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 (v) And so it is, the blower's daughter, the pupil in denial...

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PROFIL & INFORMATIONS









Anonymous

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(v) And so it is, the blower's daughter, the pupil in denial... #Sam 30 Jan - 21:15




OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.


    (v) And so it is, the blower's daughter, the pupil in denial... 2r2rypz NOM : Jonson.
    PRENOM(S) : Émelie
    AGE : 16 ans.
    ORIGINE(S) : Émelie est née au Canada, dans le Nord.
    PROFESSION : Aucune, elle étudie à Poudlard.
    ETAT CIVIL : Célibataire, j'commence à m'y faire... *hum*


OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent.

    Pour que vous compreniez bien qui est Émelie, il faut remonter 16 ans en arrière, faire un aller outre-mer, éviter les nuages, traverser le Canada de bas en haut, tenter de ne pas se faire tuer par un chasseur qui nous prend pour un canard et poser ses fesses dans la neige, devant un village Inuit. Nous voici donc en 1993, dans le Nord. Paul et Jennie, deux jeunes amoureux, ont eus il y a quelques mois une soudaine envie de visiter le Nord, en même temps que celle d'avoir un enfant. Reconnus pour leur spontanéité, ils sautent dans un avion, roulent quelques heures, prennent des milliers de photos, prennent un autre avion et finalement, se retrouve les deux pieds dans la neige, vêtus d'anorak, de bottes, de mitaines en peau de phoque et de tout ce qui va avec, y compris le capuchon énorme. Jennie arbore un gros ventre rond. Elle en est à son 8e mois et est plus excitée que jamais. Dire que dans environ 4 semaines, elle va accoucher d'un enfant ! Elle ignore encore si c'est une fille ou un garçon, par contre. Paul transporte leurs affaires dans un traîneau qu'il traîne derrière lui, cependant que Jennie prend en photo tout ce qu'elle voit, y compris la maman ours polaire qui chasse un peu plus loin et les quatre bébés qui la suivent. Après quelques jours de marche intensive, ils se retrouvent donc dans un village Inuit dont le nom est imprononçable et apprennent avec bonheur la culture, la langue et les coutumes Eskimau. Un jour qu'ils se promènent, Jennie fait une vilaine chute et le travail commence. Complètement paniqué, Paul jette toutes leurs affaires par terre et la couche dans le traîneau, qu'il traîne jusqu'au village. Une vieille dame leur explique avec des signes qu'elle va s'occuper de Jennie et du bébé, que c'est une habituée. Jennie se retrouve donc entre les mains de la vieille femme. Après quelques heures de travail intensif, on entend enfin le bruit que tout le monde voulait entendre - des pleurs. « C’est une fille » annonce la vieille Inuit. Jennie prend la petite dans ses bras, un large sourire aux lèvres, cependant que Paul tente de se rafraîchir avec de la neige. Cependant, étant prématurée, on doit emmener la petite à la ville la plus proche. Les Inuits, attachés aux deux jeunes gens, organisent donc un voyage. Ils attachent des huskys à un traîneau sur lequel ils posent des provisions et une grosse couverture de fourrure pour que Jennie et le bébé puissent dormir. Paul conduit le traîneau jusqu’à la frontière et rendu là, déniche une voiture qui veut bien les conduire à la ville la plus proche. Quelques heures plus tard, on pose la petite fille dans un incubateur et on la branche sur un respirateur. Elle ne sort de là que 3 semaines plus tard, en parfaite santé. Malheureusement, un an plus tard, Jennie meurt d’une infection qu’elle a attrapée dans le Nord et Paul se retrouve seul avec une petite fille âgée d’un an et un mois. Vers ses 5 ans, la fillette, qu’on a nommée Émelie, reçoit son premier vélo, de la part de son père. Les gens disent qu’elle ressemble de plus en plus à sa mère, même si elle possède les yeux de son père. Celui-ci, avec sa moustache brune, sa couronne de cheveux et ses grosses lunettes, est le père célibataire typique et il fait bien rire sa fille lorsqu’il lisse sa moustache du bout des doigts. Puis, vers ses 6 ans, alors que son père vient de lui acheter une sucette rouge, elle l’échappe et le bonbon s’envole vers le ciel, comme un gros ballon rouge. Comme son père est Moldu, il ne comprend pas ce qui se passe et se contente donc de lui en acheter une autre. Cependant, d’autres petits évènements isolés comme celui-ci l’inciteront à réfléchir sur lui-même et plus précisément, sur sa fille. C’est pourquoi, vers ses 10 ans, il l’emmène voir tour à tour des médecins, des psychologues, des pédiatres, même des thérapeutes, ce qui explique probablement l’aversion de Émelie pour tous ceux qui portent des uniformes blancs. En effet, sa fille a un comportement de plus en plus bizarre, renfermé. Le jour, elle va à l’école, puis le soir, elle s’enferme dans sa chambre et n’en sors que pour aller faire pipi ou se brosser les dents. Mais ce que son père ne sait pas, c’est qu’en fait elle s’est découverte des genres de pouvoirs. Elle peut, par exemple, faire voler un crayon d’un bout à l’autre de la pièce et une fois, elle a réussie à teindre en bleu vif sa souris Minnie. Malheureusement, celle-ci est morte d’une crise cardiaque sur le coup. Chaque fois qu’elle le peut, elle se concentre de toutes ses forces sur un objet et celui-ci s’élève lentement, puis fait le tour de la pièce. Mais ses capacités mentales sont encore loin d’être au point et l’objet finit toujours par retomber par terre au bout d’environ 30 secondes, ce qui frustre au plus haut point la jeune fille. Plus bas, plus bas pour le reste !




OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler.


    Quelle forme prend votre Epouvantard ? Un ciel noir, tout simplement. Émelie a une peur bleue des endroits où il fait noir, donc elle ne s'aventure pas souvent dans le parc de l'école la nuit, excepté lorsqu'elle a vraiment besoin d'être seule. Elle adore regarder la lune.
    Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Sa mère, qui représente un idéal féminin, pour Émelie. Elle ne se souvient pas d'elle, ne posséde que des photos, mais malgré tout, elle aimerait la revoir.
    Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Probablement chez son père, dans l'État de New York. Ils ne sont pas très riches et Émelie n'a pas la possibilité de retourner à la maison pendant les vacances.
    Quelle forme prend votre Patronus ? Le patronus d'Émelie est un loup, étrange coïncidence puisqu'elle en a déjà rencontré un en forêt, pendant qu'elle se promenait avec son père. Disons que cet animal l'a marqué.
    Quel est votre sortilège favori ? Wingardium Leviosa. Émelie adore soulever des objets et les faire voler.
    Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Endoloris, certainement. Émelie déteste avoir mal, même si ce n'est qu'une toute petite coupure.
    Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Un genre de mal de ventre horrible, de la nervosité... Rien de plus banal.
    Quelle forme de magie vous attire le plus ? Toutes les formes ?
    Appréciez-vous la discipline ? Oui et non.
    Quelle est la pureté de votre sang ? Émelie est tout ce qu'il y a de plus impur, puisque ses deux parents étaient Moldus. Du moins, c'est ce qu'elle croit, puisqu'elle n'en a jamais parlée avec son père.


OO4. Vous ! Oui, vous !


    PSEUDONYME, PRENOM : Kim.
    AGE : 15 ans.
    AVATAR UTILISE : Clémence Poésy (:
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Je l'ai connu grâce à Acide Édulcoré, je parcourais la liste des partenaires et le nom m'est sauté aux yeux. <3
    LE MOT DE LA FIN ? Au début je lisais Pouet & Pendulum, hum...











Anonymous

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(v) And so it is, the blower's daughter, the pupil in denial... #Sam 30 Jan - 21:20


Assise sur un fauteuil près d’une fenêtre, une jeune fille feuilletait un journal. Elle se nommait Émelie et avait 11 ans. Elle avait toujours eue un petit côté garçon, peut-être était-ce dû au fait que c'était son père qui l'avait élevée. Elle avait des traits plutôt gras et détestait s'habiller en fille. Elle préfèrait de loin les t-shirts et les jeans. Tournant une page, elle appris que les filles d'aujourd'hui préfèrait de loin s'habiller en fille qu'en homme, ce qui la fit sourire. Elle n'accordait pas grande importance à son apparence. Soudain, elle entendit un petit tapotement. Levant la tête, elle écarquilla les yeux en voyant un hibou grand duc qui tapotait contre sa fenêtre, le plumage trempé par la pluie. Émelie avait passée quelques mois à étudier les oiseaux, l’année dernière. Elle avait même demandée des livres sur les hiboux pour sa fête, elle savait donc qu’il fallait être prudent avec ces oiseaux. Elle cligna plusieurs fois des yeux, se disant que ce n’était qu’un mirage, puis ouvrit sa fenêtre et observa l’observa avec de grands yeux. C’était la première fois qu’elle voyait un hibou grand duc en vrai. Elle tendit les doigts vers le bec crochu, puis se ravisa. Et s’il la mordait ? Ça lui était arrivé une fois, alors qu’elle visitait un centre pour oiseaux blessés avec sa classe. Elle l’examina des pieds à la tête, puis lâcha un hoquet de surprise en voyant une enveloppe entre les serres du volatile. Le hibou pencha la tête sur le côté, comme si il l’encourageait à la prendre. Émelie avança les doigts vers le papier jauni et le hibou grand duc leva la patte, serrant toujours la lettre entre ses longues griffes. La jeune fille saisit lentement la lettre, puis s’éloigna de la fenêtre et se laissa tomber sur son fauteuil, abasourdie. Depuis quand la poste livrait-elle des lettres par hibou ? L’enveloppe était faite d’un papier jauni, l’adresse était écrite à l’encre vert émeraude et elle ne comportait pas de timbre. La lettre ne pouvait toutefois pas être destinée à ses parents, puisque l’adresse était on ne peut plus exacte :

Mme G. Jonson
Dans la plus petite chambre
11, Spring Street
Chelsea
État de New York


La main de Émelie se mit à trembler violemment et elle dut poser la lettre sur son bureau pour ne pas l’échapper. Le hibou roucoula doucement et vint se poser sur le bras du fauteuil, comme si il voulait lui dire d’ouvrir l’enveloppe. La jeune fille se saisit de l’enveloppe jaunie et la retourna. Derrière, elle vit un sceau de cire frappé d’un écusson qui représentait un aigle, un lion, un blaireau et un serpent entourant la lettre « P ». Des gouttes de pluie s’abattirent soudainement sur le papier jauni et Émelie se rappela avoir ouvert la fenêtre. Elle la ferma rapidement, puis reporta son attention sur l’enveloppe. Le hibou roucoula et lança un regard courroucé à la jeune fille, qui s’empressa de déchirer le papier et de sortir la lettre qu’elle contenait de l’enveloppe jaunie. Les mots étaient écrits d’une écriture serrée, gracieuse, à l’encre noire.

Chère Mme Jonson,
nous avons le plaisir de vous informer que vous avez été accepté au collège Poudlard, école de sorcellerie. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard. Veuillez croire, chère Mme Jonson, en l’expression de nos sentiments distingués.

Lilith Emerald Grey,
Directrice-adjointe


Émelie haussa les sourcils lorsqu’elle lut la date. Le 31 juillet ? Mais c’était passé ! Puis, le choc des dates passé, elle se rendit compte que ce qu’elle venait de lire n’avait aucun sens. École de sorcellerie ? Oh pitié, quelle blague nulle ! Ce devait être un des élèves de sa classe qui lui envoyait cette lettre. Mais le hibou, d’où venait-t-il ? Elle était certaine qu’aucun des élèves de sa classe ne possédait de ménagerie ou encore de volière. Le hibou grand duc se dandinait sur ses pattes devant la fenêtre, tapotant du bout du bec les carreaux. La jeune fille sauta sur ses pieds et alla lui ouvrir la fenêtre, pour la refermer aussitôt le hibou envolé. Fronçant les sourcils, elle s’étendit sur son lit, croisa les pieds et plissa les lèvres. Elle détestait ce genre de blague. Coinçant une mèche rebelle derrière son oreille, elle s’assit en tailleur puis tourna la lettre dans tous les sens, la secoua, souffla dessus, mais en vain. Habituellement, ça marchait avec les lettres des magasins de farces et attrapes, mais cette fois, rien ne se passait. Émelie songea un moment à la montrer à ses parents, mais se ravisa. Ce n’était qu’une blague, après tout. Rassurée, elle jeta le tout dans la poubelle, puis attrapa une revue sous son lit et se mit à lire. Mais elle était tellement bouleversée par cette lettre qu’elle ne se rendait même pas compte que le magazine était à l’envers ! Soudain, la jeune fille sursauta. Elle venait d’entendre un nouveau tapotement à sa fenêtre, un bruit qu’elle ne voulait plus entendre de sa vie. De l’autre côté du verre se tenait un autre hibou grand duc, quasiment pareil au premier, une lettre dans le bec. Elle se leva, à demi-penché, comme pour se protéger, puis tourna la poignée de la fenêtre et l’ouvrit lentement. Le hibou s’avança en sautillant vers la jeune fille, puis tendit la tête vers elle. Émelie s’empara de la nouvelle enveloppe, jeta un regard dehors puis referma la fenêtre et lut attentivement la lettre, de plus en plus étonnée.

Chère Mme Jonson,
nous venons d’être informés que le hibou s’étant perdu en chemin, vous n’avez reçue la lettre qu’aujourd’hui. Considérant cela, nous vous envoyons une voiture qui vous conduira au Chaudron Baveur, où le chauffeur vous accompagnera jusqu’au Chemin de Traverse. Rendu là, vous devrez vous fier à votre instinct et à la liste de fourniture qui se trouve dans la première enveloppe que vous avez jetée. Nous vous demandons de vous rendre à la gare de King Cross ce soir à 11hres, à la plateforme 9¾, afin que vous puissiez être à Poudlard le plus rapidement possible. Le chauffeur de la voiture vous expliquera tout en chemin.


La lettre était signée Le Ministère de la Magie. Avec un froncement de sourcils, Émelie regarda dehors pour être certaine qu’il n’y avait aucune voiture devant chez elle, puis jeta la nouvelle lettre et ouvrit la fenêtre au hibou, certaine que tout ça n’était qu’une blague ridicule. Cependant, quelques secondes plus tard, un coup de klaxon retentit devant chez elle. La jeune fille se leva en vitesse, puis regarda par la fenêtre et failli mourir d’une crise cardiaque. Devant chez elle était garée une voiture noire toute brillante et un homme en smoking coiffée d’une casquette de chauffeur lui faisait signe de venir avec un sourire charmant. Émelie retint un hoquet de surprise, puis, bien décidée à renvoyer ce chauffeur d’où il venait, elle enfila une veste noire, de petites ballerines de la même couleur, fourra les deux enveloppes dans ses poches, puis descendit les escaliers et sortit dehors, armée d’un parapluie ouvert. Elle rejoignit la voiture en quelques enjambées, furieuse, mais juste comme elle allait se mettre à crier sur le chauffeur, celui-ci agita un bout de bois et la portière du côté passager s’ouvrit toute seule, manquant de la frapper. Elle recula par réflexe, laissant tomber son parapluie par mégarde, puis resta bouche bée face à ce qu’elle venait de voir.

-Montez, lui dit le chauffeur d’une voix sympathique. N’ayez pas peur, je ne vais pas vous manger, ajouta-t-il en voyant l’air effrayé de la jeune fille.

Sans s’en rendre compte, elle monta dans la voiture et referma la portière, toujours aussi surprise par les deux hiboux qui s’étaient engouffrés par sa fenêtre et par cette portière qui s’était ouverte toute seule. Ses cheveux dégoulinaient d’eau et sa veste était trempée, malgré le peu de temps qu’elle avait passée sous la pluie. Bon sang, mais qu’est-ce que ça voulait dire ? Le chauffeur agita sa baguette, puis un truc noir vint cogner contre la fenêtre du côté passager. Émelie sursauta et reconnut son sac à dos bleu marine. Elle ouvrit la fenêtre et le posa sur ses genoux, un air d’incompréhension sur le visage.

-C’est pour transporter vos fournitures, expliqua l’homme.

Quelques minutes plus tard, dans un grand flash blanc, la voiture se gara. L’architecture ressemblait à celle des Anglais, signe qu’ils avaient quittés l’État de New York. Mais comment était-ce possible ? Ils étaient à présent devant un pub miteux coincé entre une librairie et un magasin de disques qui était tellement petit qu’à premier abord, elle ne l’avait même pas remarquée, ce qui était le cas pour tous les gens qu’elle voyait. Malgré l’heure matinale (il n’était que 6h00 du matin, Émelie n’ayant pas dormie de la nuit), plusieurs personnes se promenaient dans les rues, couverts d’écharpes, de gants et de bonnets de toutes sortes. L’homme l’entraîna vers le pub tout en prenant la parole.

-J’imagine que vous devez être assez mélangée, vous qui avez toujours vécue avec un Moldus !
-Des quoi ? s’exclama la fille.
-Les Moldus sont ceux qui ne peuvent pas faire de magie, lui répondit gentiment le chauffeur.
-Vous prenez vraiment ces lettres au sérieux, n’est-ce pas ? grommela Émelie.
-Évidemment ! Vous savez, les sorciers vivent depuis des siècles en compagnie des gens normaux, mais malgré cela, les Moldus n’en savent rien. Du moins, jusqu’à qu’ils reçoivent leur lettre, comme vous.
-Donc, commença la jeune fille, vous dites que je suis une sorcière ? Une personne qui peut lancer des sorts et transformer les gens en crapauds ?
-Oui et non. Nous pouvons transformer les gens en crapauds, mais ce n’est pas très bon pour notre estime. Seuls les sorciers de bas étages font ça, un peu comme dans les histoires de sorciers que les Moldus lisent à leurs enfants.
-Je vois.

Émelie commençait vraiment à s’en faire pour la santé mentale de l’homme qui se tenait en face d’elle. Mais évidemment, la curiosité l’emporta. Elle sortit les lettres et les montra à l’homme.

-Selon ces lettres, j’ai été admise à une école de sorcellerie euh… Poudlard.
-Oui, oui, Poudlard ! C’est la meilleure école de sorcellerie du monde, vous savez. Vous y apprendrez tout ce qu’il vous faut savoir pour devenir une sorcière digne de ce nom. L’école est située en Écosse.
-Et mon père ? s’exclama soudainement la jeune fille.
-Oh, il est en ce moment même assis dans votre salon, devant une bonne tasse de thé en compagnie d’un représentant du ministère. Il lui expliquera toute la procédure en détails, ne vous inquiétez pas. Contentez-vous de vous rendre à Poudlard. Votre billet de train est dans la deuxième enveloppe que vous avez reçue. Avez-vous d’autres questions ? ajouta l’homme. C’est que j’ai un autre transport à faire d’ici une demi-heure, voyez-vous.
-Non, je… je crois que ça devrait aller, répondit Émelie avec un froncement de sourcils.
-Très bien, suivez-moi.

Émelie leva la tête. Au-dessus de la porte était accrochée une enseigne un peu rouillée où était écrit Le Chaudron Baveur.

-Je suis mineure, dit Émelie, je ne peux pas boire d’alcool.

L’homme lui adressa un sourire en coin.

-Nous n’allons pas là pour boire, lui dit-il mystérieusement.

Il la fit entrer à l’intérieur, puis se dirigea immédiatement vers une petite cour intérieure. L’homme agita de nouveau sa baguette et une douce chaleur se frotta contre Émelie, séchant ses vêtements et ses cheveux. Elle le remercia d’un hochement de tête, puis il tapota quelques briques du bout de sa tige en bois, puis la brique se mit à trembloter et un petit trou apparut. Celui-ci s’élargit rapidement et se transforma bientôt en une arcade beaucoup plus grande qu’une porte. La jeune fille lâcha un hoquet de surprise, cependant qu’un rue bordée de toutes sortes de choses apparaissait sous ses yeux.

-Bienvenue sur le Chemin de Traverse, lui dit le chauffeur. À partir de maintenant, vous devrez vous débrouiller toute seule. Assurez-vous de ne pas perdre votre liste de fourniture, c’est très important. Oh ! et n’oubliez pas de passer chez Gringotts, sinon vous ne pourrez rien acheter. Cherchez une grosse bâtisse blanche.

Il fouilla dans ses poches un petit moment, puis en sortit une petit clé d’or qu’il donna à la jeune fille.

-Donnez cela au représentant de la banque, en indiquant bien votre nom. Ils vous guideront rendu là, ne vous inquiétez pas. Bon, je dois y aller, maintenant. Bonne chance, mademoiselle.

Émelie n’eut pas le temps de cligner des yeux qu’il avait disparu. Encore toute retournée par ces événements, la jeune fille s’avança en titubant sur la rue qui s’étalait à perte de vue, regardant de tous les côtés. Dans une vitrine, il y avait des chaudrons de toutes sortes, noir, gris, bronze, dans une autre, différentes sortes de papiers, de l’encre, des plumes. Émelie passa devant une librairie gigantesque, un marchand de crème glacée, un tailleur, puis enfin, la grosse bâtisse blanche dont avait parlé le chauffeur. La jeune fille grimpa les marches et entra à l’intérieur. Elle retint un hoquet de surprise en voyant de petits hommes barbus aux longs doigts crochus qui s’affairaient un peu partout autour d’elle. Mais qu’est-ce que c’était que cette rue ? Repérant un de ces petits nains qui semblait inoccupé, elle se dirigea vers lui et brandit maladroitement sa clé d’or.

-Euh… bonjour, je me nomme Émelie Jonson et…
-C’est pour un retrait ? demanda le nain d’une voix nasillarde.
-Oui, je crois…
-Très bien.

Le nain cria et quelques instants plus tard, un autre petit nain vint à leur rencontre. Il prit la clé après avoir échangé quelques mots avec le premier nain, puis la conduisit vers une des portes du hall. Une fois celle-ci ouverte, ils se retrouvèrent dans un passage en pente raide séparé par une voie ferrée. Le petit nain siffla et un wagonnet les rejoignit en crissant. Il lui demanda de s’asseoir à l’intérieur, puis l’engin démarra et se mit à tournoyer en s’enfonçant toujours plus sous la terre. Quelques minutes plus tard, le wagonnet cessa brusquement de rouler et le nain se planta devant une porte. Il inséra la clé dans une serrure très basse, puis s’écarta pour laisser le champ libre à la jeune fille. Devant les yeux ronds de cette dernière se tenait une véritable montagne d’or, de pièces d’argent et de bronze, toutes empilées à la perfection.

-À qui appartiennent ces pièces ? demanda la jeune fille.
-Elles vous appartiennent, évidemment !
-Mais… j’ignore comment m’en servir, voyez-vous.
-Prenez ça, lui répondit sèchement le petit nain en lui tendant une feuille de parchemin.

Émelie la prit précautionneusement et vit qu’il s’agissait d’un genre d’aide-mémoire. On y indiquait combien valait telle sorte de pièce, ce genre de choses.

Les Gallions sont les pièces d’or, celles en argent les Mornilles, celle de bronze les Noises. Il y a dix-sept Mornilles d’argent dans un Gallion d’or et vingt-neuf Noises de bronze dans une Mornille.

Le petit nain tendit un sac à la jeune fille et lui fit signe de le remplir. Elle s’appliqua à y jeter des pièces d’or, d’argent et de bronze, puis le nain referma la porte et quelques minutes après, elle put sortir de nouveau à l’air libre. Elle avait fourrée les pièces dans son sac à dos et tentait de ne pas tomber par en arrière sous le poids de l’or, de l’argent et du bronze. Elle sortit avec peine la première enveloppe qu’elle avait reçue de ses poches et la lut attentivement.

Uniforme
Liste des vêtements dont les élèves de première année devront obligatoirement être équipés – trois robes de travail (noires), modèle normal, un chapeau pointu (noir), une paire de gant protecteur (en cuir de dragon ou autre matière semblable), une cape d’hiver (noire avec attaches d’argent). Chaque vêtement devra porter une étiquette indiquant le nom de l’élève.

Livres et manuels
Chaque élève devra se procurer un exemplaire des ouvrages suivants – Le livre des sorts et enchantements (niveau 1), de Miranda Fauconette, Histoire de la magie, de Bathilda Tourdesac, Magie théorique, de Adalbert Lasornette, Manuel de métamorphose à l’usage des débutants, de Emeric G. Changé, Mille herbes et champignons magiques, de Phyllida Augirolle, Potions magiques, de Arsenius Beaulitron, Vie et habitat des animaux fantastiques, de Norbert Dragonneau et Forces obscures : comment s’en protéger, de Quention Jentremble.

Fournitures
1 baguette magique
1 chaudron (modèle standard en étain, taille 2)
1 boîte de fioles en verre ou cristal
1 télescope
1 balance en cuivre
1 paquet de plumes et plusieurs rouleaux de parchemin
3 bouteilles d’encre
Les élèves peuvent également emporter un hibou OU un chat OU un crapaud.

IL EST RAPPELÉ AUX PARENTS QUE LES ÉLÈVES DE PREMIÈRE ANNÉE NE SONT PAS AUTORISÉS À POSSÉDER LEUR PROPRE BALAI.


Des balais ? Quoi, comme les sorcières ? Et pourquoi faire, ce chaudron ? La tête de Émelie fourmillait de milliers de questions, mais elle n’avait malheureusement personne à qui les poser. Elle se demandait encore si tout ça n’était qu’un rêve. Si c’en était un, valait mieux aller jusqu’au bout que de rester plantée en plein milieu de la rue. Prenant son courage à deux mains, elle se mit en quête d’une boutique où elle pourrait trouver son uniforme. Elle vit soudain une pancarte indiquant « Madame Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers. » Le nom semblait prometteur, aussi Émelie entra dans la boutique et se dirigea vers une femme plutôt rondelette. Celle-ci lui confectionna trois robes en un tour de main et lui indiqua gentiment où trouver ses manuels.

-Fleury et Bott, dit-elle en pointant un magasin juste à côté du sien.

Émelie s’y rendit donc et acheta tous les manuels inscrits sur le parchemin qu’elle tenait à la main, non sans peine. En effet, elle ne comprenait strictement rien au système monétaire de ce monde et ce malgré le mode d’emploi que lui avait donné le petit nain. Finalement, environ trois heures plus tard elle avait réussi à acheter tout ce qu’il lui fallait, excepté sa baguette magique et son animal de compagnie. Elle gardait le choix de son compagnon pour la fin, puisque ceci lui paraissait beaucoup plus amusant que d’acheter une tige en bois. Elle se dirigea donc vers une boutique dont l’enseigne clamait « Ollivander – Fabricants de baguettes magiques depuis 382 avant J.-C. » écrit en lettre d’or écaillées. Émelie ouvrit la porte et une clochette retentit au fond de la boutique. À gauche, un mur rempli de boîtes de baguettes magiques et un escalier qui menait à d’autres étagères remplies de petites boîtes rectangulaires. Il y avait un gros bureau sur lequel on avait posé une lampe et quelques baguettes. Soudain, la jeune fille leva la tête et aperçut un vieil homme à la peau plissée et aux yeux bleus très pâles. Il se tenait sur une des marches des escaliers.

-Bonjour, dit-il d’une voix douce en descendant la voir.
-Bonjour, répondit-elle.

L’homme la regardait d’un drôle d’air, comme si il tentait de se rappeler de quelque chose. Puis, abandonnant, il s’éloigna vers les piles de boîtes de baguettes et lui demanda son nom d’un ton distrait.

-Émelie Jonson, lui dit-elle.
-Jonson, Jonson, grommela le vieil homme. Non, non, je ne me rappelle de rien…

Il agita un doigt et un ruban se mit à tourner autour d’elle, mesurant différentes parties de son corps, ses bras, son tour de tête, de sa bouche à son menton.

-Êtes-vous la première sorcière de votre famille, jeune fille ? lui demanda l’homme en saisissant une boîte noire.
-Oui, je crois, répondit Émelie, distraite par le ruban à mesurer qui flottait dans les airs. Du moins, je n’en sais rien, je n’ai pas pu parler à mon père depuis qu’on m’a annoncée que j’étais une sorcière.

Même dans sa propre bouche, le mot sorcière sonnait horriblement faux. Le vieil homme tendit une baguette plutôt longue à Émelie, lui demanda de la prendre et de l’agiter un peu. Elle dessina un rond dans les airs, mais rien ne se produisit. Déçue, elle la redonna à l’homme et patienta. Il revint bientôt avec une autre boîte qu’il ouvrit devant elle. Posée sur un coussin rouge vin, la jeune fille vit apparaître une baguette brune d’une bonne longueur. La poignée semblait couverte de mousse argent et incrustée de minuscules diamants qui brillaient.

-Bois d’if et crin de licorne, 31 cm, plutôt flexible. Le manche donne l’impression d’être incrusté de pierres, mais en vérité, c’est le crin de licorne qui brille, expliqua doucement le vieil homme.
-Merci, dit-elle en la saisissant.

Elle la fit tournoyer dans les airs et aussitôt, une pluie d’étincelles argent sortit du bout de la baguette. L’homme battit des mains, un sourire un peu niais au visage, puis remit la baguette dans la boîte et ferma soigneusement celle-ci avant de faire payer la jeune fille et de s’éloigner. Émelie remit les pieds sur le Chemin de Traverse, puis se dirigea vers le mur de briques, constatant qu’il était presque 4h00 de l’après-midi. Elle était très fatiguée et désirait plus que tout au monde s’allonger quelques heures. Mais une fois devant le fameux mur, elle se rappela qu’elle ignorait comment faire pour le traverser dans l’autre sens. Posant la cage de son hibou par terre, elle fronça les sourcils, signe qu’elle réfléchissait. Elle avait bien vue le chauffeur tapoter les briques au milieu du mur, mais lesquelles ? Elle sortit sa baguette magique de son sac à dos, puis tapota le mur en différents endroits à maintes reprises, jusqu’à ce que les briques tremblotent et change de place pour se transformer en une arcade. Avec un soupir de soulagement, Émelie remit les pieds dans le Chaudron Baveur et se laissa tomber sur une chaise en bois, complètement épuisée. Voyant qu’elle était fatiguée, le patron du pub propose une chambre à la jeune fille, qui accepta avec joie. Il lui indiqua la chambre 11, puis lui donna la clé et l’aida à monter ses fournitures en haut. L’homme chauve, voyant qu’elle n’avait pas de valise, lui indiqua une vieille valise un peu déglinguée en lui disant qu’elle pourrait s’en servir pour voyager ses vêtements et ses fournitures. Il la réduisit d’un coup de baguette, puis après avoir appris la contre-formule à Émelie, il quitta la chambre. Une fois seule dans la petite pièce, elle rangea un peu ses affaires dans la seule armoire de la pièce, puis s’assit en tailleur sur le lit qui grinça. Avec un petit sourire joyeux, Émelie ouvrit son sac à dos et étala ses achats sur son lit. Comme spécifié dans la lettre, elle avait achetée des robes de sorcier, une cape, un chapeau et tous les manuels indiqués. Elle avait aussi achetée un chaudron (que la vendeuse avait gentiment réduit pour qu’il entre dans une des poches de son sac), une boîte de fioles en cristal, un télescope pliable, une balance, des plumes de toutes sortes, des dizaines de rouleaux de parchemin et trois bouteilles d’encre noire, sans oublier sa baguette. Avec un dernier bâillement, elle s’étendit sur le matelas et s’endormit bien vite. Elle rêva de chouettes ululantes, de hiboux qui volaient et de librairies magiques. Quelques heures plus tard, lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle vit sur un cadran vieillot qu’il était 9hres du soir. Elle décida qu’elle se rendrait à la gare de King Cross vers 10hres, ce qui lui laissait encore une heure avant de devoir quitter sa chambre. Elle se mit donc à feuilleter ses manuels, puis, vers 9h40, elle ferma tous ses livres, les rangea dans son sac à dos, puis quitta sa chambre. À sa demande, le patron du pub lui indiqua le chemin pour la gare de King Cross et elle s’y rendit en bus impérial. Les passagers la regardaient d’un air bizarre et en un sens, elle les comprenait. Voir une fillette de 11 ans traîner une énorme valise, c’était plus qu’étrange. Environ 10 minutes plus tard, le bus rouge se gara devant la gare de King Cross et la jeune fille descendit sous le regard désapprobateur du chauffeur, qui la trouvait trop excentrique. Elle ne sortit son billet de train que lorsqu’elle fut assise sur un banc, à l’intérieur de la gare, de peur qu’il ne parte au vent. Une fois bien installée, elle lut avec stupéfaction les mots imprimés sur la petite carte décorée.

Poudlard Express
Plateforme 9¾
23hres pile


Elle fronça les sourcils et laissant ses affaires sous le banc, elle fit rapidement le tour des voies qui bordaient les voies ferrées, en vain. La plateforme 9¾ restait invisible, cachée. Elle n’existait pas. Un vent de panique s’engouffra dans l’esprit de Émelie lorsqu’elle prit conscience que toute cette aventure n’était peut-être en réalité qu’une grosse blague. Et si ce train n’existait pas ? Ou alors, si il existait et qu’il partait sans elle ? Des centaines de questions se bousculaient dans sa tête et la nervosité rendait son ventre douloureux. Après quelques minutes de panique, elle se ressaisit, prit ses affaires et refit le tour des voies. Au moment où elle arrivait entre les voies 9 et 10, elle aperçut un bout de bois par terre. En y regardant de plus près, elle vit que c’était en fait une baguette magique oubliée là par un magicien distrait. Avec un froncement de sourcils, elle examina la colonne entre les voies 9 et 10 de plus près, tentant de trouver pourquoi une baguette était là. Puis, soudain, dans un élan d’instinct ridicule, elle tendit la main vers le mur. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque celle-ci s’enfonça dans la pierre ! Elle retira vivement sa main de la pierre, puis la ramena contre son corps, les yeux ronds et son cœur battant la chamade. Qu’est-ce que ça voulait dire ? C’était un trucage ? Une illusion, peut-être ? S’assurant que personne ne pouvait la voir, elle tendit de nouveau les doigts vers le mur et ils s’y enfoncèrent de nouveau, cette fois jusqu’au poignet. Elle poussa un peu et son coude se retrouva englouti par la pierre. À la fois apeurée et curieuse, Émelie attrapa sa valise, puis traversa littéralement la pierre pour se retrouver sur un quai désert. Un long train rouge semblait attendre. Il crachait de longs panaches de fumée et sur la locomotive on pouvait voir le même écusson que sur la première lettre qu’elle avait reçue. Elle s’avança timidement vers le train et monta à bord du premier wagon qu’elle vit. Tous les compartiments semblaient pleins, sauf un, tout au fond. Elle hissa sa valise dans les filets puis se laissa lourdement tomber sur les sièges. Quelques minutes plus tard, le train démarra et les paysages se mirent à défiler…

OH GOSH. Désolée, c'est gigantor, je pensais pas être aussi inspirée ! Si y a quoi que ce soit, je peux toujours rapetisser XD









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(v) And so it is, the blower's daughter, the pupil in denial... #Sam 30 Jan - 21:21


Au cas où...









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PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
(v) And so it is, the blower's daughter, the pupil in denial... #Dim 31 Jan - 1:33


Rapetisser?!!! affraid Jamais de la vie c'est trop bien comme ça XD. Bon re-bienvenue et encore une fois désolée de t'avoir laissée sans réponse à tes questions par MP. Je valide bien entendu, ta fiche, pour moi c'est super - dixit la fille qui adore qu'on lui écrive des pâtés - c'est à la fois très personnel et en même temps fidèle à l'univers HP. Juste un petite remarque, mais plus pour que tu ne sois pas perdue sur le fow' , les vrais personnages du livre n'existent pas sur P&P, du coup la directrice adjointe n'est pas Minerva McGonagall, mais Lilith Grey. Tu trouveras tout sur les noms du personnel etc. ici.


    JE TE METS A:

    SERDAIGLE!



    dortoir; tu es répartie dans la CHAMBRE 2 du dortoir.
    rang; tu peux demander un rang ici!
    inventaire; tu peux voir ça ici et les objets interdits ici.
    N'oublie pas d'aller réserver ton avatar ici

    Et si tu veux commencer un RP à plusieurs, tu peux voir ici pour les scénards&missions. Voilà.
    Et puisqu'on arrive à la fin de saison o1, une animation vient d'être lancée qui concernera tous les membres, je te laisse voir ça ici, et .

    Voilou, j'arrête avec mais "et" et bon jeu! (;











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