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| I had a dream that one day... (pv) | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Ven 25 Juin - 16:43 |
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| Il devait être bien trois heures du matin passé. C'était le vendredi soir et Poudlard dormait du sommeil du juste, plongé dans le silence bleu de la nuit. Ce moment si particulier où il n'y a pas un chat pour traîner sa patte de velours et froisser la trêve de minuit. Les ombres jetaient des étoffes veloutées sur les formes et les couleurs dormaient, toutes repliées dans des manteaux de gris souris, gris perle ou gris charbon. Les couleurs de la salle commune de Serdaigle ne faisaient pas exception et l'on aurait eu peine à deviner les coussins confortables, la table basse autour de laquelle ils se réunissaient comme pour de secrètes discussions que les élèves ne pouvaient jamais surprendre. Même la vieille bibliothèque raide comme un gardien de prison ne donnait signe de vie alors comment aurait-on pu voir la délicate jeune fille posée dans les bras d'un des fauteuils, sur une nébuleuse de rêve. Ses cheveux noirs de jais serpentaient sur des épaules délicates d'une blancheur de porcelaine. Ses membres parfaitement détendus étaient là, abandonnés dans une grâce toute lascive et il y avait quelque chose de magnifique dans le tableau. Quelque chose de touchant même. Avril portait une robe simple, noire, à la coupe exquise. Elle avait sans doute quitté son uniforme pour redescendre lire dans la salle commune et avait du se laisser surprendre par Morphée, qui s'était arrêté dans sa chevauchée nocturne, pour enlever cette Europe de nuit dont il s'était momentanément épris.
Quelqu'un entra dans la salle commune. A peine eut-il posé les pieds sur le tapis moelleux de l'entrée que la cheminée s'embrasa. Une explosion de couleur chaude dans la salle commune encore plongée dans le sommeil l'instant d'avance. Pourtant, cela ne réveilla pas Avril. La chaleur du feu et sa lumière ne firent que peindre un tendre sourire sur ses lèvres fines et un petit gémissement soupiré passa ses lèvres mais elle ne bougea pas. Son visage détendu laissait supposer qu'elle était bercée par un rêve bien agréable. On était vendredi soir. Ou samedi matin, comme il vous plaira. Et le vendredi soir c'était le soir qu'elle passait avec Mael, pour son cours particulier. Il n'était pas bien difficile de retrouver le fil d'Ariane dans la pelote labyrinthique des rêves de la jolie Serdaigle. Il n'y avait que le beau Serpentard pour lui accrocher un tel sourire sur les lèvres. C'en était presque communicatif. Il aurait fallu être sans coeur pour rompre l'enchantement ... | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Dim 27 Juin - 3:01 |
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| Adonis est un pervers. Adonis est un con. Adonis se croit supérieur. Oui. Il avait eu la brillante idée de se ramener une fille pour ce soir dans la salle sur demande. Cette même fille avait emmené de l’alcool. Adonis ne dirait jamais non à une goutte d’alcool. C’était bien plaisant surtout avec une fille. Cette fille répondait au nom de Camilla. Elle était extrêmement chaude aux yeux du Serdaigle. Pourtant, elle buvait étrangement beaucoup. Il la laissait faire sans voir un truc de mal là-dedans. Elle se faisait du plaisir. Pendant ce temps, lui, il buvait sans rien payer et il se promettait d’avoir une nuit torride avec Camilla. Elle lui souriait et riait. Elle avait du plaisir à boire l’alcool qu’elle avait elle-même achetée et ramenée dans la salle sur demande après avoir passé la soirée avec Adonis Xercès Dashwood à pré-au-lard sans autorisation. Mon dieu qu’ils s’étaient éclatés à se parler de tout et n’importe quoi. Elle était supposée être son élève, mais pourquoi ne pas se donner un petit plus. Elle pouvait bien lui faire ce plaisir non ? Elle aurait cette gentillesse, du moins il espérait grandement qu’elle soit ainsi. Adonis essaya de se calmer sur la boisson préférant arrêter à un moment, mais cette dernière continuait sans arrêt. Que faisait-elle ? Avait-elle déjà bu ? Connaissait-elle ses limites ? Il n’en savait rien, mais à plusieurs reprises l’idée de lui arracher la bouteille se fit de plus en plus sentir. Le besoin urgent de passer à une autre l’attirait de plus en plus. Premièrement, Adonis savait qu’il devait la faire arrêter de boire. Il ne voulait pas coucher avec un légume étant zombie à cause de l’alcool. Non merci. Deuxièmement, Adonis devait lui faire comprendre ses intentions. C’est bien beau que ses intentions soient bien clair pour lui, mais il ne devait pas lui faire peur pour qu’il puisse avoir une autre chance par la suite avec elle. Il allait réussir à l’obtenir un jour ou l’autre. Troisièmement, son moment préféré, il allait passer à l’action avec le plus grand plaisir du monde. Son plan était simple, mais il devait commencer par le un. Il lui arracha la bouteille d’alcool des mains et la mit à terre pour ne pas gaspiller ce fameux liquide. Elle accepta sa proposition. Alléluia. Rien au monde ne le mettait plus heureux. Tout se passa comme il le voulait, mais il du aller chercher quelques choses qui servait dans ses cas là. Il n’avait pas envie de faire les mêmes erreurs que son frère Maëllan. Le jeune homme quitta donc quelques instants Camilla. En se retournant lui montrant qu’il avait trouvé ce qu’il cherchait. QUOI ? elle dormait. Elle dormait. Elle bavait même. Erk, pensa-t-il. Saleté d’ivrogne ! Adonis était très mauvaise humeur. Elle avait osé. Elle avait osé s’endormir lorsqu’il lui promettait la plus belle nuit qu’elle n’aura jamais eu avec lui. Merde ! Adonis s’habilla finalement en grognant. Il était plutôt grognon en ce moment même. Il sortit de la salle sur demande à une heure très tardive ou très tôt le matin. Ce n’est pas une information plus importante que ça pouvait en avoir l’air. Croyez-moi. Adonis commença à monter les marches avec frustration. Il n’était pas rassasié. Il se sentait dans un drôle d’état. Personne ne lui faisait ça à lui. Personne. Le serdaigle rentra dans la salle commune avec cette haine au cœur à cause de Camilla. Le feu se ralluma vivement après son entrée. Il stoppa net en voyant une tête qu’il connaissait bien. Avril ! Ce dernier s’approcha d’elle ayant bel et bien une idée bien plaisante dans sa tête. Il commença à caresser la tête d’Avril. « Il faut surveiller, Princesse. Sinon, je pourrais bien te kidnapper dans ton sommeil. Ça serait plutôt plaisant… Mais je ne crois pas… que mes frères aimeraient. » Il continua à jouer dans ses cheveux bien doucement en attendant qu’elle ouvre les yeux avant de s’attaquer à elle pour de bon. Il aurait eu envie de glisser sa main ailleurs, mais attendons de voir le doux réveil de la belle serdaigle. Non ? | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Dim 27 Juin - 8:36 |
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| « Il faut surveiller, Princesse. Sinon, je pourrais bien te kidnapper dans ton sommeil. Ça serait plutôt plaisant… Mais je ne crois pas… que mes frères aimeraient. »
La douceur de cette main dans ses cheveux et de cette voix qu'elle était trop endormie pour reconnaitre, et la chaleur du feu aidant, Avril n'eut pour son ennemi de toujours qu'un très tendre sourire. Le genre de sourire qu'une fille très sincèrement amoureuse pourrait faire en se réveillant dans les bras de son aimé au matin de leur première fois par exemple. Elle mit un petit moment à émerger et son joli visage vint se blottir dans la main d'Adonis avant qu'elle ne murmure:
« Mmmh mais qu'est-ce que tu racontes Maël...? Il fait encore nuit je suis sûre et je crois pas que... »
Ce n'est qu'à ce moment là que, ses idées s'éclaircissant et comme elle se rappelait fort bien s'être endormie un livre à la main dans la salle commune, le nom d'Adonis lui apparut. Elle n'avait non seulement pas céder aux avances de Maël - quoiqu'en rêve ce fut tellement plaisant de le faire - mais pire encore: impossible que ce soit lui qui soit là en train de lui caresser les cheveux. Elle ouvrit les yeux en grands faisant pratiquement un bon en arrière. Il l'avait surprise alors qu'elle avait complètement baisser sa garde et elle détestait ça. Mais, pour ne pas avoir à montrer qu'un instant elle pouvait craindre de perdre face à Adonis Dashwood, elle ne bougea pas du canapé, se contentant de lui jeter un regard d'une noirceur abyssale assaisonné de quelques mots venimeux:
« A quoi tu joues Adonis? »
Sous entendu "tu me touches encore je te bouffe". Pire encore, maintenant qu'elle était bel et bien réveillée, elle se rappelait l'avoir entendu dire princesse, LE mot, SON mot, et s'il y avait une bouche qu'Avril ne voulait pas voir dispenser des princesses c'était bien celle d'Adonis. Avril - ou plutôt Lucifer - le fixait avec une petite lueur de sauvagerie dans le regard. Ca c'était une fille qui avait du caractère et qui n'allait certainement pas s'endormir si facilement. La lumière du feu dansait sur son visage et quand elle avait ce visage très en colère, ça la rendait terriblement savoureuse. On avait presque envie d'y mordre mais le fruit se serait méchamment défendu. | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Dim 27 Juin - 17:04 |
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| Bah quoi ? Il ne pouvait pas se comporter gentiment pour une fois. Décidemment, il ne comprendra jamais les femmes. Il devait peut-être mettre sa sœur sous observation. Il comprendrait peut-être plus ses choses qui n’avaient pas le même sexe que lui. Ses choses qui l’attiraient. C’était étrange de voir à quel point, il n’était pas si gentil avec ses dames les appelant comme de simples objets. Il se rappelait de la première fois qu’il avait aimé une fille. Il l’avait tellement aimée. C’était encore douloureux. C’était un peu de sa faute, s’il était devenu le petit salop de bas étage qu’il était. C’était de sa faute, s’il s’était éloigné de sa petite Indiana. Il avait toujours aimé Indiana, mais sa relation lui avait couté une relation amoureuse de fou. Il était amoureux, il l’avait perdue… il s’était perdu. Cette fille était partie en prétextant qu’Indiana était trop près de Adonis, comme s’ils formaient un petit couple. Avec un peu de recul, il ne pouvait que voir de la jalousie malsaine. Une jalousie qui avait détruit la meilleure des relations frères-sœurs qui pouvaient exister chez les Dashwood. Une relation bien saine. Adonis n’était pas amoureux de sa sœur, mais il souffrait du départ forcé d’auprès de sa sœur pour devenir ce qu’il était avec tout le monde. Un beau grand sale salop. Il était beau. Il n’était pas gentil. Il n’était pas un prince charmant. Il était loin de l’être maintenant, pourtant il l’avait déjà été. Il avait entré dans la salle commune étant d’une humeur massacrante, mais les idées étaient venues avec tant de facilité à son grand esprit en voyant la belle Avril couchée sur l’un des canapés près du feu. Elle était belle, mais c’était défendu de lui toucher pourtant il le faisait en caressant son doux visage avec sa main. C’était défendu de le faire. Mais AU diable Maëllan et les autres, il avait bien le droit de se faire du plaisir après avoir raté un plan cul avec une fiche trop soul pour rester éveiller trente secondes. «Mmmh mais qu'est-ce que tu racontes Maël...? Il fait encore nuit je suis sûre et je crois pas que... » Adonis éclata de rire. C’était trop drôle. Elle était une étrange chose cette fille. Elle était trop marrante, comme Si Maëllan pouvoir venir dans la salle commune des serdaigle sans invitation et sans rien demander. Cette dernière se leva d’un bond… Adonis avait ce petit regard amusé, mais aussi surpris. Il avait été pourtant gentil, non ? Le serdaigle la regardait. Ils se regardaient. « A quoi tu joues Adonis? » Il haussa des épaules en regardant Avril. « à quoi je joue ? Je ne joue à rien. J’ai voulu être gentil. Rien de plus. J’essayais de voir ce que Maëllan peut bien te trouver sérieusement… » dit-il en haussant toujours des épaules. Ce qu’elle pouvait être conne cette fille, pensa-t-il. « Tu m’attendais ? C’est gentil, ma belle…» il lui sourit et vint s’asseoir près d’elle en lui touchant le bras. « Hummmm, c’est vrai que tu es plutôt mignonne dans ton genre, mais ça ne doit pas s’arrêter là. Ta peau est douce, j’ai envie de la découvrir plus… » | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Lun 28 Juin - 17:23 |
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| « à quoi je joue ? Je ne joue à rien. J’ai voulu être gentil. Rien de plus. J’essayais de voir ce que Maëllan peut bien te trouver sérieusement… » « Eh ben tu vois je doute que tu le trouves de cette manière! » , répondit-elle très sèchement.
Elle le défiait du regard, froidement. Il était con et détestable c'était tout ce qu'elle aurait eu à dire sur lui. Si de la part de Maëlan elle aurait apprécié la douceur d'une caresse dans ses cheveux, même plus, de la part d'Adonis il ne fallait pas s'attendre à des miracles.
« Tu m’attendais ? C’est gentil, ma belle…» « T'attendre? Mais tu es en plein délire mon pauvre Adonis. Et pour ce qui est du "ma belle" tu peux te le garder. Ce genre de mot venant de toi ça me donne envie de vomir.»
Alors que de la part de Maël... Ah Maël. Si elle avait pu faire l'échange par la pensée elle ne s'en serait pas privée et d'ailleurs la suite des évènements auraient sans doute était on ne peut plus ... amusante. Ou tendre. Peut-être les deux à la fois. Mais il n'y avait que Maëlan Dashwood pour avoir vu à quel point Avril (ou Lucifer) pouvait être tendre. Le calcul était très vite fait et à ses yeux, Adonis, en temps qu'usurpateur d'un instant, n'avait que pu s'attirer les foudres d'une Avril toute Luciférienne. Il avait comme volait quelque chose qu'il ne lui appartenait pas. Elle regarda cette vipère d'Adonis s'assoir à côté d'elle, ne pressentant absolument rien de bon.
« Hummmm, c’est vrai que tu es plutôt mignonne dans ton genre, mais ça ne doit pas s’arrêter là. Ta peau est douce, j’ai envie de la découvrir plus… » « Je t'interdis de me toucher. Tu crois quoi? Tu n'as rien d'un Maëlan figure toi et sans parler du fait que tu dois être la personne que je déteste le plus ici. Prends ça comme un honneur Adonis parce que tu n'auras jamais rien d'autre. »
Elle le fusillait du regard. Confiante. Il n'oserait pas. Maël était quand même son frère non?
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Mar 29 Juin - 18:07 |
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| Adonis était peut-être un connard de la pire espèce, mais les gens s’approchaient tout de même de lui malgré tout. Il n’avait qu’Avril pour agir ainsi avec lui. Elle était pire que Lucifer. Elle ne lui donnait jamais sa chance, malgré le fait qu’il faisait des efforts, mais il mourrait de jalousie en se disant que Maëlan l’aimait peut-être plus que lui. En plus, Avril était aimée de tout le restant de sa famille, sauf lui. Que lui avait-il fait d’ailleurs ? Rien. En fait, peut-être qu’il la dégoutait, mais elle ne l’avait pas connu auparavant. Elle n’avait jamais connu le Adonis doux qu’il avait déjà été. Il fallait à nouveau crever son cœur d’un amour impossible. C’était fou à quel point, il était extrême dans les deux sens du côté amour et le mauvais côté de sa personnalité. Avril ne connaissait que le mauvais côté, comme bien des gens dans poudlard qui l’avait croisé. Maëlan et Jude le connaissaient bien d’ailleurs, mais la pauvre Indiana avait perdu son frère. Il avait perdu un confident et son ami. Le meilleur presque. Avril n’avait le droit qu’au pire. Elle avait la malchance, mais il avait aussi la malchance de connaître le côté méchant de la Serdaigle. « T'attendre? Mais tu es en plein délire mon pauvre Adonis. Et pour ce qui est du "ma belle" tu peux te le garder. Ce genre de mot venant de toi ça me donne envie de vomir » Le serdaigle regardait Avril avec ce regard amusé. Il trouvait ça rôle. Elle exagérait beaucoup. « Tu parles pour ne rien dire. Tu gaspilles ta salive, ma pauvre. Si t’as envie de vomir… Vomis. Moi tu me donnes envie de chier quand tu parles et je ne m’en plains pas. C’est un très bon laxatif… » Un coup bas, mais les actions d’adonis se résumait à des phrases complètement déplacées et vulgaires. Il était ce qu’il était et ne changerait pas pour les beaux yeux de cette demoiselle, même si c’était des mensonges. Elle ne lui donnait pas l’envie d’aller aux toilettes se vider ses intestins, mais c’était pour lui répondre quelques choses de méchant tout simplement. Adonis vint s’asseoir tout près de la jeune femme regardant sa peau qu’il avait eu la chance toucher pendant quelques instants. Il avait envie de retenter sa chance en touchant la peau de cette dernière qui lui donnait envie, mais c’était interdit. Il le savait. Pourtant la tentation si grande. Premièrement, elle devait vouloir de lui, ce qui n’était pas évident, puisqu’elle le haïssait pour mourir. Il n’était pas à ce point si ignorant. Il le voyait très bien. Il n’avait pas besoin de la tête à Papineau pour comprendre que c’était très bien un problème. Deuxièmement, elle avait bien dit le nom de Maëlan. Elle était intéressée par son frère. Il était défendu de lui toucher, car il se passait certainement quelques choses entre ses deux là. Pourtant, Adonis voulait la toucher. Il voulait la connaître un peu plus sans ses vêtements, mais il n’avait pas cette chance. Il faudra qu’il ait un petit tête à tête avec son frère. Il devait tout partager, non ? Ce n’était pas ça l’esprit fraternel. Il était presque certains que ses pensés étaient totalement vrai. C’était un petit connard. Je vous l’accorde. « Je t'interdis de me toucher. Tu crois quoi? Tu n'as rien d'un Maëlan figure toi et sans parler du fait que tu dois être la personne que je déteste le plus ici. Prends ça comme un honneur Adonis parce que tu n'auras jamais rien d'autre. » Il leva les yeux au ciel. « Tu crois vraiment que Maëlan ne joue pas dans ton dos. Bordel, rouvres-toi les yeux. Tu n’es pas la seule poulette qu’il se fait. Tu serais même surprise du nombre de personne qui s’est tapé. Fille et garçon. Pauvre petite… » il eut un petit sourire méchant. Il n’avait pas tort sur ce coup, mais certaines choses ne se disaient pas décidemment. Il voulait la faire tomber de son petit nuage. C’était une vengeance rien de plus. « Tu sais quoi ? Mon frère t’a mis dans sa ligne de tir que pour te faire du rentre dedans. Arrête de rêver, mon frère est pire que moi… Il t’a bien eu toi aussi… Mais ne soit pas si déçue, moi je peux faire de toi ma reine… » | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Mar 29 Juin - 18:36 |
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| Aux répliques vaseuses d'Adonis, Avril ne prit même pas la peine de répondre. Elle n'entrait pas dans son jeu tant qu'elle pouvait garder un brin de self contrôle. Elle n'avait jamais su vraiment ce qui le poussait à être aussi abjecte avec elle. En fait c'était sans doute pour ça qu'elle le détestait à ce point. Pourquoi tout ça? Pourquoi lui en mettre plein la vue à ce point? Alors qu'en plus elle s'entendait avec tous les autres Dashwood même si avec Maël sa relation était plus étrange qu'autre chose. Maël avait lui aussi son côté sale con. C'était vrai. Et elle avait toujours envie de lui arracher la tête en le voyant fricoter avec tout Poudlard, mais elle n'avait pas de mal à voir quand il était vraiment sincère. Alors qu'Adonis... Elle avait toujours l'impression qu'il montrait son plus mauvais visage et elle trouvait que dans le crétinisme, il excellait particulièrement.
« Tu crois vraiment que Maëlan ne joue pas dans ton dos. Bordel, rouvres-toi les yeux. Tu n’es pas la seule poulette qu’il se fait. Tu serais même surprise du nombre de personne qui s’est tapé. Fille et garçon. Pauvre petite… »
Avril eut un petit rire moqueur, vaguement supérieur.
« Adonis, mon bel Adonis... », elle posa délicatement sa main sur son visage, avec une tendresse toute surfaite. Qu'elle était belle Lucifer quand elle jouait avec le feu. Elle n'aurait pas été si bonne actrice si elle ne l'avait pas tant détesté d'ailleurs« tu crois vraiment m'apprendre quelque chose là mh? » « Tu sais quoi ? Mon frère t’a mis dans sa ligne de tir que pour te faire du rentre dedans. Arrête de rêver, mon frère est pire que moi… Il t’a bien eu toi aussi… Mais ne soit pas si déçue, moi je peux faire de toi ma reine… » « Tu vois c'est là que tu te trompes. S'il y a bien une personne ici que Maël n'a pas eu c'est bien moi. »
Elle s'était approché dangereusement de lui, comme prête à l'embrasser et à voir ses yeux venimeux là, on aurait bien céder à la diablesse. Mais elle le repoussa sans brusquerie, simplement avec superbe comme elle savait si bien faire. Lucifer reprenait ses aises, tranquille dans son canapé. Il n'aurait pas le dessus sur elle. Elle pouvait être terrible, simplement pour se défendre.
« Et il ne m'aura pas tant que moi, je n'aurais pas eu ce que je veux. Déçue? Pas le moins du monde, j'ai toujours été joueuse. Mais pour ce qui est de ta petite proposition, je suis obligée de décliner. Le poisson n'est pas assez intéressant navrée... si tu voulais que l'histoire se finisse comme ça, il fallait adopter une autre stratégie que celle du petit con mal embouché. Si tu savais ce que j'aime ce qui est raffiné... »
Elle avait presque l'air de s'ennuyer avec lui.
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Mar 29 Juin - 22:26 |
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| Avril était une belle fille. Il devait se l’avouer. Ça le rendait fou. Fou ? Comment ? Une femme et un homme, eh bien… oui, il y avait de la testostérone qui rentrait en compte et l’envie de l’avoir pour elle dans son lit ou sur le sofa… Mais il y avait le fait qu’elle était trop près de son frère. Il était frère, mais il avait eu des relations intimes avec ce dernier. De relations qu’on N’était pas supposé d’avoir entre frère ou sœur. Pourtant, Maëlan était un être possessif et jaloux. Il avait déteint sur lui décidemment. Il était un salaud avec Avril, parce qu’il était jaloux, parce qu’il voulait aussi la posséder ce qui était impossible à le faire. Elle le haïssait. Pourtant, il la haïssait aussi par jalousie. Il la voulait, mais ne pouvait l’avoir. Elle appartenait peut-être prochaine à son frère ce qui ne pouvait pas aider dans la petite tête de notre Adonis national qui tentait de trouver un moyen de sortir vainqueur dans toute cette histoire. Il la voulait, mais il ne pouvait. Pourquoi la vie était injuste ? Elle n’était pas injuste, mais elle le punissait d’avance de tout ce qu’il faisait ou il allait faire. La vie était injuste depuis le jour où il est devenu un connard avec tous. Il avait perdu la seule personne qui lui plaisait réellement. Émotionnellement parlant, elle était tout ce qu’elle avait désiré, même plus. Pourtant, elle avait détruit le petit Adonis, mais aussi une relation bien importante qui était celle de sa sœur et lui. Il était un monstre maintenant. Celui arqua un sourcil lorsqu’elle le minoucha un peu d’une drôle de façon. Le Serdaigle gardait un œil sur elle sentant qu’il y avait bien un truc louche. Elle lui disait des choses, mais ne préféra rien réponde, car elle risquerait de lui arracher la tête sachant bien des choses qu’elle ne savait aucunement. Elle s’éloigna à nouveau d’elle. Il gardait son regard sur elle. « Tu vois c'est là que tu te trompes. S'il y a bien une personne ici que Maël n'a pas eu c'est bien moi. » Adonis hochait tête en la laissant parler. Il l’écouta à nouveau lorsqu’elle avait à dire une autre chose. Il la laissait parler, c’était déjà bien. « Et il ne m'aura pas tant que moi, je n'aurais pas eu ce que je veux. Déçue? Pas le moins du monde, j'ai toujours été joueuse. Mais pour ce qui est de ta petite proposition, je suis obligée de décliner. Le poisson n'est pas assez intéressant navrée... si tu voulais que l'histoire se finisse comme ça, il fallait adopter une autre stratégie que celle du petit con mal embouché. Si tu savais ce que j'aime ce qui est raffiné... » Il éclata de rire. Elle était tellement drôle quand elle le voulait. Peut-être ne savait-elle pas à quel point qu’elle était marrante. Adonis voyait bien que quelques choses clochaient. « Tu sais quoi ? Maëlan n’est pas sain d’esprit. Il couche avec moi et Jude. Désolée, ma belle, mais je ne te laisserai pas partir avec Maëlan. Il partage tout, donc tu dois être partagé. Ça serait dommage … » Il lui sourit encore une fois. « Puis, TOI ? être raffinée ? Tu crois vraiment que je peux gober ça ? Tu sais que je sais bien des choses à ton sujet. Je suis comme toi, un être loin d’être raffiné. Moi, au moins, j’avais une vraie maison et un père… toi …» un sourire méchant apparu sur le visage d’Adonis. Il allait trop loin, mais il avait appris des choses qu’elle n’avait jamais parlé. Ça lui faisait du bien. Tellement de bien. « Vraiment, je crois que tu devrais… te tenir tranquille ma mignonne. » | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Ven 2 Juil - 17:33 |
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| « Tu sais quoi ? Maëlan n’est pas sain d’esprit. Il couche avec moi et Jude. Désolée, ma belle, mais je ne te laisserai pas partir avec Maëlan. Il partage tout, donc tu dois être partagé. Ça serait dommage … »
Sur l'instant c'est une gifle qui fait vraiment mal. Maël et... ses frères? La jolie Adler perd des couleurs à vue d'oeil. Son Maël? Non, il ment le vil serpent. Maël n'est peut-être pas un saint mais quand même... alors pourquoi doute-t-elle? Pourquoi est-ce que ça fait si mal? Oh Adonis Dashwood comme elle te hait à ce moment d'avoir tout saccagé. Mais elle ne veut pas te croire, elle ne croira que lui, alors elle dissipe l'essentiel pour revenir au superficiel:
« Partagée? Tu... tu me dégoûtes. Il n'est pas question que je couche avec toi Adonis. »
Mais le mal était fait et le venin lui empoisonnait déjà le sang, remontant pernicieusement vers le coeur. Seule l'heure de la mort n'était pas encore déterminée. Elle ramenait ses jambes contre elle, méfiante, la petite souris coincée par le chat.
« Puis, TOI ? être raffinée ? Tu crois vraiment que je peux gober ça ? Tu sais que je sais bien des choses à ton sujet. Je suis comme toi, un être loin d’être raffiné. Moi, au moins, j’avais une vraie maison et un père… toi …»
Le coup de grâce. Une gifle part. Comment l'a-t-il su? Elle le regarde, fragile soudain devant lui, tous les masques sont tombés et la voilà vulnérable. Sans défense. A la merci du serpent. Et le pire de tout, c'est qu'elle n'en est que plus belle. Comme une toute jeune mariée, encore vierge, qui tremble juste avant le moment fatidique. Ses cheveux défaits caressent ses frêles épaules comme pour lui faire passer le goût de la rébellion. Ses yeux bleus, fichés dans ceux d'Adonis demandent grâce.
« Vraiment, je crois que tu devrais… te tenir tranquille ma mignonne. »
Et c'est ce qu'elle fit. Incapable de se soustraire à ce monstre. Elle tremblait légèrement puis ses lèvres s'entrouvrirent ...
« Ne lui dis rien...s'il te plait. » | |
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InvitéInvité
Jeu 8 Juil - 13:28 |
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| Et même si la nuit semblait être tombée sur Poudlard depuis un bon moment, Ana et sa frêle silhouette parcourait encore l’étendue du parc. Elle ne pouvait malheureusement aller enlacer son frère, qui lui dormait, et encore moins sa mère qui était à présent au sommet de Poudlard. Prise d’un long soupir, la jolie blonde tourna lentement la tête vers son plus fidèle compagnon : Zelig. Ce mangemort redoutable avait presque toujours sa forme de Lynx, c’était presque à se demander s’il n’était pas définitivement bloqué sous cet aspect, et suivait Ana partout. Ces deux là se comprenaient d’un simple regard, d’un hochement de tête ou autre. Assise au bord du lac, la Serdaigle était légèrement perdue dans ses pensées, et ne s’était même pas rendu compte que ça faisait plus d’une heure qu’elle contemplait le ciel. Zelig, lui, s’impatientait quelque peu, et un léger feulement sortit de sa gorge pour prévenir la douce enfant qu’il était temps de rentré. Celle-ci se contenta d’un doux sourire à son protecteur, se leva et le suivit tranquillement jusqu’à sa salle commune. Quel étrange duo que ces deux là, et bien souvent on les dévisageait étrangement dans les couloirs et autres, mais ils s’en fichaient autant l’un que l’autre. Et c’est en repensant à tout ça que la jolie Souvorov arriva devant la statue des Bleus et Argent. Ses yeux bleus, un peu rêveur, scrutait l’aigle qu’elle effleura du bout des doigts. Celui-ci ouvrit son bec et eu un petit rire avant de laisser tomber son énigme.
Aigle ▬ « Pour moi, l’accouchement vient avant la grossesse, l’enfance avant la naissance, l’adolescence avant l’enfance, la mort avant la vie… Qui suis-je ? » Ana ▬ « Oh … » un soupir franchit la barrière de ses lèvres et elle se met à réfléchir, finalement elle murmure. « Tu es un dictionnaire, c’est cela ? » Aigle ▬ « Bien, ma chère Erudit, bienvenue parmi les votre. »
La blonde laisse un sourire se dessiner sur ses lèvres et entre dans l’ouverture faite par la statue, suivit de près par Zelig. Mais deux silhouettes dans la salle la font s’arrêter net et elle les observe en silence, en penchant légèrement la tête sur le côté. Finalement, elle reconnaît sa meilleure amie et Adonis. Elle croise ses bras et observe un peu le manège, avant de remarquer qu’Avril semble totalement terrifiée. La jeune Souvorov s’approche alors d’un bond agile, suivit par le Lynx qui ne semble pas se démonter non plus face à la situation.
Ana ▬ « Adonis ! Qu’est ce que tu fais ?! »
Sa main se glisse lentement vers l’épaule de la brunette pour la presser alors que son regard innocent se pose sur le jeune homme et un air têtu passe sur son visage, alors que le mangemort laisse échapper un grognement en direction du Dashwood. Ana ne comprend pas vraiment ce qui se passe, mais le regard apeuré d’Avril semble être un signe alarmant. Et même si elle n’est pas du genre à s’imposer, à tenter quoi que ce soit d’héroïque, elle ne put s’empêcher de laisser tomber doucement :
Ana ▬ « Eloigne toi. »
Son visage était calme, et son regard semblait brillé quelque peu sous ses longs cheveux blonds. Elle savait pertinemment qu’elle ne semblait pas dangereuse, surtout avec son visage d’ange, et qu’il aurait été plus qu’aisé à Adonis de l’arrêter, mais elle pensait à la présence de Zelig à ses côtés et ça la rassurait automatiquement. | |
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