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 ah, j'sais pas.

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Anonymous

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ah, j'sais pas. #Sam 8 Mai - 17:47


Depuis que c'est le printemps, Jezebel est heureuse. Elle peut se remettre à cultiver certaines de ses plantes qui ne peuvent pousser qu'à l'extérieur parce qu'elles sont claustrophobes, ou d'autres raisons débiles qui ne seront jamais débiles aux yeux de Jez, puisque ces bulbes qu'elle enfonce dans la terre fertile du champs de citrouille, ce sont ses créations.
Elle ne plante pas toujours ici, dans le champs, mais ça dépend. Ca dépend si elle compte le vendre, si c'est une plante très voyante, il y a beaucoup de critères mais en général, ce n'est pas vraiment officiel et donc elle essaie de faire ça discrètement.

Il est donc autour de trois heures du mat' au moment de l'action de ce message. Par déduction, c'est la nuit, et en principe, il n'y a personne puisque l'être humain est en général, une créature diurne. Il fait frais, parce que quand même vu la région, alors Jez porte une grosse veste avec un bonnet, un jean et des boots pleines de boue. Elle est là, avec un sac en tissus (celui qui contient les bulbes) et elle plante. Dans le trou, elle met une goutte de quelque chose, avec une petite pipette. Elle rebouche. Quelques centimètres plus loin elle plante, dans le trou elle met une nouvelle goutte avec sa pipette, elle rebouche.
Accroupie parmis les énormes citrouilles, il faudrait vraiment être très observateur ou mieux, doté de vision infrarouge pour la remarquer. Et comme elle a tendance à se savoir dans une pas totale légalité, elle ne fait aucun bruit. Il faudrait vraiment avoir une ouïe très fine pour entendre la profondeur tranquille de sa respiration. Parfois, elle s'immobilise totalement pour être sure que le proprio des citrouilles ramène pas sa tronche. En vrai, Jez a pas du tout envie qu'on découvre cette petite plantation. Il faudrait pas en rajouter, d'autant plus qu'elle se demande si l'engrais qu'elle a fabriqué, qui n'est pas vraiment un truc pour faire des légumes sains qui ne donnent pas des hallucinations à celui qui les mange, ne risque pas aussi d'alimenter les citrouilles. Elle a réussi après des mois, à creer cette nouvelle version, très concentrée, très efficace.
Très rentable.
Elle guette, alors. Mais elle voit personne. Elle entend rien. Allez, elle se dit, encore quelques unes. Elle s'imagine déjà récoltant les fruits de son travail et les tester, et les vendre, mais c'est pas autant ça que la fierté et la satisfaction d'un si large éventail d'expériences qui aboutit à quelque chose de concluant.
Elle en jouit à l'avance, il y a du sang chaud dans sa tete, de nouvelles idées qui hurlent, occupe toi de moi, et de moi, et l'espace d'un moment, il y a un peu un mélange entre le dehors et le dedans de Jezebel Claudias.
Peut être que son coeur s'est un peu emballé, sous l'effet de l'excitation, sa respiration à du se déconditionner et quand elle relève la tête de la dernière goutte de son dernier bulbe, Jez est un peu étourdie.

Un peu euphorique. Un peu shoutée au surplus d'oxygène.

Nez à nez avec une silhouette dans l'obscurité, pendant une fraction de seconde, elle déchante carrément.

( hm, réservé)









Anonymous

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ah, j'sais pas. #Sam 8 Mai - 18:58


    Elle ne dort plus, depuis un long moment déjà, et ça l’énerve. Ce sont ses ‘‘nouvelles capacités’’ qui l’ont réveillées, comme si elle allait mourir de faim à tout moment. La brûlure au fond de sa gorge est plus douloureuse que jamais, elle lui fait atrocement mal, et rien n’y fait : Autumn y pense tout le temps. De plus, les bruits qu’elle perçoit dans le dortoir, les respirations, le sang qui coule dans les veines, ça la rend dingue ; assoiffée. Elle se lève alors d’un bond, attrape tout juste sa baguette et court à l’extérieur sans penser à se changer. Ses pas la mènent jusqu’à l’extérieur, dans l’immense parc, et elle s’arrête au niveau de la forêt interdite, le nez en l’air. Même s’il fait frais et qu’elle ne porte qu’un mini-short et un débardeur, elle ne sent pas vraiment le froid sur elle. Elle ferme un peu ses yeux et tente de reprendre ses esprits car tout est flou, elle sait très bien que si elle était restée une minute de plus dans le dortoir, elle s’en serait prit sans doute à ses camarades. Quel horreur. Elle ouvrit à nouveau les yeux et se déplaça dans la forêt avec une certaine rapidité, cherchant de gauche à droite une quelconque bestiole qui pourrait la calmer au moins jusqu’au matin. Elle a décidément vraiment faim. Soudain elle repère un pauvre animal sur sa gauche et déglutit avant de lui sauter dessus et de ne pas lui laisser le temps de bouger. Elle plante ses canines dans le cou du lapin et aspire lentement son sang. Elle détestait faire ça, tuer des pauvres animaux, mais c’était mieux que tuer ses amis.
    Au bout d’une demi-heure, elle revient vers l’orée du bois, essuyant les traces de sang autour de sa bouche, elle avait prit grand soin de ne pas se salir… Pour une fois. Elle s’en sort avec une légère tache sur le bas de son débardeur. Elle commence à reprendre le chemin du château lorsqu’une silhouette au loin la fait s’arrêter. Tiens, tiens, qu’est ce que faisait une élève dehors à cette heure là ? En plus elle semble plutôt concentrée dans son travail –quel qu’il soit-… Ce fut le détail de trop, l’intrigue qui la fit bouger. Elle marche alors vers la jeune fille, silencieusement et reconnait Jezabel, une élève de Serpentard. Celle-ci se retourne lentement vers elle et ne semble pas très heureuse de la voir. « T’en fais une tête. » Elle laisse son regard bleu éclatant tomber sur le sol et voit alors ce qu’elle fait, le sachet des bulbes et hausse un sourcil. « Tu fais quoi là, au beau-milieu de la nuit ? » Question étrange. Elle-même étant plantée dehors, en petite tenue, et l’air de rien. Finalement elle sourit un peu, et observe le visage de la brune face à elle… L’un des bons points de ses ‘‘nouvelles capacités’’ était ce don miraculeux de pouvoir voir dans la nuit aussi bien qu’en pleine journée. Ô joie.









Anonymous

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ah, j'sais pas. #Sam 8 Mai - 19:25


Jez met du temps à percuter.
Mais bordel, elle se dit, qu'est ce qu'elle fout là elle ? Dans l'obscurité, elle met du temps à détailler son visage et est carrément surprise quand elle remarque la légèreté de ses fringues. Elle, avec sa grosse veste, son bonnet, elle caille. Malgré sa colère d'avoir été trouvée si bêtement, les jolies jambes d'Autumn font, comme d'habitude, leur effet et Jez s'avoue moins froide que ce qu'elle aurait voulu.

"J'suis seulement surprise de te rencontrer, mais moi je te demande pas ce que tu fous là, alors ...", dans un petit nuage de vapeur.

Le ton n'est pas vraiment hostile, pas plus amical. Plutôt neutre. Il y a que son regard et son attitude un peu crispée qui pourraient trahir qu'elle crève d'une tension terrible dans l'ensemble de ses muscles, d'une sensation d'implosion tout au sud de l'abdomen.

Machinalement, elle ramasse toutes ses affaires, jette son sac sur son épaule, et entreprend de s'éloigner de l'allée qu'elle s'est apropriée. Confuse, elle est un peu gênée, maintenant qu'elle n'est plus seule, et que tous ses efforts de concentration sur autre chose que sa libido sont tombés à l'eau.
Marchant lentement, l'air de vouloir aller nulle part, elle se permet de cracher par terre et ferme son blouson, rabat le col sur sa nuque.
De côté, elle regarde Autumn.
Cette fille est niaise, mais elle est bonne.
C'est bizarre, mais ça rend Jez plus conciliante.

"T'as pas froid comme ça ?"









Anonymous

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ah, j'sais pas. #Dim 9 Mai - 10:14


    « J'suis seulement surprise de te rencontrer, mais moi je te demande pas ce que tu fous là, alors ... » Non, il ne vaut mieux pas savoir ce qu’Autumn fait dehors à une heure pareille, surtout si peu vêtue. Un sourire mystérieux, un peu étrange, étire ses lèvres et elle observe la Serpentarde face à elle en haussant les épaules, comme quoi elle resterait muette sur sa venue dehors. Comme pour tenter une diversion, la jolie blonde montre le champs de citrouille du doigt, mais surtout ce qu’elle est entrain de faire. « C’est quoi tout ça ? » Elle plisse un peu les yeux, son odorat perçoit des odeurs vaporeuses un peu, et elle ne sait pas quoi penser. C’était interdit, ça c’est clair, mais il est bien trop tard dans la nuit pour qu’elle maintienne son rôle de Préfète. Non, c’est mort, elle aurait dit. « J’crois pas que t’ai le droit d’être là, surtout avec ça Jezabel. » Elle laisse un regard glacial tomber sur la jeune fille puis un sourire prend place sur ses lèvres, un peu étrange comme précédemment et elle se surprend à laisser tomber son regard sur le cou de la jeune fille, laisser à sa porter avec innocence. Son sourire s’agrandit un peu mais elle secoue un peu la tête comme pour chasser cette idée et repose son grand regard sur Jezabel.

    Celle-ci a déjà commencé à faire demi-tour en prenant toutes ses affaires et surtout en remontant le rabat du col sur sa nuque, masquant sa gorge. La jeune Poufsouffle laisse échapper un soupir de frustration et fronce un peu les sourcils, elle n’avait pas un mauvais fond, mais cette fille là, elle sentait plutôt bon. « T'as pas froid comme ça ? » Un léger sourire dessine ses lèvres et elle hausse les épaules, elle se permet de lui répondre d’une voix lointaine, un peu dans la lune, alors que son regard est justement planté sur le ciel noir. « Non ça va, franchement j’ai vu pire. » Elle laisse un nouveau rire traverser ses lèvres, bien contente de ne plus avoir froid comme avant… A la voir rire toute seule et la tête dans les nuages, on peut la prendre pour une vraie folle. A vrai dire, elle fait un peu froid dans le dos. Autumn reporte son attention sur Jezabel et sourit un peu. « Eh dis, tu vas faire quoi maintenant ? J’peux rester avec toi ? » demande-t-elle en lui lançant un sourire éblouissant, en sachant pertinemment que si elle retourne dans le dortoir maintenant, elle n’arrivera pas à dormir, et elle allait s’ennuyer… Alors tant qu’à faire, elle pouvait rester avec cette Serpentarde, ça leur laisserait le temps de se connaître. « Oh, à moins que tu sois fatiguée… J’y ai pas pensé. »









Anonymous

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ah, j'sais pas. #Dim 9 Mai - 13:21


Pendant ce temps, Jez sans vraiment réfléchir, est restée plantée là à regarder Autumn, qui est un peu bizarre comme fille, mais ça ne dérange pas Jez qui à l'habitude des gens peu conventionnels. Ce n'est pas vraiment qu'elle aime bien Autumn, elle la connait pas assez, mais elle aimerait bien, bien l'aimer, et elle aimerait surtout qu'Autumn l'aime bien.
Ne serait ce qu'une fois, pour gouter quoi.
Alors elle fait un petit sourire.

"Nan j'suis pas fatiguée, reste avec moi si tu veux. On marche ?"

D'un signe du menton, elle désigne vaguement le rien qui s'étend à souhait devant elles. A cette heure ci, c'est évident qu'il y a nulle part ou aller, mais le chateau n'a rien de franchement distrayant et Jez aimerait bien se changer les idées un peu.









Anonymous

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ah, j'sais pas. #Mer 12 Mai - 14:58


    Un grand sourire dessine les lèvres de la Préfète –un peu naïve cette préfète, et un peu anti-règlement en ce moment, quelle étrange demoiselle, effectivement- et elle plante son regard azur dans celui de la Serpentarde en croisant un peu ses bras. « Nan j'suis pas fatiguée, reste avec moi si tu veux. » Son sourire s’agrandit un peu. « Cool, merci… » Elle ne répond pas vraiment à son poste d’autorité, mais tant pis, il était tard et personne n’irait vérifier. « On marche ? » On court ? Autumn a un besoin de se dépenser, bizarrement, mais sa tranquillité apparente était plus elle qu’autre chose. Elle hoche un peu la tête en jetant un regard à l’immense parc qui s’offrait aux deux jeunes filles. « Si tu veux, marcher c’est bien aussi, ça fait circuler le… sang. » Un étrange sourire apparut sur ses lèvres et elle se mit à marcher vers l’immensité face à elle, telle une pauvre jeune fille perdue aux milieux des dunes du Sahara.

    Elle arrive non loin du lac, ses longues jambes l’y ont portées toutes seules, comme par pure magie, et elle observe le reflet de la lune sur la surface de l’eau. La Poufsouffle pousse un léger soupir et montre du menton le lac. « Avant j’aimais bien me baigner là, c’était bien, mais maintenant il fait sûrement trop froid… » Elle se garde de dire que c’est avec son frère qu’elle y a plongé, ce dernier lui manquant un peu, quand même… A chaque fois qu’elle est en cours, c’est presque à contre-cœur qu’elle ne regarde pas Isaiah. Mais bon, tant pis, les choses avancent. « Tu fais quoi, toi, quand t’as du temps libre ? »









Anonymous

Invité
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ah, j'sais pas. #Mer 12 Mai - 22:36


Regard obscur sur la jaune, maintenant qu'on est ici, après avoir Marché dans un silence tranquille.
Jez est pas bavarde. Et elle a pas non plus l'habitude qu'on lui déballe sa vie. Légèrement génée, elle croise les bras sur son blouson en se disant qu'il faut vraiment être malade pour vouloir se baigner là dedans. Le visage à peine tourné vers sa collègue. Elle la regarde de côté.
Le silence à pris un peu de poids, depuis qu'Autumn à posé sa question. Figée dans sa position, Jez réfléchit à ce qu'elle fait de son temps libre.

"Bien ..." , petite pause pour la forme. La voix un peu coincée dans la gorge. Pour rien.
Alors jez regarde posément le lac pour se distraire. On part du principe que la vie des autres ne l'intéresse pas et que sa vie n'intéresse pas celle des autres. On se demande en même temps quel est l'intéret de cet intéret.
Petit soupir pensif.

"J'étudie."

Réponse brève. Un peu sèche, distante, terre à terre. Elle jette un oeil sur Autumn. Un truc dans sa tête, dans le maintien raide de ses épaules se relâche perceptiblement et elle cède, plus neutre :

"Ou bien j'fais du jardinage."

Il y a un nouveau soupir, plus profond et moins tendu. Le ton avait peut être un tout petit soupçon de complicité refoulée, parce que Jez pense qu'Autumn va bien supposer que c'est qu'elle faisait, là, ça semble tellement évident. Mais refoulée parce que bon, la complicité, c'est un truc qui s'apparente un peu à l'amitié et par définition, Jez n'a pas d'amis. Alors peut être bien que c'était un peu acide. Presque de l'humour, quoi.
Il faut prendre en compte qu'il y a forcément eut une évolution, vis à vis de leur première conversation dont je ne sais pas l'essence, mais qui avait surement été très quelconque, et où Jez n'avait pas du beaucoup s'ouvrir. Je suppose que ce n'est qu'après plusieurs petits essais qu'elle peut s'autoriser une telle démonstration de mutualité.










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