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| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Sam 13 Mar - 17:40 |
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| horus nox lazzaro NOM : Lazzaro. « C'est italien, mais cela vient de loin. Mon arrière grand-père était italien, venu je ne sais comment se perdre sur la lande d'Irlande. On croit donc souvent que je suis italien, genre casanova grand séducteur, mais pas du tout. Je n'ai même jamais mis les pieds en Italie et je n'ai rien à cirer de ce pays. La signification de ce nom même ne m'intéresse pas. C'est un dérivé de Lazare, un personnage de la Bible. Mais je ne veux pas savoir ce qu'il a fait. C'est mon nom, c'est tout, je ne l'ai pas choisi. Je n'ai rien choisi. »PRENOM : Horus, Nox. « Un dieu égyptien, oui. Le dieu à tête de faucon. Il parait que ça me va bien, que je suis un véritable rapace quand je chasse, mais je ne saurais m'en vanter. J'aime bien la figure de ce dieu, mais me promener avec une tête de faucon toute la journée, non merci. Quand à mon autre nom, c'est tout simplement la Nuit en latin. Comme quoi j'étais déjà placé sous l'égide de l'obscurité et de l'ombre, c'est là que je réussis le mieux. »AGE : 29 ans. « Je suis encore jeune, mais on me dit souvent que j'ai l'air bien trop mature et adulte pour cet âge. Je ne sais pas. Peut-être devrais-je être plus fou, plus heureux, plus jeune et innocent. Mais ce n'est pas vraiment ce que je veux, et je ne le peux pas. Je dois avoir du sang-froid, et savoir me battre contre tout. Peu importe mon âge si je suis sur le point de mourir. »ORIGINE(S) : Irlandais. Sang Mêlé. « Une famille irlandaise parfaite, qui va tous les dimanches à l'église, bien que je n'ai toujours pris ça que pour une vaste mascarade. Un environnement de légendes, de mythologie, de monstres cachés dans les forêts, dans les histoires pour s'endormir que racontent les grand-parents. Une famille sans prétention, ni de sang, ni d'argent. Ils ne voulaient que mon bien, et celui de mon frère ainé et de ma petite sœur, que nous fassions notre vie, que nous soyions heureux, et cela semblait si simple. Mais eux-même ne croyaient pas au bonheur qu'ils nous prêchaient, à moins qu'il n'ait été vides de tout sentiment. Mais c'était un chemin tracé si alléchant que trop longtemps, j'y ai cru. »PROFESSION : Chasseur de créatures. « Je chasse des créatures que l'on désigne maléfiques. Mais elle ne le sont pas toujours. Parfois un loup-garou peut être un parfait agneau, comme un humain le pire des monstres. Le mal lui même dont on les accuse n'existe pas vraiment. Elles sont souvent esclaves de pulsions, d'instincts, et il n'appartient qu'à elles de les surmonter. Néanmoins si elles blessent et qu'elles tuent, il faut les en empêcher. Étrange position pour un chasseur, je sais. Mais j'ai appris qu'il fallait tenter de les comprendre, de penser comme elles. Même si ainsi un jour, vous risquez de devenir comme elles... Et cela n'importe pas que je doive en souffrir, ou être ainsi changé. »ETAT CIVIL : Veuf. « Helena était magnifique. Et elle l'est toujours comme je la sent frotter ses plumes acérées de douceur sur ma peau. Je l'ai aimée, mais je ne suis plus tout à fait sûr que l'amour existe. Car je l'ai aimée bien violemment. Et même si ce n'est pas moi qui est réduit son corps en cendres, je l'ai fait bien souvent avec le sien, et elle de même avec le mien. Je ne saurais plus aujourd'hui, même si les admiratrices me tendent la main, sentir cela à nouveau, car jamais je ne pourrais avoir un plus fort attachement qu'à elle, même s'il est douloureux. Mes filles, Harmonie et Mélodie, je les ai aimés, même si je ne les ai tenu dans mes bras que quelques années. A jamais la chair de ma chair carbonisée maintenant mais toujours dansant et chantant autour de moi quand je marche dans la nuit. » | |
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InvitéInvité
Sam 13 Mar - 17:40 |
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| « Alors qu'est-ce que ça vous fait d'être adulé par tant de jeunes femmes? » Attendant la réponse de son interlocuteur, le journaliste a un regard malicieux qu'il s'attend surement voir se refléter dans les yeux de l'homme qu'il interroge en direct à la radio. Comme s'il avait traversé plusieurs lignes téléphoniques, cette lueur apparaît dans son regard quelques instants après, un peu trop pour qu'on croit qu'il s'agisse juste de la surprise engendrée par la question. « Allons Monsieur Lazzaro, vous savez bien que beaucoup de jeunes femmes déchirent votre portrait dans Sorcière Magazine et le glissent la nuit sous leur oreiller... » Le petit haussement de sourcil du journaliste laisse l'invité de marbre. Quelques fractions de seconde avant qu'il ne se reprenne. « Oh oui bien sûr... Je reçoit beaucoup de lettres j'avoue, mais... » Sa voix se perd alors que la pensée qui s'agite dans sa tête comme un drap accroché à un fil dans une tempête qui s'envole et vient recouvrir totalement les mots qu'il essayait de dire sans conviction. « Mais...? » Le visage du journaliste s'allume encore de cette lueur qui, même si aucun des auditeurs ne peut la voir, est franchement lubrique et inquiétante. L'invité, ça ne le fait plus rire du tout. Il ne rit plus. Son sourire s'est figé. Il a été figé il y a longtemps, si le journaliste a cru voir un sourire un peu plus tôt c'était un faux. « Mais.... il y a quelqu'un dans votre vie? Ooooooh! » Le format radiophonique de l'émission permet qu'on ne voit pas la profondément gênante situation. L'invité ne sourit plus du tout, et fixe le journaliste d'un regard des plus déstabilisants, car il est tout à fait vide d'une quelconque émotion. Le présentateur se décompose sur place, et un ange passe. Oh un ange, se dit Horus. Un ange... Pourvu que ce soit l'une d'elles qui virevolte au milieu de ce studio de radio, et viennent fredonner entre les fils et les vieilles machines pour venir chanter à son oreille la comptine enfantine qu'elle chantait toujours. Il peut se souvenir de leurs visages quand elles la chantaient, des yeux innocents, heureux, insouciants, qui ne savaient pas ce qui s'était passé maintenant. Oh si c'était l'une d'elle qu'il ne pouvait voir mais qui effleurait sa peau de leurs plumes. Les yeux fermés, il frissonne, rêvant à garder cette sensation du doux toucher d'un ange sur sa peau. Le présentateur frissonne lui aussi et brise cet instant magique de silence et d'absence, que n'ont pu apprécier que les anges. « Nous... Nous allons prendre la question d'une auditrice... une admiratrice cela va sans dire. » Il essaie de retrouver ce ton complaisant qui a fait le succès de l'émission, mais tout ce qu'on peut entendre c'est de la gène. Il cherche à toute vitesse dans ses fiches, comme un petit chien secoué après avoir été jeté dans son panier, avec tout le ridicule qui l'empêcherait d'entrevoir une carrière à la télévision. « C'est... C'est la question de Milena Bringbook, de St-Poulp : Comment en êtes vous venus à écrire de si exceptionnels romans sur simplement la chute d'une théière... Ah merde ce sont les fiches de la semaine dernières! » Toute l'assurance dont il était difficilement parvenu à se regorger à l'instant ou il énonçait la question s'efface, et toute sa crédibilité avec elle, alors qu'il laisse entrevoir sa véritable voix, son véritable visage bien loin de ce que les auditeurs connaissent. Alors que le journaliste se perd dans tous les papiers qu'il a posé devant lui, Horus se perd dans les voiles déchirés de ses pensées. Qu'est-il venu faire ici? Quelle mascarade, quel mensonge que ces interviews pour Sorcière Magazine, pour Sorcier Actuel, pour Le plus charmant des sorciers, pour Tour de magie, et toutes ses émissions débiles et ses magazines insipides qu'il ne pouvait supporter, pas même quand Helena les regardait, et qu'il la suppliait d'éteindre la radio ou d'ôter de sa vue ces couvertures de magazines aux visages convenus. S'il avait su que ce serait lui qui sourirait bientôt sur ses couvertures, comme le plus parfait des mannequins, un peu mystérieux, et cause de bien des chaleurs aux sorcières qui se jetterait bientôt sur sa boite aux lettres. Si elle avait su qu'il contredirait lui-même toutes les insultes qu'il avait jeté à ces journalistes quand ceux-ci ne connaissaient pas leur existence. S'il avait su... S'il avait su que les choses allaient à jamais changer, que le blanc deviendrait noir, que le jour deviendrait nuit. Peut-être l'avait-il vu dans le reflet d'un rayon de soleil, un peu plus sombre qu'il n'aurait dû, un matin d'été, dans les odeurs mélangées et indéchiffrables d'une brise d'été, dans un éclat de rire brisé au coin d'une lèvre, dans une petite goutte de pluie perdue dans l'ombre d'un regard. Mais même si les éléments lui avait dit, si elle avait essayé de lui dire, il n'avait pas vu, il n'avait pas prévu. Comme il n'avait pas vu, pas prévu, pas senti dans la brise ce matin, qu'au milieu d'un silence dans ce stupide studio de radio, il sentirait l'effleurer les plumes des deux anges éteints de sa vie, il entendrait la mélodie des comptines qu'elles se chantaient l'une à l'autre, qu'il croirait alors presque les tenir dans ses bras. Mais ces petits corps déjà innocent s'effacent, se délitent en sable, en cendres et fondent entre ses mains pour s'étaler sur le sol, comme de vulgaires cendres de bois, que l'infect journaliste pourrait balayer d'un revers de manche sans savoir ce qu'elle sont. Horus regarde alors dans ces yeux agités, désespérés alors que sa carrière s'achève dans ce moment de ridicule, et croit voir dans les sombres ombres qu'il y a cachées derrière ses yeux, l'ombre plus sombre que la nuit qui a sonné la fin de ce qu'il appelle maintenant son bonheur. Mais cette ombre se refléter dans ses yeux, dans le vide derrière ses yeux, sous le masque qu'il lui a interdit de franchir. Cette ombre qui s'est déjà reflétée en lui le soir où il n'a rien vu, rien prévu, rien senti, le soir où rien et tout ce sont passé, le soir où il est arrivé trop tard. Et la culpabilité de cet instant, la monstruosité de cet instant, et la monstruosité de son âme de ses yeux veut s'échapper. Il ne sait pas s'il parviendra à la contenir, il ne sait pas s'il doit la retenir, il ne sait pas s'il veut la retenir. Peut-être... Peut-être devrait-il la lâcher, la cracher à la figure de cette infâme journaliste, moins infâme à coté de l'ombre au fond de lui, de l'ombre qui a tué trois innocences lors de cette nuit qui n'aurait jamais du exister. Alors enfin cesserait-on de le harceler, de l'aduler, de l'admirer, d'admirer un monstre qu'on croit héros. Horus n'est pas un héros. Cela il le montre chaque qu'il a un démon dans la ligne de mire de son arbalète ensorcelée, dans les sombres vapeurs qui l'ont embrumé et laissé dans la nuit totale depuis la première nuit, mais qui déjà avant flottaient autour de lui. C'était de même que dans ce studio de radio où il se demande ce qu'il est venu faire. Ce n'était pas le bonheur parfait qu'il se préfère maintenant à croire. C'est quand il comprenait que le bonheur n'existe pas, qu'il n'est que ce qu'on pense du passé, bien loin des doutes que l'on a tous au présent. Il se demandait de même ce qu'il faisait là, suivant la route toute tracée par ses parents, qu'il avait cru parfait et s'étaient révélés si vides et imparfaits, serrant dans les bras Helena Levington, puis Harmonie et Melodie, dont en choisissant ces prénoms, il avait voulu croire à l'existence. Elles n'existent plus. Elles ne sont plus que cendres et âmes blessées dans l'au-delà. Elles le griffent de leurs plumes si douces, elles lui en veulent d'avoir douté, d'avoir voulu autre chose, de n'avoir pas su se contenter de l'essentiel, d'en vouloir toujours plus. Mais c'est un homme, juste un homme. Un homme qui doute et un homme qui veut, un homme qui ne peut se résoudre à s'arrêter, pas même dans le souvenir d'un instant d'harmonie aujourd'hui brisée, et qui n'avait en fait été qu'une illusion. Ont-elle jamais existé? N'y a t'il finalement dans son passé rien du tout, comme il le fait croire à ses admiratrices, aux journalistes, à celui-là qui l'implore de sauver son émission et sa carrière? Peut-être vaut-il mieux qu'il n'y ait rien, qu'il oublie... Peut-être vaut-il mieux qu'il se concentre sur les ombres qu'il chasse et sur lesquelles ses mains se referment comme sur de la fumée, l'enveloppant alors un peu plus de leur froid manteau, l'entrainant un peu plus dans leurs sombres abîmes. Peut-être vaut-il mieux qu'il quitte cette stupide interview. Il jette un dernier regard vide de sens au journaliste avant de l'abandonner là à sa triste déchéance. Mais quand il sera en chemin, quand il traquera sans relâche tel un félin enragé ses proies, sachant très bien qu'il en est lui-même la proie, il sait qu'il ne pourra échapper aux mélodies de leurs voix cachées dans son ombre, l'y entrainant un peu plus dans l'obscurité. « Adieu. » Il ne peut alors que dans la nuit errer à jamais. | |
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InvitéInvité
Sam 13 Mar - 17:41 |
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| QUELLE FORME PREND VOTRE EPOUVANTARD ?un nuage sombre. des cris d'enfants. des cendres.QUE VERRIEZ-VOUS DANS LE MIROIR DU RISÈD ? ce qu'on ne peut jamais avoir : le bonheur. Helena, Harmonie et Melodie.OÙ TRANSPLANERIEZ-VOUS SI VOUS EN AVIEZ LA POSSIBILITÉ ? dans une forêt d'irlande.QUELLE FORME PREND VOTRE PATRONUS ? un hibou, rapace silencieux de la nuit.QUEL EST VOTRE SORTILÈGE FAVORI ? nox. le deuxième sortilège qu'on apprend après lumos, certes. c'est mon nom, la nuit.QUEL EST CELUI QUI VOUS TERRIFIE LE PLUS ? je m'efforce de n'avoir peur de rien. la peur n'existe pas. elle ne me sert à rien. et de toute façon je n'ai rien à craindre de perdre puisque j'ai tout perdu.QU’AVEZ-VOUS RESSENTI EN ENTRANT À POUDLARD ? j'ai été impressionné, pas très original.QUELLE FORME DE MAGIE VOUS ATTIRE LE PLUS ? toutes sont utiles.APPRÉCIEZ-VOUS LA DISCIPLINE ? pas vraiment. je ne sais pas respecter les règles.QUELLE EST LA PURETÉ DE VOTRE SANG ? mêlé.PSEUDONYME, PRENOM : encore et toujours le rat roux. AGE : 17 à la fin du mois (ou du moi *sort*) AVATAR UTILISE : jude law. sans aucun commentaire *O* SBAAAFFF COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? il m'a perverti, je le perverti. LE MOT DE LA FIN ? paté de canard! | |
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InvitéInvité
Dim 14 Mar - 17:08 |
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| j'ai tout finiiii! | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Dim 14 Mar - 17:57 |
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| Validé avec ma grande fanitude Weddinesque | |
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