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| Vite avant que les hyènes ne viennent ! { Raven <3 | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Sam 15 Mai - 8:05 |
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| & I'll keep you my dirty little secret, don't tell anyone or you'll be just another regret.Un corps à corps. Si près d’elle, c’est son odeur qu’elle sent, son âme proche de la sienne, elle peut l’effleurer du bout des doigts, un baiser voler et la chute est fatale. Maddalena entrouvre les yeux, cligne légèrement, puis voit le dessin d’une gorge, d’un cou, d’un visage, juste face à elle. Elle redresse un peu la tête et reconnaît le visage d’ange de sa meilleure amie. Raven est couché là, à ses côtés, ses yeux bleus sont clos et sa cascade blonde encadre son visage. Elle est paisible, et Mad peut se féliciter d’être l’une des rare à pouvoir la voir si calme. Un coup d’œil aux alentours et les rideaux carmin de sa salle commune la font quelque peu soupirer, les cours vont bientôt reprendre, mais elle n’en veut pas. Sa dernière année, signifiait, entre autre, la fin de tout. Plus de repas dans la grande salle, plus de cours ennuyeux, plus de cours à couper le souffle, plus d’amis, plus de Raven, plus rien. La brune se lève du lit, chancelante, et ne cherche même pas à savoir comment elle a atterrit en boxer dans le lit de sa meilleure amie. Enfaite elle ne cherche même pas à se rappeler de la fête de la veille car elle n’a plus aucuns souvenirs. La Gryffonne attrape son leggin troué noir qu’elle enfile avant de chercher son long débardeur blanc… Elle le retrouve jeter en boule de l’autre côté du lit et elle pousse un léger soupir avant d’enfiler une paire de converses et de coincer sa baguette derrière l’élastique de son leggin. Elle n’ose même pas se regarder dans le miroir pour voir quelle tête elle a, ses longs cheveux bruns pas coiffés qu’elle laisse lâcher, avant de déposer un baiser sur le front de la blonde endormie et de quitter le dortoir. Elle se laisse guider, le nez en l’air, ses yeux bleus-vert fermés et elle ne fait pas attention à ce qui l’entoure. Elle croit que comme ça, elle atteindra sans doute un lieu et que ce sera le bon, mais malheureusement non, elle se contente de foncer dans quelqu’un. Elle ré-ouvre les yeux et tombe nez à nez avec un Serpentard de sixième année, et même si elle est censée être son ainée, elle ne le dépasse pas en taille. Mad le reconnait alors, c’est un ami (ou du moins ce qu’il s’en rapproche) de William. Les Serpentards, elle ne s’y connait pas trop. Elle sait que c’est une race étrange, qui grouille dans les cachots et qui crache du venin sur n’importe quoi… Bon, ok, certains roublards étaient acceptables, puisqu’elle les connaissait et était même amie avec eux, mais lui qui se tenait devant elle, apparemment ça ne passait pas ce matin. « Eh la tarée, tu peux pas faire attention où tu marches ? » Elle fronce alors les sourcils, encore l’un de ces surnoms débiles… Et elle s’apprête à lui jeter une réplique cinglante mais elle semble se perdre au fond de sa gorge lorsque son regard croise celui de William, pas très loin. Génial. L’humiliation complète. La Rouge et Or se retient tout juste de se jeter au visage de l’autre Serpentard face à elle et elle jette un dernier regard au jeune homme en retrait avant de contourner le 6ème année et de partir en direction des escaliers. Vite, loin. C’est tout de qu’elle veut. En deux secondes elle se retrouve dans le parc, et ses jambes la porte encore plus loin.
Ce n’est pas de très bonne augure de se promener dehors et seule dans Poudlard. Même si c’est l’endroit le plus sûr au monde, il n’empêche que c’est de là que tout est sortit. Toute cette histoire de Poète et de désastre… Bref, pas le droit de faire confiance à un endroit pareil. Mais Mad l’a un peu oublié, et elle sort une cigarette de son paquet avant de l’allumer, tout en se laissant glisser contre le tronc d’arbre derrière elle et de s’assoir finalement au sol. Elle recrache lentement la fumée et ferme les yeux, se détestant soudainement de n’avoir rien dit quelques minutes plutôt. Cet idiot de Serpentard n’aurait pas dû lui parler sur ce ton en plus ! Malheureusement, elle sait très bien au fond d’elle que c’est parce que William l’aurait jugé si elle avait ouvert sa bouche, comme d’habitude. Soupir. La cigarette se consume, la fumée entre dans ses poumons et y ressort. Puis elle se lève en décidant de ne plus se morfondre sur son triste sort et regagne lentement l’entrée du château. La lionne marche jusqu’à son étage de prédilection : les toilettes désaffectées. Elle va s’assoir face à une vieille glace pleine de crasse, brisée en son milieu, et penche un peu sa tête sur le côté pour apercevoir les marques sur son cou. Sur le côté gauche, les marques rouges ressemblent à des doigts, comme si une main s’étaient abattue sur sa gorge et s’était resserrée, prête à l’étrangler, et sur le côté droit il y a ce bleu, toujours, qui ne disparait plus depuis qu’elle est en quatrième année. Heureusement qu’il ne se voit plus autant, et que les marques rouges finissent toujours par disparaître… Et les marques sur ses avant-bras, n’en parlons même pas. Soudainement, un bruit la fait sortir de sa torpeur et elle tourne son regard vers l’entrée et les yeux qu’elle intercepte là-bas lui font manquer un bond dans sa poitrine. Un léger sourire apparaît sur ses lèvres et elle se détache du miroir pour regarder la silhouette dans l’encadrée de la porte. « Goodmorning my lover, goodmorning my friend. » C’est un peu ironique, surtout qu’elle a changé les paroles de la chanson. Mais son sourire s’agrandit un peu plus lorsqu’elle fait un pas vers Raven, et la défie un peu du regard. Les toilettes ont été l’endroit où elle a pratiqué un bon nombre de ses petites invocations, et ce n’était sûrement pas l’endroit préféré de sa meilleure amie, mais en même temps c’était l’endroit sûr où Mad pouvait être. Et puis bingo, elle l’a trouvé là. You touch my heart, you touch my soul. La Gryffondor s’approche de l’autre Rouge et Or, encore, et fini par se planter face à elle, son regard océan la dévorant littéralement. « Bien dormit ? Tu t’es remise de hier soir ? » Sourire en coin. I've kissed your lips and held your head, shared your dreams and shared your bed, I know you well, I know your smell. I’ve been addicted to you. | |
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InvitéInvité
Sam 15 Mai - 13:33 |
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| Raven n’avait aucune n’envie d’ouvrir les yeux. Etendue dans son lit, elle était encore aux pays des songes et l’alcool qui avait parcourut ses veines la veille était toujours omniprésent. Poudlard était un lieu regorgeant plus d’enfants qu’autre chose, des personnes ne connaissant pas encore vraiment les addictions de la vie et ses maux. La blondine était toutefois un cas a part. Elle était certes encore une enfant bien qu’elle soit à l’aube de sa vie adulte mais ne se considérait plus comme une môme depuis bien longtemps. Elle conservait une certaine naïveté et une dose d’innocence mais elle n’avait rien d’une adolescente de seize ans tout à fait normale. Alors que la plupart se contentait de peu, elle désirait tout savoir et connaitre et cela sans délais. Elle ne voulait pas seulement vivre mais vivre avec passion et savourait chaque instant. C’est pour cette raison qu’elle dépassait parfois les limites et s’enfonçait dans un enfer qu’elle ne soupçonnait même pas, jouant avec le feu sans penser qu’elle pourrait un jour tomber. Pour l’instant fort heureusement elle n’était dépendante en rien mais elle n’était pas la dernière pour faire la fête. Elle n’était d’ailleurs jamais seule en ses rares occasion et Maddalena était devenu comme une part d’elle-même dont elle n’arrivait pas à se séparé. Le lien qui unissait les deux jeunes filles étaient fort et difficile à définir. C’était plus intense qu’une simple amitié, pas aussi compliqué que l’amour mais elles en avaient l’une pour l’autre…
La blondine ouvrit les yeux lorsqu’inconsciemment elle sentit l’absence de sa meilleure amie dans son lit. Il n’était pas rare qu’elles dorment ensemble et Raven posait parfois ses lèvres sur celle de Maddalena quand elle ressentait le besoin de la sentir plus propres d’elle. C’est étrange à décrire ou à expliquer mais il existait entre les deux rouges et or un lien unique et indestructible qu’elles seule pouvaient comprendre. Raven poussa sa couette et posa un pied à terre avant de se dirigeait vers son armoire à la recherche de quelque chose à mettre. Une chemise blanche, une cravate desserrée et un jean firent l’affaire. Aujourd’hui elle n’avait pas cour et donc pas pour obligation de porter l’uniforme réglementaire de Poudlard. La seule chose qu’elle désirait s’était retrouvé son amie et se blottir dans ses bras. Elle avait comme dans l’idée qu’elle la trouverait dans les toilettes désinfectés du 2ème étage et se rendit donc là-bas. Un sourire naquit sur ses lèvres lorsque son regard se posa sur le visage angélique et espiègle de Maddalena qui s’observait dans le miroir et sourit à son tour.
Mad - « Goodmorning my lover, goodmorning my friend. »
Maddalena se rapprocha d’elle et la regarda avec intensité, ce regard que Raven appréciait tant et par lequel elle se sentait existait et désirait.
Mad - « Bien dormit ? Tu t’es remise de hier soir ? » Raven – « Moui t’inquiète pas. Quand à la nuit… bonne. J’ai rêvé de toi. » Lui avoua-t-elle avec un sourire un brin mutin. « Qu’est-ce que tu foutais ? »
Son regard se posa sur la marque rouge que Maddalena portait au cou comme si quelqu’un avait voulut l’étrangler. | |
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InvitéInvité
Sam 15 Mai - 14:11 |
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| « Moui t’inquiète pas. Quand à la nuit… bonne. J’ai rêvé de toi. » Un sourire espiègle gagne les lèvres de la brune qui se rapproche de son amie, jusqu’à ce qu’elles ne soient qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. « Tu as rêvé de moi ? » Une espèce de sourire un peu animal, de requin, une pointe canin, étire les lèvres de Maddalena qui ne peut s’empêcher de rire ensuite avant de prendre la main de Raven dans la sienne. « Et si tu me racontais ? » Elle veut tout savoir, tout ce qui la concerne et qui peut sortir des lèvres de l’autre Gryffondor, elle veut tout. Tout et ce n’est jamais suffisant. C’est comme si pour exister, Mad avait besoin de la présence de la blonde. C’est vital. Peu de personne comprenne ce lien, on les trouve bien souvent trop unies, trop proches, des inséparables. Mais la peur tient chaque jour la jeune Tulio, au creux du ventre, car tout peut disparaître du jour au lendemain. Le présent est trop fragile, elle le sait. Alors elle serre avec possessivité cette main dans la sienne, et sourit d’un air insouciant. Hold me and love me, just wanna touch you for a minute. « Qu’est-ce que tu foutais ? » Les sourcils de Mad se froncent un peu en suivant le regard de sa meilleure amie sur son cou et elle se recule d’un pas avant de hausser les épaules et reprendre son sourire innocent, insouciant, et rentre un peu son cou dans ses épaules, son menton touchant son épaule : une technique de charme. « Je voulais jouer. » Un rire franchit la barrière de ses lèvres et elle s’éloigne un peu, relâche la main de Raven et s’approche d’un lavabo, ose enfin regarder son visage dedans. Elle fait une grimace et tourne sa tête vers sa meilleure amie avant de rire. « T’as vu la tête que je me paye aujourd’hui ? Plus jamais de fête comme hier soir, pitié, je ne me souviens même pas du trois quart ! »
Elle balance un peu sa tête en arrière et observe les lieux avec un léger sourire en coin, puis se retourne à nouveau vers la Gryffondor et ouvre ses bras. « Ma belle Lionne, que désire-tu faire aujourd’hui ? » Elle s’approche à nouveau d’elle et referme un peu ses bras, avant de les laisser tomber, ballants, près de son corps. « Je suis toute à toi. » Sourire, puis la brune se met un peu sur la pointe des pieds (quelle lubie d’avoir toujours des tallons) et vient déposer ses lèvres sur celles de Raven, avant de l’embrasser doucement. Un doux baiser qu’elle lui vole, presque innocent, pur et chaste, et elle s’éloigne déjà d’elle. Puis elle part dans un rire qui emplit tout les toilettes désaffectés et laisse son dos aller contre un mur, un sourire d’innocence pure aux lèvres, ses yeux turquoises plantés dans ceux de sa meilleure amie, criant silencieusement son nom. C’est un appel, bien sûr, et seule la 7ème année le comprend. Elle seule peut comprendre Maddalena, de toute manière, ça a toujours été comme ça. La seule à ne pas la juger. C’est dans ses bras qu’elle à besoin de se réfugier. Alors elle tend sa main vers elle, penche un peu sa tête de côté, et sourit davantage. « Tu viens, Raven ? » - même pas eu le temps d'un combat mental que je me jetais déjà sur le clavier pour répondre, hm...- | |
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InvitéInvité
Sam 15 Mai - 20:06 |
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| Raven aimait sentir les doigts de Maddalena entre les siens et il y avait entre elles une telle attraction qu’il leurs était tout simplement impossible de passer plus qu’un quart d’heure ensemble sans qu’elles ne se touchent de quelque manière que se soit. Une simple prise de main, un câlin, ou même un baiser, Raven tout comme Mad ressentait toujours se besoin d’être en contact avec l’autre. La brune observa son amie avec un air de prédateur, la dévorant des yeux et son interlocutrice lui envoya un regard du même acabit, hypnotisé par les magnifique yeux de sa best friends. Car malgré leurs attitudes ambiguës, Raven ne nommait jamais Maddalena comme étant sa petite amie mais bien comme étant seulement une amie car elle ne la considérait pas comme telle. C’était son amie, sa meilleure amie, celle qui la comprenait le mieux. Entre elles c’étaient tellement fusionnelle que parfois elles n’avaient même pas besoin de parler….
Mad - « Et si tu me racontais ? » Raven - « Peut-être ce soir quand on sera coucher. Et si tu es sage je pourrais même te montrait. »
Un sourire insolent sur les lèvres, elle se mit légèrement à rire, amusé par sa propre façon de faire alors que Mad serrait toujours sa main dans la sienne. Raven s’était toujours considéré comme quelqu’un de libre, prônant l’amour libre et ne désirant appartenir à personne, ayant besoin d’espace pour vivre et exister. Mais ce que la brune ignorait c’est que si elle elle lui avait demandé que ce couper ses ailes noir d’ange blanc qu’elle était et que n’être qu’a elle, peut être qu’elle aurait accepté. Peut-être… Maddalena était de loin sa favorite bien qu’elle n’appartenait pas à son harem, tenant dans son cœur une place bien particulière qui se tenait en plein milieu de deux cases, celle de l’amour et de l’amitié…
La blondine avait remarqué la trace dans le cou de son amie et n’avait pas pût s’empêcher de lui demander des compte, l’affection qu’elle lui portait l’obligeant involontairement à vouloir la protéger.
Mad - « Je voulais jouer. »
Maddalena se mit à rire et Raven se força à sourire, le son parvenant à ses oreilles effaça un peu ses craintes et ses préoccupations sans les faires disparaitre toutefois. Son cœur se serra légèrement lorsqu’elle la lâcha sa main et elle l’observa avec attention alors qu’elle s’observait dans le miroir.
Mad - « T’as vu la tête que je me paye aujourd’hui ? Plus jamais de fête comme hier soir, pitié, je ne me souviens même pas du trois quart ! » Raven – « Tu a voulut séduire un Serpentard qui te regardait la bave aux lèvres et je t’ai alors embrassé pour lui montrait que j’étais la seule qui aurait droit de gouter à tes lèvres pour ce soir là.» dit-elle simplement. « A part ça je ne vois rien d’autre d’intéressant à te rappeler. »
Maddalena se retourna alors vers elle, écartant les bras comme en entente d’elle et d’un de ses câlins que Raven appréciait tant. Cette dernière esquiva un sourire alors que sa best lui adressait la parole.
Mad - « Ma belle Lionne, que désire-tu faire aujourd’hui ? »
Elle eut un léger rire amusé au compliment bien qu’elle savait qu’il était sincère.
Raven – « J’ché pas. On pourrait peut-être faire quelque chose de ma liste ? »
La liste de Raven… Toute une histoire. Il s’agissait en fait de chose à faire avant de mourir, que la jeune fille avait couché sur papier. Certaine était banale comme regarder un coucher de soleil, d’autre un peu plus fantasque et demander de l’audace comme faire une partie à trois par exemple. Chaque jours que dieu - ou n’importe qui d’autre d’ailleurs – faisait, la jeune fille poussait les limites de l’inconnu et faisait quelque chose qu’elle n’avait encore jamais faite en s’efforçant de ne pas avoir peur quoiqu’il advienne… Maddalena se rapprocha d’elle l’enserrant de ses bras.
Mad - « Je suis toute à toi. » Raven - « Pour toujours ? »
A peine eut-elle dit ses mots qu’elle sentit les lèvres douces de l’ange noir aux ailes blanches sur les siennes. Juste une seconde de goût de paradis avant que Maddalena s’éloigne dans un rire alors que Raven riait alors à son tour, amusait par le jeu de son amie dont elle était plus la complice que la victime. Regardant Mad qui lui tendait la main, appuyait contre le mur elle ne tarda pas à la saisir, répondant à son invitation.
Mad - « Tu viens, Raven ? » Raven – « Toujours »
Elle alla se blottir contre Maddalena et alors qu’elle s’essayait près d’elle, quelque chose lui revint alors en mémoire.
Raven – « Ah au fait… j’pense pas que tu l’ait remarqué cette nuit alors… regarde. »
Elle enleva son tee-shirt se retrouvant en soutien-gorge sans être pudique une seule seconde et se pencha en avant, laissant son dos à la vue de Maddalena. En plein milieu se trouvait un tatouage que Raven s’était faire il y a peu et qui représenter un poignard au dessus d’un cœur. Elle se redressa et regarda sa meilleure amie dans les yeux.
Raven – « Il te plait ? » | |
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InvitéInvité
Dim 16 Mai - 11:47 |
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| Un sentiment bizarre étreigne son ventre, au plus profond de son être, et Maddalena ne sait pas d’où ça vient, sans doute à cause de la veille. En tout cas, elle a faim. Ca c’est clair, et elle a envie de sauter dans les bras de sa meilleure amie, la serrer, avant de courir un peu partout et de faire les dingues, comme d’habitude. « Peut-être ce soir quand on sera coucher. Et si tu es sage je pourrais même te montrait. » Un rire gagne les lèvres de la brune et un sourire espiègle dessine ses lèvres lorsqu’elle croise son regard. « J’essayerai d’être le plus sage possible, alors » Le sourire innocent se transforme un peu en sourire de prédateur, et leurs regards qui se dévorent dans un silence en dit long. C’est un étrange sourire sur leurs lèvres, et un même regard qui se confronte. Quoi que non, le mot confrontation est contrefait ici, c’est plutôt quelque chose de fusionnel entre leur regard. Avec Raven pas besoin de jouer l’imposture, pas besoin de prendre ses airs de peste, elle devine tout de Mad. Everything that you feel, is everything that i feel, so when we dream, we shout… « Tu a voulut séduire un Serpentard qui te regardait la bave aux lèvres… » Léger blanc, il faut dire qu’elle ne se souvenait pas du tout de ça, la jeune Gryffonne n’avait presqu’un seul souvenir de la soirée : son arrivée. Et puis on lui avait donné toutes sortes de trucs pour faire en sorte qu’elle passe une bonne soirée. Pari tenu. Mais la mémoire elle, il y a longtemps qu’elle s’était envolée. Air innocent de la part de la jeune Tulio, en plus face à un Serpentard, quelle horreur… Mh. Nouveau blanc, mais cette-fois ci ça se passe dans sa tête. « ... et je t’ai alors embrassé pour lui montrait que j’étais la seule qui aurait droit de gouter à tes lèvres pour ce soir là.» La jolie brune laisse un rire effronté sortir de ses lèvres et elle observe sa meilleure amie, avec un regard un peu brillant. « J’étais ta chasse gardée pour la soirée, c’est ça ? » Elle fronce un peu les sourcils et l’idée ne lui déplait pas, mais le Serpentard a dû en penser pas mal sur le sujet. « A part ça je ne vois rien d’autre d’intéressant à te rappeler. » Une petite moue passe sur le visage de Mad qui fronce ensuite les sourcils, bien sûr que si il y avait d’autre chose à raconter et qui lui brûlait les lèvres. « Et toi, tu as fais quoi pendant cette soirée ? » Un battement de cil et un air innocent, la 7ème année détient toute la panoplie de la fille innocente, mais qui ne peut pas tromper la blonde. Elle n’a jamais pu voir une Maddalena innocente, impossible.
« J’ché pas. On pourrait peut-être faire quelque chose de ma liste ? » Mad penche un peu la tête en arrière et réfléchie à la proposition. Il lui faut pas longtemps pour se rendre compte qu’elle adore l’idée. La liste de Raven est juste pleine de choses à faire plus géniales les unes que les autres, et surtout certaines sont d’une grande imagination. Elle tape alors dans ses mains et pointe son index sur la jolie blonde. « Ca marche ! Il te reste quoi à faire ? » En une fraction de seconde elle grimpe sur le lavabo et s’assoit avant de croiser ses jambes en tailleur, le nez un peu en l’air. Elle s’est déjà éloignée de l’autre Gryffonne, de ses lèvres tentatrices, et de son regard envoûtant. Elle lui sourit d’un air mi-moqueur, mi-amusé, puis ne peut s’empêcher de lui sourire sincèrement lorsqu’elle lui murmure : « Pour toujours ? » Bien sûr, ma belle et tendre amie, aurait-elle murmuré en guise de réponse mais son sourire suffisait. Bien sûr que oui, elle serait toujours à elle et personne n’arriverait à les séparer… Et si, par pur malheur, un jour ça arrivait, elle savait très bien avoir un comportement digne d’une guerrière, elle récupérerait ce qui est à elle, sa Raven. Et lorsque sa main se retrouve à nouveau dans la sienne, elle l’attire à elle, glisse son autre bras autour de ses hanches et la serre contre elle avec un petit soupir d’aise. Et lorsqu’elle lui demande de venir, le joli ange blond lui répond automatiquement : « Toujours » Le cœur de la fière Lionne se serre un peu et elle ne peut s’empêcher de sourire, c’est que sa meilleure amie arriverait à lui faire perdre tout ses moyens… Elle est douée. Et lorsqu’elle vient se blottir contre Mad, cette-dernière la serre presque à l’étouffer avant de rire et de la relâcher un peu, toujours perchée sur son lavabo, comme un chat sur une branche. « Ah au fait… j’pense pas que tu l’ait remarqué cette nuit alors… regarde. » La brune hausse un sourcil, intriguée, et observe Raven retirer son haut et se retrouver en soutien-gorge face à elle, nullement gênée, et lui montre son dos. Le tatouage d’un poignard suspendu au dessus d’un cœur laisse Maddalena perplexe. Elle connait la signification, elle l’avait lue quelque part un jour, ou alors c’était même sa chère Rav’ qui lui en avait parlé. Elle ne se souvient plus. Sans lui laisser le temps de répondre, la jolie blonde a déjà dardé son regard bleu dans celui démunit de Mad et lui pose la question fatidique : « Il te plait ? » « Bien sûr » répond-t-elle automatiquement, un peu du tac au tac. « Tout me plaît chez toi, de toute manière ! » Elle ricane un peu puis sourit à son amie. « Le poignard au-dessus du cœur, c’est censé représenter que… l’amour est quelque chose d’incertain… ? Ou je ne sais plus quoi. Non ? » Ca ne la perturbe qu’un tout petit peu, comme vous avez pu le remarqué. Elle observe le tatouage et pose doucement ses doigts dessus, l’effleurant, puis trace le contour du bout de son index, avant de sourire. « Whah, il est vraiment cool, je suis jalouse ! » Elle rit légèrement puis plisse un peu ses yeux et observe le tatouage avant de venir lui déposer un baiser juste au-dessus et rit une nouvelle fois en passant sa main dans ses longs cheveux bruns. « J’aime. » | |
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InvitéInvité
Mar 18 Mai - 13:38 |
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| Mad - « J’étais ta chasse gardée pour la soirée, c’est ça ? »
Raven esquiva un sourire. A croire que la brunette lisait dans ses pensées ou savait tout à fait comment elle fonctionnait. C’était peut-être d’ailleurs pour ça qu’elles s’appréciaient autant. Par bien des points elles étaient identiques ou l’était devenu à force de ce côtoyer. La blonde était ravie que son amie ne lui reproche en rien sa possessivité et au contraire l’encourage même à continuer dans cette voix.
Raven – « Si seulement ce n’était que pour la soirée » répondit-elle en roulant ses yeux vers le ciel avec un sourire mutin. Mad - « Et toi, tu as fais quoi pendant cette soirée ? »
L’air innocent de Maddalena et son visage de petit ange faisait littéralement craqué Raven qui ne pouvait s’empêcher de la trouver sublime.
Raven – « J’ai veillé sur toi bien évidemment. » fit-elle sur un ton un brin ironique. « Si Léonard viens te dire que je me suis lové dans ses bras, c’est qu’il ment ».
Maddalena pouvait aisément deviner au ton de sa voix et son air amusé qu’elle devait comprendre l’inverse de se qu’elle affirmait. Raven se considérait comme une femme libre, flirtait avec qui elle voulait sans imposer de fidélité. Toutefois elle ne considérait pas comme une mangeuse d’homme et n’avait aucune conquête. La plupart – la plupart…. – des personnes qu’elle embrassait, elle sortait avec. Le seul petit bémol c’est qu’elle formait un couple avec en ce moment un… deux… trois élèves. Léonard, Thomas et Gaëlle. Enfin Gaëlle ça restait encore à voir… Pour l’heure les pensées de Raven étaient toute dirigée vers Maddalena et elle n’était pas mécontente de l’entendre demandait se qu’elle voulait faire aujourd’hui comme si c’était l’évidence même qu’elles passeraient la journée ensemble. La brunette semblait ravie de sa proposition, cela crever les yeux et tira donc un sourire à son amie.
Mad - « Ca marche ! Il te reste quoi à faire ? » Raven – « Des tas de truc… Apprendre l’espagnol, traire une vache, piloté un avion, me mariée… Des tas de truc » conclut-elle avec un sourire.
La liste de Raven semblait ne pas avoir de fin tant chaque jours elle apprenait à Maddalena une chose écrite dessus qu’elle ignorait. La brunette ne l’avait jamais vu car elle la tenait bien loin des regards indiscret mais elle existait belle et bien, contenant des spoilers des futurs moments de la vie de Raven. Etrangement la blonde avait dans l’idée que chaque chose qu’elle réaliserait serait en compagnie de Maddalena alors autant ne pas lui gâcher la surprise en lui disant d’hors et déjà de quoi leurs avenirs serait fait. La jeune Stinson ne s’imaginait pas une seule seconde séparait de sa meilleure amie. Quittait Poudlard ne lui faisait pas peur car même si les autres ne pouvaient pas le voir, elle elle était capable d’apercevoir ce fils invisible qui les relier l’une à l’autre et les empêcher de s’abandonner. Elle voyait bien qu’elle troublait Mad mais ça la faisait rire et ses sourires étaient communicatifs. Elle eut un léger rire lorsque la brunette l’étouffa presque tandis qu’elle se lovait dans ses bras, savourant ce contact dont elle avait pris gout et dont elle ne se lasserait jamais. Elle ne tarda pas à lui montrait son tatouage, bien trop fière pour attendre d’avantage.
Mad - « Bien sûr » répond-t-elle automatiquement, un peu du tac au tac. « Tout me plaît chez toi, de toute manière ! » Raven – « Tout ? Tu en es certaine ? » Demanda-t- elle taquine. « Ce grain de beauté là » dit-elle en posant son doigt sur sa poitrine où il se trouvait pour lui montrait. « Il te plait ? » fit-elle dans un rire.
Mad - « Le poignard au-dessus du cœur, c’est censé représenter que… l’amour est quelque chose d’incertain… ? Ou je ne sais plus quoi. Non ? »
Raven était impressionner et fière des connaissances de son amie, pensant que décidément elles étaient faite pour s’entendre.
Raven – « C’est ça. Le poignard rappelle que le bonheur est éphémère et jamais acquis. Le poignard est toujours là prêt à rentré dans le cœur pour le faire saigner. Voilà pourquoi il faut savourer chaque minute de la vie et les instants passaient en compagnie de ceux qu’on aime. »
Un sourire matin et un regard un brin charmeur, elle attrapa la main de Mad alors que celle-ci promenait son index sur son dos et la faisait ainsi frissonnait.
Mad - « Whah, il est vraiment cool, je suis jalouse ! »
Le rire de Maddalena retentit à ses oreilles et elle rigole à son tour alors qu’elle sent les lèvres de son amie se poser sur son dos. « J’aime. »
Raven – « Tu veux que j’t’en dessine un ? » | |
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InvitéInvité
Sam 22 Mai - 14:48 |
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| « Si seulement ce n’était que pour la soirée » Maddalena ne peut s’empêcher de rire et penche un peu sa tête de côté, pour observer son sourire et il se surprend à le trouver vraiment attirant. Oui, si seulement, mais ça serait être égoïste de ne pas la laisser aller voir ailleurs alors qu’elle ne s’en prive pas… Il y aurait du avoir deux concessions sinon, et ça ne marchera jamais. Alors la Gryffonne regarde sa meilleure amie en fronçant un peu les sourcils avant de sourire légèrement. Et lorsqu’elle lui demande ce qu’elle a fait, elle n’est pas vraiment surprise de la réponse mais l’appréhendais quand même un peu, quelque part. « J’ai veillé sur toi bien évidemment. » Léger sourire. « Tant mieux, je me serais sentie abandonnée sinon… » Oh mais non, elle n’exagère pas… C’est juste dans sa façon d’être. « Si Léonard viens te dire que je me suis lové dans ses bras, c’est qu’il ment ». Mad laisse ses yeux se lever le plafond et un léger sourire en coin apparaît. Elle lui donne alors un léger coup de coude et la regarde d’un air faussement choqué. « C’est pas vrai ?! Tu m’as abandonné pour lui ? Et si… Pendant ce temps là j’étais tombé dans les pommes hein ? » Puis elle se met à rire d’un air moqueur pour bien montré qu’elle plaisante et que, dans le fond, elle s’enfiche. Un air un peu ailleurs se pose sur le visage de la jeune Tulio qui se rapproche un peu de sa meilleure amie, avant de poser sa tête sur son épaule. Alors elle l’écoute parler de sa liste et ferme un peu les yeux. « Des tas de truc… Apprendre l’espagnol, traire une vache, piloté un avion, me mariée… Des tas de truc » La jolie brune ricane en l’entendant et lève un peu les bras en l’air. « J’VEUX TRAIRE UNE VACHE ESPAGNOLE !! » Oui, pourquoi pas Mad, même si ce n’est pas de ça qu’on parle.
D’un bond sur le côté, elle sort sa baguette magique et la pointe face à elle, entre les lavabos et fronce un peu les sourcils. « Il doit bien y avoir une formule qui fait apparaître les vaches, non ? » Elle tourne sa tête vers sa meilleure amie et fini par sortir un gros manuel de son sac (allez savoir ce qu’il fait ici) et le pose face à elle, le pointant de sa baguette. « TRANSFORMA ! » Un éclair jaillit de la baguette, tape de plein fouet le livre et de la fumée envahit tout les toilettes. La brune toussote, agite sa main face à elle pour enlever un peu de fumée et murmure. « Raaaven ? » Et finalement la fumée se dissipe et un mugissement éclate dans les toilettes. Abasourdie, Maddalena regarde la vache naine qui se trouve devant elle et avance d’un pas vers elle, avant de se tourner vers sa meilleure amie, toute excitée. « Rav’ ! J’ai réussit ! » Apparemment, elle avait aussi du mal à y croire. Mad s’approche finalement de la vache et pose une main sur sa tête avant de la caresser. « Elle est miiiignnoonneuh. Do youh speaawk spanish ? » Et elle penche sa tête sur le côté avant de faire signe à Raven de la rejoindre.
Elle se tourne légèrement vers l’autre Gryffonne et pointe sur elle sa baguette d’un air accusateur, mais c’est surtout ses seins qu’elle montre enfaite. « J’aime tout tes grains de beauté. » Puis elle montre le même sur sa poitrine et sourit de toute ses dents. « Tu vois… J’ai le même ! » Et lorsqu’elle lui demande si elle veut le même tatouage, une légère envie passe dans les yeux de la brune. « Je veux bien que tu m’en dessine un effectivement, mais ça va devoir un peu attendre… » murmure-t-elle en montrant d’un signe de la tête la vachette dans les toilettes. « On la traie ? » demande-t-elle, des étoiles dans les yeux. - Désolé, elle a craqué T_T- | |
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InvitéInvité
Sam 22 Mai - 22:08 |
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| Mad - « C’est pas vrai ?! Tu m’as abandonné pour lui ? Et si… Pendant ce temps là j’étais tombé dans les pommes hein ? » Raven – « On était pas loin, j’pouvais te voir te voir de là où j’étais. » se justifie-t-elle avec désinvolture, sachant bien que Mad était moyennement sérieuse. « Rester dans ses bras et pouvoir continuer à t’observé. Le bonheur non ? »
La brune se mit à rire et Raven l’accompagna, amusait elle aussi avant de lui proposer de faire une activité de sa liste, ce à quoi Maddalena répondit avec enthousiasme…
Mad - « J’VEUX TRAIRE UNE VACHE ESPAGNOLE !! »
Raven se mit à rire, amusait par la réaction de son amie et son exubérance. Sa spontanéité faisait partie des choses qu’elle aimait tant chez elle et chaque fois elle la surprenait un peu plus. On aurait pût croire qu’après toute ces années elle se serait habitué a l’air fofolle de Maddalena mais ce n’était pas le cas et c’est ce qu’elle trouvait si génial. Les jours, les mois et années avaient beau passer, elles ne tombaient jamais dans la routine et bien qu’elles se connaissaient par cœur, Raven redécouvrait toujours Maddy comme au premiers jours et était toujours aussi émerveillé par sa façon d’être. Son cœur bondissant toujours autant dans sa poitrine quand elle la voyait sourire. Elle était toujours autant amusait de ses excentricité et pour rien au monde elle n’aurait changé cela.
Maddalena avait sortit sa baguette et Raven s’était doucement mis à rire devant l’attitude concentré de la brunette.
Mad - « Il doit bien y avoir une formule qui fait apparaître les vaches, non ? » Raven – « Taoooooooooo » appela-t-elle en joignant ses mains en porte voix avant d’attendre un peu puis d’adresser un regard joueur à Maddalena. « Apparemment non. » rajouta-t-elle avec un sourire espiègle, tel une vrai petite peste, sous-entendant ainsi que Tao était une vache.
La blonde n’y pouvait rien, elle avait prit l’asiatique en grippe et bien qu’elle n’était pas de nature méchante ça avait était plus fort qu’elle. Elle n’avait pas pût s’empêcher de prononcer cette vacherie. Sans mauvais jeu de mot… Maddalena avait pour sa part sortit un épais livre de cours, apparemment bien décidé à faire apparaitre une vache. Raven trouvait l’idée délirante mais si géniale et excitante qu’elle avait tous sauf envie de la faire changer d’avis. Au contraire elle cherchait avec elle, désireuse qu’elles trouvent.
Mad - « TRANSFORMA ! »
Un éclair jaillit et Raven se mit à tousser alors qu’une épaisse fumer envahissait les toilettes, l’empêchant d’apercevoir les alentours et la séparant de Maddalena.
Mad - « Raaaven ? » Raven – « Maaad ? Tout va bien ? »
Entendre le son de sa voix la rassura et bientôt elle ne tarda pas à revoir les traits malicieux de sa meilleure amie alors qu’un mugissement retentit dans les toilettes. Raven écarta alors les yeux de surprise alors que Mad semblait au comble de la joie et plus excité que jamais.
Mad - « Rav’ ! J’ai réussit ! » Raven - « Je vois Mad, je vois » dit-elle avant de se mettre à rire a cause de tant d’enthousiasme.
Et Maddalena avait raison. Elle avait réussi ! La vache était là dans les toilettes, léchant le carrelage comme si elle espérait qu’il aurait un goût d’herbe mais sinon pas plus perturbé que ça d’avoir quitté son vert pâturages. En tout cas la blondine se demanda un instant d’où elle venait, imaginant le fermier cherchant son animal partout avec panique et angoisse alors que la vache était tranquillement là où elle n’aurait pas dût être, avec elles à cause de leurs caprices. Pauvre homme ! Mais Raven n’eut pas plus de temps à réfléchir à cela car déjà Maddalena la sortie de sa rêverie en parlant espagnol.
Raven – « J’ignorais qu’tu étais bilingue » lui dit-t-elle légèrement moqueuse mais surtout taquine.
En réponse, la brunette pointa sa baguette vers sa poitrine et Raven haussa les sourcils avec charme et plein de sous-entendu tout en lui adressant un sourire espiègle et la dévorant des yeux.
Mad - « J’aime tout tes grains de beauté. » Raven – « Tous ? Hum pas ceux qu’tu n’a pas vu » lui répondit-elle avec malice avant que Maddalena lui montre son propre grain de beauté, se vantant d’avoir le même. « Copieuse » répliqua-t-elle alors dans l’espoir que Maddalena vienne jouer à lui faire des chatouilles ou quelque chose dans le genre pour lui faire regretter ses mots.
Puis elle lui parla du tatouage et la brune sembla aimait l’idée. « Je veux bien que tu m’en dessine un effectivement, mais ça va devoir un peu attendre… On la traie ? » Raven – « Tu sais comment on fait toi ? Moi j’ai plus souvent vu les diner mondain étant gosse que les verts pâturages, les poules, les oies et les canards. On fou ses doigts où ? »
A ses mots elle regarda Maddalena en haussant les sourcils d’un air légèrement pervers avant d’éclater de rire. Raven se pencha et se glissa sous la vache comme s’il était agit d’une voiture et observa avec attention se qu’elle voyait avant de sortir de là-dessous.
Raven – « Bon d’après ce que j’ai vu, j’crois qu’elle a les mamelles pleine ! Dit on va en faire quoi du lait après ? Un gâteau ? »
L’idée d’asperger Maddalena de farine lui traversa l’idée et une lueur espiègle apparut dans son regard alors qu’un sourire mutin effleurait ses lèvres.
Raven – « Alors qui commence ? Quoi que il nous faudrait peut-être un saut ou quelque chose pour récupérer le lait avant …. »
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InvitéInvité
Dim 30 Mai - 16:00 |
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| « On était pas loin, j’pouvais te voir te voir de là où j’étais. » Maddalena fronce les sourcils face à cette déclaration puis fini par sourire légèrement. « Rester dans ses bras et pouvoir continuer à t’observé. Le bonheur non ? » Oui, sans doute, alors pourquoi Mad n’arrive pas à le voir de la même manière ? Oui, dès fois elle peut se montrer jalouse et possessive envers sa meilleure amie mais, dans le fond, elle pense que c’est normal. La préférée du harem a toujours un peu plus que les autres, alors elle veut l’avoir ça, toujours. Et lorsque la brune demanda où elles pouvaient trouver une vache et que Raven se mit à crier le nom de Tao, l’asiatique des Poufsouffles, la Rouge et Or ne put s’empêcher de rire. Elle l’avait déjà croisé à quelques reprises sur un balai lors d’un match de Quidditch, mais sans plus. La Gryffonne avait entouré de ses bras la tête de la vachette et lui faisait des semi-câlins en ronronnant presque. « Maaad ? Tout va bien ? » « Oui, ne t’en fais pas ! Regarde, comme est elle est mignonne ! » Il faut dire que pour le coup, elle était sacrément fière d’elle, c’était la première fois qu’un sort réussissait tellement bien et qu’en plus elle faisait apparaître une vache quoi… Enfin, une vachette, mais c’était pareil ! « Je vois Mad, je vois » fut la réponse de la blonde lorsqu’elle lui dit qu’elle avait réussit ou plutôt qu’elle avait hurlé qu’elle avait réussit. Elle s’empressa de tourner tout autour de la vachette pour s’assurer qu’il ne lui manquait pas un membre ou autre, et se surprit à rire d’un air rassuré, avant de murmurer d’un air ébahis : « Mais j’ai raiment réussit. » Surprise par ses propres pouvoirs. « J’ignorais qu’tu étais bilingue » La Gryffondor ricana, et tapota le flanc de la vachette avant de sourire d’un air un peu attristé. « Enfaite, je suis complètement nulle en espagnole, moi je suis italienne. » Elle marque un petit temps d’arrêt et regarde la vachette droit dans les yeux. « Alors je lui ai parlé dans un anglais approximatif avec un accent espagnol. » Pour tout dire, ça n’a pas marché, et lorsqu’elle observe la vache droit dans les yeux, elle tente alors un mi-espagnol, mi-italien. « Segnorita, tu esta una espagna … meuuugh ? » A défaut de savoir dire vache en espagnol ou en italien, elle imitait le bruit qu’elle faisait…
Puis Raven revient sur le sujet des grains de beauté, et Maddalena lança un regard plein de charme à son amie en clignant un peu des yeux, battant des cils. « Tous ? Hum pas ceux qu’tu n’a pas vu » Et elle l’observe, surtout son sourire plein de malice et elle ne peut qu’éclater de rire avant de regarder ses seins, son grain de beauté, et l’identique sur les siens. « Copieuse » « Comment ça ? » s’exclama-t-elle d’un coup, et en tirant la blonde vers elle, sa main dans la sienne, et l’autre chatouillant ses côtes alors sue ses lèvres sont sur son cou, sa gorge, et qu’elle s’amuse à mordiller sa peau, un peu comme un chaton qui joue. « C’est pas vraaai. » murmure-t-elle finalement. « J’ai pas copié. » Et leur attention revinrent d’un coup sur la vachette, et elles s’étaient rapprochées, Maddalena caressant doucement sa tête, s’amusant à souffler sur son museau. « Tu sais comment on fait toi ? Moi j’ai plus souvent vu les diner mondain étant gosse que les verts pâturages, les poules, les oies et les canards. On fou ses doigts où ? » « A ton avis ? » répondit la brune du tac au tac, un grand sourire pervers aux lèvres, puis elle reprit un peu de contenance. « Eh bien… Moi j’ai souvent vu la campagne en Italie, donc je sais un peu comment on fait… Enfin j’espère. » Elle s’approcha un peu plus de la vachette, observant Raven qui faisait pareil, mais d’une manière plus … euh… étrange. Elle était carrément allongée sous la vache, alors que Maddie s’était agenouillée à côté, dans la même position que les fermières à la télévision moldue. « Bon d’après ce que j’ai vu, j’crois qu’elle a les mamelles pleine ! » Maddalena ne peut retenir un petit ricanement et applaudit la blonde en gardant son équilibre, avant de s’assoir en tailleur –en indien comme elle dirait- et elle observe la vachette. « Alors, Madame la Mondaine, tu te mets à jouer à la fermière ? Ca s’appelle des pis. » Un grand sourire colgate pour son amie. « Dit on va en faire quoi du lait après ? Un gâteau ? » « Bonne idée ! » Mad, vous voyez, c’est le genre de fille qui ne pense qu’à manger tout le temps, et surtout si on lui parle de gâteau. Donc il ne faut jamais lui proposer d’aller faire un gâteau avec elle, sinon elle restera collée à votre jambe toute la journée. « Alors qui commence ? Quoi que il nous faudrait peut-être un saut ou quelque chose pour récupérer le lait avant …. » Si elle avait pu, Maddalena aurait fait un énorme pas un en avant, aurait jeté sa meilleure amie sur la vachette et lui aurait dit que c’était à elle, la Mondaine, de commencer avant de ricaner et de lui faire un câlin, mais le problème était qu’il n’y avait pas de saut. Maddalena se redressa alors un peu et sortit un autre livre, puis elle pointa sa baguette dessus. « TRANSFORMA ! » Une nouvelle volupté de fumée apparue, les engouffrant toute les deux, et la Gryffonne se mit à secouer sa main devant ses yeux pour faire partir la fumée. Lorsqu’elle disparut entièrement, il n’y avait que la hanse du saut parterre. « Ah… Ca pas marché. Ca doit pas marché deux fois de suite. » Parce que oui, la Rouge et Or savait parfaitement faire apparaître une vache, mais pour le saut qui va avec, c’était résultat nul. Etrange cette Maddalena ! | |
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InvitéInvité
Jeu 3 Juin - 18:30 |
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| « Enfaite, je suis complètement nulle en espagnole, moi je suis italienne. » . La blonde l’ignorait et saisit la perche qu’elle lui tendait pour la taquiner. « Italienne ? Alors dans ce cas là tu a le sang chaud. Tu savais que les italiens étaient réputés pour savoir séduire ? » Demanda-t-elle avec un sourire malicieux. La brunette regardait la vachette dans les yeux, et Raven se demanda si son amie cherchait a communiquer avec elle par la pensée, ce qui l’aurait bien fait rire. « Segnorita, tu esta una espagna … meuuugh ? ». La jeune Stinson se mit à rire, amusait. « Le prend pas mal mais… j’crois qu’elle t’aime pas. ». Elle l’attrapa alors par la main et la ramena à elle pour la serré dans ses bras comme pour la consolé de cette déception, avant de la lâcher. La conversation dériva ensuite sur ses grains de beauté, dont un qu’elles avaient au même endroit. Raven l’accusa d’ailleurs de copieuse et Maddalena la ramena alors vers elle en la chatouillant doucement tout en promenant ses lèvres dans son cou. La blonde se mit doucement à rire sous ce contact. Elles avaient toujours se besoin de se toucher et de se sentir proche de l’autre comme si elles étaient aimanté à défauts d’être amante. Parce qu’elle avait beau parfois s’embrassaient, Raven ne considéré pas Mad comme sa petite amie, elle était plus que ça, et avait une place bien plus grande dans son cœur.
Les deux amis s’interrogèrent ensuite sur la façon dont une vache devait être traie car ce n’était pas vraiment une activité dont elles avaient l’habitude. Raven ne pût s’empêcher de placer une allusion pleine de sous-entendu dans la conversation et Maddalena la suivit dans son délire pour son plus grand plaisir. « A ton avis ? » « Hum hum… intéressant tout ça ». Un sourire mais déjà la brunette reprenait son sérieux lui disant qu’elle n’y connaissait rien alors que Raven avait déjà dans l’idée de voir ce qui se passait dessous l’animal. D’ailleurs elle ne tarda pas à se glisser sous la vache comme s’il s’était agit d’une voiture avant de faire son rapport à son amie. « Alors, Madame la Mondaine, tu te mets à jouer à la fermière ? Ca s’appelle des pis. ». Pour réponse Raven lui tira la langue, montrant ainsi qu’elle s’en fichait bien. Elle proposa ensuite de faire un gâteau avec le lait et Mad sembla enthousiasmé par l’idée. Malheureusement elles n’avaient pas de seau pour récolté le lait, ce que la jeune Stinson fit remarqua et Maddalena sortit alors un livre et pointa sa baguette dessus. La blondine haussa un sourcil peut convaincu alors que l’autre élève lançait le sort et qu’un épais nuage de fumée envahissait les toilettes. Par reflexe Raven attrapa la main de Maddalena pour ne pas la perdre et la serra légèrement. Lorsqu’elles y virent plus clair, elles purent distinguer la hanse d’un seau et la blonde étouffa un léger rire. « Ah… Ca pas marché. Ca doit pas marché deux fois de suite. » « Oui. C’est pas grave » fit-elle avec une moue désolé en posant une main réconfortante sur l’épaule de Mad.
Un étrange son retentit alors. « Beeeeh » . Raven se retourna, ayant déjà une petite idée de se qui avait bien pût pousser ce son mais préférant en être sûr. Elle écarquilla les yeux de surprise en posant son regard sur la chèvre blanche qui se trouvait désormais dans les toilettes avec elles. « Oh oh… » Laissa-t-elle échapper avant de tourner la tête vers Mad « En fait si regarde… ça a marché ! » Fit-elle pour la rassuré. « Sauf qu’apparemment ton sort il sert qu’a matérialisé des animaux ». La blondine eut un léger rire, alors que la chèvre tout comme la vachette quelque minute plus tôt, lécher le carrelage comme s’il s’était agit d’herbe. « Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? On a toujours pas de seau ! ». Raven s’inquiéter plus de l’absence de récipient pour recueillir le lait que par la présence d’animaux qui n’avait rien à faire là. « Tu crois qu’une de nous deux pourrait en chercher un ? Dans l’optique où on serais capable de se passer l’une de l’autre bien sûr » fit-elle avec malice en regardant Maddalena avec une légère provocation avant d’attraper sa main et de lui adressait une moue boudeuse et attendrissante comme si elle avait dit une bêtise. Elle semblait la dévoré des yeux tout en entendant qu’elle la réprimande. | |
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