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PROFIL & INFORMATIONS |
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Keith WhiteleySORCIER.► décédé.
► MESSAGES : 236 Lun 12 Juil - 9:41 |
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| « J'imaginais pouvoir juste me jeter sur les petits fours et me barrer ensuite. Mais voilà il a fallu que je trouve un cavalier... Tu dois savoir à queeeeeel point j'aime ces trucs comme les bals, alors une danse et après... euh... si tu veux encore danser, t'auras qu'à trainer Matthias. »
Keith eut un petit sourire en coin. Comme s'il ne la connaissait pas depuis le temps. Elle était sa meilleure amie, beaucoup plus que ça même, même si le fait qu'elle avait complètement zappé qu'il s'était passé quelque entre eux (avouez que c'est vexant) avait un peu refroidit le serpentard dans ses ardeurs. Il avait résolu de s'en tenir à l'amitié avec Mascha puisque visiblement c'était aussi le choix qu'elle faisait. Si il avait su qu'elle vomissait toutes les cinq minutes depuis quelques semaines, il aurait sans aucun doute révisé son jugement dans l'urgence. Mais il n'en savait rien du tout. Il chercha Matthi du regard une seconde avant de répondre:
« Personne n'a dit qu'on était obligé de danser Miss Sasnauskas. Je ne suis pas non plus un grand amateur de mondanité. Elles sont futiles. »
Comme il disait cela, son regard suivait Matthias qui s'apprêtait à partir. Il était irritable en ce moment, du moins c'était ce que Keith pensait. Le Serpentard soupira tandis que Mascha glissait sa main dans la sienne. Cela suffit à le ramener à sa cavalière, avec un de ces sourires affûté comme une lame de rasoir qui le rendait terriblement... enfin le Vatican n'aurait pas apprécié un tel sourire. Il était excommunié de toute façon alors. Pourtant le sourire s'évanouit vite. Mascha avait l'air plutôt bizarre, impossible de ne pas le remarquer.
« Tu es sûre que ça va? »
Elle lui lâcha la main. Que cachait-elle encore? Keith leva un sourcil. Typiquement le genre d'expression qui lui donnait quelque chose de altier et de rigide, pourtant ça lui allait bien aussi.
« Fais donc plutôt preuve que tu tiens à ta dame, preux chevalier Whiteley! » « Oh je vois! Madame veut être courtisée pour une danse... si vous vouliez me faire l'honneur Madame... »
Il lui tendit la main et l'invite pour la première danse. Il avait le pas sûr et le dos bien droit. Le préfet de Serpentard avait de l'allure mine de rien et si quelque part il avait dans le coeur des petites fourmis sasnauskiennes carnivores, il ne laissait rien paraître. De toute façon elle savait bien qu'il avait plus d'affection pour elle qu'on en a pour une simple meilleure amie. La chainette de son petit crucifix d'or se montrait de temps à autre, inoffensif, mais la main d'Elemiah était toujours posée sur son épaule, invisible. Keith jeta un coup d'oeil vers la porte, pour constater que Matthi était... en train de discuter avec une fille. Le préfet s'en étonna:
« Tu as vu Matthias?... Je ne serais pas étonné que Nicolas lui ait fait boire de l'alcool à son insu... »
Il garderait un oeil sur lui désormais.
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InvitéInvité
Lun 12 Juil - 10:03 |
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| « C'est tout ce que je demandais. »
Et il ne demandait vraiment pas grand chose. C'était aussi une des qualités que Tao appréciait chez lui: sa simplicité. Il avait beau être le front de page de tous les magazines people, être adulé comme un saint, jalousé, rêvé, envié... il restait le même garçon que celui dont elle était tombée amoureuse pendant une heure de colle qu'elle devait à Lady Lilith Grey, aujourd'hui directrice. Sans doute la seule heure de colle pour laquelle l'asiate ne remercierait jamais assez Grey. Le pire de tout c'était qu'il ne s'était rien passé du tout à cette colle. Mais c'était important pour Tao. Un jour elle en parlerait à Harrisson sans doute, et il rirait.
Elle frissonna légèrement de sentir la main de son cavalier se poser sur sa hanche mais elle se détendit vite à son bras, comme le slow les emportait lentement, l'un contre l'autre. Elle ne voyait même plus les regards des autres, et quand Billy Thompson renversa son jus de citrouille juste derrière eux, elle ne se rendit même pas compte qu'elle avait eu de la chance. En temps normal le jus aurait atterri directement sur sa robe blanche. Elle souriait tout simplement.
« C'est toi qui prends des risques. La vendetta des fans, c'est pire que tout... Si elles avaient des couteaux à la place des yeux, dit Jasper, sûrement qu'elles t'auraient déjà tué. » « Tu dis ça pour me rassurer? », fit-elle avec une petite moue moqueuse, relevant la tête pour le regarder dans les yeux. « Parce que c'est toujours quand on parle de choses invraisemblables qu'elles arrivent. La semaine dernière il a plut de buffles violets juste quand je sortais et j'ai été transformée en myrtille géante... il ne faut...» ... elle pâlit légèrement, s'interrompant au milieu de sa phrase.
Là il y avait une fille avec des couteaux à la place des yeux. Tao regarda Harrisson l'air de lui dire "oh non". On se serait cru dans une scène de film d'horreur et la douce mélodie que fredonnait Elke avait théoriquement été remplacé par les horribles triii triii triii triii répétitifs des violons macabres qui annonçaient que la situation était critique.
« Han trop fort tes lunettes Dean, tu me les prêteras? »
C'était Gretchen McAlister qui retirait les lunettes magiques que Dean avait acheté dans un magasin de farces et attrapes et qui simulait à merveille des couteaux à la place des yeux, ou d'autres choses. Visiblement le menu était aléatoire. Dean reprit ses lunettes et se retrouva avec des serpents à la place des yeux. Tao reposa ses yeux noirs d'ébène sur son cavalier et éclata de rire. Ils s'étaient fait peur pour rien là. Du moins elle...
« ... jamais dire jamais. », fit-elle, terminant la phrase qu'elle avait commencé avant de se faire peur toute seule.
Mais curieusement, ça n'avait plus la même portée maintenant. Surtout sur les mots de Elke qui interrogeait un amoureux invisible, lui parlant de flamme éternelle. Tao eut ce sourire tendre qui lui allait si bien. Elle était bien avec Harrisson. | |
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InvitéInvité
Lun 12 Juil - 10:23 |
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| Formes chimériques. Le temps où la poudre magique l’emmenait loin dans le ciel avec le Quatre-Quart n’était plus. A présent c’était tout un autre monde qui s’offrait à lui, il voyageait ailleurs, là où les formes n’étaient pas si belles, là où tout était étrange et faisait peur, où tout donnait l’envie de se coucher pour l’éternité. Un sourire goguenard, planant, avait éclaté sur les lèvres de Maëlan qui avait fermé ses yeux noisettes et semblait totalement ailleurs… C’était encore l’un de ces coins sombres de Poudlard, bien souvent désertés, sauf par les Serpentards qui semblaient y régner en Maître, après tout, c’était les sous-sols, les cachots.
?? – Maël, t’as callé que c’était le Bal ce soir ? Rire goguenard. Maël – … ?? – Quelle idée d’y aller, tu es dingue, en plus sur le thème Moyen-Âge.
Le groupe de Serpentard présent ricana et une blonde observa longuement Maël, avec un air supérieur. Le Vert et Argent entrouvrit ses yeux vitreux et observa les courbes de son corps, et à part ça elle n’a rien dans la boîte crânienne, la pauvre. Il ne bougea pas lorsque sa main manucurée se perdit dans ses cheveux, au contraire, il referma ses yeux, sur le point d’avoir le cœur au bord des lèvres. Ce n’est que lorsqu’elle murmura quelque chose au sujet du bal qui commençait dans une heure, que quelque chose se déclencha dans le cerveau du Dashwood. D’un bond rapide, il se leva et partit en titubant légèrement, son visage pâle et ses yeux cernés semblaient morts. Il enfonça ses mains dans ses poches et marcha jusqu’à la salle commune. Merde. Il allait encore tout gâcher s’il continuait comme ça, quel idiot. Arrivé dans son dortoir, il retira son jean et son t-shirt noir avant de regarder dans son armoire… Rien ne lui faisait penser au Moyen-Age, il n’avait vraiment rien là-dedans. Il attrapa alors un pull blanc avec un col en v, et un gilet noir qu’il mit par-dessus, accompagné d’un pantalon noir… Basique, mais ça pouvait faire moyen-âge, bloqué entre le paysan et le damoiseau, on ne savait trop. Il marcha jusqu’à la salle d’eau et essaya de se rafraîchir, tant bien que mal. Son visage était toujours pâle mais au moins il avait les idées un peu plus claires. Il jeta un rapide coup d’œil à sa montre avant de se rendre compte qu’il était en retard… Avril allait le haïr, c’était clair et net.
Dix minutes plus tard, il se trouvait dans les escaliers et cherchait coûte que coûte à atteindre au plus vite le haut de la tour où se dissimulait sa Princesse, il n’avait même pas prêté un seul regard à Jude qui descendait dans les cachots. Finalement il arriva au pied de la tour et vit la pauvre Avril qui se tenait seule. Le Serpent s’approcha rapidement, fronçant un peu les sourcils, avant de regarder ses yeux bleus ensorceleurs et il se racla légèrement la gorge… C’était impardonnable ce retard de vingt minutes au moins. Il lui tendit alors la rose qu’il avait caché derrière son dos avant de lui adresser un sourire un peu charmeur, comme d’habitude.
Maël – Excusez-moi, Princesse.
Ca se passait d’autres commentaires, de toute manière que dire ? Il était seul avec son groupe de Serpentard à taper dans la farine, si Jude avait été là ça aurait pu passer, mais là non. Alors il tendit sa main vers la sienne pour la prendre tendrement et y déposer un baiser avant de lui offrir son plus beau sourire d’excuse. Il se mit alors à l’observer et Maël du se retenir pour ne pas pousser un long soupir.
Maël's clothes. | |
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InvitéInvité
Lun 12 Juil - 11:08 |
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| [Hindie] « Uhuh. On peut dire que tu sais parler aux femmes toi. Merci en tout cas. J’ai dû passer un mois à retaper cette robe. »Quelque part Nathanaël était admiratif. Lui qui ne savait rien faire de ses dix doigts sinon rédiger de longs devoirs d'une écriture soignée et jouer du piano ne pouvait qu'avoir les yeux qui brillent en voyant ce que les autres étaient capables d'accomplir. Il mettait toujours beaucoup de valeur à ce genre de chose et il aurait aimé savoir faire lui aussi. [Nate] « Elle est splendide. Tu dois être une couturière terrible ou une reine des sortilèges. J'aimerai savoir faire quelque chose aussi bien... je veux dire, fabriquer quelque chose. »Ce qu'il voulait dire par "terrible" c'était hors paire. Mais il avait encore quelque lacune de vocabulaire. On le lui pardonnait et il arrivait de toute manière à se faire comprendre aisément. [Hindie] « Tu n’as jamais dansé sur du rock ? Et euh… C’est quoi la watzl ? »[Nate] « Jamais. Euh tu sais c'est... »Mais allez expliquer ce que c'est que la valse. A part dire que c'était une danse, il séchait complètement. Il avait encore du mal prononcer. L'espace d'un instant il avait l'air bien embêté mais finalement il opta pour le mime, prenant Indiana par la taille avant de prendre sa main à elle pour la poser sur son épaule à lui. Ne rester plus qu'à prendre l'autre main de la jeune fille, avec grâce et délicatesse et à lui chantonner à l'oreille ... [Nate] « Tanananana nana nana tanananana nana nana... tu vois? »Il la libéra après quatre pas de valse viennoise, fredonnés à son oreille. Ca lui rappelait la France tout ça. Mais bon ce n'était pas du tout dans le ton de ce que chantait la fille sur scène alors mieux valait s'arrêter là pour ne pas mettre la honte à Hindie. Il se laissa entraîner sur la piste de bon coeur, se disant que s'il n'avait pas garder ses gants blancs de prince il aurait pu sentir la peau douce de la Poufsouffle comme elle lui prenait la main. Mais c'était extrêmement inconvenant comme pensée, alors il garda ses gants. [Hindie] « Allez ! Viens ! Je vais t’apprendre ! Suffit juste de suivre la musique et de se laisser aller, c’est facile. Tu peux pas faire plus simple. »Il la regarda faire, un peu hésitant, puis finalement se lança sans trop de difficulté. Ca n'avait rien de commun avec les cours de danse de couple qu'il avait reçu petit. C'était beaucoup mieux d'ailleurs. Puis ce fut le temps du premier slow. [Nate] « Ah ça je sais. Puis-je Madame? », fit-il en se rapprochant d'elle pour danser plus posément. | |
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Lun 12 Juil - 11:42 |
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| « Petit roturier, tu as bien de l'audace de demander qu'une dame te prenne la main... » « C'est parce que... », il se pencha à son oreille pour murmurer un très magyar,őrülten szerelmes vkite., il se redressa avec un petit sourire félin, lui caressant doucement les épaules. Une lueur espiègle brillait dans ses yeux comme il savait qu'elle ne comprendrait pas, « Et je te jure que ça n'a rien à voir avec un hibou ou un moineau. »
Il disait ça parce qu'elle le reprenait parfois quand ils se disputaient et qu'il lui échappait des expressions farfelues qui si elles étaient toute naturelle en hongrois, était juste risibles en anglais. D'autant qu'elles étaient le plus souvent très imagées. Les trois quart du tant c'était plus drôle qu'autre chose et puis il fallait vraiment l'avoir fait sortir de ses gonds. Il la serra un peu plus contre lui comme elle approchait. Eurydice était une voleuse de grand chemin. Un bandit qui lui avait pris son coeur et mieux encore, qui l'avait charmé à ce point qu'il était heureux de s'être fait volé. Et là, pendue tendrement à son cou, elle le rendait chaque seconde plus amoureux. Le contact y ajoutait encore, comme s'il était vraiment besoin. Il fallait dire que Roman était vierge et que, s'il ne pensait pas qu'à ça, par moment, il sentait qu'il valait mieux disparaître dans un trou de doxy pour éviter de se faire griller. Enfin pour le moment il maîtrisait.
« … mais tes yeux ont charmé mon coeur, et je dois avouer que j'abandonne sur le champ mon titre et mon rang, si cela peut me donner un baiser de ta bouche. »
Inutile d'insister, ses lèvres étaient déjà posées sur celles d'Eurydice. Il avait ce truc de lui prendre doucement le visage, presque comme s'il avait tenu un petit oiseau entre ses mains. Ce truc de faire crever de jalousie les autres filles qui, pour avoir assister aux entraînements de Gryffondor, ou pour l'avoir vu sortir des vestiaires, auraient donné elles aussi un royaume pour un baiser. Mais Roman aimait son petit bandit d'Eurydice. Elle était la seul étoile de son ciel, et même lorsque Georgie Thompson avait réussi à lui faire avaler ces ridicules chocolats au philtre d'amour, le prénom d'Eurydice s'était farouchement battu sur ses lèvres contre celui de Georgie. Autant dire que même Grey n'aurait pas pu le punir suffisamment pour le baiser qu'il était en train de donner à sa belle. Il le rompit finalement avec un sourire:
« Ca me rappelle un conte hongrois. Une princesse offre son royaume contre mille baisers d'un pauvre lutier, parce qu'elle est sous le charme de sa musique. Mais si je continue l'histoire on manque le premier slow. »
Il s'écarta juste un peu, de quoi lui laisser l'espace dont elle avait besoin, et engagea les premiers pas de danse sur une chanson magnifique et romantique à souhait.
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Lun 12 Juil - 12:25 |
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| robe d'AvrilAinsi qu'elle l'avait dit à Heath, Avril ne se para ni d'une robe de princesse, ni d'une robe de servante pour aller au bal. Elle avait bien reçu comme tout le monde l'invitation stipulant que le thème du bal était le Moyen-Âge mais elle pas jugé utile de prendre la chose en compte. Elle voulait être belle, parce qu'elle allait au bal avec Maël. Un peu de maquillage comme pour masquer ses doutes, ses peurs. La voix d'Adonis qui murmurait encore à son oreille. Non il avait menti, il ne savait faire que ça: mentir. La belle diablesse avait revêtue une robe longue dans les tons beige et écru. Des tons clairs qu'on lui voyait rarement. Un peu de changement faisait toujours du bien. Elle avait maquillé ses yeux clairs de noir, soigné ses cheveux pour les rendre plus beaux et... elle avait attendu l'arrivée de son cavalier. Mais hélas là où le coeur devance les circonstances ne suivent pas toujours, et la très belle Avril, cédant la place à Lucifer, se retrouvait à poireauter devant sa salle commune, alors que tous étaient déjà descendu. Oh elle allait le tuer. Elle décidait justement d'y aller sans lui quand elle vit se profiler l'ombre d'un cavalier en retard de plus de vingt minutes. Ses yeux jetaient des éclairs de glace et son menton légèrement relevé laisser pressentir que Lucifer aller frapper fort si on ne charmait pas le serpent tout de suite. Il s'éclaircit la voix, elle ne broncha pas. Mais la rose attendrit la diablesse parce qu'elle était rouge sans, unique et belle. Parce qu'il avait pu penser à ça. Une rose. Ce n'était rien. Mais ce n'était rien de plus que ce qu'elle demandait: une attention particulière de la part d'un garçon plus particulier encore. Elle ne le laissa pourtant pas voir que c'était suffisant. Pas encore. Elle avait tout de même attendu: Maël – Excusez-moi, Princesse. Avril - Excuses acceptées. Mon chevalier à la triste figure., elle eut une étrange expression, détaillant son visage avec cette assurance qui faisait fuir les autres. Comme il lui prenait la main tout tendrement elle sourit, refaisant le contour de son visage de l'index. Il y avait comme une certaine habitude dans leurs gestes qui pourtant se renouvellaient toujours différemment comme pour trouver la meilleur combinaison. Tu as l'air fatigué...Simple constat mais elle ne jugeait pas. Jamais. Elle savait bien pourquoi il pouvait être fatigué et dans la poignée de solution qui lui venait à l'esprit elle essayait d'écarter au mieux celles qui auraient pu sortir de la bouche d'Adonis Dashwood. Elle s'accrocha à ces yeux qui la détaillaient à leur tour, se laissant faire avec la superbe d'une reine qui se sait intouchable si ce n'est de son plein gré. Mais la diablesse Lucifer à quelque chose qui se vrille en elle à se laisser observer de la sorte, simplement parce que c'était lui... Maël – Tu es très belle… Avril – Alors nous serons bien assortis., reconnait-elle enfin. Puis elle passa la main à son bras, prenant les escaliers à ses côtés. Ses doutes évanouis pour le temps d'un bal. Ce n'était rien, mais c'était déjà beaucoup. Ils franchirent la grande porte pour se retrouvait dans un décor somptueux, habité par la musique des Dogs, LE groupe de rock en vogue. Avril eut un petit sourire étonné: Avril - Je rêve où Grey a aussi de bon côté?Ils avaient raté l'ouverture mais après tout, ce n'était que de longs discours rébarbatifs avant le début des hostilités. Elle alla se servir une coupe de champagne (sans alcool, la directrice y avait veillé), regardant Mael d'un petit air amusé. | |
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Indiana Mindy DashwoodSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 183 Lun 12 Juil - 13:51 |
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| [Nate] « Elle est splendide. Tu dois être une couturière terrible ou une reine des sortilèges. J'aimerai savoir faire quelque chose aussi bien... je veux dire, fabriquer quelque chose. » [Hindie] « Reine des sortilèges ? Oh mon dieu non, je suis une catastrophe dans tout ce qui touche à la magie. On va dire que je n’ai pas eut trop le choix, j’ai dû devenir la reine de la débrouillardise. Je compte la couture dans les essentiels quand on a trois frères. »
Question de vie ou de mort même. Ce n’était pas toujours évident d’être la maman de trois grands garçons de son âge. xD La brunette avait développer au fil des années une grande panoplie de basiques dans l’art d’être une parfaite femme au foyer. Vaisselle, linge, couture, cuisine… Elle était vraiment bonne à marier, et vraiment elle ferait la femme idéale. Malheureusement dans sa panoplie elle ne comptait pas la parfaite maitrise de la valse. La poufsouffle ria avec légèreté quand Nate commença à lui faire prendre la pause de sa danse russe aux vêtements suisses. Le regard azuré le la poufsouffle pétillant était fixé sur celui du français, et elle lui offrit de nouveau un grand sourire alors qu’il commençait à l’entrainer sur une musique qu’il fredonna lui-même.
[Nate] «Euh tu sais c'est... Tanananana nana nana tanananana nana nana... » [Hindie] « Ah désolée ! »
Elle venait de lui écrabouiller le pied. -_- Indie sortit de sa poche son regard d’ange pour se faire excuser. Quand elle sortait ses yeux là, personne ne pouvait lui en vouloir, sauf Ma’ et Ado’ qui étaient bien trop entrainés depuis les années qu’elle leur faisait subir ca… Indie se concentra ensuite sur les trois pauvres autres pas qu’ils allaient faire. En 10 secondes elle avait quand même réussit à lui marchait deux fois dessus… Il ne fallait pas l’amener en France, elle serait la risée du peuple.
[Nate] « Tu vois? » [Hindie] « Je vois surtout que je suis pas douée pour ca ! Et si ma culture de films de princesses ne me trahit pas, ca doit être une valse. Ca va ton pied ? »
Indie grimaça à sa question. Des fois elle se disait qu’elle n’était vraiment pas sortable… Heureusement qu’elle dansait mieux le rock que les danses mondaines. Déjà il y avait un plus à cette musique : distance de sécurité. C’était plus facile de ne pas marcher sur les pieds de Nate quand on se tenait à un mètre de lui. Néanmoins la musique s’était arrêtée, pour faire place à un slow. Comme Indie s’y attendait, Nate eut tout de suite l’air plus à sa place, même si il ne se débrouillait pas mal du tout avec le rock.
[Nate] « Ah ça je sais. Puis-je Madame? » [Hindie] « Bien entendu Monsieur. »
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! (Désolée, passage de groupie intériorisée par Indie). La brunette se rapprocha de Nate et passa ses bras autour de son coup tandis qu’ils commençaient leur slow. Hiiiiiiiiiiiiiiiii (désolée encore !). La poufsouffle fut mal à l’aise l’espace de quelques secondes, se demandant si elle pouvait faire comme avec ses frères… Si elle avait danser avec Maël elle se serait collée à lui et aurait posé sa tête sur son épaule, fermé les yeux et se serait laissée porter sur son petit nuage de bonheur… Après mûre réflexion, Indie décida d’en faire de même avec Nate, histoire de goûter au paradis du bonheur. Sauf que bien entendu, le diable venait toujours frapper aux portes…
[Groupie] « Nate ! Tu veux pas danser avec moi ? Indie, tu t’en fiches, nan ? » [Hindie] « Je... euh… »
Poufiasse. T_T Indie s’était tournée vers une fille de son âge. Elle pouvait lui dire « non pas touche sale pute ! » ? T__T | |
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Magdaleyna C. Dangelo
► MESSAGES : 30 Lun 12 Juil - 16:18 |
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| « Je le connais à peine, ce garçon. Je sais juste comment il s’appelle et je connais, en gros, sa réputation. Ce qui me déplaît un peu, malheureusement. Je me demande pourquoi il m’a invitée moi, alors qu’il semble avoir la moitié de l’école à ses pieds. Mais tout de même, je ne vais pas me plaindre. Parce que, honnêtement, s’il ne m’avait pas proposé d’aller au bal, personne d’autre ne l’aurait fait. Le bal… C’est amusant, quand il y a un bal, car c’est là qu’on se rend le plus compte du mode de vie des gens. Il y a celles qui paniquent et ne savent pas danser ni s’habiller, il y a celles qui ont peur que ce soit trop long, il y a celles qui y vont pour la première fois, et d’autres qui sont contentes de leur cavalier. Il y en a assez peu comme moi, c’est à dire qui sont habitués depuis leur plus tendre enfance aux soirées mondaines où il faut être courtois, discret et, malheureusement, hypocrite. Je ne me faisais pas vraiment de soucis pour ce bal, j’appréhendais plutôt ce cavalier, qui ne me connaît pas et que je ne connais pas. Il nous reste une heure pour s’habiller, j’espère que les filles du dortoir se calmeront d’ici là, parce qu’on ne s’entend même plus penser. »
Magdaleyna poussa un long soupir, dans le but de chasser toute l’appréhension que lui portait cette agitation. Elle fit le vide dans sa tête, compta jusqu’à dix, puis alla se préparer. Ce soir était fait pour s’amuser, et pas – contrairement aux précédent bals qu’elle avait fait avec sa famille – pour établir des contacts afin d’avoir un quelconque arrangement avec telle ou telle famille. Notamment, cette différence s’expliquait par cette idée de bal costumé, enfin, façon de parler puisque le thème de cette soirée était le Moyen-Âge. La jeune fille se leva, s’étira, passa impassiblement devant tout le tumulte et les cris de désespoir pour se préparer. Dans ces périodes de fête, il semblait toujours y avoir deux catégories de filles : celles qui ne voulaient pas y aller, et celles qui, au contraire, n’attendaient que ça depuis le début de leur vie. Moi, je m’en fichais. Le bal n’aurait pas eu lieu que cela ne m’aurait pas affecté plus que ça. Même si ça ne me dérangeait pas d’y aller. La robe que j’avais choisi était d’une grande simplicité : marron, retenue uniquement par une ceinture de cuir et des bretelles fines. Elle se plissait, et les pans étaient a peu près la seule chose qui faisaient penser à une époque passée. Pour toute excuse, Magdalena n’avait que la vérité : aussi bonne élève était-elle, elle n’avait jamais vécu au Moyen Âge, ainsi elle n’avait aucune idée de ce que pouvaient porter les gens à cette époque. Certes, elle avait vu des peintures, des gravures et des sculptures, certains de ces ancêtres même, puisque les Dangelo étaient suffisamment riches pour pouvoir faire remonter leur arbre généalogique jusqu’à une certaine époque. Bien sûr, ce n’était pas en Angleterre qu’ils avaient retrouvés leurs ancêtres, mais bel et bien en Italie, qui, a une époque, fut la capitale de la mode, artistique comme vestimentaire. Magda soupira. C’était stupide de penser à ça. Elle n’allait pas demander a ses parents si l’un de ses ancêtres n’avaient pas laissé une robe, vieille de quatre cent ans, voir plus, dans l’espoir que quelques siècles plus tard, l’une de ces descendantes la porte pour un bal à thème. La jeune fille préféra laisser ses pensées historiques de côté, afin de se concentrer pour son maquillage. Elle traça le contour de ses yeux à l’aide d’un crayon noir, mit du mascara et une touche de rouge à lèvre. Elle n’avait jamais aimé le maquillage exubérant façon « pot-de-peinture », et ce n’était pas aujourd’hui qu’elle allait changer ça. Elle remonta ses cheveux en un chignon lâche , et jeta un coup d’œil à l’heure. Elle avait encore du temps. En prenant soin de ne rien froisser, elle s’assit sur son lit, prit un livre et s’absorba dans sa lecture. Le calme de la salle commune lui fit lever les yeux. La porte se referma derrière la dernière fille, qui venait de sortir. En jetant un nouveau coup d’œil à sa montre, posée sur sa table de chevet, elle se rendit compte que le temps qui lui avait paru si important tout à l’heure avait filé à toute vitesse. « Et mince » fit-elle, avant de jeter son livre sans regarder le numéro de la page - contrairement à son habitude - et de se jeter à quatre pattes pour attraper ses chaussures, sous son lit. Elle les enfila à la hâte, c’était de simples chaussures à talons, sautilla un peu pour bien se mettre en place, et sortit de la chambre. Dans la salle commune, quelques couples çà et là discutaient et riaient, n’ayant apparemment pas envie d’aller au bal immédiatement. Sauf que Greg n’était pas dans la même maison que Magda, et elle s’en voudrait de l’avoir fait attendre. Elle dévala les quelques marches et arriva enfin devant la porte de la grande salle. L’ambiance était au plus haut niveau et la fête battait son plein. Essoufflée, elle se laissa quelques instants de répit avant de partir à la recherche de son cavalier. Elle observa la salle, le cherchant du regard. Quand elle l’eut enfin localisé, elle se dirigea vers lui. Elle posa une main sur son bras afin qu’il se rende de sa présence et se pencha vers lui, pour qu’il l’entende dans ce brouhaha confus. « Désolée, je ne t’ai pas trop fait attendre ? » | |
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Sean Abel BlakeSORCIER.
► MESSAGES : 111 Lun 12 Juil - 19:22 |
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Derrière ces airs de grand magyar grognon, Eurydice avait de bon côté. C'était obligé quelque part. On aime pas une fille qui n'a aucun bon côté. Parfois, l'excuse serait qu'elle était une tigresse sous les draps, mais encore là, Eurydice n'avait pas pensé une seule seconde à le déshabiller. Soit, elle savait comment s'y prendre, bien qu'elle fut vierge. Aaron lui avait bien trop raconté ses aventures, parfois ça terminer en fou rire d'ailleurs, tellement la chose pouvait sembler drôle vu d'en dehors. Mais... Mais cette chose n'était ni drôle, ni amusante dans les bras du beau Roman. Ça avait goût d'amour et de volupté quand les bras de Roman l'entouraient, et elle se senti petite et faible sans avoir à craindre les moqueries. Il n'y a avait, qu'elle sache, rien de plus magnifique et de plus attendrissant que ses bras.
« Petit roturier, tu as bien de l'audace de demander qu'une dame te prenne la main... » « C'est parce que... őrülten szerelmes vkite. Et je te jure que ça n'a rien à voir avec un hibou ou un moineau. »
Elle eut un sourire. Elle savait ce que ça voulait dire, et baissa les yeux, rougissant alors. C'était aussi le contact qui la gênait. Combien de temps cela faisait il qu'ils étaient ensemble? Cinq? Six mois? Et ils n'avaient toujours pas passé le pas, restés au baiser. Oh, elle, ça lui suffisait, mais parfois elle maudissait les filles en fleurs, trop féminines, trop glamour, qui gloussaient de s'être réveillée dans les bras de leur petit ami, qu'elle connaissait depuis une semaine. Elle? Elle n'avait pas vu plus loin que le torse de Roman. Lui n'avait pas vu plus qu'une robe d'hôpital sur elle d'ailleurs. Coincés? Pas aidés, surtout. Roman disait attendre le bon moment. Soit. Mais quand serait-ce le bon moment...? Elle se serra contre lui, jalouse tout d'un coup des autres sans même savoir pourquoi, et murmura finalement, comme elle n'aurait pu dire ses mots qu'à lui seul :
« … mais tes yeux ont charmé mon coeur, et je dois avouer que j'abandonne sur le champ mon titre et mon rang, si cela peut me donner un baiser de ta bouche. »
Et il prit son visage. Aussitôt, comme elle en avait l'habitude, elle ferma les yeux et entrouvrit à peine ses lèvres, le coeur battant la chamade. Ses lèvres contre les siennes, elle appuya son visage contre le sien, sa main se serrant sur la nuque du chasseur, comme elle était possessive malgré elle, et que ses gestes et ses paroles le faisaient comprendre. Un petit bandit, oui. Ou pire. Un futur tyran.
« Ça me rappelle un conte hongrois. Une princesse offre son royaume contre mille baisers d'un pauvre lutier, parce qu'elle est sous le charme de sa musique. Mais si je continue l'histoire on manque le premier slow. » Elle eut un sourire, amusée. « Tu romps mon baiser pour un slow? Tyran. »
Elle se met sur le bout des pieds, l'embrasse un instant, puis se prends au jeu de danser. Elle regarde sur les côtés. Son oeil zyeute Aaron. Elle l'a vu ce matin, et le pauvre n'allait pas bien. Au bords des larmes, il avait eut l'air d'un enfant battu, mais comme dirait Betsalel, on ne peut pas prendre toute la misère du monde sur ses épaules. Qu'importe alors. Elle se colle un peu plus contre lui, ses jambes frôlant les siennes à chaque mouvement, et elle a un sourire heureux d'être là, à ce moment, avec lui. Elle a un sourire mutin, espiègle et fin.
« Hey, Roman... én is szeretlek »
Elle est fière. C'est peut être les seuls mots de hongrois qu'elle saura dire, et elle ne les lui dira qu'à lui.
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Matthias J. de SalamineMAGISTER. ► ès HDLM.
► MESSAGES : 171 Lun 12 Juil - 20:27 |
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Matthias la regarda, et se demanda à quoi elle pouvait bien réfléchir. Avait-il dit quelque chose de méchant? Pourtant, ce qu'il avait dit était très logique. Si il y réfléchissait bien, Matthias n'avait jamais été mondain, et il n'écoutait que d'une oreille les rumeurs. Ce qui aurait pu se passer à cette soirée et qui aurait pu l'intéresser était sans doute Keith, et le sujet Keith, au même moment, était en forte charmante compagnie – ce qui n'avait rien pour plaire à Matthias. Il n'avait qu'une idée en tête : fuir. Chose qui, avec son taux d'alcool, devenait pourtant difficile. Le blond n'était pas un mauvais bougre, et comme il n'avait jamais bu, il n'aurait jamais pu penser que sa moralité, si intacte, si forte, aurait pu être balayer par quelques degrés. En faite, sa volonté était fragile ; il l'avait toujours su. Sa carapace d'être infecte n'était qu'une muraille montée de toutes pièces, et seul Keith semblait s'être affranchi de celle-ci. Jusqu'à maintenant, en tout cas. L'alcool et les joues rougies du blond remettaient en cause bien des choses, pour le coup.
« C’est vrai. Je m’ennuie aussi, mais j’ai l’espoir qu’il se passe soudainement quelque chose d’intéressant. Après ce qu’il y a d’embêtant avec l’espoir, c’est qu’il est perfide. Si ça se trouve je vais juste rester là à m’ennuyer toute la soirée. »
Il la regarda, et eut un sourire amusé. Ce n'était pas bête comme raisonnement. Il devait y réfléchir. L'alcool, si faible doit-il, était fort, et mettait à mal ses capacités de réflexion. Il fixa un point imaginaire, un instant, et au bout de quelques secondes, quand ses synapses reprirent leur connexion et que l'électricité eut pris un débit normal dans son corps, il haussa les épaules, amusé. Amusé. C'était si drôle de le voir amusé, quand il était rigide comme un piquet.
« Pascal dit qu'il ne faut pas tenter le diable – sans mauvais jeu de mot. Je pense qu'à défaut d'attendre quelque chose qui risque de ne pas arriver, il vaut mieux parier sur un avenir qui nous est sûr, ce qui évite par ailleurs d'être déçu. » Il eut une mine triste, un instant. Un souvenir, qui lui revenait. « La déception, c'est quelque chose d'assez terrible en soit, non? »
Il eut un sourire, un peu plus gai, et il ressemblait terriblement à un enfant, malgré qu'il fasse un mètre quatre vingt deux, ou qu'il soit large comme une porte. Si Matthias avait cet allure de géant, c'était bien malgré lui. Un ours en peluche, peut être, même s'il n'était pas non plus un Roman Konstantine. Pas encore. Seulement, quand les deux garçons de septième années approchèrent, Matthias releva aussitôt la tête et fronça les sourcils. Il était du genre calme en temps général, mais que ferait un tout petit peu d'alcool sur son tempérament changeant? C'est avec un air dédaigneux que Matthias regarda les deux hommes, un sourcil levé.
« Hey ! Jewel ! Viens danser allez ! » « Ouais fais pas ta prude ! Et plus si affinité si tu vois ce que je veux dire. »
… Silence. Matthias sentit ses veines bouillir. De quel droit osait-il? Un instant, il restât sans rien dire, les yeux foudroyants ces deux tas de vinasse. Il les détestait. Il détestait l'être humain, les garçons, et ce genre d'individus. Est-ce que Keith était comme ça avec Mascha? Est ce qu'il lui avait demandé avant de relever son jupon? Le visage de Matthias vira au rouge. À quoi pensait-il bon sang? Il posa une main sur son visage, un peu perdu. Ses pensées se mélangeaient, et il n'en contrôlait plus le défilement. Il posa ses yeux sur Jewel. Elle était jolie. Brune. Comme Mascha. Il gronda intérieurement. Qu'est-ce que c'était que cette obsession? Il toussa, légèrement.
« Tu veux danser ? Je t’avoue que c’est, pour moi, en partie un moyen d’éloigner tous ces rapaces… » « Eh bien... »
Après avoir entendu ça, un des deux garçons de septième année regarda Matthias et gloussa, sous l'effet de l'alcool peut être. Matthias se raidit.
« Avec un curé...? »
Le bras de Matthias se tendit aussitôt, rapide et précis. Il n'avait jamais frappé quelqu'un. D'ailleurs, il n'en avait jamais eut envie, ni même l'idée. Matthias était quelqu'un de calme, de posé, de réservé même, et un peu renfermé. Cette main pourtant, elle était droite, forte, et quand elle se serra sur le col du serdaigle ivre et le souleva, sans aucune difficulté, les veines ressortant sur la tempe droite du serpentard, Matthias pencha la tête, mauvais.
« Tu as de la chance que ma religion n'est pas adepte de la violence, car pour ton insolence envers elle, tu mériterais plus qu'un coup de pieds au cul, mon pote. Bien plus. »
Et comme il respectait toujours ses engagements, il le rejeta violemment en arrière. Le Serdaigle tomba sur les fesses sur le sol. C'était peut être la première fois que Matthias faisait un acte de force, ou s'exprimait avec autant de mépris envers de quelqu'un. Au final, les deux rapaces se retirèrent en pestant. Ils reviendraient. Un jour ou l'autre. Le serpentard remit en place les manches de son costume, aussi blanc soit-il il ne voulait pour rien au monde le tâcher de sang, et il reposa ses yeux sur Jewel, avec un sourire mitigé, colérique et désolé à la fois.
« Tu les supportes? Moi, ils m'énervent. » Il lui tendit la main. « Si cela peut te servir d'épouvantail, je suis ton cavalier pour la soirée. »
Non... Avait-il vraiment dit ça? Mika'il, dans les strates du paradis, éclata de rire aux côtés d'Elemiah. Son petit protégé, à lui, avec une fille? Sans même regarder Keith? Dieu! Quelle surprise! Pour Matthias aussi ce fut une surprise, mais il n'avait pas peur. Pas maintenant. L'effet de l'alcool, de l'adrénaline, il n'en savait rien, mais oui. Sur le moment, il avait envie de danser. Avec Jewel. Juste avec elle... Comme n'importe qui dans cette pièce.
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InvitéInvité
Mar 13 Juil - 11:01 |
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| « Autumn ! Autumn ! Tu peux me coiffer s’il te plait ? » L’intéressée relève lentement ses saphirs sur la petite Poufsouffle qui se tient face à elle, une quatrième année, et un sourire se dessine sur ses lèvres. Autumn repose doucement le livre sur le canapé, et déplie ses jambes en faisant signe à la fillette de s’assoir parterre face à elle. « Qu’est ce que tu veux comme coiffure ? » Après lui avoir expliqué ce qu’elle voulait, la petite eu un grand sourire, et la Préfète s’empresse de lui faire ce qu’elle demandait. Oh quelle joie chez les Jaunes & Noirs ! Ils avaient, pour Préfètes, deux ravissantes mamans toujours prêtes à rendre service. Heureuses lorsqu’on leur demande des choses à faire, comme s’occuper des premières années, ou autre. La petite rousse assise par terre fait sortir Autumn de ses pensées lorsqu’elle murmure : « Dis Autumn, tu vas au bal toi aussi, ça va bientôt commencer. » « Oui, j’y vais aussi. » « Et tu y vas avec qui ? » « Euh… » La blonde se sent mal à l’aise, étrangement, et détourne un peu le regard en répondant de sa voix calme. « Jude Dashwood. » « Haaaan c’est pas vrai ! » La rousse se relève d’un bond et plante son regard vert dans celui de son aînée. Elle piaille, glousse, finit par rougir, et rit enfin. Elle envie Autumn, la remercie, et retourne dans son dortoir. La blonde elle, reste un long moment interdit… Eh bien, si elle s’y attendait à ça. Finalement, elle se décide à se lever et aller se préparer aussi, il vaut mieux pour ne pas faire attendre le mignon. De toute manière, ce n’est qu’une sortie entre amis, la blonde le sait, et même si elle doit inspirer un bon coup pour se calmer et retrouver ses esprits, elle ne peut s’empêcher de penser au regard du Dashwood, dès fois… Et… Enfin, non. Elle secoue la tête, se change les idées, et surtout va s’habiller. Elle file se doucher, laisse ses longs cheveux bouclés autour de son visage puis elle enfile sa petite robe de princesse, aux couleurs écrue, rose clair et chocolat. Elle termine rapidement en cernant ses yeux de noirs, puis elle se lève et trouve des talons vertigineux, assortit à sa robe. Finalement elle monte les quelques marches qui la séparent de la Salle Commune, et s’empresse de sortir, un peu étourdie. Au loin, la silhouette de Jude se dessine et elle pousse un léger soupir, comme rassuré. En approchant, elle peut se rendre compte de l’effort vestimentaire de son Prince et ne peut s’empêcher de sourire en voyant sa cape et son chapeau trop petit. Elle l’observe d’un air amusé lorsqu’il fait la révérence et elle ne tarde pas à le suivre dans une courbette très royale. « Ma Dame, j'espère que vous pardonnerez la nullité de ma tenue vestimentaire. » Autumn laisse échapper un rire et pose son regard océan sur Jude, le détaillant de la tête aux pieds avant de murmurer : « Ca ne serait pas vous si vous n’étiez pas vêtue ainsi, mon Ami. » Elle penche sa tête de côté et sourit, même avec un rien le jeune homme arrivait à la charmé. Mais dans sa tête il y a une espèce de petit panneau warning qui sonne, et son esprit à bien comprit… Il sent bon Jude, en plus il est ce qui se rapporte le plus au titre de meilleur ami et… Stop, remballe tes pensées. « Me permettez-vous de vous conduire jusqu'à la salle de bal? » Et il lui tend sa main, que la jolie blonde accepte presque immédiatement, et accompagne son baiser d’une révérence. « Avec plaisir. » Finalement, un rire cristallin sort de ses lèvres, et elle se perd un peu dans ce regard posé sur le sien. Les deux amis se sont donc mit en route, déambulant avec leurs étranges habits dans les couloirs de Poudlard pour arriver jusqu’à la grande salle. La musique qui sort des portes prouve que le bal à déjà commencé et la jolie Reagan se demande si ses frères y sont déjà… Elle est morte de trouille à la simple idée de tomber sur Isaiah, alors sa main presse un peu celle de Jude, elle en a presque oublié que la température de son corps est moins élevé que la normale, mais elle s’en fiche. Elle tourne un peu sa tête sur le côté pour voir qui est déjà là et l’arrivée des deux protagonistes semblent faire l’effet d’une bombe. On les admire un peu, et Autumn se sent rosir. Elle sait très bien que si ça avait été avant, elle aurait été rouge de honte. « Jude, je crois que vous avez éclipsé toute la salle. » Elle rit, de ce petit rire mutin, soudainement très heureuse d’être au bras de son ami, même si d’un autre côté, son pouce glisse nerveusement sur le dos de la main de son ami, semblable à une caresse.
Autumn's clothes ♥ | |
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InvitéInvité
Mar 13 Juil - 13:46 |
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| Appuyée sur une colonne près d'une fontaine à cocktails j'observais la salle qui se remplissait peu à peu. Je poussai un soupir en voyant peu à peu les cavaliers qui rejoignaient leurs princesses. Pfff, j'aurais surement mieux fait de ne pas venir, cela m'aurait évité de m'ennuyer toute une soirée, passant ma main dans mes cheveux d'un geste détaché j'appuyai ma tête contre le mur. J'allais me diriger vers les escaliers essayant de me faire oublier lorsqu'un Jimmy Thompson avec des airs princiers s'approcha de moi.
Jimmy _ Kahlen ta robe est vraiment magnifique.... tu t'es surpassée. Est-ce qu'on peut espérer avoir le premier slow avec la future reine du bal ou bien je risque de me faire jeter comme le roi-grenouille?
Le serpentard que je connaissais particulièrement bien était comme d'habitude accompagné de toute sa bande d'amis. Si on peut appeler ça comme cela. Jimmy, je le connaissais depuis... Euh... Le jardin d'enfant, on pouvait dire ça comme ça... Cela faisait très longtemps. En fait, nous étions meilleurs amis d'enfance mais le destin à voulu que nous ne soyons pas dans la même maison, et peu à peu les liens se sont rompus, ou du moins détériorés, bien sur il nous arrivait encore de passer de bons moment ensembles, surtout depuis quelques temps, mais ce ne serait jamais pareil qu'avant. Laissant échapper un petit rire cristallin je répondis en souriant:
Kahlen _ Tu peux même plus qu'espérer. J'en serais ravie!
Plongeant mon regard dans le vague je pensai à tous les moments que nous avions passés ensembles... Et les moment que nous avions passés ensembles, avec les autres... Autant, il pouvait être adorable, galant, attentionné et protecteur, autant il pouvait être horriblement énervant... C'était vraiment étrange comme comportement... Mais, je n'avais jamais eus droit à ce second comportement, ou peut être une fois mais il l'avait vite regretté... Soudain je sortis de mes pensées et mon regard océan retrouva son pétillement rieur habituel. Autours de nous la salle se remplissait de plus en plus et bientôt les voix se transformèrent en hurlements fanatiques. Le groupe de la soirée venait d'entrer sur scène et déjà je croyais avoir vu une fille s'évanouir rien qu'en les apercevant. Secouant la tête un peu blasée je retournais mon attention vers la fontaine à cocktail, me servant un verre j'en donnai un à Jimmy qui était toujours près de moi. Lui faisant un petit sourire je portai mon verre à mes lèvres avant d'observer les différentes personnes qui commençaient à danser. Je pus apercevoir Indianna et quelques autres personnes que je connaissais entrain de danser avec leur cavalier ou leur cavalière.
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InvitéInvité
Mar 13 Juil - 13:56 |
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| Il y a longtemps que l’annonce du bal avait été faite, et deux jours après c’était déjà clair pour Maddalena et pour Raven : elles y allaient ensemble. La brunette aurait eu du mal de toute manière à trouvé un cavalier ou une cavalière, on la trouvait beaucoup trop bizarre pour vouloir l’approcher… Heureusement que sa meilleure amie était là, enfaite. Il n’y avait qu’avec elle que Maddie pouvait librement faire venir des vaches dans les toilettes désaffectées de Poudlard dans le but de la traire. Rien qu’à ce souvenir, elle en riait. Assise dans la salle commune des Rouge et Or, ses longues jambes croisées sous la table et sa main tenant son visage pour ne pas qu’il s’éclate contre la table violemment… L’ennui. Ou le plus grand ami de Mad. Que faire ? Rien, à part attendre le début du Bal qui allait bientôt commencer, mais la jeune fille aurait tout donné pour être entrain de voler sur un balais ou coincer dans une pièce à s’amuser. En plus le Bal était sur le thème du Moyen-Âge et même si Maddalena s’imaginait bien, ses longs cheveux bruns détachés et ses habits dans les tons clairs, elle n’avait strictement aucune idée de comment s’habiller. Enfaite, elle n’avait même pas envie de s’habiller en fille, elle voulait se la jouer Peter Pan, peut-être même avec un chapeau et tout ça, poussé le vice jusqu’à se dessiner une moustache. Tiens ! Ce n’était pas une mauvaise idée ça… Elle avait peut-être enfin trouvé un début d’habit. Elle se leva d’un bond et la petite tornade brune se trouvait en quelques minutes dans son dortoir, planté devant sa valise, à la recherche de quoi se mettre. Finalement, elle envoya le thème balader, attrapa des vêtements et disparut sous la douche.
Elle ne ressortit qu’une heure après, prête, enfin. Elle avait passé un leggin noir, des Doc Marteens, un t-shirt qui lui arrive jusqu’à mi-cuisse blanc et une chemise à carreaux rouge et noir par-dessus, laissée ouverte. La Gryffonne avait bien sûr son fidèle chapeau, et s’était appliqués à dessiné une moustache entre sa lèvre supérieure et la base de son nez. Elle était plutôt fière du résultat. Surtout qu’elle avait prit longtemps à lisser ses longs cheveux bruns et à maquillé ses yeux verts aussi bien qu’elle le pouvait. Elle avait gardé ses lunettes de soleil dans l’une des poches de sa chemise, et sa baguette dans l’autre au cas où il y aurait un soleil de malade en pleine nuit éternelle et qu’elle devrait se défendre contre une armée de singes mutants venue des profondeurs du Lac –le tout dirigé par le Calamar géant, bien sur. Maddalena mit ses mains dans ses poches et descendit les marches quatre à quatre, croisant la plupart des gens qu’elle ne connaissait que de vue… Elle avait donné rendez-vous à Raven au Bal même, et se demandait si elle s’y trouvait déjà ou pas. Elle passa alors les grandes portes et elle pointa son nez vers le plafond magique avant de mettre ses mains dans ses poches et continua à avancer. Elle avait l’air carrément à part, mais tant pis, elle trouvait ça plutôt amusant. Elle sautilla jusqu’au bar et prit un cocktail sans alcool, elle grimaça légèrement mais fini par le boire en se détournant et en plantant ses yeux verts sur toute la salle. Soudainement, Keith passa dans son champ de vision et la brune haussa un sourcil, puis elle se retient de rire… On aurait cru un hippy débarqué d’ailleurs, et elle se sentie soudainement soulager. Elle détourna les yeux vers l’entrée lorsqu’elle vit Laël rentré et son cœur sembla manquer un battement dans sa poitrine : enfin quelqu’un avec qui s’amuser ! Elle s’approcha du brun et l’enlaça avant de poser ses lèvres sur sa joue. « Bonjour Lala ! » Elle lui plaqua un sourire colgate avant de l’observer et surtout dans les alentours. « Oh, tu attends aussi ta cavalière ? » Elle croisa ses longs doigts sur son verre et fit un léger sourire à Laël, à son Nounours et eu un petit coup d’euphorie. Why not ? Maddie's clothes ♥ | |
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Sholto ScrymgeourAGENT DU MINISTERE. ► Ministre de la Coopération Magique.
► MESSAGES : 100 Mar 13 Juil - 15:42 |
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| « Pascal dit qu'il ne faut pas tenter le diable – sans mauvais jeu de mot. Je pense qu'à défaut d'attendre quelque chose qui risque de ne pas arriver, il vaut mieux parier sur un avenir qui nous est sûr, ce qui évite par ailleurs d'être déçu. La déception, c'est quelque chose d'assez terrible en soit, non? »
Ces paroles avaient suivi un petit blanc. Jewel ne pouvait pas dire si Matthias avait passé tout ce temps à réfléchir à ses paroles, ce qui leur donnerait un bon point commun, ou si ce regard vide était plus simplement issu de l’alcool qui empourprait ses joues. La serpentard avait pourtant patiemment attendu avant d’écouter les paroles pastorales. Celles-ci lui valu encore quelques instants de réflexion. Un sujet de philosophie comme elle les aimait tellement. Elle aurait pu passer ses journées à ne vivre que ce genre d’instant, cela lui irait parfaitement. La brunette était persuadée que le heurte de pensée faisait évoluer la sienne. Elle n’était jamais hostile aux avis étrangers, au contraire, elle leur donnait une grande importance. Le regard chocolat de la jeune femme se perdit un instant dans les yeux émeraudes de son camarade. Son visage était neutre, comme si elle attendait quelque chose. Et pourtant au bout d’un court instant, elle répondit en articulant chaque lettre de sa voix claire, douce et posée.
« Mais quand on ne tente rien, on a rien – ou plutôt beaucoup moins de chance d’avoir. Vivre en sécurité. Vivre dans le connu. C’est renoncer au plaisir que peut nous apporter un risque. Un risque calculé apportera moins de satisfaction qu’un risque inconsidéré et bien plus que l’inactivité. Si tu veux mon avis, la déception nous aide à apprécier les rares instants où l’espoir nous donne ce que l’on cherche. »
Jewel se dit que la réelle question devait surement être : qu’attendre de la vie ? Valait il mieux vivre sans attentes et donc sans reçus, ou alors vivre au rythme capricieux de la chance, de l’espoir, de l’expectation… La brunette se mit cette question dans un coin de sa petite tête, ayant était interrompue par les deux garçons de 7ème année. Cela ne serait pas étonnant que dans les jours avenir elle vienne comme si de rien n’était voir Matthias pour soudainement lui déballer tout un raisonnement bien ficelé sur le sujet. Cela lui occuperait quelques jours 24h sur 24. Jewel haussa un sourcil de déplaisance. Elle n’aimait pas vraiment que quelqu’un prenne la parole dans une conversation où il n’était pas invité. La serpentard ignora pourtant le 7ème année, et elle continuait d’attendre la réponse de Matthias. Elle vit bizarrement la colère monter en lui. La brunette hésita une seconde entre en être amusée ou en être perplexe. Elle choisit la seconde option, ne comprenant pas le moins du monde pourquoi son camarade avait le sang qui lui montait à la tête. Non seulement, ces types ne le méritaient pas, mais surtout qu’est ce qu’il en avait à faire ? Ils n’en valaient tellement pas le coup… Jewel n’avais pas prêté plus attention que cela aux deux importuns. Elle avait néanmoins décidé de demander de l’aide à Matthias. Elle ne se sentait pas être une Princesse en danger, mais… Qui ne tentait rien n’avait rien. Si il disait oui, elle pourrait passer la soirée en bonne compagnie, sinon tant pis.
« Tu veux danser ? Je t’avoue que c’est, pour moi, en partie un moyen d’éloigner tous ces rapaces… » « Eh bien... » « Avec un curé...? »
La serpentard sursauta suite au geste de Matthias. Elle ne s’y était pas attendue le moins du monde. Elle ne le connaissait pas tellement, mais de ce qu’elle savait il n’était pas le genre belliqueux. Question de sureté, la brunette décida de reculer d’un pas ou deux, juste au cas où tout cela dégénérerait. Cela serait stupide, mais pas improbable. Néanmoins, elle ne perdit pas une goute de ce que le blond dit à son camarade.
« Tu as de la chance que ma religion n'est pas adepte de la violence, car pour ton insolence envers elle, tu mériterais plus qu'un coup de pieds au cul, mon pote. Bien plus. »
Elle n’avait pas demandé de Prince charmant qui viendrait à son secours. Pourtant elle en avait eut un. Jewel esquissa un sourire à cette pensée. Normalement ce genre de chose ne l’aurait pas tellement fait rire, mais il fallait croire qu’elle aussi commençait à être un peu joyeuse… La serpentard regarda les deux 7ème année partir. Ils avaient eut peur de Matthias, même si ils avaient l’avantage numérique ? Elle n’allait pas s’en plaindre. Ce qui était sur, c’est que Jewel était amusée de la subite démonstration de force de Matthias. Elle jugeait ce genre de comportement comme étant typiquement masculine, inutile, inappropriée et pourtant… Ca avait son charme, elle ne pouvait pas le nier. La brunette se tourna vers Matthias qui lui souriait d’un air un peu bizarre. Il reprit alors la parole, pour parler d’un sujet nettement moins intéressant que leur instant philosophique précédent et terriblement plus d’actualité.
« Tu les supportes? Moi, ils m'énervent. » « Ils m’indifférent à vrai dire. Personnellement je les ignore jusqu’à ce qu’ils s’en aillent. Mais ta méthode semble opérationnelle aussi, mais si tu veux mon avis, c’est gaspiller du temps et de l’énergie pour rien. »
Honnêteté, quand tu nous tiens… La serpentard souria néanmoins au jeune homme. Une esquisse certes, mais un sourire tout de même. Il pouvait prendre cela comme un gage de bonne volonté. La brunette ne souriait au final qu’à peu de gens. Pourtant son sourire était beau de simplicité et d’authenticité. Elle avait encore plus de charme comme cela. Dommage que si peu de gens aient eut la chance de le voir. Le sourire de la serpentard se fit légérement plus grand lorsqu’elle vit Matthias lui tendre la main.
« Si cela peut te servir d'épouvantail, je suis ton cavalier pour la soirée. » « Merci. »
Elle ne voyait pas pourquoi elle ne lui dirait pas. Après tout, il avait décidé de ne pas fuir la soirée pour lui rendre service. Cela méritait bien un petit merci. La serpentard posa sa main sur celle de Matthias et ils prirent la direction de la piste de danse. Le moment du slow. Cela ne dérangea pas Jewel le moins du monde. La brunette entoura le cou de Matthias de ses bras. Heureusement qu’elle était grande car le blond l’était lui aussi. Jewel se colla un peu à lui, mais prit soin à garder un peu ses distances. De toute manière sa robe lui empêcher un contact trop rapproché. Elle regarda Matthias dans les yeux, et finit par lui demander, comme si de rien n’était.
« Tu en penses quoi toi ?... De Keith et Mascha je veux dire. » | |
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InvitéInvité
Mar 13 Juil - 22:12 |
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| Llorente, pour l'occasion, avait opté pour une tenue de cuir. Un cuir que l'on trouvait au moyen-âge. Généralement, les archers les utilisaient pour leur tenu et leur résistance. Le mettant en valeur, il avait également ajouté une petite côte de mailles qui lui tomber légèrement en dessous de la taille. D'apparence assez sombre, il marchait dans les couloirs comme quelqu'un de noble, de grand, de puissant. Il y avait en lui, une pointe d'arrogance qui lui aurait valu sa place à Serpentard si jamais ce dernier n'aurait pas été aussi... Chevaleresque. De part son allure, il attirait donc, indéniablement, beaucoup de regards.
Ses pas ne se faisaient guère entendre dans les couloirs du château, mais lorsqu'on le voyait, on ne pouvait plus ne pas le repérer. Marchant comme un roi, regardant les gens avec une noblesse qui se dessinait dans ses traits de visage, il observait le monde comme un empereur qui sort de la pièce pour en mettre plein la vue. Il ne le faisait pas réellement exprès. Il était comme ça et l'on ne pourrait rien y faire. Du moins, pas maintenant. D'autant plus que personne ne savait encore avec qui le beau Llorente avait décidé de s'y rendre. Le latino savait qu'ils allaient tous en rester sur le cul. Surtout lorsqu'il verrait la belle qui allait lui donner le bras tout au long de la soirée. Oh, oui, elle avait mit tout un tas de règle, mais ça... Les gens ne le savaient pas. Et il comptait bien en jouer aux yeux des autres.
Descendant les escaliers de marbre, faisant glisser sa main gauche (ganté) sur la rampe, observant le hall d'un regard supérieur, il se dirigea vers la porte des cachots d'où sortaient les élèves de Serpentard, le plus souvent. S'immobilisant doucement, observant l'heure sur sa montre à gousset qu'il remit dans sa poche de pantalon, il se félicita d'être à l'heure. Un léger sourire, il tourne doucement le visage lorsque la porte du cachot s'ouvre...
(réponse pour Elladora en ce qui concerne mon passage) | |
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Elladora KonstantineLYCAN DE TYPE C.F. propriété du ministère de la magie.
► MESSAGES : 456 Mer 14 Juil - 9:59 |
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| déguisement d'EllaElle s'était dit qu'elle n'irait pas au bal. ELLE. La reine du bal de l'année dernière. La reine de Serpentard. Celle qui entre tous aimait et faisait aimer les bal. Mais cette année ça n'avait pas vraiment d'intérêt sinon celui de couver discrètement du regard le "professeur Sollensko", en se demandant si ce n'était qu'une impression où si pour une raison qu'elle ignorait il ne l'aimait guère. Elle l'appréciait malgré qu'il ait choisi d'enseigner la matière qu'elle trouvait le plus ennuyeuse au monde. Elle connaissait son vrai nom. Il l'avait soignée. C'était le frère de la personne qu'elle aimait le plus au monde alors... comment ne pas l'aimer aussi. Bref. Elle s'était juré de ne pas passer la soirée a essayer de lui parler. Ca ne servirait à rien. Elle le saluerait si elle le voyait mais s'il était aussi froid que d'ordinaire elle n'insisterait pas. Elle ajusta une dernière fois sa robe, enfila des petites ballerines et se poudra le nez. Un dernier coup d'oeil dans la glace et un instant elle se demanda si elle avait vraiment envie d'y aller. Mais ça n'aurait pas été sympa de planter Llorente. Il n'avait rien demander d'autre que de la divertir un peu après tout. Et il avait eu raison. Elle descendit, déguisée en poupée de maison noble. Ca lui allait à ravir et elle aurait fait le bonheur d'un millier de petites filles moyenâgeuses, quoiqu'il y avait peu à parier qu'elle se serait laissé faire. Un regard à sa montre, parfait il est à l'heure. Elle sourit: - Précisément à l'heure. Tu es vraiment ami avec mon frère?Roman et la ponctualité c'était... deux mondes à part. Elle prit le bras de Llorente après l'avoir complimenté sur sa tenue et ils se dirigèrent comme tout le monde vers la salle de bal. La jolie blonde fut ravie de constater que les Dogs étaient invités, pensant qu'elle couperait aux chansons d'amours gnangnantes en tout genre mais... manque de bol: ouverture du bal avec un slow. Elle fronça les sourcils, visiblement contrariée par les paroles. L'histoire de quelqu'un qui passe son éternité à attendre son âme soeur, pour finalement lui parler de flamme éternelle très peu pour elle. Elle leva les yeux au ciel, dissimulant parfaitement la teneur de ce qu'elle ressentait réellement derrière un masque d'agacement tout à fait crédible: - Tu veux boire quelque chose? | |
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Matthias J. de SalamineMAGISTER. ► ès HDLM.
► MESSAGES : 171 Jeu 15 Juil - 0:03 |
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Il les regarda détaler. Peut être avait-il vraiment changer en réalité... Peut être était-il vraiment devenu un homme, au final. Lui qui avait cru qu'il finirait sa vie avec son mètre soixante quinze et sa taille d'éphèbe. Il eut un sourire intérieur, puis finalement reposa son regard sur Jewel avec un brin d'ennui à l'intérieur. Si c'était ça, le divertissement, alors ça ne le faisait pas rire du tout. Loin de là.
« Tu les supportes? Moi, ils m'énervent. » « Ils m'indiffèrent à vrai dire. Personnellement je les ignore jusqu’à ce qu’ils s’en aillent. Mais ta méthode semble opérationnelle aussi, mais si tu veux mon avis, c’est gaspiller du temps et de l’énergie pour rien. » Il haussa un sourcil. « C'est prendre un raccourci. Ils auraient pu rester là très longtemps. »
C'était se défendre, en quelque sorte. Oh, bien sûr Matthias ne s'attendait pas à être féliciter pour son épreuve de force, mais pas non plus à dire que c'était gaspiller. Il ne gaspille rien. Jamais. Un instant Matthias est froid et sévère, comme le Cardinal Sirius sans même s'en rendre compte. Matthias était énervé. L'effet de l'alcool. Si peu d'alcool? Matthias ne le supportait tout simplement pas, et il ne tarderait pas à découvrir que cet énervement soudain n'était pas réellement à cause de Jewel. Il aurait supporté, pour sûr, a jeun. Mais là, il ne l'était pas. Il n'avait rien mangé de la journée, il était fatigué... et il avait bu. C'était un complot? Il tendit son main, quoi qu'il eut encore l'air stricte.
« Si cela peut te servir d'épouvantail, je suis ton cavalier pour la soirée. » « Merci. »
Il hocha la tête. Aucun merci, ça ne servait à rien. Pas pour ce qu'il avait à offrir. Quelques danses, jusqu'au moment où l'alcool vaincrait l'hémoglobine et sa conscience aussi. Il la laissa faire, regardant les bras blancs entouraient sa nuque sans un mot, quoi qu'intérieurement il y eut un certain chamboulement. Sur la piste de danse, il fit le premier pas, mimant tout bonnement les autres. Matthias n'était ni un grand danseur, ni un exécrable danseur. Il reproduisait ce qu'on lui montrait, et c'était aussi bien. Il dansait donc, regardant Jewel, parfois les autres couples. Pour lui, il n'y avait pas d'erreur possible : il ne faisait, et ne ferait, que danser. La luxure, ce genre de chose, ça ne l'intéressait pas. Et sans doute que ça n'intéresserait pas Jewel. Non?
« Tu en penses quoi toi ?... De Keith et Mascha je veux dire. »
… Silence. Pendant un moment, il la serra un peu plus contre lui, mais c'était surtout pour ne pas la frapper que par une pulsion masculine. Ce qui le trahissait, c'était l'éclair noir au fond de son oeil. Il la détestait, mais c'était vrai, elle posait de bonnes questions. Il fronça les sourcils, regarda Mascha et Keith, le regard sombre encore. Il les détestait. Tous les deux. Mais finalement la colère stagna, ne montant plus, et sa main resta crispée dans le dos de Jewel, autoritaire, alors que ses yeux se posèrent sur elle, puis se détournèrent. Il regardait ailleurs.
« Keith fait ce qu'il veut. Mon avis n'a aucun sens. Je ne suis pas à sa place. » Son oeil vert brilla. Lui, ce qu'il en pensait? .. Il fronça un peu plus les sourcils. « Mais tant qu'à me gaspiller en quelque chose, j'aurais aimé me perdre avec quelqu'un de brillant, de particulier. Pas Mascha. Surtout pas Mascha. » C'était dur. Catégorique. « Keith fait peut être la plus grande erreur de sa vie en la suivant, mais... mais Keith est mon ami, et il a choisi sa vie. Je n'ai aucun droit de le juger, ou de m'opposer à ses sentiments. Et pour ça, toutes mes paroles seront vaines. Ce qui est vain ne doit pas être dit. Alors à ce sujet, dans le futur, je me tairais. Si il me pose la question, je lui dirais que je le soutiens, car c'est ce qu'un ami doit faire. Même si c'est une catastrophe. »
Logique implacable du blond qui, comme par hasard, posa son regard sur le couple que formait Keith et Mascha. Il l'avait en horreur, cette vilaine figure brune. Il aurait parfois aimé la tuer, en secret, dans ses rêves. Matthias était un serpentard, et quand l'alcool et la fatigue prennent le dessus, il ne faut pas s'étonner de voir ressurgir les mauvais côtés.
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InvitéInvité
Ven 16 Juil - 15:41 |
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| Le bal. Lui qui détestait ce genre de regroupement d'adolescent boutonneux, en manque d'amour, cherchant à trouver une fille pas trop moche qui leur conviendrait, s'était retrouvé debout, dans sa chambre avec le mot en main. Qu'il y aille n'était pas une surprise, Heath s'y rendait toujours même si il y allait seul au début, finissant toujours accompagné. En revanche, ce qu'il aimait moins c'était les thèmes et là, il avait été servit. Autant dire que son visage s'était décomposé en voyant que ça allait être ambiance moyen-âge. Pousseraient ils le vice à faire venir des troubadours ? Ça aurait au moins le côté sympathique et marrant de cette époque mais sinon.. Si la plupart des garçons, et filles, de son dortoir balisaient surtout parce qu'ils n'avaient aucun vêtement qui correspondrait de près ou de loin à une tenue moyen-âgeuse, Heath, lui, commençait lentement à se demander de quelle façon il pourrait bien se suicider. La manière lente semblait avantageuse; il ne souffrirait sans doute pas autant en se tuant avec une petite cuillère qu'en regardant les gonzesses bavaient d'envie sur leur cavalier. Par Merlin, quelle folie l'avait poussé à s'y rendre.. Pire encore, quelle folie l'avait poussé à y aller avec Meghan. Hors de question de se suicider et de risquer de faire faux-bond à la jolie brune ! Elle risquait de le ramener à la vie pour avoir le plaisir de le tuer de ses propres mains. C'était trop dangereux, autant jouer le jeu. Sauf qu'il fallait pas non plus pousser mémé dans les orties. Il n'irait pas en pagne ou en tenue de servant, ni même en tenue bouffante de crétin. Il fallait un truc distingué qui se fondre dans la masse, sans se faire remarquer ni sans se faire ignorer. Il aurait pu se mettre en soubrette lui aussi, comme il l'avait proposé à Avril, mais c'était peut être pas ce qui collait le mieux à son image. Il choisit donc une chemise blanche, ce qu'il y avait de plus simple, et un pantalon. Heath n'irait jamais en tenue de chevalier, c'était hors de question, et encore moins en tenue de souillon. En fait, il n'était pas vraiment dans le thème mais il s'en fichait, certain que d'autres élèves feraient la même chose. Connaissant Avril, il se doutait qu'elle ne suivrait pas à la lettre non plus le style moyen-âgeux, même si il aurait bien rit ! En tout cas, quelques uns de ses camarades de chambre le fixèrent, un brin dépité, alors qu'Heath n'avait pas l'air de faire de grands efforts pour jouer le jeu. C'était comme demander à un ours de se déguiser en chaton, voyez le délire ? non ? Tant pis. Le jeune homme avait passé un petit coup de peigne dans ses cheveux, sans non plus en faire trop, préférant la simplicité aux trucs sophistiqués qui faisaient faux. Vêtu et coiffé, il avait hésité un moment avant de rejoindre la salle commune de serpentard pour hésiter entre attendre Meghan ici, ou l'attendre devant la grande salle. Et comme il aimait les surprises, il quitta la pièce pour se balader dans les couloirs, son regard dévisageant les élèves, leur tenues, souriant parfois à une fille bien mignonne. Mains dans les poches, il s'arrêta au niveau de la grande salle, s'appuya contre un mur et patienta, regardant les couples entrer et sortir. Il ne put rater l'arrivée de Laël, fidèle à lui-même, si bien que sa tenue n'arracha même pas un rire moqueur à Heath, mais plutôt un soupir d'étonnement. Après tout, il en fallait du courage pour se ramener comme ça. Le serpentard salua donc l'aigle d'un signe de tête et baissa le regard vers le sol, patient. Patient ? Vraiment ? Pas trop, en fait, si il était venu là, maintenant, c'était surtout pour essayer de croiser quelqu'un. Et d'un autre côté, il avait pas envie de la croiser, parce qu'il savait très bien qu'il n'aurait pas grand chose à lui dire. Heath, timide ? C'était pire que ça, mais il ne savait même pas ce que c'était. Il voulait juste la voir, voir comment elle s'était habillée, sentir son parfum et ensuite la quitter pour rejoindre sa cavalière Meghan ne devait plus tarder maintenant, allez savoir comment, il le sentait. Si elle voulait attirer les regards sur son arrivée, elle ne tarderait pas, pour ne pas être la dernière. Relevant le menton, Heath fixa un moment l'entrée de la grande salle, son rythme cardiaque s'accélérant chaque fois qu'il croyait apercevoir une chevelure brune. Chaque fois qu'il croyait voir un visage qui semblait marqué au fer rouge dans sa mémoire. C'était folie de croire qu'elle aussi l'attendrait. C'était idiot et il ne pensait pas que la gryffondor qui accaparait ses pensées dans la minute, était du genre à l'attendre dans un coin. Surtout qu'il était avec Meghan pour le bal, alors.. Rho mais arrête de penser ! Il se redressa en reconnaissant une silhouette approcher, espérant sans doute que c'était elle, ou l'autre, à savoir qu'en fait il ne savait pas vraiment laquelle il espérait voir arriver. Heath plissa légèrement les yeux, réalisant qu'il était un peu trop à l'écart, il se mit dans le chemin, dans l'espoir de reconnaître celle qui arrivait vers lui. | |
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InvitéInvité
Ven 16 Juil - 17:01 |
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| - Précisément à l'heure. Tu es vraiment ami avec mon frère ? - Quoi ? Un beau gosse n'a pas le droit d'être à l'heure ?
Il lui lance le sourire qui tue, avant de la contempler de haut en bas, un regard appréciateur, mais pas grossier. Llorente, avec toute la bonne éducation qu'il avait reçu, s'inclina profondément, saisissant la main de la demoiselle avant de lui voler un baise-main. Le latino se redressa, lui tendant le bras, pour prendre la direction de la grande salle. Les deux amis allaient dominer de loin l'ensemble du bal de par leur charisme, et leur façon d'être. Tous les opposés. Il était l'ombre, elle était la petite lumière. Elle semblait frêle dans son accoutrement de poupée, tandis que lui, il dégageait quelque chose de sûr, quelque chose de rapide et de précis.
- Tu es superbe, Elladora. Je savais que j'avais raison... Il te faut être sous les projecteurs pour que tu penses à... Ils passèrent les portes du hall. Et malgré le brouhaha des discussions qu'il y avait aux portes, ils entendirent la chanson que... Les Dogs -remarqua-t-il d'un bref regard vers la scène - faisaient. Il secoua la tête, l'air dégouté. La prochaine fois, on ira s'ouvrir les veines, hein, Ella ? Parce que là, je crois qu'on touche le pompon de la mièvrerie.
Llorente lui fit un clin d'oeil, comprenant très bien que cette dernière ne souhaiterait pas danser un slow. D'un parce qu'elle n'était pas avec son copain, et de deux... Car ça lui rappelait trop son copain. Llorente ne pouvait que comprendre. Et même si lui n'avait pas de petite copine du moment, il savait ce que l'on pouvait ressentir lors d'une peine de cœur. Se laissant guider vers les boissons et le fameux buffet du bal d'Avril, il lança un regard sur la table, pour voir ce qu'il allait bien pouvoir prendre.
- Tu veux boire quelque chose ? - Euh... Ouais, je veux bien un thé glacé pour le moment.
Il se retourna observant la masse de collégiens. En ce moment précis, il n'avait envie que d'une chose : N'être plus à Poudlard pour avoir à subir des goûts de collégiens pré pubères. Quoi ? Il en faut bien un qui n'aime pas les Dogs ?
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InvitéInvité
Ven 16 Juil - 19:02 |
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| « Désolée, je ne t’ai pas trop fait attendre ? »
Le batteur de Serpentard fraîchement recruté dans une équipe nationale se retourna. Il portait un jean de couleur sombre et une chemise élégante et d'époque... enfin quand je dis d'époque ce que je veux dire c'est de notre époque. Donc oui, Kelso n'était absolument pas déguisé et s'il s'amusait à dire que c'était parce qu'il trouvait ça ringard au possible la vérité c'était surtout qu'il avait perdu son invitation au bal avant même d'avoir pu la lire et qu'intéressé qu'il était par les festivités (non ce n'est qu'à peine ironique), il avait complètement oublié le bal jusqu'à la veille au soir. Trop tard pour se chercher un costume donc. Et puis il n'était ni manuel, ni très doué en sortilèges. Ses dernières chances s'échappaient là.
« Je viens d'arriver en fait. »
Il eut un sourire en coin. Il était beaucoup plus agréable, moins sur la défensive depuis qu'il avait parlé à son père. Son regard glissa de loin vers quelqu'un dans la foule. Kelso sourit puis il reporta son attention sur la jolie Serdaigle, courtois. D'ordinaire il invitait Keithlyn quand elle était libre. Cette année on l'avait prit de vitesse. Il aurait vraiment du inviter Aaron et il l'aurait fait si il n'avait pas déjà invité Miss Dangelo, un peu par hasard d'ailleurs. Il s'était dit bon je vais inviter une fille, elle était passée, il l'avait invité. Stupide. Mais bon typique de lui. Au moins elle échapperait au pire de ce dont il était capable.
« Tu veux danser ou tu préfères boire quelque chose? » | |
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Gaëlle LlelwellynETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 286 Ven 16 Juil - 20:45 |
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| Gaëlle avait vu l'arrivée des Dogs sur scène avec un sourire mitigé. Si elle aimait bien ce groupe, dedans, il y avait Harrisson, le chanteur super sexy devant qui toutes les filles bavaient. Enfin presque toutes en fait... A dire vrai, elle s'en serait moquée si Tao n'avait pas été elle aussi sensible à son charme. Berk... C'était SA Tao ! Qu'il s'en trouve une autre ! Pire encore, il avait à son actif une série de mariages pour autant de divorces et d'enfants... Et ça, ça plus que tout autres choses, la rendait malade d'angoisse. Avec le temps, elle avait fini par accepter cet état de fait et puis Tao était si heureuse... Alors quand Harrisson sauta dans la foule pour rejoindre son amie sous les regards assassins et hallucinés des autres élèves, pour lui demander de venir danser, Gaëlle trouva un nouvel intérêt à cette relation voyant là une occasion de faire ravaler toutes les moqueries désobligeantes qu'avait du subir Tao de la part de cette bande d'oies sans cervelle. Bien sur qu'elle allait les laisser danser... Avec un sourire largement moqueur elle déclara qu'elle préférait autant qu'elle écrase ses pieds à lui plutôt que les siens, avant de s'éloigner en soufflant un baiser moqueur au chanteur qui n'avait surement rien vu. Fait les toutes verdir de jalousie ma Taounette.
Peut être aurait-elle du demander à Raven de venir avec elle, mais Raven avait déjà accepter une autre invitation au grand damne de Gaëlle. Flûte... c'était le moment d'aller se chercher un verre... et avec un peu de chance, trouver Raven avant qu'elle ne trouve sa cavalière. Mais il y avait décidément trop de monde sur cette piste de danse, le temps d'arriver jusqu'à une de ces fontaines, elle avait déjà perdu tout son monde de vue. Bon ben tant qu'à faire... elle s'installa dans un coin un peu à l'écart des autres son verre à la main à écouter la musque des Dogs. Elle aimait la musique par dessus tout. Au moins n'aurait-elle pas perdue totalement sa soirée... | |
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Elladora KonstantineLYCAN DE TYPE C.F. propriété du ministère de la magie.
► MESSAGES : 456 Sam 17 Juil - 9:23 |
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| - Tu es superbe, Elladora. Je savais que j'avais raison... Il te faut être sous les projecteurs pour que tu penses à...
Elle allait dire merci quand elle se prit un une vie entière si seule... dans la gueule. Le joli minois de la princesse Konstantine prit une expression froissée, que la demoiselle s'empressa de masquer derrière un masque hautain d'indifférence. Mais l'expression était quand même bien passée et Elke Norton continuait sa mauvaise blague sur un poignant je ne veux pas perdre ce que j'ai, je te regarde dormir et tu m'appartiens. Pour un peu Ella serait sorti en claquant la porte mais elle avait tout même un peu plus de maîtrise de soi que ça. Elle prit donc la direction du buffet et servit à Llorente le thé glacé qui lui faisait envie. Je précise que c'était bien parce qu'il avait accepté ses conditions sans grincer des dents. On avait pas l'habitude de voir Ella si serviable.
D'ailleurs elle vit quelques garçons la regarder, surpris de la voir avec un Gryffondor et s'imaginant déjà qu'elle allait finir la nuit avec. Les gens avaient cette propension à bêtement imaginer tout et n'importe quoi. A se fier à une réputation qui s'était même forgée toute seule. Elle ne savait pas qui était l'imbécile à s'être vanter le premier d'avoir couché avec elle mais une chose était sûre, personne n'avait douté une seconde que ce fut la vérité. Et si elle n'avait à l'époque rien dit, c'était que ça l'avait bien arrangé de n'avoir plus rien à prouver. Maintenant... c'était différent. Elle s'en foutait même si personne n'était plus rien venu lui demander. Comprenez qu'on ne demande pas à une reine pourquoi elle s'est lassée de ses activités préférées. Visiblement, pour tout Poudlard le soir du bal, la raison semblait évidente. Ça allait tout retomber sur Llorente. Ella leva les yeux au ciel en voyant une fille jalouse. Comme si. Les gens ne voyaient bien que ce qui les arrangeait.
- Georgie Thompson a l'air de vouloir danser, regarde., fit-elle en trempant ses lèvres dans un jus de fruit.
Elle avait bien dit qu'il n'avait pas à se priver d'aller danser avec d'autres, sous prétexte que sa cavalière était récalcitrante. | |
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InvitéInvité
Sam 17 Juil - 10:24 |
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| Depuis qu’il était à Poudlard Akira ne s’était jamais vraiment rendu à l’un des bals de l’école, mais étant donné que c’était sa dernière année dans l’école il avait décidé de si rendre au moins une fois pour voir à quoi cela ressemblait. La plupart du temps, Akira rester dans la bibliothèque à étudier et être au calme, loin de tout se bruit assourdissant. Apparemment il y avait un thème d’imposé, mais les bals costumés et autre n’était pas trop le genre d’Akira, il avait donc simplement décider d’y aller en costume de soirée qui se composait d’une veste et d’un pantalon noir, d’une chemise blanche et d’un petit nœud papillon et enfin des mocassins noirs, coiffé bien et simplement. Le jeune homme n’étant pas habitué à ce genre de chose il n’avait donc pas de cavalière comme il est de coutume d’après ce qu’il pouvait voir dans la salle. Peut être qu’il en trouverait une au file de la soirée.
Alors qu’il marchait d’un pas calme dans la foule, il distingua alors parmi les différentes têtes d’élève, celle de son meilleur ami Heath Linderman, il semblait attendre quelqu’un, mais il savait pertinemment que ce n’était pas lui, ce devait sûrement être Meghan ou Kaprice, qui sait ? Il décida alors de lui faire une petite blague, enfin s’en était pas vraiment une, mais le jeune homme trouvait sa drôle. Il prit donc un autre chemin dans la foule, pour arriver derrière lui. Il marcha sans se faire voir, puis une fois juste derrière lui, il se pencha vers son oreille et cria :
« BOUH ! »
Il se mit alors à rire légèrement et regarda la drôle de tête de son ami et il ne put s’empêcher de rire à gorge déployer. | |
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InvitéInvité
Sam 17 Juil - 10:49 |
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| Avril - Excuses acceptées. Mon chevalier à la triste figure. Maëlan eu un léger haussement de sourcil, à peine perceptible, et se sentit sondé par le regard bleu d’Avril. Il laissa un léger soupir franchir la barrière de ses lèvres, il allait être démasqué en deux secondes… Finalement elle laissa un sourire sur ses lèvres et le Serpentard se sentit légèrement rassuré, laissant son index glissé sur son visage alors que son autre main se perdait dans les cheveux ébène de la belle Aigle. Il eu un léger sourire, comme pour lui dire de ne pas s’inquiéter, et fini par la laisser parler à nouveau.
Avril - Tu as l'air fatigué... Elle allait croire à autre chose, Maël le savait, et il aurait voulu arrêter cette pensée mais il ne savait pas quoi dire… Sans risquer de se faire prendre la main dans le sac. Alors, pour toute réponse, le même sourire qu’il y a quelques secondes vient de refaire surface et ses lèvres se posèrent sur son front, y déposant un tendre baiser. Ca ira. Il le savait, il avait confiance, et surtout il l’espérait. Pourquoi tout devrait aller de travers dans l’existence des Dashwood, un seul jour normal, c’était tout ce qu’il demandait. Et lorsqu’il mentionna le fait qu’elle était très belle, la réponse de la Bleu et Argent ne fit qu’agrandir son sourire. Tout ira bien, il l’avait décidé.
Le Serpent l’avait laissé faire, l’avait laissé passé en première les portes, et l’avait laissé écouté en premières les premières notes des Dogs. Groupe en vogue, en ce moment, à ce qu’il parait. Maëlan ne les aimait pas plus que ça, à vrai dire il ne connaissait que la culture moldue. Mais apparemment sa cavalière s’y connaissait plutôt bien, puisqu’elle avait un léger sourire en coin, qui semblait bien surprit. Le Vert et Argent eu un ricanement et enfonça sa main dans sa poche en observant la scène, il ferait tout pour que jamais de la vie son fils n’écoute une musique comme ça, non, pour lui ce sera du bon vieux Dionysos.
Avril - Je rêve où Grey a aussi de bon côté? Maël - J’en sais rien… Tu trouves que c’est bien ? murmura-t-il dans un petit souffle, sourire moqueur à l’appuit. Puis il l’observa se dérober pour aller prendre une coupe de champagne… Ah, cool. Il s’approcha du buffet et observa avant de hausser un sourcil. Sans alcool ? Pas possible, la blague. Toute la soirée, sans alcool ? Il était habillé comme un mendiant, il n’aimait pas la musique qui passait, et en plus de ça… C’est pas possible, c’était vraiment sans alcool ? Maëlan fit la moue, s’éloigna légèrement avant de regarder Avril en coin, comme s’il se devait de la surveiller.
Maël - Oh la la, du champagne pur, t’es une folle toi.
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Caelan de Saint-AngeAGENT DU MINISTERE. ► Directrice de la Justice Magique.
► MESSAGES : 395 Lun 19 Juil - 15:51 |
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| La brune Gryffondor sus-nommée (par HL) ne pouvait en aucun cas être en vue, non pas parce qu'elle n'attendait pas Heath, mais tout simplement parce qu'elle était encore en chemin. Mais, de toute façon, officiellement, elle ne l'attendrait pas. Ce n'était pas comme s'il lui avait demandé d'aller au Bal ou quoi que ce soit. Enfin, rien d'officiel en tous cas. Il viendrait seul. Elle viendrait seule. Et … « On se verra au Bal ». Ces mots avaient tellement occupé ses pensées qu'effectivement, comme vous pouvez le constater, elle n'avait aucunement prêté la moindre attention, même minimes, aux rumeurs qui avaient circulé les jours précédant le Bal. Sinon, elle aurait su ce qui l'attendait. Mais il n'en était rien. Elle avait une telle certitude, pour la première fois depuis bien longtemps, qu'elle était persuadée que cette fois, cette fois elle ne se trompait pas. Que cette soirée avait signifié quelque chose. Et que ce quelque chose allait enfin se réaliser. Allait enfin avoir lieu. Ce soir. Oh, elle n'était pas difficile quant au quelque chose, juste un signe, une attitude, une attention, quelque chose quoi. Pas LE grand quelque chose qu'elle avait toujours rêvé d'avoir. Juste un quelque chose quelque chose. Vague ? Dénué de sens ? Passez votre vie dans la tête de Kaprice, attachez vous à l'être le moins expansif de la planète, et on en reparlera plus tard. En attendant elle descendait les marches, la main légèrement tremblante sur la balustrade, bien moins sûre d'elle qu'elle ne l'était d'habitude.
Mais retraçons si vous le voulez bien, avant de passer aux choses moins agr... allez, pas de spoiler, disons aux choses sérieuses, le début de soirée de la jeune fille. Elle avait débuté plus que bien, flottant sur un petit nuage comme d'habitude depuis cette Soirée, sourire aux lèvres, mot gentil pour tout le monde … Elle avait même, de son propre chef, laissé place libre à Kahlen, sa copine de chambre qu'elle n'aimait pourtant pas tant que ça, pour qu'elle se prépare tranquillement et sans tension. Après tout, elle aussi avait le droit de passer une bonne soirée, non ? Comment savait-elle qu'elle allait passer une bonne soirée ? Il ne pouvait en être autrement, n'est-ce pas ? Pas avec ces cinq mots qui lui résonnaient dans la tête depuis quoi, une semaine, qu'elle se passait, se repassait en boucle. Tout irait bien. Il l'avait dit, non, c'est bien que … D'accord, il ne l'avait pas invitée, mais il allait peut-être s'expliquer sur son comportement pour le moins étrange, le fait qu'il l'ait rattrapée, enfin tout ceci n'était pas anodin et il se passerait quelque chose. Quelque chose qui la ferait avancer, elle en était persuadée. Quelque chose qu'elle attendait depuis près de sept ans, si ce n'était pas plus, mais plus inconsciemment. Alors elle avait décidé d'être sympa, et avait attendu que Kahlen sorte, elle n'apparut pas, et finalement s'enferma dans le dortoir. Sa robe ? Ça avait été un tel calvaire de savoir quoi mettre ! Le Moyen Age, quel drôle de thème ! Qui allait le respecter en plus ? Il y avait fort à parier que la majorité des filles viendraient avec des robes plus tirées de la Renaissance, étant donné que ça permettait d'en faire des tonnes. Kap', elle, donc, avait opté pour une robe pur style Moyen Age, noire et rouge, à capuche, qu'elle avait rangée soigneusement dans son placard.
Seulement voilà, quand enfin la pièce fut évacuée et qu'elle put entrer pour se changer, elle eut un mauvais pressentiment en voyant son placard … ouvert. Le coeur battant, elle s'avança, comme si un tueur allait bondir hors de l'armoire. Et patatras. Comme un mauvais présage. Son placard avait été vidé de tout vêtement, y compris sa tenue, et il n'y avait qu'une seule et unique robe blanche, pendue à un cintre. D'une matière fluide, de style soie, elle était droite et lui tomberait sans aucun doute jusqu'aux pieds. Les longues manches se finissaient en pointe au niveau du poignet. Elle avait un air de … Juliette, dans l'oeuvre de Shakespeare. Elle ferma les yeux deux secondes, contenant l'angoisse et la tristesse stupide qui montaient (elle l'aimait beaucoup, cette robe), et finalement, secoua la tête, désespérée. Elle se doutait de l'auteur de cette manoeuvre, et ne serait pas sans signifier à l'auteur de cette mascarade son mécontentement. Mais il se trouvait que l'heure tournait, et qu'elle n'avait pas vraiment le loisir de s'apesantir sur le sujet. En plus, franchement, elle n'était pas moche, juste trop … fille à son goût. Douche, coiffure (cheveux lâchés), maquillage (très léger), pas le genre pot de peinture. Une touche de parfum, quelque chose de boisé et un peu épicé, et … coup d'oeil dans le miroir. Respiration accélérée. Ne pas réfléchir à ce qu'Il pourrait penser de sa tenue, s'il allait la trouver jolie ou pas. Elle se passa une main qu'elle voulait dégagée dans les cheveux, ne pas penser à « quelque chose », comme avant un saut à l'élastique, et, finalement, elle descendit.
En arrivant dans le Hall en voyant tous les couples qui se retrouvaient, le coeur de Kaprice se mit à battre un peu plus fort. Et si … Oui, mais non. Pas de si. Pas de peut-être. Juste avancer et sourire. En croisant Laël, elle ne put s'empêcher, sinon de ne pas détourner le regard, mais au moins ne pas le regarder. Elle savait qu'il y allait avec Ana, et elle espérait de tout coeur que ça marche entre eux. Il le méritait. Ce n'était pas sa faute si elle avait eu trop peur de … Histoire ancienne. Se concentrer sur le présent. Et le présent venait de prendre les traits de Heath, juste sous ses yeux. Bien. Respirer. Son cerveau avait arrêté de fonctionner, ce qui était reposant. Au moment où elle arrivait devant lui et amorçait un:
Heath …
Son meilleur ami, Akira, le fit sursauter. Bon, autant pour elle. Elle sourit simplement à Akira, ils ne s'étaient pas vraiment reparlé depuis qu'ils avaient eu une profonde conversation sur la sincérité ou non du jeune homme quand il l'avait défendue.
Bonsoir Akira. | |
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