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| (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash (avorté/terminé) | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Lun 31 Aoû - 22:16 |
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| Edward Clash était un homme sympathique, ou presque. Alors qu'il était montré comme étant un homme dangereux et totalement irresponsable, sarcastique, violeur et, en somme, pas très recommandable, Edward Kennedy Clash était en réalité – ou tout du moins avec ses proches – quelqu'un de généreux et sympathique. Tellement sympathique qu'il avait laissé sa femme garder les enfants pendant que lui était sortit en ville, se changer les idées. Edward Clash ne se changeait jamais les idées, il allait en chercher d'autres, plus fraîches. Les mains dans les poches, derrière sa lourde veste de cuir marron, « à l'américaine » comme disait Maïka, Clash s'était arrêté devant une boutique. Au coin de la rue, il y avait une prostituée, mais la vitrine lui semblait plus intéressante. Il jeta un regard à la prostituée qui gloussa. Il aurait pu y aller, mais... il n'avait même pas envie. Pas qu'il était fatigué, non, mais la vitrine lui semblait plus intéressante qu'un petit lot qu'il aurait fallu payer de surplus. Tant qu'à dépenser cent livres, autant bien les dépenser. Il poussa la porte et entra l'intérieur. Le magasin sentait bon l'osier. Sa veste de cuir dégoulinait de pluie, et ses cheveux lui collaient aux tempes, mais il n'y prêtait pas attention. Il se dirigea entre les rayons, un regard calme. Ses lunettes noires cachaient un œil au beurre noir datant de la veille. Une mission qui s'était mal passé, qu'ils disaient. Il s'arrêta devant un petit ensemble rose et blanc. Il eut un sourire. Raven détestait le rose, elle préférait le vert et le bleu. Roselani aimait le rose : c'était une princesse. Sa petite princesse, à lui. Il releva la tête et croisa le regard d'une femme qui lui sourit.
« Vous avez des enfants? Ou... vous en attendez? - J'en ai treize, il eut un rire, et ma femme en attends encore un. »
La femme resta sous le choc et il détourna aussitôt le regard. Saleté de moldue, pensa t-il, et il tira d'un rayon un ensemble bleu. Raven. Et un ensemble rose, Roselani. Et un ensemble rouge, Haimi. Et d'autres, encore, et encore. Cent livres, cent livres dans des fringues, des cadeaux idiots. Les enfants Clash étaient pourris gâtés, et... ils ne s'en plaignaient pas. Il s'arrêta un instant devant un petit ensemble blanc et pourpre, un ensemble pour le futur petit Clash. Edward eut un sourire et posa le vêtement dans ses bras, allant à la caisse pour payer. Monsieur Clash, payer? Oui. Car avant la tempête, il ne faut jamais faire trop de vague. Il posa le tout et paya en liquide, sans un mot, puis sortit. Il regarda sa montre : il ne rentrerait que dans une demi heure. Maïka se dirait qu'il avait encore été avec une connasse, une de ses filles de basses mœurs, et il en sourirait idiotement, car il adorait la voir jalouse à en crever. Il se dit qu'après tout, il avait le temps d'aller à la librairie pour acheter un livre à Ellis. Il transplana au même moment sur le pré-au-lard et alla chez Fleury&Bott. Il en sortit quelques secondes plus tard, le sac de vêtement dans une main et trois gros livres sous son autre bras. « Magicomystère » pour Ellis, « l'Histoire de Vuk le petit loup » pour Raven et « Dessins des Cartes Chocogrenouilles » pour Roselani, histoire qu'elle ne tapisse plus le mur de dessins. Edward resta quelques secondes sous un porche et baissa la tête, fixant ses pieds, quelques secondes. Une patrouille d'auror passèrent devant lui, parlant, et Edward releva la tête. En temps normal, il se serait arrêté et les aurait tué, mais il était pris par le temps. Ça n'était que partie remise, pensa t-il, et il transplana. Le Manoir des Clash était une immense bâtisse, magnifique manifeste du temps. La multitude des enfants avait poussé le couple à acheter une maison, puis une grande maisson, puis une immense maison, puis un Manoir. De dehors, on entendait déjà les cris surexcités des enfants. Il était dix neuf heures, ils savaient tous que « Papa rentrait du travail », comme si Edward Clash était un père comme les autres. Il se dirigea vers la porte, inspira profondément et poussa la porte, accueillit aussi par douze têtes pimpantes, s'accrochant tous à ses jambes.
« Papaaaa! Haimi m'a volé ma poupée! - Haaan! C'est même pas vrai! C'est Raven! - La menteuse! Raven l'est avec Ellis! Rends moi ma poupée! - Papaaaaa! Elke elle mange les playmobils! - Papaaaaa! Drake il met des coups de pied à Suri! - Et Jeff il a priiiiis m'a poupééééée! »
Edward eut un rire et referma la porte. Maïka devait être dans la cuisine avec Kraft – de tous le plus maladroit. Clash donna les livres aux enfants et se dirigea, tant bien que mal, dans la cuisine, traînant derrière lui une nuée de piaillement. Il s'arrêta sur le seuil de la cuisine et regarda Maïka collait deux pansements sur le front de Kraft dont le nez saignait encore. Kraft, Jeff et Drake étaient les triplés infernaux, et tous les jours, un d'eux se blessait. Toujours à faire des conneries. Le père d'Edward Clash, quand il les avait vu, avait souligné qu'ils lui ressemblaient jeune, à Eliott et lui. Edward posa le sac de vêtements sur la table et s'approcha de sa femme, se penchant pour l'embrasser. Tous les enfants se turent, faisant une grimace de dégoût.
« Aaaah! Papa y mange Maman! - C'est trooooop sale! »
Les théories allaient bon vent parmi les têtes blondes. Edward Clash siffla et tous les enfants se turent, le regardant comme si Dieu venait de tomber sur terre. Clash était un Dieu pour ses enfants, car il était bon avec eux, généreux et compréhensif, bien qu'il savait mettre des barrières là où il fallait. Il s'écarta un peu, laissant le soin à Maïka de regardait à l'intérieur du sac.
« Cadeaux. »
Petit sourire, Edward Clash était fier de lui, comme toujours. | |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Lun 31 Aoû - 22:17 |
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| ( ce n'est vraiment pas super, mais je me rattraperai au prochain promis =D ) Qui aurait cru que Maika serait une mère aimante ? Peu de gens et surtout sa supposée meilleure amie Clara qui avait fini par trouver plus salaud que son mari. Maika n’avait peut-être pas le meilleur mari du monde, mais il était bien pour elle, au fond. Elle se plaignait de deux choses régulièrement qu’il n’ait pas de capote à chaque fois qu’ils couchent ensemble et de ses connasses – les filles qui se tapent quand il part travailler, même si ce n’est pas toujours ce qu’il fait -. Elle était une des femmes les plus jalouses qui pouvaient exister. Pendant le jour, elle mangeait ses bas en pensant qu’il était peut-être avec une femme qu’elle. Ça la dérangeait vraiment. Pourtant, ses enfants avaient le droit à la même maman, elle était là pour soigner les bobos, superviser le manger – les elfes s’occupent de cuisiner pour tout la bande, puis que quinze bouches à nourrir, en comptant les parents, bien sur, étaient réellement difficile – les occuper et finalement les envoyer se coucher pour la suite, car il y avait encore plusieurs des enfants Clash qui étaient en bas âge. Ellis pouvait s’occuper seul sans l’aide de sa mère qui serait un peu trop dérangeante dans sa bibliothèque emménagé spécialement pour lui dans le grenier. Sa mère interdisait ses frères et ses sœurs d’y aller, il décidait si oui ou non, Roselani et Haimi avait le droit d’y venir. Les jumelles étaient quand même sages, même si Roselani avait tendance à vouloir dessiner sur les murs de la maison, mais Maïka arrivait toujours au bon pour lui en empêcher. La métisse gardait toujours son calme avec ses enfants, même s’il lui arrivait de les punir, mais c’était normal. Il n’y avait rien à craindre, mais elle ne réussissait pas à toujours tout voir. Qui avait volé la poupée de qui ? Qui avait frappé l’autre ? Où était passé les triplés ? Ce qu’une des jumelles faisaient ? Elle n’avait pas des yeux tout le tour de la tête, mais elle essayait de garder le plus d’enfant dans la même pièce où elle pouvait en surveiller. C’est qu’au moment de la sieste qu’elle pouvait se relaxer et préparer la collation de l’après-midi. Elle avait un horaire qu’elle ne suivait pas tout le temps, mais elle savait à l’heure précise où son mari arriverait et ça elle avait terriblement hâte de le voir. Pourquoi ? Elle aimait être dans ses bras.
La jeune femme a toujours aimé Edward, même s’ils n’étaient pas le couple le plus parfait de la terre, ils étaient bien ensemble. C’est sur que par moment, Edward pouvait devenir violent, mais elle s’y était habituée à la fin. Elle cessait de le faire chier, préférant recevoir baisé et caresse que claque et insulte. Alors quand elle se disputait avec lui, elle finissait par sortir dehors et partait au fond de la cour du manoir pour respirer par le nez pour revenir ensuite à la maison en pleine forme, comme si rien ne s’était passée. Elle se relaxait en fait ne voulant aucun autres accidents indésirables arrivent comme dans le passé. Histoire que Maïka et Edward ont finalement oublié, mais ils ne voulaient tout de même pas que l’histoire se répète. Un soir, l’hawaïenne voulait un règlement de compte avec son mari à propos de ses connasses. Malheureusement, Edward n’était certainement pas de bonne humeur et par un malheureux réflexe il la poussa. Elle alla valser contre une table où elle cogna son ventre. Elle était enceinte et en se cognant, elle le perdit. Évènement malheureux ! Elle ne voulait plus que ça se répète, alors elle préférait en parler moins agressivement pour l’énerver, mais Maïka était jalouse. C’était son mari. Le père de ses enfants. Après, il le faisait avec elle. Elle passait alors, en dernier. Elle sentait leur odeur sur lui. Elle en avait le cœur sur le bord des lèvres. Sérieusement, ça la dégoutait. La métisse demandait donc des faveurs dans le genre d’aller ce nettoyé au moins. Mais passons…
C’est alors qu’il était l’heure. Edward arriva pile à l’heure et les enfants s’activèrent de nouveau. Elle était dans la cuisine en train de soigner Kraft. Le malheur avait décidé de faire tarzan dans la maison avec ses frères. Maïka l’avait retrouvé au sol bien assommé ayant quelques égratignures sur le front et le nez dégoulinant de sang. Elle avait assis Kraft sur le comptoir où elle se concentrait de lui faire sécher ses larmes et le soigner avec douceur, car il n’aimait pas qu’on le prenne pour une fillette comme il le disait. La métisse promis à son fils de ne rien dire que ça allait être leur petit secret. C’est là qu’elle aperçu son mari qui avait activé les enfants qui étaient moins bavards. Elle le regarda rentrer dans la cuisine où elle se trouvait pour soigner son pauvre petit Kraft. Elle sourit à Edward, ce dernier vint l’embrasser.
« Aaaah! Papa y mange Maman! » « C'est trooooop sale! »
Maïka eut un léger sourire de satisfaction après le baiser. Elle laissait ses enfants parlés. Ils avaient tant d’imagination que ça ne lui dérangeait pas vraiment. La métisse tenait un sac dans ses mains qu’Edward lui avait donné, mais elle ne s’attendait pas que ça soit pour aller sachant qu’il avait peut-être autres choses pour elle. L’hawaïenne entendit le sifflement que Clash émit pour que ses enfants se taisent. Toute la maisonnée tomba silencieuse. Il finit par dire cadeau après avoir obtenu enfin le silence. Elle ouvrit le sac pour regarder ce qu’il avait à l’intérieur. Elle regarda les vêtements qu’il avait achetés pour les enfants. Maïka releva la tête pour regarder Edward et lui sourit.
« T’as pensé à lui à ce que je vois ! Et moi tu me réserves… autre chose ? » Elle frotta son ventre avant de sortir le petit ensemble. Elle faisait aussi allusion aux sexes, mais ça c’était un détail qui ne concernait qu’eux. « C’est mignon! » La métisse devait montrer à ses enfants ce que leur père leurs avaient achetés. Elle le ferait plus tard, elle préférait laver les nouveaux vêtements avant que ses enfants les portent. C’était peut-être con, mais pour elle c’était d’une importance capitale. « T’as mangé ? » Sourire maintenant extrêmement forcé, car elle faisait allusion qu’il avait fait joujou avec d’Autres femmes, mais elle ne savait pas ce qu’il avait fait à la place. | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Lun 31 Aoû - 22:23 |
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| « T’as pensé à lui à ce que je vois ! Et moi tu me réserves… autre chose ? - Bien plus qu'à eux. »
Le sourire qu'affichait Edward ne sous entendait rien et voulait tout dire très explicitement ce qu'il voulait dire. Clash remit ses cheveux en arrière et posa sa lourde main sur la tête de Roselani qui le regardait alors avec des yeux brillants qui voulait dire « donne moi mon cadeau rose » car Roselani avait toujours un cadeau rose. Clash réfléchissait déjà à la mission de demain mais reporta finalement son attention sur sa femme.
« T’as mangé ? - A ma faim, ria-t-il, et toi, tu veux mangé? - Mamaaaaaan a déjàààà mangé! »
Edward eut un sourire moqueur et recula de quelques pas en arrière, alors que les enfants se ruaient sur le sac plein de vêtement et de cadeau. Des avions et des soldats pour les triplés, et un peu de tout pour le reste. Un diadème de plastique pour Suri, et tout le reste. Clash se dirigea tout simplement vers le salon, les gamins le suivant comme une nuée de sauterelle. Il alluma la télé et se posa sur le fauteuil qui trônait en face. Son trône, à lui et à personne d'autre. Il s'y assit et la nuée d'enfant se posa devant la télé, anesthésiés et silencieux devant le poste. Il prit la télécommande et regarda les émissions. Sur CNN, un moldu trouvait une balle dans la tête. CNN sorcière, un sorcier retrouvait déchiqueté dans la rue. Une élève de Poudlard disparu sur le Pré-au-Lard : Elladora Konstantine, recherchée. Une battue organisée dans la forêt interdite... appelez au. Zappage. Le soir, il n'y avait jamais rien que les émissions stupides. Il mit la 188 et les enfants restèrent scotcher à la télé. Edward se leva, agacé, et montra la fauteuil du doigt à Ellis qui s'y posa. Le fauteuil du « roi », un prestige immense. Clash se dirigea une nouvelle fois vers la cuisine où Maïka finissait d'essuyer la vaisselle. Clash ferma la porte et se posa sur une chaise, regardant Maïka, fixant ses courbes derrière sa robe légère, un sourire satisfait aux lèvres.
« Tu as fait quoi de ta journée? Tu ne t'es pas trop ennuyé de moi? »
En théorie, Edward ne parlait pas de sa vie personnelle à Maïka, des « missions », et encore moins des sorciers que l'on retrouvait mort un peu partout dans le monde. Il taisait tout cela, même si quelque part, il savait qu'elle savait. Il regarda la porte et soupira :
« Ils n'ont pas été trop infernaux, tous ensemble? Demain matin, je suis convié à une petite fête... demain après midi, on ira les amener à la mer. Et demain soir, on irait bien dîner? »
Un mot lâché au hasard, Edward vivait jour après jour. | |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Lun 31 Aoû - 22:23 |
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| « Bien plus qu'à eux. » « Je n’en doute pas… » Dit-elle en le regardant rapidement avant de regarder tout autour ses enfants qui regardaient leur père. Elle savait ce qu’il voulait dire, mais elle espérait fortement qu’il ne la fasse pas trop chier ce soir. En plus, elle savait ce qu’il l’attendait ce soir, une nuit avec Edward bien torride, comme d’habitude. Pourtant, elle ne savait pas. Qu’est-ce qu’il lui réservait réellement ? Une nuit dont il profiterait plus qu’elle ou une nuit qu’il lui ferait profiter… ? Maika n’en savait rien. C’était ce qu’il allait lui montrer plus tard dans la soirée pendant que les enfants dorment ou encore demander à Ellis de surveiller ses frères et ses sœurs pendant qu’eux jouent à le papa et à la maman dans leur chambre. Parfois, elle avait l’impression d’être un enfant, puisqu’il la punissait autant qu’un enfant quand elle ne le respectait pas, en fait quand elle ne l’écoutait pas. Super pour une adulte de son âge ! Elle a l’impression d’être au même niveau des enfants par moment, sauf avec un petit plus sous la couette avec lui puisqu’elle n’est pas sa progéniture, mais bien sa femme. Ce n’est pas pour rien qu’Edward Clash s’intéresse à elle, elle a un beau corps ainsi qu’un caractère de chien par moment, mais elle reste sa femme, donc elle se fait régulièrement passer dessus par lui puisqu’elle reste sa femme, accessoirement son jouet sexuel ainsi que mère porteuse.
« A ma faim et toi, tu veux mangé? » « - Mamaaaaaan a déjàààà mangé! » « Nan, moi je n’ai pas envie de manger de la saucisse et encore moins envie de me faire brouter. » Elle lui fit un de ses sourires à la manière d’une vraie bitch. Elle était frustrée par la réponse d’Edward. Il en avait eu une dans son lit. Maïka se comportait en parfaite jalouse, mais c’était compréhensible. Elle aimait réellement son mari et le savoir avec une autre la fâchait à un tel point qu’elle ne se contrôlait plus sur ses paroles. Elle était sure qu’il le savait. Elle regarda ses enfants sautés sur leur père. Elle était bien trop énervée pour dire quelques choses sans que ça ne sorte méchamment. Elle ne voulait pas qu’un accident malheureux arrive. C’est toujours la métisse qui finissait par se retrouver au sol ou blesser. Alors elle se fermait détournant le regard et les ignorants presque. Elle se concentrait sur d’autres choses. Elle regarda la vaisselle qui n’était finie. Elle avait décidé de la faire ce soir, car elle s’ennuyait, mais bon. Les enfants ne la laissaient jamais vraiment la finir, car un se blessait, l’Autre se bagarrait, l’autre criait qu’on lui avait brisé ses crayons… C’était les cris, pendant des heures, mais au fond Maïka les aimait tous quand même, même si elle avait l’impression qu’ils préféraient leur père. Edward partit avec tous les enfants écoutés la télévision. Elle alla vers levier pour continuer la vaisselle qu’elle avait commencé plus tôt. Il en restait peu, mais elle devait tout de même finir ce qu’elle avait commencé. Bien vite, elle entendit quelqu’un rentré de nouveau dans la cuisine, ça ne pouvait qu’être Edward, vu qu’il ne criait pas maman en rentrant, en plus ses enfants étaient bien plus bruyant que ça, sauf Ellis, mais ça elle le reconnaitrait même à ça. La métisse sentait le regard de son mari sur elle qui portait une légère robe printanière. Elle continuait la vaisselle en décompressant comme elle le pouvait.
« Tu as fait quoi de ta journée? Tu ne t'es pas trop ennuyé de moi? Ils n'ont pas été trop infernaux, tous ensemble? Demain matin, je suis convié à une petite fête... demain après midi, on ira les amener à la mer. Et demain soir, on irait bien dîner? » Elle se retourna en fronçant les sourcils. « Oui je me suis ennuyée, depuis près de neuf ans que je reste enfermer à m’occuper des petits et être enceinte pour ensuite te voir rentrer triomphant à la maison. En plus, tu me nargues. Tu sais très bien ce que je pense de tes connasses » Elle respira un grand coup. Elle finit la vaisselle restant silencieuse quelques instants, avant de s’essuyer les mains après avoir vidé l’eau de levier. Elle fit volte-face pour le regarder enfin. « Je suis jalouse qu’elle prenne ma place. Je suis dégoutée de penser ensuite que tu viens me voir pour qu’on couche ensemble. Est-ce que tu te protèges avec elle ? Si un jour, tu te prends une maladie Edward ça pourrait avoir de grande conséquence sur moi et les enfants ? Tu crois que j’aimerais qu’on se chope le sida ? » Elle était tellement sérieuse sur ce coup. Elle s’approcha de lui, remonta légèrement sa robe pour venir s’asseoir en califourchon sur Edward. « Veux-tu vraiment voir ta femme, le reste de ta progéniture mourir par une maladie que tu as emmené ici ? » Elle soupira une dernière fois. « Depuis quand tu prévois en avance ? Puis, manger nous deux ensembles ou avec tous les enfants ? » Elle l’embrassa passionnément avant de mettre fin au baiser. « Tu sais que je tiens à toi… et tu joues sur ça pour voir à quel point tu me manques… ! » | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Lun 31 Aoû - 22:25 |
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| Tous les enfants ont une préférence, sur quel parent ils aiment le plus. Ça fait sans doute très mal d'apprendre que son propre enfant préfère son conjoint à soit, mais il fallait se faire une raison : l'enfant savait toujours choisir lequel était le mieux pour lui – à partir d'un certain âge. Edward regarda la tripotée d'enfant devant lui qui fixait la télévision. Seul Ellis restait en dehors, un livre à la main, silencieux comme un cercueil. C'était Ellis, en somme. Edward se releva, ennuyé. Il avait beau avoir l'air d'un papa triomphant et glorieux, il n'en restait pas moins un homme qui n'était à la maison que pour manger, et dormir. Dormir... il ne pourrait pas dormir sans avoir toucher Maïka. Il serra les dents et reprit de la substance, s'affichant avec un large sourire – comme à son habitude – et entra dans la cuisine où Maïka était au dessus de l'évier, faisant la vaisselle. Edward tira une chaise et se posa dessus. Durant toutes ses années, il avait toujours regardé sa femme comme étant la plus jolie de toute, et il devait avouer qu'il en était plutôt fier. Comment d'homme se serait damné pour être à sa place? Il l'ignorait, mais ce qu'il savait, c'est qu'il n'était pas qu'un ou deux, mais sans doute des centaines. Le regard baladeur ne fit même pas ciller May, mais il persista, cherchant à voir si cette fameuse robe printanière lui dévoilerait un peu plus, toujours plus... mais rien. Maïka était fâchée. Il y avait de quoi aller s'excuser – surtout que c'était un mensonge – mais Edward aimait voir l'hawaïenne en colère, prête à lui jeter une assiette sur la tronche au premier mot de travers – ce qu'elle n'aurait jamais fait, de peur de représailles. Il ne se sentait pas réellement fort en faisant cela, mais il en tirait une jouissance extrême, une de celle qui sert l'estomac dans un plaisir immense. Il garda un sourire large, moqueur et arrogant.
« Tu as fait quoi de ta journée? Tu ne t'es pas trop ennuyé de moi? Ils n'ont pas été trop infernaux, tous ensemble? Demain matin, je suis convié à une petite fête... demain après midi, on ira les amener à la mer. Et demain soir, on irait bien dîner? Il avait dit cela d'une voix enjouée. - Oui je me suis ennuyée, depuis près de neuf ans que je reste enfermer à m’occuper des petits et être enceinte pour ensuite te voir rentrer triomphant à la maison. En plus, tu me nargues. Tu sais très bien ce que je pense de tes connasses. Elle était visiblement très fâchée mais Edward garda son sourire hautain et répondit, au tac-au-tac, alors qu'elle finissait les derniers morceaux de vaisselle : - T'être fidèle n'était pas dans mes engagements. Tu étais bien contente de m'avoir il y a neuf ans, ne me dis pas qu'aujourd'hui, tu manques de quoi que ce soit? Il arqua un sourcil, ais-je déjà fait quelque chose que tu m'avais proscrit de faire? Ais-je amener une de mes pétasses à la maison? Non. Alors, les réflexions... - Je suis jalouse qu’elle prenne ma place. Je suis dégoutée de penser ensuite que tu viens me voir pour qu’on couche ensemble. Est-ce que tu te protèges avec elle ? Si un jour, tu te prends une maladie Edward ça pourrait avoir de grande conséquence sur moi et les enfants ? Tu crois que j’aimerais qu’on se chope le sida ? - Je ne me tape pas n'importe qui, siffla t-il, je ne prends pas la première junkie en manque qui passe. As-tu déjà eu une maladie? Il arqua le sourcil, en neuf ans, aucune maladie, et aujourd'hui, tu t'inquiètes? Connerie, tu dis ça pour me faire culpabiliser. Ce n'est qu'un argument de plus pour que j'arrête d'aller voir ailleurs... alors par pitié, n'implique pas les enfants dedans. Il la regarda s'avancer vers elle, s'assoir à califourchon sur lui et il grimaça, je suis pas vraiment sûr que ce soit une bonne idée que tu te mettes comme ça, sur moi... - Veux-tu vraiment voir ta femme, le reste de ta progéniture mourir par une maladie que tu as emmené ici ? - Arrêtes avec tes histoires de maladie, persifla t-il une nouvelle fois, être comme ça, sur moi, et dire ça.. c'est vraiment un tue l'amour. Pire qu'une gaine sur un top model. - Depuis quand tu prévois en avance ? Puis, manger nous deux ensembles ou avec tous les enfants ? - Si on passe l'après midi avec les enfants, je pourrais demander à mon père de les garder demain soir, pour qu'on soit tranquille, toi et moi... sa main s'était – instinctivement – posée sur la cuisse de l'hawaïenne, et remontait lentement sur cette dernière, alors qu'il répondait au baiser passionné de la jeune femme. - Tu sais que je tiens à toi… et tu joues sur ça pour voir à quel point tu me manques… ! - Je suis un grand joueur... j'adore jouer. Ma passion, c'est le keno. »
Il eut un rire et passa son bras autour de la taille de l'hawaïenne, puis se leva, la tenant contre lui, et murmura du bout des lèvres :
« J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai menti... tu me fais à manger? »
Le sourire voulait tout dire, et étrangement... Edward Clash était sérieux, sérieux et taquin à la fois, avec un sourire qui disait explicitement qu'il la voulait, tout de suite, maintenant... mais pas ici. Pas dans la cuisine alors que les enfants étaient juste à côté. Un minimum de savoir vivre que le vieux Clash lui avait enseigné entre deux coups de canne sur la tête.
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Lun 31 Aoû - 22:26 |
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| Maïka était une merveilleuse mère au foyer qui s’occupait très bien de ses petits. Elle les aimait. Ils étaient ses petits rayons de soleil. Ses enfants étaient tous différents, mais elle les aimait autant les uns aux autres. Pourtant, il y avait encore un peu de favoritisme pour l’aîné qui restera toujours son petit prince. Ellis était si différent de ses autres frères et sœurs. Il était si éloigné, mais il était si gâté par sa mère qui se sentait obliger de le faire. La métisse croyait à chaque fois qu’il était fâché contre elle, puisqu’il n’avait pas l’air de voir que Maïka existait. Elle lui avait donc fait une bibliothèque dans le grenier seulement pour lui. Il était le seul à pouvoir y accéder à part s’il désire la compagnie des autres enfants qui peuplent le manoir Clash. Par moment, l’hawaïenne montait au grenier pour regarder Ellis lire, mais il ne la regardait aucunement. Elle avait l’impression qu’il ne l’aimait pas. Savait-il pour ce qui s’était passé quelques mois après sa naissance ? Qu’elle a du le délaisser de force pour aller finir ses études à Salem. Peut-être qu’il lui en voulait ? Elle devait arrêter de croire ça, Ellis était ainsi. Il ne parlait pratiquement jamais. Pourtant, elle avait l’impression qu’Edward était bien plus proche de son fils, c’était peut-être qu’elle l’avait parti pratiquement six mois sans le voir régulièrement qui avait changé son aspect sur sa mère. La métisse aimerait bien que son fils lui parle une fois, qu’il lui dise qu’il l’aime, mais c’était sûrement trop demandé à un Clash… après tout. En fait, elle aimerait pouvoir avoir une conversation avec ce dernier qui avait l’air à ne pas l’aimer, mais elle se trompait…
Elle faisait la vaisselle rarement, mais en ce moment, elle avait décidé de la faire. Elle devait se calmer. Elle était bien trop jalouse en ce moment. Elle lancerait tout sur tout le monde qui se trouvait dans le manoir en étant complètement hors d’elle, mais si elle ose lancer un objet en direction d’Edward, elle va se faire punir comme un enfant. Maïka tentait de respirer et se changer les idées. Edward pouvait être réellement chiant. Elle n’avait pas vu son mariage de cette façon quand il l’avait épousé, car elle était enceinte d’Ellis. Pourtant, elle ne regrettait pas. Le seul regret qu’elle avait, c’est qu’elle ne pouvait rien faire pour le changer. Elle aimerait tant avoir l’exclusivité. Elle savait très bien qu’elle ne l’aura jamais puisqu’il se disait malade. Malade de quoi ? Elle n’en avait aucune idée. Il le savait qu’elle aussi avait un problème à propos du sexe, qu’elle voulait toujours plus quand elle n’en avait pas besoin, ce qui donnait au fond qu’elle en voulait deux fois par jour et peut-être même plus. Il rentra dans la cuisine où elle se trouvait en train de faire la vaisselle toujours aussi fâchée, mais elle sentait la colère la quitté peu à peu, même si elle était bel et bien présente. Il resta silencieux, mais elle sentait son regard poser sur elle. La métisse l’ignorait. Elle finit de faire ce qu’elle avait commencé avant de s’essuyer les mains. Une longue discussion sans suivit le laissant répliquer sans rien dire. C’est vrai, elle n’avait pas eu de maladie, mais elle espérait tout de même ne jamais en avoir. Elle ne lui pardonnerait jamais. L’hawaïenne voulait rester aussi longtemps que possible près de ses enfants. Elle s’était assise en califourchon, remontant sa robe pour mieux se placer, sur Edward qui se trouvait sur une chaise. Elle l’avait aussi embrassé, sentant ses caresses… Elle devina tout de suite qu’il avait envie de petite sauterie dans un lit, mais elle ne dit rien. Il passa son bras autour de sa taille avant de se lever. Maïka était maintenant debout collée à Edward.
« J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai menti... tu me fais à manger? » « Non, tu dois le gagné ton mangé. » Elle voulait jouer, mais en même temps, elle voulait tout simplement faire sa chiante, puisqu’il l’avait fait un peu chier. Elle n’avait pas envie de se donner au facilement, même si elle en avait envie. « Puis qui va surveiller les enfants, si nous sommes au lit ? » dit-elle en lui mordant le lobe d’oreille. Elle joua avec le lobe d’oreille de Clash un petit moment sa langue avant de se reculer un tout petit peu. « Tu voudrais connaître, ce qui est sous la robe… » Elle souleva un peu le rebord de sa robe en se penchant pour laisser voir son magnifique décolleté à son mari avant de se remettre debout. « Mais… » Elle lui fit un de ses sourires pervers. « Tu devras trouver comment. » | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Lun 31 Aoû - 22:27 |
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| La plus part des personnes qui connaissent Edward Clash, de loin ou de prêt, vous dirons que c'est un homme violent, abominable, qui parle crûment et qui n'a – sans doute – eut aucune éducation. Clash était loin d'être cela, mais ce genre qui choquer, il l'aimait presque autant que sa femme. Presque. Il la regarda s'asseoir sur lui et comme par réflexe, il posa ses mains sous elle, et la souleva, déjà prêt pour le premier round. Edward et Maïka, c'était tout un monde, c'était une bataille de tous les jours. Il se battait pour ne pas la briser, et elle, elle se battait pour le garder. C'était une guerre constante, habituelle, qui était – au final – devenu un jeu assez sympathique, presque divertissant. Il arqua un sourcil, et dit d'une voix pleine de sous entendu, mutin :
« J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai menti... tu me fais à manger? - Non, tu dois le gagné ton mangé. »
Il eut un sourire et pencha la tête. La question n'était pas quel était le manger : il savait pertinemment que c'était elle, son dessert. Non, la question était actuellement : comment le gagner? Et dans ce cas là, était il d'humeur ce soir à jouer avec elle? Car si Clash était aimant – plus que pour ses conasses – avec sa femme, il n'en restait pas moins lunatique et un rien pouvait le mettre en rogne et le pousser à dire des mots qu'il regrettait – ou pas – tôt ou tard. Il arqua un sourcil, curieux :
« Puis qui va surveiller les enfants, si nous sommes au lit ? - Ellis peut les surveiller, comme d'habitude... tu sais que c'est pas un problème pour nous. »
Il eut un petit rire en sentant les dents de Maïka sur son lobe d'oreille et eut un large sourire : elle savait qu'elle perdre à ce jeu, car si Clash était patient – sur certaines choses – d'autres restaient une affaire d'humeur. Fallait-il encore que l'américain soit d'humeur à supporter la petit jeu de l'hawaïenne. Et elle se recula. Il affronta son regard et rapprocha son visage du sien, sans pour autant l'embrasser. Non, trop facile... à savoir qui avait le plus besoin de « manger ».
« Tu voudrais connaître, ce qui est sous la robe… le regard intéressé de Clash plongea dans le décolleté de sa femme et il accusa le coup avec un sourire appréciateur. Mais… Tu devras trouver comment. - Oh mais je sais... »
Il se dirigea vers le salon, ouvrit la porte, et ordonna à Ellis de surveiller les gamins, qu'aucun ne puisse sortir de la pièce, car les deux devaient discuter de la sortie de demain. Les enfants restèrent fasciner par la télé et le dessin animé qui passer – un mauvais remake de Tex Avery – et Clash referma la porte, se dirigeant vers sa femme et l'attrapa comme un sac à patate, la traînant dans le couloir et monta les marches, sifflotant calmement.
« Tu le sais pourtant, Maïka, n'est-ce pas? Rien n'arrête Clash. Rien. »
Il mit un coup de pieds dans la porte de leur chambre et il entra, tenant toujours May par les cuisses sur son épaule, et finalement la jeter sans toutre forme de procès dans le lit. Il alluma la lumière et ferma la porte à clef, puis se retourna vers le lit avec un sourire mutin, amusé par la situation. Il se tenait debout et elle était là, dans sa robe printanière, remontée jusqu'en haut de ses cuisses. Tellement séduisante... bon sang. C'était la seule qui pouvait faire courser aussi vite son sang dans ses veines et Dieu savait que Clash aimait quand ça pulsait entre lui et une paire de belle jambe. Il s'approcha du lit et mit un genoux sur ce dernier, se pencha au dessus d'elle, attrapant son visage entre ses doigts, l'embrassant fougueusement et langoureusement. Pas besoin de mot pour comprendre, pas besoin de mot pour gagner sa sauterie. Besoin de rien d'autre qu'un regard et un petit sourire, et Maïka comprendrait très bien ce que Clash sous entendait. Il rompit le baiser dans un filet de salive qui relié leur deux lèvres, et passa d'une façon provocante sa langue sur ses lèvres dans un petit rire.
« Sous cette robe, il y a la plus belle femme que je n'ai jamais vu de ma vie. »
Compliment? Il ne fallait pas croire que Clash en était radin. Le seul problème était qu'il ne disait ce genre de mot qu'au lit, quand ils étaient deux. Deux uniquement. | |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Lun 31 Aoû - 22:29 |
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| Maïka était une hypocrite née. Pourtant, elle ne montrait pas ce côté à tout le monde. Son mari avait déjà vu, comment elle pouvait être une bonne actrice, ainsi qu’une hypocrite, mais depuis qu’elle a ses enfants, elle essaye de se comporter le mieux possible face aux autres sorciers ou moldus, mais elle avait déjà sa réputation de faite à Salem. Ceux qui avaient été à Salem pouvaient témoigner bien des choses sur elle. Ils pouvaient dire qu’elle était qu’une fille à papa et à maman qui étaient très bien protégé de tout. C’est vrai que ses parents étouffaient souvent les faux pas de leur fille, mais en ce moment c’était trop tard puisqu’elle s’était mariée à Edward Clash qui était pris pour mauvais garçon - même s’il en était un, il pouvait être bien différent de ce que les gens affirmaient, la métisse pouvait en dire bien des choses sur son mari, mais elle savait qu’il y avait bien pire, alors elle l’appréciait à sa juste valeur, elle savait comment il était -. Maïka avait joué un sale tour à ses parents qui voulaient qu’un mariage de sang-pur d’un garçon de bonne famille, la métisse avait bien joué le jeu avec son fiancé qui l’avait mise enceinte à l’âge de seize ans. Elle les avait trompés carrément. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas ses parents, mais ça restait pour elle ils n’étaient que des sergents qui lui dictaient sa vie qui semblait trop ennuyeuse. Ce n’est pas pour rien qu’elle fut mère très jeune. Elle n’avait pas fait attention à ce qu’elle faisait, mais elle ne regrettait rien, même si le choix était totalement précipité pour le mariage. Pourquoi s’en plaindre ? Elle était bien au fond. Edward fallait essayer de le comprendre, même s’il n’était pas le mari parfait, il faisait des efforts et il n’était pas si mauvais au fond, il essayait parfois de bien faire. Elle ne devait pas oublier que ce dernier aurait pu lui faire bien du mal, elle le connait tout de même son mari depuis le temps qu’elle est avec lui. C’est pour cela qu’elle ne devait pas s’arrêter à ses connasses. Elle devait profiter de ce que son mari lui donnait, elle devait se compter chanceuse, pourtant la jalousie était plus forte que la raison. Par contre en ce jour, elle était réellement mauvaise humeur. Elle était verte de jalousie. En respirant par le nez, elle se rendit compte que sa jalousie était justifiée, mais à la fois injustifiée. Ça faisait près de neuf ans qu’elle savait qu’il couchait de gauche à droite et même avant. Il le lui avait jamais caché. Elle s’était assise sur lui en califourchon dans la cuisine, en parlant de ses peurs d’avoir des maladies, mais en fait en neuf ans, elle n’avait jamais rien eu, mais le jour où ça l’arrivera tout sera mal dans ce manoir. Elle ne répliqua aucunement à ce qu’il avait dit. Elle ne voulait pas d’accident comme dans le passé et avec raison. Elle avait suivi la voie d’un autre chemin qui était plus avantageux pour elle. Maïka avait finit par se faire à l’aider qu’il n’y avait rien pour raisonner Edward Clash. Tout ça se transformant à un jeu des plus pervers. Il ne fallait pas chercher loin entre ses deux là.
« Ellis peut les surveiller, comme d'habitude... tu sais que c'est pas un problème pour nous. » « Je ne sais pas, si un enfant rentrait pendant qu’on joue ? » Elle l’avait dit pour ensuite lui mordre le lobe d’oreille sans toutefois lui faire mal. La métisse voulait jouer avec son mari qu’elle savait qu’il était tout propre. Elle n’avait aucun besoin qu’on supplie à genou, c’était juste le but de le chercher et de le mettre au mode de jeu, même s’il n’en fallait pas gros à son mari pour le mettre en cet état. Maïka pouvait s’amuser follement et librement lui demandant tout ce qu’elle voulait au lit de la violence à l’amour, mais pourtant elle n’avait jamais demandé de l’amour. Ce n’était pas drôle dans ce cas et encore moins… hum jouissif pour le jeune couple – si je peux me permette – ils aimaient le sexe et l’amour c’était pour plus tard. Ils recherchaient du plaisir, alors ils n’y allaient pas à moitié sur ce coup là. Mais bon passons pour faire bouger les choses dans ce texte. Elle s’était reculée après avoir lécher – après aussi mordillé son lobe d’oreille – en le cherchant comme une petite garce professionnel. Elle faisait exprès pour qu’il vienne à elle et non le contraire. Elle savait qu’elle en était capable. Après tout ses années, la métisse avait appris sur son mari. Elle lui parla qu’il la connaissait déjà tout sous cette robe et elle n’avait pas tort sur ce point. Elle vit un sourire naître sur le visage d’Edward, elle s’était penchée pour lui laisser le temps d’admirer rapidement. Maïka avait bien le droit d’agir comme une salope devant son mari pour son mari ( Pardon des mots utilisé ). Il n’y avait rien de mal dans ses gestes. Quoique…
« Oh mais je sais... » « Si tu sais… Alors bouges toi un peu, si tu veux gagner » dit-elle avec ce sourire pervers qu’il connaissait certainement que trop bien. Maïka avait toujours ce physique parfait que d’autres auraient voulu garder après la naissance de leurs enfants, mais cette femme avait tout de même accouché plus de treize fois sans avoir de problème de poids. Elle était réellement chanceuse, mais elle devait bien être entrainée avec Edward qui lui fait faire de sport sous la couette à la suite de chaque accouchement. Pourtant, Maïka savait réellement que son mari n’allait pas perdre à leur jeu, c’est pourquoi qu’il alla avertit Ellis de bien garder les autres enfants. Edward donnait tout de même beaucoup de responsabilité à Ellis, mais il était quelqu’un à qui on pouvait faire confiance, déjà jeune. Il revient vers elle et la prit comme un sac en patate sur son épaule. Maïka ne bougeait pas, de toute façon, si elle tentait de fuir, il l’emmènerait tout de même dans leur lit. La métisse éclata de rire en attendant son mari sifflé, elle ne savait pas pourquoi, elle riait, mais ça faisait réellement du bien de rire ainsi. Elle pouvait compter les marches pendant que celui-ci les montait. Elle avait la tête dans le dos de Clash et les pieds qui pendent de l’autre côté.
« Tu le sais pourtant, Maïka, n'est-ce pas? Rien n'arrête Clash. Rien. » « Oui, une seule chose arrête Clash… » Elle entendit la porte claqué, il venait de donner un coup de pied dans cette dernière. Elle finit par être lancée sur le lit. Elle tomba sur le dos ayant plus ou moins les jambes écartées, ayant la robe remonté vers la mi-cuisse. Il partit vers la porte où il ouvrit la lumière et qu’il ferma la porte à clé. Précaution pour aucun enfant rentre dans la chambre pendant qu’ils s’amusent. Ce dernier revint vers le lit en posant un genou pendant qu’elle s’était assise dans le lit. Il prit son visage avant de l’embrasser langoureusement et fougueusement. Maïka répondit avec autant de fougue au baiser. Elle savait que même si elle le faisait patienter, elle perdait. Il était en feu, elle le sentait. La métisse regardait Edward à la suite du baiser.
« Sous cette robe, il y a la plus belle femme que je n'ai jamais vu de ma vie. » « Edward Clash viendrait de me faire un gentil compliment » Dit-elle avec un sourire complice. « Et je sais que tu en as vu des tas des femmes nues. Je trouve ça gentil de ta part. » Cette dernière tira sur le collet d’Edward pour le faire avancer vers elle. Elle voulait se positionner au centre du lit. « C’est quoi tes plans, monsieur Clash ? » Elle lui fit une léchette sur la joue avec un sourire toujours aussi pervers. « Vais-je t’attacher au lit aujourd’hui ? Tu me réserves de la violence et du fun assuré ? » Elle sourire encore une fois. Elle prit la main de son mari tandis que son autre main fit descendre les délicates bretelles pour finalement déposer la main d’Edward sur un de ses seins… | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Lun 31 Aoû - 22:29 |
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| c'est super court, désolée .__. je me rattraperais...
« Sous cette robe, il y a la plus belle femme que je n'ai jamais vu de ma vie. » « Edward Clash viendrait de me faire un gentil compliment » « Toujours, une fois sur la couette. » Il eut un petit sourire ronronnant. « Et je sais que tu en as vu des tas des femmes nues. Je trouve ça gentil de ta part. » « Mais je suis toujours gentil... » Il la suivit, obéissant presque, mais cherchant surtout à ne pas perdre le contact de leur peau ensemble. « C’est quoi tes plans, monsieur Clash ? » « Tout ce qu'il vous siéra, madame Clash... » « Vais-je t’attacher au lit aujourd’hui ? Tu me réserves de la violence et du fun assuré ? » « M'attacher au lit? Graouh, mais c'est que ça semble intéressant... mais faudrait il encore pouvoir y arriver, chérie. »
Edward eut un rire qui disparu peu à peu dans un regard fiévreux. Clash était facilement excité, mais les courbes de sa femme restaient celles qu'il préférait parmi toutes. Pourquoi les infidélités? Car il y avait certaine chose qu'il refusait d'infliger à sa femme, certaines « pulsions » qui l'aurait détruite à la longue, et les enfants avaient besoin d'une mère – autant qu'ils avaient besoin d'un père. Il la laissa guider sa peau, calme et patient, et rapprocha son visage du sien, caressant son nez du bout du sien pour finalement venir chercher ses lèvres, tout d'abord tendrement puis finalement plus langoureusement, leur salive se mêlant dans un baiser chaud, sa main caressant la galbe du sein de sa femme, du bout des doigts effleurant son extrémité avec une infinie dextérité – que trop habitué, en quelques sortes. Il se redressa, à genoux devant elle et enleva sa chemise, et se pencha à nouveau au dessus d'elle, venant coller leur deux corps dans un élan de passion, sa bouche quittant ses lèvres pour venir jouer avec son lobe d'oreille, le mordillant, finissant par susurrer à son oreille :
« Profite pendant que je suis faible, sinon tu ne seras plus apte à m'attacher nul part... » Il eut un petit rire et laissa sa femme prendre le dessus. C'était souvent ainsi : il la laissait prendre les rennes au début, mais une fois la bête réveillée, il revenait toujours à la charge et commandait toujours les choses, comme s'il était né pour ça : commander. Il tomba sur le dos dans le lit, et Maïka vint s'asseoir à califourchon sur lui, leur deux bassins si proches qu'Edward émit un petit grognement quand elle retira ses mains de ses hanches pour venir les accrocher aux barreaux du lit. Un lit à barreaux. Ça avait été la première demande d'Edward après le grand écran dans le salon et une chambre pour chaque enfant. À chaque pièce son « chef d'œuvre ». Dans la chambre conjugale, c'était le lit. Finalement, ses poignets se retrouvèrent attacher aux barreaux du lit, mais ce n'était pas handicapent. Loin de là. Il avait toujours les jambes de libre, de quoi pouvoir mouver son bassin comme il le désirait. Il regarda Maïka avec un sourire complice. Il n'aurait accepté cela d'aucunes autres femmes que la sienne, et il avait en elle la plus totale confiance. Elle aurait pu le tuer à ce moment. Lui trancher la gorge ou encore le poignarder, mais l'américain savait qu'elle ne le ferait jamais, car elle était la seule « qui l'aimait vraiment ». Il ferma les yeux en sentant les formes de sa femme contre les siennes, plus pressantes, plus présentes aussi, et il sentit déjà sa virilité réagir aux premiers contacts. Il n'y avait vraiment qu'elle pour le chambouler autant.
« Le petit chaperon va manger le grand loup? »
Sourire amusé, air fièvreux pourtant. | |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Dim 13 Sep - 2:03 |
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| - Flash back –
Celui là, il allait le payer. Que faisait-il encore ? Il batifolait avec une autre connasse. Comment pouvait-il faire ça ? Il n’avait donc rien de bon en dedans ? Il n’y avait donc aucune pitié pour sa pauvre femme qu’il se faisait à tous les fois qu’elle le rendait visite pendant s qu’elle faisait quand elle n’avait pas cour à Salem? Non. Cet homme était Edward Clash et madame Clash avait la patience à ses limites. Elle l’attendait de pied ferme ce soir. Oh Oui ! Elle se promettait de le faire dormir dehors. Comment pouvait-il regarder d’autres femmes ? N’était-elle pas une bonne épouse ? Qu’est-ce qu’elle n’avait pas que les autres avaient ? Plus de seins qu’elle ? Elles étaient meilleures qu’elle au lit ? Alors pourquoi s’en était-il fait sa femme ? Pourquoi devait-elle vivre avec un macho ? Elle était à bout et ses crises hormonales ne l’aidaient certainement pas. Elle était enceinte de son deuxième. Salem était déjà derrière elle. Maïka n’avait donc pas le droit d’avoir plus souvent son mari à ses côtés à son retour, mais non… Il devait encore faire la fête, pendant qu’elle, la pauvre adolescente qu’elle était, devait l’attendre sagement assise dans un fauteuil à s’occuper d’Ellis et de se soigner pendant qu’elle ne pouvait vivre sa jeunesse, lui, la vivait… Il la vivait doublement, comme s’il était deux dans une même personne. C’était égoïste des deux côtés. Maïka le voulait que pour elle, tandis qu’Edward pensait qu’à son entre-jambe. Elle savait en le mariant les risques qu’elle prenait, mais ce n’était pas sa faute si ce dernier avait conquis son pauvre petit cœur. Au fond, elle était peut-être sado-maso, puisqu’elle aimait cet homme. Elle était peut-être aussi folle que son amie Clara lui avait toujours dit. Pourtant, les crises qu’elle sentait monter de jour en jour étaient celle qu’on ressentait quand on aimait et elle aimait énormément Edward qui était son mari. Croyez-vous qu’elle aurait fait une croix sur sa liberté pour le premier connard qui lui dirait un poème qu’il avait appris par cœur en faisant la cour à toute les jolies minettes croisant son chemin. Non, Maïka était amoureuse d’un autre genre de salaud pourtant si différent de ce qu’elle n’aurait jamais accepté de donner sa main.
Maïka était assise dans la cuisine et attendait la venue d’Edward les lumières éteintes. Elle l’attendait. Oh Oui qu’elle l’attendait. Elle était fâchée. La métisse était déjà tannée, comme si elle devait le servir et ne recevoir rien en retour. C’était injuste, tellement injuste. Edward l’avait aussi obligée de finir ses études pendant que lui pouvait s’occuper de son Ellis, de son bébé… de sa progéniture en paix. Comment pouvait-il obliger une mère à se séparer de son enfant. C’était bien horrible à faire, mais il l’avait fait, malgré les plaintes de Maïka. L’hawaïenne voulait vivre des jours heureux avec son mari, mais elle ne pouvait pas l’attendre chaque soir ainsi attendant patiemment son tour pour se faire passer dessus pendant que ce dernier se paye toutes celles qui cherchent à avoir du sexe. Que pouvait-elle faire d’autre que de l’attendre et le confronter ? Elle n’avait donc pas le choix de dire ce qu’elle voulait pour faire passer le message, elle devait le confronter quoiqu’il advienne. Elle devait faire preuve de courage face à son mari, même si par moment, il lui faisait peur. La métisse était tellement fâchée, en ce moment contre lui, que toute peur était oubliée ! Elle devait le confronter. Faire une vraie femme d’elle et non cette femme qui baisse la tête en signe de soumissions. La pauvre femme, direz-vous, mais détrompez-vous… Il ne la maltraitait pas tant qu’elle le laissait sous-entendre. Il y avait toujours des hauts et des bas, mais les bas étaient toujours plus apparents que les hauts. La métisse attendait patiemment plonger dans le noir pour l’effet de surprise, mais le connaissant, il allait se douter de quelques choses. Elle était assise dans la cuisine les bras et les jambes croisés. Elle l’attendit rentré dans la maison. Il ouvrit les lumières. Maïka ne bougea pas quand la lumière fut ouverte.
« T’es qu’un égoïste Edward ! Tu penses qu’à toi. MOI ? je t’ai entendu ! MOI je passe encore en deuxième. » dit-elle en se levant. Elle vint pousser Edward… « Tu m’as obligée d’aller à Salem pendant que toi tu prenais des vacances. Tu m’as fait perdre au moins sept mois avec mon fils. » Elle était fâchée, puis tout d’un coup. Elle perdit toute confiance en elle et recula, mais elle continua de parler. « Qu’est-ce ses salopes ont plus que moi ? T’es plus heureux avec elle ? TU LES AIMES ? » dit-elle en refaisant un pas, comme si elle n’avait plus contrôle de ses gestes qu’elle faisait. Elle enfonça son doigt dans son torse…
- Fin –
« M'attacher au lit? Graouh, mais c'est que ça semble intéressant... mais faudrait il encore pouvoir y arriver, chérie. » « C’est un combat chaque jour et je peux toujours réussir à t’y attacher… mon amour ?! » Elle sourit d’un sourire pervers. Il comprenait très bien que le combat était celui du sexe, la bataille au lit qu’il se livrait, en fait la loi du plus fort dans le lit. C’était une petite compétition qui ne faisait aucun mal au couple, c’était que pour donner plus de piquant. L’attaché était un réel défi, un défi de poids. D’autres couples trouveraient celui sensiblement facile, mais pas pour la pauvre Maïka qui savait très bien qu’Edward ne se laisserait pas faire. Elle devrait gagner le combat. Or, elle était prête à gagner. Elle avait envie de jouer. C’était tout de même, elle, qui avait proposé de l’Attacher au lit. C’était sur que Maïka et Edward aimaient leur jeu, puisqu’ils y jouaient plusieurs fois par semaine. Elle y prenait son pied sans problème, du moins, c’était sa manière à elle de pouvoir parvenir à avoir l’attention totale de son mari. Oh oui ! C’est à ce moment, qu’elle se sentait bien dans leur couple. C’est à ses moments qu’elle sentait une sorte d’affection, même si techniquement ce n’était que de l’attirance pour la part d’Edward. Contrairement pour elle, elle ressentait de vrais sentiments et elle avait souvent mal de savoir qu’il était certainement ailleurs avec une autre femme qu’elle s’amusant à leurs jeux favoris. Elle devenait de plus en plus jalouse et elle se frustrait en un claquement de doigt. Elle finissait par se dire qu’elle devrait tuer ses connasses qui prennent sa place, mais elle passerait sa vie à tuer des gens sur qui Edward passe. La métisse devait s’y faire et se plier aux règles, depuis les années elle devait l’avoir compris, mais apparemment, elle avait encore quelques difficultés. C’était tout à fait normal, elle était amoureuse, donc elle aimait son mari. Il était compréhensible au fond que la pointe de jalousie soit si forte. Il devait se poser des questions sur le fait du pourquoi qu’elle restait gentiment et sagement à la maison en chialant sur les infidélités sans toutefois passé à l’acte en se sauvant de ses responsabilités… ses enfants. Alors, elle restait sagement, dans un sens, avec Edward. Elle s’amusait, comme elle le pouvait avec lui. Elle profitait de chaque petit moment qu’il lui donne un peu d’affection. Maïka savait très bien que profiter de chaque moment de la vie était d’une importance capitale, surtout qu’elle avait perdu possiblement sa jeunesse. Tout en parlant de profitant de la vie et des petits moments qu’elle attendait avec impatience, c’est ce qui se passait. Le rapprochement des deux corps. Ils avaient envie de l’un de l’autre, l’attirance physique était toujours aussi présente depuis les années. Les caresses, les baisers et les mains expertes d’Edward qui caressait ses seins avec beaucoup d’assurance et d’expérience. Il était expert en la matière, mais Maïka connaissait ce qu’Edward aimait au lit et elle pouvait assurer qu’il ait beaucoup de plaisir. La métisse se laissait faire dans les bras de son mari.
« Profite pendant que je suis faible, sinon tu ne seras plus apte à m'attacher nul part... » « Oh ! Tu veux vraiment… » sourire étrange encore une fois. Elle attendit qu’Edward se retrouve sous elle. Elle était prête à jouer la méchante qui puni son mari tout en jouant avec le corps de ce dernier. C’était de drôle de pratiques, mais ils aimaient ça. Maïka se mit au dessus de son mari collant presque leurs deux bassins. La métisse prit deux petites bandelettes de tissus assez longue pour attacher un poignet tout en faisant un nœud assez solide pour que les liens tiennent, comme ils se devaient. Avec un sourire satisfait, elle se redressa sur lui en le regardant tout en se mordillant la lèvre en réfléchissant par où elle pouvait bien commencer. Pour tout dire Maïka avait une envie de le faire patienter… de le faire brûler de désir jusqu’au moment où il lui demande avec difficulté de vouloir passer à l’acte… Elle s’imaginait peut-être des choses, mais elle savait qu’elle allait entendre des grognements d’impatience venant de la part de son mari qui était toutefois impatient au lit. C’était un atout pour elle, car quand elle se sentira prête son mari aura le droit de lui faire tout ce qu’il désire, sauf un truc qu’il ne lui a jamais réellement fait… Elle lui faisait confiance, même si elle avait peur à la fois. Elle pouvait se laisser guider par lui, les yeux bandés, car elle avait une totale confiance en lui. Mais ce n’était pas le sujet, même s’il était important de le savoir, car les deux entretenaient un lien que d’autres couples n’ont jamais réussi à obtenir… Mais passons ! Elle connaissait bien Edward, depuis le temps qu’elle est avec lui, elle connaissait son corps par cœur, depuis près de dix ans qu’elle voyait le même corps chaque soir dans son lit sans demander de nouveauté de ce côté. Maïka regardait donc son mari avec ce petit sourire coquin qui avait fait place sur son visage. Elle se colla de plus en plus contre lui. Elle avait autant envie que lui. Elle ne pouvait l’ignorer, mais c’était beaucoup plus apparemment pour Edward qui réagissait avec son corps… L’hawaïenne le voyait très clairement.
« Le petit chaperon va manger le grand loup? » « Le petit Chaperon a très faim. Le grand loup doit bien se tenir… » dit-elle en se penchant au-dessus lui. Elle vint chercher ses lèvres pour lui mordre la lèvre inférieure avec un petit rire, elle lâcha prise. Elle lui lança un de ses regards provocateurs qui disaient tout dans ses intentions. Il allait souffrir dans un sens. Maïka détachait d’une main le pantalon d’Edward pour le faire descendre, elle descendit tout doucement vers le bas ventre d’Edward. Elle en profita pour laisser des baisers tout au long de son torse. La métisse finit par faire passer le pantalon par ses pieds. L’hawaïenne laissa échapper un autre petit gloussement. Le tissus finit sur le sol, puis le sous-vêtement d’Edward aussi d’ailleurs. Maïka déposa une de ses mains expertes sur le membre dressé de son mari.
« T’es sur Edward… de vouloir rien contrôlé ? Tu vas le regretter Babe ! Brûlé de désir de l’intérieur, c’est comme mourir dix fois… » Dit-elle pour le provoquer. Sera-t-il capable de se défaire de ses liens qui le retenaient au lit. « Tu vas me supplier… » Maïka ronronna à sa façon…
( Oh Shaaaa ;___; c'est pourri. C'est de la merde ce que j'ai écris. Je suis désolée ;___; ) | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Sam 26 Sep - 8:12 |
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| Le jeune Edward avait toujours eu beaucoup de succès. Ce visage fin, ce sourire sûr de lui, cette confiance, et cette puissance attirait les mouches, les cons et les salopes. Comme un essaim de bourdon, il venait, tournant autour de lui. Edward n'y portait aucune attention. Il préparait quelque chose. Il préparait quelque chose de si grandiose, que même son père s'en étoufferait. Il le rendrait fier de lui. Il enverrait en milles éclats le Ministère Américain qui ne méritait que ça. Il ferait exploser tout le monde, il tuerait tout le monde, toutes ses personnes qui se disaient bonnes, qui croyaient être là pour le peuple quand les aurors ne faisaient qu'enculer les détenus avec leurs baguettes. C'était tellement ridicule, mais Edward le ferait exploser, il se l'était juré, et quand un Clash jurait, il faisait généralement. Edward posa son regard sur Diana, une blonde pulpeuse penchait sur la carte de la future mission, son décolleté montrant une paire de sein du diable, blanc à bout rose. Sans soutient gorge, sourit-il. Elle releva son regard, croisant celui du Clash, avec un sourire aguicheur qui voulait tout dire, quelque chose comme : « tu as vu? Ça te plaît? ». Encore une pute, notifia t-il, mais... c'est si bon. Edward se redressa de sur la carte, et la déchira en quatre, la donnant à ses plus proches collaborateurs : Seth, Clay et Bolt. En quelques minutes, tout le monde transplana, sauf la jolie blonde aux grands yeux verts qui le fixaient comme une vipère, prête à mordre au poignet. Edward se posa sur la table, la voyant s'approcher. Elle pencha la tête, et il jeta un regard à sa braguette. Ça signifiait tout, chez Clash, bien plus que des mots. Elle eut un sourire moqueur mais se posa à genoux devant lui, ouvrant sa braguette. Alors qu'elle était en train de faire ce qu'il lui avait demandé, monsieur resta impassible, sans tressaillement, sans gémissement. Sa main guidait la tête blonde, ayant attraper une poignet de cheveux couleur blé. Seth transplana devant eux et la blonde voulu arrêter, mais la main de Clash ne bougea pas, l'obligeant à continuer. Seth eut un sourire amusé et fit une révérence, regardant son meilleur ami.
« Je te rappelle qu'il est une heure du matin, Ed'. » L'américain eut un sourire en coin. « Je le savais, ça, tu ne m'apprends rien Revenge. » « Tu veux que je m'étende sur la question? » Seth eut un sourire large, son regard scintilla. « Je suis un peu occupé, là... mais j'imagine prendre en compte ce que tu viens de me dire après. » « Je vois ça... bien. À demain donc? » « A demain, Seth. » Le second eut un petit rire, recula, et refit une révérence. « Prends soin de toi, tête d'ampoule. » « Toujours chef. » Seth lui fit un clin d'oeil. « Fais gaffe à toi en rentrant. »
Et Seth transplana. Edward baissa le regard sur la petite blonde. Elle n'était pas très doué. Il grimaça en voyant que tout ça n'avançait pas, et qu'elle n'était pas foutu d'aller plus vite sans aide. Il enfonça un doigt dans sa bouche, la guidant au mieux, sentant sa virilité frappait sa gorge. Il eut un soupire, enfin, alors qu'elle commençait à se débattre. Elle voulu le mordre, mais le doigt entre ses doigts l'en empêcha. Il eut un petit sourire amusé qui tressaillis, et le flot de son plaisir se déversa dans sa gorge, dans un râle guttural. Il la recula, regardant ce visage bafoué, marqué de sa semence, avec un sourire sadique et pervers. Elle essuya ses larmes et essuya du revers de sa main les marques de la souillure, infâme et laide. Jamais les embrasser. Elle le regardait avec ses grands yeux émeraudes, mais elle n'avait rien à espérer de lui. Il se leva, ferma sa braguette, et remit en place les pans de sa chemise. Elle lui attrapa le bas du pantalon et il arqua un sourcil, alors qu'elle reniflait. Il eut un petit rire, avant de siffler du bout des lèvres :
« On ne joue pas avec moi lorsqu'on est pas assez grande, gamine. Quand tu arrêteras de chialer, tu te rendras compte que tu as fais la plus grande erreur de ta vie, et tu iras t'excuser auprès de ton mec, car Clash ne sera jamais rien pour toi. Je ne suis pas amusant, je ne suis pas romantique, je ne suis pas un bon coup. Je suis un salaud, ma mignonne, et ça, fallait y penser avant. »
Il retira violemment sa jambe des mains de la gamine qui s'était mise à chialer sur le sol, un peu plus bruyamment, alors que lui réapparaissait sur le seuil de son appartement. Il savait que Maïka l'attendait, il savait aussi qu'elle allait hurler, mais il savait pas dessus tout qu'il était fatigué, et qu'il ne voulait pas l'entendre geindre. Pas ce soir. Il inspira profondément et entra, sans faire attention au bruit, et se dirigea vers la cuisine pour se servir un verre de bière. Vive la bière. Il alluma la lumière et elle hurla, posée sur sa chaise. Il arqua un sourcil. Pourquoi toutes les femmes pensaient que cette scène cinématique nous faisait peur, à nous, les hommes...?
« T’es qu’un égoïste Edward ! Tu penses qu’à toi. MOI ? je t’ai entendu ! MOI je passe encore en deuxième. » Elle se leva et le poussa, il grogna, agacé. « Tu m’as obligée d’aller à Salem pendant que toi tu prenais des vacances. Tu m’as fait perdre au moins sept mois avec mon fils. » Il fronça les sourcils. Elle allait s'en prendre une si ça continuait. « Qu’est-ce ses salopes ont plus que moi ? T’es plus heureux avec elle ? TU LES AIMES ? » Il eut une grimace au mot « aimer » et l'attrapa par la gorge, sans aucune douceur, la serrant sans lui faire vraiment du mal. Il se contrôlait, oh oui... s'il ne se contrôlait pas, il l'aurait déjà tuer. Il se pencha vers elle, sifflant à son visage comme une vipère, moins bruyamment, dans un murmure effrayant. « J'ai eu une journée difficile, May, très difficile, et je ne suis pas d'humeur à parler de ça, mais puisque tu sembles tant y tenir, je vais t'expliquer certaines choses. » Il serra un peu plus, la soulevant à quelques centimètres du sol. « D'une, tu t'es faites engrossée, et ce n'était pas ma faute. Tu ne m'aurais pas approché, je ne t'aurais jamais connu et je serais encore libre à l'heure qu'il est, mais tu vois, j'ai été gentil, je t'ai marié, alors.. n'hurles pas. Tu en connais beaucoup des salopes mariées? Non. Estime toi heureuse que j'ai demandé ta main. » Il la reposa doucement au sol, sa main remontant jusqu'à ses lèvres, toujours vexé. « Pour ce qui est de mes salopes, tu sembles tellement jalouse que je me demande si tu imagines vraiment ce que je leur fais subir, darling. Si je vais en voir d'autre, c'est pour ne pas t'abîmer, chérie. Tu veux que je te fasse ce que je leur fais? Quand tu veux. Mais ne viens pas te plaindre après, ne viens pas te plaindre, car je te jure que je te tue. Je te jure que je te... »
Il la relâcha et recula de quelques pas. Il y pensait déjà. Il aurait voulu cracher mais il était à l'intérieur. Il se dirigea vers les escaliers et les monta rapidement. Il ne fallait pas y penser. Ne pas y penser. Les veines de ses tempes étaient sorties, alors que lui voulait fuir, juste fuir... pour ne pas la tuer.
fin du flash back.
« Profite pendant que je suis faible, sinon tu ne seras plus apte à m'attacher nul part... » « Oh ! Tu veux vraiment… » « Si tu je te le dis... »
Il soupira, non pas agacé, mais amusé. On aurait dit une petite fille qui venait d'avoir le cadeau d'anniversaire qu'elle attendait depuis des années. Il était juste fatigué, alors pour une fois, pourquoi ne pas essayer? Il se posta sous elle, calme, et eut déjà un sourire fiévreux en sentant le bassin de l'hawaïenne sur le sien, se cambrant pour mieux épouser les formes généreuses. Il arqua un sourcil en sentant les bandelettes sur ses bras... ah oui. C'est vrai. Il se frappa intérieurement. Bien. Il lui avait dit, après tout... Son caleçon se tendit en sentant le corps chaud de la jeune femme se collait au sien. Chaque soir, c'était la même histoire, depuis dix ans, et il ne s'en était jamais lassé. C'était la même chose, et la seule chose qu'il n'avait jamais voulu arrêter. Il la fixa, un sourire amusé sur les lèvres. Elle semblait féline et coquine à la fois, une vraie panthère à la peau tannée. Les hawaïennes avaient le sang chaud, et pas que ça d'ailleurs.
« T’es sur Edward… de vouloir rien contrôlé ? Tu vas le regretter Babe ! Brûlé de désir de l’intérieur, c’est comme mourir dix fois… » « Oh darling! Je vais te surprendre ce soir. » Il eut un sourire amusé alors qu'elle ronronna, vraie petite chatte. « Tu vas me supplier… » « On verra, on verra. »
Même si ses mains n'étaient pas libres, il restait certaine chose qu'il pouvait faire. Il la regarda et mouva son bassin sous elle, se redressant au maximum pour effleurer son visage, le frôlant du bout du nez. Il avait envie d'elle, comme tous les soirs, mais ce soir serait différent... peut être?
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Dim 27 Sep - 2:46 |
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| Flash Back
Qu’est-ce que les autres femmes avaient plus qu’elle ? Pourquoi étaient-ils alors mariés ? Pourquoi il était incapable de lui être fidèle ? Pourquoi n’avait-elle pas le droit de faire comme il faisait ? Elle était à plaindre au fond, mais elle avait décidé de faire des choses avec lui. Elle se souvint ce que Clara lui avait dit. Elle aurait peut-être du l’écouter au fond. Maïka aurait du suivre le conseil de sa meilleure amie de ne pas s’approcher d’Edward Clash. Il était trop tard, maintenant, pour le regretter. Elle était mariée, elle avait un début de famille… mais ce qui lui manquait c’est d’avoir un mari à la maison. Pourquoi n’était-il jamais là ? Pourquoi devait-elle rester toujours seule à la maison avec Ellis ? Elle aimait son petit Ellis, mais parfois, elle avait besoin de savoir qu’Edward était là lui disant quelques trucs à faire. Elle se sentait démuni seule dans l’appartement. Pourquoi vivre seule ? Elle n’était pas mariée ou ce n’était qu’en apparence encore une fois. Avait-elle perdu une guerre qu’elle n’était pas informée ? Elle n’en savait rien, pourtant elle devait rester une bonne épouse. Mais comment l’être quand votre mari est totalement infidèle et que vous l’aimiez au fond ? La métisse ne baissait pas les bras, mais elle cherchait à vouloir ce qu’elle désirait. Alors elle était prête à lui faire face à lui crier dessus, mais quand elle le vit la monté de colère qui fut si grande sortie pas comme elle aurait voulu qu’elle sorte. De plus, il était une heure du matin et elle risquait de réveiller son jeune fils. Mais les mots étaient sortis plus vite qu’elle ne l’aurait cru. Ce n’était pas vraiment de sa faute dans le fond, elle parlait de ses sentiments… en fait, elle se sentait abandonner par son mari. Qu’est-ce qu’elle avait cru au fond ? Qu’il allait être le parfait mari ? Elle se trouvait totalement conne. Oh Oui ! Tellement conne. Elle avait dit des choses sur ses parents, d’horribles choses. Peut-être qu’ils voulaient que son bien au fond et qu’Edward ne le voulait pas, lui ? Elle n’en savait rien, mais elle se sentait terriblement malheureuse. Sa liberté était détruire à jamais, puisqu’elle avait juré fidélité et être avec lui jusqu’à la mort, mais elle ne voulait pas se séparer par amour pour son Ellis et le bébé qu’elle attendait. L’hawaïenne devait juste être des plus confiantes et de cesser de croire qu’Edward était le prince charmant. Elle devait trouver un moyen de réussir à obtenir une part de ce qu’elle voulait, mais ça ne l’aidait certainement pas en lui criant qu’il était un égoïste, en l’insultant de plus, et elle le poussait, c’était une attaque physique… Elle sentait qu’il lui ferait bien payer, un jour…
Sa main qui avait pris son cou et le serrait. Elle suffoqua un peu, plus tôt un hoquet de terreur. Qu’allait-il arriver à présent ? Elle avait encore foiré et parfois, Edward ne donnait pas un deuxième pardon. Elle avait l’impression de le savoir, sans vraiment avoir goûté réellement… « J'ai eu une journée difficile, May, très difficile, et je ne suis pas d'humeur à parler de ça, mais puisque tu sembles tant y tenir, je vais t'expliquer certaines choses. » Sa main se resserra plus fort et elle commença à suffoquer pour de vrai. Elle avait mal, ses pieds ne touchaient plus le sol. Elle ne parlait pas, mais elle le regardait avec un air effrayé. Maïka avait réellement peur. « D'une, tu t'es faites engrossée, et ce n'était pas ma faute. Tu ne m'aurais pas approché, je ne t'aurais jamais connu et je serais encore libre à l'heure qu'il est, mais tu vois, j'ai été gentil, je t'ai marié, alors.. n'hurles pas. Tu en connais beaucoup des salopes mariées? Non. Estime toi heureuse que j'ai demandé ta main. » Ses pieds touchèrent enfin le sol. « Pour ce qui est de mes salopes, tu sembles tellement jalouse que je me demande si tu imagines vraiment ce que je leur fais subir, darling. Si je vais en voir d'autre, c'est pour ne pas t'abîmer, chérie. Tu veux que je te fasse ce que je leur fais? Quand tu veux. Mais ne viens pas te plaindre après, ne viens pas te plaindre, car je te jure que je te tue. Je te jure que je te... » « T’ES UN MALADE CLASH ! REVIENT ICI, ESPÈCE DE FILLETTE… ! » Elle n’avait aucunement écouté ses avertissements. Elle le poursuivit dans l’appartement. Jusqu’à le rattraper et tenter de le retenir juste devant leur chambre, dans le cadre de la porte. « Mais… Edward, ce n’est pas seulement ma faute, si tu m’as foutu enceinte. Qu’est-ce qui te dit que tu ne m’aurais pas connu un jour ou l’autre ? Dis-moi han ? Tu crois c’est ce que j’avais espéré en te mariant ? Non, je voulais juste ne plus avoir la dictature de mes parents, mais à la place, j’ai un mari qui contrôle TOUT. Absolument tout. Pense, une seconde que j’ai besoin de toi, ici, pendant que tu fais des choses… à ses… » Maïka avait un air dégouté. C’était écoeurant, complètement écoeurant de s’imaginer son mari… une de ses femmes connasses… « salopes ! » Elle le retenait toujours par le bras « Qu’est-ce qu’elles ont plus que moi ? Tu n’as pas envie qu’on fasse des compromis pour que ça l’aille beaucoup mieux, ou tu refuses encore carrément à mes propositions, car un homme doit toujours avoir raison, même quand il a tort ? » Une pique rageuse envers Edward… Encore et comme toujours.
Fin
Le jeu était ce qui rassemblait le couple. Qu’ils adoraient jouer, ensemble ! Puis que Maïka n’avait aucun choix de s’amuser avec son mari. Un compromis ? Oui, un autre compromis. Elle savait qu’Edward était dangereux s’il ne couchait pas avec les autres femmes, mais elle se sentait jalouse, comme toujours. Au fond, elle l’aimait bien plus qu’elle pouvait laisser paraître, par moment. Pourtant, monsieur Clash le savait très bien, puisqu’elle le lui disait régulièrement sans gêne. Les jeux et les défis, ça ils connaissaient plus que l’amour en tant que tel, mais un lien les unissait, même si parfois, le mot sexe sortait régulièrement de leur bouche. C’était le sexe… leur passion commune. Ils s’enfermaient régulièrement dans la chambre des maîtres, donc leur chambre. Comme à ce moment, ils s’apprêtaient à jouer à un jeu, il expérimentait, aussi, plusieurs scénarios. Ils voulaient s’amuser. Pourquoi n’auraient-ils pas le droit de le faire après tout ? Ils étaient mariés et avait treize enfants et en attendaient un quatorzième… Qu’est-ce qu’il les freinait après tout ? Rien du tout. Alors, le jeu pouvait commencer, même s’il était déjà commencé, depuis un bon moment. Ils avaient aussi des drôles de tendance, mais ça, on s’en foutait… ça restait leur choix. « Si tu je te le dis... » « Moi, j’aime ça… »
Dit-elle avec cette petite étincelle dans le regard qui en disait long. Elle était contente et heureuse. Il ne lui en fallait pas beaucoup pour la rendre heureuse… Pourtant, avant, elle n’aurait pas été aussi contente. C’est à force de vivre sans liberté que les petites choses changeaient pour le mieux. Il lui avait permis d’être celle qui contrôle et ça, c’était une petite liberté dont elle bénéficiait et qu’elle ne devait pas passer par-dessus ce droit. Oh Non ! Elle prit des bandelettes et les attacha au barreau du lit pour ensuite attaché les poignets de son mari. Ce qu’elle aimait être celle qui contrôlait ! Elle se sentait puissante. C’était donc cette sensation qu’Edward ressentait régulièrement. Il était chanceux, car elle sentait la liberté qu’il avait et qu’elle n’avait pas, mais elle devait en profité quand elle en avait l’occasion. Maïka avait en tête un plan diabolique. Elle voulait absolument faire mourir de désir son mari. Elle allait réussir. Le seul contact des deux corps faisaient monter le désir pour les deux, mais bien plus apparent pour Edward qui avait sa virilité qui se dressait sous un tissus… Il fallait ôter tout ça… Mais plus tard…
« Oh darling! Je vais te surprendre ce soir. » « Tu vas me supplier… » « On verra, on verra. » « J’ai toujours raison, monsieur Clash. Et puis, tu es dans une position assez fâcheuse. J’ai le dessus sur toi, mon chaud lapin » Elle sourit avant de glisser sa main vers l’élastique qui soutenait le tissus qui était de trop et qui le séparait la jeune femme de l’intimité de son mari. Elle lui ôta tout simplement et lança le sous-vêtement dans un coin de la chambre. « Humm, je vois que mini-Clash est content…» dit-elle avec un sourire pervers. « Oh, Clash… J’ai envie de me faire avec mes … » Elle lui présenta ses doigts… « Juste pour te faire patienter… Mais ça serait… trop pour toi. Je te défis que tu ne seras jamais capable de te libérer de tes liens !!! » Elle caressait le bas ventre de Clash, avant de l’embrasser sauvagement… | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Sam 17 Oct - 3:59 |
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| Il marchait, il montait les escaliers, le regard sombre. Pourquoi ne pouvait-elle pas se taire comme tout le monde et ravalait sa salive? Sale peste. Il se demandait à ce moment pourquoi il l'avait épousé. Il avait tout du même le droit de rentrer à une heure du matin. Il était grand il était adulte! Elle n'était pas sa mère, il n'avait plus cinq ans. Parfois il se demandait, sincèrement, si elle ne cherchait pas à le rendre fou. Il continua dans le corridor, dépité, mais en sentant la main de Maïka sur sa manche il s'arrêta et se retourna, à bout de nerfs. Elle l'aurait bien cherché, qu'importe. Elle ne pourrait s'en prendre qu'à elle même d'avoir jouer avec le feu après tout...
« Mais… Edward, ce n’est pas seulement ma faute, si tu m’as foutu enceinte. Qu’est-ce qui te dit que tu ne m’aurais pas connu un jour ou l’autre ? Dis-moi han ? Tu crois c’est ce que j’avais espéré en te mariant ? Non, je voulais juste ne plus avoir la dictature de mes parents, mais à la place, j’ai un mari qui contrôle TOUT. Absolument tout. Pense, une seconde que j’ai besoin de toi, ici, pendant que tu fais des choses… à ses… salopes ! Qu’est-ce qu’elles ont plus que moi ? Tu n’as pas envie qu’on fasse des compromis pour que ça l’aille beaucoup mieux, ou tu refuses encore carrément à mes propositions, car un homme doit toujours avoir raison, même quand il a tort ? » « Ce qu'elles ont de plus, Maïka? »
Edward cracha ses mots, rageusement, et attrapa sa femme par la mâchoire, la plaquant contre le mur tout en la soulevant. Il ne fallait jamais énervé un Clash fatigué par le travail. Il le lui répétait souvent, pourtant, mais elle s'évertuait à le remettre en cause, sans cesse. Elle avait signé, elle assumerait. Elle était tombée enceinte, il l'avait épousé par charité, et aussi car il n'avait que cela à faire, mais Maïka n'était irremplaçable. Une centaine de femme pouvait prendre sa place à l'âge qu'il avait, et ses enfants, il pouvait les élever tout seul, avec quelques nourrices. Combien de jeunes mangemorts blondes aux beaux yeux avaient de quoi remplacer sa chère femme? Tellement. Il serra sa mâchoire dans sa main, l'empêchant de parler ainsi, la regardant souffrir avec un plaisir sadique, se retenant pourtant de la frapper, de ne pas abîmer ce beau visage qui lui avait servi tant souvent... non. Il fallait respirer... calmement... mh. C'était raté. Edward était à bout de force. Il avait juste envie de la tuer. Fatigué...
« Tu es épuisante, Maïka, avec tes compromis. J'en fais déjà énormément... si tu savais... » Il persifle, serpent et la soulève un peu plus haut. « Je ne les ramène pas à la maison, je ne les rappelle pas, je ne le fais pas plus d'une fois avec elle, je ne reprends jamais les même, je ne m'attache pas, je ne leur donne pas mon numéro, ni où j'habite... que veux-tu, Maïka, que je sois sympathique, aimant, un bon petit mari? Et quoi? Bientôt tu vas me demander d'être fidèle et aimant? » Il eut un rire grave et moqueur, puis redevint rapidement sérieux, fronçant les sourcils. « Je ne suis pas une filette, petite salope, et crois moi que si on savait tous ce que tu fais au lit, tu aurais de quoi rougir. J'ai connu des pétasses qui étaient plus prudes que toi, alors ne me reproche rien, sinon j'irais crier sous tous les toits combien tu es chaude, Maïka, chaude et que tu ne demandes qu'à être prise comme une chienne. » Il eut un rire grave avant de reprendre, serrant les dents. « Tu vois, ça, c'est une chose que tu ne m'offres pas. Te prendre comme une chienne. C'est une des choses que je me permets avec mes pétasses, tu vois. Et après je les étrangle, je les tue, et je les enterre. Tu saisis la différence, Maïka? Et à elles, je ne leurs fais pas de gamins. Et je ne leurs passe pas la bague. Alors réfléchis deux secondes, Maïka, juste deux secondes, fais marcher ta putain de petite cervelle de moineau, et dis moi qui est le plus mal placé dans cette histoire, mes pétasses ou toi? »
Il la jeta brutalement sur le sol, et se mit à inspirer profondément, cherchant à calmer ses ardeurs. Il fallait qu'il se calme, vite...
fin du flash back.
« On verra, on verra. » « J’ai toujours raison, monsieur Clash. Et puis, tu es dans une position assez fâcheuse. J’ai le dessus sur toi, mon chaud lapin » « Pour une fois... »
Il eut un sourire amusé. Pour une fois qu'elle prenait les rennes, il n'allait pas en mourir... si? Il haussa un sourcil, curieux de savoir ce qu'elle préparait déjà au fin fond de son esprit et qui pourrait être bel et bien fâcheux pour lui, car c'était bien ça, pour elle, une sorte de « vengeance » que lui apprécierait, en temps et en heure. Il fixa les doigts de l'hawaïenne sur l'élastique de son caleçon où était déjà dressé sa virilité et eut un sourire en voyant que le tissu volait à l'autre bout de la pièce, le libérant d'un certains poids.
« Humm, je vois que mini-Clash est content…» « Il est toujours content de te voir, May. » Il plissa le nez, la regardant plus fixement. Avec les années, elle avait gagné en beauté. Ou peut être était-ce lui qui était devenu plus...mature? Il n'en savait rien. « Oh, Clash… J’ai envie de me faire avec mes … Juste pour te faire patienter… Mais ça serait… trop pour toi. Je te défis que tu ne seras jamais capable de te libérer de tes liens ! » « Fais toi avec tes doigts, et pendant ce temps là, moi, j'essaie de défaire mes liens, ça te va? C'est un pari équitable, non? »
C'était un pari. Ni plus, ni moins, car Edward adorait tenter le diable, et qu'il savait pertinemment qu'à n'importe quel moment il pouvait se libérer, car il était rusé, mais s'il faisait ce fameux pari, c'était pour la voir crier son prénom sans qu'il ne la touche, juste voir son intimité l'appelait, et retourner le piège contre elle. Rusé le Clash.
__________ j'ai évite le blabla x3 | |
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Mar 20 Oct - 1:34 |
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| FLASH BACK
Elle le suivait dans les marches. La métisse était terriblement fâchée contre lui, mais elle ne pouvait s’empêcher de l’aimer. Il était quelqu’un qu’elle aimait beaucoup, ce n’était pas pour rien qu’elle avait dit oui à sa demande de mariage, mais parfois, elle se mettait à regretter cette union. Maïka ne devait pas penser comme ça, elle le savait. Elle ne pouvait le quitter, qui qui voudrait bien d’elle ? Elle avait perdu un peu d’estime d’elle et c’était difficile à revenir dans le vrai monde, seule en célibataire. Non, elle ne voulait pas le quitter, mais elle aimerait avoir un peu plus de lui. Il était rarement à la maison, il revenait plus tard, de plus en plus, même. Elle le voulait un peu plus pour elle. Maïka avait l’impression qu’il passait plus de temps avec ses pétasses tandis qu’elle s’ennuyait de lui en s’occupant d’Ellis. Ellis était un petit garçon tellement sage, parfois elle aurait mieux aimée qu’il soit turbulent, peut-être qu’Edward aurait été plus souvent auprès d’elle pour élever leur enfant ensemble. Peut-être avec le nouveau qui s’en venait, elle allait avoir plus de chose à faire ? C’était difficile d’être une femme au foyer sans son mari, c’était totalement malheureux par moment. Maïka eu le réflexe de le retenir quand il montait les marches. Elle voulait qu’il l’écoute. Elle dit tout ce qu’elle avait à dire, mais elle vit qu’elle n’aurait du peut-être pas faire ça. Ce n’était pas de sa faute après tout, elle voulait mettre des choses au point, mais… Edward Clash restait Edward Clash. Edward était un phénomène, difficile à suivre par moment, et maintenant elle savait qu’elle venait de faire était… une grave erreur. Elle sentit la main de son mari sur sa mâchoire, ses pieds quittèrent le sol. Paniquée ? Pas qu’un peu. Elle voulait disparaître. Elle aurait aimée dormir en ce moment, comme ça il n’y aurait certainement aucune confrontation. La métisse se serait blottit contre lui et n’aurait plus bougé parce qu’elle aurait connu la chaleur de ses bras, en ce moment elle connaissait la froideur de Clash… il était si… si différent.
« Tu es épuisante, Maïka, avec tes compromis. J'en fais déjà énormément... si tu savais... Je ne les ramène pas à la maison, je ne les rappelle pas, je ne le fais pas plus d'une fois avec elle, je ne reprends jamais les même, je ne m'attache pas, je ne leur donne pas mon numéro, ni où j'habite... que veux-tu, Maïka, que je sois sympathique, aimant, un bon petit mari? Et quoi? Bientôt tu vas me demander d'être fidèle et aimant? Je ne suis pas une fillette, petite salope, et crois moi que si on savait tous ce que tu fais au lit, tu aurais de quoi rougir. J'ai connu des pétasses qui étaient plus prudes que toi, alors ne me reproche rien, sinon j'irais crier sous tous les toits combien tu es chaude, Maïka, chaude et que tu ne demandes qu'à être prise comme une chienne. Tu vois, ça, c'est une chose que tu ne m'offres pas. Te prendre comme une chienne. C'est une des choses que je me permets avec mes pétasses, tu vois. Et après je les étrangle, je les tue, et je les enterre. Tu saisis la différence, Maïka? Et à elles, je ne leurs fais pas de gamins. Et je ne leurs passe pas la bague. Alors réfléchis deux secondes, Maïka, juste deux secondes, fais marcher ta putain de petite cervelle de moineau, et dis moi qui est le plus mal placé dans cette histoire, mes pétasses ou toi? » Elle se retrouva sur le sol à quatre pattes, elle se remit sur ses pieds titubants un peu. « Si tu me compares à tes salopes… Pourquoi m’as-tu mariée Edward ? » Elle fronça les sourcils. « Je veux juste que tu passes plus de temps avec nous… Tu rates tant de chose… Je veux juste que tu reviennes plutôt… Je vais me taire sur tes salopes… Mais vas-tu comprendre que j’en ai rien à foutre de ses filles… que si j’en vois une… une seule je la coupe en petit morceau vivante et je te la fais bouffer sans que tu le sache dans ton repas… » Elle s’approcha de lui. Elle était toute petite et devait le regarder plus haut. « Si tu veux tant me tuer… pourquoi tu m’a s pas étouffée pendant que je dormais à tes côtés ? Tu savais très bien que j’ai autant de problème que toi à propos du sexe, et je fais des efforts pour ne pas chialer jour et nuit… Tu sais ça Ed ? » Elle colla son index contre son torse en fronçant les sourcils. « T’es fatiguée, tu as besoin d’une main d’applaudissement ? Un trophée et une médaille ? » Arrogante ? Un peu beaucoup. Si elle recevait une claque. Elle devait s’y attendre…
Fin
« Pour une fois... » « Et je prend ma chance… J’ai la chance et je ne permettrais pas que mon butin parte… »
Elle sourit en le regardant, toujours au dessus de lui. Elle s’amusait follement. C’était à son tour de dicter les règles et jouer de la façon dont elle le désirait. Elle pouvait que choisir la suite des évènements, mais il ne fallait pas frustré Edward, ça elle le savait très bien, depuis le temps qu’ils sont ensembles. Elle était habituée, en fait, elle vivait mieux sa situation. Elle était habituée de ses infidélités, comme plutôt elle en avait parlé sans toutefois se mettre à crier comme à tue-tête et devenir violent. Ce n’était pas le but à chaque fois qu’elle lui en parlait, c’est pour obtenir un peu plus de ce qu’elle avait déjà pour tomber dans un équilibre stable qui la satisfera. C’était sûrement compliqué, mais ce n’était pas de mauvaise intention. Personne n’était mort aujourd’hui, ils avaient respiré par le nez et maintenant ils s’apprêtaient à jouer à leurs jeux favoris. À chaque soir c’était pareille, mais ce soir c’était un peu spécial, elle avait pris le contrôle sans l’avoir griffé, sans s’être battue… C’est ce qui faisait que ce couple était bien étrange, ainsi que spécial. Le boxer d’Edward fût expédié dans un coin de la pièce. Elle avait envie justement de jouer. Elle était aussi excitée que son mari, mais c’était moins apparent que lui.
« Fais toi avec tes doigts, et pendant ce temps là, moi, j'essaie de défaire mes liens, ça te va? C'est un pari équitable, non? » « Qu’est-ce que tu as en tête toi ? » dit-elle en se penchant de nouveau au dessus de lui allant chercher ses lèvres passionnément en lâchant finalement un petit rire après le baiser. «C’est d’accord… Marché Conclu. Si je gagne j’ai quoi … ? » dit-elle en s’assoyant à côté de lui. Elle descendit sa petite culotte monta un peu sa robe en haut de ses hanches. Elle sourit à Edward tout en le défiant de réussir son pari. Elle glissa ses doigts… pour finalement s’amuser seule, tandis que son mari tentait de se détacher. Elle laissait échapper quelques soupirs par moment laissant entendre son plaisir pour inciter à son mari de réussir son pari, sinon… elle continuerait à jouer seule, mais elle savait au fond que s’il ne réussissait pas son pari, elle le détacherait quand même pour avoir une nuit enflammée. Quand est-ce qu’elle allait dire non à Edward quand elle en avait autant envie que lui et parfois, même plus ? C’était son moment à elle… Elle voulait rendre le jeu que plus excitant. ( C'est pourri >< ) | |
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Ezechkiel E. ScylenceSORCIER.
► MESSAGES : 229 Dim 8 Nov - 3:32 |
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| « Si tu me compares à tes salopes… Pourquoi m’as-tu mariée Edward ? Je veux juste que tu passes plus de temps avec nous… Tu rates tant de chose… Je veux juste que tu reviennes plutôt… Je vais me taire sur tes salopes… Mais vas-tu comprendre que j’en ai rien à foutre de ses filles… que si j’en vois une… une seule je la coupe en petit morceau vivante et je te la fais bouffer sans que tu le sache dans ton repas… » « TU N'EN N'AS JAMAIS VU UNE SEULE! » Edward avait hurlé, sans doute réveillé un môme, mais à ce moment, la seule chose qu'il comprenait, c'était le sens des paroles acerbes de Maïka, et surtout les reproches. Elle ne faisait que ça. Reprocher. Reprocher. Reprocher. Ô, si seulement elle savait... si seulement elle avait trouvé un abrutit de moldu alcoolique, là, elle aurait su toute la chance qu'elle avait d'avoir un mari comme lui. Oui... « Si tu veux tant me tuer… pourquoi tu m’as pas étouffée pendant que je dormais à tes côtés ? Tu savais très bien que j’ai autant de problème que toi à propos du sexe, et je fais des efforts pour ne pas chialer jour et nuit… Tu sais ça Ed ? » « Je me retiens, figure toi, de t'en coller une bonne qui te remettrait à ta place, alors ne me tente pas de trop... » grogna Clash, agacé. « T’es fatiguée, tu as besoin d’une main d’applaudissement ? Un trophée et une médaille ? »
La claque partie rapidement, particulièrement violente. On ne rigolait pas avec Clash. Maïka avait volé, faisant un petit vol plané de quelques mètres en arrière, retombant violemment sur le sol. L'air de Clash était mauvais, pratiquement dégoûté.
« Parfois, Maïka, je me demande ce qui m'a seulement attiré une seule fois vers toi... hormis que t'aie le feu au cul. »
Et il se retourna aussitôt, claquant violemment la porte de la chambre. Si elle entrait, ça se finirait pas, et ça, elle le savait pertinemment.
fin du flash back.
« Oh, Clash… J’ai envie de me faire avec mes … Juste pour te faire patienter… Mais ça serait… trop pour toi. Je te défis que tu ne seras jamais capable de te libérer de tes liens ! » « Fais toi avec tes doigts, et pendant ce temps là, moi, j'essaie de défaire mes liens, ça te va? C'est un pari équitable, non? » « Qu’est-ce que tu as en tête toi ? C’est d’accord… Marché Conclu. Si je gagne j’ai quoi … ? » Il eut un sourire lupin, le regard scintillant. « Tu ne gagneras pas. »
Il la regarda se dégager de lui, et glisser la jupe sur ses hanches. Son regard s'attarda sur l'antre de ses cuisses bombées et ses doigts, jouant avec l'appendice de chair rose et claire. Il entendit rapidement des soupirs et eut un sourire crispé, un sourire fièvreux. Elle l'attendait, il le savait. Il poussa sur la couette avec ses pieds, afin de se redresser, et tira avec ses doigts sur le cordage attaché au barreau du lit. Plus elle gémissait fort, plus il tirait fort, jusqu'au moment où la corde lâcha et se défit, libérant sa main droite. Il se dégagea presque aussitôt de sa main gauche et poussa tendrement Maïka sur le lit, enlevant son t-shirt pour se coller à elle, attrapant ses hanches et l'attirant à lui, l'embrassant à pleine bouche, après quoi il eut un petit rire, amusé.
« J'ai gagné. Je gagne le gros lot...? »
Ses mains glissèrent le long de sa chute de reins et lui enleva sa robe, ne lui laissant plus qu'un soutient gorge noire. Noire, noire... couleur de malheur, mais ô combien excitante pour Edward Clash. Connotation perverse, sans doute. Il laissa glisser ses mains jusqu'aux hanches de sa femme, les caressant, alors que sa bouche rejoignit la peau tannée de l'hawaïenne, y déposant des baisers chauds, brûlants, sur le torse, descendant jusqu'à ses seins, mordant gentiment la peau. Il avait envie d'elle. Il commença un va et vient, mais se frotta uniquement à elle, pour qu'elle le supplie, qu'elle le lui demande, le regard brillant. Il n'y avait que comme ça que ça marcher, avec lui. Il fallait qu'il se sente dominant et désiré.
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Maïka ClashSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 114 Dim 8 Nov - 18:02 |
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| FLASH BACK
« TU N'EN N'AS JAMAIS VU UNE SEULE! » « Heureusement pour elle… » dit-elle sérieusement sans élever la voix, comme si elle se foutait carrément qu’il lui hurle dessus en réveillant la maisonnée. Maïka ouvrit de nouveau la bouche et fit, comme il avait fait, elle lui hurla dessus. « TA GUEULE!!!! NE ME CRIT PAS DESSUS! » Ce qu’elle le détestait en ce moment, autant qu’elle aimait. Pourquoi restait-elle avec lui ? Pourquoi était-elle encore là avec cet homme qui la rendait malheureuse tout en la rendant heureuse par moment. C’était l’un des moments difficile qui prouvaient que le couple Clash s’était mis rapidement ensemble, sûrement sur un coup de tête, en entendant l’annonce que la métisse attendait un bébé. Précipitamment, ils avaient fait les démarches pour les fiançailles. Elle avait trompé ses parents en jouant avec ses talents d’actrice. Elle avait fait des choses que personne n’aurait faite autant dans le dos de ses parents. Elle les avait rabaissés à un niveau plus bas que sous son talon. Maïka était une mauvaise fille. Elle ne s’arrêtait pas pour aider son prochain, elle n’aidait personne hormis son mari, sa famille qui débutait et elle-même. Égoïste ? Oui et pas qu’à moitié. Elle reprochait à Edward un mauvais comportement égoïste et méchant, mais au fond… était-elle mieux ? Ils se rejoignaient sur plusieurs points, mais ils semblaient ne pas se rendre compte de tout ça. Ils étaient trop éloignés de l’un et de l’autre ne se connaissant pas assez en parti… Le mariage était-il un fiasco ? Peut-être un tout petit peu, mais elle l’aimait et était incapable de foutre le camp, même si elle avait la porte grande ouverte quand il n’était pas présent. Il y avait combien de plan pour qu’il ne la retrouve jamais, mais au grand jamais ? Trop compliqué.
« Je me retiens, figure toi, de t'en coller une bonne qui te remettrait à ta place, alors ne me tente pas de trop... » « T’es fatiguée, tu as besoin d’une main d’applaudissement ? Un trophée et une médaille ? » Arrogante ? Un peu beaucoup. Elle devait s’y attendre à cette claque, mais pourtant elle avait cru qu’il n’avait pas assez de couille. Comment avait-elle pu être aussi idiote ? Ses pieds quittèrent le sol, elle se retrouva au sol. Elle ne bougeait pas au tout début. Elle avait la tête qui tournait. La seule chose qu’elle savait, c’est qu’elle était en un morceau. Mais pour combien de temps encore ? Elle n’en savait rien. La métisse fini par se relever sur ses deux pieds et caressa son ventre, comme pour dire à son bébé que tout va bien. Elle croisa le regard mauvais de son mari. Elle s’en foutait éperdument. Elle n’en avait rien à foutre de ce qu’il pensait.
« Parfois, Maïka, je me demande ce qui m'a seulement attiré une seule fois vers toi... hormis que t'aie le feu au cul. » Elle ne trouva rien à dire. Elle n’avait rien à dire sur ça. Mais elle était en colère. Ce n’était pas jolie une femme enceinte en colère. Il claque la porte de leur chambre. Elle restait de bout dans le couloir essayant de contenir sa colère, mais elle était à bout. Maïka donna un coup de pied dans la porte avec puissance. La porte s’ouvrit briser. Elle était hors d’elle. La métisse rentra dans la chambre à coucher toujours furieuse.
« Alors donne-moi de la liberté autant que tu en as !! POURQUOI MOI JE N’AI PAS LE DROIT DE SORTIR DE LA MAISON POUR ALLER ME FAIRE BOUCHER LE TROU PAR UN AUTRE TANDIS QUE TOI TU EN BOUCHE PLUS QU’UN ORIFICE ? FAAAAAAAIT PAS CHIER ED !! » Elle lui hurlait dessus. Elle savait qu’Ellis s’était réveillé. Le pauvre garçon entendait les disputes fréquentes de ses parents. Ça ne devait pas être agréable pour le garçon qui devait souhaiter au fond que tout cela cesse. « MAIS LA SEULE CHOSE QUE TU NE REGRETTES PAS C’EST DE M’AVOIR FAIRE UN ENFANT… PARCE QUE ÇA JE LE SAIS EDWARD, TU Y TIENS À ELLIS… MAIS DIS-MOI SURTOUT PAS QUE TU TE DEMANDES CE QUI T’A ATTIRÉE CHEZ MOI, PARCE QUE VOIS-TU S’IL N’AVAIT RIEN QUI T’AURAIS ATTIRÉ TU N’AURAIS PAS ELLIS… » Elle s’était rapprochée de lui. Elle le poussa sauvagement. « NE LÈVE PLUS JAMAIS LA MAIN SUR MOI! »
FIN FLASH BACK
« Tu ne gagneras pas. » « Je sais… ça met juste plus du piquant… ! » dit-elle avec un sourire complice avant de glisser ses doigts entre ses jambes jouant en solo sans l’aide de son mari. Elle avait pris l’habitude depuis quelques temps puisqu’il n’était pas toujours à la maison. Elle avait, elle aussi, un problème par rapport au sexe, c’était une nymphomane casée, mais c’était difficile pour la jeune femme de réussir à se contenter une fois par jour. Elle s’était donc décidée de jouer par moment en solo pour s’amuser un peu. C’était le peut qu’elle pouvait faire avant que son mari lui donne ce qu’elle désirait. Depuis le temps, qu’ils faisaient ça, ils auraient pu se tanner, mais étrangement ils aimaient toujours autant ça. Ils s’amusaient toujours autant. Personne ne pouvait les comprendre, ça c’était sur. Après dix ans, ils avaient toujours une vie sexuelle très active autant que les jeunes couples, même plus. Elle ne regardait pas son mari se concentrant sur sa tâche. Sa respiration c’était accélérée laissant par moment des soupires s’échappés des lèvres pulpeuses de Maïka. Au fond la métisse attendait que son mari fasse le reste. Elle voulait s’amuser elle. La métisse voulait du sexe, elle en voulait et à fond. Pas comme dans les films romantiques où l’homme faisait l’amour tendrement à celle qu’il aime. Foutaise ! Comme si la femme était contentée. Elle n’en croyait aucunement. C’était un homme comme Clash qui savait ce que désirait les femmes, c’était le meilleur et c’est tout. La métisse se fit pousser dans le lit. Elle tomba sur le dos. Ses doigts quittèrent son entre jambe sentant le corps de son mari se coller au sien. Elle sentit les lèvres de Clash contre les siennes. Oh que la nuit promettait d’être prometteuse. Ça allait être bon, ça elle le sentait.
« J'ai gagné. Je gagne le gros lot...? » « Qu’est-ce que tu veux gagner d’autre à part le gros lot ? » dit-elle avec un sourire cherchant à sentir le chaleur du corps de son mari. Il fit disparaître d’un geste habile sa robe. Trop souvent, il l’avait fait, mais elle ne s’en plaignait pas. C’était leurs jeux après tout. C’était ce qui les rassemblait encore plus. La métisse se laissait faire en pensant à ce qui allait être l’une de ses nuits torrides dont elle raffolait. Les baisers qu’il lui donnait faisaient monter l’excitation. Elle avait envie de lui, et lui de même envers elle. Il ne pouvait se le cacher, ils étaient attirés l’un par l’autre malgré les quelques disputes qui étaient beaucoup moins fréquente qu’auparavant, comme s’ils avaient trouvé un mode de vie où ils étaient capable de vivre avec la situation malgré qu’ils n’étaient pas toujours sur la même longueur d’onde. Oh le salaud ! Il se frottait contre elle sans l’avoir totalement déshabillé et sans la pénétré. Elle n’allait pas le supplier. Ça non. ! Elle n’allait pas lui donner raison. Elle n’en avait pas envie de lui faire ce plaisir.
« Si au moins tu me libérais de ce tissus en trop… Et joue pas le salaud ! Tu ne gagneras pas cette fois… il t’en faut plus que te frotter à moi… » Dit-elle en se retenant de ne pas lui demander de la prendre toute de suite et ne pas arrêter. Elle voulait qu’il la fasse grimper au rideau. Elle avait envie qu’il lui fasse du mal, mais au fond ça lui faisait un grand bien. Maïka le repoussa pour le faire tomber à côté d’elle dans le lit. Elle lui monta dessus s’amusant à son tour. Elle voulait se faire aussi supplier. Elle aimait se sentir dominante. Elle se laissa glisser vers le bas du corps de son mari en le regardant d’un sourire sauvage et pervers. Elle prit l’entre-jambe de son mari déposant quelques baisers et pensant sa langue et se reculant pour lui lancer le défi de faire mieux tout en lui souriant. ( c'est pourri ) | |
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