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| LEFT4DEAD; COURS DE SURVIE. | |
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Abaddon M. Van HellsingPROFESSEUR de sortilège. ► Dr de Serd. & Adjointe
► MESSAGES : 181 Lun 15 Nov - 20:40 |
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| COURS DE SORTILÈGE. GROUPE UN. KILLZONE. (sujet du cours: vous n'imaginez pas ce que la rue peut-être dangereuse pour vous, n'est-e pas? soit. c'est dommage. parce que justement, dans la rue, il peut se passer tellement de chose. vous n'en savez rien? attendez. je vais vous montrer et vous entraînez. bientôt, vous saurez survivre à une attaque de zombie. si, si. je vous jure.)
- ashley mansfield. - isham el kahil. - anna-beth carson. - aaron vanna syl. - autumn reagan. - jocelyn jhohnson. | | NOTIFICATION :- Toutes dégradations superficielles de vos affaires, de votre corps ou de votre santé mentale n'est pas de la faute du professeur. Vous avez signé un papier de décharge, à ramener le jour du cours! - Le but des deux cours est : d'apprendre aux élèves à survivre, de nouveaux sorts utiles, à être autonome, à travailler en groupe efficacement. - Il y aura le " petit plus du Chef " à la fin de chaque cours. - Au maximum, le cours fera 3 pages. - Les deux groupes seront au nombre de six. Ni plus, ni moins. - Il n'y aura aucun tour pour savoir qui réponds. On avance, ou on avance pas. - Un poste = un personnage. Pas de poste où on mélange ces comptes. - Abaddon Van Hellsing est alchimiste, mais ce n'est pas Dieu. Les suicidaires finiront à coup sûr à l'infirmerie, et verront leur moyenne baisser. - Il s'agit de la seule note du trimestre. Elle est très importante. - Vous avez le droit d'utiliser vos " petits plus " (vos dons). - Les points qui vous seront donner seront importants et généreux si vous participez activement. Maximum prévu pour le meilleur du groupe : 150points pour lui, et 50 pour sa maison, ainsi que le titre " SURVIVOR ". - Suivez les règles. C'est la plus importante des règles.ABADDON VAN HELLSING, 29 ANS, ADJOINT-PROVISEUR, DIR. DE SERPENTARD, PR. DE SORTILÈGE.Les deux calèches s'arrêtèrent sur le pave froid. Sur Londres, de lourds nuages gris cachaient des dernières étoiles qui auraient pu éclairé encore le chemin des élèves. Mais non. Il faisait noir, et même les réverbères s'éteignaient systématiquement sur leur passage. Il y avait des hurlements en fond. Abaddon avait bien insisté sur la décharge de responsabilité. Il était persuadé que tout se passerait bien, mais ne comptait pas se tenir responsable de quoi que ce soit si les choses s'envenimaient et qu'un élève faisait le mauvais choix. Il avait une place à faire falloir. Il avait travaillé pour. Il descendit de la calèche, ouvrit la porte de la seconde. « Descendez calmement et restez près de moi. Je veux voir vos décharges. »Et il les ramassa, les inspecta, puis les rangea : il plia le tas de feuille qui disparu entre ses mains. Il regarda autour, sa montre, puis fit remarquer au cochers qu'il était l'heure pour eux de partir. Les deux calèches, dans un claquement de fouet, disparurent finalement, laissant le groupe de six élèves et le directeur de Serpentard nez à nez dans un boulevard plutôt large mais dévasté par l'enfer. « Bien. Le thème du jour sera la Survie. Mettons que dans une semaine vous vous retrouvez dans cette ruelle, tout seul, et que vous tombez nez à nez avec un monstre. Vous ne pouvez pas fuir, cela va de soit. Que faîtes vous? Bonne question. C'est ce que l'on va apprendre aujourd'hui. Des sorts utiles pour se défendre, et une manière de réagir. Parce que c'est pas en hurlant qu'on va s'en sortir. Bref. Tout le monde en rang, deux par deux, on va vers l'est. Je vous expliquerais en chemin. » Le groupe compacte, un peu inquiet aussi, se mit en route. Abaddon se mit à l'arrière, et regardait aux alentours, l'air calme. Lui n'avait rien à craindre. Ou presque rien. « Première chose : faîtes gaffe de tous les côtés, et surtout l'obscurité. Seconde chose : toujours connaître son ennemi. Citez moi les trois créatures basiques infernales qui peuvent traîner par ici. » Première question posée, et aucune créature à l'horizon. | |
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InvitéInvité
Dim 21 Nov - 11:22 |
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| Ils étaient de sortie à Londres. De sortie sous un ciel noir d'encre, pas d'étoile sous ces sombres nuages qui encombraient la voûte céleste. Elle avait regardé par la fenêtre, le long du chemin, pour se rendre compte de l'extinction systématique des réverbères que les calèches provoquaient en s'en approchant. Et quand elle descendit de la calèche et s'arrêta un instant pour flatter l'encolure des chevaux qui les avaient emmenés, elle entendit les hurlements en toile de fond, qui lui firent froid dans le dos.
Elle avait signé elle-même la décharge de responsabilité, n'ayant plus de parent proche encore en vie, si ce n'était une vieille tante perdue quelque part au Québec. De toute façon, elle n'imaginait pas finir trop mal, elle ne comptait pas prendre de risque inutile. A moins que la vie d'un de ses camarades ne soit en jeu. Le professeur tint à la voir, cette fameuse décharge et elle la lui tendit, comme les autres. Il rangea le tas de feuille d'un tour de passe-passe qui émerveilla un instant la grande poufsouffle.
Elle n'eut guère le temps de saluer plus longtemps les chevaux qu'ils repartaient, les laissant seuls avec le professeur Van Hellsing. D'un signe de main, elle leur dit pourtant au revoir, puis se focalisa sur le professeur, autant qu'elle le pouvait, les hurlement en fond lui glaçant le sang, l'aspect infernal de l'endroit où ils se trouvaient aussi.
Le thème était la survie, non sans blague. Quand il insista pour qu'ils se mettent deux par deux, elle s'approcha d'office de sa camarade jaune et noire, la seule de ce petit groupe. On allait vers l'est, soit. Mais pourquoi ? Elle s'imaginait déjà face à un détraqueur, sans savoir pourquoi cette créature lui venait à l'esprit plus qu'une autre. Quand le professeur demanda trois créatures basiques infernales susceptibles de se trouver sur leur chemin, elle passa son tour, inspectant les environs, baguette en main. Elle préférait ne pas dire de bêtise, même si les serpentards n'étaient pas de la fête aujourd'hui. Pour l'instant, tout semblait aussi calme que leur professeur. Pourvu que ça dure... | |
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