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| (mission) my cat wasn't really... a cat. [4/4] | |
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Sean Abel BlakeSORCIER.
► MESSAGES : 111 Dim 7 Mar - 0:21 |
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| Le parc était beau ce jour là. Il faisait enfin jour, et ce, malgré la présence constante des démons dans la forêt interdite. Il était interdit de sortir après 16h, car l'après midi c'était dangereux. Le repousse-démon englobait actuellement Poudlard et ses serres, mais uniquement cela. Et encore! Les serres avaient été déplacé, rapproché, afin que les élèves ne soient pas en danger. La cabane du garde chasse avait été abandonné à l'invasion démoniaque, et à cela, Rufus ne pouvait rien. Si l'interdiction était clair, il n'était cependant pas rare de voir un élève s'extirpait du noir d'un bâtiment, attiré par quelqu'un ou quelque chose. À l'inverse, Eurydice était restée dans les serres, jusqu'à tard. Avec Précieux et Rathalos sur elle, et accompagné d'un fléreur au pelage noir, elle observait la réaction d'une Mandelana dans un milieu apprivoisé, et la fleur n'éclorait pas. Cela faisait pourtant déjà deux jours, alors que la Mandelana était réputée pour ne jamais se refermer. C'était peut être la sensation de mal qui la faisait se refermer en un bouton violet foncé. Elle reposa son carnet, juste à côté d'un filet du diable apaisé et endormi. Il était déjà dix sept heures, et les cours avaient été suspendu. Eurydice aurait cru croiser Lilith, mais il n'y avait eut personne dans les serres depuis tôt dans le matin. Peut est-ce le fait qu'une des gardes chasses étaient mortes? C'était ce que disait les rumeurs en tout cas.
Rathalos releva son long museau et huma l'air, ses paupières blanches recouvrant sa pupille à la façon des reptiles de son espèce. Il siffla, effrayé, et alla se cacher dans le soutient gorge d'Eurydice – chose qu'il faisait rarement pourtant. Elle arqua un sourcil en entendant un ronronnement venant de l'extérieur, et des bruits de plus en plus près. Elle sortit des serres, doucement. Il faisait déjà si noir... La bise se leva. Une forme sombre se baladait dans les jardins. Qu'est-ce que ça pouvait bien être?
Alors qu'elle avançait, une main l'arrêta.
RÉCOMPENSE : UN FAMILIER RARE&UNIQUE! /!\
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Dim 7 Mar - 0:49 |
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| Il n'aimait pas vraiment qu'elle traîne dehors depuis que l'enfer avait pris ses aises sur terre. Il était d'autant plus attentif à ce qu'elle faisait - si on pouvait l'être encore d'avantage. Et pourtant, par tact (c'était si rare chez lui), il ne la collait pas de trop quand il la tenait à l'oeil. Il restait suffisamment en retrait pour qu'elle ne se sente pas tenue en laisse ou surveillée. Il ne la surveillait pas aurait-il dit. Il la veillait. Plus inquiet qu'autre chose. C'était vrai. Qu'est-ce qui pouvait bien roder dehors désormais. Roman avait reçu une lettre de sa mère, ce qui n'était plus arrivé depuis la première année quand elle se faisait un sang d'encre parce qu'il avait oublié son écharpe tricotée avec ses initiales dessus. Sa mère n'écrivait pas en général c'était son père. Mais visiblement Erène Konstantine avait écrit pour son mari. Roman le savait les chasses devenaient mortellement dangereuses quand il s'agissait de chasser autre chose que des créatures magiques.
Avec Ella disparue dans la nature et son père qui ne renonçait pas au métier, Roman était plus tendu qu'à l'habitude. Il sentait que les choses et les êtres auxquels il tenait le plus dansait sur le fil du rasoir et ça ne lui plaisait pas. Alors il ne tenait pas plus que ça à ce que Eurydice se mette en danger. Mais c'était sa nature d'être une petite furie libre comme l'air, un feu follet presque vu de la fenêtre de Gryffondor comme elle traversait pour rallier les serres. Il faisait presque jour ce jour là alors c'était moins terrifiant de la laisser faire. Mais quand même. Il n'était pas tranquille il ne savait pas bien pourquoi...
***
Roman - Non, reste là. Ne fais surtout pas de bruit.', chuchota-t-il à l'oreille d'Eurydice.
Il avait surgi de nulle part, dans son dos. Silencieux comme n'importe quel chasseur. Il était loin le Roman un peu pataud et maladroit. Celui là avait posé sa main sur la bouche d'Eurydice pour prévenir un éventuel cri. Embrassant ses cheveux de feu, il retira doucement la main lui caressant la joue avant de la retenir à la taille tout contre lui.
Roman - surtout pas de bruit.', répéta-t-il encore plus bas.
Il analysait la situation. La gardant tout contre lui. Il avait repéré quelques touffes de poil, des traces de pattes large de bien 18 pouces. Et les traces de griffes profondes. La créature était longue. Un félin anormalement volumineux. Il avait aussi trouver d'autres indices dans le parc, autour de la serre. Cette chose savait qu'il y avait une Eurydice à croquer (dans tous les sens du terme), juste là. Et elle ne faisait que délimiter un terrain de chasse. Mais il veillerait. Un instant il avisa les deux petits dragons et surtout le fléreur. Une odeur de chat, ou on s'y méprendrait presque. C'était typiquement dans ce genre de moment que Roman préférait les dragons pour leur sang froid et leur corps cuirassés. Beaucoup moins repérable. | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Dim 7 Mar - 3:36 |
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| « T’es qu’une chicken, Candice… » « Non ! Je suis capable de le faire. Je n’ai pas peur de ça. Je n’ai jamais eu peur de la nudité. Je n’ai pas peur de me montrer, sauf que j’ai peur le soir. Vous savez très bien que ce n’est pas une bonne idée avec ce qui traîne dehors… » « Chicken, chicken chicken, chicken, chicken, chicken » Les deux garçons qui lui donnaient ce défi idiot marchait, comme des poules pour lui montrer qu’elle était qu’une poule ayant peur de tout. « Bon, ce soir, regardez par l’une des fenêtres de la tour d’astronomie… Je vais être à poil dehors pour vous servir et vous prouvez que je ne suis pas une C-H-I-C-K-E-N ! Allez monter pour voir ! Allez, je vais le faire ! » Candice commença à se déshabiller devant eux, lorsqu’elle eut finit de les regarder avec des yeux écarquillés, rare fois qu’elle se montrait aussi courageuse pour un rien. Elle était qu’une tête de mule en fait. Elle ne voulait pas passer pour une vraie peureuse, même si elle avait fait toute une scène en cour-retenu avec Lilith dans la forêt. Candice se déshabillait lentement ayant le cœur qui battait rapidement dans sa poitrine. Elle avait terriblement peur de tomber sur elle ne savait quoi. Elle savait que Poudlard avait pris des mesures pour l’histoire qui s’était passé lors d’une nuit où elle était pour une centième fois en retenu. Sérieusement, avait-elle un jour où elle n’était pas punie pour sa façon d’être ? On devait lui pardonner l’innocence qu’elle avait. Candice commença par détacher son pantalon en soupirant et tremblant énormément pour la bêtise qu’elle allait faire. Elle déposa son vêtement sur le sol dans un coin. La Poufsouffle enleva son chandail, sa brossière et finalement ses petites culottes. Pourtant, elle regrettait n’avoir rien pour cacher son intimité. C’était un peu gênant et dehors, il faisait terriblement froid. Elle eut la brillante idée de faire apparaître un long manteau noir avec des petites poches où elle mit ses sous-vêtements au cas où. La jeune femme poussa les grandes portes du hall et le referma. Dans son manteau se trouvait aussi sa baguette. Elle ne la quittait presque, jamais… même si elle était une très mauvaise sorcière. Il ne fallait jamais oublier ce détail. Candice ne savait pas bien se débrouiller au niveau de la magie. Candice sortit en courant du hall d’entrée en tenant le long manteau dans ses mains. Elle se mit à courir rapidement dans le parc. Elle avait l’impression que les garçons riaient d’elle. Mais bon, elle continuait son chemin en ayant terriblement peur de se faire prendre par elle ne savait quoi. Elle continua à courir pendant un moment, puis tout d’un coup, elle s’arrêta. Elle avait vu quelques choses bouger près de la serre. La préfète s’arrêta d’un coup sec. Elle déglutit avec difficulté. Elle eut le réflexe de se couvrir du long manteau qu’elle referma immédiatement. Elle regardait cette chose ne sachant la distinguer. Elle ne savait pas quoi faire. La peur la figeait à présent. Elle semblait ne plus respirer, comme si elle allait mourir de peur devant, elle ne savait pas quoi. La peur était extrêmement présente. Elle ne savait pas quoi faire dans cette situation qui lui faisait peur. Elle était terrifiée. Elle tremblait comme une petite feuille. Elle ne savait pas quoi faire… La pauvre Candice pensait mourir… | |
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Sean Abel BlakeSORCIER.
► MESSAGES : 111 Dim 7 Mar - 20:50 |
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| Elle avait sursauté en sentant cette main sur sa bouche et elle aurait pu la mordre, très violemment, si seulement cette voix à son oreille ne la tranquillisa pas aussitôt. Si ses cheveux étaient passés du rouge sang au noir corbeau, il était redevenu peu à peu orange, et rougir jusqu'à redevenir rouge feu. Elle ferma les yeux, à se sentir si petite entre les bras de Roman, et leva ses mains, les posant sur cette main. Il embrassa ses cheveux quand elle embrassa l'intérieur de sa main, heureuse d'être protégée, même si ça aurait énervé n'importe qui à sa place. « Non, reste là. Ne fais surtout pas de bruit. »Le fléreur, lui, avait bien compris. Déjà il sifflait et hérissait, se cachant derrière les jambes d'Eurydice, les oreilles bien droites. Il sifflait, le petit fléreur, car il avait peur et qu'il était trop jeune pour comprendre la situation. Ce n'était encore qu'un chaton pour l'oeil humain. À côté d'eux, Précieux fixait, avec ses yeux de dragon qui ont vu peu de chose, enfermé dans une bibliothèque. Rathalos, lui, sentait bien le danger, et elle le sentait trembler. Eurydice se détacha doucement de Roman, et elle enfonça sa main sous son t-shirt, en extirpant le petit dragonnet rougeâtre. Elle se pencha, très lentement, et posa sur le sol le dragonnet, sur le fléreur, et Précieux voleta jusqu'à eux. Elle attrapa le fléreur et le posa plus loin, prêt des escaliers. Elle releva la tête. « ...surtout pas de bruit. »« Moi non, mais elle... »Eurydice montrait du bout doigt Candice, qui se trouvait à quelques mètres, immobilisé, du félin. * * * L'immense créature avait quatre pattes, une mâchoire immense, des canines trop longues. Ses yeux verts luisent. Quelque chose bouge, puis s'arrête. Les longues griffes sortent et raclent le sol, alors que le long corps tourne sur lui même alors qu'il s'arrête. Il retrousse les babines, et dévoile une dentition parfaite. Il semble étrange, ce félin. Il semble comme... torturé. Car il tourne toujours en rond, sans comprendre. Et finalement, il s'arrête. Son regard se riva sur la créature chétive au milieu du parc. Ça sentait la chair fraîche. Ça sentait extrêmement bon. Le pelage se l'animal se hérissa violemment. Il s'aplatit sur ses pattes avant, dans un ronronnement sur. Il était prêt. * * * Alors que Roman tournait la tête, Eurydice sortit sa baguette et se dégagea entièrement de lui. Elle couru. Elle avait déjà eut à faire avec un dragon. Elle n'avait pas peur. Vraiment pas peur. C'était une créature, et elle ne supporterait pas qu'on la tuât. Pas devant ses yeux. Elle couru plus vite encore, alors que Candy tremblait au milieu du parc. Le félin était prêt. Elle siffla. Le félin se redressa aussitôt, les oreilles bien droites. Eurydice courrait encore, en rond autour de la bête. Le félin bondit sur le côté, grognant. Eurydice siffla. « MAXIMA LUMOS! »La lumière était éblouissante. Le félin feula, les oreilles bien en arrière, et envoya un coup de patte, mais elle était encore loin. La panthère était grande, sifflant, le pelage bien hérissé. Un magnifique pelage noir, marbré de marron. Des yeux verts. Une créature qui défiait les tailles. Un boeuf, à côté, aurait presque été plus petit. L'attention du félin était sur Eurydice, et la rousse avait maintenant les cheveux noirs de jais. Elle le regardait, comme une guerrière l'aurait fait. Elle semblait vouloir l'apaiser. Les mains en avant, elle ne faisait aucun geste brusque. « Candice, recule doucement vers le château, ne cours pas. Ce n'est pas méchant. C'est juste joueur. »Le félin s'avança sur le côté, et elle se décala sur le côté. Il siffla, et le félin répondit dans un lourd feulement. | |
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Dim 7 Mar - 22:00 |
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| Elle embrassait sa main juste avant qu'il ne la retire, il sourit mais son regard perçant dardait toujours vers l'extérieur. Il lui sembla distinguer une fille nue. Qu'est-ce que...
Eurydice - « Moi non, mais elle... »
Pas de doute ils étaient trois à l'avoir vue, et il aurait mieux valu pour Candice, que Roman venait de reconnaître, que l'étrange félin qui rôdait là dehors ne l'ai pas remarquée. Mais ça... Eurydice s'échappait d'entre ses bras. Il aurait du le parier. Non!! C'était trop imprudent de sa part. Il ne fallait pas. Il fallait d'abord réfléchir. Il n'aurait jamais laissé Candice se faire mettre en pièce mais là Eurydice lui compliquait tout en lui demandant de choisir sans le vouloir. Bien sûr que si vraiment il devait choisir c'était tout vu. Mais il réfléchissait efficacement. Calculant où il faudrait être pour canaliser le danger. Il n'avait pas peur. Il réfléchissait trop vite pour ça. Le félin ne semblait pas encore en position d'attaque jusqu'à ce que Candice se fasse remarquer.
Il partit en sprint à la suite d'Eurydice et l'aurait aisément dépassée si elle n'avait pas eu ces quelques secondes d'avance. Elle courrait autour de l'immense félin. Roman en était fou. Pas comme ça! Jamais comme ça. Il fallait attirer son attention, lui faire oublier Candice mais pas au risque de ce faire tuer soi. La créature l'aurait tué d'un seul coup de patte.
Eurydice - « MAXIMA LUMOS! »
Le sortilège aveugla Roman un instant. Tout ça était trop désordonné. Il comprenait pourquoi son père lui avait toujours dit que chasser était un métier solitaire. Pas qu'Eurydice s'y prenait mal. Ca jamais. Mais lui et elle n'avaient pas tout à fait les mêmes méthodes. Elle pensait: rassurer. Il pensait: sécuriser. Avant toute chose. Profitant de l'hébétude de la bête Roman lança un puissant sortilège de ligature du moins le plus puissant qu'il connaissait. Vue l'envergure de ce gros chat, il faudra largement ça. Les pattes et la gueule ligotés, le félin tomba lourdement sur le côté, sans pour autant se faire mal tandis qu'Eurydice avait le dos tourné:
Eurydice - « Candice, recule doucement vers le château, ne cours pas. Ce n'est pas méchant. C'est juste joueur. »
Comme il l'avait souvent vu faire en Hongrie, sur les chevaux rendus à moitié fous la nuit de la saint-george, Roman enfourcha l'animal, non pas afin de le dominer. Bien au contraire il s'allongea sur la bête grondante malgré les risque que cela présenter. L'animal faisait facilement dix fois son poids sinon plus et son souffle rauque soulevait le gryffondor. Mais Roman finit par s'allonger de tout son long sur la créature, sa fourrure été douce et il dégageait une chaleur intenable. Il cherchait à le calmer. Les traits de son visage étaient dur, car ce n'était pas le moment de rigoler, mais ses mains étaient douces sur la tête énorme du félin qui grogna d'abord avant de se calmer, progressivement tout progressivement. Roman finit par murmurer:
Roman - Là, là szelíd mint egy bárányn, szelíd... là... tout doux... tout doux...
La langue magyare avait cette avantage sur l'anglais qu'elle était d'une douceur de miel. Et même s'il avait crié, si'l s'était mis en colère. Il aurait eu l'air tellement doux avec cette créature. Mais ce n'était pas pour autant gagné. Il le savait. Il restait attentif, prêt à bondir quand son sortilège lâcherait mais il continuait de murmurait dans sa langue maternelle, tout doucement, tout doucement, pour apaiser la bête. Juste laisser le temps à celles qui le voudrait d'aller s'abriter dans la serre. | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Lun 8 Mar - 2:50 |
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| Candice faisait la statut. Elle était incapable de partir en courant ou tout simplement sortir sa baguette pour faire quoique ce soit. La peur était présente, même trop. Elle était tellement paralysée qu’elle n’arrivait strictement à rien. Pourquoi était-elle dehors quand elle aurait tout simplement pu être dans son lit ? Pourquoi avait-elle agit comme une idiote en ne voulant se montrer autrement de ce qu’elle était normalement ? Oui, elle était très peureuse. Elle était tellement peureuse qu’elle était incapable de mettre un pied dans la forêt sans avoir terriblement peur. En plus, c’était très mauvais pour le bébé qui était dans son ventre. Oui, le petit dans son ventre n’était pas bien vieux, mais le test avait vu qu’elle était enceinte. Candice avait peur de se faire manger. Pourquoi devait-elle toujours désobéir aux règlements qu’elle était supposée de suivre à la lettre ? Pourquoi devait-elle toujours se mettre en danger ? De ces temps-ci, elle devait faire attention à ce qu’elle faisait, comme si depuis qu’Elladora était partie, elle devait faire que des conneries, s’attendant à ce qu’elle revienne. Elle n’agissait pas comme elle devait. Candice ne jouait pas la bonne préfète, mais aujourd’hui, elle regrettait amèrement. Elle était devant un énorme félin qui la regardait. Elle avait mis son long manteau en fixant le gros félin, mais maintenant elle ne bougeait plus. Elle avait peur. Terriblement peur. Elle ne bougeait que ses yeux. Elle aperçu Eurydice qui couru autant du félin comme pour le déranger.
« Candice, recule doucement vers le château, ne cours pas. Ce n'est pas méchant. C'est juste joueur. » « Mais j’ai peur. Je suis incapable de bouger. Mon corps ne répond pas à ma demande. J’ai peuuuuuuuuuur » Candice fixait Eurydice puis vint Roman, le frère de Elladora. « C’est quoi cette chose ? J’ai peuuuuuuur, mais ça a l’air beau, mais j’ai peuuuuur» Elle tenta de reculer d’un pas. Elle réussit. « Roman, Eurydice…. Je ne veux pas retourner seule dans le château. J’ai peur. » elle ne cessait de répéter. Elle mit sa main sur son ventre. « Je vais mourir de peur, car j’ai peur. Aidez moi avant que je crève sur le champ, j’ai peur. Ça fait peur. Je déteste les bestioles qui me montrent ses dents, parce que j’ai peur.» Est-ce que vous saviez à quel point, elle avait peur ? Tout le monde savait qu’elle avait peur. Elle l’avait répété assez de fois pour que tout le monde ici, présent, comprend à quel point, elle avait peur ? La poufsouffle fit un deuxième pas vers l’arrière. « Eury, où je peux aller pour ne pas rentrer toute seule dans le château ? Il y en a peut-être un autre… Je veux pas rentrer seule, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur » Était-elle normale ? Non. Aurait-elle du faire la morte au sol ? Non. Aurait-elle du rester dans sa salle commune ? Oui. Elle n’aurait pas fait autant de peur à son pauvre ventre qui avait une petite chose bien fragile. Très fragile. C’était dans ses moments qu’elle aurait aimé avoir Elladora près d’elle pour faire la nounou. Elle aurait aimé avoir quelqu’un qui lui aurait fait prendre conscience de son mauvais comportement … elle aurait aimé… | |
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Sean Abel BlakeSORCIER.
► MESSAGES : 111 Lun 8 Mar - 22:19 |
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« Candice, recule doucement vers le château, ne cours pas. Ce n'est pas méchant. C'est juste joueur. » « Mais j’ai peur. Je suis incapable de bouger. Mon corps ne répond pas à ma demande. J’ai peuuuuuuuuuur » « Candy'! Ne fais pas l'enfant! »
Eurydice était claire et nette. Elle qui était gryffondor, et avait le courage d'un lion, même en face d'une panthère de cette taille. Elle n'avait pas peur. Vraiment pas peur. Elle jeta un regard à Roman qui montait doucement sur la créature, et se tranquillisa, bien qu'elle avait encore peur que la créature ne se relève et l'attaque. Ça, elle ne l'aurait pas supporté. Elle s'y était habituée pourtant. Elle mentait à Roman, mais au même moment, elle ne pouvait pas l'obliger à cesser lui aussi tout ce qu'il désirait et aimait. Il était chasseur. Elle le voyait. Et s'il était blessé, c'était normal. C'était son métier. Alors elle devait se taire. Elle reporte son attention sur Candice et fronça les sourcils, en voyant que la Poufssoufle n'était toujours pas rentrée au Château.
« Eury, où je peux aller pour ne pas rentrer toute seule dans le château ? Il y en a peut-être un autre… Je veux pas rentrer seule, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur, j’ai peuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur » « Arrêtes, de... »
La panthère, derrière, rugit et cassa les lianes. C'était un vrai rodéo. Le félin se tordit et se secoua violemment, et Roman fut éjecté du dos puissant de la créature. L'animal reculait dans l'obscurité et grognait de plus en plus fort. Eurydice sentit le danger, et surtout, l'urgence de la situation. Elle se retourna vers Candice et cette fois-ci, elle n'avait absolument pas l'air conciliante ou douce. Eurydice hurlait, comme on hurle quand il y a danger de mort, et pire encore.
« CANDICE JONHSON! PRÉFÈTE DE POUFSSOUFLE! DANS TON DORTOIR, MAINTENANT! »
Avec cette voix autoritaire, l'animal reposa une nouvelle fois son attention sur la rousse devenue brune. Les cheveux noirs, Eurydice se retourna. La panthère s'élança vers elle et se cambra, les pattes en l'air, griffes toute sorties. Eurydice recula de quelques pas, évitant les pattes puissantes. L'animal retomba lourdement sur le sol, en sifflant, feulant. Elle était agitée. Extrêmement agitée. Eurydice était en face, le dos voûté et les mains en avant, signifiant par là qu'elle n'était pas armée. Aucun geste de brusque. Elle regardait la bête, de haut en bas, chacun de ses gestes.
« Calme... calme... ssch... »
La bête feulait, poussait des gémissements de douleur, mais en tournant autour d'elle, très doucement, la regardant. Elle avisa sur le côté Roman, alors que la panthère tournait en rond, et regardait autour d'elle, humant l'air. Elle cherchait quelque chose. Elle cherchait quelque chose. Elle.
« Roman … c'est une … femelle. »
Eurydice s'était arrêtée, et la panthère la regardait, les oreilles bougeant doucement sur le haut de son crâne. Il y avait quelque chose qui clochait. Une telle créature ne se rapprochait pas des maisons en temps normal.
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Mar 9 Mar - 11:53 |
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| C'était de notoriété publique. Elladora n'avait jamais aimé les amis de son frère (sauf peut-être pour Eurydice mais c'était sans doute parce que c'était une fille et qu'elle n'était pas trop crétine). De son côté Roman se liait rarement d'amitié avec les amis de sa soeur. Non pas qu'il ne les aimait pas ou qu'il avait des apriori, mais c'était comme ça, et puis Ella n'aurait pas aimé, elle n'était pas préteuse. Pour le coup cependant, Roman se dit qu'il allait tuer Candice. Il se demandait vraiment comment elle avait fait pour être nommée préfète. Ce n'était pas méchant de sa part bien sûr, mais là elle se mettait trop bêtement en danger et :
Roman - A crier comme ça tout ce que tu risques c'est de te faire bouffer!!! Eurydice - « CANDICE JONHSON! PRÉFÈTE DE POUFSSOUFLE! DANS TON DORTOIR, MAINTENANT! »
Juste au moment où les liens de Roman se rompait et qu'il se voyait rudement éjecté. Ca n'avait rien d'étonnant avec toute cette agitation autour d'elle comment vouliez vous que l'énorme félin se calme. Roman se ramassa comme il put, arrêtant son roulé-boulé dans l'herbe un peu sur un coup de chance. Il se releva derechef, secouant la tête à signe de désapprobation. Il avait le coeur qui battait lentement, comme tout chasseur qui se concentre, réfléchi à toute allure pour éviter le pire. Il ne devait cédait ni à la panique ni à l'instinct qui aurait voulu qu'il crie quelque chose en voyant la créature donnait des coups de pattes vers Eurydice. Il savait très bien qu'elle ne risquait pas rien. Loin de là. Mais il savait aussi qu'un cri, un geste brusque et c'était l'anéantissement de toutes chances de la voir s'en sortir indemne. Il avait déjà eu suffisamment de frayeur avec le premier cours de SACM cette année. Inutile de réitérer. Gardant un oeil sur sa Eurydice, si précieuse à ses yeux, il contourna la bête, baguette en main pour aller se placer près de Candice.
Roman - Exploratores
Quatre boules lumineuses, de la taille d'un poing à peu près sortirent de la baguette de Roman pour aller virevolter autour de la préfète aux cheveux roses...
Roman - Bon calme toi. Il y a une porte derrière la grande salle, c'est plus proche d'ici que la grande porte du hall, les lumières te guideront et comme ça je pourrais toujours t'avoir à porter de regard en cas de problème. Il ne t'arrivera rien si tu cours très vite... à mon signal...', chuchota-t-il à l'oreille de Candice.
S'il chuchotait ce n'était pas qu'il avait quelque chose à cacher c'était surtout qu'il essayait de faire en sorte d'avoir un minimum de silence pour ne pas énerver la bête qui était toujours devant Eurydice. Il voulait que ça se fasse vite. On ne peut jamais sauver tout le monde Roman. Il faut faire des choix. C'était ce que son père lui répétait sans cesse. Mais lui ne voulait pas avoir à faire de choix. Il avait un trop grand coeur pour ça.
Eurydice - « Calme... calme... ssch... » Roman - Maintenant. Ne commence à courir que dans quelques mètres, j'ai pas envie que quelqu'un soit blessé. Allez, file n'est pas peur, tout va bien se passer.
Tandis que Candice s'exécutait probablement, Roman approchait à pas de loup, baguette rangée, lui aussi les mains bien en évidence jusqu'à se retrouver épaule contre épaule avec Eurydice. La bête semblait agitée mais plus si nerveuse qu'à l'instant. Elle cherchait quelque chose c'était évident. Elle ne serait jamais venue jusque là sans quoi.
Eurydice - « Roman … c'est une … femelle. » Roman - Ses petits... regarde, son ventre est lâche sous sa fourrure et les poils plus hirsutes, comme s'ils étaient un peu collés. Je ne vois que ça à moins qu'elle ai déjà eu plusieurs gestations.
Il avait très tôt appris à observer ce genre de chose. Il savait aussi que en présence de ses petits elle les aurait peut-être déjà dévorer, en leur absence, c'était l'inquiétude qui stimulait le maximum de son attention, elle ne se préoccuperait pas vraiment d"eux à moins d'y être contrainte. Il fit signe à Eurydice, se rapprochant de la magnifique panthère - ça en avait l'air bien qu'en taille elle excédé très largement ce que l'on aurait pu attendre d'une panthère commune. La bête soufflait de longs râles ronronnant et rauques. Un genre d'appel qui lui faisait tendre la gorge mais elle ne semblait pas calculer les adolescents près d'elle. Pourtant bien conscience de la force qu'elle avait Roman s'essaya à tendre la main pour qu'elle la sente - une façon de reconnaître les choses en quelque sorte - avant de la poser doucement sur son encolure. Un petit sourire de gamin émerveillé passa sur le visage de Roman et ses yeux brillaient comme l'aventure lui paraissait véritablement extraordinaire. Il savait déjà que si Eurydice l'imiter il prendrait sa main et alors rien ne pourrait être plus génialement parfait. Mais il restait vigilent. Savait-on jamais ce qui pouvait surgir dans le noir et interrompre ce moment... La bête gronda, il retira sa main doucement, reculant de quelques pas. Mieux valait ne pas tenter le diable non plus. | |
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Gaëlle LlelwellynETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 286 Sam 13 Mar - 23:46 |
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| Où est-ce qu'elle l'avait mise ? Elle était certaine de l'avoir prise avec elle, alors où l'avait-elle rangée ? La petite rouquine contemplait le champs de ruine qu'était devenue son dortoir pensivement. Son armoire béait, grande ouverte et le contenu de son coffre s'étalait un peu partout dans la pièce. Tout autour ils étaient là, des parchemins, ses plumes et ses encres qui trainaient parmi les chaussettes, plusieurs pulls et chemise en bataille, artistiquement suspendues aux montants du baldaquin, des livres trônaient au milieu des fioles et des sous-vêtements, sa baguette était posée par-dessus la cage de Fifre qui la guettait avec curiosité, intrigué par ce soudain comportement tapageur. Elle voyait même son balais et son équipement de quiditch qui dépassait à moitié de sous le lit. Mais elle ne voyait pas sa batte. C'est qu'elle y tenait à celle-ci, c'était celle de Loann avant qu'elle ne prenne sa place quand il avait finit sa scolarité. Elle grogna de dépit en se rappelant qu'elle avait du l'oublier aux vestiaires en partant de l'entrainement. Fichue tête en l'air. Il commençait à se faire tard, mais elle avait peut être encore le temps avant que cette histoire de couvre-feu ne la mette en infraction du règlement. Ouais c'est ça... Elle passa rapidement ses grosses chaussures avant d'attraper sa baguette au passage et sortit en vitesse de son dortoir, déboulant dans la salle commune sans s'arrêter pour sortir dans les sombres couloirs du sous-sol.
Personne à droite, personne à gauche. La petite or et noir se faufila dans le hall sur la pointe des pieds en direction de la sortie. Hors de question pour elle de se faire pincer par qui que ce soit en train de se faufiler dehors après l'heure du couvre-feu. Et surtout pas par cet horrible et effrayant concierge. Ce type lui flanquait littéralement la chair de poule quoi ! Il avait un drôle de manière de la regarder, comme s'il n'attendait que de la voir commettre le plus petit truc insignifiant qui lui donnerait la possibilité de lui faire passer un sale moment. C'était carrément flippant. Elle ne savait vraiment pas pourquoi, mais elle sentait qu'il l'avait inexplicablement prise en grippe. Vraiment, des fois elle se demandait si Tao n'était pas contagieuse. Le chemin le plus rapide pour allez jusqu'au terrain et con au vestiaire, longeait le bâtiment. Un nouveau coup d'œil en arrière pour s'assurer qu'il n'y avait personne, et elle se faufila dehors pour courir tout droit aux vestiaires.
Héhéhé, elle savait bien qu'elle l'avait laissée ici finalement. Bon par contre, hors de question maintenant pour elle de se refaufiler devant le bureau du concierge maintenant que l'heure était passée. Peut être pouvait-elle se glisser sans se faire voir jusque dans la Grande salle ? C'est pas comme si elle avait encore le choix de toute manière... Ressortant des vestiaires, elle traversa le terrain nonchalamment, sa batte coincer sous bras et se dirigea vers les nouvelles serres en chantonnant dans sa tête un petit air de son île natale, insouciante, quand des grondements la firent s'arrêter tout net.
Eurydice - CANDICE JONHSON! PRÉFÈTE DE POUFSSOUFLE! DANS TON DORTOIR, MAINTENANT!
Cette voix... elle connaissait cette voix, elle accéléra un peu, pas tellement rassurée en essayant de capter le reste des paroles, mais elle se tenait encore trop loin pour tout entendre, ne captant que quelques mots épars et les grondements et les feulements de ce qui lui semblait être un gros, très gros chat. Machinalement elle sortit sa baguette et accéléra un peu plus pour déboucher sur une drôle de scène. Candice Johnson se tenait toute droite et toute tremblante en retrait, visiblement paralysée par une peur que Gaëlle pouvait presque sentir de là où elle se tenait. Un peu plus loin elle aperçut les silhouettes d'Euydice Sinfull et de Roman Konstantine, face à ce qu'elle avait pris pour un très gros chat. En fait de très gros chat, il aurait été plus exact de dire que ce chat là atteignait presque la taille d'une vache de bonne taille. Gaëlle tiqua légèrement, en laissant choir sa batte au sol, mince comment une chose pareil pouvait exister ? Confusément, elle avait le sentiment que ce gros chat là, n'était pas dans son état normal, comme s'il semblait s'inquiéter de quelque chose d'autre que de lui même, ou des adolescents autour de lui. Elle réagit spontanément, et peut être stupidement aussi, braquant sa baguette droit sur le chat avec l'intention de l'apaiser, lui lançant un Allegro Maxima, avant de se rapprocher timidement et surtout prudemment des deux Gryffondor. C'était risible, mais elle avait pensée que réconforter le gros chat noir était plus important que de l'attacher comme l'un des deux semblait l'avoir fait. Ça ne lui semblait pas juste. | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Dim 14 Mar - 17:53 |
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| « A crier comme ça tout ce que tu risques c'est de te faire bouffer!!! » « CANDICE JONHSON! PRÉFÈTE DE POUFSSOUFLE! DANS TON DORTOIR, MAINTENANT! » « Non ! J’ai dit NON ! J’ai peur de partir seule… » dit-elle assez fort pour qu’ils l’entendent, mais elle ne criait pas. Elle avait terriblement peur de cette chose qui se présentait devant elle. Pourtant, elle fixait le félin avec des yeux des plus étonnés. Si le félin aurait été beaucoup plus petit, Candice l’aurait câliné, mais ce dernier n’était pas dès plus petit, c’était plutôt une énorme bête. Candice regardait ce gros félin en restant sur place. Elle regardait en spectatrice ce qui se passait tout près d’elle. C’était un peu de sa faute, en fait, c’était totalement de sa faute s’ils devaient « contrôler » et calmer la bête qui s’énervait lorsqu’elle criait ou s’activait un peu trop. Candice se promettait pour de bon de respecter les prochaines fois les règlements de l’école. Elle avait terriblement peur de la suite des choses, non seulement pour elle, mais aussi pour Roman et Eurydice. Elle ne pouvait concevoir mettre la vie en danger de d’autres personnes, même pire mettre la vie de Roman en danger qui était le frère de sa meilleure amie. Allait-elle lui pardonner si quelques choses arrivaient à Roman qui était un peu de sa faute ? Elle n’en savait rien, en fait. Elle ne savait pas comment réagirait Elladora en fait. Elle ne pouvait imaginer qu’elle fasse du mal autour d’elle à cause d’elle pour ses conneries. Candice arrêta de crier voyant que la bête s’énervait à chaque fois qu’elle haussait un peu trop le ton. Elle avait eu la brillante idée de se taire et de regarder serrant fortement sa baguette dans ses poches. Elle ne devait plus dire un mot pour ne pas mettre en danger les deux gryffondors.
«Bon calme toi. Il y a une porte derrière la grande salle, c'est plus proche d'ici que la grande porte du hall, les lumières te guideront et comme ça je pourrais toujours t'avoir à porter de regard en cas de problème. Il ne t'arrivera rien si tu cours très vite... à mon signal... » « Non, je reste. Je reste. » dit-elle tout doucement et calmement. Elle voulait les aider en restant calme. Elle se demandait comment elle ferait pour courir rapidement. De plus, elle ne voulait pas que la bête commencerait à lui courir après à cause qu’elle a commencé à courir. «Calme... calme... ssch... » « Maintenant. Ne commence à courir que dans quelques mètres, j'ai pas envie que quelqu'un soit blessé. Allez, file n'est pas peur, tout va bien se passer. » « Non, je ne crois que c’est une bonne idée de partir en courant. J’ai peur en même temps d’activer le félin… En l’énervant parce que je courre. » dit-elle toujours aussi doucement. Elle ne devait pas paniquer. Elle devait respirer par le nez, comme lorsqu’elle avait découvert qu’elle portait une chose dans son ventre. Elle devait être aussi calme que lorsqu’elle avait été annoncée à Lilith la nouvelle sachant qu’elle serait dans la merde jusqu’au cou. « Roman … c'est une … femelle. » « Ses petits... regarde, son ventre est lâche sous sa fourrure et les poils plus hirsutes, comme s'ils étaient un peu collés. Je ne vois que ça à moins qu'elle ai déjà eu plusieurs gestations. » Candice vint pour ouvrir la bouche lorsque Gaelle passa tout près d’elle. La poufsouffle décida enfin de bouger un peu. Elle s’approcha prudemment derrière Gaelle de l’énorme félin. « Elle cherche peut-être ses petits ou elle tente de trouver un endroit pour accoucher ? » Elle venait de dire peut-être le truc le plus intelligent de la journée ou même du moment. Elle venait de formuler une phrase qui avait du bon sens et qui ne disait aucunement des j’ai peur. « Qu’est-ce qui semble le plus plausible ? » elle restait auprès de Gaelle. Elle gardait un œil sur le félin, mais elle regardait du coin de l’œil Eurydice et Roman. Elle restait calme pour aider, mais il ne lui en faudrait pas beaucoup pour sursauter. La Jeune femme avait sorti sa main de son long manteau noir. On pouvait voir qu’elle serrait sa baguette… | |
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Sean Abel BlakeSORCIER.
► MESSAGES : 111 Dim 21 Mar - 10:22 |
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« Calme... calme... ssch... » « Maintenant. Ne commence à courir que dans quelques mètres, j'ai pas envie que quelqu'un soit blessé. Allez, file n'est pas peur, tout va bien se passer. » « Non, je ne crois que c’est une bonne idée de partir en courant. J’ai peur en même temps d’activer le félin… En l’énervant parce que je courre. »
Eurydice roula des yeux. Alors ça, c'est la meilleure. Qu'est-ce qu'elle en savait, cette bêtasse aux cheveux roses? Les cheveux étaient déjà une bonne raison au félin pour lui arracher sa jolie petite frimousse. Qui n'était d'ailleurs même pas joli. Exaspérée. Tout cela était d'un ridicule parfait... une situation comique? Qui pourrait tout aussi bien tourner mal. L'animal aurait eut raison d'abattre cette stupide poufssoufle, mais à l'instant, il s'inquiétait de bien d'autres choses. Et ces autres choses, Eurydice et Roman l'avaient bien compris.
« Roman … c'est une … femelle. » « Ses petits... regarde, son ventre est lâche sous sa fourrure et les poils plus hirsutes, comme s'ils étaient un peu collés. Je ne vois que ça à moins qu'elle ai déjà eu plusieurs gestations. »
Eurydice jeta un regard au dessus de son épaule et s'exaspéra un peu plus de voir, qu'en plus, il y avait une muette dans l'équipe. Comment pouvait-on faire preuve d'autant d'imbécilité en si peu de temps? Ça, ça avait le don d'énerver la rouge et or, et même si elle affectionnait Gaëlle, elle devait – a ce moment précis – se retenir de ne pas frapper les deux filles qui se rapprochaient. Comme si ça allait aider en quoi que ce soit. Eurydice regarda finalement le félin qui s'était jusqu'alors tranquilliser, bien que de longs feulements remontaient sa gorge, appelant.
« Elle cherche peut-être ses petits ou elle tente de trouver un endroit pour accoucher ? » Eurydice la regardait. C'était de la déduction pure. On ne parlait pas pour dire ça. C'était ridicule. « Qu’est-ce qui semble le plus plausible ? » « Elle est beaucoup trop nerveuse. Elle devait avoir une portée, mais où sont-ils à ce moment... Elle doit les sentir de Poudlard. Ils sont à Poudlard. »
Eurydice ne voyait que ça. La bête captura, un instant, du regard Eurydice. La brune (car elle avait décidé de changer de couleur : le rouge est source d'énervement chez les plus gros félins, car c'est la couleur du sang) se dirigea lentement vers elle, se mettant en parfaite symétrie de Roman, de l'autre côté du félin. Au moindre mouvement, il serait à nouveau stabiliser. La féline piétinait sur place, impatiente, et ses petits cris étaient de plus en plus plaintifs.
Sur le moment, on aurait dit qu'elle pleurait.
Puis sortit sur la pelouse, bien loin, cinq grands hommes en redingotes noires, l'air sévère et rigide. Eurydice sentit aussitôt le danger. Elle énerverait sans doute la bête. Soit. Mais si c'était le prix pour éviter à la bête les sorts les plus inhumains … Elle s'avança, lentement, en marchant, tremblant un peu aussi, les bras en croix. Elle secouait doucement les mains, pour qu'ils cessent d'avancer, mais ils avançaient encore plus, de plus en plus. Elle sentit dans sa poitrine un sanglot, un soubresaut. Pourquoi fallait il que l'homme soit si bête? Un premier sort fusa, qu'elle esquiva de peur qu'il soit mortel, et il toucha de plein fouet la bête qui recula de quelques mètres, et ressortit du nuage de poussière en poussant un grondement colérique. Là, il était énervé. Eurydice sursauta, et quand elle voulu aller vers la bête, on la tira en arrière. Deux autres hommes tirèrent Gaëlle et Candice, sans qu'elles ne puissent rien y faire. Eurydice se débattit, de toutes ses forces, alors que les deux derniers des hommes pointaient la créature et se mettaient d'un accord silencieux pour la mettre hors d'état de nuire. Deux sortilèges en forme de flèches sortirent des baguettes tueuses, et percèrent l'animal de part en part. Il ne saigna pas. Mais il tomba. Lourdement. Dans un halo de poussière, la bête s'endormit aussitôt. D'ici, on n'aurait pu savoir si elle était morte, ou juste endormie. La seule chose que Eurydice savait, c'est que même si elle était encore en vie, elle serait abattue. Un long cri déchira l'air. C'était celui qu'Eurydice poussait, se débattant de plus en plus des bras de l'homme, pour rejoindre la bête. Aucune possibilité.
Sur le gazon, plus loin, Rufus Scylence, Abaddon Van Hellsing et Lilith Grey avançaient, d'un pas commun, avec le même air froid et distant à la fois. Abaddon, seulement, ne semblait pas avoir de sentiment direct, mais ça se voyait : il n'était pas identique à d'habitude. Il avait un mauvais air. Des mauvais jours. Les deux hommes du ministère regardèrent la bête et se tournèrent vers le directeur et les deux autres. Abaddon resta sur le côté droit de Rufus, et observa la scène d'un regard critique. Une bête unique venait encore de mourir de la main de l'homme. C'était ce qui était le plus triste. Rufus adressa un regard furieux à l'envoyé du ministère qui s'affichait comme le leadeur du groupe.
« Nous avons réglé le travail, Monsieur Scylence. Une équipe viendrait vous défaire de la dépouille. » « Vous venez de traumatiser cinq de mes élèves, d'abattre une espèce de voie de disparition femelle, et qui plus ait, sans ma permission. Où vous croyez-vous? Au Ministère? » L'homme eut un petit sourire moqueur, mais Rufus ne cilla pas. « Cette histoire ne fait que commencer. Dans mon bureau. Tout de suite. » « J'ai... » « Dans mon bureau, j'ai dis. »
Rufus avait cet air des colères les plus noires et les plus silencieuses. L'homme regarda ses amis. Rufus avait un poids politique considérable. On disait même qu'il avait refusé la place de Ministre de la Magie pour rester à Poudlard, auprès des élèves. Rufus était quelqu'un. Eux n'étaient rien, et ne seraient plus jamais qu'une ombre sur le tableau de la BIM. Les cinq hommes partirent avec Rufus. Abaddon resta sur le terrain, regardant les cinq jeunes gens. Son esprit sautait d'esprit en esprit, récupérant ici et là la scène. Il cessa au bout de quelques secondes et hocha la tête pour lui même.
« Suivez moi. »
Il tourna les talents, et montra le château. Les adultes avaient pris de l'avance, mais le temps qu'ils s'installent et que la colère de Rufus n'explose véritablement, ils avaient bien le temps de monter les escaliers.
Eurydice, en pleurs, tout derrière le groupe, sanglotait de haine. Ses cheveux étaient noirs d'encre, et si elle savait que la créature n'avait rien d'une bête non dangereuse, elle se rappelait aussi que c'était une mère, qui avait des enfants, et qu'elle était morte pour bien peu de chose, car elle serait repartie, tôt ou tard, sans faire de mal. Elle était paniquée. Ce sort de flèche... elle regardait ses pieds, maudissant à tords et à travers tous les sorts de chasseurs, sans même penser un seul instant que Roman puisse être ainsi.
Elle les haïssait tous. Elle souffrait la mort.
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Dim 21 Mar - 18:07 |
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| Candice - « Non, je ne crois que c’est une bonne idée de partir en courant. J’ai peur en même temps d’activer le félin… En l’énervant parce que je courre. »
On rappelle toujours que les gryffondors sont des impulsifs, on oublie toujours de dire aussi qu'ils n'ont pas de patience. Enfin ce n'était pas vraiment le cas de tous, mais pour le coup, si Roman avait eu une batte de quidditch, il en aurait mit un bon coup sur la tête de Johnson. Il avait du mal à gérer trente-six changements d'avis à la fois et encore pire quand c'était à ce point contradictoire. Pendant une seconde il se demanda comment Ella pouvait la supporter...
Roman - Candice si je te dis de le faire c'est que c'est pas une connerie. Je sais encore ce que je dis aux dernières nouvelles.', souffla-t-il sans plus trop de patience.
Et voilà qu'une autre personne se pointer. Comme s'il n'y avait pas assez d'une Candice girouette, maintenant c'était Gaelle qui venait mettre un peu plus d'huile sur le feu. Roman aimait bien Gaelle de toute façon, mais il se serait bien passé du sortilège qu'elle lança à la bête qui ne fit que s'agiter un peu plus encore. Il aurait presque mit sa main au chaudron que la rouquine de poufsouffle avait jeté ce sort sans trop savoir ce qu'il adviendrait ensuite... le truc à ne jamais faire dans ce genre de situation en gros.
Candice - « Elle cherche peut-être ses petits ou elle tente de trouver un endroit pour accoucher ? » Roman - Non. Si elle était encore en gestation on l'aurait remarqué et d'ailleurs elle ne nous aurait jamais laissé approcher.
Il roula des yeux en soupirant. Pour lui c'était tellement évident que la remarque de Candice lui parut... stupide. Il n'y avait qu'à ouvrir les yeux pour voir que ce félin n'était pas sur le point d'accoucher. Son ventre aurait été rond et tendu sans quoi... Mais il n'eut pas vraiment le temps de faire part de ce qu'il pensait à la préfète de Poufsouffle. Quelque chose avait attiré son attention sur les pelouses. Eurydice aussi avait remarqué. Roman retira doucement sa main de sur l'encolure de la bête, laissant Eurydice aller en avant. Des chasseurs. Ou c'était tout comme. Il savait que sa Eurydice ne risquait rien. Ou plutôt qu'elle ne risquait qu'une chose: avoir le coeur brisé. Il le savait très bien, c'était pour ça qu'au lieu de la retenir, ou de la suivre pour la protéger il resta en arrière pour protéger le gros félin qu'ils avaient trouvé. La main posée sur sa baguette, il se tenait prêt, ignorant à quel genre de sort il aurait à faire de la part de représentants britanniques. Il fut prompt, un magnifique bouclier bleu se formait devant lui et la créature mais cela ne retint pas les projectiles qui franchirent tout de même l'obstacle magique. Roman resta un instant bluffé, puis il se retourna juste pour voir la créature tomber. Il se précipitait pour voir et déjà elle ne respirait plus. Son regard à Eurydice fut sans équivoque et sans doute eut-il ensuite des remords de n'avoir pas était plus diplomate. Il courut vers elle, refermant sa main sur le poignet de l'homme qui la retenait:
Roman - Lâchez les!', ordonna-t-il, impulsif.
La voix du directeur Scylence le fit sursauter. Il eut ensuite un regard pour Candice et Gaëlle, puis un regard plus tendre pour sa Eurydice, mais elle pleurait déjà et maudissait après tous les chasseurs du monde. Après lui aussi donc. Ca il savait déjà. Il savait qu'elle n'aimait pas les chasseur. Et pourtant il ne doutait pas qu'elle l'aimait lui mais comment faire, pour qu'elle accepte qu'il était chasseur lui aussi, et qu'elle voit que ça ne faisait pas de lui quelqu'un de haïssable pour autant?
Porfesseur Van Hellsing - « Suivez moi. »
Roman jeta un petit coup d'oeil en arrière à Eurydice. Elle pleurait toujours, haineuse. Alors lui, hésitant malgré tout, lui prit la main avec cette infinie douceur dont il était capable, serrant doucement ses doigts pour se rassurer l'un l'autre. Il savait que ce n'était pas contre lui mais quelque part il ne pouvait pas s'empêcher de se dire qu'un jour elle finirait par les lui dire à lui ses mots. Ca lui faisait peur. Un peu. Presque rien. Ils suivirent donc le professeur Van Hellsing, Roman ne disant rien, Eurydice maudissant. Le gryffondor était échauffé par l'intervention des deux ministériels qui avaient agi sans plus réfléchir. Bêtement. | |
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Gaëlle LlelwellynETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 286 Dim 28 Mar - 21:44 |
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| Gaëlle fut un peu dépitée de ne sentir aucune amélioration dans l'humeur du félin malgré son sort d'allégresse, il fallait vraiment que quelque chose de grave préoccupe l'espèce de panthère pour qu'elle ne réagisse pas au sortilège, ou alors avait-elle une sorte d'immunité naturelle à la magie ? Il y avait comme quelque chose qui clochait, un détail, un peu comme une odeur ou une impression indéterminable qui lui soufflait ça, c'était très perturbant, un peu comme si elle s'était soudain mise à parler. Elle ne se sentait pas à l'aise du tout, c'en était même effrayant.
Eurydice - Elle est beaucoup trop nerveuse. Elle devait avoir une portée, mais où sont-ils à ce moment... Elle doit les sentir de Poudlard. Ils sont à Poudlard.
La rouquine la regarda un instant, elle avait surement raison, il n'y avait pas trente-six mille raison pour un félin de se montrer à découvert comme ça en pleine journée, enfin journée... avec ce temps il était toujours si difficile d'estimer l'heure correctement. Mais même si Gaëlle était d'accord avec Eurydice, et elle cherchait surement sa portée, elle ne comprenait pas comment les petits avaient pu se retrouver si loin de leur mère. Elle allait se rapprocher quand quelque chose dans l'attitude des deux sang et or et du félin la figea sur place, la faisant se retourner vers les cinq adultes qui venaient de faire leur apparition. Qu'est-ce qui ce passait ? Elle eut un vague sourire incertain en voyant Lilith, sans comprendre le danger qui se précisait. Les deux inconnus en noir lui fichait la chair de poule... Un nouveau mouvement derrière elle la fit se retourner vers ses deux amis, Eurydice moulinant l'air au ralenti avant de soudainement plonger à terre en hurlant. Gaëlle hurla elle aussi à sa façon, se mettant à courir en direction d'Eurydice et du félin qui retombait déjà à terre, des flèches saillants de ses flancs. Elle n'eut même pas l'occasion d'atteindre son amie qu'elle fut soulevée du sol, emprisonnée par des bras solides. Gaëlle devint folle, se débattant en tout sens pour échapper à son agresseur, lui griffant les bras en roulant des yeux, terrorisée. Elle entendit à peine la discutions entre les adultes, juste que la prise qu'on exerçait sur elle se relâchait un peu. Elle en profita pour planter ses dents dans la main du sale type, achevant de se libérer, pour courir se cacher derrière Roman, des larmes de rage et de tristesse au fond des yeux. Ils n'étaient pas obliger de tuer le chat. Elle se cramponna à l'autre bras de Roman, comme à une bouée, le regard vide, tressaillant juste en les posant un bref instant sur la triste dépouille. On n'allait quand même pas l'abandonnée là, si ? | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Lun 29 Mar - 1:46 |
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| Candice voyait les regards des gens. Sa gorge se noua. Elle faisait des efforts, mais elle se sentait appart des autres. Elle devait certainement partir, même quand elle essayait de dire quelques choses d’intelligent, elle était de trop. Elle avait l’impression qu’elle n’était que la blonde de service qui ne faisait que sortir des choses totalement connes, ce qui était le cas pour eux. Elle n’était pas comme eux qui avaient de la facilité à reconnaître les faits. C’était une observatrice bien différente. En fait, elle observait les gens et non les animaux. Elle savait mettre le doigt sur le bobo des gens par moment. Elle observait aussi les accoutrements des gens sachant détaillés trouvant toujours ce qui clochait. Elle ne connaissait rien sur la gestation animale ou quoi que ce soit. Candice passa légèrement sa main délicate sur son ventre encore petit. Elle essayait de comprendre le gros félin, mais c’était peine perdue. Elle était trop fragile à ce qui se passait autour d’elle. Candice ne répliqua pas. Elle voyait les roulements de yeux qui se faisaient à cause de ce qu’elle disait. Elle avait compris. La poufsouffle eut le réflexe de baisser la tête en signe de soumission et de déception, mais cette se rappela que c’était peut-être une mauvaise idée de ne pas apercevoir le félin qui se trouvait tout près d’elle qui aurait pu lui faire du mal un peu plus tôt. Sa peur diminuait de plus en plus, mais elle était toujours aussi triste. Elle avait pris un certain état d’esprit différent de celui de tantôt. Elle agissait, comme lorsqu’elle avait appris qu’elle était enceinte. Il fallait. Il fallait.
Puis tout d’un coup tout changea. Des hommes sortirent de la forêt. Eurydice faisait signe de ne pas approcher. Candice fronça les sourcils. Elle avait une vague impression que ça allait mal finir. La préfète gardait le silence, jusqu’à temps qu’un sort sortit de la baguette de l’un des hommes. La bête tomba au sol. On ne serait dire si elle était morte ou seulement endormie. Candice déglutit avec difficulté. Ils n’avaient pas le droit de faire ça. La poufsouffle se fit rapidement empoignée avant même d’avoir le temps de dire bonjour ou de bouger le petit doigt. Elle avait perdu un peu la carte. Elle ne comprenait pas pourquoi ses hommes avaient fait ça à l’énorme bête. Puis, encore, une fois des gens et des gens. Elle aperçu le directeur accompagné de Lilith et Abaddon. Candice tenta de se débattre en les voyant. Elle voulait partir dans sa salle commune couchée dans son dortoir en train de faire des beaux rêves. Candice se fit enfin lâcher. Elle s’approcha timidement d’Eurydice. Elle était à un mètre d’elle de dos à cette dernière. « je suis désolée Eury’. » Pourquoi était-elle désolée lorsqu’elle n’avait rien à faire dedans cette histoire ? « l’homme est cruel et moi je suis qu’une conne. » Elle ne bougeait pas, mais ne lui touchait pas. Elle était triste, elle aussi. Elle jouait la fille super forte, mais en fait… elle avait envie de pleurer avec la pauvre Gryffondor qui semblait avoir le cœur brisé. Elle était à un mètre d’Eurydice, calme. Elle aurait du l’être tout au long de la scène…
(court, mais ça pressait ) | |
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Abaddon M. Van HellsingPROFESSEUR de sortilège. ► Dr de Serd. & Adjointe
► MESSAGES : 181 Jeu 1 Avr - 14:03 |
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| | | (mission) my cat wasn't really... a cat. [4/4] | |
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