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| Do you want to swim with me ? [PV Emelie] | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Mer 10 Fév - 22:51 |
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| « Dis Elaïna, t’as réussi à faire le devoir de défense contre les forces du mal ? - Ben … oui. En fait j’ai trouvé ça assez facile. - Ah … ben tu veux bien m’aider alors ? - Oui, je vais te donner un conseil ! - Merci ! - Passe moins de temps à courir après les garçons et plus de temps à aller faire des recherches. La bibliothèque est là pour sa. » C’est sur cette phrase que notre Serpentarde clôtura la conversation qu’elle entretenait avec la fille de sa classe, un sourire sarcastique accroché aux lèvres. N’ayant plus rien à faire dans la salle commune de sa maison, elle se leva du fauteuil où elle s’était confortablement installée pour discuter de choses et d’autres avec quelques élèves moins bêtes que d’autres. Il fallait que cette fille vienne l’importuner, bien entendu ! Depuis son réveil, elle avait passé sa journée à ça ; envoyer balader les autres. Ou bien elle les réprimandait car ils ne respectaient pas les règles. Ceci dit, quand notre blondinette était de mauvaise humeur, ce qui était très courant chez elle, même la plus petite infraction devenait une affaire d’état. Bon bien sur, elle n’enlevait pas de point à droite et à gauche, tout de même elle tenait à garder sa place de préfète. Mais il fallait avouer que ce droit d’autorité sur les autres lui plaisait beaucoup, et malgré son caractère à en faire frémir un doxy, elle se montrait respectueuse des règles et tentait de son mieux de les faire respecter des autres. Mais passons, le sujet n’est pas là. Elaïna se leva donc de son fameux fauteuil et se dirigea vers sa chambre. Après avoir passer la porte, elle se dirigea directement vers son lit, ou elle rangea dans sa table de chevet le livre qu’elle avait dans les mains quelques minutes plus tôt, et se déplaça ensuite face à la malle devant son lit. Une bonne petite toilette lui ferait du bien, un bon moment de flemmardise. L’avantage d’être une préfète c’était d’avoir accès à la salle de bain réservée à ceux-ci. Elle prit donc son peignoir, aux couleurs de sa maison, vert, ainsi qu’une nuisette de couleur vert pâle cette fois-ci. Il était 21h30 environ, le repas était passé depuis longtemps, et le couvre feu serait pour tantôt, inutile de revêtir son uniforme pour revenir dans son dortoir après. En plus ce n’était pas son tour de garde cette nuit, mais celui de son partenaire. Chargée de son attirail pour aller se faire toute propre, notre blondinette sorti de son dortoir, passa au travers de la salle commune sans se soucier des autres, et quitta les cachots en direction du cinquième étage ; la salle de bain des préfets. Arrivée à destination, elle se dirigea vers la quatrième porte à gauche, sur laquelle figurait une sirène. Elle prononça le mot de passe à haute voix, et la porte s’ouvrit. Elaïna afficha un grand sourire, ravie de pouvoir passer un moment seule, dans une pièce remplie de confort. Elle se dirigea vers la grande baignoire, qu’on aurait même pu qualifiée de piscine, y déposa son peignoir, sa nuisette et ses serviettes, et alla ouvrir les robinets. Pendant que la baignoire se remplissait d’une délicieuse eau chaude, la blondine se déshabilla et installa son uniforme à côté de ses autres affaires. Elle rentra ensuite dans l’eau et soupira d’extase. Que c’était bon un grand bain chaud ! Elle aurait pu y passer des heures … Mais le temps passait vite quand on ne s’ennuyait pas, et la porte s’ouvrit à nouveau, découvrant une jeune fille aussi blonde, avec un uniforme a la cravate bleue. Elaïna souria, elle connaissait la personne qui venait d’entrer.
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InvitéInvité
Jeu 11 Fév - 0:16 |
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| Émelie fronça les sourcils en voyant un petit première année la dépasser en courant. Bon sang, ce n’était pas une autoroute, c’était un couloir ! Le rappelant à l’ordre, elle lui fit peur en lui disant que s’il recommençait, sa maison allait payer pour lui, puis continua son chemin.
Retenant un bâillement, elle grommela le mot de passe qui donnait accès au dortoir des Serdaigles, puis entra et passa devant les fauteuils bleus, les élèves et la statue de Rowena Serdaigle sans même les voir. Montant les escaliers, elle tenta de se rappeler ce qu’elle avait fait aujourd’hui.
Selon ses souvenirs rendus confus par la fatigue, elle s’était levée à 8h00, environ, puis avait sautée la douche et s’était rendue à la bibliothèque, espérant y trouver un nouveau livre à lire. Elle avait trouvée un livre Moldu (d’ailleurs, que faisait-il là ?) entre un livre de potions pour sur-avancés et un autre qui ne portait pas de nom, ce qui l’avait grandement réjouie. Elle adorait les histoires Moldues, tout particulièrement celle qui parlaient de sciences-fictions, mais son pêché mignon était sans aucun doute la poésie. Elle était donc repartie vite-fait avec son livre sous le bras, puis s’était rendu à son cours de Soins aux Créatures Magiques, pour finir la journée avec un cours d’Histoire de la Magie qui, pour une fois, ne l’avait pas ennuyée.
Elle était cependant incapable de se souvenir des autres cours auquel elle avait assistée, ce qui était étrange. Malgré tout, elle se souvenait bien avoir utilisée sa baguette, ce qui supposait qu’elle avait eue un cours de Sortilèges.
Avec un petit grognement, elle se pencha et attrapa son bas de pyjama bleu marine étoilé, ainsi qu’une camisole noire et une veste de la même couleur. Elle réduisit les vêtements d’un coup de baguette magique, puis les fourra dans la poche de sa robe de sorcier pour plus de discrétion. Elle avait besoin d’un bon bain, c’est tout ce que son cerveau était capable de lui dire. Dévalant les escaliers, elle traversa de nouveau la salle commune des Serdaigles, poussa la porte du dortoir et descendit trois étages plus bas, en direction de la salle de bain des préfets. C’était un des rares avantages qu’il y avait à être préfète, excepté pouvoir enlever des points à son pire ennemi. Mais Émelie étant discrète, elle n’avait pas vraiment d’ennemi, alors elle ne se servait pas vraiment de son « pouvoir ».
Émelie s’assura que ses vêtements étaient bien dans la poche de sa robe de sorcier, puis murmura le mot de passe qui permettait d’accéder à la salle de bain réservée aux préfets et poussa la porte. Mais alors qu’elle allait déposer ses vêtements sur une chaise prévue à cet effet, son regard tomba sur une boule de vêtements noirs et… sur une cravate verte. Fronçant les sourcils, elle leva la tête et vit une jeune fille blonde qui se prélassait dans le bain.
-Salut Émelie, lui dit l’autre préfète. -Salut, répéta Émelie sans émotion. | |
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InvitéInvité
Jeu 11 Fév - 13:32 |
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| « Salut Émelie. - Salut. » Conversation brève. Enfin si on pouvait appeler cela une conversation … plutôt des salutations. En même temps ; elle venait prendre un bain, pas raconter sa vie ! Elaïna appuya de nouveau sa tête contre la paroi de la baignoire, ce n’était pas la préfète qui allait lui couper son moment de relaxation. Elle était peut-être ici pour la même raison que notre serpentarde, en plus de se laver bien entendu. Le fait d’être nue dans le bain ne la dérangeait pas plus que ça, après tout Emelie était aussi une fille ! Et même si elle avait été un garçon, ça n’aurait pas non plus déranger la blondine, étant connue pour son culot et n’était pas spécialement pudique. Et puis ce n’était qu’un simple bain, rien d’ambigu. La verte & argent tourna sa tête et observa les bulles qui s’échappait de l’eau, le temps que la Serdaigle se dévêtisse. Autant garder un peu de pudeur ! Et puis Elaïna détestait qu’on la regarde pendant qu’elle se changeait, et comme on dit ‘ne fait pas aux autres ce que tu ne veux pas qu’on te fasse’. Elle était occupée à jouer avec ses doigts, les passant dans les bulles, dans la mousse ou créant de petites vagues dans l’eau quand elle entendit des bruits de pas, légers et discrets, puis un corps rentré dans l’eau. Cela voulait donc dire que sa collègue était rentrée à son tour dans l’immense baignoire. Emelie & Elaïna ne se connaissaient pas plus que cela, mais étant toutes deux préfètes il arrivait qu’elles se croisent dans les couloirs, ou bien lors des réunions pour préfets. Ou encore même, dans la salle de bain, comme en ce moment … La serpentarde tourna la tête et se mit à fixer la serdaigle. Elle paraissait légèrement plus détendue que lorsqu’elle était entrée. « Dure journée au moins ? »
Oui bon c’était une question nulle, et à la place elles auraient pu restées là, dans le bain, à ne rien faire et sans parler ; mais c’était comme si quelque chose la poussait à parler à Emelie. Essayant de se faire le plus discrète possible, la blondinette détailla sa collègue. Elle avait de beaux et longs cheveux blonds, une peau claire et lisse, et de grands yeux virant entre le bleu et le gris*. Sans savoir pourquoi, Elaïna eut envie de se plonger dedans. Elle secoua la tête, pensant qu’Emelie la prendrait certainement pour une folle à faire ça, et baissa le regard pour se mettre à fixer la mousse devant elle. C’était une situation à la fois gênante mais amusante. Pourquoi amusante ? Parce qu’elle était gênante, justement. Il était vrai qu’habituellement, la verte & argent ne parlait pas beaucoup, mais il lui arrivait rarement d’être troublée en présence de quelqu’un, surtout en présence d’une fille ! Essayant tant bien que mal de cacher son trouble, et de continuer de se relaxer par la même occasion, Elaïna reposa sa tête sur la paroi, en arrière, et se mit à fixer le plafond blanc immaculé. Elle soupira, à la fois incompréhensive de son propre comportement, et aussi parce qu’elle était bien. Se sentant … regardée, la jeune fille se redressa et regarda Emelie. Forcément, c’était la seule qui pouvait la regarder, à moins que les murs aient des yeux … nous sommes dans un château magique, donc tout serait possible après tout. Soutenant son regard de ses yeux praline, la serpentarde se décida finalement à sourire. « Je te parle alors que je ne sais même pas si tu te souviens de moi. On s’est déjà croisées quelques fois, dans les couloirs ; et à la dernière réunion pour préfets aussi … »
Bon c’était encore plus nul que la dernière phrase qu’elle avait prononcé. Mais en même temps, il fallait bien qu’elle lui dise quelque chose non ? Elles n’allaient pas rester là, pendant quatre heures, à fixer le plafond et à faire mu-muse avec les bulles ! * : En fait je suis pas très sûre de la couleur de ses yeux :X (Désolée ; c’est nul comme poste ;_
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InvitéInvité
Jeu 11 Fév - 22:20 |
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| Trois mots, deux pour Élaïna, un pour Émelie. Des salutations polies, rien de plus. L’autre préfète reposa sa tête sur le bord de la baignoire, signe que la présence d’Émelie ne la dérangeait pas le moins du monde. Cette dernier fronça les sourcils, pesant le pour et le contre. D’un côté, la salle de bain des préfets était la seule à des kilomètres et elle détestait prendre sa douche dans salle commune de sa maison. Mais de l’autre… Élaïna était une fille. Serait-elle choquée si Émelie plongeait dans le bain avec elle ? Apparemment non, puisque la Serpentard détourna la tête, comme si elle l’encourageait à se dévêtir.
Avec un petit soupir, Émelie retira sa robe de sorcier, ses chaussures et ses chaussettes, puis roula le reste de ses vêtements en boule. Elle rejoignit en quelques pas l’immense baignoire et glissa un doigt de pied à l’intérieur, frissonnant de la tête aux pieds. Émelie se cala dans l’eau jusqu’à ce qu’on ne voit plus que son visage, pudique comme elle était. La Serpentard, elle, ne semblait pas se soucier qu’Émelie soit là. Elle se détendit donc, soulagée qu’elle prenne cette intrusion dans son bain de cette manière.
-Dure journée au moins ? demanda la préfète en tournant la tête vers la Serdaigle. -Oui, souffla simplement Émelie.
Elle n’avait jamais été très bavarde et ce n’était aujourd’hui qu’elle allait se mettre à décrire en long et en large sa journée. Un sourire amer se dessina sur le visage d’Émelie lorsqu’elle remarqua que l’autre l’observait. Puis, soudain, alors qu’Émelie venait de plonger ses yeux bleus dans ceux de sa collègue, celle-ci secoua la tête et baissa les yeux, comme si elle était honteuse.
Avec une petite moue, la Serdaigle se mit elle aussi à observer les bulles qui flottaient sur la surface de l’eau, gênée. La Serpentard ayant reposée sa tête sur le bord du bain gigantesque, Émelie en profita pour l’observer du coin de l’œil. Elle avait des cheveux bruns parcourus de reflets blonds, des yeux couleur noisette et… une jolie bouche. Fronçant les sourcils, Émelie baissa les yeux et chassa les images qui indécentes qui assaillaient son cerveau. Puis, lentement, très lentement, elle releva la tête et son regard tomba sur le haut des seins de l’autre, le reste étant caché par la mousse. Elle ne voyait qu’un tout petit bout de peau laiteuse, mais cela suffit à la faire rougir.
Élaïna se redressa soudainement, se sentant peut-être observée.
-Je te parle de moi alors que je ne sais même pas si tu te souviens de moi. On s’est déjà croisées quelque fois, dans les couloirs ; et à la dernière réunion pour préfet, aussi…
Oui, Émelie se rappelait de cette réunion. Elle se rappelait aussi avoir trouvée Élaïna plutôt jolie, un sentiment nouveau, pour elle. Elle avait toujours pensée que les hommes mariaient les femmes et que les femmes se laissaient marier par les hommes, malgré le fait qu’elle ait été élevée par un homme qui s’occupait des tâches féminines et masculines.
-Oui, oui, je me souviens de toi, murmura la Serdaigle.
*Les yeux de Clémence Poésy sont bleus (: Et non, ta réponse n'est pas nulle, moi je l'aime* | |
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