pas être une salope. Vous êtes des gonzès. C'est normal que vous aimez danser, mettre des froufrous de partout, et faire les belles. Toute femme qui se respecte souhaite être regarder.
Un petit sourire sur ses lèvres, il ne put s'empêcher de penser qu'il monopolisait clairement la conversation.
- Tu devrais te trouver un cavalier, et y allait à se fichu bal. T'es une féministe, non ? Bah, bouge toi le cul et va leur montrer qu'on peut être belle et sortir avec un gars sans ressembler à Brittany Emerson et Jimmy Thompson. | |
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InvitéInvité
Jeu 22 Juil - 20:16 |
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| Le jeune homme l’attira dans une salle et elle se laissa faire, cherchant à deviner ce « qu’il voyait ».
« Tu es adolescente, c'est normal. Tu veux faire certaines choses, mais tu ne veux pas les faire car ceux sont des trucs que l'on voit souvent faire par les Queens du coin, ou encore les beaux gosses du Quidditch. Bien qu'il n'y est pas plus beau que moi. » « Oh oui bien sûr » souligna-t-elle avec un léger sarcasme tout sauf méchant, savant bien qu’il rigoler et que ce qu’il disait avait du sens. C’était juste le « plus beau que moi » qui l’avait fait réagir mais elle comprenait ce qu’il voulait dire.
« En faites. Tu refuses d'être ce que tu es. Tu te veux féministe, la grande justicière, la défenseuse de noble cause, et tutti cuanti. Mais comment comptes tu t'y prendre si tu te refuses de vivre ? »
Il avait souligné là un fait qu’elle n’avait vraiment envisagé, la forçant un peu à se poser certaine question qui ne lui avait jamais effleuré l’esprit. Elle le regarda perplexe, trahissant bien le fait qu’il lui donnait matière à réflexion comme on ne l’avait jamais fait avant. Elle avait toujours pensé que les autres passaient avant elle. Il avait des guerres, la faim, des morts alors ne serait-ce pas égoïste de vivre pleinement alors qu’eux ne le pouvaient pas ?
« Chaque grande cause mérite sacrifice ? » répondit-elle sans grande conviction. « Ce n'est pas parce que tu vas aimer la mangue, et que la petite pouf du coin l'aime également, que tu deviendras une garce à ton tour. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Et ils ne se choisissent que rarement. Donc, laisse toi vivre un peu. Cesse de faire la révolté de cette façon. Car là, on a plus l'impression que tu te révoltes sans savoir réellement pourquoi... Que tu te révoltes contre celle que tu es. Tu te rends compte de ce que tu m'as balancé tout à l'heure alors que je mangeais tranquillement ? C'était complètement incohérent ! Surtout que tu mangeais à ton tour !
Kathlyn ne put s’empêcher de rire légèrement, se rendant compte de son comportement exagéré et du fait qu’il n’avait pas tord. Il y avait du vrai dans les propos de Llorente. Sa façon s’exprimer trahissait bien son assurance et le fait qu’il savait de quoi il parlait. Si les adolescent passent leurs temps à se chercher, lui il s’était décidément trouvé et elle n’était pas mécontente de se retrouver sur sa route au final. C’est vrai qu’elle était plein de principe mais qu’elle ne savait pas toujours où allait.
« Ce n'est pas avec de l'air que tu sauveras la famine dans le monde, mais avec des actes. Et surtout, en te connaissant bien. Toi et tes limites. On est sorcier. Pas dieu. Hélas. La magie nous aide à parvenir à nos fins, certes, mais il faut se bouger à son tour. Apprends à te connaître d'abords, et acceptes toi. Aimer un bal ne signifie pas être une salope. » Kathlyn – « Tu crois ? Vraiment ? » Llorente – « Vous êtes des gonzès. C'est normal que vous aimez danser, mettre des froufrous de partout, et faire les belles. » Kathryn – « Oui mais moi je ne suis pas comme les autres je… » Llorente - « Toute femme qui se respecte souhaite être regarder. » Kathlyn – « Bon… okays j’te l’accorde » maugréa-t-elle, chassant sa mauvaise fois et son impulsivité qui avait tendance de revenir au galop chaque fois qu’elle s’efforçait de la chasser. « Tu devrais te trouver un cavalier, et y allait à se fichu bal. T'es une féministe, non ? Bah, bouge toi le cul et va leur montrer qu'on peut être belle et sortir avec un gars sans ressembler à Brittany Emerson et Jimmy Thompson.»
Kathlyn – « Tu sais quoi ? Ta raison !!! » . Elle se redressa et pris un air déterminé. « J’vais y aller à ce bal !!! C’est pas parce qu’on m’a pas invité que j’peux pas le faire. De nos jours une fille doit en être en droit de faire le premier pas !!! » Elle se mit alors à réfléchir qui elle pourrait inviter et surtout avec qui elle avait envie d’y aller et un nom s’imposa de lui-même pas ses pensée… « Dis Llorente tu… tu va au bal ? » Demanda-elle un brin mal à l’aise et un léger sourire crispé. Sa question était formulé de tel façon que ce n’était pas une réelle invitation mais que ça lui laissait une ouverture si jamais… Parce qu’après tout pourquoi pas ? Llorente lui semblait le garçon le moins stupide à qui elle avait parler de toute sa scolarité. Donc pourquoi pas. Non ?
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InvitéInvité
Mar 27 Juil - 16:05 |
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| - Tu sais quoi ? T'as raison !!! - Je sais, je sais... Murmura-t-il avec un sourire à peine voilé. - J’vais y aller à ce bal !!! C’est pas parce qu’on m’a pas invité que j’peux pas le faire. De nos jours une fille doit en être en droit de faire le premier pas !!!
Llorente était fier de lui. Qui a dit : Quoi ? Encore ? que je le tue ? Non. Le latino avait une bonne action dans ce monde de brute, et il ne pouvait s'empêcher de ressentir une satisfaction particulière malgré son sourire totalement arrogant. Il se passa les mains sur le visage, avant de se redresser. Et alors qu'il s'apprêtait à la quitter, cette dernière reprit la parole.
- Dis Llorente tu… tu vas au bal ?
Euh... Euh... Pourquoi celle là il ne l'avait pas vu venir ? Llorente eut un léger sourire. Il était visiblement mal à l'aise et ne savait pas vraiment quoi répondre. Kathlyn n'était pas vraiment son genre, pour ne pas dire du tout son style. Elle était trop révoltée, trop... En faites, Llorente aimait les filles et les jeunes femmes avec un jardin particulier si vous voyez ce que je veux dire. Et puis... Il allait déjà au bal avec Elladora.
Si la situation avait été différente, Llorente ne pouvait s'empêcher de penser qu'il aurait tout simplement rigolé sans rien ajouter avant de partir dans la foulée. Pourtant là... Il l'avait tenté de la raisonner, de la faire changer, qu'elle vive à fond et qu'elle arrête de se prendre la tête ainsi. Hm.
- Euh... Oui. J'y vais avec Elladora, je sais pas si tu vois qui c'est...
TOUT LE MONDE connaissait Elladora. C'était la QUEEN de Serpentard. Certes, elle ne s'était pas vraiment montré ces derniers temps aux yeux de tous, et surtout dans un évènement pareil, mais Llorente avait forcé cette dernière pour y aller avec lui. Il fallait à tout prix qu'elle sorte de son cocon de tristesse et de déprime. Surtout qu'il n'aimait pas du tout le fait qu'elle soit amoureuse d'un Lycan... Surtout après qu'il l'ait mordu. M'enfin, ça, il ne pouvait trop rien y dire. Après tout, il n'était que son ami. | |
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InvitéInvité
Lun 2 Aoû - 11:03 |
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| « Oh… La jolie blonde des Serpentard… » Fit-elle avec un sourire qui trahissait sa déception. Kathlyn connaissait Elladora de réputation. Qui ne la connaissait pas d’ailleurs ? Même une paumé de première année capable de ne pas se rendre compte de la nuit permanente à Poudlard aurait sue qui était Elladora Konstentine. Finalement il était pareil aux autres. Llorente préférait une jolie blonde aux airs futiles qu’une fille bien pensante et démarqué des autres. Dommage, lui qui l’espace de quelque seconde lui avait redonné espoir en les hommes et laisser penser qu’ils n’étaient pas tous identique. C’était peut-être la déception qui lui faisait penser cela et une certaine amertume mais au final que pouvait-elle penser d’autre ? Elle savait bien que même si elle avait invité Llorente avant Elladora il aurait préféré y aller avec elle. Ce n’était pas qu’elle voulait à tout prix y aller avec lui mais l’injustice de ce monde faisait ce qu’elle était aujourd’hui, une fille révolté et déçue par la vie. Elle avait souvent cette impression que le monde était offert à des filles comme Brittany ou Elladora alors qu’elle-même devait se battre pour ne serait-ce avoir une boucher de pain. C’était si dégelasse ! Déjà elle se maudissait d’avoir écouté l’hispanique et d’avoir nourrit l’envie d’être comme les autres et de leurs ressemblait d’un certain côté. Elle ne ferait jamais partit de leurs monde et n’en avait même pas envie. Elle se sentait conne d’avoir formulé une invitation à peine voiler au jeune homme mais elle apprécier le tact donc il faisait preuve à son égard, évitant une phrase du style « Pourquoi ? Tu veux quand même pas qu’on y aille ensemble ? » . Elle n’en restait pas moins un peu triste sur l’instant. Elle se forçait à bonne figure mais elle savait que si elle avait était seule des larmes aurait sûrement coulé sur ses joues. Ce n’était jamais facile d’être adolescente, cette période de la vie qu’on oublie vite mais qui reste une dure période. On pleure pour un rien, réfléchie pour un détail et complique tout…. « C’est cool. Vous allez bien vous amusez ». Encore un sourire pour cacher la douleur qu’elle ressentait dans sa poitrine et son léger mal être qu’elle garder pour elle. « Bon j’vais pas tarder, faut que j’réfléchisse à qui inviter » rajouta-elle en essayant de lui faire croire que ses mots précédent n’était en rien une invitation. Elle agissait par fierté, essayant de conserver le peu qui lui restait... | |
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