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PROFIL & INFORMATIONS |
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Jude Idaho DashwoodGRYFFONDOR. ► septième année.
► MESSAGES : 119 Ven 30 Juil - 13:24 |
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| La beauté d'Autumn paraissant comme le soleil à l'aube, éclipse dans les yeux de Jude, toute inquiétude, tout souci, toutes questions. Jude reste pendu à son cou bas très bas, ou comme une fleur qui s'élance vers le soleil pour en capter quelques rayons. Il hésite encore à se rouler par terre ou à se jeter sur elle pour l'embrasser. Restons galants tout de même, alors Jude se contente de prendre au sérieux le rôle du chevalier courtois qui tente de séduire le cœur de sa dame. La dame semble conquise, mais rien ne lui semble plus sûr, car il lui semble tant qu'Autumn est pour lui la plus sublime des fleurs, la plus sublime des étoiles, la lune même, que même s'il essayait de s'élancer vers elle, il ne parviendrait pas à ne serait-ce que la toucher du doigt. C'est donc une lutte sans répit, un combat sans fin, pour qu'il espère être à la hauteur de sa bien-aimée. Et pourtant, tout était si simple avant. Ils étaient des amis, parmi les meilleurs du monde, par mi les plus beaux du monde... Et maintenant il faut que Jude en fasse des tonnes. Mais cessons ces entrefaits, et Jude, ferme-ta-bouche-tu-baves! Enfin rendons nous à la salle de bal. Jude sent la main d'Autumn sur la sienne, un peu fraiche, mais pas de quoi s'inquiéter, pense-t'il, et il aimerait la serrer comme le fond les amoureux qui se promènent dans la rue. Il n'a jamais eu d'amoureuse à qui on peut faire des bisous partout en public, non il n'a toujours eu que des amoureuses d'un jour d'une nuit, ou de toute la vie mais qu'on a pas le droit de montrer aux autres comme sa sœur. Mais il se retient d'enfermer sa main, car Diantre il faut savoir être galant et respectueux envers sa Dame. Quand Autumn et Jude font enfin leur entrée dans la salle, beaucoup de regards se tournent vers eux, comme attirés par l'astre qui se reflète dans la chevelure d'or de la belle. Autumn est aimée, adorée, adulée, et Jude se sent tout à fait rougir et rétrécir à coté d'elle. Il en oublierait presque qu'il a lui aussi son petit charme. Mais à coté d'Autumn, Merlin qu'il se sait affreux! « Jude, je crois que vous avez éclipsé toute la salle. » Son petit sourire qui fait scintiller son visage envoie des étoiles dans les yeux de Jude. A fallen star fell from your heart and landed in my eyes. Le souffle lui en est coupé. Un instant. Il revient, d'entre le monde des étoiles, et se penche à l'oreille d'Autumn. « Je crois plutôt, ma chère Autumn, que tous les regards son rivés sur votre éclatante beauté. » Qu'est-ce qui pouvait bien leur faire sortir de si poétiques et enchanteresses phrases? N'allez pas me dire que c'est le champagne, ils sont encore sobres. N'allez pas me dire que c'est seulement l'époque et le style du Moyen-Age. « M'accorderiez vous cette danse? » Jude entraine la belle Autumn, plus belle que les feuilles d'Autumn à venir sur la piste de danse. Il se souvient soudain qu'il ne sait pas vraiment danser, en espérant qu'elle ne s'en offusque pas. De toutes façons, ce sont des danses moldues modernes – certes en costume du Moyen Age, c'est assez drôle – alors on peut bien danser comme on veut. Dans deux minutes, il va nous imiter – mal - Michael Jackson, ça se sent bien. Non il faut trouver un moyen de l'arrêter. Les yeux d'Autumn y arriveront peut-être? Ils l'enferment pour toujours dans ce monde doré, où les étoiles, la lune, les astres ont été soufflées, où il n'y a qu'elle ses yeux, sa lumière éclatante, dans laquelle Jude finira par se brûler. Mais l'un des autres Dashwood a trouvé une autre manière d'arracher Jude à son envie de danser Thriller sans Thriller. Adonis le beau, mais aussi l'Adonis l'affreux, qui a bien décidé de gâcher la fête à tout le monde, et d'arracher également Jude au monde magnifique des yeux d'Autumn. « Oyez oyez. Savez-vous cher invité que Avril Adler est une menteuse de la pire espèce ? Moi, je sais pourquoi elle ne parle jamais… de sa famille. C’est qu’elle a honte d’être une orp… » C'est peut-être le regard foudroyant de Jude qui a intimé à cette chaise l'ordre de tomber et d'empêcher plus loin le carnage. Adonis a beau être son frère et il l'aime à en crever comme tous les brothers and sisters, mais là il dépasse les bornes. Il fait du mal à Avril. Jude aime Avril, c'est une de ses meilleures amies, et il a compris qu'Adonis aussi, mais que son amour à lui était bien plus terrifiant. Il en devenait affreusement méchant, et surement aussi jaloux, qu'Avril préfère Maël. La tribu Dashwood en apparence si soudée est agitée de tensions qui pourraient bien la faire éclater... Jude ne peut laisser courir ce risque. Il voudrait réconforter Avril, mais elle s'est déjà éclipsé avec Maël, espérons qu'il ne lui fasse pas plus de mal. Jude se tourne vers Autumn et attrape sa main pour lui parler. « Je suis désolé, Autumn... Mais Adonis va... a besoin de moi, de... de toute la famille. » Il lâche sa main et s'apprête à aller trainer son frère loin de la salle de bal. Mais il se retourne et reprend la main d'Autumn. « Mais suis-moi hein! Tu fais partie de la famille! » Dans son cœur même c'est comme si Autumn était sa sœur ou plus, ou tout. Indiana est déjà devant Adonis, à constater les dégats. « Adonis Xercès Dashwood ! Tu es fier de toi j’espère !?! Comment tu peux être aussi bête ?!» Jude est tout à fait d'accord, mais il n'est pas du genre à réprimander les gens, même son frère, aussi affreux puisse-t'il être. Il se baisse et l'aide à se relever en le tirant par les épaules. « J'espère que t'as rien. » Pas vraiment de compassion dans sa voix. Non il vraiment dépassé les bornes. Jude a vraiment envie de lui foutre une baffe. « T'as vraiment dépassé les bornes. J'espère que tu peux nous expliquer, et t'excuser. » Il fixe Adonis d'un regard de fer, qu'on lui connait mal et qui est presque drôle. Il jette un coup d'œil à Maman-Indie et à Belle-Autumn à coté de lui avant de revenir à Adonis. Gentil-Jude n'est plus gentil. | |
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Caelan de Saint-AngeAGENT DU MINISTERE. ► Directrice de la Justice Magique.
► MESSAGES : 395 Ven 30 Juil - 18:58 |
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| Ça y était, la panthère était née de la boule de fourrure qui rugissait maintenant à gorge déployée. Etendant ses longues pattes veloutées, elle feulait de satisfaction de se savoir enfin libre dans l'esprit de Kaprice. Elle allait pouvoir commencer à courir, déchiqueter ce qui ne l'avait pas encore été, et surtout, venir à bout de cette tristesse tenace qui ne voulait pas s'effacer, ou même diminuer un tant soit peu. La couleur de la panthère ? Noire. De la même couleur que la rage qui promettait de bouillonner très rapidement en elle. Et de la couleur de ce dont elle aurait sans doute envie dans quelques minutes, peut-être quelques heures pour se venger du malotru. Le faire souffrir ? Le délicat félin en rêvait. Kaprice, elle, en avait vaguement conscience, mais elle savait bien également que pour l'instant, elle n'en avait pas la force. Pas après le coup bas et douloureux qu'elle venait d'encaisser. Il lui faudrait d'abord relever la tête, en se rendant à ce Bal comme si de rien n'était, et ensuite, ressasser un petit peu. Et ça partirait. La panthère le savait. Mais Kaprice aussi. Franchement, à la limite, peut-être qu'Akira avait raison. Elle devrait juste y aller, draguer limite le premier mec qui était venu seul qui lui tomberait sous la main, et conclure le soir même juste sous les yeux de Heath. Humf. Ce n'était sans doute pas exactement ce que le Serpentard avait en tête, il était bien trop gentleman pour ça. Mais c'est ainsi que Kap' l'interpréta. Seulement, les deux garçons avec qui elle aurait pu le faire sans problème avaient une cavalière, l'une qu'elle estimait énormément, l'autre qu'elle ne connaissait pas, et elle avait du respect pour eux, donc ne leur gâcherait pas leur soirée. En prendre un au hasard ? Pourquoi pas. Mais elle ne voulait pas spécialement augmenter sa réputation de fille facile. Alors …
Alors heureusement pour elle, Akira répondit positivement à sa demande de passer la soirée en sa compagnie. Elle sourit, pas offusquée le moins du monde du fait qu'il lui prenne les poignets. Passer du temps avec lui était agréable, même si cela ne faisait pas longtemps qu'elle pouvait en témoigner. Il n'y avait aucune ambiguité dans ses gestes, dans ses paroles, ce n'était que pure franchise, amitié, et bonté de coeur, et franchement, c'était très, très rare chez un garçon. Elle devait ne jamais en avoir rencontré. Quoique … Son regard glissa bien malgré elle vers Laël, et elle étouffa un soupir. Si, elle en avait rencontré un, et avait bousillé toutes ses chances avec lui après s'être rendu compte qu'il pouvait lui convenir. Tout ça pour un abruti qui la tournait en ridicule dès qu'il le pouvait. Comment ça elle ne l'avait pas quitté pour ça ? Pas entièrement. Mais il y avait de ça aussi. Mais ce n'était pas vraiment le sujet du jour. Elle sourit à Akira, franchement cette fois (vous noterez qu'elle avait choisi de ne pas relever le fait qu'il irait sans doute demander des explications à Heath), et lui répondit:
Et bien vous m'en voyez absolument ravie …
Et elle le suivit à l'intérieur, non sans retenir sa respiration en passant la porte. Non, ce n'était pas le décor sublime qu'elle guettait, mais le regard des autres. Comme si ce qui venait de se passer était gravé sur son visage. N'importe quoi, n'est-ce pas ? Mais elle ne savait pas vraiment comment se comporter, ni les répercutions que tout ceci pouvait avoir, sur elle, sur sa vie … Il fallait qu'elle s'accroche. Et pour l'instant, c'était au bras d'Akira qu'elle s'accrochait, alors qu'elle fendait la foule. Elle ne scrutait pas la foule, elle ne voulait surtout pas les voir, pas le voir plutôt. Et puis il fallait qu'elle perde cette sale manie d'essayer de le localiser à chaque fois pour mettre en place une stratégie. Au diable la stratégie, pour ce que ça lui avait apporté … ! Pas de stratégie. Elle se laissa guider, elle qui tenait d'habitude toujours les rênes par le Serpentard, lui offrant une confiance aveugle. Elle le laissa s'échapper le temps qu'il leur attrape des verres. Pas dépendante à ce point ? C'était juste qu'elle devait apprendre à se débrouiller seule, point. Comme un enfant à qui on apprendrait à marcher. Elle venait de lâcher son bras. Son regard papillonnait, ne se posant nulle part, surtout pas, de peur de reconnaître, de voir … Elle n'arrivait pas à ce que ce soit flou, la réalité avait repris ses droits. Quand Akira revint, lui offrant sa boisson, elle sourit, la prenant.
Merci. Je ne suis pas une fan d'alcool, donc je n'espère pas. Et j'ai décidé d'arrêter d'utiliser des substituts pour me sentir mieux.
Cela ne semblait pas être le cas, effectivement, alors qu'elle le portait à ses lèvres. Peut-être que ça n'aurait pas fait de mal, mais, comme elle venait de le signifier, il était temps d'arrêter de se cacher. Pas de Billiwigs. Plus du tout. Alors pas d'alcool. Bien sûr, Akira ne pouvait pas savoir ce dont elle parlait, même s'il y avait quelques rumeurs parlant de drogue à propos d'elle, personne n'y avait trouvé le moindre trait véridique, la moindre preuve. Elle pouvait donc être tranquille de ce côté là. La seule personne qui savait se trouvait dans le même cas qu'elle, et avait failli y laisser la peau d'ailleurs, alors … Bon, trêve de considérations intérieures, il était là, avec elle, autant en profiter, non ? Pas dans le sens où vous auriez pu l'entendre, encore une fois, non. Mais apprendre à le connaître, ou juste passer un peu de temps.
Alors, Akira, dites moi …
Mais elle n'alla pas au bout de sa phrase, car, au même moment, juste derrière elle s'élevait une voix:
« Oyez oyez. Savez-vous cher invité que Avril Adler est une menteuse de la pire espèce ? Moi, je sais pourquoi elle ne parle jamais… de sa famille. C’est qu’elle a honte d’être une orp… »
Y en a-t-il dans la salle qui croient au destin ? C'est le moment de vous y mettre. Elle reconnut la voix désagréable qui lui faisait des propositions salaces au moment où il commença à parler. Et il ne fallait pas être devin, comme, quand Kaprice, on connaissait Avril pour deviner ce qu'il allait dire, pourquoi il allait la traiter de menteuse. Elle pivota sur ses talons alors qu'il parlait, juste pour voir qu'en réalité, il était à deux pas. Ok. Un coup de baguette, arceau du poignet l'attrapant sous les pans de sa robe et décrivant une courbe parfaite, un cracbadaboum sur le pied de la chaise, murmuré entre ses dents, et la baguette reprenait sa place, l'air de rien. Mais ses yeux lançaient des étincelles. Oui, elle protégeait le secret d'Avril, comme Avril protégeait le sien, et cette fois, ça avait été moins une. Elle allait s'excuser auprès d'Akira pour aller faire la peau à ce crétin notoire (Akira connaissait bien son cas, c'était la cadre de leur première rencontre, quand Adonis lui avait fait une proposition explicite), mais elle se stoppa en voyant toute la famille Dashwood, le Serpentard excepté, lui foncer dessus. Elle retint son envie de dire à Jude ce qu'elle pensait de sa façon de décider de sa tenue, mais elle s'abstint: ils avaient mieux à faire, c'était des conneries ça, ça pouvait tout à fait attendre. Elle se retourna vers Akira, s'excusant:
Désolée, une amie à aider … Vous avez reconnu le sinistre sieur il me semble. Bien …
Elle lui sourit:
Que préférez-vous faire pour votre première expérience et dernière de Bal stupide et mondain de l'école ? Discuter de tout et de rien, ou aller danser ? A votre convenance ! | |
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Lizbeth T. SmithSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 111 Dim 1 Aoû - 1:55 |
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Pourquoi avait-elle dit oui à l’invitation d’un élève qui lui avait demandé de l’accompagner à son bal à Poudlard ? Lizbeth attendait encore les rires de son ami, Yon Winchester, en lui racontant tout ce qui s’était passé à la soirée qu’un garçon dès plus normal avec gagné pour le concoure qu’avait organisé le magasine qui représentait les playwitch. Elle avait dit oui à la demande du garçon, comme si le moment avait été fortement commandité par une personne qui l’aurait payé pour faire vivre aux jeunes hommes de nouveau une soirée avec elle. C’était faux. Elle avait accepté de son plein gré, pourtant… elle ne savait pas ce qui l’avait poussé à lui dire oui. Peut-être que l’atmosphère qui avait entouré William et Lizbeth avaient été propices à ce qu’elle veuille aller avec lui. Il fallait avouer qu’elle le trouvait plutôt mignon, mais ce n’était pas si gratifiant d’y aller avec un jeune homme plus jeune qu’elle et qui était encore aux études. Elle devait passer par-dessus ce léger détail qui n’effrayait en rien la mannequin, sauf que ça n’allait pas faire une bonne image aux yeux des paparazzis fatigants qui ne cessaient de déformer les choses. Elle devait les ignorer pour le garçon à qui elle avait accepté son invitation. Elle pouvait très bien ne pas se présenter en prétextant que… NON ! elle ne pouvait pas lui faire ça. Elle ne pouvait tout simplement pas être aussi injuste et méchante avec lui. Elle allait s’y présenter pour ne pas décevoir son fan qui l’avait choisi pour passer une soirée en compagnie d’une playwitch. Il allait certainement avoir toute l’attention sur leur couple. Elle en était même très consciente. Si ce garçon n’avait pas d’estime de lui, alors il allait rehausser sa côte de popularité, sinon elle était certaine qu’il serait un peu plus populaire. L’australienne avait donc sorti une robe de soirée en essayant d’intégrer le thème du bal qui était sur les preux chevaliers et les belles princesses à sauver. Lizbeth enfila la robe de son choix qu’elle avait déjà voulu porter pour une soirée, mais elle avait abandonné l’idée puisque Lukas avait été malade. Elle avait donc menti en disant qu’elle était malade lorsque c’était son unique enfant qui vivait un moment difficile dans une maladie d’enfant. Elle ne voulait pas le laisser tout seul avec un ami qui allait perdre sa soirée au chevet d’un petit garçon malade. Lizbeth avait donc laissé de côté sa soirée pour rester avec son petit Lukas qui avait semblé heureux de voir sa maman à ses petits soins. Donc la robe n’avait jamais été vu par les gens. Elle était pratiquement neuve et elle faisait le thème de la fête. Elle n’avait pas à faire une robe de dernière minute pour cette soirée où elle allait se retrouver avec de très jeunes gens. Elle enfila cette robe blanche. Elle mit des chaussures qui la fit plus grande et qui mettait en valeur tout son corps qui semblait encore plus mince. Lizbeth se coiffa et se maquilla tout simplement en étant digne à elle-même. Elle était belle, elle devait le montrer à tous. L’australienne finit par transplaner pour se rendre à poudlard où son cavalier se trouvait. Elle avait traversé le parc dont elle connaissait les moindres racoins puisqu’elle avait passé. Elle marchait en direction des grandes portes de poudlard qui allait la faire rentrer dans son ancienne vie. Dans sa vie passé. Lizbeth allait avoir des souvenirs bien doux ici. Elle se souvenait de certaines personnes qui lui manquaient. Des gens sur qui elle avait fait une croix pour monter les échelons vers la gloire. Elle était une mannequin tout à fait acceptable dans ce temps là, mais maintenant elle était plus qu’acceptable. Sa carrière était bien démarrée. Elle obtenait la gloire et la célébrité, bref… elle ne voyait plus ceux qui avaient fait son monde le sien à ses débuts. Elle aimerait les revoir, malgré le mal qu’elle a pu leur faire. Lizbeth rentra dans le château les regards se tournant vers elle. Elle ne broncha pas cherchant du regard son cavalier. Elle fit un léger sourire en le voyant. Elle s’approcha de lui et ouvrit les bras pour lui faire un câlin. « William. » Dit-elle en lui offrant un bisou sur la joue. « Comme prévue, je suis là. Tu ne croyais tout de même pas que je t’aurais abandonné pour cette soirée. » Elle prit le bras de son cavalier avant de l’invité à le suivre dans la grande salle.
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InvitéInvité
Mer 4 Aoû - 10:00 |
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| - je tiens à préciser que nous ne sommes pas partit avec Avril, nous sommes toujours là XD- Avril - Mmmh pas forcément celle là mais quand je me dis qu'on a évité la compil d'un opéra médiocre et poussiéreux, j'aime tout ce que les Dogs auront envie de jouer ce soir. Ben tiens. Maëlan pousse un léger soupir parce que maintenant, même si sa cavalière s’y mettait à les aimer ces Chiens, il ne savait plus où donner de la tête. Effet pratique ou pas, elle appréciait quand même. Mais ma belle Avril, que t’arrive-t-il ? Un sourire narquois sur les lèvres, le Serpentard l’observe. Et oui, c’était toujours la même et désagréable surprise de voir que leur chère Directrice ne comptait pas changer les habitudes et laisser des boissons non alcoolisées sur les tables… Ca en prend un certain coup, comme d’habitude lors de ce bal, mais cette fois il avait autre chose qui le ferait flanché : les yeux bleus de la Serdaigle qui le regardait par-dessus sa coupe. Et lorsqu’elle vient à lui, se hisser sur la pointe des pieds, pour que leurs lèvres ne soient qu’à quelques millimètres, il sentit son cœur défaillir, manqué un battement comme on dit.
Avril - Tu n'as qu'à boire à ma santé. Oh si tu savais, ma douce Avril, il pourrait boire n’importe quoi pour toi. Demande-lui de boire la mer pour l’un de tes sourires, et il le ferait. Et lorsque ses lèvres se posèrent sur les siennes, Maël eu un haussement de sourcil surprit… Tiens donc, petite Avril, tu caches bien ton jeu. Un rire s’échappa de ses lèvres, rares, et il prit la coupe qu’elle lui tendait avant de boire une longue gorgée ; ses yeux s’éclipsant. Le Vert et Argent cherchait sans doute d’autre monde, comme sa jolie petite sœur, ou bien Jude… Au bras de cette étrange créature, bien joué le petit frère. La petite famille semble aux anges, mais qui peut se douter que c’est pour si peu de temps ? Personne. Personne peut-être à part Avril. Elle avait attrapé sa main et la serrait comme jamais, c’est ça qui fit réagir Maëlan. Il tourna lentement sa tête vers elle, un sourcil haussé. Il la voyait affolé, il ne l’avait jamais connu comme ça. Qu’est ce qui lui faisait avoir ça ? Puis elle se tourna vers lui l’air de rien.
Avril - Dis... tu voudrais pas qu'on... aille dans un endroit plus tranquille. Maël - Qu’est… Adonis - Oyez oyez. Et entre toutes les voix possibles de la salle, Maël était sûr à cent pour cent à qui elle appartenait : un membre du quatre-quart. Adonis, plus précisément. Qu’est ce qu’il faisait encore ? Le Serpent avait retenue la belle brune par la main et l’observait, sa main libre dans la poche de son habit. Il l’observa longuement, l’écoutant.
Adonis - Savez-vous cher invité que Avril Adler est une menteuse de la pire espèce ? Moi, je sais pourquoi elle ne parle jamais… de sa famille. C’est qu’elle a honte d’être une orp… Et même si le Serpentard était resté tranquille durant tout le discours, sa main s’était un peu resserré sur celle d’Avril et il n’avait qu’une envie : éclaté la tête de son frère contre les dalles froides des cachots. Qu’est ce qu’il lui prenait à celui-là ? Il était tombé, il s’était peut-être fait mal, prions pour qu’il se soit fait mal sinon c’était Maël qui allait cogner. Et finalement il se relève, l’air de rien, aidé par des gens qui plus est… Le reste du quatre-quart ? Il s’approcha en même temps, comme si la mécanique du cœur des Dashwood faisait en sorte qu’ils bougent tout les trois en même temps, et qu’ils arrivent au même moment aux côtés de leur frère.
Indie - Adonis Xercès Dashwood ! Tu es fier de toi j’espère !?! Comment tu peux être aussi bête ?! Jude – T'as vraiment dépassé les bornes. J'espère que tu peux nous expliquer, et t'excuser. Le Serpent n’a plus de cœur, plus de raisons, il ne parle plus non plus. Il ne sait plus rien. Il attrape juste Adonis par son col… Il avait osez faire ça, devant tout le monde ? La traiter de menteuse, mais qu’est ce qu’il lui arrivait ? Le mur le plus proche rencontra bien rapidement le dos du Serdaigle alors que le Vert et Argent avait sentit son esprit tombé.
Maël - Qu’est ce qu’il t’as prit enfoiré ?! A Adonis ne s’offre plus qu’un choix : expliquer ou se faire cogner. Rien. Plus rien. My mind wich falls.
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 6 Aoû - 15:38 |
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| William aurait pût se retrouver face à une déesse tout droit sortit de son imagination et ses fantasmes les plus fou qu’il aurait sans doute eut la même expression. Jesse était splendide. Sublime. Superbe. Radieuse. Ravissante. Renversante. Eblouissante. Epoustouflante et encore bien d’autre adjectifs qui laisser le jeune homme sans voix. Il s’était presque attendu à la voir arriver en jean et basket et la tenue de la jeune fille était au delà de ses espérances. Il en restait bouche bée et en total admiration. Une marque très prononcé de désir pouvait se lire sur son visage. Il la regardait comme la septième merveille du monde et n’arrivait pas à détacher son regard. Il n’en revenait pas que cette fille aussi canon soit sa petite amie. Waw ! Il en avait de la chance.
« Tu es vraiment très beau dans ton costume Will. Moi par contre... j'ai l'impression d'être une papillote... »
C’est le son de la voix de sa cavalière qui le tira de sa rêverie, lui qui s’imaginer déjà dansant sur un nuage avec la belle Jesse qui l’avait choisit pour petit ami pour son plus grand plaisir. « Hum ? » demanda-t-il en clignant des yeux. « Euh merci. C’est gentil. Les papillote n’était pas aussi envoutante dans mes souvenirs. Tu es magnifique Jesse. » Il était sincère, ça pouvait s’entendre au timbre de sa voix. Il lui tendit son bras comme un véritable gentleman et se redressa quelque peu. Une grande fierté pouvait se lire sur son visage parce que la fille à coté de lui bin il sortait avec ! Avançant dignement dans la grande salle, il posa son regard sur la piste de danse et tourna la tête vers Jesse. « Tu préfère qu’on aille vers le buffet hein ? » . Allez savoir pourquoi mais il devinait que la danse ce n’était pas trop sa tasse de thé…
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Keith WhiteleySORCIER.► décédé.
► MESSAGES : 236 Mar 10 Aoû - 17:42 |
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| Comme fils du Vatican, Keith rejouait sans doute Lucifer se rebellant contre son père et ses frères, persuadé de tenir le bon bout même alors que Mika'il le précipitait. Il n'avait jamais été un mauvais fils bien sûr, il avait seulement trop cherché à savoir, trop cherché le juste en toute chose. Exhumé les évangiles interdits, repensé les commandements divins au point de les appliquer dans ce qu'ils avaient de plus cru... Je suis l'Éternel, ton Dieu, qui t'a fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude. C'était encore à ces commandements qu'il pensait en se lançant derrière Mascha. Il ne courrait ni après un Dieu, ni devant un fléau. Il courrait parce qu'il n'abandonnait jamais ceux qui avaient besoin d'une main secourable. Et pourtant, ses gallons il les avait perdu quand il était tombé en disgrâce, choisissant l'échec plutôt que la trahison devant le jugement de la bouche du Seigneur, Metatron. Et Dieu l'avait ainsi fait sortir du pays de Vatican et de la servitude qui le liait, lui et Matthias au cardinal. Etait-ce encore Dieu qui lui ouvrait les portes de la Grande Salle pour qu'il poursuive la fille qui portait son enfant? Etait-ce là encore un projet de l'Eternel? Keith ne se serait même pas posé la question. Comment l'aurait-il pu alors qu'il ne supposait encore rien de l'état de Mascha? Qu'importe, même excommunié il avait confiance, il savait qu'il y avait quelqu'un pour lui laisser son libre arbitre mais aussi le guider quand il cherchait son chemin dans l'obscurité. Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Et même là, à écouter la fille qui avait été tantôt sa meilleure amie, puis celle qu'il avait aimé, celle qu'il voulait aidé, son coeur n'oubliait pas. Il n'oubliait pas comme l'humain est faillible, imparfait. C'est sans doute ce qui fait sa beauté, et ce qui le rend aimable lorsqu'il s'efforce de faire le bien malgré sa condition. Sans doute. Mais pour tout l'amour qu'il pouvait porté à certains de ses frères, et Dieu savait qu'il aurait donné sa vie pour Matthias par exemple, jamais ô grand jamais Keith ne les élèverait au rang de plus que Dieu, pas même au rang des anges malgré l'amour qu'il portait à Elemiah et Mika'il qui pourtant n'était même pas son gardien à lui. Il les aimait comme on aime un frère aîné, comme il aimait Matthi comme son petit frère. Mais chacune de ces têtes bien faites, même Mascha qui ployait sous son mal, suivaient précisément le chemin que Dieu indiquait et pour cette seule raison, aucun d'eux, Keith inclus, ne pouvait se hisser devant sa face et prétendre le valoir ou même l'égaler. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Sur son coeur le petit crucifix semblait vouloir s'incruster dans la matière même du sternum, comme il se plaquait contre la porte, les mains paume contre bois, patient mais résolu. « Mascha? Tu n'as pas à être désolée, c'est moi, j'aurais pas du te retenir. »Il la dessinait presque dans son esprit, le visage d'une enfant perdue et affolée. Combien de fois lui avait-elle montré ce visage? Il n'avait jamais compté, qu'importait d'ailleurs. Il ne faisait rien pour la gloire, rien par idolâtrie. S'il ne lâchait pas Mascha à ce moment là ce n'était pas par désespoir, ni par folie, il l'avait suivi pour l'aider. Pour qu'elle ne se sente pas seule. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punit l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent. « Non, ce n'est pas toi. C'est moi. Je suis désolée, je suis... vraiment affreuse. Je ne mérite même pas que tu sois si gentil avec moi. Je... »« Ne dis pas ça, si je suis gentil c'est que je le veux bien Mascha... »Gentil. Un bien étrange mot qui semblait pourtant lui coller à la peau. Mérite en était un autre dont il n'était pas sûr d'être digne. Il n'avait jusque là rien fait pour être méritant aussi, s'il ne disait rien, il jugeait que ce n'était pas un mot fait pour lui. Il y avait sans doute eu des générations et des générations de Whiteley avant lui - si tant était que ce fut son véritable nom - qui avait pu se rendre digne d'éloge ou passer à côté du droit chemin, se contenter de marcher sur le bord de la route entre les ronces et le sable fin comme la plupart des gens. Et Mascha sur cet ensemble de lignes où était-elle? Perdue sans doute comme le disait depuis un petit moment maintenant. Parfois ils se rapprochaient l'un de l'autre, se rejoignant à la corde du virage puis ils s'écartaient comme dans une étrange danse doppler qui au final s'arrangeait toujours pour qu'au dernier pas ils se retrouvent un peu plus loin que la fois précédente. Là, derrière la porte, à la musique des canalisations et des larmes, ils n'avaient jamais vraiment été plus proches. Plus proches que la nuit dont elle ne se rappelait pas... et qui fait miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements. De l'amour? En était-ce seulement. Il n'y croyait guère. Aurait-elle oublié sans quoi? Pour le préfet de Serpentard, il y avait un ordre naturel des choses, une touche de chaos bien ordonné qui lui murmurait à lui, qui aurait du être chaste, qu'on oubliait pas quand on aimait. Lui n'aurait pas oublié. Il n'oublierait sans doute jamais Matthi et pourtant ce n'était pas la femme de sa vie, c'était son meilleur ami. Il n'aurait pas oublié le visage d'Elemiah dans lequel les autres le reconnaissaient lui. Ces visages familiers, aimants, aimés étaient comme des petites novas dans le tissu de sa mémoire. Alors non, mille générations n'en auraient pas raison. Et il n'oublierait sans doute jamais non plus l'exorcisme de Mascha. On la disait folle, lui n'en croyait rien. Elle se croyait possédée, lui savait que non. Il la voyait meurtrie, mais elle ne donnait jamais de réponse alors... Tu ne prendras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain ; car l'Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. ... à quoi bon appeler? Parfois il se le demandait, lui qui n'observait pas la prière sinon pour remercier Dieu. Ne jamais rien lui demander. Jamais. L'un dans l'autre Keith ne demandait jamais rien aux autres. Mais cette fois - ci il demandait des réponses. Une réponse. Le doute s'était insinué dans son coeur comme le Serpent et il fallait qu'il sache. « Est-ce que tu as quelque chose à me dire?... »Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. L'idée lui avait traversé l'esprit quand elle s'était endormie dans la salle sur demande contre lui, puis elle l'avait quittée puisque Mascha n'avait pas donné l'alerte. Peut-être plus qu'un autre, il savait ce que pouvait ressentir une adolescente qui se découvre enceinte. Il se rappelait la détresse de chacune de celles qui était venu le voir, Candice par exemple. Il savait qu'au delà de trois mois, Mascha n'aurait pas pu ignorer une hypothétique grossesse, mais lui aurait-elle dit quoique ce soit? Encore une fois il doutait. Avec Mascha le monde ne tournait jamais rond, il se perdait en circonvolutions oniriques et en détours, inutiles auraient dit certains, Keith aurait dit de plaisance, ou de cauchemars. Il s'était un peu reposé sur ses certitudes et voilà que désormais, il s'en blâmait. Aurait-il dut resté toujours éveillé? Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Dans ses ténèbres de trois mois il avait un peu oublié le monde s'était vrai. Avec Elemiah et Matthias posés sur son épaule pour le soutenir, il s'était contenté de se diriger dans le noir, ne voyant guère plus loin qu'à la portée de ses doigts ou de son oreille. Erreur sans doute. Il n'avait guère vu Mascha ni avant, ni même après, comme si elle l'avait fui et parfois il le croyait vraiment. Elle se cachait de lui, le fuyait. Un nouveau jeu ou plus grave. Ca aurait pu le rendre fou lui aussi mais non, il tenait son cap. Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour : C'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du repos et l'a sanctifié. Il attendait patiemment une réponse d'elle. N'importe quoi. Surtout la vérité à vrai dire. La porte s'ouvrit et elle apparut, petite Emily Rose au visage couronnée de noir et de larmes mais elle était belle même comme ça, même si pâle. Minuscule. « Je... Je t'aime, Keith. »« Mascha... »Est-ce qu'il perdait patience? Sa voix ne le trahissait pas pourtant. C'était étrange comme sensation. Les trois mots qu'il aurait voulu l'entendre dire, une autre fois, elle les lui disait, cette fois là. Et lui... voulait autre chose. Savait-il seulement quoi lui même. Il entra, refermant la porte derrière lui avant de poser un genou devant elle pour la regarder. « Tu en es sûre Mascha? Tu ne me le dis pour ne pas me dire autre chose? »La voix rassurante de Keith avait prit quelque chose de plus sûr, de plus rassurante comme souvent, mais elle était d'un sérieux pratiquement révérenciel. On s'entend le prêtre derrière le préfet, le préfet derrière l'ami. Et l'ami... D'une main tranquille il lui essuya les joues avant de s'assoir à côté d'elle. Un coup de baguette pour s'assurer que personne n'entendrait ce qu'ils diraient ni ne viendraient les déranger. Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne. « Mascha je te regarde pratiquement tous les jours quand tu ne me fuis pas, je sais quand ça ne va pas, quand tu as envie de fuir comme maintenant, et quand tu ne sais pas ce que tu veux vraiment... comme maintenant. Tu as peur? »Il ne voulait pas la brusquer. Il ne fallait pas avec elle en tout cas. Il aurait pu lui demander de but en blanc si elle était enceinte mais non, mieux valait que ça ne soit pas forcé. Que ça vienne d'elle. Peut-être qu'il se trompait aussi mais... il n'y croyait guère. | |
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Jesse K. Matthews
► MESSAGES : 130 Mar 10 Aoû - 18:59 |
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| « Euh merci. C’est gentil. Les papillote n’était pas aussi envoutante dans mes souvenirs. Tu es magnifique Jesse. »
Jesse eut un sourire amusé. C'était exactement ce que Georgie avait dit qu'il dirait - enfin pas le passage sur les papillotes - mais pour le reste. Et quelque part ça lui plaisait de lui plaire, et ça lui faisait une petite vrille dans le ventre. Elle eut un autre sourire , le même genre que quand elle lui avait piqué le ballon sur le terrain de basket. Jesse avait un petit côté gamin à connerie qui ne disparaissait même pas sous le déguisement de Morgane la Fay.
« Tu préfère qu’on aille vers le buffet hein ? » « Pas si tu as envie de danser. » , répondit-elle avec un petit sourire.
Elle faisait une petite concession parce qu'elle était ravie de voir qu'il savait qu'elle préférait le buffet. Il n'y avait qu'un petit truc... un léger détail un peu ennuyeux qu'on ne pouvait remarquer qu'à un détail encore plus insignifiant. Elle était raide comme une baguette dans sa robe fourreau. Outre le fait qu'elle n'avait pas l'habitude des talons hauts, il y avait quand même autre chose:
« Euh Will... tu voudrais pas... » , elle s'approcha de lui pour lui chuchoter à l'oreille, « ... ma robe m'étouffe un peu. Tu voudrais pas euh... la dégrafer un tout petit peu? » , demanda-t-elle visiblement gênée.
L'effet de l'alcool ou juste que Jesse avait momentanément zappé qu'on ne demande pas ce genre de truc à un garçon avec qui on sort depuis quatre mois.
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Mar 10 Aoû - 19:57 |
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| « Pas si tu as envie de danser. »
Il eut un sourire. C’était à l’homme de servir la femme en bon gentleman et à veiller à ce qu’elle ne manque de rien. C’était son devoir. C’était le bonheur de celle qui porterait peut-être un jour ses enfants qui était plus important que le sien. Ah les enfants… Dire que William serait bientôt papa mais que la mère ne serait pas Jesse. Ces derniers temps il avait beaucoup pensé à son avenir et il s’était demandé avec qui il aimerait couler des jours heureux dans une maison aux barrières blanches avec quatre moufflets et un gros chien. Etrangement le visage de Jesse revenait sans cesse… Il reporta son regard sur elle et eut l’étrange sensation qu’elle n’allait pas bien, il avait dit quelque chose de mal ? Il comprit ensuite ce qui la gênait.
« Euh Will... tu ne voudrais pas... »
Il déglutit, encore sous le charme de sa tenue et pensant à mille et une chose. Il ne voudrait pas quoi ? Glisser ses doigts sur sa peau ? L’embrasser passionnément ? La déshabiller ? Ah ça oui il voulait bien.
« ... ma robe m'étouffe un peu. Tu ne voudrais pas euh... la dégrafer un tout petit peu? » « Euh… woé » dit-il hésitant mais…
Au secours ! A l’aide ! S’ayez il manquait d’air ! Qui avait coupé l’oxygène ? Il regarda le dos de Jesse, fixant les agrafes sans oser toucher quoi que ce soit. Il avança la main pour essayer de faire quelque chose mais la retira aussitôt comme s’il avait peur de se brûler avec puis déglutit de nouveau. « T’es sure Jesse ? T’a pas peur que ce soit trop provoquant après ? » . Ce qui l’inquiéter c’était pas que ce soit provoquant pour les autres mais surtout pour lui. Il avait déjà du mal à pas l’embrasser sauvagement et a avoir la main baladeuses. Alors s’il dégrafer un peu sa robe…
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Mascha Lulla SasnauskasPOUFSOUFFLE. ► sixième année. cap'taine.
► MESSAGES : 132 Mer 11 Aoû - 13:51 |
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| Tout ce temps passé à connaitre Kieth, à l'apprendre tout entier, à être amie à son coté, Mascha a l'impression qu'il se brise en cet instant, comme une vitre fine, violemment mais sans faire de bruit. Oh si cela fait beaucoup de bruit aux oreilles de Mascha qui croirait que c'est le palais de verre dans lequel elle vit qui s'effondre tout entier. mais personne d'autre ne semble l'entendre, alors le verre, le cristal se brise en silence, dans un éclat de larmes. Tout ce temps elle s'était rapprochée de lui, elle avait appris à connaitre son monde, et lui a connaitre son âme. Mais ce n'était qu'une illusion. Elle avait cru pouvoir dire qu'elle le connaissait, qu'il la connaissait, qu'ils étaient amis ou même plus. Mais la réalité c'était que jamais ils ne pourraient se comprendre trop éloignés. On peut lancer des perches des regards, mais au final, il n'y a qu'une abysse de vide entre Keith et Mascha. C'est un mur d'illusion qui se brise en silence, et cela fait mal de voir enfin la vérité. Il ne comprend pas, ne la comprend pas, il est si loin d'elle, qu'elle se dit, au fond de ses larmes, après l'aveu qu'elle vient de lui faire. « Mascha... » N'a-t'il pas compris ce qu'elle vient de dire? N'a-t'il pas entendu? Elle ne le sent pas trembler de larmes comme elle, ou même de joie de sentir le sentiment d'amour qu'elle vient d'avouer partagé au même qu'il aurait. Une vague de larme vient submerger Mascha. Il ne m'aime pas, il ne m'aime pas... C'est un peu trop vite pour s'en décider quand même, la surprise, la timidité cloue peut-être sa bouche. Mais pour un cœur transporté, attendre ne serait-ce qu'une seconde c'est déjà trop, c'est un battement de cœur qui attend terriblement, et qui fait mal à chaque coup. Mais trop atterrée, détruite par cette certitude qui se monte en elle, Mascha ne parvient pas à ajouter un seul mot. Et puis que pourrait-elle dire d'autre? Elle vient déjà de dire la chose qui lui pendait au bout des lèvres depuis des jours, des mois, des années, des éternités, qu'elle n'aurait surement pas dû dire. Son cœur n'en est peut-être même pas sûr... Oh si il l'est maintenant. Ca lui est revenu comme ça en pleine face, comme une bourrasque de vent. L'aimer comme une bourrasque de vent en pleine face. Ca fait sursauter, ça fait un peu mal. Et ça fait plus mal encore de se rendre compte qu'on aime tout seul. C'est dans l'absence de Keith juste après la nuit de l'exorcisme qu'elle s'en est rendue compte. Quelques jours, alors qu'elle n'avait plus de nouvelles, elle eût peur qu'il soit mort, et elle se rendit compte à quel point cela faisait mal à son corps, à quel point elle se sentait arrachée, enchainée, enracinée à lui, lui qui n'était pas là, lui qui était disparu, avec l'autre bout de ses chaines. Il s'était éloigné d'elle comme ça, sans raison, sans lui dire, qu'elle le maudit de tous les noms, qu'elle le considéra comme un égoïste. Et plus encore qu'à cause de la sensation étrange qui se faisait dans son ventre, c'est à cause de ces reproches qu'elle l'évita à son retour. Non, il devrait venir la voir en face, lui expliquer, lui dire pourquoi il avait maltraité son cœur durant ces mois, et peut-être elle lui pardonnerait, peut-être elle le laisserait revenir... Mais à cette volonté de rester femme de force et de tête, se mêla la peur étrange de ne pas vouloir le voir en face, une peur, un frisson qu'elle ne comprenait toujours pas. Elle s'en fout même, à cet instant précis, ou c'est son cœur et non plus son ventre qui crie. « Tu en es sûre Mascha? Tu ne me le dis pour ne pas me dire autre chose? » Oh mais Bordel qu'elle en est sûre! Pourquoi la met-il en doute? Elle a déjà eu assez de mal à clarifier son cœur. Et pourtant ce simple '' Je t'aime '' lui est apparu comme une évidence. Oh non elle en est sûr et ça fait sacrément mal d'être sûr que c'était vraiment pas une bonne idée et qu'on va se faire du mal. Mais voilà c'est arrivé... Et Kieth devrait savoir que Mascha ne plaisante pas, pas à cet instant, et qu'elle n'est pas de ces filles qui disent je t'aime à tout va. Elle ne l'a jamais dit, même. Non jamais elle n'a senti ces mots franchir ses lèvres. Et elle découvre que ce n'était franchement pas une bonne idée. Il n'en a rien à foutre rien. Et tout ce qu'il pourrait faire d'autre que dire un '' Je t'aime aussi '' n'y changera rien, pas même s'approcher d'elle avec son air gentil, avec son air de prêtre, ce même air qu'il fait à toutes les filles pour les écouter... Bordel, elle espère bien qu'elle n'est pas comme toutes les filles pour lui! Mais lui... Lui il ne voit décidément que son dieu et toutes ces balivernes à raconter aux enfants ou aux gens trop bêtes pour vivre par eux-mêmes. Lui il ne peut aimer quelqu'un d'autre, et lui faire plus de place qu'à Dieu. Lui, il ne l'aimera jamais elle. Ils sont bien trop éloignés finalement. Non, Mascha n'aurait jamais dû avoir le caprice de tomber amoureuse de lui. Un caprice? Tss. C'est le pire caprice que d'enfermer son coeur dans le mal perpétuel. « Mascha je te regarde pratiquement tous les jours quand tu ne me fuis pas, je sais quand ça ne va pas, quand tu as envie de fuir comme maintenant, et quand tu ne sais pas ce que tu veux vraiment... comme maintenant. Tu as peur? » Mascha écoute à peine ce qu'il lui dit, elle n'entend rien de ce qu'il insinue. Elle ne pense qu'à cette chose qui fait mal dans son cœur, qui se brise et le plante de milliers d'éclats de verre. Et ces phrases qu'elle ne veut pas entendre, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Toute la violence du sentiment amoureux la trasforme en une furie que rien n'arrête, même les torrents de larmes sur ses joues. « Mais t'as rien entendu de ce que je t'ai dis? Rien, rien rien, tu t'en fous que je puisse t'aimer? » Elle repousse violemment sa main de sa joue et le pousse encore plus violemment du pied loin d'elle. « Tu ne peux aimer que ton Dieu de merde de toute façon! Et oui je blasphème, mais je m'en fous! Il peut bien me foudroyer ce fils de pute, je m'en fous! Ca ne fera pas mal du tout. Tu sais, tout le monde croit que je peux pas avoir mal, mais bordel comme j'ai mal, comme tu me fais mal! Dégages, Dégages, va t'en, ne m'approche plus! Je pourrais pas supporter même de partager ton cœur avec Dieu, ce fils de pute. Je préfère ne pas y être du tout. Je ne veux même pas de ta gentillesse, tu peux la bouffer la ravaler, et la donner à la première fille qui passe, comme t'as fait avec moi... » Sa voix se perd dans sa gorge. Mascha ravale la rivière de lave et de larmes qu'elle vient de déverser. Non elle ne la ravale pas totalement, elle n'attend que de ressortir à nouveau. Elle s'est un peu apaisée un instant. « Je devrais, mais je n'arrive même pas à te détester... » Mascha se laisse s'enfermer dans ses plus lents sanglots. Oh mon dieu que vient-elle de faire, de dire... C'est sorti de totue façon, elle ne peut rien y faire. Son coeur est un peu moins lourd, mais il fait encore très mal. Un jour peut-être, en oubliant tout ça, la douleur de cette plaie s'arrêtera. oh... it's the first days of spring and my life is starting over again. | |
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InvitéInvité
Ven 13 Aoû - 16:06 |
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| Josh Lewis « Dis-moi que c’est assez conventionnel pour toi, pour un bal… »Josh s’apprêta à répondre mais il vit l Willara s’agitait juste derrière et se renfrogna légèrement . « Euh… » . Il ne savait plus quoi pour ne pas mettre en colère ou blesser la jeune Slayers qu’il savait impulsive tout en exprimant ce qu’il pensait. « Et puis, si je te fais trop honte comme çà, je peux mettre le loup. Personne ne me reconnaitra et tu seras le garçon avec une inconnue. Se serait bête de gâcher ton joli costume. Toutes les filles te courront après avec ce coup de pub. »Il se mit doucement à rire car elle était comme dans ses souvenirs. Exubérante, exalté et surtout passionnante. Il n’y avait vraiment qu’elle dire une chose pareil. « Ça ira ne t’inquiète pas. J’aime beaucoup en fait d’ailleurs. Ça te ressemble. Mais du coup… mon cadeau fait un peu hors sujet ». Il lui tendit la boutonnière qu’il tenait toujours dans sa main et qu’elle aurait dût accrocher à son poignet. Si elle avait mis une robe comme toutes les autres filles ça aurait finit son costume mais là… Il lui adressa un sourire plein d’excuse, s’en voulant d’avoir pensé qu’elle était comme toutes les autres filles, ce qui était loin de la vérité. Jamais il n’en avait connu des comme elle auparavant. Il lui tendit son bras pour la conduire à l’intérieur de la grande salle mais alors qu’ils avançaient un couple leurs coupa la route et passa juste devant eux. Josh laissa échapper un léger soupir, un brin agaçé de cette manque de politesse alors que Karly semblait être au bord de la colère… « Tu les connais ? » demanda-t-il. Ce n’était pas le cas du jeune homme. La fille était très jolie et semblait tout droit sortit d’un magazine de mode et étrangement familière mais il ne leurs avait jamais parlé. Ni à elle, ni à lui. Contrairement à Karly bien qu’il l’ignorer… **************** William Alex Slayers Un sourire naquit sur les lèvres du jeune Slayers quand il aperçut la ravissante Lizbeth venir vers lui. Tout les regard était posé sur eux et on entendait plein de chuchotis « c’est pas la playwitch ? » « Par Merlin comme Slayers a fait pour dégoter une cavalière pareille ? » « C’est Lizbeth oh mon dieu c’est Lizbeth !!! » . Dire que William était fier était peu dire. Plus fier tu meurt ! Et en même temps il avait de quoi fanfaronner. Surtout que la jeune mannequin l’accueillit avec un câlin et un bisou sur la joue qui en laissa jaloux plus d’eux. « Comme prévue, je suis là. Tu ne croyais tout de même pas que je t’aurais abandonné pour cette soirée. » « Non j’avais confiance. Une fille aussi jolie que toi ce doit d’être avec un gars aussi que moi, non ? » Déclara-t-il avec malice. Elle prit son bras et ils se dirigèrent vers la grande salle mais William ne traça pas tout droit ayant une chose en tête. Il passa exprès juste devant Karly et son abrutis de cavalier, leurs coupant la route au moment même où ses deux là commencer à marcher. Un sourire jubilatoire sur les lèvres, le jeune homme rejoignit alors le lieu de fête. Il regarda ensuite Lizbeth avec intérêt. « J’adorerais danser avec toi. Tu veux bien… » Il lui tendit la main tel un gentleman, attendant qu’elle la saisisse. Ce soir il ne penserait qu’à elle il se l’était promis. Oublier ce qui s’était passer avec Kaka pendant les vacances. Oublier ses caresses. Il avait la chance d’être face à l’un des plus grand fantasme de beaucoup d’homme alors ce n’était pas le moment de tout gâcher avec des pensée diriger vers une fille qui n’en valait pas la peine ! Puis elle était heureuse avec son Jooooooosh non ? Alors qu’elle reste avec ! Lui il était déjà passé à autre chose et il ne la cherchait même pas discrètement des yeux. Enfin… | |
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Jesse K. Matthews
► MESSAGES : 130 Ven 13 Aoû - 21:56 |
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| Elle releva ses cheveux d'un geste, dévoilant sa nuque et son dos cintré dans le bustier de la robe. Indiana avait vraiment fait du bond boulot avec ses cheveux, quoique selon la poufsouffle, Jesse avait des cheveux magnifiques. Elle attendit un petit instant, regardant de chaque côté sans trop oser rien dire mais curieusement elle n'avait pas l'impression que Will ait toucher aux agraffes vu qu'elle étouffait toujours autant.
« T’es sure Jesse ? T’a pas peur que ce soit trop provoquant après ? »
Jesse déglutit, déjà pas très à l'aise à la base dans cette tenue mais alors là. Enfin elle avait déjà réfléchi à la question.
« Non t'inquiète avec mes cheveux on verra rien du tout. Dégrafe juste les deux premières. »
Elle attendait donc. Puis Dean passa en rigolant, lui tendant un verre. A ce moment Jesse se dit que c'était le gars le plus gentil du monde. La question d'après fut: depuis quand avait-elle ce genre de pensée? Elle devrait sûrement ralentir sur les cocktails du gryffondor, n'ayant jamais trop éprouvé sa propre résistance à l'alcool. Enfin en règle général, Jesse tenait bien aux jeux de mecs. Mais elle n'était pas fan de beuverie même si elle avait parfois partagé une bière sur la plage avec ses meilleurs amis, Trent et Charly. Et puis ce soir, elle voulait faire les choses bien, comme une vraie fille et pas comme un garçon manqué. Juste pour voir cette petite lueur dans le regard de Will qui lui plaisait bien à elle. | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Dim 15 Aoû - 15:32 |
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| Ce qu’il était en mauvaise position. Maëlan, Avril, Jude, Indiana et les autres… Ils s’aimaient tous. Adonis était toujours en dehors de ce groupe, même si personne ne se rendait compte qu’il haïssait Avril que pour une raison que personne n’aurait pu trouvé, sauf peut-être sa famille qui connaissait le comportement étrange du Serdaigle. Il brûlait d’amour pour cette jeune femme qui n’était pas sienne. Elle avait eu l’audace d’exister et le faire devenir fou autant que son frère devenait fou auprès d’elle. Il était jaloux dans les deux sens que son frère ait celle qu’il voulait, mais aussi qu’elle ait l’attention de son frère à lui. Jaloux ? Un tantinet. Le jeune homme était entré au bal avec une seule envie de faire tomber les masques. Il voulait la voir perdre la face devant tout le monde. Juste une vengeance bien méritée. C’était ce qu’il croyait. Il avait monté sur une chaise toujours aussi fière comme un coq qu’à l’habitude. Il était bien haut dans les airs n’étant pas petit dès le départ. Adonis cria pour que tous ceux auprès de lui le regarde. Il était important, même s’il voyait les regards exaspérés des gens qui le connaissaient. Ils pensaient tous qu’il voulait l’attention. Il se foutait de ses regards. Il voulait qu’un regard braquer sur lui. Il voulait le regard si beau, si bleu et si magnifique d’Avril. Le serdaigle ne pouvait rien faire devant son regard, même apeuré. Car oui, il l’avait repéré après le commencement de son discoure, après être tombé de la chaise que quelqu’un avait regrettablement fait basculer. Saleté ! Cette personne n’allait pas réussir à le désarçonner pour si peu. Il était tombé sur un groupe d’élève. Il ne s’excusa même pas en se relevant ayant envie de faire tomber toutes les étoiles dans les yeux d’Avril. Il s’était relevé, mais il n’avait jamais pensé que la bande allait arriver aussi vite devant lui. Il regardait la petite Indiana se planter devant lui. Il fronça les sourcils devant ses airs. Merde, mais de quoi se mêlait-elle à la fin ? Il la tassa d’une main pour lui faire comprendre qu’elle l’énervait plus qu’autres choses. « Adonis Xercès Dashwood ! Tu es fier de toi j’espère !?! Comment tu peux être aussi bête ?! » Il se retourna un instant à la dévisageant. « Vie dans ton monde, mais le mien est différent. Indi’. De quoi tu te mêles ? Va retrouver ton cavalier… » des ordres que des ordres. Il aurait pu être encore plus méchant, mais il s’était retenu. Il se retrouva bientôt face à Jude. Lui, aussi. Bordel. Elle était si importante pour eux. « J'espère que t'as rien. T'as vraiment dépassé les bornes. J'espère que tu peux nous expliquer, et t'excuser. » Adonis hocha de la tête. « Mais merde. Laissez-moi vivre. Mêlez-vous de vos affaires. » Il poussa un peu Jude pour qu’il cesse d’être devant lui croisant le regard d’Avril, mais aussi il vit que monsieur-les-gros-bras, Maëlan arrivait vers lui avec cette air menaçant. Merde. Il fallait dire avant qu’il se fasse casser en mille miettes. « Qu’est ce qu’il t’as prit enfoiré ?! » Il regarda son frère et arqua un sourcil. En se faisant prendre par le col et coller contre le mur. Ça lui coupa le souffle sur le coup. «Ce qu’il m’a pris… ce qu’il m’a pris. » Il fit un sourire. Il bougea son bras sortant sa baguette d'une des poches. « Recule Maëlan... sinon... oh et puis merde.. quoi » Il fit un sort sans parler ce qui repoussa doucement son frère parmi les gens qu'il avait déjà repoussé. Il se dirigea très rapidement vers Avril avant que Maëlan ne revienne à la charge. « Ce qu’il me prend c’est qu’Avril raconte n’importe quoi sur sa vie. Ne disant pas la vérité sur le fait qu’elle est une orpheline, mais… » Il fit un petit sourire forcé qui allait droit pour Avril. « Mais je l’aime malgré ses défauts. Je ne comprend toujours pas pourquoi elle a honte d’avouer ce qu’elle est. Ça fait d’elle une personne plus forte de n’avoir eu personne pour elle. Mais moi, je suis là pour elle, même si elle ne remarque pas que je suis fou d’elle… Elle m’ignore. » Il se sentit agripper tout d’un coup sachant que ça sera sa fête. « Je t'aime Avril... » lâcha-t-il. | |
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Keith WhiteleySORCIER.► décédé.
► MESSAGES : 236 Dim 15 Aoû - 19:58 |
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| Il la regarde changer de visage, comme de loin, un de ses anges qui se perche un temps sur votre épaule avant de s'envoler. Mais Keith n'est pas un ange, et Mascha non plus. Il est patient mais pas sans une certaine limite car après tout, n'est-il pas humain et faillible lui aussi? Alors le ton monte:
« J'ai entendu Mascha et j'ai répondu... »
Mais elle ne le laissa guère achever sa phrase, le repoussant avec toute la vivacité dont elle faisait toujours preuve. Étrange comme il parvenait à ne pas exploser avec elle. Mais il ne se laisse pas repousser si facilement. Pourtant, il s'écarte, puisqu'elle a besoin de distance pour exploser comme elle veut. La colère, ce défaut qu'ils partagent en étant si différents l'un de l'autre quand ils sont sous son empire...
« Tu ne peux aimer que ton Dieu de merde de toute façon! Et oui je blasphème, mais je m'en fous! Il peut bien me foudroyer ce fils de pute, je m'en fous! Ca ne fera pas mal du tout. Tu sais, tout le monde croit que je peux pas avoir mal, mais bordel comme j'ai mal, comme tu me fais mal! Dégages, Dégages, va t'en, ne m'approche plus! Je pourrais pas supporter même de partager ton cœur avec Dieu, ce fils de pute. Je préfère ne pas y être du tout. Je ne veux même pas de ta gentillesse, tu peux la bouffer la ravaler, et la donner à la première fille qui passe, comme t'as fait avec moi... »
Le visage de Keith se ferme. Comment ose-t-elle? En quelques mots seulement elle a rallumé le feu de colère en lui et s'il ne dit rien et la laisse terminer ce n'est pas bon signe. Oh oui ça il est doux, il est gentil Keith sous son petit crucifix. Mais il n'est pas que ça. Il donna un grand coup contre la porte qui claqua douloureusement. Bordel. Mieux valait ça que de la frapper elle.
« Tu te conduis exactement comme une sale gamine capricieuse Mascha Lulla Sasnauskas! », siffla-t-il. Un mauvais regard suivi, le genre qui vous prend à la gorge et vous étouffe,« Qui t'as parlé de Dieu jusque là? Pas moi que je sache, sauf peut-être cette nuit dont tu ne te rappelles même plus! Je te fais mal? »
Et il ne mentait pas, pour mauvais vaticanais qu'il était, mais bon croyant, Keith ne criait jamais au païen ni ne déclamait de psaume à la gloire du Très-Haut. Il ne le priait que rarement et si dans son coeur il lui réservait une place de choix, il aurait été difficile de décrire en Keith un dévot fou de Dieu dont il ne jouait pas le rôle. Seul témoin implacable de sa foi, un petit crucifix dont il ne se séparait même pas maintenant qu'il était excommunié. Prenant visiblement sur lui il poursuivit:
« Moi je te fais mal? Laisse moi rire. », il eut un rire cynique qui l'aurait fait couronner roi de Serpentard, « Tu sais je ne suis vraiment pas porté sur le blasphème mais si c'est pour en plus t'écouter me jeter à la gueule que je ne t'ai pas fait une place dans mon coeur, alors que j'ai été là chaque fois que tu as eu besoin de moi et que je ne t'ai même rien reprocher quand tu m'as jeter à la gueule ne même pas te souvenir avoir fait l'amour avec moi... tu es arrogante et égoïste Mascha, mais jalouse de tout et n'importe quoi je le découvre. Si je t'ai donné une raison de te plaindre de moi et bien vas-y, c'est le moment de la balancer! Tu t'étonnes que je ne réponde pas à tes je t'aime aussi chaudement que tu l'imaginais? Moi pas. Je sais comment tu fonctionnes. Je ne dis pas que tu ne le penses pas, tout ce que je dis c'est que je n'en suis pas certain et que pour ma part, si je t'aime et c'est vraiment le cas, je préfère attendre que tu me donnes une seule bonne raison de te faire confiance. Dis moi la vérité, tu es enceinte ou tu ne l'es pas? »
Il était sérieux et ruminer sa colère pour ne pas tout lui mettre dans la gueule. C'était vrai, il doutait parfois. Comment ne pas douter? Il avait été là pour elle, sans faute. Toujours. Mais elle? Elle avait pu si innocemment froisser le coeur d'un jeune prêtre amoureux, si elle n'avait pas été là quand il était perdu dans les ténèbres dont Metatron avait fait son châtiment... alors quand est-ce qu'elle serait là aussi pour lui? Si elle n'était pas capable de le regarder dans les yeux et de lui dire la vérité, l'évidence même... alors est-ce que ça valait la peine de se laisser souffrir? Matthi avait été là lui, parce que c'était son ami, son frère. Parce qu'il y avait entre eux un lien solide qui ne marchait pas à sens unique.
Alors il regardait Mascha. Grand et solide face à elle qui ne l'était que trop rarement. Oh, ça ne l'avait jamais dérangé, il y avait tant d'autre façon de donner en retour.
« Si tu n'arrives pas à me détester c'est sans doute que je ne le mérite pas... », conclut-il toujours aussi froid.
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Dim 15 Aoû - 20:50 |
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| En moins d'une seconde, elle vit son prince d'un soir lui échapper. Il n'avait fallu qu'une seconde, celle où Adonis avait volé l'attention de tous, y compris la sienne. Une seconde pour que Maël ne réagisse. Une seconde qui, quand elle aurait le temps d'y repenser, lui ferait comprendre tout ce que le beau Serpentard avait pris d'importance dans sa vie.
« Qu’est ce qu’il t’as prit enfoiré ?! » « Maël! Maël non! »
Qu'une seconde encore pour qu'elle comprenne qu'elle ne devait pas laisser faire ça. Elle arrivait sur Maël, dans cette famille qui n'était pas la sienne mais qu'elle aimait tout comme, au moment où Adonis rencontrait le mur violemment. La jolie Adler, loin de la venimeuse Lucifer qu'elle était aussi, posait ses mains frêles sur le bras de son cavalier. Elle n'avait pas peur. Oh elle connaissait Maëlan violent quoique ce ne fut jamais envers elle, mais elle avait confiance en lui et, comme il la protégeait plus qu'ouvertement, pour la première fois peut-être, elle savait aussi bien qu'il ne lui ferait jamais de mal. Pas de cette manière en tout cas. En revanche en voyant Adonis sortir sa baguette, elle eut réellement peur. C'était que des quatre Dashwood, Adonis était celui qu'elle connaissait le moins. Celui qui l'avait toujours rejetée sans qu'elle ne s'en formalise vraiment mais qui en plus, avait cherché par tous les moyens à la persécuter et à faire de sa vie un enfer. Et pour ça, elle se méfierait toujours d'Adonis Dashwood. Son regard vacilla, elle le regardait jurant en silence qu'elle n'avait rien dit de leur dernière conversation. Comme pour apaiser le démon Adonis en lui assurant qu'il avait toujours sur elle l'emprise qu'il avait mit tant de temps à lui imposer. Oui Avril Adler avait été tenue en échec, une fois, une seule. Par lui.
Elle recula d'un pas comme il s'approchait d'elle après avoir écarté Maël sans lui faire de mal. C'était tout ce qu'elle demandait, mais, si elle relevait fièrement la tête, prétendant tenir le coup, les mots la cinglaient et la saignaient:
« Ce qu’il me prend c’est qu’Avril raconte n’importe quoi sur sa vie. Ne disant pas la vérité sur le fait qu’elle est une orpheline, mais… »
Le sourire étrange d'Adonis la fit trembler. Pourquoi prenait-il tant de temps pour asséner le coup de grâce? Elle voulait bien être courageuse, prendre les coups la tête haute mais là...
« Mais quoi Adonis? Qu'on en finisse vite s'il te plait... » « Mais je l’aime malgré ses défauts. Je ne comprend toujours pas pourquoi elle a honte d’avouer ce qu’elle est. Ça fait d’elle une personne plus forte de n’avoir eu personne pour elle. Mais moi, je suis là pour elle, même si elle ne remarque pas que je suis fou d’elle… Elle m’ignore. » « Quoi...? »
La voix lui manquait et elle fronçait les sourcils sans même s'en rendre compte. L'incompréhension. Que racontait-il? Qu'est-ce que c'était encore que ce stratagème? Une nouvelle idée pour la briser? Que cherchait-il? Pourtant à le regarder, on aurait cru qu'il était sincèrement...
« Je t'aime Avril... » « Tu m'aimes?... », répéta-t-elle incrédule, mais sans méchanceté, elle était bien trop choquée pour ça, et de toute manière, Avril n'était pas assez foncièrement méchante pour ça, « Non... non c'est faux, tu... tu me détestes, tu m'as toujours détesté, et persécuté... »
Un regard perdu vers Indiana, Jude et enfin Maël, son Maël quoiqu'elle n'ait rien dit ouvertement. Mais elle n'eut pas le temps d'ajouter grand chose puisque...
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Erin Warren
► MESSAGES : 215 Lun 16 Aoû - 13:23 |
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| [j’ai un peu fait avancer l’action, j’espère que ça ira…] Le bal d’Avril… Meghan s’était surprise à attendre se moment comme n’importe quelque autre jeune fille y assistant. Elle n’était commune en rien à toutes les autres et formait avec Heath un couple pour la soirée qui en surprenait plus d’eux mais elle était loin de s’en soucier. Son intense regard noir posait sur le jeune homme qui lui tendait élégamment la main pour l’inviter à danser, elle esquiva un demi sourire, ravie par son invitation qu’elle ne désirait nullement refuser. « Formuler de la sorte il serait bien malpoli de ma part de refuser. »Elle accepta sa main alors qu’ils regagnaient la piste où par principe on s’écarta sur leurs passages comme si on craignait de les approcher de trop prêt. La princesse des flammes dans sa ravissante robe rouge était plus superbe que jamais, montrant bien aux autres sa grâce et sa suprématie sans faire grand-chose pour au final. Heath n’avait sûrement pas idée de la chance qu’il avait de l’avoir à son bras. Nombreux était ceux qui avait essayait de l’approcher et s’y était brûler. Mais pas lui. Nombreux se questionner sur la différence entre le commun des mortels et ce jeune homme qui semblait bien trop prétentieux et fier pour ne point s’attiré jalousie. La main du Serpentard se glissa dans la sienne alors que l’autre se porta sur ses hanches. Un frisson la parcouru qui eut pour effet d’éteindre un des chandeliers près d’eux, seul témoin de l’effet que sentir ses mains sur elle lui fit. Les siennes se posèrent autour de son cou, exactement où elle aurait pût les posé si l’envie de l’étrangler lui aurait prit. Elle ne désirait néanmoins nullement lui faire de mal. Ce genre de pensée traverser seulement son esprit de temps à autre sans qu’elle cherche à les provoquer comme un rappel à se qu’elle était. Fille de Satan et du mal… Ils firent quelque pas de danse où la belle italienne s’en sortit à merveille. Dès son jeune âge elle avait appris cet art sous les ordres de sa mère qui désirait en faire une femme du monde que tout le monde chérirait comme une vrai Lady. Mme Chase était alors loin de se douter que ses projets échoueraient à cause de la nature profonde de sa fille et sa capacité à effrayer les autres au lieu de s’en faire des alliés. Mais peu importe, aujourd’hui son éducation s’avérait bien utile et elle était fière d’être une danseuse convenable par fierté. « Heath… J’aimerais que tu me fasse un aveux » articula-t-elle en continuant de danser. « Etait-ce ainsi que tu imaginait notre soirée ou avait-tu seulement prémédité la déception de Kaprice ? »Elle ne redoutait pas sa colère. Elle ne redouter la colère de personne et encore moins une personne elle-même. Le feu ne redoute jamais rien. Tout comme elle. Le chandelier derrière eux c’était toutefois rallumer comme pour la protéger en cas de débordement ou de geste mal placé. La belle italienne se fichait bien de la rouge et or mais désirait savoir par un moyen certes détourné s’il avait pensé au soir du bal où il serait à ses cotés comme elle y avait songé malgré sa fierté. Parce qu’il est vrai que cette soirée elle se l’était elle-même imaginé sans comprendre ses réel motivation. Ce n’était qu’un bal comme Poudlard savait si bien en donné et dont elle s’était toujours désintéressé et pourtant ses songes l’avait surprise à être hanté par ce jeune homme qui ne s’effrayer point d’elle contrairement aux autres… | |
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InvitéInvité
Lun 16 Aoû - 13:41 |
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| Des oiseaux chanter dans la tête de Raven et des étoiles tourner devant ses yeux alors qu’elle riait au éclats et balancer sa tête de gauche à droite pour bouger sur la musique. Vêtue d’une robe à froufrou blanche elle n’était pas vraiment dans le thème mais ne semblait pas réellement s’en soucier. Elle était dans son monde, se disant encore vaguement qu’elle n’aurait pas dût boire toute cette bouteille de vodka et qu’elle allait gagner une convocation pour le bureau de Melle Grey, bien que son esprit commençait à être trop embrumé pour réfléchir. Elle était heureuse ou du moins semblait l’être. Une joie éphémère et superficielle pouvait se lire sur son visage mais qui disparaitrait surement quand l’alcool dans ses veines aurait disparu. Peu importe pour l’heure elle ne désirait que s’amusait et avait déjà commencé à le faire en se mettant tout simplement à rire. Maddalena l’attendait sûrement déjà dans la grande salle et elle grimaçait à l’avance en imaginant le savon qu’elle allait lui passer quand à son états et à l’attente qu’elle lui avait infligé. Ce fût peut-être la raison qui la poussa à ne pas chercher la brunette des yeux mais plutôt à se diriger vers une petite rousse qu’elle connaissait bien. « Hey Gaelleeeee » fit-elle avec un enthousiasme qui laissait deviner le fait qu’elle n’était pas dans son état normal. Fermant les yeux elle agita de nouveau la tête pour sentir la musique la pénétrait de son être pour citer ses propres pensée alors qu’un bras se poser sur son épaule… | |
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Lun 16 Aoû - 19:31 |
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| « Non t'inquiète avec mes cheveux on verra rien du tout. Dégrafe juste les deux premières. »
Il ne verra rien du tout mais devinera ce qui se trouve sous les cheveux de sa copine ce qui en somme était peut-être pire pour lui. La comparaison était peut-être exagéré mais elle avait était nu dans un lit et seulement recouverte d’un drap. L’idée qu’il lui suffisait seulement de lever le drap ou dans le cas présent les cheveux pour apercevoir le magnifique corps de Jes… Bon allez on se calme Will. On se calme ! Il dégrafa alors sa robe en déglutissant avec peine et ne quittant pas des yeux les agrafes qu’il mourrait d’envie de toute défaire avant de faire face à Jesse.
« Bouge pas j’vais chercher à boire » dit-il avec un sourire rassurant.
Bouge pas ? Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce qu’il avait vraiment besoin de se refroidir mais pas à cause de la chaleur ambiante et ce n’était pas en restant à ses côtés que ça allait l’aider. Puis de toute façon il voyait déjà Dean, un rouge et or qu’il pensait qu’elle appréciait, la rejoindre. Bon il tenait dans sa main des verres dont un qu’il tendit à Jesse et n’avait donc plus de raison de se rendre au buffet mais peu importe. Il fit comme si de rien n’était et n’avait rien vu et traça jusqu’au rafraichissement. Il attrapa alors des glaçons et le fit glisser à l’intérieur de son pantalon alors qu’une fille le regardait avec un air outré comme s’il avait était le pire pervers de l’univers.
« Bin quoi ?! C’est pas parce que t’exite pas ton cavalier que c’est le cas pour tout le monde ! »
Vexer, la demoiselle s’en alla, bien droite et la tête bien haute pour souligner ses airs de Lady. William poussa un léger soupir. Oh peu importe. Qu’est-ce que certaine fille pouvait être coincé parfois ! J’vous jure ! Enfin bref, il avala un verre de Beurraubieurre – il l’avait corsé non ? – et rejoignit sa belle cette fois un brin plus serein. Cette fois il en était certain, elle lui ferait moins d’effet. Enfin…
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Jesse K. Matthews
► MESSAGES : 130 Lun 16 Aoû - 20:15 |
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| Les deux agrafes sautèrent et Jesse se sentit respirer à nouveau. Elle se fit là une réflexion, une seule: penser à se lancer dans une carrière de plongeuse en apnée. L'alcool sans doute. Remarquons que pas une fois elle ne se dit que peut-être William avait des pensées un peu plus abouties que les siennes. D'ailleurs quand il lui dit de l'attendre cinq minutes, elle ne se fit pas prier. Et puis Dean arriva tout de suite pour détourner son attention, ce qui lui évita de voir Will se mettre des glaçons dans le pantalon. Une chance...
« Mh... Dean? Juste par curiosité t'as mis quoi là dedans? », demanda-t-elle un peu refroidie par le brûlant de l'alcool sur sa langue. « Ben... alors du bacardi, un petit peu de jet et du whisky. Et puis un peu de canelle et de sirop d'orgeat. Tu aimes? » « ... carrément! C'est TROP BON! »
Inutile de dire qu'à ce stade et après deux cocktails de Dean, le troisième venait de l'achever. Jesse n'était plus très ... opérationnelle. Aussi elle se retourna avec un immense sourire en voyant Will revenir. Elle le trouvait tellement... parfaaaaaaaaaaaaaaaaaaaait. Un petit rire lui échappa sans raison particulière et la rouge et or avait des étoiles pleins les yeux et les pupilles un peu dilatées. Un peu comme toutes les filles saoules ou alors comme toutes les filles qui ont très très envie de... enfin bon.
« Tu sais quoi! Je respire... mais par contre j'ai un petit peu peur de perdre ma robe... », expliqua-t-elle en riant.
Puis elle passa ses bras autour de son cou et se hissa sur la pointe des pieds pour l'embrasser. Elle passait une super soirée. Puis elle s'écarta un peu et pour absolument aucune raison, elle le regarda de la tête au pied et puis se mit à pouffer, ce qui ne lui ressemblait pas du tout:
« Oh non Will! T'as fait pipi... »
Et Jesse de se tordre de rire. Croyez vous qu'elle aurait été dégoûtée? Non, beaucoup trop éméchée pour ça. | |
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InvitéInvité
Lun 16 Aoû - 20:30 |
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| Après avoir échangé quelques mots avec son Nounours, Maddalena part déjà à l’affut d’une nouvelle personne, comme d’habitude… Et finalement, elle ne trouve personne. Un moment d’anxiété la traverse… C’était sa moustache qui faisait fuir les personnes ou bien ? Avec un petit soupir négligé, la Gryffonne se dirige déjà vers l’un des nombreux balcons et s’accoude dessus en observant les étoiles. Jolies étoiles. Et de sa poche, la jolie brune sort une cigarette qui fait rire, avant de l’allumer. Ca se fume, lentement, avec un air de Reggae en fond dans sa tête. Et finalement elle perd son esprit, et elle sourit bêtement. Avant de coincé le cul du joint entre son index et son majeur puis de fermer son poing et de poser ses lèvre sur l’ouverture de sa main et d’aspirer avec force la fumée. Elle l’a laissa repartir lentement entre ses lèvres. La fumée qui s’échappe. Avant de recommencer plusieurs fois.
Puis elle se tourne vers la salle de bal et entre à nouveau. Maddalena laisse ses yeux perçant se balader sur la foule et elle aperçoit des cheveux blonds qu’elle connait plutôt bien. Raven. Elle marche rapidement alors vers elle et se rend compte qu’elle a déjà accosté une jeune fille rousse. La brune soupire. Avec son petit bout de terre dans le crâne, Maddie se sent invisible et en deux secondes elle se transforme en super-Maddie. Elle s’approche de la jolie jeune fille et glisse son bras sur ses épaules avant de pencher son petit air mutin vers Raven. Ses yeux rouges laissent à prévoir le spliff qu’elle a prit avant. « Bonsoir ma belle… » Elle fronce les sourcils et sourit avant de laisser un petit rire cristallin s’échapper. « Tu sens fort la Russie. »
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Gaëlle LlelwellynETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 286 Lun 16 Aoû - 21:51 |
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| Gaëlle se faisait chier, mais chier ! Cela faisait un bon moment qu'elle ne s'était pas fait chier comme ça. On pouvait même dire qu'elle se faisait royalement chier même. Depuis qu'elle avait planté Tao et son Harrisson devant la scène, à danser l'un contre l'autre, elle, se morfondait dans un coin à siroter des verres qu'un petit groupe de fêtard lui refilait. Mhh, elle aurait du prévoir le coup, laisser Tao y aller seule et inviter quelqu'un d'autre au final... Oui mais voilà, Tao étant malchanceuse par essence et sortilège, on ne pouvait pas raisonnablement prévoir que c'est son petit ami qui serait sur scène quand même ! A croire que finalement elle la lui refilait sa poisse. Elle commençait à avoir la tête qui tournait légèrement aussi, mince y avait quoi dans ces verres ? Et puis il faisait chaud ici, c'était intenable ! Heureusement qu'il y avait des glaçons pour se rafraichir les idées... Affalée sur une chaise à se passer un glaçon sur le front, les joues rouges, n'était pas vraiment l'idée qu'elle s'était faite d'une super soirée de folie à danser, rire et faire la fête. Peut être le moment d'arrêter les frais et de rentrer se coucher...
Raven - Gaeeeeeeelle !
Comment accueillir quelqu'un qui vous tombe dessus sans crier gare et sans tenir debout, lorsque vous êtes assise en équilibre sur une chaise, un verre à la main et un glaçon dans l'autre ? Démonstration ! La jolie blonde s'approche en titubant, annonçant son arrivée d'un joyeux "Gaeeeeeeelle !" avant de trébucher sur quelque chose, de perdre l'équilibre et de s'affaler sur la dénommée Gaëlle. Gaëlle qui de surprise laisse s'échapper son glaçon dans son décolleté, provoquant l'envol subit d'un verre plein, une réception de jolie blonde dans les bras avec un air crispé avant de basculer toute les deux en arrière dans un bruit fracassant de chaise brisée. Aïe.
Gaëlle - Bonchoir toah !', signa-t-elle frénétiquement en essayant de déloger l'indélicat morceau de glace de son corsage. C'est froid ! C'est gelé ! C'est glacé ! C'est atroce ! Ça fond... Prenant appui sur Raven pour se relever avant de l'y aider à son tour, la petite rousse profite un peu de l'instant pour se rapprocher d'elle, passant ses bras autour de sa taille. Finalement, peut être qu'elle allait rester un peu... Gaëlle la dévisage d'un air mutin et gourmand bien décidée à lui dire bonjour de manière plus appropriée... Pour voir une tête brune aux yeux rouges poussée soudainement sur les épaules de Raven.
Maddie - Bonsoir ma belle… Tu sens fort la Russie.
Ah non ! Pas ça ! Pas elle ! Mais qu'est-ce qu'elle fichait là celle là ? La rouquine se mit à froncer des sourcils en dévisageant la nouvelle venue, hé, c'était quoi ces manières ? Elle était là, muette mais pas invisible ! Elle pourrait au moins arrêté de la snober sans arrêt. | |
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InvitéInvité
Mar 17 Aoû - 15:25 |
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| c'est miteux d'soléeIl n'avait pas imaginé la soirée ainsi, absolument pas. Si les mots prononcés sur le terrain de quidditch, en toute intimité, avait trotté dans sa tête, jamais il n'avait pensé qu'ils feraient cet effet sur Kaprice. Autant avouer qu'en réalité, il n'avait pas imaginé l'ombre d'un instant que la rouge et or y verrait une invitation ou quelque chose de la sorte. Certes, avec de la réflexion, il réalisait bien qu'il s'y était mal prit, mais comprenez-le, il avait déjà invité Meghan à ce moment là, du moins il avait fait déjà sous-entendre qu'il viendrait en sa compagnie et comme les autres s'étaient moqués de lui, pensant que jamais elle n'accepterait sa compagnie, Heath avait décidé de le faire. Alors, homme de parole, il s'était tenu à sa parole; aller au bal en compagnie de Meghan. Même si au fond, il aurait nettement préféré quelqu'un d'autre, histoire de faire avancer les choses.. De se décider. Grande étape de sa vie; décider. Faire des choix. C'était exaspérant de passer automatiquement par là pour obtenir ce qu'on voulait au fond de soi. Et malheureusement, cela impliquer de changer certaines choses et très franchement, le serpentard ne se pensait peut être pas près aux changements. C'était bien connu, il avait du mal à s'habituer à de nouvelles habitudes, de nouveaux objectifs. Il lui fallait une certaine ligne de vie, sans embuches et le menant droit au but. Halte là les obstacles, il en avait eu beaucoup trop dans sa vie, il n'en voulait plus.. Malheureusement, il semblait y être abonné, puisqu'il ne cessait de se créer des problèmes de lui-même. Heath .. Espèce d'idiot, se lança-t-il silencieusement alors que ses mains se posaient sur les hanches d'une autre. Son regard se posa sur la chevelure ébène de sa cavalière, et il respira son odeur alors que Meghan passait ses bras autour de son cou. Un couple parfait du point de vue extérieur, mais trop discordant du point de vue intérieur. Si Meghan ne laissait pas Heath indifférent, avouons qu'elle était très charmante, elle était tout de même bien trop "inflammable" à son goût. D'ailleurs, la flamme qui s'était doucement éteinte à leur contact reprit de plus belle quand la djinn sembla reprendre ses esprits. En revanche, ce fut au tour d'Heath de perdre légèrement les siens. Surtout à sa question. Que pouvait il y répondre ? La vérité ? « Je ne pensais pas que Kaprice viendrait.. » dit il le plus sincèrement possible. « Rien n'était calculé. » ajouta-t-il avec une pointe de tristesse dans le regard, vite camouflée par un sourire. Inspirant un grand coup, il se recula légèrement avant de se frotter le visage, comme lorsqu'il réfléchissait. Il eut seulement le temps de relever la tête, en entendant l'un des Dashwood menacer Avril de quelque révélation, que ce-dernier - Adonis - était à terre, encerclé de la fratrie. Tant mieux, il ne voulait pas transformer la fête en deuil. Il serra les poings, et remarqua Kaprice qui se mouvait dans la foule puis .. La perdit de vue. Heath respira un moment puis baissa le regard sur Meghan, comme si rien ne venait de se passer. « Tu as soif ? Moi oui ! Je vais nous chercher à boire attends moi là, ou amuses toi, je pense que tu n'as pas vraiment besoin de moi pour trouver un moyen de te distraire.. » murmura-t-il, non loin de l'oreille de sa cavalière pour finalement tourner les talons et se rendre près des tables où se trouvaient de quoi se désaltérer. Il chercha un passage entre la foule et, préférant attendre qu'il y ait un peu moins de monde, Heath s'approcha de la porte de la grande salle pour s'appuyer contre une fenêtre, l'ouvrir et sortir un paquet de cigarette; meilleur moyen pour déstresser.. Bien que le goût de la clope ne fit qu'accentuer l'amertume qu'il ressentait pour avoir agit ainsi, surtout envers Kaprice.. | |
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Matthias J. de SalamineMAGISTER. ► ès HDLM.
► MESSAGES : 171 Lun 23 Aoû - 16:00 |
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« Je suppose que tu as tout du parfait meilleur ami alors. »
Matthias la regarda, et resta silencieux un instant. Il n'était pas un bon ami. Un bon ami, proche, d'enfance, un frère pour vous, ne tombe pas amoureux de vous, ne désire pas vous tuer pour vous garder tout contre soit, uniquement pour soit. Un bon ami n'a pas le droit de jalouser votre bonheur, et encore moins votre vie de couple, et encore moins... il n'a pas le droit de vous juger. Un bon ami ferme les yeux, même quand vous tombez. Il ne doit être là que pour vous relevez, pour moucher vos larmes. Matthias et Keith sont Mika'il et Elemiah. Indestructibles ensemble. Ensemble pour toujours. Mais Mika'il et Elemiah n'étaient pas des êtres assez vils pour se perdre dans des amours futiles et stériles. Le mieux pour Matthias aurait été de tomber amoureux d'une jeune vierge, toute droit sortit du couvent, de l'avoir marier, puis déflorer la nuit d'après, et d'avoir eut des enfants tout au long de sa vie, d'avoir travailler honnêtement aussi. Mais tout ça, tout ça, ça n'était pas pour lui. Ophale la sorcière le lui avait dit : il mourait avant ses quarante ans, il aurait une vie désastreuse et tumultueuse, avec des problèmes qui s'accumulent et s'accumulent encore. Il faudrait qu'il change, qu'il extériorise s'il voulait s'en sortir et vivre un minimum en paix. Mais Matthias n'allait pas changé. On ne changeait pas un homme comme lui. Il soupira finalement, dans un murmure qui passa inaperçu, comme Jewel fixait déjà le couple que formait Keith et Mascha :
« J'essaye de faire au mieux... » « Je serais lui, je me reculerais… »
Le regard de Matthias se pose sur Keith, sur sa figure. Un instant, ses yeux le fixent si intensément qu'on croirait y lire une petite passion interdite, de celle dont les écrivains se servent pour écrire des tragédies, que l'on assassine au théâtre de la cruauté. Mais ce n'est pas une pièce, ni un film que l'on tourne, et cette passion ardente, qui dévore l'ange aux cheveux blonds, cette passion là est bien réelle, et là, elle est blessée comme elle observe le bal amoureux d'une cendrillon et du prince qui ne comprends rien. Matthias ferme les yeux comme elle vomit. C'est une mascarade. Un déluge de rire, mais pas pour la même chose, juste pour la chute idiote d'un autre imbécile. Un autre acteur qui s'ajoute, s'agglutine, en un tout rocambolesque. Lui n'a pas le coeur à jouer, et son masque s'effrite à la lumière des yeux de Jewel. Il est digne dans la douleur pourtant, comme un ange souffre de voir les hommes se déchiraient. Lui, il n'est pas un ange. Il n'est qu'un humain, sous l'oeil d'un ange oui, et quel ange... Le plus grand et le plus beau, aux ailes magnifiques, même tâchées de noires. Matthias détourne le regard, comme Mascha et Keith disparaissent. Il n'y a plus de musique, ça change d'ambiance. Qu'importe. Matthias repose son regard sur Jewel, et s'en détache délicatement, comme le prince d'Islande qu'il incarne, dans son costume antique. Il fait une légère révérence, et souffle, d'un ton qui aimerait être solennel quand il n'est que froid et grinçant :
« Cette soirée en votre compagnie fut fort agréable, mais il va de soit qu'à cette heure, je vois m'effacer, et vous laissez à de meilleurs bras. Encore merci. »
Il recule, et part dans la direction de Keith. Son instinct le guide. Il veut savoir. Il veut voir, entendre. Il s'en fout si ça fait mal. Tout ce qu'il désire, c'est... c'est... Non. C'est trop dur. Un moment, il s'arrête dans le couloir et entends des hurlements de femme. C'est Mascha qui hurle, pas de douleur, mais de colère. Il avance, et il comprends de mieux en mieux les insanités. Dieu n'est pas un fils de pute, et Keith... Non. Cette fille n'a rien comprit. Dans l'obscurité du couloir, silencieux comme un serpent, il attends comme son sang chauffe quand elle blasphème sans avoir rien compris, sans avoir rien. Il avance un pas, mais s'arrête aussitôt. La voix tremblante de colère de Keith le surprends, mais le brise également. Il ne bouge pas dans le noir, et son âme se décompose lentement.
« Dis moi la vérité, tu es enceinte ou tu ne l'es pas? »
Une larme coule, sans qu'il ne la désire. Un enfant, c'est la promesse d'un mariage, d'un baptême, d'une vie. C'est … oh, non. Il pleurs en silence, mais les larmes hystériques coulent en fontaine sur ses joues, sans vouloir s'arrêter. Derrière les boucles blondes, il les essuie, tremblant de je-ne-sais-quoi, comme il ne sait pas pourquoi sa cage thoracique se secoue si violemment. Aucun bruit pourtant, rien. Juste... juste une puissante haine, un sentiment de trahison. Keith était quelqu'un de responsable. C'était quelqu'un de bien, aussi. Il tourne les talons. Y a Reynar qui le regarde, penche la tête. Ne parle pas... Pitié. Ne parle pas, ou Keith entendra.
« Bah, Matthi', ça va pas? Tu en fais une tête... »
Connard de norvégien ou de suèdois, il s'en fout. Matthias renifle, en colère à présent, et déguerpit en courant dans les escaliers. Qu'il reste avec elle. Qu'il l'engrosse encore. Qu'il fasse sa vie avec elle, qu'il rate sa vie avec elle. Il les déteste, tous, tous autant qu'ils sont. Reynar, lui, reste bête au milieu du couloir. Il cherchait juste les toilettes...
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Sholto ScrymgeourAGENT DU MINISTERE. ► Ministre de la Coopération Magique.
► MESSAGES : 100 Lun 23 Aoû - 18:39 |
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| Elle avait regardé Matthias plus que le drôle de couple que formaient Keith et Mascha. Il essayait certes d’être un bon ami pour le serpentard, mais quelque chose clochait dans sa manière de le regarder, de les regarder tout les deux… Keith et Mascha ensemble. Certes Jewel n’était pas ce qu’on pouvait appeler quelqu’un de sociable. Au contraire, elle aimait sa solitude et sa solitude l’aimait. Surement la plus grande histoire d’amour que la brunette pourrait avoir un jour. Mais elle savait étudier les autres et leur comportement, faisant cela à longueur de journée. La nature humaine était sa grande passion, et elle devait avouer ne pas en être en reste avec l’irlandais. Une petit quelque chose de bizarre dans son comportement, dans son regard… Un petit quelque chose qui ne pouvait pas échapper à la jeune femme. Son regard chocolat analysait ce jeune homme qui lui faisait face, tandis que son cerveau en imprimait tout les gestes, les sensations, les intonations de sa voix et les infimes changements d’expression de son visage. Elle ne savait pas encore ce qu’il se tramait dans la tête du serpentard, mais Jewel comptait bien le perçait au grand jour. Non pas pour pouvoir colporter une quelconque rumeur mesquine sur lui. Non, Jewel ne lançait jamais de rumeur tout comme elle n’en propageait pas des déjà existante. Non, c’était seulement pour elle, pour son désir de savoir la question que tout le monde se pose : Que se passe-t-il dans sa tête. Appeler cela de la curiosité, pour Jewel c’était une étude objective de l’être humain. La chanson se termina et Jewel sentit Matthias s’éloigner d’elle. En parfait gentleman, il prit congé d’elle, ce qui fit s’esquisser un léger sourire sur le visage de porcelaine de la serpentard.
« Cette soirée en votre compagnie fut fort agréable, mais il va de soit qu'à cette heure, je vois m'effacer, et vous laissez à de meilleurs bras. Encore merci. » « Merci à toi. »
La conversation s’en arrêta là. La serpentard le regardait partir. Elle n’était ni offusquée, ni triste, ni jalouse… Elle se contenta de le regarder s’éloigner, sur les mêmes traces que Keith et Mascha auparavant. Elle prit note, et attendit qu’il ne soit plus à portée de vue pour vraiment passer à quelque chose d’autre. Elle n’avait pas pensé que ce serait encore un garçon qui, profitant que Matthias soit parti, vienne créer la suite des événements. La serpentard aurait préféré attendre, appuyée contre un mur, de voir ce qu’allait donner le désastre Dashwood. Mais au lieu de cela c’est un grand brun qui vint lui tenir la jambe. Plutôt mignon, elle devait bien l’avouer, Gryffondor de son état, en couple, mais visiblement sa copine lui importait peu.
« Oh ton chevalier servant est parti Jewel ?! Comme c’est triste, tu aurais bien passé la nuit avec lui hein ? Mais je suis là moi ! »
Elle le toisa du regard et s’arrêta un simple instant sur la boisson (alcoolisée vu l’état de gaieté avancée du jeune homme). Jewel lui piqua son verre alors que lui souriait comme un con pensant que l’affaire était dans le sac. Elle, réfléchissait. Il était mignon, alors pourquoi pas ? Tout à fait son genre du moment même… Le fait qu’il soit en couple n’était pas un problème, ce n’en était jamais un pour Jewel. Mais sa réflexion n’alla pas plus loin que cela. Elle n’était déjà plus là quand son corps se raidit sans crier gare. Le verre tomba à terre sans qu’elle n’ait eut la chance d’y tremper ses lèvres.
« Jewel ? »
Elle n’entendit pas, tandis que son corps s’affala tout simplement sur le sol, rigide. Une crise d’épilepsie comme elle en avait déjà fait de nombreuses. Comme si c’était le bon moment, en plein milieu d’un bal. Surtout elle qui détestait que l’attention se focalise ne serait ce qu’une milliseconde sur elle…
« Oh putain de troll de merde. Jewel ! » | |
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Lizbeth T. SmithSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 111 Mer 25 Aoû - 2:31 |
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| Lizbeth devait avouer qu’elle avait qu’une seule envie de sauter sur le charmant jeune homme. Elle avait toujours aimé le sexe et l’alcool. Elle ne changera donc jamais. Pourtant, elle avait fait des conneries qui s’étaient répercutés sur sa vie de tous les jours. Elle avait un enfant qui était caché aux yeux de tous que pour qu’il ait une vie tout à fait normale. Il n’avait pas une vie normale complètement, car au fond, il était caché aux yeux de tous et sa mère ne se promenait jamais en compagnie de sa mère devant tout le monde. Elle disait que c’était pour son bien. Ce l’était quand même. La pauvre Lizbeth ne voulait pas que son fils soit pris dans un engrenage sans fin. Elle ne voulait pas que les gens soient amis avec lui parce qu’il était le fils d’une playwitch connu lorsqu’il sera assez grand pour comprendre le titre de sa mère ainsi que les autres garçons qui l’entouraient. Elle ne voulait pas voir des pères s’approcher de son fils et elle que pour la connaître un peu plus comme ils disaient. Elle ne voulait pas voir ses types approchés de son fils et d’elle. Elle tentait du mieux qu’elle pouvait lui faire vivre une vie paisible en compagnie d’un cercle intime. Peu de gens étaient au courant pour le petit Lukas. Il y avait bien sur Yon Winchester qui était le parrain de son fils. C’était tout de même étrange. Une aventure ? Un bébé. Une autre aventure ? Une longue amitié sincère. Décidemment, le sexe lui avait toujours fait des surprises. Bref, William était devant elle se dirigeant vers la grande salle. Elle semblait être une femme sortie tout droit d’un film d’adolescent. Elle s’accrochait au bras de William pensant que le contact lui faisait rappeler leur soirée passée ensemble. Arrêtez de penser qu’ils avaient couché ensemble… Mais non, ils ont juste pris de nombreuses photos très sexy. Pour tout dire, le concoure avait été pour les sorciers majeurs avec raison. Elle rentra dans la grande salle, elle voyait que les gens tournaient la tête vers elle sachant très bien qui elle était. On aurait pu dire que William était sacrément chanceux. Mais bon, Lizbeth restait Lizbeth. Elle était au-dessus des autres jeunes gens qui se trouvaient ici. Il n’y avait que ce jeune homme qui avait un peu plus. Il était sur un niveau plus haut. Bah quoi ? Elle devait l’avouer qu’il était beau et qu’il lui plaisait physiquement… Elle avait le droit non ? S’il était consentant pourquoi ne pas en profiter un petit peu … ? « J’adorerais danser avec toi. Tu veux bien… » Elle le regarda sérieusement tout d’un coup avant de lui sourire encore plus. « Oui je veux bien danser avec toi… Montre-moi tes talents de danseur. » elle prit la main qui lui présentait. Il savait bien se comporter avec les femmes. Intéressant. Même, très intéressant. Elle était sur la piste de danse. La musique était douce. Elle se colla donc contre lui. Déjà. Au début de la soirée. Elle s’en fichait complètement. Le but était de s’amuser. Elle allait s’amuser de sa façon ici. Elle le devait non ? En dansant, elle descendit ses mains jusqu’aux fesses de William qu’elle pinça en souriant la tête contre l’épaule de ce dernier. Elle souffla à son oreille. « Ça ne te gêne pas… si je te gêne j’arrête. » elle déposa un baiser dans son coup que pour voir sa réaction. La soirée allait être… torride… si tout continuait. | |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Mer 25 Aoû - 14:46 |
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| Le jeune Slayers ne s’était pas imaginé une seule seconde qu’il faisait autant d’effet à Lizbeth. Certes il avait un corps d’Apollon il le savait, mais ses derniers temps il avait tant eut autre chose en tête que le sexe que l’évidence ne lui avait pas sauté aux yeux. Hors quand elle lui pinça les fesses, il réalisa alors dans l’état ou il la mettait. Elle lui demanda si ça la gêner juste avant de l’embrasser dans le cou et il se mordilla légèrement la lèvre inférieur.
A vrai dire ça le gêner un peu. William avait toujours préféré touché qu’être toucher. Enfin bien sur comme tout homme qui se respecte il adorait qu’une magnifique femme – et c’est ce qu’était Lizbeth – promène ses doigt sur lui. Seulement lorsqu’il y avait du monde il avait tendance à ne pas trop savoir comme réagir. Etonnant quand on connaissait la réputation du jeune Slayers mais en effet il possédait un petit coté timide qu’il s’efforçait toutefois de toujours cacher. Il s’apprêtait à répondre à Lizbeth avec tact un truc du genre « non c’est pas dérangeant mais…on n’est pas pressé » histoire de se sortir de cette situation délicate quand son regard se perdit vers Karly qui se trouvait plus loin, mais ce soucier plus de son cavalier qu’autre chose. Sentant un certain sentiment – la jalousie – qu’il n’avouerait pas naitre en lui, son regard se durcit alors et il n’eut alors qu’une envie : lui rendre la pareille ! Il inclina alors sa tête un peu en arrière pour qu’elle puisse continuait de l’embrasser dans le cou.
« Continue » dit-il avec un ton de voix qui trahissait bien son envie. Serrait l’un contre l’autre, ils auraient pût attirer la convoitise et la jalousie de n’importe qui. Ils dansaient sans vraiment le faire, William étant plus intéressait par les relations humaines que par le rythme. Il finit par regarder Lizbeth dans les yeux alors que Karly et Josh gagner a leurs tours la piste de danse et après avoir adressait un regard à la Mcgregor, il prit le visage de la belle playwitch entre ses mains avant de l’embrasser avec passion… Qui a dit qu’il était amoureux de Karly ? Croyait-elle vraiment pouvoir le briser avec une simple partie de jambe en l’air ? Pensait-elle vraiment qu’il allait se morfondre en attendant qu’elle veuille enfin de lui ? Elle ne le considérait que comme un gigolo capable de la satisfaire au lit – du moins c’est ce qu’il pensait qu’elle pensait – alors il était bien décidé à lui montrait que si elle ne voulait pas de lui pour autre chose que le sexe il ferait profité quelqu’un d’autre de ses talents…
De plus Lizbeth était loin d’être moche et lui plaisait assez en fait, alors pourquoi pas en profiter ? Surtout que la demoiselle semblait n’attendre que ça. Il aurait était un véritable gougeât de la décevoir n’est-ce pas ? Il se devait de lui donner ce qu’elle désirait – soit son corps – non pour satisfaire ses besoins mais seulement par respect pour la jeune fille. Oh oui oui oui. Il pensait à elle avant tout. On lui avait toujours dit de traiter les femmes comme des reines et de tout faire pour qu’elle obtienne ce qu’elle voulait. Bon si au passage il pouvait se faire plaisir… bien sur… il allait pas cracher quand même ?! Mais il agissait que pour elle. De plus… elle embrassait à merveille !
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