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| Shoushitu Suru, Haïko (à valider) | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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Haïko SuruGRYFFONDOR. ► sixième année.
► MESSAGES : 23 Dim 8 Jan - 16:01 |
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QUALITE; Sorcière de sang mêlé née de deux sorciers-djinns nés moldus. ORIGINES; Son père, Zenshou Shoushitu Suru, est un djinn de la nation du feu (mer du Japon), autrement dit un Asahi. Sa mère, Huyana, est une princesse inuit de la tribu des eaux boréales. Un curieux mélange donc...
Elle a aussi un petit frère de XX ans son cadet..
Elle connait peu la famille de son père en revanche du côté de sa mère elle a deux oncles, Nayati et Tyee, et deux grands-parents très aimants. SPÉCIFICITÉ(S); Mademoiselle est djinn de feu. Son père dit qu'elle a un Agni Kai qui rappelle plus les danses de la lune d'Huyana que le duel classique qu'il essaye de lui enseigner. Ce n'est pas la seule bizarrerie de cette jeune djinn qui arrive à faire "couler" son feu comme coule l'eau. Elle n'a bien sûr pas la maîtrise de l'eau, ni d'ailleurs celle du sang ou de la foudre (l'élément supérieur de la maîtrise du feu), mais quand elle parvient à imposer cette étrange forme liquide à son feu généralement il ne brûle pas. Ses talents de djinn disparaissent totalement en cas d'éclipse solaire. Quand elle est contrariée elle boude, même quand elle fait de son mieux pour ne pas en avoir l'air c'est automatique, elle ne peut s'en empêcher, elle relève à peine le menton et vous regarde en coin, la bouffe froissée dans une moue un peu pincée. Adorable.
Malgré ce tempérament de feu (qu'elle tient autant de sa mère que de son père d'ailleurs), c'est une fille sérieuse dans ses études (il y a intérêt si on ne veut pas que papa passe derrière) et qui sait être très diplomate quand il faut (merci maman).
Autre chose, Haïko a trois écailles entre les deux omoplates juste un peu décalées par rapport à la colonne vertébrale comme celles que sa mère a hérité des esprits de l'eau et de la lune dans l'autre monde, à ceci près que ses écailles à elle ressemblent à des toutes petites écailles de dragon rouge, plutôt qu'à des écailles de bleu et nacre comme celle de Huyana. STATUT; célibataire amoureuse de l'amour.
CARACTÈRE; Intense et lumineuse. C'est une fille pleine d'énergie et surtout particulièrement optimiste. Quand on la regarde on la croirait capable de soulever des montagnes, c'est peut-être le cas quelque part mais elle tache d'intégrer les conseils de son père et de faire preuve de tempérance. Ca n'est pas son fort mais elle sait faire en y mettant un peu du sien.
MEILLEURE QUALITE; LOYALE | PIRE DÉFAUT; TÉMÉRAIRE | AFFILIATIONS; elle sait que ses parents ont eu des liens avec l'Ordre du Phoenix par le passé pour autant, elle, n'a jamais eu à être confrontée à ce genre de choix. Elle chéri les esprits La de l'eau, Tiu de la lune et Zenshou le dragon asahi et les différentes entités des panthéons asahi et inuit.
PATRONUS; un panda roux. EPOUVANTARD; variable mais généralement très bateau. BAGUETTE; 22 centimètres de bois de flamboyant (delonix regia) contenant un cheveu de lampade et une larme de La. MA VALISE; Une large fourrure d'ours qu'elle étale sur son lit et que sa mère lui a donnée de peur qu'elle ait froid à Poudlard. Elle a très bien fait d'ailleurs.
They're gathering around to hear a story... - Et si c'est une fille?
La mine de Huyana se pique de cette expression de Peter Pan qui jure drôlement maintenant que son ventre est rond comme la pleine lune. Elle a laissé ses cheveux détachés peut-être parce qu'elle sait que ça plait à Zenshou ou peut-être parce qu'avec cet enfant qui la transforme, ça lui va mieux comme ça. Elle ne a plus jamais coupés d'ailleurs.
Un petit sourire point sur le bout de son nez de lutin espiègle comme elle savoure cette expression sérieuse sur le visage de Zenshou. Il est le feu et elle l'eau. Pourtant c'est elle le clair et lui l'obscur.
-Haïko?, répond-il après un petit moment de réflexion. - Haïko... - Enfant de cendre..., anticipe-t-il non sans un brin de fierté.
Elle fronce les sourcils bien sûr. Enfant de cendre quand on n'est pas un asahi ça n'est pas forcément sympathique et elle a beau connaître un peu de la culture de la nation du feu, il faut qu'elle demande:
- Enfant de cendre... c'est quelque chose de bien pour un asahi? - Dans mon pays je suis Pilier de Cendre Huyana. C'est bien., il a un presque sourire et finit par venir s'allonger à côté d'elle et poser sa main sur son ventre rond comme si déjà, il montrait à ce petit enfant qu'elle allait lui donner qu'il était la figure d'autorité, Et pour toi? - J'ai bien réfléchi..., Huyana aussi semble sérieuse cette fois-ci, Chumani! - Chumani?... - Cache ta joie..., se moque Huyana, ses yeux bleus plongés dans ceux de Zenshou, Ca veut dire goutte de rosée... ou alors Ehawee... celle qui rit. - Et ah ouais... mhmh... - Si elle tient de son père on va éviter Ehawee... - Tu vas me vexer Huyana.
Elle a un petit rire et se fait pardonner avec un baiser au coin des lèvres.
- Et Aleshanee?! ... et si on attendait de voir à quoi il ou elle ressemble. On verra bien si c'est un bébé qui rit ou un bébé qui dort.
Finalement ce fut Ozalee, soleil levant.
*** Un petit feu follet est en train de refaire toute la maison. Ca n'est pas non plus un palace mais c'est assez pour donner le tournis à une maman un brin débordée. Huyana a ce sourire un brin fatiguée en voyant sa fille passer en courant entre les pieds de la table avec une taie d'oreiller sur les épaules en guise de cape magique. Son déguisement.
- Haïko...
Le petit éfrit blondinet se plante au pied de Huyana avec deux grandes soucoupes en guise de mirettes. Un grand sourire à faire trois fois le tour de ce petit minois tout fier de lui vient faire la meilleure réponse que la petite fille puisse faire à ce Haïko un peu las.
Au dessus d'elle, très haut, un petit bébé boit son biberon bruyamment. C'est son petit frère. Il la regarde d'un seul oeil, de toute sa hauteur.
- Papa ne va être très content si il te voit courir partout comme ça quand il rentrera., poursuit Huyana qui n'a de toute la journée pas trouvé de meilleur argument que celui-ci.
Papa c'est toujours un argument qui pèse plus lourd que tous les autres. Huyana en sait quelque chose pour les avoir tous épuisés ces fameux autres. En vérité, elle sait bien comment marche sa petite fille, un peu comme elle au même âge pour tout dire. Une pile sur pattes, une terreur qui vous met la maison à l'envers sans vraiment le vouloir. Mais en même temps, on ne peut jamais vraiment en vouloir à un bout de chou qui vous fait ces yeux là.
Derrière elles, un bruit de clés dans la porte.
- C'est papa! C'est papa!
Huyana a un petit rire amusé. Comme si rien ne c'était passé. La porte s'ouvre et notre zébulon se calme tout de suite, plantée là devant un géant à la mine plutôt sérieuse. Et c'est encore ce grand sourire qui vient faire trois fois le tour de sa frimousse de gamine admirative. Ah! le père...
*** - Maman? - Mh?
La mère et la fille se regardent du coin de l'oeil, allongées sur le lit au soleil pendant qu' Hikaru leur tripote les cheveux. Ces longues mèches blondes qui se mêlent et s'emmêlent dans ses doigts et l'occupent déjà depuis trente minutes.
- Comment papa et toi vous êtes devenus amoureux?
Huyana a un petit rire que Haïko ne comprend pas. Elle est trop petite pour ça. Quand elle regarde ses parents elle voit qu'ils sont amoureux et que ça a l'air bien d'être amoureux et alors elle, quand elle les voit, elle a les yeux qui brillent et son éternel sourire. Et bien sûr elle va boire chaque mot de ce que va dire sa mère et Hikaru aussi parce qu'ils adorent cette histoire qui n'en est pas vraiment une.
Il y a des passages qui sautent au montage, et d'autres qui sont racontés de telle façon qu'on ne referait pas la vraie scène telle qu'elle était et c'est tant mieux. Dans l'histoire pas d'Azkaban, pas de morts et pas de guenon djinn de terre. Il y a toujours l'histoire où papa triomphe du Grand Serpent pour que Haïko puisse s'imaginer que c'était juste pour impressionner maman. Et il y a le dîner à Ealdwic juste pour qu'elle ait envie d'y aller elle aussi plus tard.
Et puis quand papa arrive on se met à jouer et on ne raconte plus l'histoire, on fait un câlin et c'est aussi bien de s'imaginer la suite.
*** - Est-ce que c'est grave? - Aïeeuuh maaaais...
Le médicomage rajusta ses lunettes en demi-lune sur son nez et se redressa, perplexe. De toute évidence on ne lui amenait pas des cas comme ça tous les quatre matins.
- Ahem eh bien... a priori je dirais que non mais comme c'est la première fois que je vois ça... vous dîtes que vous avez la même chose? Je peux voir? - La même chose à ceci près que les miennes ne sont jamais tombées..., rectifia la belle Huyana en soulevant un peu le bas de sa chemise pour faire apparaître deux écailles magnifiques juste au dessus du rebord de son jean, sur les reins.
- Mais mh... c'est de famille? - C'est un peu plus compliqué que cela à vrai dire, tiqua la jeune maman en sachant déjà qu'il ne fallait pas se lancer dans ce genre de récit épique devant n'importe qui... sa main alla se perdre un instant dans la chevelure blonde d'or d'Haïko qui grommelait, un peu à la manière de son papa, un bras glissé sous son t-shirt pour masser ses écailles douloureuses. Le médecin attendait la suite de l'explication, un air sérieux et entendu sur le visage, ce sont... des écailles qui me viennent des gardiens de mon peuple. Je les ai reçues après avoir failli me noyer dans le naufrage de mon bateau...
- Vous les avez reçues... - Oui reçues. - Et comment ces gens vous ont fait...présent de cet étrange cadeau. - Par magie, dans le monde des esprits. Pas vrai? -Le monde des esprits..., répéta le scientifique, de plus en plus sceptique... - Mon peuple, parce qu'il a la maîtrise de l'eau, pense être sous la protection de deux esprits de la nature. Parfois ceux-ci prennent la forme de deux poissons, d'autres fois de deux dragons... cela dépend de... l'endroit où vous les rencontrez vous voyez. - Mh mh je vois. Vous avez reçu ces écailles dans une sorte de rituel curatif. C'est très courant dans les sociétés primitives mais si ça ne vous dérange pas madame je préfèrerai me baser sur des faits plus scientifiques. La religion ne peut pas être un facteur à prendre en compte dans mon analyse.
Les yeux de la magnifique blonde se plissèrent de colère jusqu'à n'être plus que deux fentes assassines. Haïko se tassa un peu, s'attendant à voir l'ouragan Huyana tout balayer dans la chambre de consultation. En même temps, on ne va pas dire à une princesse que sa société est primitive.
Autour d'eux les murs se perlaient de l'humidité qu'il y avait dans l'air, soudainement condensée sans qu'aucune explication rationnelle ne puisse le justifier or la nature exceptionnelle des deux patientes du Docteur Dawlish.
- Sachez monsieur que ce ne sont pas des paroles que je suis prête à tolérer, moins encore devant mes enfants. Ca ne montre qu'un manque cruel d'ouverture d'esprit de votre part mais j'estime ne pas avoir à en faire les frais, surtout pas lorsque je viens vous consulter pour des motifs tout à fait sérieux., la lame de fond passée, le médicomage s'éclaircit la voix visiblement embarrassé.
- Bien sûr veuillez m'excuser.Il y eut un long silence que personne n'osa troubler puis, Je pense que c'est tout à fait bénin, un peu comme les dents de lait... enfin bien sûr si je pouvais moi même examiner la créature dont ses écailles... - Hélas je crains fort que ce ne soit impossible..., intervint la voix douce et conciliante d'une Huyana calme et clémente comme une mer d'huile. - Très bien dans ce cas c'est à surveiller. Je vais vous prescrire un onguent pour la douleur si jamais une écaille de remplacement pousse. Prévenez moi au moindre effet secondaire bien sûr. - Bien entendu. - Et bien si c'est tout je pense que nous pouvons nous quittez là. - Au revoir docteur Dawlish. - Au revoir...
La petite fille trottina sans rien dire à côté de sa mère, une longue et très belle femme à la chevelure incroyablement longue et au teint diaphane.
- Papa ne l'aurais pas aimé du tout le docteur Dawlish. - Mais vraiment vraiment vraiment pas..., s'amusa Huyana, récitant la petite ritournelle du Chat au Chapeau, le livre d'histoire préféré d'Haïko.
*** - Hey... salut., esquissa la petite voix timide faussement sûre d'elle d'Haïko Suru.
L'adolescente arborait fièrement la cravate rouge et or, jetée par dessus son épaule, le col de sa chemise un peu en vrac comme elle venait de taper un sprint depuis terrain de quidditch pour se retrouver ici, à 16h tapante, à l'angle du couloir de la sorcière borgne et du couloir de sortilège. Pourquoi?
Au début elle avait pensé à lui envoyer un mot en classe ou un hibou mais pour tout dire ça lui avait paru... parfaitement inapproprié. D'abord parce que si son père apprenait par La sait quel moyen qu'elle balançait des boulettes de papier en cours pour attirer l'attention d'un garçon il allait la faire rôtir sur place façon Jeanne d'Arc. Ensuite parce que sincèrement, elle doutait de ses propres méthodes en matière de séduction donc mieux valait évincer d'emblée la première idée qui lui passait par la tête. C'était plus sûr.
Cette fois-ci, elle avait décidé que ça ne se finirait pas comme les 2 millions de fois où elle était tombée amoureuse et avait fini par se retrouver la meilleure amie du type en question, celle classée dans la boîte "surtout pas avec elle", estampillée "pour toujours", "ne pas ouvrir avant JAMAIS".
Cette fois-ci, elle avait un plan. Petit un: approche cordiale...
- Salut... Haïko c'est ça? Je t'ai vue sur le terrain de quidditch tout à l'heure. Tu te débrouilles pas mal, Serdaigle a du soucis à se faire. - C'est vrai, tu trouves?
Mais c'était difficile de s'en tenir à l'entente cordiale quand on balançait des trucs aussi niais que "c'est vrai, tu trouves?". Elle se serait mis des baffes à ce moment là. Il était grand temps d'abréger et de passer au petit deux de notre plan.
- Merde j'avais pas vu l'heure j'ai pas trop le temps là. On se voit plus tard. - Okay pas d'soucis., répond le garçon avec un joli sourire amusé qu'il n'aurait pas dû avoir.
Ce qu'on peut s'inventer pour juste un sourire, alors deux (oui c'était le deuxième)... Haïko essaya de faire abstraction, de se cramponner au sol pour ne pas se laisser envoler sur ce petit nuage qui la prenait en otage au moindre sourire, au moindre regard. Mais en même temps n'était-il pas le plus beau à ses yeux à cette seconde précise?
Tempérons-nous sans quoi nous perdrions toute crédibilité et serions en retard pour la deuxième étape. Haïko prit le large sans se retourner et, une fois passée hors de vue, pressa le pas. Il fallait qu'elle soit deux étages plus haut dans 2 minutes pour pouvoir redescendre avec l'air pressé dans une et lui rentrer dedans (pas trop fort, elle ne voulait pas passer pour une grosse brute) tout à fait par accident. C'était sans compter sur les aléas du quotidien. Par exemple :
- Hey Haïko!! - Salut Eira. - Qu'est-ce que t'as t'es toute rouge on dirait que tu cours un marathon. -Hey Killian, je t'avais pas vu tu m'as fait peur... J'ai... rien. Je suis pressée juste, c'est tout. - Pressée d'aller où on n'a pas cours..., questionnèrent en le frère et la soeur Konstantine comme un seul homme. - Beeeen... non mais je vous expliquerai...
Et la petite furie blonde de les traîner derrière. Tant pis. L'important c'était juste de le voir encore une petite fois dans la journée puisqu'après les emplois du temps n'allait plus le permettre. Ils bifurquèrent tout en continuant de parler bien qu'aux oreilles d'Haïko la conversation ne faisait qu'un bourdonnement enjoué auquel de temps à autre elle accordait un humhum. C'est là que le plan foira. Percuter doucement quelqu'un quand vous êtes une fille et que le garçon fait deux têtes de plus soit. Mais tout de suite quand vous êtes une équipe de trois dont un garçon monté comme un ours les choses ne se déroulent pas tout à fait selon le plan disons...
- Oh! Oh non! On est désolés, ça va aller? - Ca fait pas deux fois qu'on se croise aujourd'hui?, demanda le Serdaigle en se relevant plutôt fièrement. - Si! Peut-être... rien de cassé. - Il m'en faudrait plus que ça. Et toi rien de cassé?
En arrière plan une photo presque comique du frère et de la soeur Konstantine en train de regarder cette scène surréaliste d'un air dubitatif. Etait-ce bien là ce qu'ils croyaient?
- On pourrait... je sais pas faire un truc ensemble un de ces quatre... - O...oui pourquoi... pas. Mais pas là, là je dois... aller à la bibliothèque. Avec eux!
Sourire de circonstance. Il s'éclaircit la voix, fait signe qu'il va en cours et le petit coeur d'Haïko peut se remettre à battre au lieu de retenir son souffle. Cinq minutes passent comme ça. Le couloir se vide. Les élèves se laissent aspirer par leur salle de cours.
- Attends t'es sérieuse là? Collin-Face-de-Pirate?
Haïko de lui retourner un regard assassin. C'était quoi ce surnom à deux mornilles?
- Moi je le trouve gentil... et beau..., rétorque la blondinette entre ses dents. - Collin-Face-de-Pirate? Avec sa balafre sur la gueule..., répète Killian à peine sceptique. Il hausse les épaules. Après tout... c'est son amie il ne va pas lui dire que ce type à l'air d'un gros tocard croisé avec un intello de première... Alors tu vas l'inviter à faire... un truc? - T'es malade. Ca se voit que je l'intéresse pas quand même..., c'est toujours ce qu'on répond pour ne pas avoir l'air de se faire des illusions. - Ouais enfin c'est quand même lui qui a proposé de faire un truc..., répond Eira en roulant des yeux. Plutôt factuelle la Konstantine mais quelque part elle n'aurait pas pu répondre autre chose que ça, - Tu te rappelles la fête à laquelle tu ne voulais pas aller? Ben Collin-Face-de-Pirate y sera lui...
Évidemment vu comme ça... Le soir même après une journée à lui monter un peu le chou, Eira a convaincu Haïko de venir, et même de mettre cette robe dans laquelle elle dit qu'elle est si jolie. La blondine quant à elle, sans remettre en doute les dires de son amie, n'est pas sûre d'elle. Peut-être que ses cheveux ça ne va pas? Peut-être que ce n'est pas exactement parfait.
Tant pis, elle prendra quand même son courage à deux mains pour aller jouer des coudes dans la foule et essayer de retrouver le garçon. Quant elle y pense, elle se verrait tellement bien avec. Ils sont un peu fait pour s'entendre. Il y a un bon feeling entre eux pour le peu qu'ils se sont parler. Le peu qu'ils se sont regardé l'un l'autre. Elle cherche un peu partout et finalement, quand elle tombe sur lui, les lèvres collées à celle de cette fille, son petit coeur s'ébranle, ses yeux se remplissent de larmes, elle bafouille quelque chose pour s'excuser d'avoir interrompu quelque chose et s'échappe comme un oiselet sur le bord d'une fenêtre.
*** - Tu en trouveras un mieux. - Il a les yeux trop rapproché de toute manière...
Eira interroge son frère du regard par dessus la tête blonde qui est posée sur son épaule. C'était quoi ça? Les yeux trop rapprochés.... Killian hausse les épaules. Il a dit ce qui lui est passé par la tête.
- T'façon moi je l'ai jamais aimé ce type et en plus la fille avec qui il est Baelial m'a dit que c'était une fille super facile. Il paraîtrait qu'elle était avec le capitaine de serpentard derrière l'enclos aux hippogriffes la semaine dernière alors... franchement tu mérites vraiment mieux comme mec. - Clair. Il te mérite pas, toi ce qui te faut c'est un vrai mec gentil...
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Noam B. MidnightETUDIANT. ► 4e année d'ARCHEOMAGIE.
► MESSAGES : 75 Mer 11 Jan - 14:10 |
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| C'est beau et poétique ! *ronronne* J'valide :bave: | |
| | Shoushitu Suru, Haïko (à valider) | |
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