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 Who Knew

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PROFIL & INFORMATIONS









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Who Knew #Lun 1 Mar - 3:49


    POST POUR WILLIAM

    Candice avait quelques choses à offrir à un de ses amis. Elle avait un cadeau, même si cet ami voulait tenir sa relation secrète avec Candice. Elle aurait aimé ne pas toujours autant se cacher. Oui, on pouvait les apercevoir parfois ensemble pour accompagner Elladora qui était tout simplement leur amie. Ils avaient Elladora en commun. Il fallait mieux qu’ils aient une personne dont il appréciait tous les deux, sauf que Candice ne pouvait pas agir librement. Elle ne pouvait pas sauter sur William en lui incitant de venir avec elle dans une chambre lorsqu’Elladora était présente. Il y avait beaucoup de règles établies par le Serpentard qui était son amant en secret puisque personne ne le savait, sauf un professeur qui les avait pris en train de s’embrasser contre un mur, ce fut la seule erreur qu’ils aient commis depuis le début de la relation. Elle n’avait jamais fait un faux bond, mais elle n’avait pas le choix si elle voulait que la relation se poursuive encore. Aujourd’hui, elle devait passer par-dessus une des règles établies par le beau garçon qui occupait ses nuits. Il était l’un des seuls en ce moment, en fait cette année, il était le seul et l’unique à la touchée. Candice n’avait rien d’autres pour lui qu’une forte attirance physique sauf que les relations physiques, elle n’était pas une professionnelle, comme certaines personnes dans poudlard qui étaient bien meilleures qu’elle. Elle voulait lui offrir un petit cadeau à ce garçon qui lui donnait du plaisir, elle voulait lui montrer qu’il était son ami après tout. Elle avait aussi voulu la relation qu’ils entretenaient pour se rapprocher de lui pour être son ami en fait. Elle avait toujours voulu avoir plusieurs amis, mais les gens ne voulaient pas être son ami, c’était triste au fond, car elle n’était pas bien méchante. Elle voulait juste être gentille avec ceux qu’elle voulait apprendre à connaître, ainsi que devenir peut-être plutôt proche avec ses derniers.

    Candice s’était installée dans son lit entre deux pauses de cour où elle commença à écrire un petit mot pour lui demander de la rejoindre dans une endroit qu’elle voulait déterminer en réfléchissant. Peut-être devait-elle choisir un endroit à l’écart de tous pour lui remettre ce qu’elle voulait lui remettre. La Poufsouffle réfléchissait jusqu’à son cerveau surchauffe. La préfète finit par réaliser que l’endroit parfait où il pourrait se rencontrer sans avoir de dérangement quelconque et ne puisse lui remettre ce qu’elle voulait lui remettre en main propre. Elle repensa à l’endroit où elle l’avait rencontré pour la première fois. Cette première fois où ils avaient couché pour la première fois ensemble. Cette première fois où il avait fait flamber son chandail qui couvrait son corps lorsqu’elle l’avait croisé. Il lui avait semblé sympathique, sauf un brin étrange. Comment peut-on dire que quelqu’un était étrange lorsqu’elle était aussi étiquetée comme une étrange personne. Il était étrange, mais c’était dans le sens qu’il était une personne assez mystérieuse qui a poussé Candice à apprendre toujours plus sur lui. Ce n’était pas un mauvais signe quand Candice s’attardait sur une personne. Elle était juste un peu fatigante pour certaine puisqu’elle venait toujours voir les personnes avec qui elle se croyait ami, tandis qu’eux voulaient juste avoir un service d’elle, rien de plus… Candice commença à écrire sa lettre d’une belle calligraphie sur un parchemin vierge. Elle avait pris sa nouvelle plume pour écrire ce message. Elle commença par noter qui elle était. Candice commençait par la base, un peu stressé. Elle avait réellement envie que William se présente au rendez-vous qu’elle lui donnait. La préfète finit par lui dire qu’elle devait le voir à la plate-forme où ils s’étaient vus pour la première fois dans l’une des grandes tours. Elle lui dicta l’heure aussi qu’elle l’attendrait à cette fameuse plate-forme. Elle écrivit au bas du parchemin qu’elle espérait de le voir et qu’elle était désolée d’avoir passé au-dessus des règlements et qu’elle ne recommencerait plus jamais. Il lui avait resté une dizaine de minute pour aller à la volière, cherché son hiboux où elle donna la charge à son hiboux d’emmener sa lettre à destination, donc dans les mains de William.

    La préfète passa tous ses cours en silence attendant impatiemment le moment où elle quitterait la salle de classe en courant pour aller se préparer se mettant belle pour son amant, même si ça ne servait strictement à rien, c’était juste pour le plaisir d’être belle aux yeux de la seule personne qui était attirée vers elle physiquement. C’était ce qu’elle croyait en fait. Elle pensait qu’il était attiré par elle par son physique. Candice se le faisait accroire, car elle avait terriblement mal que personne ne la trouvait belle malgré qu’elle était totalement différente. Elle n’était pas les filles qu’on voyait dans les magasines avec cette bonne paire de seins qui faisaient envier les autres filles et qui faisaient loucher les jeunes garçons. Elle n’était pas la fille qu’on disait reine de beauté. Candice avait une certaine beauté, mais les gens ne voyaient pas cela à cette âge, ils s’imaginaient à sortir avec leur fantasme… et c’était tout. Candice aurait aimé qu’on s’intéresse à elle. Elle aurait aimé qu’on lui dise qu’elle était belle, mais personne ne lui disait. Personne ne faisait ressentir ce genre de sentiment de fierté. La seule fierté qu’elle avait c’était son talent dans les vêtements et les dessins de ses créations. Elle voulait être belle aux yeux de quelqu’un pour une fois dans sa vie. Elle avait l’impression qu’elle allait vivre toute sa vie seule sans personne pour la soutenir, comme elle aurait aimé qu’on la soutienne. Combien de fois avait-elle espéré d’avoir une relation amoureuse comme celui du voisin ? Combien de fois avait-elle regardé un couple avec l’envie d’être à la place de la demoiselle ? Elle avait l’impression que tout le monde trouvait l’amour sauf elle. Elle voulait quelques choses pour elle. Elle espérait qu’un jour elle aura la chance de vivre une belle histoire d’amour où elle sera aimée et désirée, comme elle aurait voulu l’être depuis trop longtemps. Le moment dont elle attendait arriva. Elle sortit de la salle de classe en courant. Elle passa par les cuisines en secret de poudlard pour aller se chercher un petit repas vite-vite à emporter, car elle allait se préparer pendant que tout le monde mangeait. Candice avait demandé tout simplement des petits sandwichs à emporter avec une petite salade, puis finalement quelques biscuits au chocolat. Candice se précipita dans le dortoir des poufsouffle mangés sur son lit tandis qu’elle évaluait le temps qu’elle avait devant elle pour se faire une beauté pour ce garçon qui n’allait rien changer au niveau de ses sentiments. Comme je l’ai dis plutôt, Candice voulait se sentir attirante à ses yeux, mais pas nécessairement être la femme qui a dans son cœur. Elle alla prendre une bonne douche pour se rafraichir avant de partir se maquiller et s’habiller comme il le fallait. Candice se vêtit comme une moldu. Elle mit un jean serré d’où on pouvait voir le peu de forme qu’elle avait. Le pantalon montrait à quel point, elle avait les jambes fines ainsi qu’elle était terriblement mince. Elle enfila un chandail ajusté qui avait un col en V. C’était sa façon de se montrer séduisante pour lui. Peut-être que tout cela marcherait. Candice laissa tomber ses cheveux en cascade sur ses épaules. Elle se maquilla comme à ça son habitude. Candice s’assit sur son lit et commença à manger son repas qu’elle avait demandé aux elfes de maison dans les cuisines de Poudlard. Elle avait tout mangé les sandwichs, sauf qu’elle garda les biscuits pour collation pour plus tard. Elle les cacha dans ses réserves de chocolat.

    Candice se leva finalement de son lit en prenant un petit sac où elle avait glissé l’essentiel, ainsi que le fameux paquet qu’elle voulait remettre à son ami. Elle gravit les marches avec son sac jusqu’à la plate-forme. Il arriva enfin, Candice lui sourit. Elle voulait lui parler, mais n’eux pas le temps. Ce dernier vint l’embrasser sans avoir dit un mot. Elle savait que cette action allait les emmener bien loin. Très loin, même. La poufsouffle lâcha son sac pour mieux s’accrocher avec pour rendre le baiser passionné de William. La préfète lui sourit quand elle se décolla comprenant qu’ils allaient se déplacer, comme la dernière fois. William sentait extrêmement bon. Elle voulait s’imprégner de son odeur. Elle voulait comme lui passé aux choses sérieuses oubliant même pourquoi elle lui avait dit de venir ici. Candice prit son sac et partit pour la salle sur demande en compagnie du charmant jeune homme qu’elle avait rencontré par hasard, il y avait peu de temps. Candice et William allèrent dans la salle sur demande où ils jouèrent à un jeu qu’ils appréciaient énormément. La poufsouffle s’endormit un instant dans les bras de William. Un petit moment, elle dormait bien. Elle sentait la chaleur et les bras rassurants d’un homme. Elle avait confiance en William en même temps. Aveuglément peut-être, mais elle ne le croyait pas méchant… Candice finit par se réveiller tout doucement. Elle déposa un baiser sur le torse de William. Elle croisa son regard et elle lui sourit tout simplement.

    « Je sais que c’est encore contraire à tes règles, mais je ne veux pas vraiment, même si je te parle en ce moment. Je voulais te dire que j’avais une surprise pour toi. C’était pour ça que j’avais passé par-dessus les règlements… » Candice se décolla un peu en laissant coller ses fesses contre lui. Elle s’étira à peine pour prendre son sac qui était sur la table de chevet tout près de lit où ils étaient installés. Candice s’assit dans le lit laissant à la vue ses seins. « J’ai pensé à toi pour noël. J’achète toujours un petit quelques choses à ceux que je considère, comme mes vrais amis. Alors, j’ai pensé à toi. Tiens… C’est à toi ! » Elle sortit un petit paquet bien emballé dans un papier à pois rouge sur un fond blanc. Elle lui donna le petit paquet dans les mains de William toujours à ses côtés. Candice lui avait acheté un truc bien simple, mais elle avait tout de même pensée à lui. Elle lui avait acheté une chaîne, ainsi qu’une montre lui ayant coûté tout de même la peau des fesses. « Voilà, pourquoi je t’ai demandé de se voir. Allez ouvre-le ! »









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Who Knew #Mar 2 Mar - 21:18


    William avait esquivait un sourire amusé lorsqu’il avait vu le mot plein d’excuse de Candice l’invitant à la rejoindre. A croire qu’elle avait peur qu’il ne la batte pour lui avoir désobéit. Docile petite Candice… Il ne pût s’empêcher d’avoir de la compassion pour elle, elle qui acceptait ses stupidité sans bronché. N’avait-elle pas plus de fierté pour elle même ? Il nourrissait le désir de lui apprendre, de lui faire comprendre qu’elle devait d’avantage se respecté. C’était peut-être mais il avait attendu depuis longtemps se jour où il s’opposerait a lui et a ses exigences, lui montrant ainsi qu’elle avait du caractère. Certes son message était débordant d’excuse mais c’était déjà un bon début. Ce fût donc avec une certaine satisfaction qu’il se rendit à leurs rendez vous. Il ne lui fallut pas longtemps avant de poser ses lèvres sur les siennes et de la conduire dans son lit. Une fois de plus…

    William ouvrit ses yeux avant ceux de Candice et il observa en silence son visage tandis qu’elle était blottis dans ses bras. Ce n’était qu’une enfant… Une naïve innocente enfant, bien inconsciente des dangers de se monde et du mal que font les hommes. Par le passé elle avait sans aucun doute gouté a leurs venin et s’était entiché de ceux qu’ils faillaient éviter mais ce n’était rien comparé a lui… Elle semblait heureuse dans ses bras, un sourire sur les lèvres alors qu’elle avait toujours les yeux clos. Mais il n’était pas un prince charmant et n’avait aucun désir de la sauvé de sa tour de solitude…

    La jeune Pouffsoufle se réveilla doucement et déposa un baiser sur son torse alors qu’il avait toujours sa main derrière son dos pour la coller à lui. C’était les seuls moments où il se permettait se genre de geste qui contraster a merveille avec sa certaine froideur habituel a son égard. Elle lui avoua alors la raison de désobeissement et fit une chose qui l’étonna au plus haut point. Elle lui donna un cadeau ! Surpris et perplexe, il l’ouvrit toutefois et découvrit une chaine des plus ravissante et une magnifique montre. Il semblait perdu et ne savait que penser. Il attrapa alors la main de Candice et fit glisser dans sa paume la chaine et la montre avant de lui fermer le poing.

    William – « Non merci »


    Il ne voulait pas de ses présents. Il ne les méritait pas ! Elle disait le considérait comme son ami mais il n’avait rien fait pour mériter ce titre. Certes selon leurs règles ils entretenaient une amitié améliorée. Mais où était l’amitié dans leurs petites coucheries ? La vérité c’est qu’en voyant les cadeaux de Candice il réalisait à quel point leurs relations c’étaient éloigner de la base. Ils étaient devenu de vulgaire amants, ne se voyant que pour assouvir leurs désirs ou plutôt les siens car lui seul avait droit de prévoir leurs rendez vous secret. Il ne se souvenait même plus de la dernière fois qu’il avait parlé à Candice pour autre chose qu’essayait de la séduire. Comment en était-il arrivait là ? Il ne s’était jamais considéré comme un salaud et avait toujours eut l’impression de respecter les femmes mais où était le respect dans son comportement ? Il n’avait jamais essuyé les larmes de Candice. Il ne lui avait jamais adressé de mot gentil. Il n’avait jamais pris de ses nouvelles. Il ne l’avait jamais cherché dans les couloirs de Poudlard si ce n’était par envie de la remettre dans son lit. Alors pourquoi est-ce qu’elle le considérait comme son ami ? Pourquoi lui offrait-elle des cadeaux qu’un autre aurait dût avoir ? Pourquoi était-elle toujours aussi gentille avec lui ? Il avait parfois cette impression qu’il pouvait la brûler vive sans qu’elle ne se plaigne et il ne comprenait pas cette façon qu’elle avait de s’attacher à lui. Car il le voyait bien… ça ne devait être que physique et pourtant le moindre de ses sourire lui rappelait que Candice avait un cœur et n’avait rien d’une nymphomane qu’il aurait pût utiliser a sa guise. Il se sentait mal de ne pouvoir lui apporter ce que secrètement elle semblait vouloir de lui. Il aurait pourtant aimé. Mais il n’en était pas capable…

    William – « Je passe les vacances de Noel chez Jesse. »


    Il ne savait pas pourquoi il lui annonçait cela et surtout maintenant. Ils n’étaient pas un couple et il n’avait aucun compte à lui rendre. Peut-être était ce pour ça qu’il lui disait ceci, espérant lui rappeler les termes de leurs accords bien qu’à présent il trouvait certaine clause stupide. Il ne voulait pas la faire souffrir. Il ne disait pas ça pour la blesser mais elle devait avoir conscience du fait qu’il ne lui appartenait pas. Peut-être se rendrait-elle alors compte a quel point il pouvait parfois être cruel et qu’elle l’abandonnerait enfin… Parfois il avait tant l’impression qu’elle s’accrocherai a lui quoiqu’il advienne que s’en était oppressant. William n’était pas quelqu’un qu’on aime…









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Who Knew #Mer 3 Mar - 3:47


    Candice avait cru. Elle croyait en trop de choses d’ailleurs. Elle était naïve, mais elle n’avait jamais de mauvaise intention. Son cœur était le plus fragile qu’il soit. Il était fait de porcelaine, mais la porcelaine se brisait avec tant de facilité. La pauvre poufsouffle avait souvent entendu la porcelaine de son cœur s’arrêter net et se casser. Elle n’avait jamais été chanceuse dans les histoires de cœur et d’amitié. Elle voulait juste avoir des amis. Elle en avait besoin, d’Ailleurs. Elle aimait se sentir bien entourer. Elle avait besoin d’avoir quelqu’un à qui sourire, même s’il ne lui disait pas un mot. Elle adorait les gens, mais elle se rendait bien compte qu’elle n’était pas faite pour être ici. Il y avait tant de choses qui lui faisaient du mal. La préfète pensait qu’elle allait finir par mourir de chagrin. Un chagrin ravageur et interminable qui la ferait mourir à force. La douleur que son chagrin lui procurait chaque jour était pire. Elle n’avait jamais parlé de ça à personne. Pourquoi les gens voudraient écouter une fille lamentée sur sa triste vie minable ? Elle ne voulait pas faire pitié aux yeux des gens. Elle ne supportait plus l’abandon, ni le rejet et encore la solitude. William était pour elle un ami. C’était ancré en elle cette idée. Elle ne voyait rien, aveuglément par tant d’amour. Elle ne voyait rien. L’amour qu’elle avait pour lui était tout simplement de l’amitié. Elle était tout simplement naïve. Elle était différente des autres. Chaque être humain était unique, mais Candice ne suivait aucune norme. Elle savait se défendre, mais elle plongeait tête première dans la gueule du loup pour en ressortir meurtrie par cette aventure. Candice ne pouvait ne pas faire confiance une seconde en une personne, elle s’est souvent brûlée les doigts pour un rien. Elle était une fille qu’on prenait puis on jetait que pour le luxe d’avoir une amie du moment qui était prête à se jeter tête première dans un gouffre sans fond pour ne plus jamais revenir pour sauver la vie de ce qu’elle croyait être son ami. William était gravé dans son cœur dans l’espace amitié tout près de Aaron et Elladora, mais elle ne pensait pas que William était loin de croire la même chose qu’elle. Elle ne savait pas. Elle ne savait aucunement. Pourtant, elle allait bien le découvrir… et vous connaissez la suite.

    Elle avait été fière de son coup d’avoir pu trouver un cadeau assez vague par rapport à son caractère. Elle n’avait pas été prête à lui donner un cadeau plus intime, disons. Elle ne le connaissait pas encore totalement. Elle lui avait donné deux bijoux. Elle avait pensé à lui quand elle les avait vus. Pourtant, elle ne voulait pas faire de mal en les achetant ni à lui et encore moins à elle. Elle ne croyait pas qu’il allait avoir une telle réaction. Elle ne s’attendait à rien, même pas à un merci. Elle ne demandait rien en retour que de prendre le cadeau qu’elle offrait. On ne pouvait s’attendre que ce geste, offrir un cadeau, était aussi significatif à la gentille poufsouffle. Elle couchait avec lui pour pouvoir se rapprocher de lui. Elle était complètement différente de ce dernier à vrai dire. La préfète avait souri tout le long du processus de déballage. Elle était contente, mais le geste qui s’en suivit lui déchira le cœur brusquement. Elle perdit son sourire. Son visage se figea. Elle comprit. Son cœur avait sauté un battement et la porcelaine avait fissuré de tout son long. Elle regarda son poing fermé avec ses deux présents. Elle ne peut s’empêcher de les lancer en bas du lit, mais ils ne cassèrent pas, pourtant son cœur… il avait brisé. Candice n’était plus la gentille Candice. Elle était la violente. Elle était la désespérée. Elle était la brisée, l’abandonnée et la rejetée. Elle venait de le gifler venant de réaliser une chose qu’il n’était pas son ami et qu’il ne l’avait jamais été. Il n’avait pas pensé une seconde d’être son ami. Elle sentait un grand vide où le vent soufflait sur les dunes. Elle souffrait atrocement. Son chagrin apparaissant plus présent cette fois-ci.

    « Tu me prenais pour une… une… une … » elle ne trouvait pas le mot pour se définir, comment il la prenait. « Tu m’utilisais seulement pour te vider. Que t’es un con!!!! T’es qu’un con, comme tous les hommes. T’es qu’un salaud ! Pourquoi… je t’ai fais confiance? Pourquoi encore je me suis encore faite avoir ? » Candice pleurait. Elle pleurait beaucoup. Elle avait mal. Sa gorge se serrait de plus en plus. Elle ne voulait pas être là. Elle avait honte. Elle avait tellement honte. Elle venait de se faire jouer encore dans le dos. Elle voulait disparaître. Elle voulait tant de choses, mais rien à faire elle était toujours là devant ce con. Candice se jeta presque en bas du lit. Elle ne voulait plus le voir. Elle ne voulait plus jamais le voir. Elle le détestait plus que tout au monde.
    « Je passe les vacances de Noel chez Jesse. »
    « Tu sais pas à quel point je m’en contrefiche. Pourquoi tu me dis ça ? Quand je suis rien pour toi. Que je suis juste un objet rien de plus. Pourquoi tu me dis ça quand j’ai rien à foutre après qu’on me fait encore mal ? Tu sais ce que je ne supporte plus, c’est le rejet. J’en ai marre d’être abandonnée et rejetée… Toi, ça ne t’ai surement jamais arrivé. Tu peux pas ressentir ce qu’on ressent. Tu dois t’en contreficher de toute façon. Je n’étais qu’une… une… » Sa voix s’étrangla. Elle n’était pas capable de continuer. Elle se recroquevilla, accoter contre le lit ne bougeant plus. Elle avait mis sa tête sur ses genoux. Elle souffrait. Elle avait mal. Pourquoi ne pouvait-elle pas être heureuse pour une fois dans sa vie. Candice continua à pleurer. On la voyait parcoure de petit saut. Elle pleurait en silence laissant parfois échapper un sanglot…









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Who Knew #Mer 3 Mar - 22:04


    Elle se mettait à pleuré et a le traiter de tout les noms et lui il tombait des nues… Avait-il vraiment méritait ça ? Il était toucher par sa peine mais choqué qu’elle le prenne ainsi et sans qu’il le veuille il se sentit envahit d’une certaine colère, justifier ou non.

    William – « Pute c’est ça ? C’est ça le mot qu’tu cherche ? PUTE ? »


    Il n’en revenait pas qu’elle puisse penser cela. Le voyait-elle vraiment comme un salaud sans cœur qui n’était qu’une bite ambulante ? Certes il se donnait des airs froid et distant avec elle mais c’était pour mieux protéger son cœur. Elle disait qu’elle était son ami et qu’elle voulait être là pour lui mais elle ne connaissait pas et le juger bien avant qu’il ait le temps de ce livré et d’avoir confiance en elle. Si Candice était un vrai bisounours capable d’offrir de l’amour a tout va ce n’était son cas !

    William – « Est-ce que tu m’a entendu une seule fois t’appeler comme ça ??? Tu crois vraiment que c’est ce que j’pense ? Que tu n’es qu’un « vide couille » pour reprendre ta charmante expression ??? Tu dis vouloir être mon amie mais tu ne cherche pas même à essayer de me comprendre !!! Tu ne sais que te plier à mes règles stupides sur notre amitié amélioré alors que j’étais plus que certain que tu allais refuser ! Et tu sais quoi ? C’est ce que tu aurais dût FAIRE !!! Tu dis que tu veux être mon ami mais , je ne suis pas quelqu’un qu’on fréquente autrement que par intérêt et on ne couche pas avec ses amis et je n’en ai pas besoin !! Je n’ai pas besoin que tu soie avec moi, qu’tu me souris qu’tu soie gentille. Je n’ai pas besoin que tu me porte de l’attention! »

    J’en avait juste envie… Il avait parlé d’une traitre avec vivacité, montrant bien son état de colère et la fureur dans laquelle elle l’avait mise. C’était plus fort que lui, Phyllis lui avait bien dit il y a quelque jours, il avait une âme de Gryffondor, passionner, impulsifs et toujours enclin a réagir avec le cœur.

    William – « Tu dis que tu ne supporte pas le rejet et l’abandon et que j’ne peux pas comprendre car ça m’est jamais arrivé mais… COMMENT TU LE SAIS ?!? COMMENT PEUX-TU EN ETRE AUSSI SURE ??? Tu me juge, me traite de salaud et reporte la faute de tout tes malheur sur moi mais j’te signale qu’il faut être DEUx pour faire l’amour !!! Je ne t’ai jamais rien promis et je n’ai te jamais rien fait croire. J’ai était honnête dès le début en te disant que l’amitié avec les femmes avec qui j’avais couché ce n’était pas pour moi et toi tu m’as trompé en t’attachant alors que t’avais promis de pas le faire… «


    On pouvait voir au timbre de sa voix qu’il était peiné en plus d’être en colère. Il ne lâchait plus Candice des yeux et semblait affreusement déçue de sa réaction qu’il trouvait exagéré et qu’il n’avait pas voulut.

    William – « Tu crois que j’ai voulu te faire du mal ? Tu crois que j’ai prémédité tout ça ? C’est toi qui es venu me voir. J’ai rien demandé moi !!! »

    Il eut un silence et il tourna la tête agaçait par lui-même et le fait de dévoiler tout ce qu’il avait sur le cœur lui qui ne devait rien ressentir. Ni amour ni amitié… Rien ! Un homme un vrai….

    William – « Oh puis laisse tomber… J’me barre !!!! »

    Sur il se releva et enfila son pantalon avant de se diriger vers la porte…










Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Who Knew #Jeu 4 Mar - 2:46


    Les larmes coulaient sur ses joues. Ce qu’elle était conne d’avoir cru encore autres choses. Ce qu’elle était conne tout simplement de croire à un rien lorsque tout était le contraire de la chose qui était supposée être. C’était une relation physique et non un rapprochement amical. Elle avait cru autres choses. En fait, elle lui avait proposé cette relation pour pouvoir se rapprocher et finalement être une amie pour lui. Il n’avait pas vu de la même façon qu’elle. Elle avait cru que c’était clair au fond. Comment aurait-elle pu croire à autres choses quand les choses étaient plus que clair ? Elle était ce qu’elle était au fond. Elle ne voulait pas faire du mal à personne, mais les gens finissaient par lui en faire souvent par sa propre bêtise. Elle était triste de ne pas avoir d’ami, maintenant. Elladora était partie. Aaron disait toujours oui. Elle avait besoin d’ami, mais elle ne réussissait jamais à s’en faire, comme si tout ça était totalement impossible pour la pauvre demoiselle aux cheveux roses. Candice avait voulu de William dans sa vie. Elle s’était tout simplement trompée. Quand elle avait constaté son erreur, son cœur s’était fendu tout simplement en deux. Les mots étaient sortis bien trop rapidement. Elle n’avait pas pensé. Elle avait de la peine. Avez-vous déjà réagi sans réfléchir à cause de sentiments trop intenses ? Elle avait mal, mais elle ne croyait pas William pour un vrai de vrai salaud. Elle était la conne de cette histoire. Elle était celle qui avait mal agi. La claque était partie seule… Elle pleurait à présent sur le sol près de ses vêtements. Elle tenait sa tête entre ses mains ses genoux tout près d’elle. Maintenant, il parlait à son tour. Elle écoutait sans bouger. Elle continuait à pleurer au sol. Elle pleurait toujours. Elle était conne. Elle avait envie de se jeter par une fenêtre de la tour d’astronomie pour sa stupidité. Elle était totalement conne.

    « Pute c’est ça ? C’est ça le mot qu’tu cherche ? PUTE ? Est-ce que tu m’a entendu une seule fois t’appeler comme ça ??? Tu crois vraiment que c’est ce que j’pense ? Que tu n’es qu’un « vide couille » pour reprendre ta charmante expression ??? Tu dis vouloir être mon amie mais tu ne cherche pas même à essayer de me comprendre !!! Tu ne sais que te plier à mes règles stupides sur notre amitié amélioré alors que j’étais plus que certain que tu allais refuser ! Et tu sais quoi ? C’est ce que tu aurais dût FAIRE !!! Tu dis que tu veux être mon ami mais , je ne suis pas quelqu’un qu’on fréquente autrement que par intérêt et on ne couche pas avec ses amis et je n’en ai pas besoin !! Je n’ai pas besoin que tu soie avec moi, qu’tu me souris qu’tu soie gentille. Je n’ai pas besoin que tu me porte de l’attention! Tu dis que tu ne supporte pas le rejet et l’abandon et que j’ne peux pas comprendre car ça m’est jamais arrivé mais… COMMENT TU LE SAIS ?!? COMMENT PEUX-TU EN ETRE AUSSI SURE ??? Tu me juge, me traite de salaud et reporte la faute de tout tes malheur sur moi mais j’te signale qu’il faut être DEUx pour faire l’amour !!! Je ne t’ai jamais rien promis et je n’ai te jamais rien fait croire. J’ai était honnête dès le début en te disant que l’amitié avec les femmes avec qui j’avais couché ce n’était pas pour moi et toi tu m’as trompé en t’attachant alors que t’avais promis de pas le faire… Tu crois que j’ai voulu te faire du mal ? Tu crois que j’ai prémédité tout ça ? C’est toi qui es venu me voir. J’ai rien demandé moi !!! Oh puis laisse tomber… J’me barre !!!! »
    Candice releva la tête vers lui. Les larmes continuaient à couler sur ses joues. « Reste Will. Reste. » Candice prit ses vêtements et s’habilla rapidement. Elle s’approcha tout doucement de lui. « Je crois que je dois te faire mes excuses et surtout que je te dois des explications… » La poufsouffle le prit par le coude pour le faire asseoir sur le lit. Elle ne lui laissait pas le choix. Elle devait lui parler pour ce qu’elle lui avait dit. La préfète n’était pas bien méchante, mais elle regrettait ses gestes. Candice se tenait debout devant lui. Elle continuait à pleurer, mais moins qu’avant. Elle était jouait avec ses doigts un peu stressé. Jamais, elle n’avait montré ce genre de comportement à quelqu’un. « Will, je m’excuse de t’avoir frappé, de t’avoir dit des bêtises et surtout d’avoir cru à mes allusions. J’ai voulu être ton ami depuis le début… Je t’ai proposé cette relation, car ça semblait t’accommoder. J’ai découvert un truc que j’aimais me sentir désirer. Je me confi à toi, William, je sais que tu ne veux pas entendre ses choses, mais écoute-moi. » La Poufsouffle posa son regard sur William et décide de se tirer une chaise qui était dans la salle sur demande. Elle s’assit sur la chaise en le regardant. « J’aimais ce regard que tu posais sur moi pour une fois, je ne me sentais pas la vraie merde que je représentais pour ma mère et mon père. Voilà pourquoi je n’ai pas mis fin rapidement à la relation ? C’est étrange peut-être. Je regrette William. Je regrette tellement de t’avoir traité de salaud. En fait, c’est de ma faute, j’en suis consciente, mais j’ai éclaté trop vite, car j’ai réalisé que j’étais terriblement conne. La seule chose que je réussis à faire c’est de me faire du mal, même si je tente de ne plus m’en faire. J’ai l’impression que chaque jour je me balancerais bien de la tour d’astronomie pour ne plus avoir autant de peine. Ce n’est pas de faute. Je me fais passer pour la fille super heureuse qui mord dans la vie à pleine dent, mais en fait, je me cache pour pleurer. Je souffre chaque jour de ma vie. La seule chose que je veux c’est de m’entourer de gens qui pourraient remplacer mes géniteurs et tous ceux qui m’ont fait du mal. » Elle posa ses yeux sur William. « Je comprendrais que tu ne veuilles plus me parler. Si un jour, tu veux me parler, tu sais où je suis. » Elle continua à le regarder. « Ne pense pas à moi tes vacances de noël. Ne pense à cette dispute. Tu sais, je crois que c’est une bonne chose… oui, j’ai de la peine, mais au fond… tu m’as peut-être sauvée d’une pire crise ? » Elle soupira longuement. « William, je m’ennui d’Elladora. Je m’ennuie et j’ai surtout peur, complètement peur sans elle. Je ne sais plus vers qui aller. Je te parle de n’importe quoi. Je ne devrais pas me confier comme ça, parce que tu me connais pas. On ne se connait pas et on est pas ami. Mais tu me fais penser à Ella, la seule personne à qui je pouvais dire ce que je voulais sans qu’elle me ridiculise. La personne en qui j’avais entièrement confiance. Je me sentais bien. » Elle soupira. « Je vais arrêter de dire ça. Je dois arrêter de tout te raconter. Je dois te laisser tranquille à présent… » Elle se leva de la chaise et alla s’asseoir dans un coin de la pièce. Elle le laissait libre. S’il avait envie de lui parler, il allait lui parler, sinon… il allait partir. Elle s’était excusée, maintenant il était libre. Candice était assise tranquille au sol à fixer le sol tel qu’un enfant fragile de cinq ans. Elle commença à se faire des tresses. Elle ne pouvait rien faire pour le forcer à quoique ce soit. Il était libre. Il n’était pas son ami. Elle l’avait compris, mais son cœur avait un trou béant. Elle aurait tellement voulu qu’il fasse semblant d’être son ami, comme ça, elle aurait cru à un bonheur parfait dans sa vie difficile.

    ( Aurore, c'est vraiment laid. J'ai jamais écri autant de merde de ma vie, mais je m'excuse Sad tellement. En tout cas, j'espère que ça te plaise )









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Who Knew #Jeu 4 Mar - 20:23


    Candice - « Reste Will. Reste. »

    Il se retourna vers elle et lui adressa un regard noir qui s’évanouie en une fraction de seconde quand il aperçut les yeux rougis et plein de larme de Candice. Il la laissa parler, se justifier, s’excuser, se lamenter, s’expliquer sans rien dire ne sachant que penser mais lorsqu’elle se tût enfin il ressentit une certaine compassion à son égard. Elle n’était qu’une enfant… Perdue, désemparé, instable, fragile, et émotionnellement perturbé. Il aurait peut-être aimé la prendre dans ses bras pour qu’elle cesse de pleuré, retrouve ses repaires mais il était maladroit et douter au final que cela lui fasse réellement de bien alors il s’abstenu.

    William – « J’aime le rouge, je déteste être enfermé, j’bois un grand cappuccino au petit déjeuner avec plein de chantilly et j’adore regarder les nuages dans le ciel. »

    Elle ne semblait pas comprendre pourquoi il lui disait cela et surtout sur un ton aussi simple et gentil, il tenta alors de lui expliquer.

    William – « C’est-ce que font les amis non ? Ils savent des choses l’un sur l’autre et se racontent leurs vie… Non ? »


    Il se tût et la regarda avec une certaine intensité, calme alors que son cœur battait la chamade. Inutile d’être devin pour deviné ce qu’il essayait de faire bien que son comportement n’était pas banal. William n’avait jamais était doué avec les mots et c’était maladroitement qu’il essayait de lui faire comprendre qu’il était désolé et qu’au final il voulait bien être son ami. Enfin si elle voulait toujours de lui… Suie moi je te fuis. Fuie moi je te suis… Voilà un proverbe qui serait allé à merveille au jeune Slayers qui avait toujours besoin de pousser les limites de ceux qui s’attacher à lui afin de tester sans le vouloir leurs fidélité, et de leurs accordé par la suite son entière confiance.









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Who Knew #Jeu 4 Mar - 21:45


    Elle était triste. C’était normale au fond. Elle venait de réaliser qu’elle avait agi de façon idiote pour avoir un ami. Candice avait couché avec un garçon qui lui plaisait réellement, mais ce n’était que pour se rapprocher de lui. Elle avait été d’une façon plutôt dégradante pour une femme. Elle avait écarté les jambes, mais elle comprenait pour William, c’était une offre totalement alléchante. Elle était consciente que plusieurs garçons auraient accepté cette relation pour le plaisir d’avoir du sexe. Elle comprenait qu’elle avait donné son corps pour avoir un ami. Au fond, c’était un genre de prostitution sans argent où qu’elle donnait son corps pour avoir des amis, mais elle se rendait compte qu’elle avait mal agi envers elle et envers lui. Elle n’avait pas le droit de lui faire autant de mal, car au fond, elle lui avait fait du mal sans le savoir. Elle ne le connaissait pas, c’était vrai. Elle ne pouvait le juger. Elle ne pouvait l’accuser sur rien, car elle avait joué presque sur les mots. Elle était une vilaine personne en ayant agi comme ça. Elle était désolée, totalement désolée. Elle n’était pas une vraie amie d’avoir agi ainsi. L’important s’était qu’elle reconnaisse ses erreurs envers le pauvre Serpentard qui ne devait absolument rien comprendre de sa réaction. Elle l’avait supplié de rester. Il n’avait pas à partir sur cette note. Elle ne pouvait pas le laisser partir sans rien lui dire. On devait comprendre qu’elle s’en saurait voulu pour toute sa vie, car elle n’avait pas le droit de porter atteinte envers une personne qui avait rien fait au fond. Il ne méritait pas ses bêtises. Elle avait agi très mal envers lui. Elle était complètement désolée. Elle s’excusa et se mit à lui parler énormément. Elle lui parla de tout et de rien, mais elle lui parlait. Elle avait toujours ce trou au cœur, mais elle s’excusait. Ses larmes coulaient moins se sentant libérer d’un certains points Candice s’était levée et elle s’était déplacée vers un coin de la pièce. Elle se mit à jouer nerveusement dans ses cheveux Elle s’attendait à entendre la porte se refermer, mais elle fut surprise d’entendre sa voix. Elle se retourna pour le regard avec encore ses larmes qui coulaient sur ses joues.

    « J’aime le rouge, je déteste être enfermé, j’bois un grand cappuccino au petit déjeuner avec plein de chantilly et j’adore regarder les nuages dans le ciel. C’est-ce que font les amis non ? Ils savent des choses l’un sur l’autre et se racontent leurs vie… Non ?»
    « Tu..tu .. tu es sérieux ? » la bouche grande ouverte. Candice se leva d’un bond. Elle lui sauta au coup et s’accrocha à lui pour un câlin. Rien qui avait rapport à leur relation physique du départ, mais plutôt un câlin qui est totalement innocent et plutôt amical. Elle était heureuse. Il venait de la rendre heureuse. Il n’en fallait pas plus pour lui faire du bien. Elle était heureuse tout simplement. « Will, est-ce que j’ai bien compris ? Tu veux… être mon ami ? Si oui, accepte le cadeau que je t’ai fait » Elle lâcha William et alla ramasser la montre et la chaîne qu’elle avait lancé au sol. Elle les pris dans ses petites mains fragiles et lui emmena. « Tiens. C’est à toi. Rien qu’à toi. Ne me les remet pas, parce que je préfère qu’on accepte mes cadeaux et qu’on fasse semblant des vouloir que de me les refuser. » Elle lui sourit tout doucement. Elle avait toujours les yeux rougis par les larmes, mais elle souriait malgré tout. Elle était mieux que tantôt, comme si son cœur commençait à se réparer par les petits actions de William. « Will’, t’aime le chocolat ? Moi, je raffole de ça. Faudrait peut-être se parler sérieusement pour apprendre à se connaître ? Wiiiiill, je m’ennui beaucoup d’Ella. C’est ma meilleure amie et ma seule confidente que je ne lui ai pas tout confié, mais je regrette de ne pas avoir dit tout ce que j’ai vécu. Elle aurait compris pourquoi parfois je suis un peu, beaucoup, toc-toc » elle fit semblant de se taper la tête…« Tu habites où Wil ? »









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Who Knew #Ven 5 Mar - 16:08


    William – « ...Woé » dit-il d’un ton peu assuré mais il était sincère toutefois.

    Il n’eut pas le temps d’en dire plus que Candice se releva d’un bond et lui sauta au cou. Il eut un soubresaut comme s’il recevait une décharge électrique mais ce laissa ensuite faire. Ce n’était pas de sa faute, les gestes d’affection de ce genre à son égard était rare et il avait donc tendance à réagir assez vivement quand on le câliner aussi franchement. Il s’abstenu toutefois de lui dire que ce n’était pas son truc de peur de la vexer ou de la refaire pleuré. Elle semblait si heureuse sur l’instant qu’il ne voulait pas tout gâcher.

    Candice - « Will, est-ce que j’ai bien compris ? Tu veux… être mon ami ?
    Will – « Je veux essayer » précisa-t-il.

    Pour lui s’était important de le préciser car il ne voulait pas lui faire de faux espoir. Il voulait bien être son ami mais il n’était pas certain d’y arriver alors dans le doute il préférait mettre les choses au clair dès le début. Il ne s’agissait pas d’un refus de sa part mais juste l’envie de ne pas faire les mêmes erreurs que leurs relations.

    Candice – « Si oui, accepte le cadeau que je t’ai fait »

    Elle le lâcha et alla ramasser la montre et la chaîne qu’elle avait lancé au sol et les lui donna. Cette fois il les accepta avec un sourire semblant désolé.

    Candice – « Tiens. C’est à toi. Rien qu’à toi. Ne me les remet pas, parce que je préfère qu’on accepte mes cadeaux et qu’on fasse semblant des vouloir que de me les refuser. »
    William – « Je fais pas semblant si j’les prends c’est que j’les veux. C’est pour ça que tout à l’heure… »

    Tout à l’heure il n’avait pas pensé les mériter… Mais à présent il avait envie de faire plaisir à Candice et il faut l’avouer sur le coup elle avait bien choisit. Il s’attarda quelque seconde sur la montre qu’il trouvait magnifique avant de lever son regard vers la jeune fille.

    Candice - « Will’, t’aime le chocolat ? Moi, je raffole de ça. Faudrait peut-être se parler sérieusement pour apprendre à se connaître ? Wiiiiill, je m’ennui beaucoup d’Ella. C’est ma meilleure amie et ma seule confidente que je ne lui ai pas tout confié, mais je regrette de ne pas avoir dit tout ce que j’ai vécu. Elle aurait compris pourquoi parfois je suis un peu, beaucoup, toc-toc Tu habites où Wil ? »

    C’était trop de question à la fois pour lui mais il essayait de géré, de faire des efforts et de ne pas l’envoyer boulet. Après tout elle ne cherchait qu’a la connaitre. Mais à chaque fois qu’on lui posait des questions sur lui – peu importe qui s’était d’ailleurs - il avait comme une envie de répondre « Qu’est-ce que ça peut te foutre ? ». Son père ne s’était jamais intéressé à lui. Sa mère l’avait quitté bien trop tôt… Du coup il avait pris l’habitude depuis longtemps à vivre sa vie sans qu’on se soucie de lui si ce n’était pour obtenir quelque chose. Du sexe, un statut social ou autre… Mais Candice ne semblait rien désiré de plus que son amitié et il trouvait cela… étrange et flippant à la fois.

    Will – « Euh je… »
    Il ne savait pas vraiment pas où commençait. « J’préfere les bonbons au chocolats et j’habite à Manchester en Angleterre. Quand à Ella… elle me manque aussi. »









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Who Knew #Sam 6 Mar - 3:27


    Candice l’avait enfin comme ami. Elle ne voulait pas détruire le peu de relation qu’ils avaient déjà, mais elle voulait améliorer ce début de relation assez étrange. Ils avaient couché à répétition ensemble, avant la crise de larme qu’elle venait de lui offrir avec un rien. Ce n’était pas vraiment un cadeau une crise de larme, mais elle devait avouer que c’était plutôt un cauchemar. Elle était un cauchemar quand elle pleurait, car on ne pouvait la faire facilement oublier la peine qu’elle avait ressenti, même si elle faisait comme si de rien ne s’était passée. Elle ressentait toujours ce trou qui s’était formée, mais la chaleur de la bonne nouvelle l’emplissait d’une joie intense qui lui avait fait oublier ses larmes pour laisser place à un petit sourire innocent et enfantin. Au fond, Candice n’était pas bien méchante, mais elle avait trompé celui qu’elle considérait, comme son ami. Ce n’était pas une façon dont on agissait avec nos amis. De plus, on ne frappait pas ses amis de la sorte. On ne les traitait encore moins de cette façon. Candice était encore toute désolée de ce qu’elle avait fait. Pourtant, elle était heureuse jusqu’au point de lui sauter dans les bras. En fait, elle lui faisait un énorme câlin que pour se sentir bien. Il n’y avait rien de plus dans sa façon d’agir. Elle ne voulait pas coucher avec lui. Ce n’était pas ce genre de câlin qu’elle lui donnait. C’était les mêmes câlins qu’elle faisait à Elladora lorsqu’elle était contente de la voir. La poufsouffle était toujours attirée physiquement par William, mais il était un ami. Il pensait qu’on ne devait pas coucher avec ses amis, alors elle allait agir comme tel. Elle n’allait pas être l’exception. La préfète voulait être comme tout le monde, sauf qu’elle le voulait en ami tout simplement. Elle ne pouvait faire qu’à sa tête. En fait, elle était fière d’avoir le privilège d’être son ami. Oui, pour elle, c’était tout un privilège de pouvoir accéder à un tel statut qui lui avait été refusée quelques minutes plutôt. Elle était fière de lui donner le cadeau qu’elle lui avait offert. Elle était contente et lui souriait. Candice voulait connaître son nouvel ami mieux que maintenant, car en ce moment, on ne pouvait pas dire qu’elle connaissait William, comme elle aurait aimé le connaître mieux. Alors, elle devait lui poser le plus de questions superficiels que possible, mais elle n’était réellement pas méchante.

    « Euh je… J’préfere les bonbons au chocolats et j’habite à Manchester en Angleterre. Quand à Ella… elle me manque aussi. »
    « Oh, moi je suis une fanatique de chocolat. Je cache tous pleins de boîtes dans mes valises. J’achète régulièrement du chocolat pour me faire plaisir. Tu sais, le chocolat c’est tellement bon » dit-elle comme un enfant de cinq ans qui parlait de son copain imaginaire, fier, de dévoiler tous les dessous de ce dernier. Les capacités de celui qu’il aimait et qui lui tenait compagnie dans les temps difficiles. C’était un peu la même chose avec le chocolat. Une histoire d’amour qui existe depuis belle lurette. Disons qu’à chaque fois qu’elle avait une peine dont elle devait vivre encore une fois seule, elle retrouvait le seul ami qui ne lui a jamais fait du tort, le chocolat. Le seul tort que cette gourmandise pourrait lui procurer c’était de prendre un peu de poids. « Moi, j’habite à bâton-rouge en Lousiane. Je sais, je suis supposée d’être à Salem, car je suis américaine, mais je suis atterrie ici et je suis bien contente d’être ici. J’ai rencontré Ella’, c’est une amie superbe. Ça fait un peu vide sans elle, tu ne trouves pas ? Je crois que je vais lui écrire, même si je ne fais jamais confiance à mon hibou, j’en suis incapable. » Elle lui fit un petit sourire en coin. « Alors, tu t’en vas en vacance chez Jesse ? Ohhhh, je vais être seule pour de vrai cette année. Ce n’est pas grave, je vais pouvoir dessiner et créer les vêtements que je veux. » Elle se frotta les mains en pensant à ce qu’elle pourrait faire pendant les vacances, mais si elle savait ce qui l’attendait, c’était plutôt très différent de ce qu’elle croyait en ce moment. « Je dois te montrer un jour mes dessins. Attend, il y en a peut-être ici, puisque je fais toujours apparaître ma chambre. » Candice alla voir sur sa commode. Elle pensait en avoir oublié là, lorsqu’elle était passée une fois. Elle trouva effectivement un de ses dessins qu’elle apporta à William. « Tiens, regarde. C’est ce que je fais lorsque je disparais. C’est mon passe-temps. C’est la seule chose dont je suis fière de moi. C’est aussi la seule chose que j’ai un talent, parce que je ne peux mentir à personne, je suis vraiment nulle en cour et surtout une froussarde de la mort… »









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Who Knew #Lun 8 Mar - 14:24


    Candice - « Oh, moi je suis une fanatique de chocolat. Je cache tous pleins de boîtes dans mes valises. J’achète régulièrement du chocolat pour me faire plaisir. Tu sais, le chocolat c’est tellement bon »

    On aurait dit qu’une agence de pub l’avait engagé et qu’elle cherchait à tout prix à lui faire acheter du chocolats tant elle vantait les mérites de cette gourmandise. William en resta perplexe s’en savoir quoi dire et laissa Candice continuait sur sa lancer, ne voulait pas rompre son enthousiasme.

    Candice - « Moi, j’habite à bâton-rouge en Lousiane. Je sais, je suis supposée d’être à Salem, car je suis américaine, mais je suis atterrie ici et je suis bien contente d’être ici. »

    Américaine ??? Elle était AMERICAINE ??? Sérieux ??? Oh oh… William était des plus surpris par cette révélation et une chose était sûre il ne s’y attendait pas. Toutefois il resta fidèle à lui-même, cachant tout de sa soudaine anxiété bien que l’idée que Candice connaisse le ministre Américain et toute sa famille le mettrait dans la suite dans la merde. Mais bon si elle l’avait reconnu elle le lui aurait déjà dit. N’est-ce pas ? N’est-ce pas ?

    Candice – « J’ai rencontré Ella’, c’est une amie superbe. Ça fait un peu vide sans elle, tu ne trouves pas ? Je crois que je vais lui écrire, même si je ne fais jamais confiance à mon hibou, j’en suis incapable. »

    William – C’est vrai qu’Ella est une fille super. Elle s’en rend probablement pas compte mais… elle est génial. »

    Voilà une chose qu’il n’avait jamais eut l’occasion de dire à la blondine avant qu’elle ne quitte Poudlard avec son prince Charmant et il le regrettait presque à présent. Peut-être qu’il ne la reverrait plus jamais et qu’il devrait se contenter de lui envoyer des lettres, lui parlant de ses journées a Poudlard alors que sans Elladora elles étaient nettement moins intéressante il fallait l’avouer. Mais que pouvait-il y faire ? Elle n’avait pas eut le choix et bien qu’au début il aurait voulut la détester par reflex il n’en avait pas le droit.

    Candice - « Alors, tu t’en vas en vacance chez Jesse ?
    William – « Woé elle m’a invité. »
    Candice – « Ohhhh, je vais être seule pour de vrai cette année. »

    Il eut un léger sentiment de culpabilité mais qui disparut aussitôt tandis que la jeune fille reprenait la parole.

    Candice - « Ce n’est pas grave, je vais pouvoir dessiner et créer les vêtements que je veux.Je dois te montrer un jour mes dessins. Attend, il y en a peut-être ici, puisque je fais toujours apparaître ma chambre. » Candice alla voir sur sa commode et apporta un dessin à William. « Tiens, regarde. C’est ce que je fais lorsque je disparais. C’est mon passe-temps. C’est la seule chose dont je suis fière de moi. C’est aussi la seule chose que j’ai un talent, parce que je ne peux mentir à personne, je suis vraiment nulle en cour et surtout une froussarde de la mort… »

    William apprenait plein de chose sur Candice qu’il ne soupçonnait même pas. A vrai dire il n’avait pas cherché à savoir. Il savait ce que c’était de voulait garder les choses pour soie et avoir se désirs de garder des secrets. Il laissait les autres venir à lui en règle générale sans rien forcé. Il baissa le regard vers le dessin que lui montrait Candice et sembla légèrement surpris. Il rendit la feuille à la jaune et noir en lui donnant son avis.

    William – « C’est plutôt pas mal. »

    Il n’était pas très doué pour les compliments mais s’en était bien un.









Candice Johnson

Candice Johnson
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► MESSAGES : 534
Who Knew #Mer 10 Mar - 1:47


    On ne connaissait généralement pas Candice, car on ne prenait pas le temps de la connaître réellement. On se sauvait généralement d’elle, car elle était trop étrange. Comment faisait-on pour passer à côté d’une jeune femme totalement gentille prête à aider tout le monde ? Eh bien, elle ne ressemblait pas à tout le monde. Justement, elle était différente, on devait apprendre à la connaître. On devait commencer à voir autres choses que ce qu’elle laissait paraître. Si les gens savaient à quel point, Candice était un bout de femme plus que fragile qui se montrait terriblement joyeuse quand elle ne l’était pas du tout. La poufsouffle avait montré sa fragilité par à William, lorsqu’elle avait senti cette énorme tristesse monter en elle. La préfète avait passé à travers ce sentiment horrible qui lui avait fait monter les larmes aux yeux pour les faire couler sur ses joues pâles… Elle avait séché ses larmes, maintenant. Elle avait trouvé un ami dans sa peine. Ce mini règlement de compte fût bénéfique pour mettre un point sur les relations des deux jeunes gens. C’était bien, même si elle avait versé des larmes. Maintenant, elle ne pleurait. Elle souriait à son nouvel ami. Elle voulait se faire connaître par ce dernier. Elle voulait approfondir ses liens pour qu’il finisse par la connaître totalement. Elle voulait qu’il soit quelqu’un près d’elle. Elle avait l’impression qu’elle devait se lier comme il le fallait avec lui parce qu’il était aussi un ami de sa meilleure amie qui s’était éloignée énormément d’elle et de lui aussi. Elle était partie après l’attaque à Poudlard. Elle aurait voulu la revoir pour lui dire au revoir avant qu’elle parte pour toujours ou pour un long moment. Candice s’ennuyait de plus en plus de sa meilleure amie. Elle devait donc se retourner avec quelqu’un. Elle avait décidé de se retourner vers William, à présent, mais c’était lui seul qui allait décider s’il voulait bien d’elle auprès de en tant qu’ami. Candice parlait énormément. Elle lui avait parlé de sa nationalité, de ses vacances qu’elle allait passer seule, D’Elladora et aussi de se son unique talent… Habituellement, elle gardait ce genre de chose pour elle. La poufsouffle n’aimait pas montrer son talent ayant peur de perdre ce qu’elle possédait. Elle avait peur que quelqu’un s’approprie ce qu’elle avait fait. Les gens étaient parfois super méchant et voleur. Elle n’avait pas envie qu’on lui pique ses créations… vraiment pas envie. Elle lui avait tout de même montrer un dessin, car il le méritait. Elle s’étonnerait bien de voir William lui piquer un dessin de robe…

    « C’est plutôt pas mal. »
    « C’est surprenant. Je sais, je sais, je sais ! Je n’ai pas l’air de ça. J’ai plutôt l’air d’une fille super nulle en tout. Je suis une mauvaise sorcière. J’ai terriblement peur. En cour, je ne fais pas exprès en cour. Je me sens seule souvent, les gens me fuient et quand on me traine dans la forêt, j’ai peur. Encore plus peur. Je suis une espèce de super trouillarde qui a de la misère à vaincre mes peurs. » Elle s’assit sur le lit et le regarda avec un petit sourire. « Tu veux m’aider à les vaincre mes peurs ? Ça serait gentil, mais si tu ne veux pas… Ce n’est pas plus grave que ça. Je vais me débrouiller seule, même si c’est totalement terrifiant. » Elle lui fit une petite place sur le lit. Elle s’était assise en indien en pleins milieux du lit. « N’est pas peur… viens. Viens t’asseoir sur le lit. Je ne suis pas dangereuse. Je crois que tu l’as découvert. Je t’ai frappé tantôt et je le regrette. Habituellement, je ne frappe personne. Au fait, ça va ? Je n’arrête pas de parler. J’ai toujours parlé, ainsi. Auparavant, tu as dit que tu ne voulais pas m’entendre, ben pratiquement, tu ne l’as pas dit comme ça, mais pour moi c’était clair. Je ne devais pas parler. Je devais me taire et jouer avec toi. Mais bon, c’est la vie non ? Will ? » Elle le regarda et vira pivoine. « Tu ne voudrais pas faire dodo avec moi, quand même ? Genre, comme si on aurait passé une soirée amicale ensemble et qu’on ferait que dodo parce qu’on est des amis ? »









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Who Knew #Dim 14 Mar - 19:35


    Il l’écoutait parlait sans savoir vraiment quoi dire, n’étant en effet pas habitué a fréquenter des gens bavard mais un sourire apparut sur ses lèvres quand elle s’excusa de trop parler. Oui elle parlait trop et cela avait de quoi le déstabilisait mais il n’avait aucune envie de la faire taire. William commençait peu à peu à appréciait la bizarrerie de Candice et cette façon si innocente qu’elle avait de se comporter. Une chose était certaine, elle était unique en son genre et jamais encore il n’avait côtoyait une jeune fille de son acabit. Silencieux et ne la quittant pas des yeux, il s’allongea alors sur le lit et tapota la place vide a côté de lui en souriant. Il avait entendu ses désirs et il n’était pas contre l’idée. Doucement la Pouffsouffle vint alors à ses côtés et il l’entoura de ses bras, la ramenant en lui et sentant sa tête appuyer contre sa poitrine. Il savait qu’à cet instant il pouvait faire preuve de toute la tendresse dont il était capable car cela resteraient entre eux. Dans l’intimité de ces quatre murs il se montrait alors protecteur, la serrant contre lui alors qu’il n’osait pas poser les yeux sur elle de peur de perturber sa tranquillité.

    William – « Chuuut. Ferme les yeux. »

    Ce n’était pas un ordre et ses mots ne signifier pas « tait toi tu m’as soulé » mais il les avait plutôt prononcé dans le but qu’elle savoure l’instant car il savait qu’il ne serait peut-être pas capable de lui en offrir d’autres comme celui-là à l’avenir. Il avait beau vouloir être son ami, et l’être peut-être désormais, il n’abaissait que très rarement ses barrières de protection. Il avait bien souffert par le passé pour se permettre de se montrait faible en longueur de temps en éprouvant des sentiments, et l’affection en était un. Un homme un vrai ne ressent rien. Mais à cet instant il se donnait la permission de baisser les armes et d’être un garçon moins dur, froid et distant et d’être d’avantage doux et attentionné. Juste cette nuit… Les deux élèvent finirent par s’endormirent dans les bras l’un de l’autre et lorsque Candice rouvrit les yeux au petit matin, William n’était plus là. Les vacances de Noel commençait et leurs séparations également….

    ~~~ TOPIC CLOS ~~~












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