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| The boulevard of broken dreams | |
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Andrew M. DangeloSORCIER.
► MESSAGES : 104 Mar 2 Mar - 20:24 |
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| PREMIER POST RÉSERVÉ À LUKE
Non, pas encore ! Andrew devait encore rendre un service à sa mère pour la troisième fois en six semaines. Il en avait marre de se rendre à Londres pour sa mère, mais il ne pouvait refuser rien à sa mère, ni à son père d’ailleurs. Il n’était pas le chef de sa propre vie qui était contrôlée par un autre que lui. Sa mère contrôlait sa vie depuis qu’il est petit. La fessé n’avait jamais été rare pour le petit Andrew qui avait toujours été différent du reste de la famille Dangelo. Il avait toujours pensé différemment depuis sa tendre enfance. Il avait toujours cru que dieu n’existait pas. Il avait toujours voulu connaître ce monde que sa mère disait que c’était les damnés qui vivaient dans ce monde si dur et cruel. Peu importait pour lui. Il voulait connaître la vraie vie, mais il n’avait jamais eu la chance de connaître, avant poudlard, ce monde qui lui avait été toujours interdit. Depuis qu’il était à Poudlard, il apprenait comment vivre en société. C’était bien difficile, puisqu’il était le seul à ne pas en croire ses yeux lorsque certains évènements étaient étranges et contre sa religion. Pourtant, Andrew ne croyait pas à sa religion. Il ne voyait pas l’utilité de ça, ses croyances totalement connes, ils étaient tout de même des sorciers, en plus sa famille était des sangs-purs. Comment croire en ses croyances qui ne valaient même pas la peine d’être connue ? Andrew ne comprenait absolument pas sa famille de suivre la religion et encore moins de se cacher de la vraie vie. Andrew devait donc rendre service à sa mère qui ne voulait pas sortir du manoir. Son père travaillait, mais n’avait aucunement envie d’aider sa femme à faire ce qu’elle avait besoin. Andrew devait donc se rendre encore une fois à Londres pour se pointer au ministère et attendre des heures et des heures pour voir cette fameuse personne dont il devait faire le message ou faire signer un truc en main propre. Comment pouvait-il ne pas être énervé de passer sa vie à rendre service à une femme qui avait toujours levé la main sur lui ? Il ne pouvait pas lui refuser, car elle lui avait donné la vie et il avait terriblement peur de la voir apparaître pour venir lui donner cette fameuse claque. Il n’avait pas envie de connaître encore la fessé. C’était plutôt honteux de recevoir ce genre de punition à son âge.
Andrew était donc parti le vendredi soir, directement après l’école. Il partit en train et se rendit dans le grand hôtel que sa mère lui avait réservé avec ses valises. Il prit une douche rapide dans ce grand hôtel où il allait passer la fin de semaine complète là-bas. Il avait envie de sortir, mais il n’avait pas l’âge de connaître la vraie vie de Londres. Le genre de sortie qu’on faisait en boîte, mais Andrew voulait sortir d’ici, car il s’ennuyait. Au fond, il voulait revoir Talia, car il avait de l’espérance. Le poufsouffle sortit de la douche et s’habilla comme une personne normale. Il portait un jeans et un simple t-shirt, il mit une veste pour se couvrir puisque dehors c’était frais. Andrew partit donc de l’hôtel, il cherchait un endroit où manger en paix sans que personne n’allait le déranger. Andrew s’était rendu à un petit restaurant de pâte où il mangea et ressortit une trentaine de minute plus tard. Il décida de s’arrêter dans un petit café pour aller s’en chercher un et se dirigea dans un parc presque désert assis près d’un buisson. Il regardait le soleil se coucher lentement sur cette grande ville. Andrew n’avait vraiment rien à faire. Il prit quelques temps à finir son café avant de le jeter aux ordures pour finalement se lever pour retourner tout doucement dans son hôtel. Il commençait à se faire tard et il savait que la nuit, Londres était totalement différemment. Andrew s’était levé et avait commencé à marcher. Voyant qu’il commençait à faire plus rapidement sombre, il décida qu’il devait passer à travers une ruelle bien sombre. Andrew avait sa baguette sur lui, mais cette ruelle lui faisait tout de même un peu peur. Il ne savait pas pourquoi, mais un petit frisson lui parcourra le dos lorsqu’il mit le pied dans ce petit chemin. Tout à coup en pleins milieux de la longue ruelle, il entendit des pas vers sa gauche. Il chercha de ses yeux qu’est-ce que ça pouvait bien être.
« Bonsoir ? Il y a-t-il quelqu’un ? Youhouuu ? » dit-il cherchant tout autour de lui. Il haussa les épaules et continua à avancer en glissant sa main dans sa poche de son jeans serrant légèrement sa baguette dans sa main sans que personne ne s’en rende compte. Andrew marcha un peu plus vite avant de se faire plaquer durement contre le mur. Il ne voyait pas son agresseur. Il faisait si noir… Andrew avait terriblement peur. Il figea sur place…« Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? » dit-il avec une voix qui le trahissait. On pouvait ressentir sa peur… | |
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Luke MidnightMAGISTER. ►ès Métamorphoses.
► MESSAGES : 573 Dim 14 Mar - 21:01 |
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| « J'm'ennuie... » lâcha platement Luke, laissant apparaître sur son visage angélique cette moue boudeuse d'enfant capricieux. Un bref regard circulaire autour de lui lui laissa rapidement comprendre que tout le monde s'en foutait pas mal. Sans doute parce que Luke n'était que très rarement satisfait de l'instant présent. Ses amis et connaissances le savaient complètement hyperactif et n'ignoraient pas qu'il passait son temps à se plaindre de son ennui latent. Aussi, personne ne prit ne serait-ce que la peine de lui répondre. Le jeune Mangemort marmonna quelque chose d'incompréhensible mais, dans ce charabia inintelligible, un auditeur averti aurait pu capter d'aussi délicieuses paroles que "vous me faites tous chier", "de toutes façons vous êtes tous que des loosers de prolétaires". Et j'en passe. Agacé par le manque d'enthousiasme flagrant de ses amis, Luke se leva brusquement et transplana sans rien ajouter de plus. Ses errances hasardeuses le menèrent à Londres, l'une des villes où, malgré toutes celles qu'il avait pu visiter, allait sa préférence. Tout semblait plus simple dans la cité londonienne, rien ne semblait capable de l'arrêter, il se sentait comme un fauve sur son territoire de chasse. Un roi. Un conquistador. Comme souvent lorsque Luke s'ennuyait, il chercha quelque chose capable de le divertir suffisamment. Et comme toujours, il se retrouva assis au sommet du London Bridge, ses jambes pendant mollement dans le vide, tandis qu'il observait les gens poursuivre leurs routes sans le remarquer, milliers de petites fourmis grouillant en tous sens. Midnight aimait cet endroit plus que n'importe quel autre. Là, assis au sommet de Londres, il se sentait libre et heureux, détendu, supérieur à tous ces êtres ridicules (les Moldus) qui n'auraient jamais l'occasion de contempler une telle vue. C'était un privilège réservé aux seuls sorciers et plus qu'en être conscient, il en était fier et imbu, se sentant gonflé d'une importance singulière qui lui faisait pousser des ailes. Il alluma nonchalamment une de ses cigarettes, une Winston bien entendu, il ne pouvait en fumer d'autres, et tira dessus quelques bouffées salutaires dont les volutes s'envolèrent bientôt en un nuage blanchâtre et évanescent. Son regard bleu-gris scrutait les profondeurs de la ville, à la recherche d'un amusement inopportun, une occasion de s'amuser, si possible aux dépens d'un autre, puisqu'il n'est jamais très drôle de s'amuser seul. Parmi toute cette foule de banals badauds inintéressants, le regard acéré de Luke capta un visage différent, une noblesse dissimulé sous des vêtements indignes (comprenez Moldus). Il avait beau être accoutré à leur mode débile, ce jeune inconnu n'en était pas néanmoins un sorcier, et de sang-pur de surcroît, il en aurait mis sa main au feu. Un sourire inconscient naquit sur les lèvres de notre jeune mangemort, un sourire aussi cruel qu'il était ravi. Midnight suivit des yeux le jeune homme, l'observant boire son café, détaillant chacun de ses mouvements, comme une analyse approfondie de son nouveau sujet d'études (c'est-à-dire potentiel futur jouet). Il avait en tous cas l'air assez jeune pour être encore élève à Poudlard, ce qui n'en serait que plus amusant, au vu de la faiblesse supposée des jeunes sorciers. Finalement, cette soirée s'annonçait plus prometteuse en divertissement qu'il n'y été paru de prime abord. Voyant le jeune homme disparaître au détour d'une ruelle sombre, Luke laissa échapper un ricanement : l'agneau qui se jette dans la gueule du loup... Midnight envoya valser sa cigarette encore rougeoyante d'une pichenette et transplana à nouveau, cette fois-ci quelques mètres à peine derrière sa proie auto-désignée. Volontairement, il claqua des talons, ses pas résonnant dans la venelle, menaçants. Voir sa victime se débattre avec sa peur était presque aussi jouissif que de la tuer soi-même. « Bonsoir ? Il y a-t-il quelqu’un ? Youhouuu ? »
Luke sourit, amusé : délicieuse petite créature. S'il avait été un animal, sûr qu'il aurait déjà été en train de saliver. Finalement, il n'y tint plus davantage et, surgissant de derrière le jeune homme avec la rapidité de l'éclair, il l'attrapa par le col pour le plaquer contre le mur froid et humide, sans le moindre ménagement. Autant l'impressionner tout de suite, il n'en sera que plus docile, non ? Même si les intentions de Luke n'étaient encore pas clairement définies dans son esprit, il s'était déjà promis à lui-même d'en faire son repas du soir. « Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? » Le sourire mesquin de Luke dévoila ses dents blanches, tandis qu'un nuage, dévoilant enfin la lune, éclaira leurs deux visages. Certes, Luke ne devait pas faire physiquement plus âgé que son jouet mais il avait dans les pupilles une lueur féroce qui, si elle n'inspirait pas le respect provoquait tout du moins la crainte. « Je crois que tu es tombé sur le Grand Méchant Loup, petit agneau perdu. » Il passa sa langue sur ses dents, une fâcheuse habitude que même son éducation aristocrate n'avait pu annihiler. « Maman ne t'a jamais dit de ne pas te promener tout seul le soir ? » Midnight ricana et, sans lâcher le col du jeune homme, il attrapa de son autre main le menton de sa victime et lui fit tourner brusquement la tête vers la gauche, afin de mieux observer son visage à la lueur lunaire. Harmonieux, bien proportionné, un vrai physique de mannequin. Sans doute était-ce cela qui l'avait attiré en premier lieu, connaissant le goût de Luke pour la beauté. Il le relâcha finalement, sans pour autant lui laisser assez de marge pour pouvoir s'échapper. « Quant à ce que je veux... Je n'y ai pas encore réfléchi. Tu proposes quoi en échange de ta vie ? » Tout cela sonnait un peu comme un dialogue de film, preuve que le mangemort était loin d'avoir fini de jouer... | |
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Andrew M. DangeloSORCIER.
► MESSAGES : 104 Mar 16 Mar - 23:58 |
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| Le gentil Andrew n’avait jamais vraiment choisi la vie qu’il voulait mener, mais ce qu’il était sur, c’était qu’il était un peu trop gentil. Il se tenait au côté de sa famille fièrement, même s’il n’était pas fier d’être ce qu’il était. Il était un flanc mou et il le savait. Qu’avait-il fait lorsqu’il avait été voir Talia à l’hôpital ? Il avait joué au mou et au trop gentil. William était venu le chercher croyant qu’il allait faire des bêtises, mais au fond, il ne voyait pas pourquoi William voulait autant le protéger. Andrew avait la malchance d’être un adolescent plutôt fragile et sentimental. Il était tout sauf méchant. On aurait presque pu le croire pour un homosexuelle extrêmement féminin, mais non… il avait ce comportement parfois viril qu’il cachait profondément en lui, comme si ce comportement se cachait au plus profond de son être te de son âme. Le poufsouffle avait déjà démontré un comportement dès plus violent envers un autre élève qui l’avait traité d’homosexuelle. Il n’acceptait pas ce comportement. Il n’était pas gay. Il n’avait jamais eu des vus sur un autre homme. Il préférait grandement le corps des femmes, même s’il n’en avait jamais vu une en vrai en habit d’Ève. Il avait tout simplement aperçu les courbes délicieuses à travers les vêtements subjectifs. Andrew ne comprenait même pas son propre corps. Tout ça était compliqué. Il savait comment on faisait des bébés, mais il ne comprenait pas pourquoi il se réveillait avec son intimité dressé par moment. Il ne comprenait pas pourquoi son corps réagissait ainsi. Pourquoi son corps réagissait pendant la nuit ? Pourquoi lorsqu’il regardait une femme, ressentait-il un désir mordant qui ne cessait de grandir à chaque fois qu’il posait son regard sur le corps cette fameuse femme ? Il ne le savait pas. Le pire c’était qu’il n’était pas le maître de sa propre vie. C’était compliqué, plutôt extrêmement compliqué lorsqu’on ne comprenait pas notre propre corps ou encore ne comprenant pas comment mener sa propre vie. Alors ne lui demandez surtout pas, comment on devait réagir à présent lorsqu’on se sentait menacer dans une ruelle sombre. Il n’avait pas toujours écouté sa mère, mais souvent ce qu’il ne faisait pas comme il le fallait le rattrapait bien vite. Avait-il prévu la suite des choses ? Je ne crois pas personnellement. Personne ne choisissait la suite des choses … Il n’était pas devin et ni voyant. Il était loin d’avoir ce genre de capacité magique. La seule chose qu’il était sur, c’était qu’on avait réellement l’impression qu’Andrew sortait tout droit d’une autre époque, comme s’il ne pouvait vraiment exister à cette époque ? Était-ce à cause de son éducation ? Sûrement… C’était toujours de la faute de son éducation, mais pouvait-on croire que Michael Rufus Andrew Dangelo, l’un des aïeul de Andrew ait pu prendre le contrôle de l’un de ses lointains petits fils ? Sait-on jamais, parfois le monde des sorciers offrait des surprises dès plus surprenantes et étranges…
Que faisait-il dans cette ruelle sombre ? Pourquoi avait-il eu la brillante idée de couper à travers cette ruelle sombre pour arriver plus rapidement à son hôtel où il passait sa fin de semaine ? Il savait que couper à travers les ruelles lorsqu’il faisait noir était dangereux, mais apparemment, il avait omis de penser à deux fois avant de mettre pied dans ce petit chemin sombre. Andrew n’avait fait quelques pas avant d’avoir l’impression d’être suivi. Le poufsouffle commença à angoisse fortement. Qu’avait-il fait ? Que faisait-il dans cette ruelle ? Devait-il courir ? Non, sinon cette personne saurait qu’il savait et il le poursuivrait ? Soit qu’il était con ou qu’il n’était pas sur de ce qu’il disait en demandant s’il y avait quelqu’un. Grave erreur ! ça lui couta cher d’avoir agi ainsi. Le jeune Dangelo se ramassa contre le mur. Son souffle fut coupé sur le coup. Andrew tentait de reprendre son souffle un peu sonné. Quelqu’un ou quelques choses de puissant venait de le prendre en chasse, mais il ignorait tout ça. Il ignorait qui était cette personne, même s’il tentait d’apercevoir le visage de son agresseur. Il se sentait si petit. Andrew avait toujours sa main dans la poche droite de son pantalon en serrant jusqu’à s’en faire mal à ses jointures sa baguette. Pouvait-il réussir à lui lancer un sort ? était-il capable de la sortir premièrement ? Il n’en savait rien en fait. Andrew aperçu à peine le visage de son agresseur un instant, lorsque la lumière de la lune éclaira ce dernier, mais il sentit sa tête se tourner vers la gauche. On l’obligeait en fait. Il se sentait de plus en plus observer, comme si l’homme qui le gardait « prisonnier » n’avait jamais vu un autre homme de sa vie… « Je crois que tu es tombé sur le Grand Méchant Loup, petit agneau perdu. Maman ne t'a jamais dit de ne pas te promener tout seul le soir ? Quant à ce que je veux... Je n'y ai pas encore réfléchi. Tu proposes quoi en échange de ta vie ? » Andrew écoutait ne sachant quoi répondre. Il voulait déguerpir en courant le plus rapidement possible, mais il était impossible de le faire. « Bien, ma mère m’a toujours dit de ne pas parler aux inconnus, mais elle m’a jamais parlée qu’un homme pourrait me prendre force. Je ne sais pas ce que vous voulez, mais si c’est de l’argent. J’en ai tous pleins. Je peux vous faire un chèque, s’il faut… » dit-il rapidement. « à moins, que… » il fit des énormes yeux croyant qu’il venait de découvrir les intentions incertaines de cet agresseur. « Je peux savoir votre nom ? Pourquoi vous me regardez ainsi ? Je… » il déglutit avec difficulté. « Voulez-vous réellement me faire du mal ? Que voulez-vous me faire ? Qu’avez-vous en tête ? » Le pauvre Andrew commençait à gigoter pour se défaire et se sauver. Le poufsouffle voulait sauver sa peau, mais il était trop gentil pour faire du mal à quelqu’un. Andrew poussa l’inconnu en tentant de se sauver. Il fit quelques pas, mais…
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