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PROFIL & INFORMATIONS









William Alex Slayers

William Alex Slayers
ETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420
J'ai laisser le marque page au chapitre toi  #Sam 21 Aoû - 12:01


    [HJ : J'suis inspiré donc j'ai écris ce post sur le futur mais ça n'influe en rien sur le BG actuel ]


    J'ai laisser le marque page au chapitre toi  Banniraulit

    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


    Dans un an...

    « Chers Karly » « Ma tendre Karly » « Ma Karly » « Karly » « Kaka » William poussa un soupir alors qu’il était incapable de ne serait-ce commencer sa lettre. Il lui aurait était impossible de dire depuis combien de temps il était assis là face à une feuille blanche à essayer de coucher sur papier tout ce qu’il ressentait Il aurait facilement pût affirmer que c’était depuis seulement quelque minute alors que c’était depuis plusieurs heures. Le temps lui semblait comme arrêter et la vie avoir perdu son sens. Il avait comme une envie et un besoin de tout envoyer promener et de tout reprendre à zéro. De toute façon avait-il vraiment le choix ? Il se retourna et son regard se posa un instant sur son lit qui se trouvait désespérément vide. Quelque heure auparavant il se lover dans les draps avec Karly, essayant d’oublier que c’était peut-être la dernière fois qu’il la serré dans ses bras. Jusqu'à la dernière minute il avait espéré qu’elle reste sans oser le lui demander. Jusqu'à la dernière seconde il y avait cru sans oser espérer. Jusqu’au dernier instant il n’avait réalisé a quel point il tenait à elle…

    Je t’aime... Deux mots. Deux simples mots au final comme il en existe en millier dans la langue Anglaise. Deux mots que nombre de gens prononçait sans les pensée et aussi banalement qu’un simple bonjour. Deux mots que le jeune Slayers n’avait pas l’habitude d’entendre ou de prononcé. Deux mots qui n’avaient jamais effleuré les lèvres de Karly en présence de William. Jusqu'à il y a quelque heure… Il n’avait pas eut le temps de lui répondre bien trop surpris et en proie à l’émotion. Il lutter déjà contre lui-même pour retenir ses larmes, bien trop submergé et triste à l’idée de la perdre. Il avait toujours su cacher ses émotions. « Un homme un vrai ne ressent rien ! » « Fort quoi qu’il advienne ! » Peu importe la situation il gardait le sourire et se projeter dans l’avenir pour survivre. L’inconvénient c’est qu’il avait toujours vu son avenir avec elle… Il avait bien trop peur de l’engagement pour s’imaginer dans dix ans ou même un a ses côté, mais lorsqu’il pensait au week-end prochain ou au lendemain il pensait des choses du genre « et si on allait manger au chinois ? Ça changera un peu de picoré dans ma chambre puis j’suis sûre que Karly ne sais pas manger avec des baguettes » ou alors « Ah faudra que j’montre à Karly le bar à Whisky qui a ouvert au chemin de traverse. » . Sauf qu’après il finissait par se souvenir que Karly n’était et ne serait plus là…

    Cette pensée serré toujours son cœur et il devait alors déglutir avec peine pour empêcher ses larmes de monté et sa peine d’augmenter. Ils ne s’étaient rien promis. Pas de « je ne t’oublierait pas » ou de « dans six mois on se retrouvera et ça sera comme maintenant » . Non rien de tout ça. Elle s’était contenté de partir sans qu’il n’ait eut le temps de lui répondre « moi aussi. » Parce qu’au final il le savait. Il avait toujours eut peur de lui dire mais il le savait. Il l’aimait. Comment ça aurait pût être autrement ? La première chose qu’il désirait au réveil c’était entendre sa voix ou apercevoir son sourire. Son cœur s’accélérait toujours quand il était auprès d’elle et il pouvait rarement s’empêcher de l’observer dès qu’elle tournait les yeux et ne pouvait donc pas se rendre compte du regard qu’il posait sur elle. Voilà des faits qui ne trompaient pas, il était amoureux. Pendant longtemps il s’était protéger de se sentiment qui était avait toujours était selon lui synonyme de faiblesse et de malheur. L’amour ça avait toujours était pour les autres. Pas pour lui… Il n’avait pas le droit de se laisser autant aller. Il n’y gagnerait que du malheur. Mais Karly lui était tomber dessus et lui avait appris à aimer et à vaincre sa peur petit à petit, jour après jour, sans qu’il ne le réalise vraiment. Malheureusement désormais il était seul…

    Bien sûr il aurait pût facilement en trouver une autre. Ce n’était pas un secret que William était un beau gosse et il n’était guère difficile pour lui d’avoir n’importe quel fille. Mais en avait-il vraiment envie ? Avec Karly rien n’était facile. La première fois qu’il avait voulu la séduire il s’était reçu un pichet de bierraubeurre sur la tête. La deuxième fois il avait fallu qu’ils soient tous deux saoul pour qu’il ait le courage de l’embrasser. La troisième fois il s’était laissé emporter par la jalousie… Et entre chaque tentative tout semblait vouloir le pousser à laisser tomber mais jamais il n’avait renoncé. Pourquoi ??? Parce qu’au fond peut-être qu’il aimait ça ! Oui ce n’était pas facile entre eux et bien des fois ils s’étaient blesser sans le désiré vraiment. Mais le véritable amour, une vrai passion ne peut—t-elle pas exister sans la souffrance et la bagarre ? Il ne voulait pas d’un amour tranquille et d’un simple « Il était une fois un prince qui rencontra sa dulcinée, se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ». S’était bien trop facile. Il fallait des péripéties. Comment savourait le bonheur si on ne connait pas le malheur ? Alors il la voulait elle avec ses défauts et sa tendance à tout compliquer. Il voulait Karly McGregor. Il ne voulait qu’elle. Il l’avait réalisé en rentrant chez lui après l’avoir laissé à la Cheminauterie*. Il aurait dût l’empêcher de partir au lieu de penser qu’il n’en avait pas le droit, être un peu égoïste pour une fois. Mais il avait pensé à elle et à sa carrière avant tout et maintenant il avait cette horrible impression d’avoir un trou béant à la place du cœur. Il avait alors pensé à lui écrire une lettre afin qu’elle sache ce qu’il ressentait pour elle et lui demander de l’attendre, ce qu’il n’avait pas osé lui dire. Lui il l’attendrait. Un mois. Un an. Même dix s’il le fallait. Parce qu’il ne voulait qu’elle. Il avait connu nombre de femme par le passé mais jamais encore il n’avait était aussi triste à l’idée de ne plus revoir ne serait-ce qu’une d’entre elle. Il savait donc ce qu’il voulait lui écrire mais ne savait pas comment y mettre la forme. Finalement il finit par reprendre sa plume alors que des larmes silencieuses couler sur ses joues et que son esprit était remplis de leurs souvenirs….


      « Karly,

      Je ne sais pas par où comme commencer. Peut-être par « Je suis un abruti ! ». Ça me semble être un bon prologue et bien résumé ce que je pense pour l’heure. Mais ça bien sûr tu le sais déjà. Tu l’as toujours su. Seulement laisse moi t’expliquer pourquoi moi-même je pense être un abruti…. Je suis un abruti de t’avoir laissé partir ou même de l’avoir fait sans avoir eut le courage ou le reflexe de te dire que je t’aime. Parce que je t’aime. Je t’aime Karly McGregor. Tu a beau être la fille la plus insupportable que je connaisse et tu as toujours cet tendance à me taper sur les nerfs avec ton sale caractère, ta capacité à ne jamais reconnaitre tes tords, être bien trop fière et à sans cesse tout comprendre de travers mais… je t’aime. Toi et tous tes défauts. Je t’aime… Je pense même que je t’ai aimé au premier regard, ce jours où je n’avais alors que treize ans et où mon audace ma valu un bon shampoing a la Bierraubeure. Malgré ton jeune âge tu avais déjà ton tempérament de feu. Enfin bref je n’ai pas envie de tomber dans le mélo dramatique et que cette lettre ressemble à un poème du 19ème siècle chiant à mourir et pathétique. Tu sais que parler de se que je ressens avec sérieux n’a jamais était mon fort mais là c’est plus fort que moi. J’ai besoin de le dire. Ou plutôt de te l’écrire. J’aurai dût te demander de rester ou même de m’attendre. J’avais envie qu’tu reste et je ne veux pas qu’tu m’oublie. J’veux pas te revoir au bras d’un abruti de blond aux airs peroxydé dans six mois. J’veux pas que notre histoire s’arrête là. Je sais que c’est égoiste de te demander d’attendre mais j’veux pas te perdre. C’est au dessus de mes forces…. J’ai voulu être fort, le rester quoi qu’il advienne parce que c’est ainsi que j’suis mais j’y arrive pas . C’est trop dur. Me dire que dans six mois on sera peut-être des étrangers c’est pire que tout pour moi. Je sais que la lecture de ces mots te fera surement rire. J’suis pathétique hein ? Le grand William Slayers qui se croyait invincible et mieux que tout le monde se retrouvait à presque supplier une simple femme de lui revenir ? Pathétique woé. J’le sais bien. Mais au moins j’aurais essayer…

      Ton William. »


    Essuyant ses larmes d’un revers de la main, il posa sa plume et plia la feuille avant de la glisser dans une enveloppe. Silencieux, il s’approcha de Picassiette et accrocha la précieuse lettre à sa patte avant de s’affaler sur le lit et de s’endormir quelque minute plus tard l’air plus serein. Ce qu’il ne sut jamais c’est que Karly ne reçut jamais sa lettre….



    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~



*
Les sorciers utilisent des réseaux de cheminée et de la poudre de cheminette pour voyager.
Une Cheminauderie est comme une grande gare mais avec des cheminée à la place de trains.
 

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