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| i hope you did not forget me (romania, pnj samaël de nod) (avorté) | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:20 |
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| SAMAEL DE NOD & ABADDON VAN HELLSING ;i want you so bad. « Sam ? »« Oui ? »« Tu es sûre de ce que tu fais ? »« Evidemment. Sinon, je ne le ferais pas. »« Je m'en doute. »« Quand à toi, fais attention. »« Moi ? Mais je n'ai pas besoin de faire attention. A la revoyure, soeurette. »Elle soupire. Pendant que son frère, trempé, lui tourne le dos, elle rabat la capuche de son long manteau en peau de daim sur ses cheveux. Sale temps pour les humains, aujourd'hui. Ses yeux gris sont à la recherche de la gare. Dans ce village pourri du fond de la Roumanie, elle n'utilisera pas la magie ; de toutes façons, elle est trop faible depuis quelques jours pour faire appel à ses pouvoirs. Alors, elle s'asseoit sur le banc détrempé et attend, patiemment. Ses doigts pianotent sur sa valise en cuir défraichi. Samaël ferme les yeux, puis les rouvre. Depuis quatre ans, elle n'a pas eu le temps de penser à son fils, à son mari, à sa vie. Elle se livrait toute entière à sa guerre, à la guerre des Nod. Tuer, massacrer, terrifier, mais aussi épurer le monde. On ne tue que ceux qui ont fait du mal, pas les innocents. C'est le Code. Les Nod sont la dernière famille à le respecter. Et Samaël en a toujours ressenti une grande fierté. Mais aujourd'hui, elle est fatiguée. Elle voudrait retrouver son fils. Il doit avoir bien grandi depuis quatre ans. Elle n'arrive pas à croire qu'elle ait tenu aussi longtemps sans le serrer dans ses bras, sans lui caresser les cheveux, sans consoler ses pleurs d'enfant. Mère indigne ? Oh non. Chez Samaël, la chair de sa chair est le bien le plus précieux du monde, de l'univers. Et c'est pourquoi elle l'a laissé à Abaddon, le père. Parce qu'elle savait qu'il était pareil, et que Salomon serait toujours en sécurité chez les Van Hellsing. Le train, antique machine à vapeur, arrive enfin. Samaël y entre la première : elle s'installe dans l'un des compartiments les plus confortables et regarde le triste paysage de l'est européen défiler sous les trombes d'eau. Elle a retiré son capuchon, ce qui laisse voir son visage. Malgré toutes les épreuves, il est resté lisse, intact, sans défauts. Ses yeux gris, nuancés de bleu calme et limpide, restent à l'affût. Ses longs cheveux noirs sont détachées et couvrent ses frêles épaules. Elle est vêtue simplement : tunique beige, jean, chaussures épaisses. Seul son manteau détonne. On s'arrête à la gare d'Emeth ; c'est son village natal. Elle devrait y descendre, saluer Noé et Eve, ses parents, mais elle n'a pas le temps et le train reprend sa route tout doucement, dans un ronron rassurant. Samaël finit par s'endormir, son sommeil parcouru de rêves noirs et blancs. Quand elle se réveille, le train arrive bientôt à la gare tant attendue. Elle prépare ses affaires, attend dix minutes et le train s'arrête enfin. Elle descend agilement, et traverse le village qui semble désert, jusqu'au manoir reculé dans les terres, le manoir Van Hellsing. D'un geste de la main, sans le toucher, elle ouvre le portail qui grince. Les gargouilles ne tiquent pas, elles reconnaisent la jeune femme qui s'avance jusqu'à la porte imposante de la bâtisse gigantesque. Elle toque ; elle entend une cavalcade, des cris, ça rouspète, ça soupire, et finalement, la porte s'ouvre devant un petit garçon aux cheveux noirs et aux yeux bleus. Samaël est tétanisée, elle n'ose pas faire un geste, lâchant simplement sa valise. Le petit garçon se gratte la tête, il se tortille, il se tord les mains, et finalement, il appelle son père. Le coeur de Samaël se met à battre encore plus fort. Elle n'ose pas encore faire un geste vers son fils, car c'est Salomon, sans hésiter. Il recommence à crier « Papaaaa » plus fort cette fois, et Samaël reste sur le seuil, n'osant entrer dans la demeure qui a été sa maison pendant si longtemps.
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Abaddon M. Van HellsingPROFESSEUR de sortilège. ► Dr de Serd. & Adjointe
► MESSAGES : 181 Mar 1 Sep - 20:58 |
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| La bibliothèque est calme. Presque trop. Assis dans un large fauteuil, un homme tient un journal entre ses mains et il dessine un cercle, trace une lune, puis un autre cercle avec un triangle à l'intérieur. Derrière lui, un enfant aux cheveux noirs et aux yeux bleus le regardent, les yeux grands ouverts, et il le fixe, fasciné par le dessin. Il tends sa main et touche le parchemin, faisant arquer un sourcil à son père qui tourne la tête, pour le voir de plus prêt.
« Al-Razi trouverait que c'est de l'hérésie de mettre Mercure dans du Saturne. » « Mais les travaux d'Al-Razi date de deux millénaires, alors que ton vieux père date d'aujourd'hui. » Abaddon a un sourire tendre. « En qui aurais-tu le plus confiance? Ton père ou ce vieux alchimiste? » « Mais t'as dit que les vieux... » « J'ai dis. Cela ne s'applique pas à tous les jeunes alchimistes. » L'enfant fait la moue, prince les lèvres. « Arrogant... » « J'ai de quoi l'être. »
L'enfant rit et repose son menton dans sa main alors que son père trace entre deux signes, détendu, une lune. Un quart de lune plus exactement. Salomon a toujours été fasciné par les travaux de son père, l'a toujours accompagné dans ses déplacements. Il a parcouru la Roumanie, la Tchécoslovaquie, la Transylvanie, bon nombre de pays arabes, ainsi que les pays hispaniques, Mexique ou encore Espagne, aussi l'Argentine... partout où l'Alchimie d'Abaddon l'appelait. Il n'avait jamais quitté son père, où qu'il aille. Leur chambre était côte à côté. Ils mangeaient tout le temps ensemble. Ils voyageaient ensemble. Salomon disait toujours qu'il aimait être auprès de son père. La vraie raison était que jamais Abaddon ne laisserait son fils seul. La chair de sa chair, le sang de son sang, son unique héritier? Plutôt crever. C'était sa mission. Sa femme était partie, elle lui avait confié leur enfant. Leur unique enfant. Il n'avait plus que lui au monde. Il n'était pas question qu'il lui arrive quoi que ce soit. Et même si c'était trop, et même s'il l'étouffait, et même s'il était constamment avec lui, au moins, ainsi, rien ne lui arriverait. Abaddon posa son regard sur son carnet et entendait derrière lui le grondement que Salomon lui faisait subir quand Monsieur avait décidé que quelque chose n'allait pas. Il lui tendit le crayon que le jeune garçon prit et il traça un cercle autour qu'une lune, gribouillant cette dernière.
« Un soleil? » « Geber a écrit que jamais on ne peut faire une bonne alchimie sans un peu d'or. » « Ce n'est pas le but de cette transmutation. » Salomon arqua un sourcil. « Je travaille que la transformation du plomb avec très peu d'argent en or. » « Pourquoi faire? » « Un tombeau. » « Un tombeau pour qui? » « Pour un ami de ton grand père. » Abaddon reprit le crayon et repassa les traits qu'il avait écrit avant que Salomon ne les gribouille, et devinant alors la pensée de son fils, il reprit : « N'y pense même pas. Le Fer ne peut pas se mélangeait avec le plomb... » « Mouais. » Salmon fit la moue et après quelques secondes silencieux il tappa du bout de l'index sur l'épaule de son père. « On est assez riche pour faire couler un tombeau en or, en vrai or, Papa. » « Certes » souffla Abaddon « mais c'est différent. Le démoniste aime à aller en Enfer avant de mourir, tout comme l'alchimiste aime à être enterrer dans un tombeau alchimique. » « C'est... » Salomon pencha la tête, presque émut « ...beau? » « C'est comme ça depuis toujours. »
Abaddon tapota la tête de son fils. Il y avait des choses dans la vie d'un enfant qu'il vallait mieux ignorer. La mort en faisait partie. Samaël était partit depuis quatre ans. Salomon avait tellement grandit... il était comme Abaddon à son âge, avec des yeux bleus gris-de-pluie. Il avait huit ans, aujourd'hui, et il avait le même savoir que l'alchimiste, tout comme il avait hérité de quelques tours de passe-passe de Samaël, mais l'enfant n'avait jamais réellement pu travaillé l'art nécromant. Et ce n'était certainement pas Abaddon qui le lui ferait apprendre. Nathanaël en souffrait de trop pour Salomon lui aussi en souffre. N'importe qui, mais pas son fils. On toqua à la porte. Salomon bondit sur ses pieds, presque aussitôt, et se mit à courir en hurlant... Abaddon arqua un sourcil. Il n'attendait pourtant personne, et surtout pas Adonis. Salomon hurlait en descendant les marches à toute vitesse et Abaddon hurla lui aussi, quelque chose qui ressemblait à « dooooooucement dans les escaliers! »et l'enfant aussitôt râla, désespéré par l'attitude de son père – oh dieu trop protecteur – et soupira pour reprendre son souffle avant d'ouvrir la porte. Et... ce n'était visiblement pas Adonis. Il leva le regard, lentement, et croisa le regard bleu d'une femme. Pas de n'importe quelle femme. De sa mère. À lui. Sa gorge se serra violemment. Est-ce qu'Abaddon le savait...? Est-ce qu'il lui avait caché? Il se tortilla, se tordit les mains, jusqu'à que le regard gris-de-pluie le réveille. Quelque part, c'était l'émotion qui rendit sa voix si tremblante quand il appela son père. Abaddon referma le carnet, soupirant, et se leva de son siège, sortant calmement de la bibliothèque et transplana en bas des marches, fatigué d'avoir à les descendre, et il releva la tête, à peine le pieds posé sur le sol. Choc. Le regard bleu qui se posait alors sur lui fit rater un battement à son coeur. Il y avait quelque chose qui clochait à l'intérieur de lui. Quelque chose de douloureux. Sa gorge se serra d'un coup, et son estomac se retourna.
« Que...? Samaël? C'est... » Il perdait ses mots. Le Abaddon si impassible, si froid ne paraissait maintenant que partageait entre une joie infinie et une inquiétude étrange. Nathanaël était mort...? Ou...? Pourquoi? Comment? Depuis quand? Jusqu'à quand? Tant de question dans son crâne qui se bousculait, encore et encore. Abaddon se rapprocha calmement, reprenant un peu de sa substance. Il fit quelques pas encore, ne se trouvant plus qu'à une longueur de bras de sa femme. Sa voix tremblait, pleine de sentiment, et s'il résistait pour ne pas se jeter dessus, il ouvrit les bras, comme pour lui dire « je t'ai toujours attendu, et tu es venu » et il bafouilla des mots presque incompréhensibles :
« Tu es revenu... » Voix qui s'étrangle. Salomon regarda sa mère, puis son père, puis sa mère, des yeux plein d'étoile. Ça faisait si... longtemps...
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InvitéInvité
Mar 22 Sep - 15:19 |
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| On lui avait expliqué un jour ce qu'était la Confrérie. Les Alchimistes, les Démonologistes et les Nécromanciens réunis. Ils avaient leurs codes, leurs lois. Ils avaient leurs sacrifices à faire, toute une vie de souffrance pour que celle des autres soit un peu plus supportable. Mais Samaël avait un coeur de femme, un coeur de mère et sûre de sa décision, elle avait décidé de trahir pour une fois le Code. Face à son mari, elle se sentait à la fois bien et misérable, immensément heureuse de revoir l'être qu'elle aimait le plus au monde et infiniment terrifiée de ce qu'il avait pu penser d'elle et de sa décision si rapide, si violente. Elle les avait laissés, après tout. Soudain, une douloureuse interrogation surgit dans l'esprit de Samaël. Et s'il y avait une autre femme ? Elle jeta un rapide coup d'oeil aux mains de son époux : il avait toujours le petit anneau en argent, jumeau de celui qu'elle portait. Soulagement. Elle avait envie de se jeter dans ses bras, de se serrer contre lui, de le respirer, de se fondre en lui pour l'éternité. Elle l'aimait tellement ... Déjà, quand ils étaient enfants, il y avait eu ces regards qui ne trompaient pas, ces bouderies, ces chamailleries de jeunes amoureux puis à l'adolescence ils avaient commencé à se tourner autour, et enfin, ils s'étaient mariés, ils avaient eu un enfant, ils avaient été heureux et libres jusqu'à ce que le sort du monde les sépare à nouveau.
Il bafouillait, et c'était ... attendrissant. Elle l'avait connu impitoyable, mais aussi bien plus homme que n'importe quel humain ordinaire. La jeune femme avança d'un pas, sans quitter son mari des yeux mais posant sa main sur l'épaule de son fils, la chair de sa chair. Finalement, Salomon lui donne sa main toute entière, les yeux illuminés. Certains clichés deviennent réels. Samaël a un léger, très légers sourire et elle se rapproche encore. D'une voix douce, elle répète :
« Je suis revenue, oui. »
Sans lui avoir dit, elle lui avait promis. Elle a la gorge serrée, voudrait dire tout et n'importe quoi, mais quatre ans c'est très long, c'est trop long. Même pour Samaël de Nod, qui n'a pas pleuré depuis qu'elle a huit ans. Donc, en gros presque vingt ans. Ca aussi, c'est long. Alors c'est peut-être pour ça que ses yeux gris-de-pluie se mettent à briller plus que d'habitude, et qu'elle laisse tomber son sac à terre pour se mettre à pleurer réellement, femme fragile et brutale à la fois, et qu'elle se jette dans les bras d'Abaddon, frissonnant délicieusement de le toucher à nouveau, de le respirer jusqu'à en faire exploser ses poumons. Elle n'avait pas lâché la main de Salomon, voulant profiter de lui aussi, elle les serrait tous les deux à en mourir. Et les les larmes argentées coulaient sur son visage pâle, dévalaient ses joues creusées par les jours et les nuits passés si loin d'eux, de leur réconfort, de leur amour. Ce n'était pas des choses qu'on disait, mais elle les pensait si fort qu'elle était sûre qu'Abaddon savait. Il avait toujours su, de toutes façons ...
ps. pitoyaaaaaable. T-T
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Abaddon M. Van HellsingPROFESSEUR de sortilège. ► Dr de Serd. & Adjointe
► MESSAGES : 181 Mer 23 Sep - 17:45 |
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| Il avait toujours vécu ensemble. Il ne se rappelait pas depuis quand exactement, mais il se rappelait des leçons de Noé – encore jeune à cette époque – qui rappelait sans cesse que la droiture, le devoir, la patrie, la Confrérie passait avant tout, et ce, même avant les sentiments. Le Code. Toujours respecter le code. Règle 165 : « Ne jamais donner signe de vie durant une mission à nos proches, sous peine de les mettre en danger. ». C'était cette règle qui avait hanté, jour et nuit, les quatre ans de vie d'Abaddon. Elle était partie, du jour au lendemain, sans prévenir. Elle lui avait dit qu'elle reviendrait, et elle était revenue. Trop tôt. Il savait qu'elle n'avait pas fini sa mission : ça aurait été trop facile. Elle aurait eu une valise. Elle n'avait rien. Elle avait pris cette décision au matin, sur un coup de tête. Elle avait entaché le Code, mais à ce moment précis, Abaddon aurait juste aimé brûlé le Code. Non, à ce moment, il ne voulait qu'une chose : elle. Il lui avait tout juré. Amour, fidélité, éternité. Il lui avait juré de rester auprès d'elle, et il avait tenu ses promesses. Elle lui avait promis qu'elle serait là avant d'être veille, et elle était toujours aussi belle, toujours aussi magnifique malgré le temps de quatre longues années. Ses grands yeux jours-de-pluie brillaient toujours, comme pour répondre aux émeraudes particulièrement clairs de l'alchimiste. Tout le monde l'avait toujours su : Abaddon et Samaël finiraient ensemble. Le roi de l'alchimie, la princesse des nécromanciens. Un bien étrange couple... un couple qui dure, pourtant. Il tends les bras, la réceptionne au creux de ses épaules. Elle n'avait jamais rien dit, cette princesse, mais il savait, de par son regard, tous les mots, tous les non dits, toutes ses pensées. Elle est revenue. Enfin. C'est comme un poids sur les épaules de l'alchimiste qui disparaît, qui le laisse libre alors d'imaginer. Il la sert contre lui, si fort. Il ne l'a jamais autant aimé, pas même quand elle était auprès de lui, pas même durant leur mariage. Les anneaux d'argent scintillent à leur doigt. Ils n'ont jamais eu plus de signification qu'à ce moment. Il dépose des baisers sur son visage qui pleur. L'enfant lâche la main. Il regarde ses deux parents avec ses grands yeux. Il sait qu'il profitera aussi de sa mère, plus tard, mais pour l'instant, les retrouvailles poignantes se retiennent. Il ne veut pas la voir pleurer, pas maintenant qu'elle est là, alors Salomon court vers le salon, avertir qu'il y aura une troisième assiette sur la table, ce soir. Mais l'alchimiste, lui, ne fixe plus qu'elle. Ses lèvres se déposent frénétiquement sur son front, ses joues. Le goût salé des larmes passent le seuil de ses lèvres, mais elles sont charmantes, alors elles ont bon goût. Il la sert, heureux. Il ne pleur pas, il n'a jamais pu, mais il aimerait, pour lui montrer combien il est heureux. Il la sert et susurre, à son oreille.
« J'espère que ce sont des larmes de bonheur, darling. »
Il a un petit rire nerveux. Si longtemps. Il la redécouvre. Elle n'a beaucoup changé. Plus mince. En mission, la bouffe se fait rare, et il faut agir, vite, avant tout. Le reste n'est pas primordial. Il l'aime toujours autant, qu'elle soit mince ou le ventre rond. Il la sert une nouvelle fois contre lui. Il ne veut pas la lâcher. Pour rien au monde il ne la lâcherait à ce instant. Surtout pas pour qu'elle parte, une nouvelle fois. Il se courbe au dessus d'elle, géant de papier un peu froissé. Son coeur bat la chamade, il bat si vite que s'en est douloureux. Il murmure, juste pour elle, juste pour son oreille.
« Je t'ai attendu... tu m'as tellement manqué, Samaël... trop manqué. Je n'en pouvais plus, mais c'est si soudain... » Il relève le regard dans le sien, interrogateur. « Il n'est rien arrivé à Nathanaël au moins? La mission est terminée? Tu repars... quand? »
Il pourrait lire dans ses pensées, les lui extirpaient, mais il sait qu'elle ne mentira pas. Jamais. Après tout, elle a son coeur, à quoi bon vouloir le faire souffrir quand on a un géant à ses pieds?
ps; pas mieux .__.'
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