|
|
| (v) I'm a russian doll. Give me so more. | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
---|
| |
InvitéInvité
Sam 17 Oct - 18:47 |
| |
| |
InvitéInvité
Sam 17 Oct - 18:48 |
| |
| OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi. | NOM : Oldov PRENOM(S) : juliet edwina AGE : 16 ans. ORIGINE(S) : Russe. PROFESSION : Elève à Poudlard. ETAT CIVIL : Célibataire.
|
OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler. Quelle forme prend votre Epouvantard ? Son frère. Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Son frère. Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Nul part. Quelle forme prend votre Patronus ? Une louve. Quel est votre sortilège favori ? Accio. Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Avada Kedavra. Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Du soulagement. Quelle forme de magie vous attire le plus ? Aucune. Appréciez-vous la discipline ? Non. Quelle est la pureté de votre sang ? Tout ce qui a de plus pur. OO4. Vous ! Oui, vous ! PSEUDONYME, PRENOM : Marie-Caroline. AGE : 17 ans. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Euh par AE et...ben, on verra ce que ça donnera (: LE MOT DE LA FIN ? Si tu aimes les crêpes au sucre, tape dans tes mains. *CLAP CLAP* | |
|
| |
InvitéInvité
Sam 17 Oct - 18:48 |
| |
| OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent. Chapitre 1 ; Nikolas- Juliet était née dans un de ces climats froids qui régnait dans un couple qui ne s’était pas marié par amour. La mère de Juliet, Edwina, venait d’une famille bourgeoise et on n’avait pas vraiment laissé le choix du mari. Edwina s’était retrouvé mariée à 19 ans à Pavlov Oldov, un jeune homme de 25 ans qui rêvait de devenir ministre. Pour l’instant, il travaillait au ministère de la justice et avait un salaire plus que convenable. Le mariage se fit dans une église de Moscou et il n’eut qu’une cérémonie très privée où Edwina pleura dans les toilettes pour dames tout le long de la soirée. Elle avait supplié sa mère de la laisser se marier comme il convenait. Mais évidemment, ces caprices agaçaient fortement la mère d’Edwina qui avait dû menacer sa fille pour que celle ci accepte l’idée de se marier.
Ils emmnéagèrent dans une grande maison du quartier riche de Moscou. Le couple eut d’abord un garçon, Nikolas puis quatre ans après, un autre, Peter. Huit ans après, Edwina se retrouva enceinte alors qu’elle avait pourtant pensé avoir pris toutes les précautions qu’il fallait pour ne pas re-tomber enceinte. Pourtant, Pavlov, désireux d’avoir une fille, l’obligea à garder l’enfant. 9 mois après arriva Juliet. Ce n’était pas un bébé joyeux. Elle ne souriait à personne, malgré sa beauté. Ses frères, déjà un peu plus affecteux que ses parents, tentèrent de la faire rire, mais sans aucun succès. Edwina regardait grandir cette petite fille qui n’était même pas de Pavlov. Plus Juliet grandissait, plus elle s’attachait à son frère aîné, Nikolas. Dans ses perceptions de petite fille, elle devait l’admirer. Juliet avait déjà compris que sa mère ne l’aimait pas beaucoup et ne faisait rien pour remédier à cela. Nikolas jouait à cache-cache avec elle, l’emmenait se promener au parc. Juliet s’était trouvé un héros. Pourtant, quand elle fut âgée de 6 ans, Nikolas revint un soir de ses cours, l’air préoccupé. Pendant le dîner, il annonça solennellement : « J’ai rencontré une jeune fille que j’aime beaucoup. » Juliet ne suivait pas vraiment la conversation, elle était occupée à fixer son assiette avec de grands yeux froids, comme quand elle fixait sa mère. Elle fit un sursaut quand Pavlov se leva brusquement de sa chaise. « Comment ça Nikolas ? Une sang de bourbe ? Mon fils sort avec une sang de bourbe ! Je t’interdis Nikolas, tu m’entends ? » Avant que Juliet ne puisse comprendre quelque chose à la situation, son autre frère l’avait déjà emmené à l’étage, malgré les gémissements de sa petite sœur, inquiète des cris qu’elle entendait. Le lendemain, elle ne vit pas Nikolas à la table du petit déjeuner. Sa mère avait les yeux rouges à force d’avoir pleuré toute la nuit et son père, croisant le regard de sa fille, lui dit d’une voix agaçée que Nikolas était parti dans la nuit car il voulait faire honte à sa famille. Juliet ne comprenait pas mais elle se tut et avala une bouchée de porridge. Deux ans se passèrent sans nouvelles de Nikolas. Au début, Juliet s’inquiétait. Puis elle finit par lui en vouloir et l’oublia avec rancœur. Edwina cacha le fair-part de mariage que son fils lui envoya et les photos où il était présent disparurent de la maison. Juliet devint froide, maussade, silencieuse. Puis un soir, celui du huitième anniversaire de Juliet où Pavlov était en déplacement, on sonna à la porte. Ce fut Peter qui alla ouvrir, Juliet qui était dans la pièce à côté, observa discrètement la scène. Une jeune fille blonde, très jolie, se mit à genoux quand Peter lui ouvrit la porte. Elle pleurait et se mit à hurler tout d’un coup : « Nikolaaaaaaas…il est mort ! Mon amour est mort…! » Peter, affolé, appela sa mère qui était à l’étage. Celle ci descendit et voyant la jeune fille, ordonna à la bonne d’emmener Juliet dans sa chambre. La petite fille se mit à hurler de douleur, on la prit et on la mit dans sa chambre. Depuis, le noir. Quand Pavlov rentra de son voyage, il ne fit comme si rien ne s’était passé. Il avait d’ailleurs une bonne nouvelle pour ses affaires, il venait d’être nommé Ambassadeur de Russie en Angleterre. Il fallait déménager. Ce qui se fit assez rapidement.
9 Janvier 1998 ; 16:16
Nikolas : « Que dirais tu d’un bout de gâteau ? » Juliet : « Au chocolat ? » Nikolas : « Bien sûr, je crois qu’il en reste un morceau. Ah, voilà. » Juliet s’asseya sur la chaise brodée de la salle à manger et Nikolas lui posa l’assiette en face d’elle. Elle adorait le chocolat. C’était son péché mignon, banal, certes mais la petite fille en était folle. Elle venait de passer l’après midi avec son frère, pendant que ses parents s’étaient absentés chez des amis. Ils venaient d’aller se promener dans le jardin et avaient fait un petit bonhomme de neige. Juliet n’avait pas voulu que sa bouche soit en forme de sourire, mais elle avait formé une ligne droite de petits cailloux noirs, comme pour une expression neutre. Son frère venait également de lui poser une tasse de chocolat chaud, avec de la crème fouettée sur le dessus. Juliet sentit son cœur se soulever, touchée par ces petites attentions. Elle trempa son doigt dans la crème et le lécha. Nikolas : « Dis moi, princesse… » Juliet : « Je ne suis pas une princesse, tu sais. » Nikolas : « Ca te dérangerait si je me mariais ? » Juliet : « Avec qui ? » Nikolas : « Oh euh…je ne sais pas. » Juliet : « Avec moi? » Nikolas : « Ca ne se peut pas ça… » Juliet : « Pourquoi pas ? Moi j’aimerais bien t’épouser ! » Nikolas : « On a pas le droit…et puis…les frères n’épousent pas leurs sœurs. » Juliet : « C’est mal fait ça ! » Elle but une gorgée de son chocolat et eut les lèvres garnies de crème fouettée. Nikolas, un instant pensif, lui mima le geste de celui qui se lèche la lèvre. Juliet le reproduisit et fixa Nikolas avec ses grands yeux. Nikolas : « Fais moi un sourire. » Juliet : « Non j’aime pas. Ca veut dire qu’on est heureux si on sourit. » Nikolas: « Et tu n’es pas heureuse ? » Juliet : « Je ne crois pas. »
Chapitre 2 ; Torturée
Juliet détesta rapidement l’Angleterre. Ce n’était pas si différent de la Russie. Il faisait moins froid, certes, mais…ce n’était pas le genre de paysage qui lui correspondait. Avec le temps, Juliet grandissait. On vantait la beauté de celle ci, avec sa peau de pêche, ses grands yeux hypnotiseurs, sa bouche fine et qui ferait certainement craquer les hommes, des jambes à n’en plus finir, une taille de gûepe et enfin de longs cheveux bruns. La lettre de Poudlard arriva un jeudi. Ce nom était familier pour la jeune fille, qui avait eu deux frères qui avaient fréquenté Poudlard. D’ailleurs, elle en avait toujours entendu du bien. Elle était pressée de partir de chez elle, maintenant qu’elle était seule avec ses parents dans la grande maison où ils habitaient dans la banlieue de Londres. Juliet n’aimait pas la foule, n’aimait pas les autres mais voulait aller à Poudlard, tant pis si tout cela ne l’intéressait pas. Juste partir. Personne ne l’accompagna à la gare le premier jour. Sa mère lui écrivait quelques lettres, mais Juliet la soupçonnait de faire ça par obligation maternelle plutôt que par plaisir. Elle ne lui en voulait pas. Edwina restait Edwina, une mère froide comme la pierre qui avait su transmettre cette atmosphère à sa fille unique. Pourtant, Juliet était convoitée. Elle repoussait ceux qui voulaient son amitié ou même son amour. Elle n’avait que quelques amis dont la compagnie ne l’agaçait jamais. Elle sortit rapidement avec quelques garçons mais rien de sérieux. Elle avait la moyenne juste pour que son père lui fiche la paix. A part ça, Juliet vivait pour elle. Pendant les vacances, c’était comme quand elle était enfant. La plupart du temps, on l’ignorait. Juliet aurait juste voulu qu’on la respecte un minimum. Mais, elle ne le disait pas et se contentait de souffrir en silence.
4 Juillet 2004 ; 21:30
« Levons notre verre à Juliet, petite dernière des Oldov qui rentrera à Poudlard le 1er Septembre prochain. » Juliet ne pouvait s’empêcher de baisser les yeux sur son verre à la simple vue du grand sourire qu’affichait son père. Il avait voulu, suite à la lettre que la jeune fille avait reçu il y a quelques jours, fêter cela dignement au restaurant. Juliet était coincée entre Edwina et Peter et était face à face avec Pavlov. Si elle n’était pas sa fille, cela l’aurait intimidé. De plus, le schéma ne lui correspondait pas. Ils n’étaient pas une famille. Ils étaient tous différents et ne pensaient qu’à eux même. D’ailleurs, cela sembla tellement étrange à Juliet d’entendre son père parler en russe. Depuis trois ans qu’ils étaient en Angleterre, ils avaient peu à peu abandonné leur langue maternelle. Peter était venu de Moscou suite à une lettre envoyée d’Edwina qui se languissait sans son fils. Depuis qu’il était à la maison, ils ne parlaient que Russe. Nous étions au beau mois de Juillet et pourtant, Juliet voyait la pluie couler sur une des fenêtres de la pizzeria du chemin de traverse où ils avaient atteri. Elle avait commandé, sans grand enchantement, une pizza au potiron et portait parfois à ses lèvres son verre d’eau. Edwina portait une somptueuse robe noire, très chic. Juliet l’avait même vu faire un petit sourire malicieux au serveur. Elle entendait même parfois sa mère parler de « charme russe » à ses nouvelles amies anglaises avec qui elle passait certains après-midis. Juliet possédait le même charme. Glacial. Dans son école, il n’y avait que les garçons qui voulaient être ses amis. Ils étaient plus qu’envôutés et Juliet passait ses récréations à jouer avec eux, sans grande envie non plus. Elle n’aimait pas la solitude mais la solitude l’aimait beaucoup. Elle aurait voulu volontiers trouver une petite fille comme elle, aussi froide et distante. Mais son école n’était remplie que de petites sorcières habillées de rose, qui parlaient de cuisine à longueur de journée. Assommant, comme sa vie d’ailleurs.
« Juliet ? Une petite capricieuse. Elle n’est jamais heureuse, on ne voit aucune once de vie dans son regard. Cette enfant est ennuyeuse à mourir. Son père est pourtant fou d’elle. Dommage qu’il ne soit jamais là pour elle. Et encore, c’est ce qu’il dit. Mais pour lui, ce n’est qu’un pantin. Il en fera ce qu’il voudra de cette petite poupée russe. » Edwina Oldov.« Je n’ai jamais été vraiment proche de ma sœur. Du moins…pas comme Nikolas l’était. Même petite, elle ne me montrait aucun signe de tendresse. En fait, je me rends compte que je ne la connais pas. Je ne sais pas ce qu’elle aime et ce qu’elle déteste. Je crois d’ailleurs que je n’ai jamais dû la voir sourire. » Peter Oldov.« C’est la plus belle fille de Poudlard, à mon avis. Vous avez vu ses beaux yeux tristes ? On en a envie de…la consoler quand on la voit ! Elle paraît si fragile et si forte à la fois. Je suis sorti avec elle il y a quelques mois. Enfin, sortir…je pense que ce n’était qu’un flirt. Mais tant pis. » James Cooper - Serdaigle. | |
|
| |
The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Dim 18 Oct - 15:04 |
| |
| BIENVENUE! J'adore ton style d'écriture et la façon dont tu décris mais également ton personnage qui séduit très vite. On accroche je valide. Bienvenue à SERPENTARDSERPENTARD! dortoir; tu es répartie dans la CHAMBRE 1 du dortoir. rang; tu peux demander un rang ici! inventaire; tu peux voir ça ici et les objets interdits ici. N'oublie pas d'aller réserver ton avatar iciEt si tu veux commencer un RP à plusieurs, tu peux voir ici pour les scénards&missions. Voilà. Bienvenue et bon jeu! (;
| |
|
| |
InvitéInvité
Dim 18 Oct - 15:07 |
| |
| Merci, merci beaucoup, c'est toujours très agréable quand on reçoit des compliments ! | |
|
| |
The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Dim 18 Oct - 15:13 |
| |
| Ils sont mérités , hâte de te croiser en rp Miss. | |
|
| |
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Dim 18 Oct - 17:11 |
| |
| Bienvenue a toi Miss . Une verte et argent Je sens qu'on va s'entendre | |
|
| |
InvitéInvité
Dim 18 Oct - 21:23 |
| |
| Helloooow! <3 Bienvenue! | |
|
| |
InvitéInvité
Mer 21 Oct - 14:11 |
| |
| |
Contenu sponsorisé
|
| | | (v) I'm a russian doll. Give me so more. | |
|
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|