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Robyn E. KinsburryETUDIANT.
► 1e année de POTION&BOTANIQUE.
► MESSAGES : 187
 Mer 21 Avr - 0:19 |
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| Le regard de Robyn se promenait sur l’horizon. Elle regardait le paysage qui s’offrait à elle sans un sourire accroché à ses lèvres. Elle s’en foutait de la beauté du parc de Poudlard. Elle considérait Poudlard, comme une étape de plus dans sa vie. Une étape importante pour aller toujours plus haut. Elle voulait monter toujours plus haut dans la hiérarchie, même si elle avait beaucoup d’argent. Robyn voulait avoir le monde où plutôt une grande partie du monde. Personne ne pouvait comprendre ses véritables intentions. Elle était une femme difficile à suivre. De plus, elle ne se montrait jamais sous son vrai jour. Si on savait… ? Elle ne voulait pas qu’on découvre qui elle était. Elle était loin d’être un ange ou encore une innocente jeune femme. Elle savait très bien ce que ça faisait lorsqu’on écartait les jambes. Elle le savait très bien, puisqu’elle n’était pas si innocente qu’elle le laissait croire. Les gens pensaient réellement qu’elle était ce qu’elle tentait de montrer. La serpentard avait connu ses écarts de conduite par rapport à ce qu’elle essayait de cacher au grand jour à poudlard où il y avait plusieurs garçons plus que canon à ses yeux. Elle ne pouvait dire que certains des garçons de cette majestueuse école ne lui plaisait pas du tout. Certains avaient beaucoup de charme, mais jamais elle ne devait aimer. Jamais, elle ne devait craquer pour la faire perdre son objectif. Jamais aimée, c’était la règle et elle ne changera point. Son regard dur examinait chaque détail du parc cherchant son chat qui s’était encore perdu ou enfui. Ce stupide chat qui n’était pas capable de retrouver son chemin. Ce stupide chat qui venait lui ronronner dans l’oreille la nuit. Pourtant, elle tenait à ce chat, comme s’il était le seul à qui elle aimait serrer dans ses bras lorsqu’elle vivait une déception envers ses plans ou encore lorsqu’elle était hors d’elle. Elle n’avait que son chat pour être la seule chose qui la faisait continuer sur cette route difficile de la gloire.
Son regard se posa sur un buisson qui bougeait un peu trop. Elle s’approcha du buisson et écarta les branches pour mieux voir ce qui se trouvait. Il y avait un chat jouant avec les branches. Ce chat se trouvait être son chat. Elle soupira s’allongea les bras pour aller le récupérer à travers les branches sans feuille. Il faisait plutôt froid dehors. C’était bien normal. L’hiver était bien présent et finissait bientôt. Pourtant, il faisait toujours aussi froid. Elle tenait son chat dans ses mains lorsqu’un vent du nord souffla sur le parc de Poudlard. Elle frissonna un instant. Il était temps qu’elle rentre pour se mettre à l’abri des courants d’air froid. Elle serra son chat contre elle. Elle ne devait pas le lâcher pour qu’il ne se perde pas à nouveau. Ce n’était pas le temps à nouveau de le perdre de vue, surtout lorsqu’il était un petit fuyard. Elle le savait, alors, elle ne se fera pas battre par un petit chat. Oh non. Elle se promettait de le garder en vue. Robyn décida de quitter le parc pour se réfugier à la chaleur réconfortante du château. Elle mit sur son visage d’ange un sourire pour se montrer des plus aimables lorsqu’elle était pour le moins du monde aimable. Elle était loin de ce qu’elle laissait paraître, elle était plutôt un petit démon qui attendait le bon moment pour faire du mal. Elle attendait le moment ou frapper ou elle pouvait faire le plus de dommage possible, mais en ce moment, elle devait jouer les hypocrites avec son chat dans les bras. Elle marchait rapidement en direction de Poudlard où elle rentra avant de s’épousseter le mieux qu’elle le pouvait dans le hall d’entrée. Il y avait quelques flocons sur son manteau. Elle tenait dans une main le chat. Elle vit Cem. Robyn eut un petit sourire pervers. Elle regarda tout autour d’elle avant de s’approcher discrètement de lui. Elle le tira par le chandail jusque dans un coin où personne ne les verrai. La Serpentard lui pinça une fesse et lui souffla doucement. « Je t’ai trouvé. Viens me chercher maintenant ! » Robyn se remit en marche en tenant toujours son chat. Elle montait rapidement les marches en regardant par moment s’il la suivait. Elle le voyait toujours la suivre. Elle gloussait par moment en gravissant les énormes marches. Elle s’arrêta devant la salle sur demande. « t’es en forme ? Parce que moi je me suis ennuyée. Il faut bien remédier au problème, non ? » un sourire pervers et des beaux yeux envers Cem. « Qu’en dis-tu ? » Elle lui lécha la joue. | |
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Cem AstierCRIMINEL. ► prisonnier à Azkaban.
► MESSAGES : 183
Mer 12 Mai - 21:29 |
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| Elle était venue le chercher. Cem ne l’avait pas vu venir ce qui lui déplu légèrement. Mais ce qu’elle avait à lui offrir lui fit oublier cette petite contrariété. Elle voulait se donner corps et âme à lui. Il la comprenait. S’il avait été à sa place il aurait surement fait pareil. Robyn lui avait pincé les fesses avec son faux regard candide. Ce regard qui amusait tellement le gryffondor. L’hypocrisie avait un nom, elle s’appelait Robyn Kinsburry. Par chance, Cem aimait l’hypocrisie, il aimait les défauts des gens en général.
അ Robyn : « Je t’ai trouvé. Viens me chercher maintenant ! »
Elle partit comme elle était arrivée. Comme une fleur qui se fermait au coucher du soleil. Ou plutôt comme un mal de crâne après qu’on ait avalé de la potion aux truffes. Il hésita un moment à lui foutre un gros vent. Il aimait bien contrarier l’Hypocrisie. Ca l’amusait de ne pas lui donner ce qu’elle voulait et de lui balancer à la gueule ses caprices de princesse. Il aimait aussi la sentir contre lui, et surtout savoir qu’elle ferait tout ce qu’il voulait. Son esclave. Elle était sienne et il en disposait comme bon lui en chantait. Le plus souvent il souhaitait juste lui faire du mal et la voir revenir encore et encore. Aujourd’hui il avait plus envie de prendre son pied qu’autre chose. Ses hormones le travaillaient. Robyn était parfaite pour le contenter. Le petit ange au sourire pervers avait de la chance, il ne lui foutrait pas un vent aujourd’hui.
Il la suivit jusqu’à la salle sur demande.
അ Robyn : « t’es en forme ? Parce que moi je me suis ennuyée. Il faut bien remédier au problème, non ? Qu’en dis-tu ? »
Plus que des réponses, Cem allait montrer à Robyn. Il lui sourit. D’une manière toute aussi perverse que ce que la jeune femme avait affiché plutôt. Il l’attira vers lui, la prit par la taille tandis qu’elle se mettait sur la pointe des pieds pour pouvoir lui lécher la joue. Il trouvait ca crade certes, mais assez excitant pour donner un petit aperçu de ce qui allait advenir. Il reconnaissait bien là Robyn, ses manières crues et ses sous entendus explicites. Une des mes de Cem glissa le long de la silhouette de Robyn tandis que l’autre alla se noyait dans les vagues de ses cheveux châtains. Son visage se rapprocha doucement de celui de son amante mais s’arrêta à quelques centimètres de ce dernier. Il attendit ainsi un court instant pour qu’elle fasse le premier pas, pour la faire languir, et pour lui montrer aussi qu’elle allait devoir donner du sien il posa simplement son front contre le sien.
അ Cem : « Qui te dis… Que je veux remédier à ton problème ? »
Il lui sourit, content de la faire patienter. Cem approcha encore un peu plus son visage d’elle, tandis que ses lèvres allèrent peu à peu effleurer la peau parfumée de son cou. Ses mains se firent légèrement baladeuses alors qu’il se reculait d’elle pour mieux pouvoir voir l’expression de son visage. Il ne comptait pas jouer longtemps avec elle. Le simple fait de l’avoir dans ses bras lui donnait envie de l’embrasser passionnément, de la jeter dans un lit et non pas de « faire l’amour » mais de coucher avec elle. Un pur besoin physique qui n’impliquait surtout pas de sentiment, ou alors seulement l’excitation d’avoir une femme en son pouvoir. Cem savait qu’il préférait avoir Robyn le démon contre son corps que le petit ange loin de lui.
A vrai dire Cem n’en avait absolument rien à foutre du fait que Robyn s’ennuie. Elle aurait pu avoir passé sa journée coinçait dans une salle vide qu’il n’en aurait rien eut à faire. Mais si il lui disait ca il ne risquait pas d’avoir sa partie de jambes en l’air, alors il se la ferma. Il le lui dirait après si elle commençait à trop blablater de tout et de rien. Les discussions de nana, c’était pas son truc. Il l’embrassa soudainement, la souleva comme une plume et fit passer les jambes de la jeune femme autour de sa taille tandis qu’ils passaient 3 fois devant la salle sur demande. Quel lieu voulaient ils ? Evident, non ?
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Robyn E. KinsburryETUDIANT.
► 1e année de POTION&BOTANIQUE.
► MESSAGES : 187
Lun 24 Mai - 3:02 |
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| Robyn avait trouvé Cem en parcourant les étages à la recherche de quelques choses avec quoi s’occuper. La serpentard avait besoin de s’occuper régulièrement avec le sexe ou encore en faisant chier le peuple. La jeune femme avait besoin de Cem pour se faire du bien, car il avait presque l’exclusivité sur elle. La seule chose qu’elle aimait faire avec lui, c’était le faire chier. Il pétait une coche lorsqu’il n’était pas le seul à la toucher. Robyn le trouvait sexe. Elle pourrait le regarder des heures qu’en le désirant. Que croyez-vous ? Robyn ne pourrait être amoureuse de lui… Ils finiraient par s’entretuer, surtout lors des grands moments de frustration de Cem. Il devenait plutôt violent. Il devenait un monstre, même s’il l’était toujours, mais pire que d’habitude. Il devenait imbattable dans son rôle. Il était Cem que voulez-vous de plus ? Il était comme il était. Elle ne pouvait le changer, car il était ce qu’il était. Pourtant, la serpentard n’était pas mieux que le rouge et or. Elle était ce qu’on pouvait qualifier de grande peste avec une gueule d’ange. Elle n’était pas sage, comme elle le faisait croire. Elle était hypocrite et serait prête à planter un couteau dans le dos du premier qui oserait l’offusquer ou la mettre dans une situation gênante pour sa fameuse réputation qui lui tenait à cœur. Pourtant, Cem connaissait la vraie Robyn. Il la tenait par les couilles, même si techniquement elle n’en avait pas. C’était une expression, comme une autre qui signifiait que Cem était maître de sa vie en partie. Si elle faisait un faux pas et que monsieur l’apprenait… elle était dans la merde jusqu’au coup. Ce dernier pouvait tout faire foirer. Elle savait qu’il tenait des preuves impossibles à dire que ce n’était pas vrai, car il y avait des choses, comme ses preuves difficiles à cacher, qu’on ne pouvait douter lorsqu’on les voyait. Pour tout dire, elle ne s’ennuyait jamais avec Cem, même s’i la mettait régulièrement hors d’elle. Pourtant, il était une source d’amusement intensif lorsqu’elle savait bien s’y prendre, mais c’était plutôt difficile, car il était changeant. Passons, pourtant, passons. Elle avait tenté de jouer au chat et à la souris souhaitant que ce dernier avait bien envie de la suivre. Elle se doutait bien qu’il aurait pu faire le chiant et qu’elle aurait du être la souris, comme d’habitude, mais bon… il fut gentil pour l’une de ses rares fois. Il l’avait suivi jusqu’à la salle sur demande. Elle avait vu juste, il avait d’une partie de jambe en l’air, mais elle se doutait bien que c’était que pour ça qu’il l’avait suivi. Elle n’était pas ignorante pour autant. Elle le savait pertinemment qu’il suivait que pour se « vider ». L’auteur s’excuse pour le langage cru par moment. Elle lui souriait, il lui souriait en retour. Il était tout près de la salle sur demande. Le jeu avait débuté entre les deux amants « démoniaques ». Il l’attira contre lui, elle ne montra aucune résistance même. C’était bien, très bien même. Robyn se mit sur la pointe des pieds pour lui lécher la joue. Étrange… Pourtant ce dernier ne sembla pas être dérouté par ses agissements, il était un habitué, c’était certain. Robyn le laissa faire lorsque ses mains se firent un peu plus baladeuse, même si ce n’était encore rien par rapport à habituellement. Il approcha son visage du sien. Elle le regardait. Il vint coller son front contre le sien. Robyn sourit encore plus. Elle mordillait sa lèvre inférieure. Oh non, il n’allait pas gagner. Il était certain qu’elle allait lui jouer le même jeu.
« Qui te dis… Que je veux remédier à ton problème ? »
« Parce que tu sais si bien comment t’y prendre ? » un sourire pervers se dessina de nouveau sur les délicates lèvres de la serpentard qui avait bien envie de s’amuser. La jeune femme garda son attention sur les yeux du démon qui se trouvait devant elle. Elle ne devait pas se concentrer sur ses mains qui se faisaient plus impatientes. Elle deviendrait à son tour impatiente. Elle ne devait absolument pas craquer pour lui permettre de gagner. Oh non. Il n’avait pas le droit de parler. Puis sans crier gare, le jeune homme l’embrassa. Elle fût déroutée, mais se reprit en répondant au baiser. Elle se sentit soulever, comme si rien n’était. Robyn laissa échapper un gloussement qui venait du fond de gorge. Ce qui mit rapidement fin au baiser, mais elle le reprit aussitôt. Il faisait des allez-retour devant un mur, mais cette dernière savait pertinemment pour quoi qu’il faisait ça. Elle connaissait ce qui se trouvait derrière ce mur. Ce que Cem attendait de voir apparaitre. Robyn vit du coin de l’œil la porte apparaître. Elle mit fin encore une fois au baiser. « Hum, qu’est-ce qu’on attend ? Allez rentre ! » dit-elle impatiemment ne touchant aucunement au sol. Elle commença à bouger un peu plus cherchant à le faire perdre patience et courir dans cette foutue salle. Robyn poussa d’une main la porte qui était non loin d’elle. On pouvait y voir un lit… un lit, c’était plutôt traditionnel, mais que réservait d’autre la salle sur demande sortit tout droit de l’imagination de Cem… | |
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Cem AstierCRIMINEL. ► prisonnier à Azkaban.
► MESSAGES : 183
Ven 4 Juin - 11:57 |
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| അ Robyn : « Parce que tu sais si bien comment t’y prendre ? »
അ Cem : « Pas suffisant. »
La seule bonne réponse à sa question aurait été : Parce que tu en meurs d’envie. Il avait envie de Robyn, l’avoir contre son corps, et plus. Est-ce qu’il avait besoin d’une autre motivation que celle-ci ? Non, certainement pas. Et par chance cette motivation était bien présente, c’est d’ailleurs pour cela qu’il n’attendit pas plus avant d’embrasser la belle serpentard. Il l’avait soulevé comme une plume, elle avait gloussé et lui avait commencé les cents pas sans oublier le but de l’exercice. Avec toujours en tête une seule et même chose. Elle allait être sienne, encore une fois. La porte de la salle sur demande apparu, et Robyn l’ouvrit. Elle avait l’air aussi impatient que lui, si ce n’était pas plus vu comment elle se frottait à lui. Elle savait viser juste, il mourrait d’envie de l’avoir tout contre lui, de caressait sa peau, et de se noyer dans ses bras.
അ Robyn : « Hum, qu’est-ce qu’on attend ? Allez rentre ! »
അ Cem : « Oh et puis pourquoi se cacher ? Ca ne te dit rien une partie de jambes en l’air en public ? Personnellement je trouverais ca plutôt excitant ! Non ? »
Ne jamais donner un ordre direct à Cem Astier, il faisait toujours le contraire de ce qu’on lui disait. Entre autre, cette fois, le jeune homme se contenta de plaquer Robyn au mur, sans entrer dans la salle sur demande. Un énorme sourire aux lèvres, on ne savait pas si c’était d’agir aussi futilement qui le rendait heureux, ou juste le fait d’avoir Robyn contre lui. Néanmoins c’était de loin les des meilleurs moments de sa journée. Son esclave avait le don de lui donner le sourire, même si ce n’était que ce sourire mesquin et pervers qui lui allait pourtant si bien. Il continuait de la porter, et ses baisers se dirigèrent vers son cou. Le gryffondor lâcha un peu prise de Robyn, pour commencer à relever sa chemise d’une main et à la glisser par ci par là de manière baladeuse. Quant à son autre main, elle prit la direction de sa jupe. Cem mordilla légèrement la peau du cou de la blondinette tandis qu’il ne bougeait pas d’un poil et rester ainsi en plein milieu du couloir. Peut être que quelqu’un allait passer par là, ce que Cem espérait bien. Ca le ferait vraiment rire, surtout de voir la tête de Robyn. Il la perdrait peut être à cause de ca, mais 100% de perte autorisé de toute manière… Il se trouverait un autre esclave au pire, même si Robyn était parfaite dans ce rôle.
Sans crier garde, Cem releva la tête et se mit à hurler à tue tête tout en riant allégrement comme un enfant.
അ Cem : « VENEZ TOUS VOIR QUI EST ICI ! »
Puéril. Oui, il l’était tellement… Il n’avait pas peur de rien, c’était ce qui l’avait amené à Gryffondor. C’était ce gout pour l’excessif aussi. Il garda Robyn plaquée entre le mur et lui, et lui sourit de nouveau. Ce sourire de démon qui lui allait si bien. Celui qui reflétait son fort intérieur et qui ne laissait aucun doute à ce qui le regardait : Cem Astier était un putain d‘enfoiré et surtout ca le faisait marrer. Mais une chose était sur…
അ Cem : « Maintenant au moins tu ne t’ennuies plus. »
Cem souleva encore un peu plus la jupe de Robyn tout en restant collé contre elle. Puis se remettre à l’embrasser, sans chercher à savoir si elle avait quelque chose à dire, et encore plus si elle avait envie qu’il la laisse. De toute manière elle ne pouvait presque pas bouger, il l’en empêchait, ou empêcherait. Il était vraiment tordu comme gars ce Cem, mais Robyn devrait le savoir, avec lui rien ne se faisait comme prévu. Il était si changeant qu’il se fatiguait lui-même parfois. | |
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Robyn E. KinsburryETUDIANT.
► 1e année de POTION&BOTANIQUE.
► MESSAGES : 187
Sam 26 Juin - 4:23 |
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| « Oh et puis pourquoi se cacher ? Ca ne te dit rien une partie de jambes en l’air en public ? Personnellement je trouverais ca plutôt excitant ! Non ? » Quoi ? Pardon ! Non. Jamais. Jamais ! pourquoi voulait-il défaire son plan machiavélique pour monter dans les échelons de la hiérarchie sociale ? Il n’avait pas le droit de lui fait ce coup de salop. Pourquoi le faisait-il alors ? Pourquoi osait-il de jouer avec son humeur qui était bon en ce moment ? Elle avait envie de s’amuser avec lui, mais l’envie disparaissait au fur et à mesure. Il faisait perdre tout envie de passer du temps ensemble dans le même lit. Elle n’avait pas envie qu’on la voit dans certaines positions qui diraient à tout le monde qu’elle n’est pas si innocente après tout ce qui gâcherait son plan d’augmenter dans l’échelle sociale. Elle ne pouvait le laisser faire pour détruire ce qu’elle avait bâti jusqu’ici. Non. Elle ne pouvait tolérer ça de lui. N’était-il pas supposé être son allié pendant qu’elle donnait son corps, comme une pute. Elle devait l’avouer que ce dernier avait une belle gueule et était incroyablement bon au lit, comme si on pouvait avoir un talent dans ce sport de lit. Pourtant, elle ne tolérait pas ce plan complètement foireux. Elle devait lui dire ce qu’elle en pensait. Elle ne pu tout simplement dire très froidement ceci : « non, vraiment pas excitant. » Elle avait émis un genre de grognement que Cem devait connaître à force de la faire chier. Croyez-moi ce n’était pas la première fois que Cem lui faisait ce genre de coup et elle savait que si elle ne tentait pas de l’arrêter, il n’allait jamais arrêter. Il allait aller jusqu’au bout de ses idées. Elle n’avait jamais osé le confronter dans le genre de lui répondre positivement sans lui donner le plaisir de la frustrée à mort. Elle n’avait jamais pensé à ceci malgré sa grande intelligence. Elle n’avait jamais pensé que peut-être agir ainsi aussi puéril que faisait Cem serait sa meilleure défensive. Elle n’y avait jamais pensé, mais peut-être que se serait la meilleure solution pour la Serpentard qui était fâchée. Elle ne cachait pas la frustration qui l’habitait en ce moment même. C’était horrible à quel point, elle lui cracherait au visage en ce moment même. Elle finit contre le mur juste au côté de la porte qui donnait accès à la salle qu’elle aurait espéré utiliser. Robyn eut un peu le souffle coupé. Cem n’avait jamais été doux dans ses mouvements. Elle le connaissait depuis bien trop longtemps pour savoir ceci. Elle avait la malchance d’être sa poupée d’une certaine mesure. Elle était sa « pute personnelle » dirons-nous. Elle n’aimait pas être la fille qu’il aimait faire chier d’ailleurs, mais elle semblait être cette fille en ce moment même. Ce dernier s’amusait seul dans le couloir avec le corps de la jeune femme qui était droit comme un piquet qui ne semblait pas du tout amusée. Sans crier gare, il lâcha son jeu dans son cou pour hurler à tue-tête : « VENEZ TOUS VOIR QUI EST ICI ! » Robyn se mit à gigoter de tout bord tout côté essayant de se défaire de lui pour lui en mettre un sur la gueule. Elle était fâchée. Terriblement fâchée. « Maintenant au moins tu ne t’ennuies plus. » Elle fronça ses pâles sourcils. « Crève. Crève. » répondit-elle tout simplement en sentant la main de Cem se faire plus insistante au niveau de sa jupe. Robyn n’avait pas vu ce coup. Il se mit à l’embrasser. Elle lui mordit si fort la langue jusqu’au point de le faire saigner. Il lâcha prise un instant. « Si tu veux jouer, ce n’est pas dans le couloir. Si tu veux jouer dans les couloirs avec moi, tu me maris pour me débarrasser mon vrai prochain mari. C’est ça ou c’est dans le lit, sinon je pars. » Elle était de très mauvaise humeur à présent. Il ne voulait pas l’écouter, alors just to bad, elle irait voir ailleurs. « Si tu ne veux rien savoir… j’irai voir ailleurs. Ce n’est pas compliqué Cem. J’ai tout à mon avantage. » Elle était complètement arrogante, mais elle avait bien le droit après avoir subi ce qu’il venait de faire. « Tu choisis… » | |
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Cem AstierCRIMINEL. ► prisonnier à Azkaban.
► MESSAGES : 183
Sam 26 Juin - 11:41 |
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| അ Rob : « non, vraiment pas excitant. »
Cem esquissa un sourire malsain. A croire que ce genre de chose l’amusait plus qu’autre chose. L’énervement de Robyn était palpable, ce ne faisait qu’élargir son sourire de démon. Le jeune homme ne lâcha pas son emprise, même si la serpentard était devenu de marbre. Il était de loin le plus heureux des deux. Mais c’était parce qu’il aimait pousser Robyn dans ses retranchements. Il était comme ca. Toujours imprévisible. Et souvent quand on pensait que la suite des événements étaient toutes tracées, il s’arrangeait pour modifier la donne, l’avenir, c’était lui qu’il le traçait, pas le destin. Tout détruire ne lui posait pas de problème du moment que c’était lui qui avait les cartes en main. Cem n’arrêta pas ses gestes, il continuait de tripoter la serpentard en plein couloir, et son envie se faisait plus présente de seconde en seconde.
അ Rob : « Crève. Crève. »
Cem rit sans se priver. Robyn serait surement triste si il mourrait, non ? Qui l’occuperait sinon ? Et puis sérieusement, dieu ne pouvait pas mourir. Il l’embrassa avec fougue et violence sans rien lui demander d’autre, et elle lui répondit d’une manière bien à elle. Il sentit le goût du sang dans sa bouche et la douleur traverser sa langue. Il se recula par réflexe et regarda la jeune femme d’un air mauvais. Il ne riait plus. Il la poussa violemment contre le mur et lui attrapa les poignets sans ménagement pour les maintenir dans le dos de la jeune femme. Il se pressa contre elle et resserra son emprise tandis qu’il l’avertissait plutôt courtoisement contrairement à son habitude. Il la toisa d’un regard mauvais, un spasme de colère déforma le temps d’une milli seconde son visage d’ange pour révéler sa nature de violence, d’excès et de folie. A ce moment là, il était capable de tout, et on ne l’agressait pas sans craindre le pire. Car il était capable de tout, sa folie le rendait ainsi. Et il n’avait aucun contrôle dessus.
അ Cem : « Ne joue pas à ca avec moi. Tu sais ce qu’il va t’arriver sinon. »
അ Rob : « Si tu veux jouer, ce n’est pas dans le couloir. Si tu veux jouer dans les couloirs avec moi, tu me maris pour me débarrasser mon vrai prochain mari. C’est ça ou c’est dans le lit, sinon je pars. Si tu ne veux rien savoir… j’irai voir ailleurs. Ce n’est pas compliqué Cem. J’ai tout à mon avantage. Tu choisis… »
Un ultimatum ? Il serra encore plus les poignets de la jeune femme de colère, malgré le fait qu’elle se débate. Et finit par la laisser tomber sur le sol sans crier gare et surtout sans ménagement. Le gryffondor pouvait sentir le sang tambouriner ses tempes d’énervement. Elle lui parlait de mariage, comme ca et lui collait un putain de foutu ultimatum ! Elle osait faire ca alors qu’il était sensé l’avoir à sa botte. Elle était son esclave après tout ! Il devait pouvoir faire ce qu’il voulait d’elle ! Et elle lui balançait un ultimatum ! Soit il l’épousait, allez savoir pourquoi, soit il devait se plier à elle et rentrer dans la salle sur demande comme le bon toutou qu’elle voulait qu’il soit. Ce qui était sur c’est que jamais il lui donnerait ce plaisir. Cem était maitre de son destin, rien n’était tracé pour lui, il prenait lui-même sa règle et décidait. Il décidait de tout, et jamais il ne se laisserait dicter quoique ce soit.
അ Cem : « C’est quoi ton délire de mariage là ? Et les gosses et la petite maison dans la campagne aussi tant que tu y es ? Tu vas porter une belle robe blanche avec des fleurs dans les cheveux et moi je serais déguisé en pingouin à côté à faire les maris devant les mondains ? Tu vis où là Robyn ? Tu sais très bien qu’il n’en est pas question. Tu te démerdes avec tes problèmes. Mais tu connais ma condition à ne pas révéler ton secret… Tu es à moi, et rien n’est à ton avantage dans cette histoire. Tu es à moi. »
Il lui tourna le dos, prêt à se barrer en la laissant seule avec son ennuie. Il fit trois pas avant de tourner la tête vers elle et à lui demandait d’un air mauvais…
അ Cem : « Qui c’est ton putain de futur mari ? »
Parc e qu’il comptait bien le faire souffrir celui là. Robyn ne serait pas la seule à en baver dans cette histoire. Ils allaient morfler tout les deux. Foi de Cem, le sang allait couler. | |
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Robyn E. KinsburryETUDIANT.
► 1e année de POTION&BOTANIQUE.
► MESSAGES : 187
Sam 26 Juin - 15:18 |
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| Robyn avait bien cherché Cem, mais Cem avait bien cherché Robyn. Ils étaient une bande d’enfant. C’était certain ! Ils étaient pires que des enfants, malgré leurs grandes intelligences. Ils étaient à deux de grands enfants voulant dominer le monde, mais Cem avait réussi à dominer la petite gamine qui traînait depuis un moment avec lui. Il avait réussi à faire d’elle un esclave. Il avait réussi à dompter cette bête. Elle était sauvage à sa manière. Indomptable pour certains. Mais lui, il avait trouvé le moyen de réussir à l’avoir que pour lui par moment, mais jamais au complet. La bête refusait catégoriquement de ne pas avoir l’exclusivité. Elle voulait lui montrer encore une fois qu’il n’avait pas totalement le dessus sur elle, même s’il avait bien des choses compromettantes à dire sur elle qui gâcheraient son plan avec quelques failles. Il était l’une des énormes failles. Elle devait le tuer pendant son sommeil. L’empoisonné ! à l’arsenic ? Au plomb ? Ou encore avec des acides connues dans le monde moldu ? Ou encore des produits forts pour nettoyer les choses se trouvant dans la maison ? Bref, elle n’était pas à court d’idée pour le tuer, pourtant la bête était furieuse. Elle était si furieuse qu’elle pensait à tuer un allié. Un ami. Un amant. Son maître. Elle venait de le mordre. Elle venait de faire couler le sang de Cem. Elle était furieuse. Elle avait horreur qu’il lui fasse ce genre de coup, mais elle l’avait mordu pour lui montrer qu’elle était capable de lui faire du mal. Elle n’était pas encore totalement soumise. Il devait encore user de stratagèmes pour réussir son coup en puissance. Bien vite, le petit maître qui se croyait pour Dieu déchaîna sa colère. Comme dirait les gaulois : Le ciel va nous tomber sur la tête. Mais non. Il n’avait pas encore ce pouvoir. La colère des dieux n’est pas déchaînée, puisqu’il était un mortel, comme tous les autres. Elle se retrouva face contre le mur ayant les bras dans le dos avec une pression qui lui faisait terriblement mal. Elle serra les dents pour ne pas laisser échapper d’énorme juron. Elle se faisait une clé de bras. C’était intense. Elle avait mal. Elle avait de plus en plus mal à chaque fois qui lui mettait de plus en plus de pression sur ses bras. Elle avait le courage de lui faire un ultimatum. Elle eut cette mauvaise idée, car il était de plus en plus fâché. « C’est quoi ton délire de mariage là ? Et les gosses et la petite maison dans la campagne aussi tant que tu y es ? Tu vas porter une belle robe blanche avec des fleurs dans les cheveux et moi je serais déguisé en pingouin à côté à faire les maris devant les mondains ? Tu vis où là Robyn ? Tu sais très bien qu’il n’en est pas question. Tu te démerdes avec tes problèmes. Mais tu connais ma condition à ne pas révéler ton secret… Tu es à moi, et rien n’est à ton avantage dans cette histoire. Tu es à moi. » Elle le regarda en fronçant les sourcils. Il avait pété un câble. Elle ne devait pas le laisser gagner. Jamais. JAMAIS. « Je ne veux pas vivre d’un mariage parfait, espèce de con. Je veux avoir le titre, c’est tout. Je ne veux pas une maison dans la campagne, je veux une immense baraque pour mieux s’y perdre. La campagne c’est sale et sa pue. T’es vraiment con han… » dit-elle tout simplement en crachant presque ses mots. Sale vipère! Mais elle aimait ça. C’était le vrai visage de Robyn. C’était une dur à cuire. Ce n’était pas chochotte qu’on voyait dans les films et qui ne voulaient pas se briser un ongle pour se faire entendre pour réussir ce qu’elles veulent. Robyn avait un physique de la mort, mais elle l’utilisait pour avoir du plaisir et obtenir ce qu’elle veut. Elle le fixait se retrouvant bien vite au sol prise sous lui. Elle était sur le sol et fixait son visage qui avait perdu toute innocence. « Qui c’est ton putain de futur mari ? » Il s’était levé. Il s’en allait, mais il devait toujours lui demander des choses. Elle grogna se remettant sur ses jambes. « Pourquoi je te le dirais ? » dit-elle tout simplement. « J’ai rien à te dire sur mon fiancé. » elle fit un sourire pervers et arrogant. « J’ai bien l’intention d’avoir une partie de jambe en l’air, mais ça ne sera pas avec toi… ça sera avec mon fiancé. Tu ne peux rien dire Cem. Tu ne maris pas, tu n’auras pas de partie de jambe en l’air. Tu sais pourquoi ? Parce que je suis aussi obligée de rester tranquille. On va me surveiller. On va surveiller que je donne un descendant à une longue lignée de sang-pur. Le petit salop a perdu la manche. Aouch. » | |
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Cem AstierCRIMINEL. ► prisonnier à Azkaban.
► MESSAGES : 183
Sam 26 Juin - 18:47 |
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| അ Rob : « Je ne veux pas vivre d’un mariage parfait, espèce de con. Je veux avoir le titre, c’est tout. Je ne veux pas une maison dans la campagne, je veux une immense baraque pour mieux s’y perdre. La campagne c’est sale et sa pue. T’es vraiment con han… »
Encore heureux qu’elle ne voulait pas d’un mariage si niais et dénué de sens. Cem aurait vraiment été déçu si ca avait été le contraire. Le jeune homme toisa la serpentard, il était énervé certes, mais il avait l’air de glace. La tête haute et le regard noir. Il détestait quand Robyn se rebellait comme cela. Elle le traitait de con, mais c’était elle qui allait se retrouver comme une conne au final. Pourtant Cem ne se défendit pas. Elle se contenta de se taire en la regardant comme si elle était la dernière personne sur terre avec qui il aurait voulu avoir à faire. Ca n’envisageait rien de bon, ni pour elle, ni pour lui… Il lui avait demandé qui était son fiancé, impatient de le rayer de la carte.
അ Rob : « Pourquoi je te le dirais ? J’ai rien à te dire sur mon fiancé. J’ai bien l’intention d’avoir une partie de jambe en l’air, mais ça ne sera pas avec toi… ça sera avec mon fiancé. Tu ne peux rien dire Cem. Tu ne maris pas, tu n’auras pas de partie de jambe en l’air. Tu sais pourquoi ? Parce que je suis aussi obligée de rester tranquille. On va me surveiller. On va surveiller que je donne un descendant à une longue lignée de sang-pur. Le petit salop a perdu la manche. Aouch. »
Cem sentit son sang bouillir dans chacune de ses veines. On pouvait clairement dire qu’il avait un problème d’ordre psychologique. Il ne supportait pas que Robyn lui parle comme cela, alors qu’elle était sensée lui obéir. Et surtout, il ne supportait pas l’idée qu’elle couche avec quelqu’un d’autre. Possessivité, folie et excessivité, la recette magique d’un Cem en bonne forme. Mais un Cem énervé… Ca pouvait finir facilement à l’infirmerie tout ca. Il n’hésiterait pas une seule seconde à faire mal à Robyn, surtout parce qu’il ne se maitrisait pas de toute manière. Quand il perdait son soupçon de raison qui lui permettait de presque vivre en société, ca finissait tout le temps mal. Il avait avancé à grands pas, pour agripper Robyn par les cheveux tandis qu’il la secouer sans remord en pointant l’index de sa main libre vers le visage de la jeune femme d’un air menaçant.
അ Cem : « Dis-moi qui est ton putain de fiancé !! En gros t’as deux solutions, Robyn ! Soit je lui pète la gueule si bien que tu vas te marier à un putain de légume, soit il te rejettera parce qu’il découvrira en même temps que toute cette putain d’Ecole que tu n’es qu’une pute ! Alors Robyn, tu choisis quoi ? Le titre avec le légume ou alors la honte et les trottoirs !?! Tu es à moi !! TU ES A MOI ! Si tu couches avec un autre, je te jure que toi aussi tu vas finir en putain de légume et avec la honte en prime! »
Il avait un regard de fou. Colérique, il méritait de mourir d’un anévrisme sur le champ. Il en tremblait presque de colère. Normalement il ne sortait pas si vite de ses gonds. Surtout que la plupart du temps il s’amuse de la situation, donc il n’avait pas à s’emporter comme cela. Mais quand on parlait de Robyn, il n’y pouvait rien, il ne le supportait pas. Il la repoussa violemment, ne supportant pas le fait de la toucher pour l’instant. Il avait l’impression qu’elle était sale, même si pour l’instant rien n’avait été fait, tout du moins, il le pensait peut être naïvement.
Il la toisa de haut en bas, et prit deux ou trois grandes inspirations et réussit à ravaler son avant de sortir sa baguette pour lui régler son compte. Ca aurait simple, efficace et libérateur. Cem leva la tête de manière fière, et regarda une dernière fois Robyn. Toujours excessif comme semblait l’être sa vie, il lui déclara d’un ton presque solennel, comme une promesse.
അ Cem : « J’en ai fini avec toi Kinsburry, si j’ai perdu une manche, tu as perdu la guerre. J’espère que le repas de demain soir te plaira. Te voir tomber de ton piédestal sera un beau spectacle pour moi en tout cas. Tu crois qu'il voudra de toi après ca ? »
Il avait dit cela calmement… Ce qui contrastait nettement avec sa crise qui datait pourtant de quelques simples secondes. Il n’était pas à gryffondor pour rien, il était impulsif. Mais il n’était pas malade mental pour rien, il était imprévisible. Robyn allait devoir bien la jouer maintenant, sinon le lendemain, elle serait déshonorée. | |
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Robyn E. KinsburryETUDIANT.
► 1e année de POTION&BOTANIQUE.
► MESSAGES : 187
Mar 29 Juin - 3:10 |
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| Elle le frustrait à mort et elle le savait. Elle était bonne pour le faire sauter les plombs, mais elle ne pouvait rien pour lui, car lui aussi l’avait fait péter un câble. Différemment certes, mais tout de même. Elle vivait de grande bouffée de frustration n’étant pas prête à se faire dominer. La jolie blonde ne voulait pas faire gagner, car elle en avait marre qu’il se joue d’elle ainsi. Elle ne pouvait tolérer qu’il décide en entier sa vie. Elle ne voulait pas vivre sur les menaces constantes qu’il allait montrer ses photos compromettantes. Comment racheter son coup pour qu’il ne les montre pas ? Elle ne savait pas comment. Elle n’avait pas envie que les gens découvrent qu’elle adorait écarter les jambes. Cem n’en avait pas conscience à quel point. Le fait qu’elle ait été le chercher pour se faire une partie de jambe en l’air dans la salle sur demande était une preuve assez grande qui signifiait beaucoup. Pourtant, il ignorait à quel point, elle aimait passer du temps avec le sexe opposé. Elle ne lui disait rien. Elle était bien assez grande, non ? Elle avait le droit de décider ce qu’elle voulait. Elle ne voulait pas lui dicter toute sa vie sachant qu’elle allait en prendre une en pleine gueule comme d’habitude, mais elle devait réparer ses erreurs avant qu’il ne soit trop tard. Cem était revenu à la charge empoignant violemment ses cheveux. Ce dernier ce mit presque à lui hurler dessus. « Dis-moi qui est ton putain de fiancé !! En gros t’as deux solutions, Robyn ! Soit je lui pète la gueule si bien que tu vas te marier à un putain de légume, soit il te rejettera parce qu’il découvrira en même temps que toute cette putain d’Ecole que tu n’es qu’une pute ! Alors Robyn, tu choisis quoi ? Le titre avec le légume ou alors la honte et les trottoirs !?! Tu es à moi !! TU ES A MOI ! Si tu couches avec un autre, je te jure que toi aussi tu vas finir en putain de légume et avec la honte en prime! » Elle fronça les sourcils en serrant les dents, parce qu’elle avait mal. Ça faisait tout de même se faire arracher presque la totalité de ses cheveux par un fou qui venaient de péter un câble. « Je ne t’appartiens pas. » répondit-elle calmement en serrant les dents. Mais merde ça faisait mal. Elle se sentait regard par ce dernier. Elle leva les yeux en sa direction essayant de lui faire lâcher ses cheveux blonds. « J’en ai fini avec toi Kinsburry, si j’ai perdu une manche, tu as perdu la guerre. J’espère que le repas de demain soir te plaira. Te voir tomber de ton piédestal sera un beau spectacle pour moi en tout cas. Tu crois qu'il voudra de toi après ca ? » Elle respira un grand coup. Elle devait abandonner le combat. Elle ne voulait pas perdre la face devant tous ses gens. « Cem, lâche-moi. Je n’irai pas voir mon fiancé, tu sais pourquoi ? Parce qu’on est forcé à se marier. On ne se désire pas. Je vais aller chez lui avec lui pour annoncer notre refus à se marier. Lâche-moi. Tu me fais mal. » Elle tenta de l’emmener vers la porte de la salle sur demande qui était toujours là. Elle tourna la poignée d’une main et poussa la porte tomba dans la salle sur demande en tombant presque sur le dos. Elle était couchée sur le sol avec ce dernier au dessus. Elle était prise, mais à l’abris des regards. « Que veux-tu que je fasse pour me faire pardonner ? » Elle venait de changer du tout au tout, mais elle se promettait de se venger et d’aller quand même coucher ave Greg. Mais chuuuuuut. Robyn regardait Cem avec des petits yeux de biche. Elle lui fit lâcher ses cheveux tout doucement et vint souffler au creux de son oreille « Une petite gâterie ça te dit ? » Elle avait totalement changé pour pouvoir ce sortir de cette merde qu’elle s’était foutue. Elle était dominée par ce dominateur qui se croyait pour dieu. C’était le seul moyen qu’elle trouvait pour survivre à ses attaques. Elle ne devait pas lui faire ce plaisir. C’était malsain, mais elle avait un plan qui prenait le dessus et qui ne devait pas être découvert. Une manipulatrice qui savait bien se débrouiller. tout simplement.
( Court et pourri ) | |
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Cem AstierCRIMINEL. ► prisonnier à Azkaban.
► MESSAGES : 183
Mer 7 Juil - 15:25 |
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| അ Rob : « Je ne t’appartiens pas. »
Cem sourit à ces mots. Elle avait l’air d’y croire en plus. Robyn était elle donc aveugle à ce point ? Pourquoi continuait-elle d’être sa putain si ce n’était pas le cas ? Juste parce qu’elle avait envie de lui ? On avait du mal à y croire vu les misères qu’il lui faisait régulièrement endurer. Elle devait le savoir inconsciemment, elle lui appartenait. Une fois la période de déni passé, elle l’accepterait. Et puis être un esclave n’a rien de dégradant, elle devrait se sentir honorée qu’il veuille d’elle en fin de compte. Au final, elle était juste la première d’une très longue série.
Et alors qu’il la regardait comme si elle était un simple insecte, la serpentard ne tarda pas à le supplier, ce qui ne fit qu’agrandir le sourire de ce malade de Cem. Est-ce qu’elle faisait bien de lui demander ca… ce n’était pas sur.
അ Rob : « Cem, lâche-moi. Je n’irai pas voir mon fiancé, tu sais pourquoi ? Parce qu’on est forcé à se marier. On ne se désire pas. Je vais aller chez lui avec lui pour annoncer notre refus à se marier. Lâche-moi. Tu me fais mal. »
Cem sourit comme un dément. Il se fichait des plaintes de la future Madame Kelso. Mais il savait que Robyn avait compris qu’elle devait se rattraper. Elle n’était pas bête, mais manquait cruellement de subtilité. Le comportement de la jeune femme avait changé du tout au tout, laissant ainsi comprendre qu’elle mettrait son orgueil de côté pour sa bonne réputation. Manœuvre que Cem ne pourrait décidemment jamais comprendre. Son orgueil valait bien plus que tout ce que les autres pensaient de lui. Il ne vivait pas pour eux, mais juste pour lui. L’opinion qu’il avait de lui-même ne saurait être dégradé par un avis extérieur et surement faux de toute manière.
Cem lâcha pourtant Robyn, il la laissa le mener dans la salle sur demande. Son visage s’était fait neutre alors qu’intérieurement il savait déjà comment cela allait finir. Robyn se faisait petite, telle celle qu’elle était vraiment. Inférieure. Elle avait peur. Peur qu’il ne largue sa bombe et que sa vie soit fichue. Cem la comprenait, si il avait été à sa place… Ah non, attendez. Il n’aurait jamais été à sa place, c’était impossible pour lui d’être aussi bête.
അ Rob : « Que veux-tu que je fasse pour me faire pardonner ? Une petite gâterie ça te dit ? »
Il la toisa de haut, alors que ses mains s’approchèrent de son visage pour le caresser avec délicatesse. Elles descendirent doucement en direction du cou de la jeune femme tandis que ses lèvres se rapprochaient de celles de la serpentard. Ses mains se descendirent de plus en plus et soudain elles s’arrêtèrent. Cem sourit de nouveau, profitant un peu de ce moment. Robyn avait pensé que ca serait facile de le faire changer d’avis. Elle avait pensé qu’on pouvait l’avoir si facilement. Mais Cem aimait bien plus jouer à la faire chanter qu’avoir une petite gâterie.
Il lui murmura donc, d’un ton mauvais, sans perdre son beau sourire d’ange.
അ Cem : « Ca fait plaisir de voir que tu n’as aucun honneur Robyn. Maintenant que je sais que c’est le cas. Je peux te détruire la conscience en paix, tu le mérites en fait… »
Une manipulatrice qui savait bien se débrouiller, hein ? Cem voyait plus une manipulatrice qui n’avait aucune emprise sur lui. Certes il aimait les parties de jambes en l’air avec Robyn, mais voir son beau visage déconfis valait tout les orgasmes du monde. Cem se redressa en adressant un dernier sourire à la belle serpentard. Qu’est ce qu’elle allait faire maintenant, hein ? Cela ressemblait belle et bien à une impasse. Même si Cem ne faisait plus que faire marcher la belle. Il ne ferait rien le lendemain, mais elle n’en savait rien. Et cette frayeur la ferait réfléchir comme il le faudrait. Elle n’en ressortira que plus docile. Quelle belle poupée… Belle esclave. Elle lui appartenait. | |
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Robyn E. KinsburryETUDIANT.
► 1e année de POTION&BOTANIQUE.
► MESSAGES : 187
Lun 9 Aoû - 5:01 |
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| Robyn le haïssait comme jamais. Elle ne lui appartenait pas. Elle ne pouvait pas lui appartenir, déjà qu’elle allait porter le nom de Kelso. Merde. Cem, il était loin d’être capable de la dompter, non ? En fait, il était simplement bon au lit et bon pour la cogner tout simplement. Il était un salopard, mais un salaud fou. Quoi ? Vous ne me croyez pas ! Je vous le dis, Cem n’avait pas toute sa tête, même s’il avait une tête. Il était un petit géni, mais il était complètement débile dans un sens. Il était étrange et incroyablement difficile à cerner. On ne pouvait jamais prévoir avec lui. Elle n’aimait pas être sa petite poupée, car il croyait qu’elle lui appartenait. Elle ne lui appartiendrait jamais. Robyn mourrait avoir atteint la vingtaine avec Cem Astier. C’était plus que certains. Savez-vous pourquoi ? Car il était complètement toc-toc, mais devait-on lui faire confiance pour autant lorsqu’il disait qu’il allait crier et hurler sur tous les toits les mensonges de Robyn que pour mieux la coincer dans tous ses jeux ? non jamais. On ne savait jamais ce que Cem Astier réservait à chacun. Bref pour tout dire, rien n’était certains avec lui. Elle ne pouvait pas laisser faire. Elle ne pouvait pas le laisser détruire tout ce qu’elle avait construit autour d’elle. Elle devait l’acheter. Mais à quel prix ? Elle était prête à laisser tomber sa dignité pour sauver sa peau du Gryffondor. Que ferait-elle pour avoir l’air d’une fille bien devant les yeux de tout le monde jusqu’au point de s’abaisser devant ce minable ? Bref, elle n’agissait pas normalement en le trainant jusqu’à cette foutue salle sur demande pour recommencer leur jeu, mais c’était trop forcé maintenant. Ce n’était pas fait dans les règles de l’art. Rien n’était fait dans les règles de l’art de toute manière avec Cem et Robyn. Elle l’embrassait dans le cou lorsque ce dernier sembla se décider à jouer avec elle tout d’un coup. Elle ne pouvait nier que l’envie revenait de plus en plus, mais elle avait plutôt peur la pauvre de voir ses plans se défaire que par le volonté de Cem alias Dieu. Elle devait le garder en tant qu’allier. Elle ne pouvait pas se permettre de le voir qu’autre que de ce statut. Elle gardait les yeux ouverts pendant qu’elle s’occupait à l’acheter dans son camp, mais apparemment, le garçon avait vu son jeu. Il était bien décidé à lui faire payer cher son manque de délicatesse envers ce dernier, lorsqu’elle l’avait fait saigner. Elle avait osé mordre à pleines dents sa jolie gueule. Il le méritait et c’est tout. Pour tout dire, elle le haïssait pour agir ainsi. Elle le haïssait plus que tout au monde. « Ca fait plaisir de voir que tu n’as aucun honneur Robyn. Maintenant que je sais que c’est le cas. Je peux te détruire la conscience en paix, tu le mérites en fait… » Robyn grogna sur le coup en regardant Cem les sourcils. «Tu n’as aucun droit de dire que je mérite tes saloperies, mais quoiqu’il en soit… je suis condamnée… T’es qu’un petit salaud de bas étage. J’ai toujours perdu mon temps à essayer de cacher le secret en croyant que tu étais mon allier. Petit connard. Crève en même temps. Étouffe-toi avec ta propre salive… ça va aider tout le monde pour vivre et respirer de l’air pure… Sur ce… » Elle tourna les talons frustré à mort.
( pourri... et je pense que c'est fini ) | |
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