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| Pandore Alexis Brighton ; Lucifer 'slave (v) | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Mar 16 Fév - 21:53 |
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| OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi. | NOM : Brighton PRENOM(S) : Pandore Alexis AGE : 18 ans ORIGINE(S) : Grecque et Algérienne PROFESSION : Elève ETAT CIVIL : Célibataire jusqu’à preuve du contraire
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OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler. Quelle forme prend votre Epouvantard ? Gabriel, le corps brûlé à mes pieds alors que Solal dit que c'est de ma faute. Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Lui me souriant, lui encore en vie. Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Paris ville des lumières. Quelle forme prend votre Patronus ? Un majestueux cygne blanc. Quel est votre sortilège favori ? Expelliarmus, ne me demandez pas pourquoi. Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Impero, je ne veux obéir qu’à mes ordres Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Un grand vide. Quelle forme de magie vous attire le plus ? Celle qui me permet de disparaître. Appréciez-vous la discipline ? Et toi t’aime le jus de citrouille ? Quelle est la pureté de votre sang ? Aussi noir qu’il peux l’être. (Pur) OO4. Vous ! Oui, vous ! PSEUDONYME, PRENOM : Kat’ (Ou autre pseudonyme s’apparentant pour certains huhu) AGE : 17 jusqu’à preuve du contraire ! AVATAR UTILISE : Olivia Wilde COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Par Pow-choue, Styxx d’amour, Hannah de mon cœur bref du people ! Mais il est beau, j’aime sinon j’y serais pas ahah (oui va falloir vous habituez à cet humour de m*rde) LE MOT DE LA FIN ? | |
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InvitéInvité
Mar 16 Fév - 21:57 |
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| OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent. & Fou d’elle, Cette obsession d’elle, Quand on me rappelle que je suis fou d’elle, C’est obsessionnel que je suis fou d’elle …
StanistlasSes mains blanches et fines s’emparèrent du briquet et d’une des cigarettes qui étaient posés sur la table de nuit. Avec une dextérité digne des plus grands, Pandore pinça la cigarette entre ses lèvres fines avant de l’allumer, des gestes qui étaient devenus routinier montrant que cela n’était pas la première fois qu’elle se donnait à cette drogue douce. De ses lèvres rouges sortirent la première bouffée de cigarette, se délectant de ce plaisir la jeune femme posa sa tête contre le mur tout en remontant le drap au dessus de ses hanches, elle était loin d’être pudique c’était sûr. Installée ainsi dans le lit, Pandore regarda le plafond quelques secondes alors que la cigarette reprenait sa place entre ses lèvres. Passant une main fine dans sa longue chevelure d’ébène, elle pensait. Ce n’était pas le premier, surement pas le dernier et pourtant elle ne retrouvait plus cette étincelle qui faisait qu’elle aimait faire l’amour, tous ces garçons qui passaient entre ses bras n’étaient que des coups d’un soir même s’ils pensaient le contraire, tous ces garçons n’étaient pas aussi tendres que lui, tous ces garçons ne le valait pas, tous ces garçons ne méritait pas que Pandore s’intéresse un minimum à eux. Très vite la jeune femme arrêta de penser à lui, pourquoi souffrir une énième fois alors qu’il n’était plus de ce monde ? Cela ne valait pas la peine qu’elle souffre encore car la jeune femme pensait avoir eu son lot de souffrances et de douleurs pour la vie. La cigarette se consumait trop vite à son goût, peut importe une autre viendrait reprendre cette place entre ses doigts, peut importe du moment qu’elle en avait encore une autre, du moment qu’il lui restait une cigarette. Regardant quelques secondes les volutes de fumée qui s’envolaient et qui disparaissaient peu à peu, son regard bleu vert était assez particulier et paraitrait-il ce qu’il séduisait en premier chez elle si l’on oubliait ses courbes dessinées par les dieux. Paraitrait-il qu’il vous transperce à un point que vous n’imaginez même pas, paraitrait-il qu’il est de glace et aussi terrifiant que la jeune femme pouvait l’être. Paraitrait-il que l’on aperçoit une lueur de douceur, une lueur d’espoir lorsqu’elle se donne à vous du moins c’est ce qu’ils disent.
Il posa un baiser sur son nombril et laissa sa tête sur son ventre regardant la jeune femme fumer sa cigarette après l’amour, il savait parfaitement qu’il ne devait pas lui en demander une bouffée ou alors lui parler, c’était toujours ainsi avec Pandore. Elle dictait les règles et ils devaient obéir s’ils ne voulaient pas subir ce que certains fiers et machistes avaient fait, étrangement ils l’avaient tous regretter, c’était ainsi. Sa réputation là suivait comme les pires rumeurs, la brune ne s’en fichait pas bien au contraire mais au lieu de les démentir Pandore faisait l’inverse car c’était sûrement l’un de ses défauts, vouloir que l’on parle d’elle. Alors que sa tête était posée sur le ventre de la jeune femme, ses doigts dessinaient des arabesques imaginaires sur sa peau douce laissant parfois un baiser parcourir la peau blanche de la jeune femme. Ses yeux ne quittaient pas la cigarette qui se consumait doucement et ce fut que cette dernière fut finie et envoyée dans le cendrier qu’il osa enfin prendre la parole.
LUI _ Alors ça t’as plut ?
Une question existentielle n’est-ce-pas ? Et pourtant tous les uns après les autres ne pouvaient s’empêcher de lui poser au point de l’agacer. Pourtant sur son visage de porcelaine aucun de ses traits ne changea restant figée dans cette grâce polaire qui faisait son charme. Devait-elle mentir ou dire la vérité ? Devait-elle dire que cela ne changerait en rien le cour de sa vie ou dire comme à tous les autres un compliment pour ne pas blesser cet égo de mâle qui l’énervait tant ? Deuxième solution, encore et toujours. Ses lèvres rouges s’ouvrirent alors que sa voix se faisait entendre.
PANDORE _ Génial, je viendrais te voir la prochaine fois que je m’ennuierais. Au moins avec toi je ne perds pas mon temps.
Posant un autre baiser sur son nombril, il souriait alors content de son effet. Pandore aussi souriait mais pas pour les mêmes raisons, depuis son jeune âge la jeune femme avait toujours sût quelles phrases dirent pour flatter ou blesser quelqu’un, c’était comme innée chez elle. Manipuler et torturer les esprits était l’un des plus grands plaisirs de Pandore, savoir que tout être sur cette terre était capable de faire n’importe quoi si les bons mots sortaient de votre bouche était jouissif. Beaucoup plus jouissif que de donner son corps à certains incapable, bien que rares étaient les imbéciles qui passait par son lit. Quelques secondes passèrent avant qu’il reprenne la parole, décidemment ces hommes étaient de véritables moulins à paroles.
LUI _ Tu sais … quand j’y réfléchis, je crois que je ne connais rien de toi. Que personne ne connaît rien de toi à part ton prénom Pandore Alexis Brighton.
Bordel de dieux, pourquoi voulaient-ils toujours savoir ? Coucher avec elle ne leur suffisait dont pas ? Devaient-ils savoir sa vie avant de partir ? Jamais Pandore disait quoi que ce soit sur sa vie, un mystère entier qui la rendait encore plus différente des autres élèves dont la vie était un véritable conte pour gamins tel Blanche-Neige s’il on oubliait le fait que la petite princesse s’était faite les sept nains et que le prince charmant était un sadomasochiste qui touchait à la poudre blanche. Mais personne connaissait l’histoire de Pandore, elle était aussi secrète que pouvait l’être une telle histoire pas même celle qu’elle considérait comme sa meilleure amie ne savait véritablement ce qu’elle avait vécu, il en était ainsi avec elle. A prendre ou à laisser.
PANDORE _ Et pourquoi tu veux savoir cela Jeremiah ? Pourquoi veux-tu savoir qui je suis, ce moment ne t’as donc pas suffit ? Ou serait-ce pour qu’ensuite je te demande qui est tu et que toi tu me parles de ta mère qui s’est taillé avec je ne sais quel avocat sorcier pendant que ton père cuve l’alcool ? Est-ce pour cela que tu veux savoir mon histoire ? Pour qu’ensuite tu puisses te plaindre de ta petite vie si inintéressante qu’elle me fait frissonner ? Mais pas la peine mon beau … Et arrête de faire cette tête là cela me fait regretter d’avoir passé cette nuit avec toi.
Il était surpris et horrifié de savoir que Pandore savait tout cela, certes il n’en parlait pas beaucoup alors comment la jolie brune pouvait-elle savoir autant de chose sur sa vie ? La rumeur courrait comme quoi Brighton était une Legimens accomplie mais Jeremiah ne l’avait jamais véritablement prise au sérieux. Désormais il savait à quo s’en tenir lorsque l’on était avec elle. Pandore était à Poudlard depuis une seule année et pourtant lorsqu’elle passait dans un couloir on ne pouvait s’empêcher de la regarder avec ses manières de rockeuse, avec son regard qui pouvait tout dire mais aussi tout cacher, avec sa démarche et ses gestes qui pouvait faire chavirer chaque cœur qu’il soit homme ou femme. Cela était devenu un jeu pour elle, tellement enivrant qu’elle ne pouvait s’en passer car pour Pandore manipuler était devenu tout à fait normal comme pour protéger à chaque instant ses arrières. Alors que le dénommé Jeremiah avait relevé sa tête, il s’asseya à côté d’elle et lui dit la voix certes un peu tremblante :
JEREMIAH _ Alors tu as... lu dans mon esprit pendant que nous faisions …
Un sourire de vainqueur vint s’afficher sur son visage, oui elle était fière de lui avoir fait comprendre que même si elle lui avait fait croire qu’il avait gagné, Pandore avait toujours eu le dessus et qu’il ne s’était pas rendu compte. La jeune femme enleva le drap qui la recouvrait et ce fut en tenue d’Eve qu’elle se leva afin de s’habiller. Comme à son habitude, elle prit la chemise du garçon à la place de son chemisier tel un trophée afin de montrer à tous qu’un autre avait succombé. Une fois habillée, Pandore se regarda dans la glace arrangea ses cheveux et quelques mèches rebelles et alors qu’elle posait sur ses lèvres son rouge à lèvres, la Brighton voulut enfin lui répondre.
PANDORE _ Il faut que tu comprennes Jeremiah, juste histoire d’avoir une protection au cas où tu me ferais une crasse. Sinon tu n’as à pas à t’inquiéter.
Après un dernier baiser, la jeune femme sortit enfin de la chambre laissant encore le dénommé Jeremiah choqué mais ça Pandore s’en fichait royalement.
& Comme tu es belle, Parfois même encore je doute que tu te relève, Cette fois encore écoute, Ô comme tu es belle, Parfois même encore, je doute, Il est temps que tu t’apaises.
Da Silva
« Cher Solal,
Je crois que je ne te remercierais jamais assez d’avoir prise Pandore mais après tout cette petite n’y est pour rien alors je lui devais bien une bonne famille au lieu qu’un orphelinat minable comme il y en a tant à Athènes. Tu sais je me demande encore comment cela s’est passé, comment Olympe et Kros on put faire cela. Cela me terrorise que ma fille et mon fils ont put ainsi faire de telles abominations sous mon toit, lorsqu’ils me l’ont annoncé j’ai cru au début à une blague de mauvais gout. Mais plus le ventre d’Olympe devenait rond et qu’elle vomissait je devais me rendre à l’évidence et qu’un enfant du diable avait été procrée. Comprends-tu que je ne pouvais pas la garder, je n’aurais pas put la regarder en face durant toutes ces années et faire croire à tous qu’elle était de moi. Non je n’aurais pas put inventer un énième mensonge je pense que cela m’aurait tué.
Je l’ai nommé Pandore car avec elle ce prénom à tout son sens ne trouves-tu pas ? Une heure après qu’elle soit née j’ai compris qu’elle était capable de faire de grandes choses aussi terribles que belles oui parfois le don de voyance est une véritable malédiction. Je te l’ai confié aussi parce qu’elle est une sorcière et je voulais que tu sois son mentor car je pense que es le mieux placé pour élevé une telle enfant. S’il te plait ne l’a juge pas comme je l’ai fait, sois le père que Kros ne sera jamais, soit le maitre que je ne pourrais être et protège là comme elle le doit. Aide là à devenir celle qu’est doit être et surtout je t’en pris ne lui impose rien, cela pourrait être fatal. Je sais que ton cirque est peut-être le meilleur environnement c’est là qu’elle pourra montrer de quoi elle est véritablement capable.
Merci mon frère, je t’en serais toujours reconnaissant.
A.
& Et comment croire que tout est là Le ciel en haut et nous en bas en cercle, en cercle Oh mon Dieu qu'est ce qu'il te reste Faire l'impossible ou disparaître sans gêne, sans gêne
Luke
Il sortit de la roulotte un air grave sur le visage et une pipe au bec, ses yeux bruns parcourait la place où toutes les roulottes étaient disposées cherchant une présence. Un grand feu commençait à s’élever au milieu et déjà quelques personnes jouait de la musique avec quelques tambourins et violons. Son regard s’arrêta quelques secondes sur chacune des personnes mais ne voyant pas la personne qu’il recherchait il tira sur sa pipe. Solal McAllister était le chef de la troupe des tziganes, il les considérait comme sa famille et même si la plupart étaient des artistes talentueux qui rêvait d’aventure et de libertés, des artistes que l’on aurait surement put voir à la télévision s’ils n’avaient pas l’envie de voir les étoiles qui pétillait dans les yeux des gens lorsqu’ils exécutaient leur numéro. Ils étaient des artistes qui fumaient des joints, qui buvait mais surtout qui voulait faire rêver. Solal passa la main dans ses cheveux gris, ses traits étaient marqués par la vie cependant personne ne pouvait nier ses petites rides au coin de ses yeux qui lui donnait un air rieur. Ses grands yeux noirs étaient profonds et insondables la plupart du temps et si tout le monde l’appréciait pour ses tours de magie, rare étaient ceux qui avaient réussis à briser cette barrière invisible qui faisait qu’ils les considéraient comme ses proches. Pandore avait brisé cette barrière au fil des jours, s’occuper d’un enfant n’a pas été très facile pour lui mais à chacun de ses pas et de ses sourires la jeune femme enfonçait une douce lame dans le cœur de l’homme qui s’en accommodait, désormais il la considérait comme sa fille. D’un pas tranquille et sûr Solal s’approcha du feu, osant enlever la pipe de sa bouche il parla de sa voix grave :
SOLAL _ Vous l’avez vu ?
Durant quelques secondes, le temps qu’ils puissent répondre par la négation, la musique s’arrêta mais lorsque l’homme remit la pipe entre ses dents la musique endiablée reprit très vite son rythme alors que les voix commençaient à s’élever. Fronçant les sourcils Solal se mit à sa recherche, il n’avait pas besoin de prononcer son nom pour que les autres comprennent de qui il parlait. Depuis que Pandore était entré dans sa vie, l’homme ne pouvait s’empêcher de la protéger, de la secourir et de l’aimer comme si elle était sa propre fille même s’il lui disait le contraire. C’était sa fierté de la considérer comme sa fille même s’il lui disait le contraire, une contradiction et pourtant qu’il adorait. Se dirigeant vers une première roulotte, il toqua avant d’ouvrir la porte de bois vernis. Dedans un homme assis sur une chaise en équilibre sur un pied tenait dans sa main un couteau qu’il envoya dans une cible. Un garçon d’une dizaine d’année quand à lui s’amusait avec un jeu de carte sous les yeux de son père. La famille Baranovitchi constitué du père et du fils les avaient rejoints en même temps que Pandore et depuis ce temps les deux gamins avaient grandit ensemble partageant cette même passion pour le cirque et le rêve. Ils adoraient apprendre ensemble les tours de magies des magiciens, le lancer de couteau avec le père de Gabriel ou encore la voltiges avec les gymnastes. C’était leur passe-temps comme s’ils étaient faits pour reprendre la vie du cirque après leurs parents, comme s’ils étaient faits pour être ensemble le reste de leur vie. Il prit entre ses mains calleuses sa pipe avant de reposer la même question. Le père regarda le fils qui baissa les yeux avant de parler :
GABRIEL _ Bah la dernière fois que je l’ai vu, elle allait voir Auguste …
Solal grogna un merci avant de s’en aller passant ses mains sur ses tempes, décidemment cette fille l’exaspérait autant qu’elle lui donnait le sourire. Grommelant quelques minutes, il se dirigea derrière les carrioles où les animaux restaient la plupart du temps lorsqu’ils n’étaient pas sur la piste afin de réaliser leur numéro. Passant devant la cage des lions, Solal ne put s’empêcher de jeter un regard aux fauves qui suivaient chacun de ses pas, étrangement Pandore s’entendait mieux avec les animaux qu’avec les humains. Car contrairement à ces derniers les provocations n’atteignaient pas les animaux qui restaient toujours plus calmes en sa présence et cela en devenait presque énervant pour les autres, seul Gabriel arrivait un minimum à la comprendre mais du haut de ses dix ans lui aussi parfois ne comprenait rien. Une fois la cage des fauves passés, le père adoptif de l’enfant se trouva très vite devant un pré ou quelques chevaux broutaient sous le soleil qui doucement commençait à se coucher. Allongée sur un cheval aux traits fins dont la couleur brune semblait assombrir l’ensemble du tableau, se trouvait Pandore qui fermant les yeux caressait encore et encore de ses doigts fins le poil du cheval. Ses cheveux d’ébènes tombait de chaque côté du dos de l’équidé qui broutait tranquillement ne se souciant pas du poids plume qui était sur son dos. Solal ne put réprimer un sourire voyant cette scène qui pourtant était si habituelle avec elle, reprenant cet air grognon qui lui allait si bien, il prit la voix qu’il prenait à chaque fois lorsqu’il devait rappeler à l’ordre la Brighton.
SOLAL _ Pandore tu n’as pas oublié quelque chose par hasard ? Et ne pense pas ça de moi cela serait gentil.
La statue immobile bougea, redressant son corps de fillette alors que ses cheveux vinrent se disposer autour de son visage de porcelaine. Les deux océans bleus fixèrent durant un instant Solal avant qu’elle puisse répondre de sa voix fine et enjouée car en ce temps là oui elle était heureuse. Heureuse de vivre, heureuse d’être aimée, heureuse d’être là avec Solal et tous les autres.
PANDORE _ On devait s’entrainer je sais bien mais une séance en moins cela ne fait pas grand-chose ? Et tu m’avais dit que tu m’apprendrais à bloquer mes pensées, tu ne tiens pas tes promesses.
Solal réprima un sourire, toujours les mêmes remarques, toujours les mêmes excuses inutiles. Pandore ne changerait vraiment jamais et c’était cela qui lui plaisait aussi. La petite fille était descendu de son Auguste et en quelques pas aériens qui ressemblait plus à de la danse qu’autre chose fut auprès de lui regardant le sol essayant une dernière fois d’éviter la leçon de magie. Avais-je oublié de vous dire que Solal n’était pas un magicien de pacotille ? Avais-je oublié de vous dire qu’il était devenu le mentor de la petite qui ainsi apprenait tout de ce monde qui lui ouvrait les bras ? Peut-être bien.
SOLAL _ J’ai dit que je ne t’apprendrais cela que lorsque tu aurais douze ans et encore je trouve cela trop jeune. Ne me fais pas regretter maintenant et rentre à la carriole histoire que l’on travaille un peu.
Plus que deux ans avant que le savoir de la Légimencie s’offre à elle, plus que deux ans et encore c’était trop long.
& J'aimerai me faire croire, Que la planète Terre tourne lentement, Il est dur de dire que je préférerais rester éveillé lorsque je dors, Parce que rien n'est ce qu'il parait.
Owl City
D’une main fine et habile Pandore lança le couteau qui se planta dans le bois à quelques centimètres des boucles blondes. Avançant de quelques pas la jeune femme avait sur son visage un sourire de vainqueur, son regard plongé dans celui de Gabriel qui lui aussi esquissait un sourire. Un autre couteau se planta dans le bois près de son épaule alors que Pandore avançait, oui ils jouaient à un jeu dangereux mais c’était ainsi depuis leur tendre enfance, c’était ce qui faisait qu’ils s’aimaient tant. Ce n’était pas malsain, mais ce n’était pas si bénéfique. Pourtant dans cette relation si étrange qu’ils entretenaient entre l’amour et l’amitié, il y avait toujours cette chose indéfinissable qui restait malgré les sentiments qui changeait de jour en jour. D’ami d’enfance il était devenu lui, celui pour lequel elle pourrait mourir, celui pour lequel son bonheur était plus important que le sien. La jeune femme en quelques pas fut très vite à quelques centimètres du visage de Gabriel, son ange. Ecoutant attentivement sa respiration, Pandore ne le quittait pas une seconde des yeux, impossible, indissociable. Et puis en quelques mouvements furtifs, ses lèvres s’emparèrent des siennes avec une force sauvage, quelque chose qui prouvait au monde entier que cela n’était pas qu’une passade. Que c’était son ange et qu’elle était capable de déchirer ses ailes si elle pouvait l’avoir à ses côtés. Durant quelques minutes cet échange de passion et de tendresse dura et pour la jeune femme, le temps c’était simplement arrêté, suspendu dans les airs.
Et puis les paupières qui refermaient deux joyaux d’eaux se rouvrirent alors que les baisers s’arrêtaient. Un air soucieux s’inscrivit sur le visage de la grecque alors que son front était posé sur celui de celui qu’elle aimait. Les mots sortirent de sa bouche dans un murmure que seul lui pouvait entendre.
PANDORE _ Il est là … Putain il fait chier ce gars.
Reculant de quelques pas, la jeune femme se retourna tout en s’échappant de l’emprise des bras de Gabriel qui essayait de la retenir une dernière fois. Passant une main dans ses cheveux d’ébène, elle fit quelques pas essayant de savoir où est-ce qu’il était exactement. Et puis sa voix retentit à nouveau brisant le silence un nouvelle fois qui s’était installé bien qu’au loin, on entendait les violons. Sa voix était froide et glaciale.
PANDORE _ Jack Norrington sort de la immédiatement sinon je le dis à Solal !
Au début rien ne se passa et puis un mouvement en entrainant un autre, on put apercevoir derrière une carriole, une silhouette osseuse tanné par les années et les voyages. Quelques cicatrices parcouraient sa peau et son bras droit montrant que sa vie n’avait pas été de tout repos. Une traversait son visage et semblait être là depuis bien longtemps. Dans sa main droite, il tenait une cigarette dont le bout rouge se voyait dans la nuit alors que l’odeur acre et tant délicieuse à Pandore venait d’emplir l’air. De ses yeux noirs, Jack Norrington posa son regard sur Gabriel qui regardait le sol passant une main dans ses cheveux. Puis ses pupilles sombres passèrent sur la silhouette fine de Pandore qui le regardait avec un dédain le plus profond. Ne cillant pas une seconde et ne voulant pas le quitter des yeux, ce fut après quelques minutes de silence le plus total que le dénommé Jack s’en alla. La demoiselle Brighton quand à elle resta immobile à regarder cette silhouette s’éloigner doucement. Gabriel très vite l’avait rejoint passant ses bras autour de sa taille et lui donnant un baiser dans le cou. Encore en colère à cause de cet événement, la jeune femme ne put s’empêcher de dire :
PANDORE _ Je ne l’aime pas ce type, depuis qu’il nous à rejoint je sens qu’il prépare quelque chose de mauvais.
GABRIEL _ Si on ne l’avait pas compris … Tu ne le déteste pas plutôt parce que tu n’arrive pas à lire en lui comme tu arrives à lire dans tous les autres ? Moi compris …
PANDORE _ Oui en partie … la seule fois où j’ai réussit à entrer dans son esprit, j’ai vu des flammes rougeâtres, c’était assez étrange. Et toi je n’ai pas eu besoin de rentrer dans ton esprit pour savoir que je voulais faire ma vie avec toi.
La jeune femme sous les ordres de son père adoptif Solal avait maintenant une parfaite maitrise de la Légimencie pour son âge. Certes encore des failles restaient mais pour son âge, cela restait quelque chose de particulier qu’il fallut acquérir à force de patience et de détermination. Cependant, la jeune femme n’utilisait cet art qu’avec les personnes dont elle n’avait pas confiance ou alors avec Solal afin de le défier comme elle le faisait si souvent. Mais Jack Norrington était une énigme pour elle, son esprit aussi fermé qu’elle pouvait fermer le sien, Pandore n’avait aucune confiance en cet homme qui était chargé depuis quelques mois de nettoyer les cages des animaux du cirque. Mais tant qu’il se tenait à carreaux et qu’aucun accident n’arrivait, elle était bien obliger de capituler. La petite fille avait fait la place à une jeune femme belle aux cheveux bruns et aux yeux aussi clairs que de l’eau de source. Son caractère s’était affermit mais n’avait pas véritablement changé, aimante envers les gens qu’elle aimait et aussi détestable que pouvait l’être le diable à l’égard des autres. Le seul souci était que l’une des deux facettes allait plonger dans l’oubli.
& Dans Une Larme, tout l'Univers, Une larme au goût amer, Une larme pour oublier, Que je suis incapable d'aimer…
Gerard De Palmas
Article de journal paru dans le Times :
Alors que les Londoniens étaient réjouit de la présence du cirque ‘Les sept pêchés capitaux’ dans leur ville nous pouvons annoncer une nouvelle atroce qui attristera tous les fans de cirque de légende qui parcouraient les routes d’Europe avec leurs belles carrioles peintes et leurs spectacles digne des plus grands. L’accident arriva tard dans la nuit alors qu’ils venaient de finir la première représentation de leur tournée anglaise annonçant un succès assurée par le monde présent dans la salle. Vers minuit, un feu s’est déclenché dans une des carrioles et très vite se propagea aidé par le temps sec ainsi que les bourrasques de vents présentes sur la capitale depuis le début de la semaine. Malheureusement les pompiers ne purent agir à temps laissant tout partir en fumé, mis à part les animaux qui étaient protégés et à l’écart. De nombreux dégâts sont à déclarés, notamment humains. En effet, il ne reste que Solal Brighton encore dans un coma artificiel et sa fille qui s’occupait encore des animaux. Malheureusement, tout est parti en cendres mais l’on remarque la disparition de Jack Norrington alors premier suspect dans cette affaire d’incendie criminel.
Premier chapitre du journal intime de Pandore Alexis Brighton :
Je suis obligé d’écrire, c’est la psychologue qui l’a décidé sinon elle ne me laisse pas tranquille. Obligé de la voir toutes les deux semaines, sérieusement c’est vraiment n’importe quoi. J’ai beau ne plus être la même, ne pas avoir fait le deuil de Gabriel ou pleurer encore à chaque fois que je suis aux côtés de Solal, je ne suis pas pour autant fragile psychologiquement ! C’est vrai que je ne souris plus beaucoup et m’attacher aux autres c’est encore plus dur qu’avant, je suis détruite mais je ne le montre à personne, mes faiblesses ne regardent que moi. Cela fait maintenant six mois et j’ai encore l’impression que s’était hier, je me revois courir et sortir du pré et être si impuissante face aux flammes qui dansaient parmi les caravanes. Je refais ce cauchemar chaque soir, depuis dormir est devenu ma hantise. Cela hante mes pensées et mes rêves. Il parait qu’en septembre, je dois aller à Poudlard, si j’y pense moins alors pourquoi pas ?
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InvitéInvité
Mar 16 Fév - 22:01 |
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InvitéInvité
Mar 16 Fév - 22:03 |
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| Katounette de moi que j'aiiiiime *O* Bienvenue Hâte aussi de voir ta fiche \o/ | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Mar 16 Fév - 22:20 |
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| Bienvenue chez nous, j'ai hâte de lire vos fiches à tous | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Mar 16 Fév - 22:22 |
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InvitéInvité
Mer 17 Fév - 10:08 |
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| MA KAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAT` A MOI, RIEN QU'A MOI !!! Oui oui, rien qu'à moi, vous avez bien entendu ¬¬ Alors tout d'abord bienvenue, bon courage pour ta p'tite fiche. Pas que je me fasse du Sushi, huuu ¬¬ Et puis, un lien un lien un liiiieeeeeeeeeeen ! *O* Jte n'aimeeeeuuuuuuh | |
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InvitéInvité
Jeu 18 Fév - 12:40 |
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| HAN MES FOUS CHERIS D"AMOUR Ah je ne pouvais pas vous voir et ne pas venir O.O Bref je vous aimes et merci à tous =) | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Mer 3 Mar - 17:18 |
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| Pensez à finir vos fiches, ou à indiquer qu'elles sont terminées si vous voulez être validés. Ne nous laissez pas penser que votre fiche est inactive elle risque d'être déplacer à tord (ou à raison). Bon courage pour la fin. | |
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InvitéInvité
Ven 12 Mar - 11:02 |
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| Coucou =) Etant un peu surbooké, ma fiche avance mais un peu lentement c'est vrai. Cependant je n'abandonne pas Pandore j'espère l'avoir finie ce week ! | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Ven 12 Mar - 11:59 |
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| oki bon courage pour la fin alors | |
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InvitéInvité
Dim 14 Mar - 11:20 |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Dim 14 Mar - 12:53 |
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| TADAAAAM! :3 Je viens de finir ta fiche et j'avoue que la fin de Gabriel m'attriste v_v mais ... on ne peut pas s'y arrêter. En somme, tout me va, j'accepte la légilimencie et je t'envoie à Serpentard donc. (; Bonne chance, bienvenue et bon jeu! SERPENTARD! dortoir; tu es répartie dans la CHAMBRE 1 rang; tu peux demander un rang ici! inventaire; tu peux voir ça ici et les objets interdits ici. N'oublie pas d'aller réserver ton avatar iciN'oublie pas d'aller réserver ton avatar iciEt si tu veux commencer un RP à plusieurs, tu peux voir ici pour les scénards&missions. Voilà. Bienvenue et bon jeu! (;
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