« Je n'étais encore qu'un enfant quand j'ai regardé une servante donné le sein à son fils. Je savais déjà, à l'époque, que le corps féminin ne m'attirait pas spécialement. Pourtant, ce spectacle n'était en rien répugnant. Alors j'ai regardé le bambin rose tirait du sein divin de sa mère le lait maternel, et je me suis demandé ce que je serais comme père, plus tard. Serais-je le père que j'ai, magnifique mais loin pourtant? Un poltron qui bat sa progéniture? Un père aimant, fermant trop les yeux sur les agissements les plus vils? D'autres questions sont venues aussi, mais toutes ont été écrasé par la seule qui me resta en tête. Avec qui. Je n'ai pas jamais eut de réponse. Je n'en aurais jamais, car nul ne pourra jamais me donner cette famille que tant chérissent, jamais personne ne pourra m'accueillir en souriant le soir, ou en rentrant de guerre. Nul ne pleurera sur ma tombe. Nul n'ira verser un peu d'eau sur les chrysanthèmes et les asphodèles qui entoureront ma stèle. Je ne suis pas aimé, et je n'aimerais jamais l'espèce qui donne la vie. Je suis – en tout – stérile. »
— Néhémie Aldea.
« Je me suis souvent dit que les Anges, comme toi Mika'il, devaient être des mangeurs d'homme. »
« Pourquoi dis-tu ça, Matthias? »
« Nous les hommes, nous mangeons les animaux. Les animaux se mangent entre eux. Nous nous mangeons entre nous. Si jamais, au grand jamais, les anges devaient manger, alors sans doute devraient-ils nous manger, afin d'équilibrer cette grande chaîne. Nous ne mangerons jamais les Anges comme l'homme athée mange Dieu. La chair animale nous ait gouteuse. Sans doute que notre chair doit être gouteuse à vos yeux alors, puisqu'elle n'est pas la vôtre, et que nous ne sommes, après tout, que des animaux pensants et parlants. »
« … »
« Si je meurs, tu me mangeras? »
« Quelle drôle d'idée. »
« ... »
« … Je n'ai jamais rien mangé. »
« Tu devrais essayer. »
« Un jour, peut être. »
— Matthias de Salamine et l'archange Mika'il.
« Il y a longtemps, j'étais assis à une table d'un convive égyptien. Il parlait beaucoup, riait beaucoup, et gesticulait sans cesse. Il nous fit servir, à un moment du repas, un grand plat de viande. À l'odeur, j'ai tout de suite su ce que c'était, mais je n'ai rien dit et j'ai commencé à manger de bon coeur le met. Quand à la fin du repas il avoua son forfait, tous les convives crièrent et pleurèrent beaucoup, puisque l'hôte venait d'avouer qu'il avait fait égorger deux de ses domestiques avant de les faire rôtir, puis de nous les donner. Puisque je ne m'affolais pas, tous se tournèrent vers moi pour me demander mon avis. J'ai dis alors qu'il ne me dérangeait en rien de manger la viande de mes frères sur cette terre, car cela ne dérangeait en rien les animaux de se dévoraient entre eux, sur quoi tous me répondirent qu'il n'y avait pas de moral à nous comparer aux animaux. Pour clore le débat, je me suis transformé et je les ai tous dévoré. Puis-je vous avouer quelque chose? … à mon oreille, il est plus dur d'entendre les pleurs d'un agneau qu'on dévore, ou d'un cochon qu'on saigne, que les couinements d'un homme à qui l'on arrache les tripes. La chair humaine est trop nerveuse, trop mauvaise. J'ai toujours dit que la viande d'un homme reflétait sa personnalité. Je mange peu de prêtre, cette viande est aigrie et avariée. Je préfère de loin celle des jeunes mères, tendres au goût de lait. Mais des deux goûts, de l'animal et de l'humain, je préfère de loin le fumet du sanglier, car c'est une viande forte et qu'elle est tendre sous le croc. »
— Izaak de Thébaïde, Solokoff.
« Tu te rappelles notre première bataille, Hugo? »
« Oui Noah. C'était sur les bords de la Mer Noire. Il faisait nuit déjà, et l'air nous enveloppait. »
« Oui, c'était là... c'était beau, n'est-ce pas? »
« C'était merveilleux. C'était rouge. »
« Rouge sang. »
— Hugolin et Noah de Thébaïde.
« Je vais te raconter une histoire, Kharon, mais si tu veux l'entendre, il faut que tu te tiennes calme. »
« Promis Moëris! »
« Bien... C'était il y a longtemps, un temps où je n'étais pas née, et dont les récits parcoururent la terre par la parole, et jamais par l'écrit. Il était, dans la grande ville de Sodome, deux hommes qui s'aimaient tendrement, non pas d'un amour de luxure, mais d'un amour pure. Tous les jours, ils s'embrassaient et se quittaient pour revenir le soir, rompu de fatigue après le lourd travail. Ils n'avaient pas le temps de s'embrassaient, alors ils se couchaient et dormaient jusqu'au matin suivant. Puis un jour, un homme apparu et les montra du doigt, criant sous tous les toits qu'ils forniquaient, et que leur amour impur souillait la renom de la ville. Aussitôt les habitants sortirent les fourches et allèrent les trouver. Fatigués, ils se levèrent pourtant et se montrèrent. On alla dans leur chambre, et on ne trouva qu'un lit. Un prêtre qui venait d'une ville voisine cria que bientôt, la ville tomberait, car elle avait été souillé de l'amour de deux hommes. »
« Sodome n'était-elle pas une ville de sodomite? N'est-elle pas tombée? »
« Elle l'était aux yeux des hommes qui n'aimaient pas leur prochain, Kharon. Les sodomites n'existent que dans le coeur de ceux qui écoutent les voix du mal et de la peur. N'aie jamais peur de ce que tu ne connais pas, car sur cette terre, nos amours sont parfois étranges. Tu aimeras un jour, Kharon, peut être que ce sera une femme, ou un homme, une humaine, une lycane, un vampire, ou quoi que ce soit qui puisse être aimer comme une idole, et à cela, nul ne peut rien te reprocher, car le coeur choisit, et la raison plie. Ceux qui n'aiment pas vraiment te jugeront, mais tes vrais amis comprendront et accepteront avec le sourire sincère de ceux qui savent. »
— Moëris de Thessalie et Kharon d'Arcadie.
« L'amour des lycanthropes est quelque chose de cruel, tu sais. J'ai connu un homme qui aimât une femme comme on aime un dieu, avec la puissance, la dévotion, la beauté que l'on demande aux plus grands prêcheurs. Tout le jour il se battait afin qu'on ne souille pas son nom, et il portait sans cesse des cadeaux de tout genre à la porte de la femme. Puis un jour elle tomba follement amoureuse d'un ami à elle, et l'épousa afin de fonder une famille. La première personne à qui elle le dit fut l'homme qui l'aimait depuis qu'il l'avait vu, et ce dernier ne fit rien que de lui sourire, et de lui souhaiter de longues fiançailles, car il ne voulu jamais que le plus grand bonheur pour elle. C'est ça, l'amour le plus pur, le plus grand, le plus beau. C'est celui qui fait souffrir sans qu'on ne le voit jamais... Je crois même que l'on peut en mourir, tu sais. »
— Tibérias de Thèbes, à Elladora Konstantine.
« Au début du monde, nous étions des esclaves mes frères, puis notre père s'est élevé et a brisé les chaînes. Il nous a rendu notre liberté. Aujourd'hui, les hommes veulent à nouveau nous attacher au sol. Ils voudraient nous voir ramper à leur pied, comme de vulgaires chiens. Qui sont-ils pour nous mettre en laisse? Qui sont-ils pour vouloir de nous ce que nous nous demandons pas entre nous? D'où leurs viennent le droit de nous commander, quand nous avons nos tribunaux, nos juges, nos lois et nos règles? Nous ne leur avons pas demander de respecter nos traditions. Nous ne leur avons pas demander d'être comme nous, et d'être regarder par nos rois. Aujourd'hui, ils nous demandent de rendre les armes. Qu'allons-nous faire mes frères? Se vautrer dans la boue? Non! Ce serait cracher sur la mémoire de nos ancêtres, qui se sont battus pour nous, pour notre liberté! Alors ce soir, nous allons sortir les armes, et nous leur demanderons de se battre. Nous ne soumets pas un peuple de guerrier par les paroles quand il se défends avec les armes. Ils n'auront d'autre choix que d'aiguiser leur épée et de monter leur plus belle cavale. Femmes, vous garderez les enfants près de votre sein. Vos hommes vont à la guerre ce soir. Vos hommes seront fiers dans la bataille, et si ce soir nous vaincrons, alors demain le vin coulera à flot afin de cacher les tâches de sang. Nous aurons le temps de pleurer plus tard. Maintenant, c'est les armes qui veulent parler, alors laissons leur la parole! »
— Lacoon de Thèbes, discours de guerre.
« Je l'aime Néhémie, je le sais, mais c'est avec toi qu'elle va se marier. Je devrais te tuer, tu sais? Te trucider, enfoncer ton épée dans le coeur, te l'arracher, le manger peut être? Je devrais éparpiller tes morceaux, comme Seth fit des morceaux de son frère. Peut être les donnerais-je au chien? … non. Tout cela est futile quand mon coeur saigne et que mes yeux pleurent. Je ne peux rien en ce monde que pleurer, sans cesse, car il n'y a plus que ça de vrai après tout. Pleurer du matin au soir, qu'on me fasse enfin la gentillesse de la donner à moi, puisqu'on sait tous comme je la dévore des yeux... Ne sauras-tu rien faire pour moi? »
« … Je ne suis pas assez heureux moi-même pour être capable de soigner tes plaies, Ezechkiel. Tue-moi si tu penses que cela peut t'aider. Arrache moi le coeur, aussi, mais alors mange-le ensuite, que je meurs sur tes lèvres. Cela sera mon seul bonheur. »
« Tu dis encore des choses folles. »
« J'en dis tant, que cela ne m'étonne plus. »
« J'aime t'écouter, Néhémie. Tu parles comme un enfant qu'on aurait torturé. »
« Je ne sais pas comment le prendre... »
« En souriant. »
— Ezechkiel et Néhémie Aldea.
« La seule dont j'ai besoin, c'est de toi Ellah. Un lycanthrope ne vit que d'amour. Il peut tout perdre, tout. Son travail, sa maison, son honneur, son espoir, pourvu qu'il y ait encore l'amour de sa vie à ses côtés. C'est tout ce qu'il demande, car nous sommes des êtres fidèles, et qu'il n'y a rien de plus fort en notre coeur que sa famille, et ma famille, c'est toi, Ellah. »
— Tibérias de Thèbes, à Elladora Konstantine.
« Je t'admire, Néhémie, tu sais. Tu n'as jamais pleuré devant personne... Déjà petit, tu fronçais les sourcils, et tu restais des heures durant prostré comme ça, sans qu'une larme n'embue tes yeux, alors que moi, au moindre coup de fouet, je criais comme un homme qu'on torture... Alors que toi, tu restais de marbre. Pas même une grimace. Ça m'a toujours impressionné. »
« ... »
« Tu n'es pas humain, Néhémie. Jamais tu ne pleurs? »
« Une fois. »
« … Je m'en rappelle. »
« C'était il y a longtemps pourtant. »
« Quand Mère est morte... J'ai pleuré aussi. »
« Il y a Père qui derrière nous mettait des coups pour qu'on cesse, mais c'était tellement dur de retenir ses pleurs quand ils l'entèrent... Si jeune, non? J'ai toujours cru qu'on l'avait empoisonné, et j'ai appris qu'elle avait été emporté par une forte fièvre. C'est drôle, non? Une fièvre... »
« Il n'y a que les anges qui meurent de fièvre. »
« Les anges et les princesses, Ezechkiel. »
« Oui. Les anges et les princesses... »
— Ezechkiel et Néhémie Aldea.
« Tu m'aimes Izaak? »
« Arrêtes de me mordre la nuque, et je t'aimerais déjà mieux. »
— Hugo et Izaak de Thébaïde.
« J'ai connu un homme qui avait aimé une jeune libertine. »
« Et alors? »
« Alors il s'y ait cassé les dents. Après l'avoir rendu femme, il s'est rendu compte qu'elle n'était plus vierge. Oubliant déjà l'humiliation, quand le lendemain il entra dans sa chambre, deux hommes jouaient avec elle à des jeux qui le déprimèrent. »
« Qu'est-il arrivé ensuite? »
« Je crois qu'il est mort. »
« Mort?! »
« De douleur, j'imagine. »
« C'est affreux! »
« ...beau, je dirais. Beau. »
— Masael de Lusitanie à une humaine inconnue.
« Vous vous brûlez? »
« Je m'entraîne. »
« Pour? »
« L'enfer pardi! L'enfer! »
— Ezechkiel Aldea à une prostituée.
« Tu as la prétention d'être le Roi des Lycanthropes quand tu te mets à genoux devant une femme, Lacoon de Thèbes? Qu'en est-il de ta voix? Est-elle, elle aussi, régit par ta femelle? »
« Pour insulter ma femme, tu mériterais que je t'égorge aussi sec qu'un cochon sur ce sol, mais tu le souillerais de ton sang, et cela me déplairait grandement que ma femelle est à nettoyer tes saletés, aussi je te répondrais que nous allons régler cela dehors, veux-tu? »
— Lacoon de Thèbes à un oublié de l'histoire.
« Tes yeux sont ambre, gamine. »
« Mon Papa dit que je tiens ça des anciens... Vous savez, vous avez les même que moi. Ils sont tout jaune. C'est beau, vous savez? Les miens tournent rouges parfois, mais Papa dit que c'est normal... Vous êtes un ami de Papa? »
« Moi? ...oui. En quelque sorte. »
« Moi je m'appelle Moëris. Papa dit que c'est un prénom de garçon, mais c'est pas grave, pas vrai? Que je sois une fille, c'est pas grave, n'est-ce pas? C'est quoi votre prénom à vous? »
« Je m'appelle Seth. »
« Seth? C'est joli. Ça sonne bien. »
« Oui. Comme Moëris. »
« C'est gentil! »
— Moëris de Thessalie et Seth d'Eden.
« Hugo, tu l'aimes comment ta femme? »
« Bien... Je crois. »
« Tu l'aimes à l'en croquer? »
« Non. Pas encore... Pourquoi? »
« Oh. Comme ça... pour savoir. »
— Hugo et Izaak de Thébaïde.
« T'as une drôle de tête, Ronron... T'as couché avec Lucy ou quoi? »
« Non! T'es folle...! … j'ai pas couché avec elle depuis un bon mois. »
« C'est bizarre. T'as cette tête de mec trop déçu... »
« J'sais pas... p't'être... »
« … c'est même sûr. »
« ... »
« ... »
« … Tu penses qu'un jour quelqu'un m'aimera, Eurydice? Je veux dire, pas m'aimer une nuit, ou une semaine, mais vraiment, tu sais, le grand amour, pour la vie, tout ça? »
« J'sais pas... Je pense qu'on a tous nos alter ego. Suffit de bien chercher.»
« ... »
« Au pire des cas, t'as Betsalel! »
« Eeeeh! T'es vilaine! »
« Ouais. J'sais. »
— Eurydice Sinfull et Aaron Vanna Syl.
« Catharsis, violes moi, je veux te sentir, je veux que tu me … »
« Non. Pitié, Néhémie. Tais toi. Tais toi sinon je me suicide. »
« … mh? »
« Je te rappelle que cette chambre est à moi. »
« … Et ça te donne le droit d'entrer sans toquer? »
« Eeeeh, ouais. »
« … »
— Ezechkiel et Néhémie Aldea.
« De … l'argent, tu dis? Pour mon peuple, ce que tu me tends, ce n'est rien d'autre que du papier et de l'encre. On ne paye jamais qu'avec les mots en disant merci en retour. Ça ne m'intéresse pas que tu me donnes de tes papiers humains. Regarde moi dans les yeux. Je viens de te rendre un service. Dis moi merci, et sache que le jour où je serais dans le besoin, et que tu pourras m'aider, tu te rappelleras ce jour et tu me tendras la main. Si tu ne le fais pas, ton nom sera sali, et plus jamais mon peuple ne t'aidera. »
— Lacoon de Thèbes à un célèbre de l'histoire.
« Tu sais quoi? »
« Non. »
« Quand je mourrais, je vais pleurer. »
« Pourquoi? »
« Je sais pas... mais je pleurerais. »
« Alors j'essuierais tes larmes. »
— Ezechkiel et Néhémie Aldea.
« Tu regardes encore tes mains... »
« Je sais. »
« Pourquoi? »
« Je me demande ce qu'elles ont. »
« … dix doigts? »
« Non. Ce qui en fait des mains de roi. »
« Tu te poses de drôle de question. »
« Non, c'est vrai. Qu'est-ce qui me donne le droit d'être un bien-né? »
« Tu aurais préféré être un cul terreux? C'est encore faisable. »
« Tu comprends jamais rien. »
« Tu t'exprimes mal. »
« Mes mains... Elles sont tâchées. »
« La politique s'apprend dans le sang. »
« Je n'aime pas la politique. »
« Tu apprendras à l'aimer. »
« Je la déteste. Elle a la couleur du sang. »
« Tu apprendras à aimer le vermeil. »
« ... »
« Je suis là... »
« Je sais. »
« Alors n'aie pas peur. »
— Ezechkiel et Néhémie Aldea.
« Dans ma famille, il n'y a que Hugo et moi qui mangeons de la viande humaine. Les autres le disent souvent, mais ne l'ont que rarement fait, ou alors en grande famine durant les plus longues batailles que notre race ait connu. Hugo tient beaucoup de Papa. Il a souvent des idées étranges. Il dit qu'il veut me manger quand il me voit, et il me sert contre lui. Hugo, il me regarde avec des yeux qui me dévore sur place, et pourtant, je n'ai pas peur. Les souvenirs qu'il me reste de Papa et de Maman, c'est Maman demandant à Papa de la dévorer, si elle venait, un jour, à mourir. Papa disait souvent qu'il le ferait. Je pense qu'il l'aurait vraiment fait, si il était mort en dernier. Je ne sais pas pourquoi je mange de l'humain, mais sans doute que ça me rapproche de Hugo.... Hugo, je l'aime bien. Plus que Caesar et Wednesday. Je les aime bien tous les deux, mais Hugo, je l'aime plus que ça. Je l'aime comme un affamé aime ses rêves de nourriture. Je m'en nourrirais rien qu'en le regardant. C'est romantique je trouve. J'ai lu ça quelque part, il y a longtemps. L'histoire d'un couple qui s'aimait trop, et qui se sont dévorés. Sauf que Hugo et moi, on est pas un couple. On est deux mâles, et on est frère. Mais l'inceste, c'est aussi de famille. Et la connerie, aussi. »
— Izaak de Thébaïde.