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| (suite mission) Adults are scary, you know... | |
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Abaddon M. Van HellsingPROFESSEUR de sortilège. ► Dr de Serd. & Adjointe
► MESSAGES : 181 Jeu 1 Avr - 14:03 |
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Rufus était furieux, et ça s'entendait de dehors. Ça hurlait à l'intérieur, et pourtant, Abaddon ne cillait pas. Parfaitement conscient que ça place était ici, dehors, à attendre avec les quatre élèves qui avaient été témoin de la fameuse scène. Il n'avait pas peur. Pas pour Rufus. Le vieux directeur de Poudlard était en pleine santé ; il s'en remettrait. C'était certain. Mais les enfants... Abaddon posa son oeil serpentin sur Eurydice qui reniflait, tout près de Roman. Puis sur Gaëlle et Candice. Il y avait un réel malaise. Ça se sentait. Pas besoin de lire dans leurs esprits pour. L'alchimiste détourna finalement le regard, attendant quelque chose. Un signe, un ordre. Il y eut un silence dans la pièce d'en face. Le silence avant la tempête. Ça hurla plus fort que d'habitude, et la porte s'ouvrit violemment sur les cinq hommes du parc. Si les enfants auraient aimé les incendier, le regard que leur lança Rufus les dissuada aussitôt. Rufus était sans doute vieux, mais il n'en restait pas moins juste. Les cinq hommes, furieux à première vue, partirent en trombe. Rufus reposa son regard sur les quatre jeunes gens, et entra dans son bureau sans un mot. Abaddon les regarda, et d'une main, leur montra justement le bureau. Roman et Eurydice furent les premiers à entrer, et l'alchimiste referma les portes de la pièce derrière les deux poufsouffles. La porte se ferma d'elle même, dans un cliquetis métallique. Abaddon resta en arrière, alors que quatre sièges étaient proposés aux quatre élèves. Rufus s'était assis derrière son bureau, et regardait les quatre adolescents, d'un oeil bleu métallique, rappelant l'oeil d'Ezechkiel. Son petit fils fugitif et meurtrier... à croire que le monde entier jouait avec les nerfs du vieux sorcier. Il tendit la main, montrant les sièges.
« Asseyez vous. »
Et comme il était la voix divine dans cette pièce, les quatre se posèrent sans un mot. Il ne valait mieux pas qu'ils parlent de toute façon. Pas avant que Rufus ne soit d'accord avec. Le vieux proviseur sortit de sa poche une lourde clef d'or, aussi longue que sa main, aussi large que deux de ses doigts. Il la posa à plat sur le bureau d'ébène.
« Ce que vous avez vu cette nuit, dans le parc, n'était pas un démon, ni un monstre. C'était un Tigon, forme ancestrale des félins. On dit qu'il descendrait du Smilodon, autrement appelé le Tigre à Dents de Sabre. Gardien chez les Incas, il fait partit des espèces les plus rares et les plus en voies d'extinction. En somme... ces cinq abrutis ont fait une énorme erreur. » Rufus dodelina de la tête, agacé. « Il y a de cela deux nuits, le Concierge a trouvé quatre tigrons de quelques semaines. À peine plus gros qu'un chat, ils s'étaient sans doute égarés. Nous les avons laissé dehors toute une nuit, mais la femelle était déjà loin, alors... nous les avons rentrés dans Poudlard. » Eurydice s'était levée, offusquée, mais le poing de Rufus frappa si fort le bureau, qu'elle se reposa dans son siège, en silence. « Ne me dîtes pas que c'était là la pire des solutions. C'était au contraire la meilleur. Au lieu de les laisser mourir de faim et de froid, nous les avons gardé au chaud dans la salle sur demande, et... malheureusement, la mère est arrivée sans qu'on ne le sache. » Rufus se massa les tempes. « Maintenant, nous avons quatre tigrons qui deviendront bientôt aussi hauts et larges que des boeufs... dans Poudlard. Le Ministère viendra dès demain, alors... il me faudrait une famille capable de les recueillir, et je sais que les Konstantine sont des chasseurs. Ils doivent donc avoir l'habitude de ce genre de bêtes, n'est-ce pas? » « Non! » Eurydice s'exclama malgré elle. « Les donner à Roman, ok, mais pas aux Konstantines! » Rufus arqua un sourcil, Eurydice siffla. « C'est des chasseurs! » Abaddon, derrière, eux un sourire moqueur, alors que Rufus la regardait, dépité. « Et? » « Le Tigon est un animal dangereux. Vous savez ce que font les chasseurs aux animaux à quatre X? » Rufus dodelina à nouveau de la tête. « Soit... mais là n'est pas la question. Puisque vous avez détourner le règlement, quand demain, les Inspecteurs viendront, vous devrez amener les Tigons avec vous. Un pour chaque. Et vous me les garderez précieusement... sauf vous, mademoiselle Candice. » L'oeil de Rufus tomba sur elle, comme une épée de Damoclès. « N'allons pas vous surcharger de travail, n'est-ce pas? Cela pourrait vous fatiguez. »
La référence sous entendu à sa grossesse laissa tout le monde silencieux. Rufus releva la tête vers Abaddon, qui s'était avancé, grande perche humaine.
« Abaddon vous amènera à la Salle où sont enfermés les quatre tigons. Mademoiselle Jonhson, vous et moi, nous avons à parler. Quant aux autres, si vous n'êtes pas contre, partez maintenant. »
Rufus resta à son bureau. L'air fixe. Eurydice se leva. Pendant un moment, l'idée de laisser les pauvres félins à la famille de Roman la fit frissonner. Comment pouvait-on donner de si belles créatures à une famille de … chasseur? Roman allait encore être blesser, et elle... Elle, elle n'avait même pas réfléchi à ça.
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Jeu 1 Avr - 16:39 |
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| Roman était rarement venu dans le bureau du Directeur, et les quelques fois où il y était allé c'était pour se faire engueuler. Mais Rufus Scylence n'était pas du tout le genre d'homme à "gueuler", il disait toujours les choses calmement. Du moins c'était ce que Roman avait toujours cru. Il eut donc là l'opportunité de voir qu'il s'était fourré la baguette dans l'oeil bien profond. Et d'ailleurs il n'avait jamais entendu gueuler aussi fort. Quand les types du ministères ressortirent il fut le premier à ouvrir la bouche pour en remettre une couche mais le directeur le foudroya du regard alors il ne dit rien du tout. C'était très rare de voir Roman se la fermer mais là ce fut exactement ce qu'il fit.
Directeur Scylence - « Asseyez vous. »
Il ne discuta pas, couvant Eurydice du coin de l'oeil parce qu'il savait que ça n'allait pas du tout et que ce n'était certainement pas le moment pour elle de se faire une séance de remontage de bretelles chez le directeur. Mais bon, ça Roman pouvait difficilement le lui éviter. Bonne pâte, il avait déjà oublier le commentaire désagréable que sa copine avait fait sur les chasseurs. C'était passé. Il n'en parlerait même pas. Il n'y penserait pas d'ailleurs. Il écoutait trop attentivement ce que le directeur disait pour penser à ça de toute façon. Il avait toujours été faciné par les créatures magiques. Depuis tout petit.
Directeur Scylence - « Il y a de cela deux nuits, le Concierge a trouvé quatre tigrons de quelques semaines. À peine plus gros qu'un chat, ils s'étaient sans doute égarés. Nous les avons laissé dehors toute une nuit, mais la femelle était déjà loin, alors... nous les avons rentrés dans Poudlard. »
Il l'avait senti venir. Eurydice se leva, il lui posa la main sur l'avant bras pour évité le pire mais le coup de poing que le directeur mit sur la table la fit immédiatement rassoir. Une autre fois Roman aurait dit quelque chose. Là il se contentait seulement de caresser doucement l'avant bras d'Eurydice de son pouce, oubliant qu'à Poudlard il n'avait en théorie pas le droit, mais il cherchait simplement à la réconforter. Il n'était obsédé à ce point par le règlement et d'ailleurs il était très loin de le connaître par coeur.
« Maintenant, nous avons quatre tigrons qui deviendront bientôt aussi hauts et larges que des boeufs... dans Poudlard. Le Ministère viendra dès demain, alors... il me faudrait une famille capable de les recueillir, et je sais que les Konstantine sont des chasseurs. Ils doivent donc avoir l'habitude de ce genre de bêtes, n'est-ce pas? » Roman - Oui bien sûr ça v... « Non! Les donner à Roman, ok, mais pas aux Konstantines! C'est des chasseurs! » Roman - Un jour il faudra que tu arrêtes de confondre chasseur et fou furieux irresponsable Eurydice!', sa voix avait tonné plus qu'il ne l'aurait voulu mais il n'y pouvait rien. Elle le blessait. Elle s'en fichait d'ailleurs et lui ça le mettait en boule.Arrête un peu avec ça. Tu dis toujours que les chasseurs sont des gens bornés mais dans le genre pour le coup c'est le hibou qui au moineau qu'il a une grosse tête!
Quand il était en colère il arrivait que Roman glisse des mots ou des expressions magyars sans le faire exprès. Encore un exemple du genre qui le trahissait même s'il avait parlé sans crier. Il avait le regard noir et était visiblement à bout lui aussi. Il y avait fort à parié que si ça n'avait pas été Eurydice il aurait fracassé sa chaise et se serait barré. Mais avec Eurydice, quand elle parlait de chasseurs, ou quand le ton montait entre eux, peu importait pourquoi, il avait le coeur serré à mort et la peur panique qu'elle ne lui jète à la gueule que c'était fini. Ca le mettait dans un espèce d'état de détresse dont il n'avait pas l'habitude et qui le déstabilisait.
Directeur Scylence - « Et? » Eurydice - « Le Tigon est un animal dangereux. Vous savez ce que font les chasseurs aux animaux à quatre X? » Roman - Professeur si vous me permettez... Les chasseurs ne font rien du tout au animaux classés quatre X même dix X si vous voulez du moment qu'ils ne représentent pas une menace immédiate pour un tiers. Et de toute façon tuer n'est pas l'objectif premier, l'objectif est de sécurisé l'animal tout autant que les gens.', cela aurait pu faire sourire de le voir parler comme ça à Eurydice par l'intermédiaire d'un tiers comme si elle n'était pas là. Mais il n'avait plus du tout envie de discuter avec elle puisqu'elle avait décider que les chasseurs gnagnagna. D'ailleurs sans vraiment s'en rendre compte il avait lâché l'avant bras de la jolie rouquine,' Je suis parfaitement capable de m'en occuper, c'est ce que je veux dire. Si vous avez toujours besoin de moi bien sûr. Directeur Scylence - « Soit... mais là n'est pas la question. Puisque vous avez détourner le règlement, quand demain, les Inspecteurs viendront, vous devrez amener les Tigons avec vous. Un pour chaque. Et vous me les garderez précieusement... sauf vous, mademoiselle Candice. » Roman ne releva pas ce que le directeur dit ensuite. A la vérité il était tellement furieux qu'il aurait eu du mal à voir un éléphant rose s'il y en avait eu un dans la pièce. « N'allons pas vous surcharger de travail, n'est-ce pas? Cela pourrait vous fatiguez. Abaddon vous amènera à la Salle où sont enfermés les quatre tigons. Mademoiselle Jonhson, vous et moi, nous avons à parler. Quant aux autres, si vous n'êtes pas contre, partez maintenant. »
Roman se leva sans faire d'histoire, les mains dans les poches, toujours blessé mais il était trop fier pour le dire donc il se contenta de ne rien dire du tout et surtout pas à Eurydice. | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Ven 2 Avr - 3:14 |
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| Candice était restée silencieuse après s’être approchée d’Eurydice dans le parc. Elle s’était éloignée ayant un peu rejoint les autres. Elle regardait fixement le professeur Van Hellsing. Elle état un peu gênée d’être prise ici en dehors lorsqu’elle aurait du être sagement dans sa salle commune pour ne pas être encore dans le trouble. Elle était déjà dans la merde jusqu’au cou. Le mal était fait de toute façon. La poufsouffle vivait dans un monde où elle faisait plus que tout au monde d’énorme connerie dont elle était supposée d’arrêter de faire. Pourtant, elle n’y arrivait pas et faisait des choses dont elle faisait complètement sur un coup de tête. Elle allait finir par se faire terriblement mal en agissant toujours ainsi. Elle était perdue dans une roue qui ne cessait donc jamais. La petite poufsouffle aurait aimé être comme tout le monde. Elle aurait aimé avoir une vie normale avec des parents normaux et une belle et grande famille heureuse. Non, elle avait une mère légume et un père strip-teaseur qui vivait chez son oncle et sa tante et qui leur faisait plus de trouble que de bien. C’était l’impression qu’elle donnait à chaque fois qu’elle mettait les pieds à un endroit. Elle faisait parfois des efforts pour être ce qu’elle devait être à l’endroit où elle se trouvait, mais jamais… Jamais, elle ne réussissait. Elle aurait bien voulu, mais elle agissait sur des coups de tête, lorsqu’elle réalisait que ce n’était pas bien de faire ça, il était trop tard. Candice se maudissait à l’extérieur. Elle se maudissait d’être Candice. Elle se maudissait d’être tout sauf normal. Elle ne devait pas s’apitoyer sur son sort, elle le savait. Elle était consciente de bien des choses, mais elle n’était pas capable de se contrôler avant de faire des bêtises qui tournent la plupart du temps mal. Ce n’était pas drôle quand on connaissait la petite Poufsouffle. Elle était terriblement fragile… terriblement. Elle entendait le directeur engueuler les chasseurs. Elle n’était pas. Elle était dans ses pensées et bien loin de la réalité. Elle avait peur de la suite des choses. Le temps passait trop vite et elle fût rapidement obligée de suivre les autres pour aller dans le bureau du directeur. Candice restait silencieuse essayant de se cacher du directeur, mais ça restait impossible puisqu’elle savait qu’il savait qu’elle était bien présente. Elle ne disait rien. Elle ne pouvait rien dire. Elle le savait. Elle savait que les autres ne voulaient pas plus l’entendre que le directeur. Elle ne voulait pas ressentir un regard froid sur elle. Elle n’avait juste plus envie. Elle avait envie d’avoir la paix… Candice rentra dans le bureau et s’assit à la demande du directeur sans dire quoi que ce soit. Elle écoutait ce qu’il avait à dire sans qu’elle ne fasse pas quelques choses. Elle préférait rester sur sa chaise en silence. « Ce que vous avez vu cette nuit, dans le parc, n'était pas un démon, ni un monstre. C'était un Tigon, forme ancestrale des félins. On dit qu'il descendrait du Smilodon, autrement appelé le Tigre à Dents de Sabre. Gardien chez les Incas, il fait partit des espèces les plus rares et les plus en voies d'extinction. En somme... ces cinq abrutis ont fait une énorme erreur. Il y a de cela deux nuits, le Concierge a trouvé quatre tigrons de quelques semaines. À peine plus gros qu'un chat, ils s'étaient sans doute égarés. Nous les avons laissé dehors toute une nuit, mais la femelle était déjà loin, alors... nous les avons rentrés dans Poudlard. Ne me dîtes pas que c'était là la pire des solutions. C'était au contraire la meilleur. Au lieu de les laisser mourir de faim et de froid, nous les avons gardé au chaud dans la salle sur demande, et... malheureusement, la mère est arrivée sans qu'on ne le sache. Maintenant, nous avons quatre tigrons qui deviendront bientôt aussi hauts et larges que des boeufs... dans Poudlard. Le Ministère viendra dès demain, alors... il me faudrait une famille capable de les recueillir, et je sais que les Konstantine sont des chasseurs. Ils doivent donc avoir l'habitude de ce genre de bêtes, n'est-ce pas? Et? Soit... mais là n'est pas la question. Puisque vous avez détourner le règlement, quand demain, les Inspecteurs viendront, vous devrez amener les Tigons avec vous. Un pour chaque. Et vous me les garderez précieusement... sauf vous, mademoiselle Candice. » Candice hocha de la tête en regardant le directeur. Elle avait compris. «Abaddon vous amènera à la Salle où sont enfermés les quatre tigons. Mademoiselle Jonhson, vous et moi, nous avons à parler. Quant aux autres, si vous n'êtes pas contre, partez maintenant. » Candice n’écoutait que le directeur. Elle restait là, tandis que les autres se levaient pour partir. Elle ne bougeait pas. Elle savait le sujet qui allait suivre. Elle n’était pas conne. Elle savait… Elle ne voyait que ça et même un renvoi, puisqu’elle avait promis de ne plus commettre d’infraction au code, puisqu’elle avait fait une énorme infraction au code de vie de poudlard. La pauvre Candice, commençait à réfléchir de plus en plus. Elle entendit quelques instants avant d’ouvrir la bouche pour sortir avec difficulté. « Suis-je renvoyée ? » la seule chose qui lui en venait en tête et qui avait de l’allure. Elle s’inquiétait beaucoup. C’était normal. Avait-il beaucoup de jeune élève enceinte dans l’école ? Il n’y en avait pas beaucoup de connu dans l’école. Il n’y en avait presque pas. Elle croyait qu’il n’en avait pas à poudlard mise à part elle, mais elle était dans la grosse merde. Candice joua nerveusement avec ses doigts ayant peur de la réponse qu’il donnerait. | |
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Gaëlle LlelwellynETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 286 Lun 12 Avr - 16:50 |
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| La petite rouquine regarda tour à tour les personnes qui l'entourait, trop bouleversée encore par ce qu'elle avait vu pour réellement saisir ce qui se passait autour d'elle. Les gens parlaient sans qu'elle n'arrive à les suivre, sans qu'elle ne puisse comprendre. Tout ce qu'elle voyait c'était que le directeur Mr Scylence était toujours aussi furieux mais pas contre eux, qu'Eurydice était pis que triste et encore plus furieuse, que Roman semblait blessé mais elle ne savait pas par qui ou quoi et que Candice semblait pour une fois résignée sans trace de son exubérance coutumière. Le seul qu'elle ne "décryptait" pas c'était le Professeur Van Hellsing, mais ça ne changeait pas de d'habitude. En fait s'il n'avait pas eu la bonté de bouger de temps en temps, Gaëlle aurait jurer qu'il n'était pas vivant. Pour elle, il paraissait parfois aussi inerte qu'un cailloux... bon un cailloux qui avait la bonne idée de communiquer avec des images mais un cailloux quand même. C'est toujours déstabilisant d'échanger ses pensées avec une pierre, non ? Cela ne l'empêchait pas de bien apprécier cet homme, au moins avec lui, elle savait toujours où elle allait, il n'y avait jamais d'incompréhension. Puis elle trouvait ça chouette de pouvoir "parler" de cette façon là. Un maigre réconfort dans la situation actuelle... Elle suivit le mouvement par automatisme, calquant ses pas sur ceux de Roman. Un peu rassérénée, elle reconstitua plus ou moins l'échange qu'elle avait subit plutôt que comprit, s'interrogeant sur la raison pour laquelle Candice était restée dans le bureau. Pourquoi juste elle ? Puis une autre pensée lui sauta subitement au nez.
Il y avait quatre chatons, non ? Nerveusement elle tira sur la manche de Roman pour attirer son attention avant de brandir quatre doigts sous son nez pour ensuite le désigné, puis Eurydice et elle-même, avant de ne plus brandir qu'un seul et unique doigt interrogateur. Elle formula sa question en image pour le professeur en la lui agitant sous le nez comme pour attirer un animal distrait avec une friandise. Qu'est ce qui allait arriver au quatrième chaton ? Qui s'en occuperait ? Un d'eux trois ou quelqu'un d'autre encore ? | |
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Abaddon M. Van HellsingPROFESSEUR de sortilège. ► Dr de Serd. & Adjointe
► MESSAGES : 181 Mer 14 Avr - 20:30 |
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| Rufus Scylence les regarda tous partir, sauf la jeune Candice Jonhson. Quand ils furent enfin seuls, son regard s'apaisa nettement, comme il était à nouveau calme. Il avait un sourire posé, et s'il était encore un peu furieux contre toute cette histoire, il n'en voulait pas à la jeune poufsouffle d'avoir été au mauvais endroit au mauvais moment. Il la regarda, comme elle le fixait en retour. « Suis-je renvoyée ? »La question de la jeune fille n'étonna pas Rufus. C'était normal, voir logique. Elle venait de cumuler les erreurs. Être enceinte, enfreindre le règlement de l'école, et pire encore, avait ouvertement ignorer le couvre-feu. En somme, elle méritait au moins cette révocation. Mais Rufus n'en ferait rien. Il attrapa un petit papier et marqua quelque chose dessus, et le lui tendit. « Passez à l'infirmerie, Mademoiselle Jonhson. Il n'est pas sérieux pour une future mère que d'être exposer à de grands dangers. Cela pourrait faire souffrir votre enfant... »Il lui montra la porte, d'un étrange calme. * * * Abaddon marchait d'un pas calme dans le couloir. Il avait son masque de pierre, celui qu'il portait par habitude. C'était qu'il était sérieux, notre Alchimiste, dans sa longue veste étriquée. Il était beau aussi, quoi qu'un peu effrayant. C'était son côté détaché du monde, sans doute. Il marchait, et derrière lui les trois adolescents avançaient, sans un mot. D'une car Gaëlle était muette, de deux car Roman et Eurydice venaient de se disputer, et que ni l'un ni l'autre ne semblait décider à se faire pardonner ou pardonner à l'autre. Les histoires d'amour, je vous jure... Le regard serpentin de l'alchimiste se posa sur Gaëlle qui semblait lui demander quelque chose. Soit. Il arqua un sourcil, et s'arrêta devant une grande porte de cachot. La réponse à sa question viendrait rapidement. Dans la pièce, il y avait une sorte de grande niche où dormait paisiblement quatre petits lions. Abaddon barra la route aux élèves de sa main, et capta leur attention. « Étant donné que Monsieur Scylence ne pense pas que Candice soit assez responsable pour tenir un félin de cette corpulence, nous avons décidé de laisser le quatrième choisir par lui même avec qui il voudrait venir. C'est assez simple, et assez arbitraire, mais je pense dors et déjà que Monsieur Konstantine est le plus apte à en prendre soin... mais nous verrons bien. » Il montra les trois coins de la pièce. « Placez vous ici. »Abaddon avança lentement vers la cage où déjà sortait un petit de couleur clair, les grands yeux ouverts. Le genre furieux, vous savez, hyperactif. Déjà il se mettait sur le sol, mordillant la chaussette de l'alchimiste. Le professeur se pencha, avec un petit rire, et attrapa l'animal par la peau du cou, glissant son autre main sous les cuisses de la bête. Il le regarda, un instant, et s'approcha d'Eurydice, la regarda, et finalement se tourna vers Roman, et posa l'animal sur le sol. La petite tête ronde regarda le hongrois, et se lova contre ses jambes, dans un ronronnement de moteur diesel. « C'est un mâle... il vous aimera, si vous lui montrez qui est le chef. »Il s'en retourna, et plongea ses mains dans le grand bac. Il en sortit le même animal, quoi que plus petit et plus chétif. La petite chose tremblait dans ses mains, aussi il la porta sans aucune hésitation à Eurydice, et elle, le prit dans ses bras comme on prends un enfant. « Cette femelle est craintive. Il faudra la rendre sûr d'elle, si elle veut devenir une vraie tigonne. »Comme il finissait, il repartit et sortit de la grande niche une petite créature endormie. Cette dernière était la réplique de ses frères et soeurs, à la différence près qu'elle était bleue et que ses grands yeux étaient violets. Unique. Il passa sa main sur le front de la petite chose, et avec un sourire, alla vers Gaëlle et la lui tendit. La petite chose regarda sa nouvelle maîtresse. « Cette femelle a un caractère doux et serviable. Vous n'aurez aucun mal avec elle. »Et enfin, comme il n'en restait qu'un, Abaddon le tira de la niche et la petite chose poussa un petit feulement courroucé, visiblement sauvage. Il la serra contre lui, avec un instant de réflexion. Il regarda les trois jeunes gens, et... hocha la tête pour lui, et se dirigea finalement vers Roman. La petite furie était bleue, et avait les pupilles blanches. Pas aveugle, non. Il la posa sur le sol, et la petite chose bleue se serra contre son frère, lui mordillant l'oreille, comme pour se rassurer. « Ce mâle vous donnera du fil à retordre. Il faut un caractère de fer et une discipline, si vous voulez qu'il soit un tant soit peu tenable... mais vous y arriverez. J'en suis sur. »Abaddon avait un sourire calme. Il regarda les quatre félins, et hocha à nouveau la tête pour lui. « Bien. Alors ils mangent un poulet par jour. Ils doublent de taille tous les deux mois, et grandissent environ jusqu'à hauteur d'un boeuf pour les mâles. Les femelles sont plus longues et petites, mais elles mangent plus. Il faudra les sortir deux à trois fois par jour... ça sera très dur, mais j'installerais un système pour pouvoir sortir les bêtes jusqu'à la forêt interdite, et ce, sous escorte – quand ils seront plus grands. Pour l'instant, vous direz qu'ils sont une race dégénérée de fléreur et de tigre. Des questions? »Abaddon, toujours aussi net et précis. Et concis. | |
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Ven 16 Avr - 18:59 |
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| Roman suivait le professeur Van Hellsin g sans plus trop de coeur. Il détestait se disputer avec Eurydice. Ca le mettait tellement mal qu'il avait immédiatement envie d'aller la supplier de lui pardonner, et qu'il aurait même - la plupart du temps - accepter toute la responsabilité de la dispute. Mais là non. Il avait envie de le faire mais dans le fond il savait qu'ils avaient un vrai problème tous les deux avec ça et ça lui faisait trop peur. Que se soit pour fermer les yeux ou relancer vraiment le sujet. Et de toute manière il se sentait tellement blessé qu'il n'avait pas envie de faire l'effort cette fois ci. Alors il gardait le front barré et cet espèce de regard noir fixé droit devant. Il était trop fier pour faire une scène de ménage et encore pire devant d'autres gens et encore pire... devant le directeur de Serpentard. Même s'il adorait ce prof. Gaelle finit par rompre le silence... enfin à sa façon. Roman avait du mal à la suivre parfois. Mais bon cette fois-ci c'était assez clair. C'était vrai d'ailleurs. Une seconde il laissa un peu de côté sa brouille avec Eurydice (si c'était possible) et reporta son attention sur le prof. Il n'aurait pas aimé prendre un petit tigon en sachant qu'un des quatre allaient rester à la rue. Il ne pourrait pas choisir en sachant ça. Enfin si le professeur Van Hellsing leur laissait le choix d'ailleurs. Professeur Van Hellsing - « Étant donné que Monsieur Scylence ne pense pas que Candice soit assez responsable pour tenir un félin de cette corpulence, nous avons décidé de laisser le quatrième choisir par lui même avec qui il voudrait venir. C'est assez simple, et assez arbitraire, mais je pense dors et déjà que Monsieur Konstantine est le plus apte à en prendre soin... mais nous verrons bien. » Quelque part cela fit plaisir à Roman de se l'entendre dire. Il jeta un petit coup d'oeil à Eurydice pour voir si elle avait encore l'intention d'en rajouter une couche en criant au scandale ou à l'assassinat. Puis il soupira en se disant que c'était trop bête et que quand ça lui serait passé elle reviendrait vers lui et comprendrait peut-être qu'elle l'avait blessé. Pour l'heure le professeur leur ouvrit la porte.Les yeux du chasseur se posèrent sur la niche, avec une petite lueur, une étincelle particulière. Il s'accroupit pour ne pas faire peur aux petits tigons en leur paraissant un colosse. Il savait que c'était important de ne pas les effrayer d'autant qu'ils n'avaient pas leur mère pour les tempérer et les rassurer. Le professeur en sortit un de la niche et les yeux de Roman ressemblait tout à fait aux yeux d'un autre petit Roman, qui ne devait pas avoir plus de sept ans et qui écarquillaient des mirettes perdue de bonheur devant ses cadeaux de noël. Bien sûr, en grandissant il n'avait plus cet air béat de petit gosse innocent mais on le voyait tout de suite amoureux de ces petites boules de poils. Le tout premier tigon avait l'air d'une petite teigne adorable. Il essayait déjà de bouffer la chaussette du prof de sortilège. Roman eut un sourire de gosse, et l'envie de jouer avec le petit félin le taraudait mais bon... il aurait tout le temps de jouer avec son petit tigon. Mais ça ne serait sans doute pas celui ci puisque le professeur se dirigeait vers Eurydice. Roman savait qu'elle avait un don avec tout les animaux qu'importe le nombre de X ministériel, il ne se faisait pas de soucis. Elle ne se laisserait pas dépasser même par la petite teigne couleur or-fauve. Mais le prifesseur se ravisa à la dernière minute et posa le tigon devant Roman. Le garçon et le petit fauve se regardèrent dans les yeux un peu bête puis Roman fit sentir sa main au petit. Il récolta un petit coup de tête fougueux qui se voulait un câlin. Roman le laissa venir se coucher sur ses pieds en ronronnant, puis après que le petit se soit définitivement installé, il le caressa. Le chaton était incroyablement doux et avait l'air aussi ravi que son nouveau maître. Professeur Van Hellsing - « C'est un mâle... il vous aimera, si vous lui montrez qui est le chef. »Roman acquiesça avec dans le regard toute la gratitude du monde. C'était un garçon simple. Il ne lui en fallait pas beaucoup. Le deuxième petit avait l'air tout apeuré. Roman eut un sourire attendrit et sans vraiment y faire attention, il resta un moment à regarder sa Eurydice avec ce gros chaton dans les bras. Elle était tellement douce sa Eurydice... Professeur Van Hellsing - « Cette femelle est craintive. Il faudra la rendre sûr d'elle, si elle veut devenir une vraie tigonne. »Puis il sortit sans attendre un troisième petit. Une robe bleue et de beaux yeux caressants. Celle là serait pour Gaelle, Roman le devinait d'avance. Gaelle était une fille adorable et il ne l'avait jamais eu avoir un vrai mot méchant pour quelqu'un... encore une fois à sa façon. Roman gaffait souvent avec ça, il ne le faisait pas exprès d'ailleurs mais bon. Enfin il ne restait qu'un petit. Quand le professeur le sortit de la niche il poussa un petit feulement rageur. Si tout à l'heure Roman avait trouvé que l'adorable boule de poil or et fauve était une teigne, là il était bien forcé de relever le niveau d'un cran. Ce petit là était déjà un petit dur. Le petit sauvageon n'avait pas l'air très content d'être porté ainsi. Le professeur le posa et Roman pencha un peu la tête pour regarder les yeux étrangement blancs du petit. Pourtant il n'était aveugle du tout. Une autre curiosité. Le petit tigon bleu vint se serrer contre son frère or et fauve, lui tirant sur l'oreille par jeu et sans doute heureux de retrouver quelqu'un de familier. Roman sourit. Il avait un petit quelque chose de très protecteur. « Ce mâle vous donnera du fil à retordre. Il faut un caractère de fer et une discipline, si vous voulez qu'il soit un tant soit peu tenable... mais vous y arriverez. J'en suis sur. »Roman - Il n'y a pas de raison professeur, il y a toujours une façon d'aborder l'autre,, suffit de trouver la bonne je crois.', répondit-il en avançant un doigt vers la petite terreur bleue qui lui donna un coup de patte et feula. Mais Roman ne se laissait pas impressionné. Il n'approcha plus le doigt pour que le petit ne se sente pas traqué mais le laissa là pas trop loin de lui jusqu'à ce que la petite terreur bleu n'approche timidement sa truffe pour le sentir. Il feula de nouveau et commença à donner des coups de patte à répétition. Roman rit et caressa l'autre petit, pour montrer qu'il n'y avait aucune crainte à avoir. Le petit bleu le regarda faire avec méfiance mais ne feula pas. Il avait l'air de se demandait ce que c'était que ça et ce qu'il devait faire avec cette main. La manger? Ou la mordiller pour jouer? Roman avait son sourire bien veillant puis reporta son attention sur le professeur qui reprenait la parole. Pendant qu'il ne regardait pas le petit tigon bleu regardait sa main, s'approchant par moment pour la renifler: Professeur Van Hellsing - « Bien. Alors ils mangent un poulet par jour. Ils doublent de taille tous les deux mois, et grandissent environ jusqu'à hauteur d'un boeuf pour les mâles. Les femelles sont plus longues et petites, mais elles mangent plus. Il faudra les sortir deux à trois fois par jour... ça sera très dur, mais j'installerais un système pour pouvoir sortir les bêtes jusqu'à la forêt interdite, et ce, sous escorte – quand ils seront plus grands. Pour l'instant, vous direz qu'ils sont une race dégénérée de fléreur et de tigre. Des questions? »Roman - Et pour le ministère?Question pratique. Il savait que le ministère n'allait pas les laisser tranquillement se baladait avec leur petit tigon sans rien dire, juste parce qu'ils s'étaient fait avoiné par le directeur Scylence. Roman - Il ne va pas falloir qu'on aille au Département des Créatures Magiques pour avoir une sorte de... mh... igazolvány...', il regarda Eurydice comme cherchant son aide. Il n'arrivait plus à trouver le mot en anglais, puis il se rappela des examens de transplanage qui seraient bientôt... ... permission?Ce qu'il voulait dire c'était permis mais enfin, il n'était pas très loin. Son petit tigon bleu lui mordilla le doigt un peu trop fort. Roman retira la main, le petit sembla dessus, puis il lui caressa la tête sans se faire feuler dessus cette fois ci. Du progrès. Il les regarda, collés l'un contre l'autre. Un bleu sombre l'autre rayonnant. Il allait les appeler Ejjel et Nappal. Ca leur irait bien. éjjel = la nuit = lire éyiel nappal = jour = lire napal | |
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Gaëlle LlelwellynETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 286 Mer 21 Avr - 22:20 |
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| Gaëlle avait éclatée de rire à sa manière silencieuse en voyant sortir le premier chaton, elle le trouvait adorable, son petit air teigneux et bagarreur la ravissait. Imitant Roman, elle s'était assise en tailleur et regardait ses deux amis faire connaissance avec leurs boules de poils respectives avec un air béat. Elle les trouvait tout simplement trop trognon. Elle poussa un cri silencieux de ravissement en voyant apparaître le troisième chaton, ses yeux en particulier était réellement saisissant, on aurait jurer deux améthystes.
Professeur Van Hellsing - Cette femelle a un caractère doux et serviable. Vous n'aurez aucun mal avec elle.
Avec un sourire enchanté, elle prit la petite tigonne endormie dans ses bras, la berçant en lui caressant les flancs pour la réveiller avec douceur. Un court instant elle se demanda ce qu'elle allait bien pouvoir en faire pendant les vacances, Mr Yu avait déjà maugréer quand elle avait ramener Fifre avec elle, alors le chaton en plus... surtout s'il atteignait la taille de sa mère. Mais vraiment comment ne pourrait-il pas fondre devant une si jolie petite chose ? Vraiment qui saurait y résister ? Elle regardait Roman essayer d'apprivoiser le deuxième chaton, qui faisait passer le premier pour un petit ange.
Professeur Van Hellsing - Bien. Alors ils mangent un poulet par jour. Ils doublent de taille tous les deux mois, et grandissent environ jusqu'à hauteur d'un boeuf pour les mâles. Les femelles sont plus longues et petites, mais elles mangent plus. Il faudra les sortir deux à trois fois par jour... ça sera très dur, mais j'installerais un système pour pouvoir sortir les bêtes jusqu'à la forêt interdite, et ce, sous escorte – quand ils seront plus grands. Pour l'instant, vous direz qu'ils sont une race dégénérée de fléreur et de tigre. Des questions ?
Oui. Quelqu'un pouvait-il l'aider à trouver une nouvelle maison ? Cette fois c'était sur, elle ne pourrait jamais retourner vivre chez Tao dans ces conditions. Et hors de question pour elle de remettre les pieds dans la demeure familiale... | |
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