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| | terminus, je descends tout le monde. (avorté) |  |
| | PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
 Jeu 24 Sep - 21:21 |
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| Ulrich & Misha;there's nothing more beautiful than destruction  La chasseuse était à l'affût. Elle avait transplané aussitôt le mot entre ses doigts. Elle était distinguée dans sa petite robe blanche, de satin mat. La lourde ceinture noire à ses hanches juraient pourtant avec toute l'innocence qui ressortait de la jeune russe, et elle sentait réellement la pureté, tellement que ça en devenait presque écœurant. Le teint blafard, des grands yeux d'un bleu pers et clair, opaques et translucides à la fois, les cheveux d'un noir obsidien juraient avec la peau de la russe. Misha était russe, une vraie, et pourtant, elle n'avait pas les cheveux blonds. Elle avait hérité de son père, et les gênes de son frère jumeau – et aîné – avait sans doute eut un impact immense sur son patrimoine génétique. Au final, elle était une femme presque plate, presque androgyne, avec des traits fins et réguliers. Heureusement pour elle, ses cheveux longs la préservaient d'une certaine confusion. Au milieu de la rue, la jeune fille d'un mètre soixante cinq, mince comme un clou, élancée et féminine, n'en restait pas moins lumineuse. Petite robe de dentelle blanche, un ange? Certes. Un ange avec une baguette dans une main, et un headshot dans l'autre, deux chargeurs à la ceinture – une recharge de balle lumineuse et une recharge de balle en argent. Son regard balaya la rue. Personne. Mais l'odeur de la mort rôdait, et Misha l'avait toujours su. Une bonne chasseuse. Gregoriska – son père – l'avait toujours dit : Nouchka et Misha avaient toujours eu des prédispositions pour la chasse, la grande chasse. À seize ans, ils se posaient déjà contre des dragons, un sourire sur les lèvres, prêt à abattre la créature. Un pas devant l'autre, calme, pas un bruit. Il y a un vent froid qui balaye la ruelle, soulevant un peu sa robe, mais elle ne frissonne pas. Elle n'a jamais froid. Sa peau est diaphane, presque transparente. Un sang vierge. Elle sait aussi qu'elle est une proie de choix pour les vampires. Petite vierge, jamais bafouée, jamais honorée. Son sang est pur, peu sucré, pas gras... non, elle a vraiment tout de la proie, si ce n'est les armes du chasseur. Son regard guette le moindre mouvement, le moindre détail changeant. Il ne faut pas se laisser distraire, jamais. Si on se laisse distrait, on est fini. Un corbeau croisse, perché dans un arbre. L'oeil est rouge sang. Elle relève les yeux, l'observe. Il s'envole et se pose devant elle, animal incongrue, noir dans un univers gris. Pourtant, la nuit, tous les chats sont gris? Elle tends la main, récupère le petit message et le déroule. « Ils sont trois. Victoire est postée quelque part dans une rue, fais attention à toi. » L'animal s'envole, effrayé. Elle fait volte face, et juste devant elle, un homme se tient, un petit sourire sur les lèvres. Cet homme est beau, surhumain... et n'est pas vivant.
« A-t-on peur, gamine? » Il rigole.
« Et toi, t'as peur, vampire? »
Il ne rigole plus. Il la fixe, recule d'un pas. Une seconde trois. Le temps de relever la main et se tirer. La balle file vers lui, touche son front, et s'éclate à l'intérieur de son crâne. Ça fait une bouillie de sa cervelle. Deux secondes. Deux secondes ensuite, les résidus de balle se mettant à bouillir, et éclatent comme une nova. Le vampire tombe sur le sol, sa tête éclate, en cendre. Mort. Bien. Ça en fait un de moins. Elle se dirige dans une petite ruelle où l'odeur de sang l'attire. Elle ferme les yeux, patiente, calme, et déambule comme un ange. Un ange tâchait de sang et de cendre. Elle s'arrête. Au bout de la ruelle, il est là, et il tient une femme entre ses bras, et il la dévore comme on dévorerait un animal. Elle le vise, elle n'attends pas, il rit, elle tire. La balle file. Mach 3 quand elle sort du canon. Mille mètre par seconde. La balle éclate contre le mur. Le vampire est déjà évaporé. Elle se retourne quand des ongles lui raflent la joue, la coupe en une plaie fine et directe. Elle attrape le vampire à la gorge, il rit, elle lui colle le canon de l'arme dans l'estomac et tire à bout portant. BANG. BANG. BANG. Il tombe sur le sol, se tord de douleur alors que son corps devient peu à peu cendre. Elle a un grimace en sentant le sang coulait sur sa joue. Elle est au milieu de la ruelle, et elle sait que le dernier n'est pas loin. Elle sait aussi qu'il est différent de ses jeunes là. Et elle sait aussi – et surtout – qu'il ne lui reste que deux munitions et qu'elle saigne de la joue. Elle sait énormément de chose, mais elle ne sait pas qui il est, et où il est. Pas encore, tout du moins. | |
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InvitéInvité
Dim 4 Oct - 22:21 |
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| Alucard m'avais appeler, une mission importante m'avait-il dit. Qu'est ce qui pouvait bien être aussi important pour faire transplané jusqu'à lui et donc quitter Poudlard et ma cher bibliothèque, heureusement pour nous le soleil venait de se coucher à Londres et je n'eut aucun mal a rejoindre mon très cher père.
- Te voilà enfin Ulrich.
- Désolé pour l'attente, que se passe-il père?
- J'ai une mission pour toi tu es l'un des seuls a en être capable.
(...)
J'avais l'impression d'être à nouveau sur un champ de bataille comme avant de mourir, plusieurs vampires qu'ils soient importants ou non avaient disparus Alucard suspectait une jeune chasseuse d'en être la cause, ma mission? Faire disparaitre cette chasseuse. Vêtu de noir de la tête au pied je me posa dans un coin de rue à l'abri des regards pour observer le terrain mais surtout ma nouvelle cible. C'est quelques minutes après que je pu observer au bout de la ruelle les talents de la demoiselle en matière de chasse, elle descendais les vampires un par un sans s'arrêter ça me fessait sourire de voir une femme si jeune manier ses armes aussi bien que moi lorsque je me battait dans ma lointaine vie d'humain. Je la regardait avec mélancolie tuer tous ces incapables, alors que d'autres vampires auraient rappliqué pour venger leurs petits copains sans réfléchir moi je la regardais presque avec envie les tuer avec une facilité déconcertante.
C'est lorsqu'elle tourna les talons en ma direction sentant ma presence certainement que je me tira douloureusement de mes songes, je devais la faire disparaitre par tous les moyens. Je ne voulait pas réagir trop vite et sans réfléchir avant, elle était armée bien qu'elle avait quand même utilisé plusieurs balles avant pour les autres incapables il fallait faire attention. Je remarqua un petit chemin qui menait droit dans le dos de la demoiselle, il ne me restait plus qu'à me faufiler doucement et la tuer ni vu ni connu.
J'emprunte le chemin qui me mène vers la jeune chasseuse un sourire au lèvre, elle n'a rien remarquer et n'a pas bouger depuis deux minutes est ce qu'elle hésite à avancer? Je fais si peur? J'arrive finalement à sa hauteur, elle ne remarque toujours rien après tout je sais me faire discret, je saisit doucement sa main dans laquelle elle tiens son arme pour finalement refermer ma main fermement dans la sienne, elle n'a pas le temps de réagir que la voilà bloquer contre le mur de la ruelle sombre, je lui sourit elle ressemble à un ange, mais je fronce les sourcils, méchants vampire il la griffer à la joue et je commence à avoir faim en voyant son sang couler, je me retiens tout de même on va pas se quitter comme ça non?
- Alors c'est toi qui nous fait des misères princesse ?
J'attends sa réponse j'avoue j'adore le danger, rien que de savoir qu'elle pourra riposté n'importe quand m'excite au plus haut point, c'est mieux que de faire l'amour après avoir pris de l'ectasie.
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InvitéInvité
Lun 5 Oct - 10:39 |
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| Elle n’hésitait pas, ou rarement, et elle n’avait de même jamais peur. Son âme lui inspirait avec courtoisie d’attendre le moment venu, et… elle sentit qu’elle l’avait malheureusement raté. La main glissa sur la sienne, douce et froide. Elle serra l’arme, mais la main du vampire se referma sur cette dernière, et elle sentit quelques secondes plus tard, en plissant le nez à la façon d’un chat dérangé, le mur devant elle. L’analyse des lieux lui rendit un verdict qu’elle n’aurait pas voulu – en temps normal – entendre, c'est-à-dire : « bloquée ». Elle fronça les sourcils et croisa le regard du vampire. En temps normal, on n’envoyait pas les femmes sur les terrains, pour la bonne raison que 70% des créatures nocturnes étaient masculines, et que leur « beauté » faisait facilement perdre la tête. Les hommes étaient donc plus capables à exterminer leurs semblables sans la moindre hésitation qu’une femme, subjuguée par on ne sait quel dieu vivant, mais mort. Misha n’appartenait à aucune catégorie. Dans la chasse, elle ne voyait ni plaisir, ni dégoût. Le sang était accessoire. Elle tuait vite, elle tuait bien. C’était sa façon de s’exprimer, à coup de canon fumant et de réplique acerbe pour ses créatures qui chaque nuit s’amusaient à tuer des innocents. Elle ne leur en voulait pas d’être ce qu’ils étaient, elle leur en voulait de tuer sans regarder et ce, pour leur plaisir. Certains auraient dit : les vampires ont besoin de sang pour vivre ! … certes. Mais ils peuvent très bien boire les poches fournies par les hôpitaux. C’est ce que l’on faisait en Sibérie. Les prisons ne laissaient pas les vampires mourir de faim, et ces derniers survivaient à l’aide de poche de sang. Et c’était aussi bien comme ça. Misha, elle, tuait. Comme on l’avait élevé. Avec une facilité déconcertante et un sang froid effrayant. Elle appuyait sur la gâchette sans ciller, sans un soubresaut, et son bras ne tremblait pas. Illiana, sa sœur cadette, n’était pas faite pour ce genre de chose. Misha y était prédestinée. Elle avait tué des hommes, de très beaux hommes, aux yeux qui brillent et aux voix suaves. Elle avait tué des enfants injustement pris dans les mailles du filet mais qui se montraient encore plus intenables que les adultes. Elle ne tuait pas systématiquement… pas toujours, en tout cas. Le vampire qui la tenait était différent. Plus intelligent ? Les autres l’auraient sans doute déjà mordu à la gorge, se laissant prendre dans l’excitation du moment aux poches lumineuses prises dans la doublure de sa veste, prête à exploser à la gueule de la créature dès que ses crocs s’y planteraient. Mais il semblait aussi que le vampire n’est pas choisi de la tuer – pas encore. La petite teigne russe le fixa, avec un regard significatif. Un regard qui voulait tout dire, qui présupposer que dès qu’il la lâcherait, elle le descendrait sans aucune hésitation. Elle ne haïssait pas les vampires. Elle faisait ce qu’on lui disait.
« Alors c'est toi qui nous fait des misères princesse ? »
« Oh, tiens, une chauve-souris. Depuis quand vous êtes les victimes ? »
Elle eut un sourire amer, narquois. Elle ne rigolait que rarement, avec son frère et Knox. Enfin, elle riait de Knox, car il le méritait. La plus part du temps, elle prenait un air dépité, abattu, quelque chose du genre. Elle avait toujours été froide avec les autres. La Russie, sans doute, qui avait gêlé son petit cœur d’enfant dans un dernier adieu, quand elle avait enfin posé le pieds à Londres, sur le pavé sale et froid. La neige s’était transformée en eau. La petite fille en femme. En femme qui tenait un douze millimètres dans la main, et qui gardait l’index sur la gâchette contre toute attente. Elle pencha doucement la tête, rentrant sa tête dans son cou, et siffla sur un air qui ne lui allait que trop bien, à la façon des vipères, dans un murmure froid et clair :
« Si tu ne me lâches pas, je vais devoir te trouer ta sale petite gueule de nospherastus, et crois-moi, ce n’est pas l’envie qui me manque… alors, je vais te proposer un petit truc. Si tu me lâches, je dirais à mes supérieurs que je t’ai raté, que, ô combien tu as été rapide à la fuite et que tu as été un peu plus doué que tes compères. A l’inverse, si tu ne me lâches pas, tas de cendre tu as été, et tas de cendre tu redeviendras, compris ? » Elle arqua un sourcil, imperturbable. « Allez, je te laisse cinq secondes pour jouer avec ta vie, et après je m’en mêle. »
Toujours le mot pour rire ? C’est ce que Knox disait. Le problème, à cet instant, c’est qu’elle ne rigolait pas du tout. | |
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