QUALITE; Sorcier, sang pur
ORIGINES; Anglais du côté de sa mère et Français du côté de son père
SPÉCIFICITÉ(S); a le record de bière en 5 minutes du Dickens, bar Londonien. Animagus Bière!... euh... non. Animagus Epagnol breton
STATUT; Célibataire la plupart du temps

CARACTÈRE; Lukas ou l’homme du milieu. Depuis qu’il est tout jeune il s’est retrouvé entre deux. Entre ses deux parents, deux pays, deux familles, deux modes de pensées. Si bien que, pour éviter tout genre de disputes ou trucs fatiguant du genre, le jeune homme a vite fait de garder son opinion pour lui et de laisser courir les autres. Très peu pour lui la politique, les questions du sang et autres sujets sensibles de ce genre. Pourtant Lukas a bel et bien ses propres idées. Si il n’a rien contre les sangs de bourbe, il n’irait pas spontanément les voir (question d’éducation), s’il n’est pas contre un monde altruiste et utopique, il n’irait pas lutter pour, étant loin d’aimer les bisounours. Bref, un jeune homme pas foncièrement bon, mais pas vraiment méchant, qui joue les autruches, un homme, un vrai.
Cependant, loin d’être antipathique grâce à sa politique du « parlonspasdechosesquifachent », Lukas n’a pas à se plaindre, il ne se plaint que rarement en fait. Jeune homme sincère dans les faits et peu dans les paroles, le jeune homme est accro à la bière (il tient sa de son père), à sa guitare et à ses potes.
A la limite d’être hyperactif, Lukas est un mec un vrai, et c’est avec son esprit d’homme de croma-gnon qu’il est entré dans la BIM après ses études à Poudlard. Il a sa petite vie tranquille et ça lui suffit.

MEILLEURE QUALITE; Entier

PIRE DÉFAUT; excessif

AFFILIATIONS; Il garde ses idées pour lui

PATRONUS; Magyar à pointes
EPOUVANTARD; Une horde de rats (monsieur est précieux)
BAGUETTE; Votre baguette magique est en bois de hêtre. Elle mesure 37,5 cm et contient une plume de phénix.
FAMILIER; Un chien nommé Pivo
MA VALISE; (facultatif, tous les objets que vous avez en votre possession et qu'il pourrait être intéressant de mentionnée)

Issu d’une aventure sans lendemain et élevé par sa mère Lukas n’a rencontré son père qu’à 4 ans lorsque Lizbeth tombe sur lui par hasard à Londres où ce dernier venait d’emménager. Lukas a dès lors navigué entre deux univers totalement différents où il trouve sa place assez facilement. Entre l’Angleterre austère et puritaine de sa mère, et la France conviviale et libre de son père, Lukas est un melting pot bizarroïde de deux mondes antipodes pas forcément compatibles. Entre les deux, l’enfant n’a pas vraiment de préférence… Ou plutôt si, mais ne voulant pas blesser l’un ou l’autre de ses parents il se contente de se la fermer et fait le yoyo d’un endroit à l’autre. Solution de facilité, toujours aussi efficace, dégâts minimum et moyenne du bonheur maximale. Enfant facile et heureux dû à une politique maison imparable, Lukas est passé par toutes les étapes usuelles, n’aspirant qu’à une chose, ingrédient du bonheur : ne pas être différent des autres. Et différent il ne l’est pas, tout du moins pas fondamentalement. Grand frère tyrannique, étudiant pas du tout modèle, adolescent turbulent et fêtard, batteur dans l’équipe de gryffondor, capitaine de l’équipe de quidditch, Lukas se contente de s’amuser sans se préoccuper du reste. Jeune irresponsable en puissance, le blondinet se plait à ne rien avoir de spécial, même si il brille par certains aspects de sa personnalité notamment sa violence contrôlée, source de son bon niveau de quidditch, et à vivre une vie banale et pourtant si réjouissante.
D’ailleurs même à Ealdwic Lukas s’est contenté de vivre simplement tout en se démarquant sans vraiment le vouloir. Censeur dès la 3ème année, diplômé non pas haut la main mais diplômé tout de même, les années d’université ont surement été les meilleures du jeune homme. Avec son meilleur ami pour coloc et son indépendance toute nouvellement acquise, les journées de franco-anglais sont arrosées de bières, inondées de musique et envahies de filles. Mais comme tout à une fin, Lukas est passé naturellement à l’étape suivante.
Maintenant Lukas travaille, il est comme on dit si bien « dans la vie active ». Ô triste redondance du train train quotidien. Transplanage, boulot, transplanage, bar, dodo et ainsi de suite. Mais l’acceptation du chiant et le secret de la lutte contre l’ennui ! Sauf que quand on s’ennuie… on s’ennuie. Si seulement il savait ce qu’il lui manquait… Ca serait tout de même plus facile pour repartir dans sa dynamique de bonheur moyen maximum.