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| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Mer 11 Aoû - 12:32 |
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| jewel & nuallán Le silence, Nuallán le connait bien. Pour commencer, c'est souvent par un silence que commence la rencontre avec lui, parce qu'on arrive pas à prononcer son prénom, parce que quand on l'entend on se demande vraiment qui a bien pu sortir une bêtise pareille. Mais il s'y est fait lui, finalement au silence, peut-être un peu à cause de ce nom. C'est assez difficile de le porter mais pourtant il faut bien s'y faire. On s'y fait, on hausse les épaules, et on apprend à connaître ce silence. Finalement, le silence souvent c'est mieux se dit Nuallán. C'est pour ça qu'il préfère rester tout seul, dans le silence, dans les lieux déserts, pour ne pas avoir à parler, pour n'avoir à entendre ni rien ni personne autour de lui. Juste le silence total. Comme en haut de la tour d'Astronomie, en pleine nuit, quand personne d'autre n'a l'envie d'écouter le silence reposant de la nuit. Pas de gamins qui courent et crient dans tous les sens. Pas de sorts jetés contre les murs qui font trembler l'ensemble des murs. A peine peut-être, le hululement d'un hibou, si doux, se mêlant dans le silence. Mais le silence n'est jamais pur. Toujours il y a un bruit de porte, un bruit de pas un peu plus loin qui vient le troubler, qui fait qu'on s'en désintéresse, qu'on détourne l'attention de la beauté du silence. Ou au moins, toujours les pensées, ces petits cris dans la tête, ces mélodies, ces images, toutes ces petites choses qui distraient de la beauté du vide. Oh, le vide, au fond ce n'est que ce à quoi aspire Nuallán, le vide pur et simple, où on n'a plus à nous occuper de rien. Mais le vide, il a eu beau essayer des milliers de fois, il n'a toujours pas réussi à le trouver parfaitement. La nature n'aime pas le vide, dit-on. Tant pis, il continue de chercher. Le vide n'est pas là ce soir, se rend compte Nuallán cette nuit-là, alors qu'il monte les escaliers pour arriver au sommet de la tour d'Astronomie, là où les étoiles sont belles et silencieuses dans le ciel, là où on peut survoler des yeux tel un aigle l'immensité du château endormie. Et bien justement, il y en a qui ne dorment pas, et qui sont même sacrément réveillés là-haut. En temps normal, rien que de penser à ce que deux personnes pouvaient être en train de faire là-haut, Nuallán aurait senti ses poils se hérisser, de dégout ou de curiosité peut-être, mais maintenant qu'il sait ce que c'est que ces choses... Il se rappelle. Les images sortent du vide abyssal de sa mémoire. Il se souvient du corps de Robyn, de ses lèvres, de son goût, de son odeur. Il frissonne rien qu'à y repenser. Puis il condamne à nouveau tous ces souvenirs à l'oubli, l'instant d'une nuit, surement. Pour trouver ce vide, il se résout à faire machine arrière, jusqu'à ne plus entendre les bruits du haut de la tour. Il arrive presque au bout de l'escalier et s'assoit là sur les marches. Les marches cela lui rappelle une fois qu'il descendait un escalier, d'avoir pressenti Jewel un peu plus bas agitée des soubresauts d'une crise d'épilepsie tomber et rouler violemment sur les marches. Il l'avait sauvé ce jour-là, et tout ce qu'elle lui avait donné en échange c'était un regard de mépris. Des yeux désespérément hautains mais si magnifiques. Il n'aspirait alors maintenant qu'à les revoir en face, petit bonheur refusé depuis, même si c'était pour se faire insulter, mépriser ou détester. Tant pis. Oh Merlin, le vide total n'est jamais à porté de main. Il faut toujours qu'il y ait un souvenir, venu même d'une marche d'escalier, une idée, une association d'idée. Oh pauvre petit Nuallán, décidément tu n'auras jamais ce que tu veux, le vide, et le regard de la belle brune. Déjà au moins, choisit l'un ou l'autre, ça sera plus simple à chercher. | |
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Sholto ScrymgeourAGENT DU MINISTERE. ► Ministre de la Coopération Magique.
► MESSAGES : 100 Ven 13 Aoû - 12:07 |
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| Une soirée trop arrosée, et trop enfumée. Jewel ne connaissait pas ses limites dans ce genre de moment. Mais en avait-elle vraiment ? Elle s’était déjà posé la question, et elle en était arrivée à la simple conclusion que non. Jewel avait toujours était honnête avec elle-même. Comment aurait il pu en être autrement quand on mettait un point d’honneur à toujours être objective ? Même avec soit même. Surtout avec soi même. Elle aimait cet état d’ébriété. Celui où on se sentait flotté, où la vie ne semblait être qu’un long chemin tranquille, où tout était clair et précis dans un vague nuage de fumée. La tête lui tournait, mais son sourire semblait être immuable sur son beau visage de poupée de porcelaine.
Il n’avait pas arrêté de la regarder toute la soirée. Elle l’avait bien remarqué, mais avait décidé de le faire languir. La serpentarde aimait se faire désirer, elle aimait voir ce regard qui en disait si long en silence mais qui vaguait entre espoir et indécision. Devait-il venir la voir ? Avait-il une chance ? Oui, il avait toutes ses chances vu qu’il était tout à fait au goût de la serpentard. Mais la patience n’était pas l’une des qualités de Jewel lorsque quelqu’un lui plaisait. Une fois que l’alcool eut attends le gramme et demi dans son sang, et quelques petits joints par ci par là, elle alla le voir, lui agrippa le col pour l’entrainer dans un coin de la pièce. Ils avaient commencé à roucouler en riant. Quand les choses devinrent plus sérieuses, ils immigrèrent à la plate forme, coin des amoureux, ou simplement des amants d’un soir comme eux. Jewel aimait les baisers du jeune homme dans son cou. Ils avaient quelque chose de tendre, d’aimant et de doux à la fois. Elle aimait ses caresses et ses mains baladeuses. Ca la faisait rire et la faisait frissonner de plaisir à la fois. Son odeur était délicate, sa voix aussi. Tout en lui inspirait la douceur, et c’était ce qui lui plaisait chez quelqu’un. La fraicheur de la nuit apportait un dernier charme à cette soirée. Jewel se rendit compte qu’elle ne savait même pas comment il s’appelait. Elle s’en fichait à vrai dire. Tout ce qu’elle savait, c’est que dans ses bras, à cet instant bien précis, elle était bien.
Il commence à déboutonner la chemise de la brunette sans plus attendre. Jewel, elle, pour le moment ne demandait qu’à être dans ses bras encore un moment avant d’être à lui. Mais il a l’air pressé, surement trop, et ses gestes se font de plus en plus impatient, voir violent. Jewel commence à quitter son petit paradis pour se rendre compte, que ce gars là, n’a rien du prince charmant.
« Attends… » « Allez fais pas ta mijaurée ! »
Il la pousse contre le mur, et lui fait mal, surement sans le vouloir. Jewel commence à avoir peur. Elle n’y peut rien, la violence lui donne ce sentiment là. Parce que dans ce genre de situation, elle se souvient de Lucy, et elle ne peut plus faire taire sa peur qui lui torpille l’estomac. Jewel n’aime pas les sentiments. Elle aime être sa coquille objective et critique. Elle aime décortiquait la vie, mais pas l’expérimenter. Jewel sent que ca va finir mal… | |
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InvitéInvité
Ven 27 Aoû - 8:11 |
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| Bien malgré lui, en cherchant le son du silence, Nuallán s'est arrêté sur le son de ce qui se passe tout en haut de la tour. Des souffles, des peaux contre peaux, des baisers, de la sueur. Des sons qui, si doux pourraient se mêler au silence comme le crépitement d'un feu, mais qui, quand on sait ce qu'ils signifient, ne sont finalement plus si doux et apaisants. Ils dérangent petit Nuallán qui n'arrive pourtant pas à s'en décrocher les oreilles. Petit voyeur? Non quand même pas, il est l'innocence-même rappelons-le. Mais c'est qu'il y a quelque chose qui l'arrête dans ce son, comme une aspérité sur laquelle il accroche au lieu de glisser sur le doux tissu des songes. Alors il s'y intéresse un peu plus, même si cela fait mal à ses oreilles, et plus encore à mesure qu'il voit se dessiner les contours de ce petit accroc. Il reconnaît, lentement, le murmure, le souffle, tous les sons qui lui parviennent de là-haut. Il reconnaît la voix qui ne parlent pas, mais il en est sûr, c'est elle, Jewel. Elle n'est pas seule, mais il n'y a qu'elle qu'il reconnaisse, et qu'elle qui importe. Mais elle n'est pas seule quand même, et les yeux de Nuallán s'arrondissent de surprise, d'indignation et partent pour se décomposer sur place quand il fait le rapprochement enfin, que Jewel va bientôt... forniquer, avec quelqu'un d'autre que lui. Il est un peu jaloux hein, alors qu'il n'y a techniquement rien entre elle et lui. Des regards seulement. Non, pas même des regards. Du dédain, peut-être. Ça commence bien. Encore ça ne le dérangerait pas, elle peut bien faire ce qu'elle veut de son corps, même si Nunu préfèrerait que ce soit avec lui, Jewel est une jeune femme forte, libre et indépendante, et c'est peut-être ce qui le fascine tant chez elle. Alors tu pourrais la laisser tranquille, petit? Et retourner jouer avec tes petites voitures. Mais voilà, il veut se faire du mal... Ou autre chose. Il sent quelque chose là-haut, comme si ça se passait mal, et un instant plus tard ses yeux là-haut voient que cela se passe mal. Jewel ne veut plus, Jewel veut s'enfuir, mais l'autre n'est pas du même avis. Un viol. C'est affreux, c'est inacceptable. Et cela remet en place les yeux de Nuallán et fait bouillir ton son corps de colère. Non, il faut l'empêcher avant que ça aille plus loin ! Montant les escaliers quatre à quatre, Nuallán ouvre la porte à la volée, croyant prendre sur le fait l'infâme violeur. Mais on en est qu'aux préliminaires, enfin à la fin des préliminaires. « Allez fais pas ta mijaurée ! » Lui il ne l'a pas encore vue, et il semble plus intéressé par le fait de défaire sa braguette, que de voir le prince charmant secourir la princesse en détresse. Lui il l'a vue, la princesse en détresse, et il remercie le ciel ou quoi que ce soit d'autre de l'avoir fait arriver à temps. Prenant tout son courage et sa colère dans ses mains, il bondit sur le méchant garçon, et de ses bras essaie de la repousser. Mais il oublie qu'il n'est sportif qu'à temps partiel, et qu'il n'est pas si fort que ça. Et il doit son succès plus à l'effet de surprise qu'à la force pure. La menace éloignée, il voudrait se lancer dans une grande leçon de morale à ce méchant garnement, mais il ne sait pas quoi dire, et ne sait presque plus parler. C'est que faire la leçon aux autres, être en position de supériorité, il connait pas vraiment. Alors il se contente de : « Dégages, et ne l'approche plus! » Puis il se retourne vers Jewel, qui à moitié déshabillée est encore plus belle qu'il ne pensait... Et bien cette fois elle va être obligée de le regarder. Avec son sourire de petit garçonnet innoffensif et complètement pendu à ses lèvres il n'a pas trop l'air du prince charmant quand même. « Ca... Ca va ? Tu n'as rien ? Il ne t'as pas fait mal ? » Il ne lui a surement jamais autant parlé de sa vie, c'est un début. rectification. voici le prince charmant xD- Spoiler:
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Sholto ScrymgeourAGENT DU MINISTERE. ► Ministre de la Coopération Magique.
► MESSAGES : 100 Lun 6 Sep - 19:52 |
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| « Dégages, et ne l'approche plus! »
Jewel qui, quelques secondes, était coincée contre le mur par son pseudo preux chevalier fut soudainement libérée. La jeune femme tomba à terre (mais toujours gracieusement, même bourrée et à moitié à poil, Jewel restait une lady). Au début, elle ne vit pas bien qui était ce nouveau preux chevalier sans cheval blanc. Et une fois qu’elle l’eu vu, elle ne le reconnut pas le moins du monde de toute manière.
« Ca... Ca va ? Tu n'as rien ? Il ne t'a pas fait mal ? »
Elle le regarda comme si il sortait d’une autre planète. Ses grands yeux de biche étaient rivés sur les siens, son visage blanc comme de la porcelaine avait un drôle d’air de surprise. Surprise qui se transforma soudainement en un sourire mutin avant qu’elle ne se relève pour lui sauter dans les bras sans crier gare. Saoule. Jewel était totalement saoule. La pauvre, quand elle était comme ca, elle était méconnaissable. Sa belle chemise en soie bleue pâle totalement ouverte, laissant voir un soutien gorge noir, les cheveux un peu en bataille, et sa mini jupe toujours aussi mini, Jewel se colla sans se prier contre Nuallan, l’enlaçant chaudement.
« Oh merci ! »
Elle resta collée à lui, ô combien reconnaissante de son acte de bravoure, quelques instants avant de comprendre qu’il fallait y mettre un terme bien qu’elle soit bien là, tout contre lui. Elle lui sourit de nouveau, et comme à chaque fois que l’alcool se trouve en trop grande quantité dans ses veines, sa langue se délie. Jewel bavarde ? Oui, comme pour compenser son mutisme habituel. Elle qui ne parlait normalement jamais pour ne rien dire, allait parler pour un rien. Et elle allait s’en vouloir le lendemain. La brunette tanguait un peu, ses talons ne lui procurant pas l’équilibre le plus stable possible. Cela ne l’empêcha par pour autant de déclarer, telle la princesse en détresse alcoolisée qu’elle incarnait ce soir là.
« Heureusement que tu étais par là j’ai vraiment cru qu’il… enfin tu vois… Oups ! »
Elle venait de se rendre compte que sa tenue n’était pas des plus royales… Cela la fit rire alors qu’elle refermait grossièrement sa chemise. Elle tangua de nouveau, et le regarda d’un peu plus près. Sa tête lui disait bien quelque chose, mais elle n’aurait pas sincèrement pu dire quoi ou qui. Mais ce qui était sur, c’est qu’il était mignon, il le serait surement même plus si elle ne le voyait pas de manière trop floue.
« Je t’ai déjà vu quelque part non ? » | |
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InvitéInvité
Sam 11 Déc - 19:42 |
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| Un cheval blanc aurait été fort à propos. Nuallán aurait alors pu sauver la belle demoiselle en détresse comme il se doit. Cela lui aurait donné de l’allure, de la prestance, et aurait pu, comme au temps des chevaliers, susciter l’admiration. Mais l’admiration ça ne l’intéresse pas. Tout ce qui compte c’est de sauver la belle Jewel, juste ça. La gloire c’est pour les autres. C’est pour ceux qui ont les moyens de se payer un cheval blanc. Ce n’est pas le cas de Nuallán qui n’a que ses yeux, sa tête, ses mains, son corps pour faire preuve de bravoure. Mais cela suffit. Cette fois-ci. Le danger s’enfuit, détale comme un lapin. Et Nuallán un instant se sent envahi de tout cet esprit chevaleresque, mais à peine ses yeux se reposent sur Jewel que toute son assurance s’évanouit, que ses mains tremblent et que ses lèvres se murent. Il tremble plus encore quand elle vient se coller contre lui, pour remercier à sa façon, son prince charmant. Heureusement, elle ne semble pas rebutée par l’état de feuille de celui-ci. Heureusement ou malheureusement. Nuallán n’est pas un grand buveur, mais il sait reconnaitre l’odeur de l’alcool. Et puis avouons que Jewel ne saurait se jeter sur lui si son esprit n’était pas disjoncté par quelques verres. Bourrée. Il aura fallu ça pour qu’elle se jette sur lui et lui dise : « Oh merci ! » Première fois surement qu’elle lui parle, lui répond, lui adresse un mot gentil. Nuallán sent que cet instant et inestimable, et ne peut que savoir qu’il ne se reproduira jamais. Jewel vacille sur ses talons hauts et trop compliqués à gérer pour son état. Nuallán la retient en posant une main dans son dos, et la serrant contre lui. L’empêcher de tomber. Et se rapprocher d’elle. Affreux garçon. « Heureusement que tu étais par là j’ai vraiment cru qu’il… enfin tu vois… Oups ! » Devenue volubile, Nuallán lui ne sait plus où se mettre. Il vient de la sauver d’une tentative de viol, et le voila qui la serre tout contre elle, toute dénudée, tout ça sous prétexte de la sauver et d’être son preux chevalier. Il n’est au final là que pour lui faire du mal, comme celui qu’il vient de chasser. Tout ça pour l’avoir pour lui. Beau travail, le prince charmant. Il s’éloigne un peu pour qu’elle puisse se rhabiller, mais son équilibre étant encore relatif, il l’attrape par le coude. Il veut qu’il ne lui arrive aucun mal, c’est tout. Rien de plus que ça. Il essaie de s’en persuader. Et pourtant au fond il sent qu’il y a quelque chose. Quelque chose qui n’est pas digne du prince charmant. Ou si, peut-être, le prince charmant n’est-il pas sensé épouser la belle à la fin ? Et ils doivent avoir beaucoup d’enfants. Oui, bon ça on attendra un peu, peut-être. Alors que Nuallán se perd dans des questionnements moraux sur les contes de fées, Jewel s’est approchée pour l’examiner. Elle ne se souvient pas de lui, il l’a bien compris. Sinon elle l’aurait déjà envoyé ballader, par-dessus le rebord de la tour. Pour une fois, l’alcool le sauve. « Je t’ai déjà vu quelque part non ? » Ou pas. On verra bien. C’est le moment de délier sa langue, de parler enfin, d’oser lui parler en face, maintenant qu’elle l’écoute, un peu, même si demain elle aura tout oublié. Sa voix et ses mains tremblent un peu, mais il ne la lâche pas, ne faisant pas encore confiance à ses talons. « Jewel. Tu es saoule. Tu n’as pas toute ta tête, mais ce n’est pas grave. Je vais te ramener dans ton lit. » Quelle belle tirade. Sa voix ne s’est pas trop emmêlée. Ses mains ont tenu bon. Finalement, ce rôle lui donne un peu d’assurance. Il aime bien être chevalier. Chevalier servant de cette dame. « Je suis Nuallán, même si tu ne te souviens pas de moi. Ce n’est pas grave. » Un peu plus et il lui fait la révérence. Faut pas pousser non plus. Nuallán prend les devants, et passe sa main dans le dos de Jewel pour la soutenir et l’aider à marcher. Il essaie de ne pas écouter ce que ses lèvres et ses beaux yeux lui disent de faire. On ne fait pas ces choses-là à une belle princesse. Mais craignant qu’elle ne parvienne pas à marcher jusqu’à son lit, il se décide à la porter dans ses bras, d’un doux mouvement, comme dans les films le fait le jeune marié pour passer le porche. Quelle niaiserie. Quelque chose passe sur ses lèvres. Il peut sentir comme les lèvres de Jewel sur les siennes. Il en sent le goût et toute la sensation, alors que ses yeux lui confirment que Jewel ne s’est pas plus approchée de lui. Il s’imagine des choses, c’est tout. C’est juste ça. Tout. | |
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