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| de rêves antracites (1 session) | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Sam 17 Juil - 18:46 |
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| PS : J'espère que sa conviendra =) Après une journée des plus rudes, le jeune homme était vraiment fatiguer, il avait attendu ce moment toute la journée, le moment où il allait dormir, fermer ses yeux et ce laisser aller dans le pays des rêves. Il regarda autour de lui, il était seul pour le moment à ce coucher. Il s’enfonça dans son lit moelleux et doux. Qu’est ce qu’il était bien, il pourrait rester dans ce lit toute une journée. Il ramena sa petite couverture sur lui, les mains jointes sur son torse il allait plonger paisiblement dans le sommeil paisible. Il ne pensait plus a rien, il ne pensait plus a ces histoire de démons et autre, car il savait qu’il ne risquerait rien dans son sommeil, ils ne peuvent pas entrer, avec tout les exorcistes et autres.
C’est alors avec un sourire paisible qu’il s’endormi. Son rêve démarra alors, il était dans une petite clairière, elle était lumineuse, il avançait tout doucement dans celle-ci, il s’enfonçait de plus en plus dans la forêt rencontrant alors divers animaux, ils étaient beaux, je dis bien « ils étaient » car rapidement son rêve vira au cauchemar, quelque chose le poursuivait dans son sommeil. Et si il arrêtait de courir bête le mangerait sûrement, puis il s’arrêta, il n’entendait plus rien. Il regarda autour de lui des yeux semblait être présent tout autour de lui, il saisit sa baguette, il était étonner, il l’avait aussi dans son sommeil.
Le décor changea, il se retrouva dans un grand château, il le reconnaissait tout de suite, c’était celui de Poudlard, il était dans l’école, il décida d’avançait pour explorer les pièces, et bizarrement il appela, on ne sait jamais peut être qu’il y avait d’autre personne dans ce rêve.
« Il y a quelqu’un ? »
Sa voix raisonna, il avançait d’un pas calme, mais ses pats raisonnaient, et le château n’avait plus rien de rassurant, c’était beaucoup trop calme a son goût. | |
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Laël J. OridorSORCIER. ► pâtissier.
► MESSAGES : 248 Dim 18 Juil - 12:22 |
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| L'aigle était monté se coucher de bonne heure, alors que ses camarades préféraient jouer ou étudier dans la salle commune. Il n'était pas spécialement fatigué, mais il aimait bien se prélasser dans son lit, un bon pavé devant lui, laissant aller ses pensées à ça et là. Il finit par fermer son livre et éteindre sa lumière tellement tôt qu'il n'y avait presque personne de coucher autour de lui, et, ses yeux lourds de sommeil laissèrent son esprit s'en aller bien vite au pays des rêves. C'était d'ailleurs un rêve comme un autre, un rêve innocente. Laël ne faisait presque jamais de cauchemar, et il se souciait très peu des démons et de tout ce qui traînait dehors, il n'avait d'ailleurs pas tout compris, mais, loin de penser que les murailles de Poudlard étaient faillibles, il savait aussi qu'il était tranquille du moment qu'il dormait avec sa peluche, que sa mère avait ensorcelé pour qu'elle éloigne tous les mauvais esprits et les cauchemars. Mais, quand l'aigle se retourna pour mieux se mettre à son aise, à demi plonger dans son rêve, il ne fit pas attention et sa peluche innocente tomba dans les ténèbres qui habitaient sous son lit, et celles-ci aspirèrent le grigri avec une telle force que, s'il y avait des témoins, ils se demanderais qui voulait ainsi se saisir d'une telle chose. Mais il n'y avait personne qui y faisait attention et, bien vite, l'aigle se retrouva dans un monde enchanté, un monde où il avait sa pâtisserie et beaucoup d'étoiles cousues à sa poitrine, un monde où il avait su chasser les problèmes et désagréments quotidien grâce aux pouvoirs de la cuisines et des sucreries. Et il ne voyait que des sourires autour de lui, alors que des petits oursons en guimauve ensorcelés s'amusaient à danser dans la vitrine pour distraire les gens de la froideur de l'hiver, alors que la joie et la bonne humeur étouffaient les clients qui s'étaient aventurés dans l'énorme bâtiment en forme de donuts.
Mais bien vite, l'aigle s'agita dans son sommeil. Cela commença par un gâteau, un gâteau devant lequel plusieurs enfants s'émerveillaient de la cuisson dans un simple moldu. Un gâteau affreusement simple, au chocolat qui, pourtant, d'un coup, se mit à noircir, puis fumer, fumer d'une fumée trop noir pour être normal et, bien vite, tous les sourires disparurent et les gens, affolés, sortaient du magasin en courant, les oursons de guimauve les chassant à couts de sucettes taillés en pointe. Le bleu et argent, tant qu'il put, tenta d'éteindre le four, sauver le gâteau, ouvrir les fenêtres, mais, bientôt, il se rendit compte que la fumée l'aveuglait et, quand celle-ci se dissipa, il se rendit compte qu'il était pieds nus, dans l'herbe. Il se gratta la tête, se rendant compte qu'il était en fait dans le parc du château. Était-il somnambule ? Il ne fit pas attention au froid constant de l'air, et se dirigea vers les grandes portes, cependant inquiet. Il était souvent sorti prendre l'air le soir et, jamais il n'avait frissonné comme cela, comme si quelque chose avait changé. Il se frotta les bras, rentrant bien vite dans le rez de chaussé, faiblement éclairé par les torches. Le château ne semblait plus être ce qu'il était... L'aigle était-il bien réveillé ? Il se posa la question alors qu'il entendit des pas se rapprocher, et, bien vite, il se cacha dans un coin.
« Il y a quelqu’un ? »
La voix raisonna et le bleu et argent senti la personne s'approcher, ses pas résonnant trop bruyamment par rapport à d'habitude. L'aigle l'entendait bien, lui et son oreille atrocement affuté. Ce n'était pas vraiment les dalles du château sur quoi ses pieds étaient posé. Ça semblait plus... Compliqué. L'aigle retint sa respiration quelques secondes, avant de reconnaître un élève de Serpentard. Il ne lui avait jamais vraiment parler, mais, il avait cette intuition qu'il ne fallait mieux pas être seul en ces moments.
« Oui. » Il sortit de son coin, s'avançant vers l'autre élève. « Je suis Laël, un élève de Serdaigle, on s'est déjà croisé quelques fois si ne je m'abuse. » Il lui tendit la main, d'un air très sérieux. « Je... Je crois qu'on ferait mieux de rester ensemble, tout ne trouve pas tout ça... Bizarre ? » dit-il en roulant les yeux, faisant une moue. | |
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InvitéInvité
Dim 18 Juil - 18:11 |
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| Peu de temps après qu’il ait eu demandé si il y avait quelqu’un on lui répondit. Il se retourna et se retrouva nez à nez avec un jeune homme, un serdaigle visiblement. Il s’approcha de lui, il n’était pas du genre a rembarrer les gens si ils n’était pas de sa propre maison. Le garçon fut très poli puisqu’il lui présenta une main qu’il serra et ensuite déclina son identité. Le jeune vert et argent fit alors de même.
« Akira de serpentard, oui nous avons du nous croiser lors des repas ou autre je suppose. » Il distingua la peur dans la voix du jeune homme, lui aussi ressentait cela, mais rien ne paraissait réellement dans sa voix ou sur son visage, il devait garder son sang froid, après tout ce n’était qu’un rêve. « Oui tu as raison, je trouve ça bizarre aussi, qu’on se retrouve dans le même rêve, je ne savais pas qu’on le pouvait. »
Il resta au côté du jeune homme, il scruta le sol, le plafond, soudain une brise glacial lui parcouru l’échine, comment était ce possible, tout semblait clos pourtant, et si cela était une manifestation des démons tout compte fais ? Après tout ce qui c’était passer depuis il ne serait pas étonnant que se soit l’œuvre de l’un d’entre eux ! Tout cela commençait sérieusement à faire peur au jeune asiatique, comme peuvent ils pénétrer dans nos rêve, qu’est ce qui les pousse a faire ça ??
« Je crois que nous sommes piéger, ils ne faut pas être stupide pour le voir. Nous ne nous connaissons pas, et nous nous retrouvons, dans un Poudlard qui a bien changer et tout cela dans un rêve, c’est tout bonnement impossible sauf si il y a une force extérieur, c’est vraiment étrange tout ça, très étrange même, nous devons a tout prix sortir d’ici. Se réveiller serait la réponse, mais ce serait bien trop simple. »
Une main sur le menton, le jeune serpentard, semblait réfléchir à la situation. Tout cela était effrayant, piéger des jeunes dans leur sommeil, il fallait vraiment être cinglé et très intelligent pour une telle chose.
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InvitéInvité
Lun 19 Juil - 11:17 |
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| Dans le dortoir des dernières années des Bleus et Argents, tout le monde sautillait sur place, impossible de faire dormir les jeunes filles. Lorsque l’une criait, les autres répondaient en cœur, avant d’éclater d’un même rire. Ana était assise en tailleur sur son lit, un sachet de dragées surprises de Bertie Crochue coincé entre ses jambes et un sourire plaqué sur ses lèvres. Il était rare que les filles chez les Erudits décident de toutes se lâcher en même temps, et c’était avec une légère admiration que la jolie blonde observait le spectacle, avant de se lever et de rejoindre la danse. Sa main avait prit celle de sa meilleure amie, debout sur leur lit. Quelques heures plus tard, les filles étaient étalées dans leurs lits, empilées les unes sur les autres. La jolie ange était couché sur son lit, sa tête posé sur le ventre d’Avril et ses longues jambes croisées sur une autre Serdaigle. Les sourcils légèrement froncés, Ana ne semblait pas bien dormir, peut-être dans un autre monde ? En tout cas, sa main avait attrapé celle de sa meilleure amie et ne semblait pas prête à la lâcher.
Ana marchait dans une grande forêt, celle où elle allait avec son père, et Horus. Etrange, elle semblait avoir cinq ans. Quand elle jeta un regard à ses habits, elle se rendit compte alors qu’elle était habillée avec la robe de son enfance, d’une belle couleur bleue qui fait ressortir celle de ses yeux, des collants blancs, des chaussures vernies noires et un ruban de la même couleur dans ses cheveux. Elle ressemblait à une petite fillette d’un conte Moldu, perdue dans la forêt. Soudain, une silhouette se profila à l’horizon, prête à attaquer, redoutable, et poussait de redoutables grognements. La jolie blonde hésita juste une seconde avant de reconnaître son plus fidèle protecteur, le Lynx qui la suivait partout. Il partait déjà dans les profondeurs de la forêt, et Ana vit là-dedans un signe : elle devait le suivre. Elle se mit en route, lui couru après, mais jamais sans l’appeler… C’était presque comme si sa voix n’était plus. La Bleu et Argent le suivait de près, jusqu’à ce que son pied se prenne dans une racine et qu’elle finisse par tomber dans trou. Palapapalapapapa. Et durant cette longue chute, sa voix se perd, elle n’arrive même plus à crier. Et lorsqu’elle va toucher le sol, ça fera mal, elle le savait, alors la jolie blonde tente de se rattraper à quelque chose mais il n’y a rien. Finalement, ses pieds touchent en douceur les dalles froides qu’elle connait par cœur à force de les avoir foulées pendant sept longues années. Elle était donc de retour à Poudlard ? Oui, elle venait de retourner à la case départ, mais toujours habillé pareil. Etrange ce rêve. Finalement elle laissa ses pas la guider dans les couloirs, mais l’ambiance était étrange. Un air glacé glissa sur ses bras nus, et un long frisson la prit. Elle arriva au détour d’un couloir et entendit des voix, l’une elle la connaissait presque par cœur, et l’autre lui était inconnue.
Akira ▬ « …prix sortir d’ici. Se réveiller serait la réponse, mais ce serait bien trop simple. »
Alors elle dormait encore ? Mais pourquoi ils étaient là. Ana tourna au coin du couloir et vit les deux silhouettes, elle se rapprocha, semblable au fantôme de la petite Alice qui aurait prit quelques années, mais sans perdre de sa beauté. La Serdaigle sentit son cœur se serrer en voyant Laël, accompagné d’un Serpentard qu’elle avait déjà aperçue dans le château, et elle se mit à courir vers eux. Elle attrapa le bras de son compatriote des Bleus et Argents et le serra légèrement.
Ana ▬ « Mon dieu, Laël ! Qu’est ce que tu fais là… Qu’est ce que vous faites là ? »
La peur pouvait se sentir dans les grands yeux bleus de la Serdaigle qui se pressait contre son ami, et elle posa son regard sur le Vert et Argent, l’inconnu. Elle lui tendit une main timide, la jolie Alice, et lui fit un sourire.
Ana ▬ « Je suis Ana Souvorov, et toi ? » | |
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IsaiahCHAMPION de la peur.
► MESSAGES : 15 Mar 27 Juil - 14:12 |
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| Il avait suffit que chacun s'endorment pour qu'il se love dans un coin de leur rêve. Oh il était si discret, invisible pour tous, mais bien présent dans chacune des têtes pensantes de cette école. Et parmi celles là il en avait choisi trois. Trois au hasard, pour le plaisir du jeu. Un jeu dangereux pour eux, mais inoffensif pour lui. Qu'est-ce qui aurait bien pu lui faire peur désormais? Rien du tout, c'était à craindre. Il souriait dans un coin de rêve, écoutant les trois gamins discutaient entre eux. Ils étaient plus vieux en apparence. Mais ils tomberaient dans ses pièges parce que c'était toujours comme ça que ça se passait. L'une d'entre eux avait déjà la peur dans le coeur, les autres le doute mais ça commençait toujours de cette manière. Il y eut comme un feulement dans le noir, un feulement qu'Ana reconnaitrait et qui la rassurerait. Bientôt les ténèbres environnantes accouchèrent un félin, un lynx plus précisément. Un lynx qui répondait au nom de Zelig. De l'autre côté, le couloir dans lequel les trois élèves se trouvaient s'affaissa doucement. Les dalles de pierres anciennes se mirent à crépiter en silence et se changèrent en herbe et bientôt l'éruption de vert fit fondre tout le château autour d'eux. Ils se retrouvaient dehors, devant eux la plaine qui s'étirait lascivement, à perte de vue. Le ciel se piquer d'un soleil radieux, tel que le monde n'en avait plus vu depuis l'arrivée de l'enfer sur terre. Il faisait bon. Il n'y avait pas un nuage, mais une odeur d'été chaleureuse et agréable. Derrière eux, une forêt sombre au possible. Ils chacun pouvaient sentir le froid qui s'en dégageait et les glaçait jusqu'aux os. Le lynx recula de quelque pas, le poil un peu hérissé, il semblait vouloir écarter Ana des frondaisons noires. Isaiah lui observe, toujours bien présent, quelque part dans le décor mais bien sûr qui pourrait le reconnaître. Peut-être est-il ce papillon qui se pose sur l'épaule d'Akira, ou le petit caillou lisse sur lequel Lael a le pied posé. Un arbre. N'importe quoi. Pour l'instant ce n'est pas la première de vos préoccupations. Il vous faut d'abord régler cette question: de quel côté choisirez vous d'aller: la forêt ou la plaine? indication de jeu: chaque choix proposé au cours du jeu et attaché à une conséquence prédéterminée. A vous de faire le meilleur choix. Vous n'êtes bien sûr pas obligé de choisir tous la même réponse puisque vous n'aurez aucun moyen d'être sûr d'avoir la bonne. Bon jeu. | |
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InvitéInvité
Mar 27 Juil - 14:36 |
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| « Akira Ue, serpentard. » Fit il en se présentant à la jeune serdaigle. Il regardait autour de lui, c’était un rêve, le décor allait donc changer. Mais quel forme prendrait-il, puis soudain un feulement se fit entendre, et on put apercevoir dans la pénombre un magnifique félin, c’était un Lynx. Il le regarda approcher, il était si grand. Mais un bruit parvint aux oreilles du jeune homme, il regardait au fond du couloir quand il aperçut les dalles devenir de couleur verte, une prairie ? c’était bien cela, le château disparaissait pour laisser place à une immense prairie verte.
Le jeune homme regarda autour de lui, quelque chose se posa sur son épaule, un papillon. Il le chassa de sa main gauche. Un courant froid fit s’hérisser les poils de sa nuque, il tourna le regard, il distingua alors au loin une forêt noir et dense, le froid venait de celle-ci. Elle ne lui inspirait pas confiance, mais la plaine non plus. Il était certains qu’un choix s’imposait à eux, mais lequel devait il faire, après tout, il pouvait aussi très bien rester ici. Il s’adressa alors aux deux autre d’un ton clair et calme.
« Comme vous pouvez le voir, il est évident qu’un choix s’oppose à nous, la plaine ou la forêt ? »
Le jeune homme fit quelque pas vers la forêt, puis se rétracta et se dirigea vers la plaine, et fit demi tour, il était clair, c’est deux lieux n’avaient rien de normaux, même pour un rêve. Il prit alors sa décision, qu’il prit soin deux révéler à ses deux camarades.
« Je compte rester ici pour le moment, je ne souhaite pas m’aventurer là dedans tant que je n’aurais pas éclairci ce qui nous arrive. »
Il mit sa main dans sa poche, sa baguette était toujours là ce qui était bon signe. Il observa le ciel bleu de la plaine, il était clair que tout donner envie d’aller là bas, le soleil avait était tellement absent à poudlard depuis l’ouverture des portes de l’enfer. Mais le jeune homme était décider, il fallait vraiment une bonne raison pour le faire changer d’avis.
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