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| This could be Anywhere in the world ( - Clash - ) | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Dim 7 Fév - 3:59 |
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| Maïka savait que ce soir, elle sortait avec son mari. Mais pourquoi faire ? Qu’allait-elle faire ? Elle ne savait pas vraiment. La seule chose qu’elle savait, c’était pour boulot en compagnie des copains de son mari. La métisse ne comprenait pas trop ce qu’elle avait à faire par moment, mais elle le faisait, car ça lui permettait de faire autres choses que de s’occuper de sa petite famille. Quand elle suivait son mari dans une mission, elle se défoulait sur les gens qui étaient à éliminer sur son passage. Toutes les frustrations qu’elle avait refoulé au plus profond d’elle s’échappait. Les infidélités de Clash résonnaient dans sa tête et elle s’en prenait à tout le monde. Des meurtres cruels et injustifiés. La seule chose qu’elle savait ce que ça faisait du bien. Toute la haine sortait d’un coup. Elle avait juste une chose de les faire crever, parce qu’au peut-être que cette femme avait déjà été la salope de son mari ou encore cet homme était le mari d’une des salopes. Elle se trouvait toujours une bonne raison pour faire souffrir les gens et pour finalement les éliminer. Elle était aussi mal que son mari. Elle était comme lui au fond, sauf qu’elle avait un semblant de cœur peut-être. Elle était différente de lui par moment, elle était capable de ne pas aller voir ailleurs, car au fond… elle n’avait que lui. Il était le père de ses enfants. Il était son tout premier et il sera aussi son dernier au fond. L’hawaïenne l’aimait, malgré tout… Elle était peut-être conne pour certaines ou certains, mais ils ne pouvaient pas comprendre ce qu’il représentait à ses yeux. Ils ne pouvaient comprendre comment était Edward de bonne humeur avec elle. Ils avaient trouvé des compromis, mais elle ne pouvait jamais tout avoir comme elle le voulait réellement. Voilà, pourquoi elle devait libérer toute sa colère dans les missions. En fait, c’était comme une nouvelle sorte de thérapie. On devait remercier son merveilleux mari pour lui permettre de faire ce genre de choses. Maïka se demandait qui ce soir allait être le chanceux qui allait trouver la mort.
Elle était dans sa cuisine finissant de remplir ses fonctions de mère au foyer. Elle rangeait le reste de la vaisselle dans les armoires. Elle attendait qu’il vienne la chercher. Elle avait couché les enfants, sauf Ellis qui était toujours dans sa bibliothèque dans le grenier que sa mère avait fait emménager que pour lui. C’était sa pièce à lui ainsi que sa chambre qui lui appartenait. Maïka laissait beaucoup plus de liberté à son fils aîné qu’à ses autres enfants. Maïka lui avait expliqué qu’il était normal qu’elle soit parti durant la soirée, vers la fin au moins, elle lui avait aussi dit qu’il y aura toujours quelqu’un dans la maison qui veillait sur eux. C’était la vérité. Maïka était une mère poule, ce n’était pas qu’elle voulait les surprotéger, c’est qu’elle les aimait beaucoup trop pour les laisser seule sans surveillance. S’il lui arrivait quelques choses, elle tuerait tout le monde pour pouvoir venger la mort de ses treize enfants ( ? ). Maïka entendit des pas dans la maison. Elle finissait à placer la vaisselle dans les armoires. Tant aussi longtemps qu’il ne viendra pas la chercher directement dans la cuisine directement. Techniquement, Maïka était déjà prête. Ce soir, elle allait tout simplement mettre un bonnet sur sa tête pour cacher ses longs cheveux. Elle allait se recouvrir le visage aussi, comme une voleuse. Elle n’avait pas envie de chercher un moyen de se déguiser. Cette fois-ci elle prenait simple. Elle n’avait pas envie de changer sa couleur de peau, ses cheveux et peut-être ses courbes. Elle n’avait tout simplement pas envie. Le seul moyen de la déguiser, c’était tout simplement si Edward exigeait un déguisement plus complet. Cette dernière n’avait pas encore mis la tuque et ce qui allait couvrir son visage, pourtant Maïka ne pouvait quitter ses habits moulants et qui dérangeaient parfois l’attention de certaines personnes. Elle ne changera donc jamais. Elle s’était habillée de façon assez moulante, comme si ses vêtements étaient tout simplement de latex. C’était l’impression qu’elle donnait. Au moins pour se récupérer dans tout ça, elle avait mis des souliers de sport… au moins. Elle entendit enfin les pas qu’elle attendait arriver enfin dans la cuisine.
« Hello. Je te boufferais bien là… mais tu n’es certainement pas passer par la maison pour ça… Je suis prête ! » Dit-elle en faisant un bond avant de se retrouver sur lui. « Bon, on y va ? » dit-elle avant de se retrouver bien vite ailleurs hors de la maison. Elle ne savait trop où, mais elle reconnaissait les visages qui formait la troupe de Clash. Elle se décolla de son mari, car elle avait l’habitude de ne jamais se coller contre lui. Elle nuisait plus qu’autres choses si elle agissait ainsi. Maïka restait silencieuse et attendait le restant des explications de la soirée. Maïka se comportait en bonne petite femme qu’elle devait être. Elle devait se tenir pour ne pas lui faire honte et encore moins lui déplaire. Il y avait un lien entre ses deux choses, mais on s’en foutait totalement au fond. | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Mar 16 Fév - 21:45 |
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Bolt avait un sourire moqueur. Il avait ce satané sourire que Seth détestait pas dessus tout, et pourtant, les deux là était indécrottables. La petite famille Clash – qui se composait donc d'Edward, Bolt, Clayton et Seth Revenge – était pourtant plus soudée qu'il n'y paraissait. Ce soir, ils étaient de sortis. Seulement, quand Clash leur dit qu'il avait une petite femme a amené avec lui, et ce pour le bien de sa santé mentale (il n'avait pas forcément envie de l'entendre geindre dès qu'il rentrait, ce qui le mettait en colère plus que de raison), et aussi pour la sienne. Car mademoiselle avait besoin de comprendre qu'il était le chef de meute, et donc qu'il commandait. Sur le terrain, comme à la maison. C'était une sorte de remise à niveau. En comprenant qu'il était le chef, il se risquait moins à des engueulades perpétuelles par téléphone – comme Bolt et sa femme. Cette blonde pulpeuse et pétasse, qu'il avait dégoté dans une soirée chic. Le genre de blonde à forte poitrine, qui était gonflé de collagène. Et pas que. Le genre qui lui avait donné une fille et qui lui réclamait la pension tous les cinq du mois, sous prétexte qu'avec sa fortune elle n'avait pas assez. Bolt savait pourquoi elle appelait, aussi il rappliquait tard dans la nuit, pour la « payer », sa pension. Au naturel. De son côté, Seth était moins emmerdé. Sa femme était une prude, le genre qui ne pose pas de question, et qui regarde ailleurs quand lui fixe une belle paire de cuisse. Une femme au foyer, rien de plus. Pas une guerrière – elle n'en avait pas l'étoffe. Deux enfants à son actif. Deux garçons. Qu'il ne voyait que le soir et le matin. Seth était un homme rangé. Si on oubliat les écarts de conduite. Une fois par semaine, ou juste pour rire, en mission. De tous, le plus sage était Clayton. Un garçon sage, tranquil. Un peu mou même. Il ne disait jamais trop rien, ou tout du moins tournait à dix mots par jour. Le bonjour comptait dans le décompte. Il était le genre plutôt fort pourtant, et plutôt beau. Plus que les trois autres. Il attirait facilement les donzelles, mais Bolt et Seth le disaient encore vierge. C'était même fort possible. Il n'avait jamais été intéressé. Ni par les mecs, ni par les filles. Il était en dehors de tout ça. Il était... sans doute asexué. Ou quelque chose du genre. Edward Clash, lui, n'avait pas ce problème. Il combinait tous ses amis, en lui. Il avait une femme, treize enfants, des aventures extra conjugales à la pelle, et pourtant, d'un point de vue extérieur, était beau et attirant. Le genre qui vous donne envie de jouer à la vilaine petite fille, juste pour rire. Edward Clash était un mauvais garçon, ça se voyait à son regard noisette, qui fouinait sans cesse, ici et là. Il avait ce sourire fendant aussi. Un beau sourire malgré tout. Un sourire de petit démon.
Mais par dessus tout, Clash était le plus fort, et ce, en tout. Quand il poussa la porte de chez lui, ses trois amis restèrent sur le pallier. Bolt fumait une clope, quand Seth écrasait la sienne. Clay ne fumait pas. Question d'hygiène. Ou tout simplement de flemme. Edward Clash entra lui aussi avec une cigarette aux lèvres, qu'il écarta d'une main. L'autre attrapa sa femme qui se jetait sur lui, se collant à lui comme il aimait qu'elle le fasse. Devant tout le monde ou seul, ça attisait toujours en lui un petit côté fougueux. Il aurait très bien pu lui faire sa fête sur place à ce moment, mais la nuit s'annonçait longue, aussi il allait attendre.
« Hello. Je te boufferais bien là… mais tu n’es certainement pas passer par la maison pour ça… Je suis prête ! Bon, on y va ? » « Maintenant... »
Elle se détacha de lui, mais il garda sa main sur sa femme, sur sa hanche, puis cette dernière glissa jusqu'au rebondi de sa fesse. Il n'avait aucune honte. C'était juste un signe, une marque. C'était là la chose qui marquait l'appartenance de Maïka, à Clash. Une chose tout à fait compréhensible quand on connaissait Edward depuis longtemps, aussi Seth et Bolt n'y firent pas attention et finirent leur cigarette avant de tous s'arrêter devant un petit immeuble, perdu dans Londres. Un appartement décrépi. Aux premiers abords.
« Bon. Ce soir, on se la joue cool Raoul. Bolt et Seth, vous prenez les deux vieux. On les égorge proprement. Clay, tu t'occupes du fils aîné et de la plus jeune. Maïka, tu t'occupes du père. Et moi, je règlerais le compte de la mère. Ça vous va? »
Dans l'obscurité, Bolt et Seth ont un sourire qui se déforme. Ils sont prêts, eux.
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Jeu 25 Fév - 3:31 |
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| Maïka avait hâte d’une certaine manière de s’évader de ce manoir pour aller respirer l’air frais de l’extérieur en compagnie de son mari. Son unique amant. Il était unique dans sa vie n’ayant pas le droit, ni le choix d’ailleurs, de connaître des hommes autrement qu’en connaissance ou ami – ce qui était extrêmement rare et presqu’interdit. Maïka savait un peu ce qu’elle allait faire en sortant avec ce dernier. Elle savait qu’elle n’allait certainement pas passer sa soirée dans un restaurant romantique avec l’unique Edward Clash. Son mari pouvait être étonnant par moment, il était vrai qu’il la rendait folle de jalousie, pourtant, il était tellement différent si on connaissait le comportement qu’il avait avec les autres femmes ou tout simplement avec les autres personnes qui peuplaient cette terre. Il était un bon père, sauf qu’il était peu présent, mais lorsqu’il était là ce n’était pas rare que les enfants avaient des surprises et de l’attention. Maïka aimait le voir à la maison avec leurs enfants. Il était tellement différent à ses yeux. Il n’était plus le salaud qui couchait avec toutes ses femmes. Il était un autre homme à ses yeux. Au fond, Maïka l’aimait d’amour. Il était pour elle quelques choses d’important. Elle était fière de son mari, secrètement, même si souvent elle passe pour la femme battue de l’histoire. Pourtant, elle le protégeait à chaque fois que quelqu’un disait qu’il était un si ou un ça. On ne pouvait comprendre ce que Maïka avait pour cet homme. Elle avait quinze ans et elle pensait coucher avec lui pour sa première fois, ce qui arriva, mais la relation se développa pour devenir un couple, juste à temps qu’elle fut tombée enceinte où il lui demanda sa main après une petite conversation brève entre les deux amants. Une demande sur un coup de tête, mais elle savait qu’après dix années, il ne lui avait pas fait la peau. Cela voulait tout dire pour la jeune femme, elle était spéciale pour Edward. C’était ce qu’elle croyait et il était mieux qu’elle ait ce genre de penser pour laisser la tête et le cœur de l’hawaïenne en paix. Elle se faisait toujours accroire des choses, même si elle se montrait une femme à la hauteur d’Edward Clash, un homme et un sorcier puissant, elle avait le cœur fragile. Elle ne disait plus rien par rapport à ses sentiments, ça ne servait strictement à rien que de faire rire son mari plus qu’autres choses. Elle devait rester sage auprès de ce dernier, sage dans le sens où elle ne tentait pas de mettre dans une situation pour essayer de le rendre ridicule. Maïka se tenait toujours sagement à ses côtés.
Il était là. Elle lui avait sauté carrément dessus quand il était arrivé dans la cuisine où elle s’était trouvée pendant un bon moment. Maïka était toute excitée de le voir. Elle s’ennuyait la plupart du temps seule à la maison avec les enfants. Elle avait besoin de présence adulte et non que des enfants, mais elle ne disait jamais rien, car elle adorait ses enfants plus que tout au monde. C’était les plus belles choses qu’Edward lui avait donné. C’était aussi la raison de leur mariage d’ailleurs, un bébé qu’ils n’attendaient pas… mais pourtant, il n’y avait jamais eu de questions d’avortement, heureusement. Elle était collée à son mari ayant comme à son grand habitude envie de lui. C’était toujours ainsi avec ce dernier. Ils avaient toujours couché ensemble sans arrêt et elle avait toujours autant de plaisir. Maïka se décolla légèrement et posa son regard un instant sur la cigarette qu’elle tenait. Elle plissa le nez un instant, mais ne dit rien. Elle ne devait rien dire pour ne pas froisser Edward devant ses amis. Elle n’aimait pas qu’il fume près d’elle quand elle était enceinte, mais elle devait laisser passer pour ne pas chercher les bibittes pour rien. Il la sortait, quand il aurait pu la laisser encore à la maison à l’attendre pour être parfois d’humeur massacrante par la suite. Pourtant, en ce moment, il semblait être de bonne humeur. Elle ne voulait pas le mettre en rogne quand il était dans un bon état d’esprit. Maïka s’était écartée de son mari à peine, mais ce dernier garda une main sur elle. Il glissait cette main au niveau de ses fesses. Ils finirent par transplaner. Ils arrivèrent devant un appartement que Maïka ne prêta pas attention, puisqu’elle s’en foutait plus que tout au monde.
« Bon. Ce soir, on se la joue cool Raoul. Bolt et Seth, vous prenez les deux vieux. On les égorge proprement. Clay, tu t'occupes du fils aîné et de la plus jeune. Maïka, tu t'occupes du père. Et moi, je règlerais le compte de la mère. Ça vous va? » Maïka sourit tout doucement hochant lentement de la tête. L’hawaïenne se colla à nouveau à son mari un seul instant pour lui glisser à l’oreille. « Et quel est ce motif de ce meurtre ?, elle gloussa un instant, Et j’espère que tu prévois d’autres projets avec moi après, parce que je ne serai me contenir bien longtemps en ta présence, Ed’ » Elle lui lécha l’oreille rapidement. « Je suis libre de prendre la manière que je veux pour tuer, chéri ? » elle se décolla d’un coup, un simple sourire allait être une réponse à ses questions. Pour le reste, elle était prête. Elle passa son regard sur les amis de son mari. Clay était un drôle d’homme, mais elle ne disait toujours rien sur ses amis. Elle n’avait rien à dire sur eux. Pourquoi aurait-elle d’avoir des amis sans que ce dernier ne lui dise quoique ce soit sur ses connaissances ou peu important. Il se taisait, alors elle se taisait aussi. Maïka reposa son regard sur son mari. Elle allait suivre comme une grande dès qu’il lui montra par où ils iront. Elle ne savait rien, elle n’était au courant de rien. La seule consigne qu’elle avait, c’était de tuer le père … | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Sam 6 Mar - 2:33 |
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| « Bon. Ce soir, on se la joue cool Raoul. Bolt et Seth, vous prenez les deux vieux. On les égorge proprement. Clay, tu t'occupes du fils aîné et de la plus jeune. Maïka, tu t'occupes du père. Et moi, je règlerais le compte de la mère. Ça vous va? » Clash posa son regard sur Maïka. Son équipe était habituée. « Et quel est ce motif de ce meurtre ? Et j’espère que tu prévois d’autres projets avec moi après, parce que je ne serai me contenir bien longtemps en ta présence, Ed’. Je suis libre de prendre la manière que je veux pour tuer, chéri ? » Il roula des yeux, visiblement agacé. Il était certes de bonne humeur, mais il ne fallait pas non plus jouer les ingénus. C'était ce qui le déroutait le plus, et lui donnait cette envie soudaine de prendre cette jolie petite gorge enter ses mains et de la serrer bien fort, à l'en éclater... oui. À l'en éclater. Il soupira. « Aucun motif. On a envie de tuer, et basta. » Il mentait, mais il n'allait pas s'étendre sur la famille d'auror qui habitait ici. Merde! « Pour les projets d'après, on voit déjà comment ça se passe, tu veux bien? »
Il la regardait d'une étrange façon. D'une façon qui disait clairement 'tais toi et fais ce que je te dis'. Derrière, Seth et Bolt avaient rallumé une autre cigarette. Edward Clash tira sa baguette de sa poche, et les trois autres mimèrent le mouvement avec fluidité et en synchronisation parfaite. À croire qu'ils étaient trois reflets d'eux même. Clay, Sethe t Bolt se mirent juste derrière Edward, et devant Maïka. Ils n'avaient pas honte de séparer le couple. Ils n'étaient pas ici pour des histoires de coeur, mais pour un meurtre. Edward lança un informulé, et la porte s'ouvrit doucement, sans aucun grincement. L'américain entra dans la maison, et son regard balaya le long couloir, qui s'étendait longuement. Il montra une pièce à Clayton qui s'y dirigea et disparu dans la pénombre. Seth, lui, n'avait pas besoin de plan. Il alla vers le salon. Bolt montra une direction à Clash qui approuva : Bolt prit les grands escaliers qui s'étalaient devant eux.
Edward se retourna, et posa son regard sur Maïka, lui signifiant d'un geste de main de fermer la porte. Quand elle l'eut fait, il lui montra les escaliers également. À elle de trouver le père dans cette baraque. Lui devait aller dans la cuisine. Pour voir la mère.
(un peu court, je ferais mieux dans le prochain post massacre (: )
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Sam 6 Mar - 4:23 |
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| Maïka gardait habituellement le silence. Elle n’était jamais sur son territoire avec Edward que ce soit à la maison ou en dehors en sa compagnie. Elle était tout simplement le territoire d’Edward. À chaque fois, qu’elle posait le pied à quelques parts, elle devait se plier aux règles, sinon c’était elle qui regrettait ses regrettables erreurs. La métisse ne voulait plus que ce genre de chose arrive à nouveau. Elle était comme tout le monde au fond, elle n’aimait pas se faire cogner dessus. Elle aimait plutôt les gestes plus doux et délicats qu’une simple claque derrière la tête. La seule différence qu’elle avait des gens normaux, c’était qu’elle aimait autant un dominateur qui ne lui faisait que du tort quand tout allait de travers, comme lui ne voulait pas. Elle ne faisait pas exprès pour faire des erreurs. La pression, peut-être ? Peut-être le regard qu’il posait sur elle en disait long sur ses attentes. Elle ne savait pas. Elle ne savait toujours rien. Maïka avait toujours peur de mal agir, même si elle était excitée de l’accompagner. À quelques parts, elle se faisait du tracas. Allait-elle le tanner jusqu’au point que ça soit aussi son heure ? Elle ne savait jamais rien avec Edward. Elle était dehors de la maison, donc sans ses enfants. On pouvait conclure que c’était le moment parfait pour la tuer, puisque les enfants ne pourraient le stopper, elle souhaitait juste de ne jamais frustrer son mari jusqu’à ce point. Elle ne faisait pas exprès pour l’énerver. Elle ne pouvait jamais agir vraiment normalement, sauf au lit, comme s’il connaissait par cœur les goûts et les limites de chacun. Il semblait avoir un certains respects dans leur lit. Maïka aimait bien leur relation physique. On ne pouvait pas dire que le couple avait des problèmes au niveau sexualité Voyez-vous ça se voit par le nombre d’enfant qu’ils ont. Pour avoir autant d’enfant venant du même père et d’une mère, il fallait bien des essais, même si étrangement Maïka et Edward était extrêmement fertile, comme s’ils en rataient par une. Passait-il la journée à tenter ? Prenait-elle des hormones pour augmenter ses chances ? Edward lui glissait-il ce genre de substance dans sa nourriture ? Aucune idée. Le couple avait une vie sexuelle extrêmement active, le problème n’était pas là. Le problème venait de leur caractère explosif et de l’ennui mortel que vivait Maïka par moment. En ce moment, c’était la façon dont elle lui parlait et agissait. Elle le vit tout de suite dans son regard. La métisse se renfrogna tout simplement… Elle ne répondit pas à ses dernières paroles pour ne pas finir par le froisser et faire tout chier. Oh, non. Ça serait mauvais, très mauvais. Même trop mauvais. La jeune femme rentra chez les prochaines victimes dans un silence presque troublant. Elle ne semblait plus respirer. Elle semblait même volée lorsqu’elle posait les pieds au sol. On n’entendait aucun bruit venant d’elle, comme si le temps se serait figée que pour elle. L’hawaïenne passa son regard vers chaque membre de la petite troupe. Elle osa regarder son mari qui lui pointa l’escalier. Elle hocha de la tête, preuve qu’elle avait compris son attente. Elle devait trouver le père et le tuer. Le but, elle n’en avait aucune idée. Elle monta les marches n’en faisant grincer aucune. Maïka aperçut Bolt du coin de l’œil. Elle ne lui prêta aucune attention. Elle devait trouver la chambre des maîtres. Elle le savait, puisque le père était sa mission. Maïka prit la chambre du fond totalement au fond et ouvrit la porte sans bruit préférant l’effet de surprise. Elle n’avait qu’une envie à essayer, couper en petite pièce sa victime que pour le plaisir de le faire. Par chance, elle avait tombé sur la bonne chambre. L’hawaïenne sourit fière d’elle. Elle rentra discrètement dans la chambre et réveilla en caressant le visage de l’homme du bout d’un couteau qu’elle avait un peu plutôt caché à sa cheville. « Eh, princesse faut se réveiller. » Dit-elle d’une petite voix étrange. Elle enfonça un peu le bout du couteau sur la joue de l’homme dont elle ne savait aucunement le motif de son meurtre, mais elle devait ne pas penser à cela. Elle devait continuer sa mission pour son mari. Le sang commença à couler le long de la joue de l’homme qui avait les yeux maintenant grands ouverts. « Chut, si tu cries, il faudra faire bien des choses pour te faire payer durement… » Elle gloussa un petit peu. Maïka descendit la lame au niveau du coup de sa victime et d’un coup sec trancha la gorge de ce dernier et commença son carnage. Elle démembrait le pauvre homme ne lui ayant pas laissé la chance de faire quoique ce soit. Elle avait du sang qui tâchait ses vêtements et ses mains. Pourtant, elle était plutôt propre de la façon dont elle agissait… Après quelques longues minutes, Maïka redescendit dans le hall s’emmerdant à présent un peu. Elle chercha à aller rejoindre Edward… | |
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