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| les Neuf Champions de l'Enfer, o3/o9. | |
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:13 |
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| OO1. Parle si tu as des mots plus forts que le silence, ou garde le silence. OO2. Le silence est un peu de ciel qui descend vers l'homme. On ne sait rien de ce démon sinon qu'il serait si vieux qu'à travers le monde on lui donne tous les noms. Pourtant rien ne permet de s'assurer que la Fubuki sortie des enfers à l'aube de cette nouvelle année soit réellement ce démon que les japonais ont longtemps appelée Yuki-Onna. Pourtant les deux semblent partager beaucoup. Les tempêtes de neiges, les hivers impitoyables, les pauvres gens en tremblent encore, et ce silence. Ce silence terrible à vous en faire crever les tympans. Fubuki, la Tempête de Neige, est donc crainte avant même sa sortie de l'enfer, pour les anciens des contrées froides et reculées. Les sorciers l'ont décrite de tout temps comme une femme à l'aspect fantomatique, difficilement perceptible dans un paysage enneigé tant sa peau est pâle, presque transparente dit-on. Elle ne laisse pas non plus de traces de pas derrière elle, elle ne semble être qu'une illusion, mais une illusion qui vous marque à vie. Pourtant on ne manque pas de parler aussi de sa beauté terrible, de ses longs cheveux noirs. Ses yeux sont dit-on si inhumains qu'on reconnait immédiatement le démon en elle. Autre chose encore, ses lèvres sont toujours scellées et de là on dit que Fubuki serait muette, ce qu'elle est sans doute.
Les vieilles histoires racontent encore que Fubuki prendrait un malin plaisir à égarer ses victimes sur les sentiers neigeux, avant d'absorber leurs fluides vitaux des façons les plus épouvantables qui soient... malheureusement personnes n'en est jamais revenu pour donner plus de précisions sur ces fameuses méthodes. C'est sans doute pour ceux-là que les ignorants disent que Fubuki n'est qu'un vulgaire vampire...
GRIEFS; Fubuki n'est pas seulement capable de recouvrir un pays de neige jusqu'à le faire mourir de froid. Partout où elle est présente, c'est le silence absolu qui règne. Pas un son, la neige tombe en silence et recouvre tout, peu à peu vous perdez vos voix jusqu'à extinction complète alors, même sous les plus horribles tortures vous ne sauriez exprimer en son votre souffrance. Le silence... angoissant non?
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:14 |
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| OO1. le jour du déluge, ceux qui savaient nager se noyèrent aussi. feat. Eva Green créditez Pride & Majestic - Satin DiaryELIZABETH DICKENS- les noces républicaines - LA SIXIEME PORTE OO2. Je choisirai le paradis pour le climat, et l'enfer pour la compagnie. Pour une toute jeune femme éprise de lettres, naître en France, dans le siècle qui devait connaître la Terreur était déjà le premier de tous les tords. Elizabeth Dickens, Baudelaire de son nom de jeune fille, est née à Nantes en 1773. Ici d'un milieu bourgeois, d'un père négociant en épices, elle n'a pas eu à craindre de voir sa tête tomber avec les têtes couronnées de l'Aristocratie à la révolution. La famille Baudelaire, pour ce qu'elle était venue d'Angleterre près d'un siècle avant la Révolution, c'était bien intégrée à la société française de l'époque. Très vite prospère grâce aussi au commerce triangulaire qui profitait indirectement aux négociants d'épices et de produits de luxe, étoffes, boiseries etc, la famille Baudelaire devint une famille respectée, et entra vite dans l'élite des lettrés. En 1793, Elizabeth fréquentait les salons littéraires les plus en vue, et sa plume était déjà bien appréciée pour une toute jeune écrivain. Elle se plaisait dans le roman aussi bien que dans le pamphlet bien qu'à l'époque, il ne faisait guère bon s'illustrer dans ce style, à cause de la forte répression, à moins de ne critiquer que dans le sens du pouvoir en place. Mais à quoi bon le pamphlet si c'est pour garder sa plume sage et plaisante? Brilliante, appréciée, Elizabeth est une intellectuelle. Nourrie des écrits des Lumières, il va de soit qu'Elizabeth ne pouvait que forger un esprit critique fort, notamment vis à vis de la Religion. De ce point de vue là, elle aurait pu rester dans les faveurs du régime si elle n'avait du rencontrer Williams Dickens, un jeune homme de son âge aspirant à entrer dans les ordres. Piquée de curiosité pour ce jeune anglais, elle eut plaisir à renouveler leurs longs débats de philosophie, de politique ou de religion et comme il fallait s'y attendre, elle s'en épris. William et Elizabeth convinrent très vite de publier leurs bancs mais la situation ne leur était pas favorable. Ils furent pris par la milice de Jean-Batiste Carrier et convaincus devant le tribunal révolutionnaire qui ne tolérait plus les anglais sur le territoire français depuis 1793. Le cynisme de l'époque décida les bourreaux de soumettre Elizabeth Baudelaire et William Dickens au Mariage Républicain, puisque tous deux voulaient effectivement se marier. Dans leur malheur, Elizabeth échoua à toutes ses tentatives de se soustraire, elle et William, à l'injustice du tribunal. On les fit avancer en place publique, où les deux jeunes gens furent dévêtus et ligotés l'un à l'autre. Ils restèrent exposés là l'après midi durant, offerts aux regards et aux moqueries de la populace nantaise, sans parler du froid. Leur supplice prit fin lorsqu'on les conduisit à bord d'un navire, toujours attachés l'un à l'autre, et qu'on les précipita par dessus le bord, au large du port. Incapables de se défaire de leurs liens, ils périrent noyés, enlacés de force l'un à l'autre. Voilà ce qu'était le Mariage Républicain. C'est ainsi qu'Elizabeth pris le nom de Dickens.
GRIEFS; Il va de soit que cette jeune femme si cruellement et injustement exécutée ne pouvait que se relever de l'enfer animée d'une colère terrible, monstrueuse. Une colère comme seule la mer saurait exprimer. L'eau sera donc l'instrument de sa colère. Raz de marée, pluies diluviennes, inondations, siphons, les ressources sont inépuisables. La colère d'Elizabeth Dickens est une colère d'autant plus mauvaise qu'elle est complètement aveugle et que par conséquent, elle s'abattra sur tous sans distinction aucune. Elle est experte en torture tout comme son époux.
AUTRE; Le personnage d'Elizabeth Dickens pourra être couplé à celui de William Dickens.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:14 |
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| OO1. Si l'homme ne comprend pas l'enfer, c'est qu'il n'a pas compris son propre coeur... OO2. Il vaut mieux mendier du pain sur terre que de l'eau en enfer. Un tempérament doux et tempéré n'aura pas suffit à épargner William Dickens. Né à Londres en 1770 dans la campagne anglaise, ce jeune home ici de l'aristocratie sera d'emblée destiné aux ordres comme cela se faisait à l'époque pour les fils cadets. Pour autant, passionné de politique, il regardera de loin les événements qui ébranlèrent le XVIIIe siècle dans les pays voisins de l'Angleterre et particulièrement la France où il aspirait étudier un jour. Ce jour là vint. On le reçu à l'Eglise Sainte-Croix de Nantes. Cela n'aurait jamais été possible si la famille Dickens, persécutée en son pays natal, n'avait pas été fervente catholique malgré la tendance imposée par la couronne d'Angleterre. William fut donc très bien reçu à Nantes et bien que les activités du port n'eussent pas toujours été très humaines, notamment à cause du commerce triangulaire, il apprit vite le français et se passionna pour cette nouvelle culture. Le pouvoir en place n'était pas vraiment stable et peu favorable au clergé. De nombreux prêtres furent exécutés dans ce que l'on appelait alors à l'époque, le Mariage Républicain, ni plus ni moins qu'une punition de noyade barbare et humiliante. William désapprouvait mais il n'était pas en position de s'y opposer. On lui répétait de prier pour le salut de ces âmes fauchées par la cruauté du tribunal révolutionnaire mais lui, ne trouvait là dedans qu'une bien maigre consolation. Un jour une jeune femme passa la nuit à l'Église, ce fut William qui fut chargé de lui donner la charité même si ses riches vêtements laisser deviner qu'elle n'en avait pas besoin. C'était une bourgeoise, Elizabeth Baudelaire. Ils parlèrent longuement et avec plaisir bien qu'elle semblait rire de tout ce qui était religion et qu'elle s'amusait à semer le doute dans la détermination du jeune aristocrate anglais. Elizabeth revint de nombreuses fois après ça, et leurs conversations toujours aussi vives finirent par les attacher l'un à l'autre plus qu'il n'aurait été souhaitable pour un garçon qui se destinait aux ordres. C'est pour cela que William les quitta. Il dut écrire une lettre à son père, qui le sommait depuis plusieurs semaines de rentrer au pays de toute façon à cause de la Lettre Anglaise et des lois contre les étrangers publiées suite à sa découverte. William et Elizabeth convinrent donc qu'ils quitteraient Nantes avant que la répression ne les y retiennent pour toujours. Malheureusement ils furent pris la nuit où ils prévoyaient de fuir pour l'Angleterre où ils se marieraient. On les jugea le lendemain matin et sans surprise, pour eux, on choisit le Mariage Républicain.
GRIEFS; Les profondeurs noires de l'Atlantique, ses eaux glacées et sales eurent tôt fait d'avoir raison de la douce étoffe dont été fait William Dickens. C'est la vengeance qui le guide, sur son passage, les eaux remontent, meurtrières, elles quittent les corps ou les submergent provoquant la mort aussi assurément qu'autrefois le mariage républicain. Il semble si calme William Dickens dans un paysage de bord de Manche et pourtant cette froideur qui émane de lui n'annonce que mort et désolation.C'est un expert en torture, on ne se demandera pas pourquoi...
AUTRE; William Dickens pourra être joué sur le même compte qu'Elizabeth.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:15 |
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| OO1. Il n'y a pas plus grande douleur que d'être un ange en enfer... alors qu'un diable est chez lui partout feat. Brandon Lee as The Crow créditez fluidium letale.LUCIUS MCGREGOR- l'amant immolé - LA TROISIEME PORTE OO2. L'enfer c'est de s'apercevoir qu'on n'existe pas et de ne pas y consentir. Lucius, un prénom assez ironiquement prédestiné puisque cela signifie lumière mais curieusement c'est plutôt avec Satan, l'ange de lumière que l'on fait désormais le rapprochement qu'avec une quelconque idée du Bien. Comme pour beaucoup de démons, la beauté du Diable c'est attardé sur lui, même dans la mort. De son vivant c'était un beau jeune homme aux yeux noirs cela se voit même maintenant. Sa peau est grisâtre comme pour la plupart des fantômes et il porte encore clairement les marquent occasionnées de son assassinat. Sa chemise blanche est tachée de sang et a un énorme trou à la place du cœur, là où la peau de Lucius a été brulée. A cet endroit de son torse on peut voir que quelque chose a percé un trou assez conséquent (de la taille d'un gros poing) et que la plaie semble avoir été cautérisée sans s'être jamais refermée. On peut aussi voir des traces de doigts autour de la blessure.Ses cheveux mi-longs sont sales et emmêlés. A son doigt, un anneau d'or blanc, son alliance.
Témoignage de Lilith Grey à Abaddon Van Hellsing
"Quand il est rentré à Poudlard, tout le monde savait que c'était le fils des époux McGregor. Ceux qu'on avait arrêtés et condamnés un peu plus tôt l'été précédent. On se moquait de lui ou on le craignait. C'était le parfait petit Serpentard, profondément mauvais, pourri jusqu'à la moelle, il n'y avait qu'à voir ses parents, enfin tu vois... les gens... Moi je ne le connaissais pas vraiment à l'époque. A Gryffondor, ils le trouvaient trop sournois et méchant. Il était souvent seul et il restait toujours à l'école pendant les vacances. Il n'y avait pas grand chose de rassurant à regarder ce gamin.C'était un petit garçon timide et fourbe. Le genre à toujours regarder par en dessous, toujours à fomenter quelques vengeances ou méchancetés gratuites.
Mais en 6ème année, il était différent. Il avait un charisme noir qui faisait que peu de gens, même certains professeurs, osaient s'opposer à lui, la plupart le fuyaient. Hautain, arrogant, des yeux noirs qui brillaient d'une lueur sinistre et intelligente, il se plaisait à faire peur et à être craint. N'hésitant pas à se mêler aux autres en de rares occasions pour le simple besoin de se rappeler à eux. C'était typiquement le genre d'attitude qui plaisait à Lester, mon frère. Il avait des préjugés bien sûr, comme tout le monde, quoique égal à lui même aurait suffit. Je ne crois pas que Lucius était le genre de personne à apprécier vraiment quelqu'un du genre de mon frère. Lester n'a jamais vraiment su se faire ses propres opinions, il aimait trop faire ce qui serait bien vu, mais ça tu le sais déjà. Quoiqu'il en fut ils se lièrent d'amitié. Lester était dans l'équipe de Quidditch, moi je ne me mêlais pas vraiment de ses affaires, nous n'avions pas vraiment les mêmes méthodes quoique dans le fond nous ne valions guère mieux l'un que l'autre. Je crois qu'il l'avait remarqué. J'étais plus sage, plus posée que Lester. Je ressemblais plus à Lucius peut-être. Il aimait mon franc parler. Je le remettais sans cesse à sa place, je crois que c'était plus par jeu. Parce que je l'aimais bien sans doute. Lester a commencé à se disputer avec nous deux. Il n'aimait pas nous voir ensemble. Ca a fini à la baguette une fois. Pourtant Lucius était toujours très respectueux avec moi, il n'aurait jamais osé me toucher ou me dire quoique ce soit de déplacé. Le jour de la remise des ASPICs, Lucius et moi décidâmes de suivre notre propre chemin. On pensait qu'en disparaissant dans la Nature, Lester nous laisserait tranquille. Il voulait la peau de Lucius s'il me touchait, c'est peut-être ce qui a fini par nous mettre ensemble finalement. Lester a toujours eu le don de s'attirer les ennuis qu'il ne voulait pas. Lord Grey, mon père, a été furieux quand Lester le lui a dit. McGregor ne faisait pas vraiment parti du lignage qu'il avait prévu pour sa descendance. Ma mère était aussi de cet avis..
De notre côté, je ne te mentirai pas, nous menions une vie de truands. Vivants d'escroqueries, pas de quoi ouvrir un dossier chez les Aurors pour la plupart de nos coups. Lucius ne sortait de l'ombre que lorsque la nécessité l'y poussait. Et il n'était pas le plus mauvais des mages noirs malgré son âge. Mais il y a bien un jour où il faut payer le prix d'une vie de crimes et de meurtres.
Ce jour là ce fut le jour de notre mariage..."
"Ma robe était si blanche... et lui... Tu sais l'église était à moitié en ruine mais elle était jolie. Il y avait beaucoup de lumière, je me rappelle qu'il y avait beaucoup de lumière. Et ensuite. Tu te demandes pourquoi moi? C'est stupide n'est-ce pas, ce genre de question. Je sais que c'est égoïste mais c'est ce que j'ai pensé. Pourquoi moi? Et quand je l'ai vu tombé c'était...c'était Lester. J'ai étendu mon mari sur l'hôtel. Je suis allée chercher un alchimiste. C'aurait pu être toi Abaddon. J'ai fait tout ce qu'il m'avait dit. Il y avait du sang sur mes mains et ça me brûler de la sentir sur ma peau. Mon âme. Lucius... j'ai cru que c'était à cause de moi s'il brûlait. A cause de mon... mais ce n'était pas moi. Il y avait les flammes et l'odeur de la chair brûlée. Ses cris. Il criait si fort... et tout, et ma robe. Et plus rien. Ce n'était pas vraiment là Abaddon tout ça. Ce n'était qu'un simple cauchemar. Un simple cauchemar."
Vu par lui même,
Ce jour là ce fut le jour de mon mariage avec Lilith. Les portes de la petite église où nous nous étions réfugiés, à demi en ruine, s'ouvrirent à la volée, Lester avait eu l'air surpris. Il échangea un regard avec moi. Deux sortilèges à la teinte vert émeraude avaient alors jailli, je les recevai en pleine poitrine. Juste eut le temps de voir le visage de l'homme qui était entré et puis enfin celui de Lilith curieusement transformé. Pourquoi elle? Et ensuite tout me paru si long, si long... je revoie les petites mains blanches...les flammes, l'odeur de la chair brûlée, les cris...tout. Puis plus rien. Il y a-t-il plus grand sacrifice, plus grand attachement que de donner son âme à un autre? Je ne le pense pas, et c'est ce qu'elle a fait elle, Lilith. Elle m'a donné son âme, empêchant que la noirceur de la mienne me condamne à un néant infernal.
GRIEFS; C'est la violence de sa mort, d'abord frappé par un avada détourné, puis laissé à l'agonie tandis que sa femme se faisait retirer son âme par un alchimiste dont lui, Lucius ne savait rien, pour enfin être achevé, immolé par l'âme que Lilith était en train de lui offrir alors que les portes de l'enfer attendait béantes qu'il chute, qui l'a sans doute rendu si mauvais. On ne s'étonnera pas que son élément soit le feu. Trente années de tortures et de souffrances causés par cette âme qui pourtant lui a évité la vrai damnation - la destruction totale de son être dans des tourments sans doute bien pires - ont achevés de le rendre agressif et dangereux. Il s'emploiera donc à voir tout brûler sur son passage, ne supportant plus la froideur de la vie terrestre et à maudire toute forme d'union sacrée et d'attachement qu'il n'ait pu emporter avec lui aux enfers sa propre fiancée, Lilith Emerald Grey.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:16 |
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| OO1. La peur est une fantasmagorie du démon. OO2. Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. Quoi de plus normal qu'un enfant qui fait des cauchemars? Rien me direz vous. C'était aussi ce que disaient les parents d'Isaiah, un petit garçon tout à fait comme les autres. A 8 ans pourtant on a plus l'âge de dormir dans le lit de ses parents. La mère d'Isaiah a toujours été très claire là dessus. Ce n'était pas qu'elle n'aimait pas son fils, mais plutôt qu'elle ne voulait pas le laisser prendre ce genre de mauvaises habitudes. Le genre d'habitude qui font que vous rester un grand bébé toute votre vie. Ils l'avaient bien laissé venir une fois ou deux au début, quand il venait frapper à la porte de la chambre après quelques terreurs nocturnes. Mais bien vite il fallut changer de méthode. On lui laissa la porte ouverte après l'avoir bordé mais le résultat n'en fut que plus désastreux, la porte ouverte lui donnait des angoisses nocturnes quand il se réveillait en sursaut de ses cauchemars. Qui savait ce qui pouvait bien s'être faufiler dans sa chambre pendant qu'il dormait, ou ce qui allait voir y entrer maintenant qu'il était bien réveillé? Alors on essaya de lui laisser une petite lumière dans sa chambre, mais les ombres qu'elle projetait au mur n'avait rien d'apaisant et de surcroît la lumière le dérangeait dans son sommeil. Les doudous, les paroles rassurantes, les verres de lait bien chaud, les séances chez le psy, les remontrances, rien ne faisait. Le pire de tout c'était qu'avec tout cela Isaiah ne dormait pas beaucoup. Il avait même du mal à suivre à l'école des petits sorciers. Inutile de dire que ses notes s'en ressentait mais ses parents avaient épuisés toutes la palette de ce qu'il y avait à faire et ni l'un ni l'autre ne consentaient à voir le petit brun s'installer à demeure dans le lit parental. Il fut donc décidé que chacun prenne son mal en patience, Isaiah ses cauchemars, et ses parents leur mauvaise humeur. C'était ce que le médecin avait conseillé. Dans les dernières semaines de sa vie, Isaiah vit les cauchemars se multiplier à un point qu'on imaginait pas. Il ne dormait guère plus qu'une à deux heures par nuit et tomber littéralement de fatigue la journée. Mais chaque fois qu'il s'endormait, de jour comme de nuit, les cauchemars revenaient le hanter, plus infernaux les un que les autres. Sa propre mère, attendrie, ne supportant plus de voir son enfant dans un tel état de fatigue et de nervosité c'était mise en tête qu'elle attendrait encore la fin de la semaine et que si rien ne changeait elle le laisserait dormir près d'eux puisque c'était la seule solution. Malheureusement elle n'en eut jamais l'occasion. Une nuit particulièrement épouvantable où Isaiah n'avait cessé de crier, elle se leva, sur la pointe des pieds, intriguée par l'étrange calme qui régnait dans la maison. Les méthodes des médecins commençaient-elles à porter leurs fruits? Pas le moins du monde. Isaiah était toujours dans son lit, les yeux grands ouverts fixant le plafond. Ses terreurs nocturnes avaient finalement eu raison de lui...
GRIEFS; Vous l'aurez compris, l'instrument d'Isaiah sera la peur, celle là même qui eu raison de lui alors qu'il aurait du être si tranquille dans son lit. Vous vous êtes toujours demandé si l'on pouvait mourir de peur? Et bien sachez que cela se peut tout à fait et je doute que ce soit avec plaisir que vous vous en rendrez compte. Imaginez que vos peurs les plus épouvantables s'incarnent réellement... simplement parce que vous auriez croisé le mauvais regard, celui d'Isaiah.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:30 |
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| OO1. Si tu ouvres tes portes, tous les loups peuvent entrer. OO2.Il faut être un loup si tu ne veux pas que les loups te mangent. Au début, Klavdia est née louve. Fière représentante de sa race, elle était une guerrière, grande et sombre à la fois. Lycane dominante d'une grande meute, elle était maîtresse des steppes sibériennes. En héritage, ses parents lui avaient laissé cette force exceptionnelle, ce caractère aussi. Au fil des années, elle se fit femme, belle et attirante, comme il n'en existe pas deux sur terres. Sa beauté se battait alors avec Moëris, la doyenne des loups, dont on disait pourtant que la clarté ne pourrait jamais être vaincu. Pourtant elle le fu. Klavdia, dans sa noirceur abyssale, se montra à la hauteur de Wolfgang. Elle en tomba amoureuse, quand il était encore habillé de l'uniforme romain, et ils concurrent leur premier enfant dans le forum d'Athènes. Klavdia devint la femme de Wolfgang Orlov, et une louve au coeur d'or, aimant son prochain et ses enfants. Elle fit naître Vitaly, puis Kirill, et enfin Lycaon. Elle les aimât comme on aime un monde. Ils étaient tout pour elle. Puis, il y a treize siècles, lors d'une chasse, un chasseur visa Lycaon et ils l'attrapèrent. Seule avec Vitaly et Kirill, elle se jeta sur l'agresseur, libéra son enfant, et fut abattue devant leur yeux, d'une balle entre les deux yeux. Le loup imposant, noir aux yeux noirs, était mort. C'est à l'annonce de cette mort que Wolfgang devint aussi noir, mais le sort réservé à la louve fut encore pire...
Pour avoir tuer cet homme qui cherchait la mort de son enfant, Klavdia fut jugé au Purgatoire. Son sang ne lui permettrait jamais de rejoindre les cieux : elle n'était qu'un lycanthrope. C'est à ce moment là qu'elle décida de devenir plus que n'importe qui. Si elle était damnée, qu'elle se damne avec application. Du purgatoire elle chuta en enfer, là où les tortures rendent mauvais les plus mauvais animaux. C'est sous sa forme la plus bestiale et la plus lupine qu'elle se fit un nom dans les tréfonds poisseux, et l'on dit que sur le Mont Lykaïonus, en Italie, l'on entendait alors ses hurlements inhumains la nuit, elle qui fut enfermé si bas sous terre.
C'est Enfer qu'elle jura de se venger de tous. De tous.
GRIEFS; Klavdia est le démon-loup, elle est celle qui contrôle la nuit qui règne sur le monde. Elle contrôle ainsi le temps, et peut décider qu'au moment où elle parle, il soit aussi bien midi que minuit, la pleine lune qu'un croissant. En tant que louve, on dit d'elle qu'elle aurait la force de Wolfgang, en plus d'avoir son coeur. Elle fut marié à cet homme qui se rappelle d'une femme aimante et chaleureuse, quand la nouvelle Klavdia, qui l'aime certes encore, est une boule de haine qui gagne sa force dans la peur et dans la colère de ceux qui l'entoure. Plus vous aurez peur, plus vous la haïrez, plus vous voudriez la tuer, et plus elle sera puissante. Sous forme lupine, elle possède exactement le même pelage que son mari, Wolfgang, c'est à dire un pelage noir et des yeux noirs. Sous sa forme humaine, elle est de taille moyenne (1m75) pour quelques kilos de muscle. Cheveux noirs, yeux bleus.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:45 |
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| OO1. Le tango : une pensée triste qui se danse. OO2. La da nse est une cage où l'on apprend l'oiseau. Marie était une petite fille de six ans quand elle est entré au Palais Garnier pour y apprendre la danse. Ses parents étaient pauvres, et elle également, mais elle avait un don particulier que tous lui reconnurent : elle savait danser. Elle avait le son et la musique dans la peau. Elle était les rythmes, les valses, et également les tangos. Elle voulait être danseuse étoile, ou danseuse de cabaret. Elle voulait être grande. Elle dansa ainsi jusqu'à son neuvième anniversaires. Elle n'était pas encore très grande, mais elle faisait déjà des grands spectacles, et on venait la voir. Un petit jour, elle se pencha en haut de l'escalier, le long de la rambarde, quand une amie – dont on ne su jamais si c'était elle ou un accident – la fit chuter. Elle s'écrasa dix mètres plus bas, la tête cassant jusqu'au marbre de la marche. En son souvenir, on ne répara jamais la marche du Palais Garnier, qui resta ainsi alors, et dont on raconte la triste histoire quand on le visite.
Marie alla en Enfer. Pourquoi me direz-vous? ...pourquoi. C'était la question qui lui traversa l'esprit quand elle fut enfermée derrière la première de toutes les portes. Seule, dans l'obscurité, elle chantonnait parfois. Car elle aimait la chanson, et surtout la danse. On ne le lui dit jamais, et elle trouva le temps long, et elle s'usa à danser. Son petit corps resta intacte. Il ne veillerait plus jamais. Alors jamais elle ne deviendrait une belle femme, et jamais elle ne jouerait Isold, ni un autre grand rôle dont elle rêvait. De cette interdiction sans raison, de cette déchéange sans justification, Marie se gorgea de haine et d'une vengeance aveugle, contre tout le monde.
Pourquoi l'enfermait ici, elle qui n'eut jamais péché? Aucune réponse à sa question. C'est à ce moment là que le petit rat décidé qu'à présent, personne ne lui imposerait quoi que ce soit, et qu'elle danserait. Éternellement.
GRIEFS; En tant que danseuse, Marie contrôle la... gravité ainsi que la rapidité des mouvements! En somme, elle peut soit aller très vite, soit... vous faire aller très lentement! Quitte à vous figer! Mademoiselle est une grande capricieuse, alors faites bien attention que la pression autour de votre tête n'augmente pas jusqu'à qu'elle explose! ...c'est sans doute déjà arrivé.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 2:58 |
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| OO1. L'habituel défaut de l'homme est de ne pas prévoir l'orage par beau temps. OO2. Une petite rébellion de temps en temps, c'est comme un orage qui purifie l'atmosphère. Sunshine était une femme très... étrange. Magicienne, elle maîtrisait dit-on les rites les plus anciens des chamans. Elle ne faisait qu'un avec la terre, et ça se voyait. Habitante d'une petite ville recluse, dans les fins fonds de l'amérique, elle grandit ainsi, sous le regard bienveillant d'un père et d'une mère aimante. Plus tard, ils décédèrent, électrocutés, durant un orage, frappé par la foudre. La jeune fille, elle, vécue toute sa vie avec l'électricité pour alliée. Un jour d'orage, elle sortit avec un parapluie, bien décidée à mourir elle aussi. L'éclair transperça de part en part son corps, sans toucher le cœur. Elle tomba sur le sol, mais ne mourut pas. Chanceuse – ou non selon le point de vue – elle vécu misérablement dans sa petite campagne, jusqu'au jour où elle fit de la magie – sans le vouloir – devant des villageois médusés. On la traita aussitôt de tous les noms, et l'on préconisa que l'on la torture, pour voir si elle saignait, ou pas. Après une longue lutte acharnée, on l'attrapa et on l'attacha à un tronc d'arbre, près d'un lac. On l'électrocuta de nombreuses fois. Avec des batteries de voiture, avec des cordages électriques. Avec tout. Et elle ne décéda pas. Elle resta digne, quoi que ses cheveux perdirent leur belle couleur auburn et ses yeux devinrent d'un bleu si pâle que l'on l'aurait cru blanc. Quand on retira les fils, elle tomba sur le sol, vivante. Indignés, les villageois l'amenèrent en prison où on la colla sur une chaise électrique, pour « voir ». Elle fit court circuiter tous le réseaux électrique de la ville, alors on la mena plus loin encore, dans la capitale, et on la jugea pour sorcellerie. Cette fois-ci, on l'électrocuta dans la plus grande prison. Et elle ne décéda toujours pas, quoi que son cerveau ne fut plus grand chose, et que la folie la gagna alors. On la pendu. Et elle mourut, sur l'échafaud.
Pur hasard ou écho d'une vie future, nul n'en su jamais rien. La chose fut que Sunshine fut précipitée aux enfers pour avoir mainte fois désirée la mort non naturelle – le suicide – et on la surnomma, dans les tréfonds, l'électrisée. On disait que la toucher revenez à mourir instantanément, brûlé ou électrocuté. Elle aurait, aux dires des infernales, accumulé tant d'électricité durant sa vie d'humaine qu'elle pourrait maintenir une ville comme Los Angeles allumée, toute une année! Autant dire que madame attire les coups de jus! Et qu'elle est survoltée.
Tombée folle à la fin de sa vie, on la dit si tordue qu'elle mélangerait les mots de ses phrases, pour les déstructurer entièrement. Maniaque, elle ne supporte pas les choses trop droites, et encore moins l'ordre. Haute et maigre, car mal nourrie à la fin de sa vie, ses cheveux courts et blancs rappellent les éclairs, et ses yeux vous percent. Lui serrer la main revient à un arrêt de mort. Faîtes attention à Sunshine l'électrisée!
GRIEFS; Comme vous l'aurez compris, le "pouvoir spécial" de Sunshine, c'est les éclairs, les orages, l'électricité. La madame peut en effet déclencher l'orage du siècle si elle le désire, et l'on dit que là où elle va, le ciel se décore et se marbre de fins éclairs blancs. Unique. L'électrocution peut déclencher : de graves brûlures, le décollement des chairs, ou la mort.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 3:26 |
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| OO1. On ne se lasse pas de changer les institutions, ne pouvant changer les hommes. OO2. Mourir, c'est changer de corps comme l'acteur change d'habit. Quand il était jeune, Darwin se haïssait. Il voulait changer. Il voulait quitter sa vie. Il était sorcier, dans une famille de mormond. Sept frères et soeurs, une mère soumise, se taisant sans cesse. Un père dur, sévère. Un père prêcheur. Peu de revenu. Darwin haïssait sa vie, son prénom, sa figure. Car il était imberbe, car il était petit et tout mince, et qu'au lieu de faire partie du club de natation de son lycée, lui, voulait faire du basket, ou encore du football américain. Il voulait faire quelque chose de viril. Mais on ne lui laissa jamais rien faire. Il claqua la porte de chez lui à l'âge de quinze ans, après une grande dispute contre son père. Darwin le haïssait, et il haïssait aussi ce foutu livre sur lequel il jurait toujours. Comme si cette promesse avait une quelconque valeur. Il disait toujours « ne t'inquiètes pas Darwin, on va change! On va changer! ». Cela faisait des années qu'il le disait, et rien n'avait changer. Absolument rien, et ça l'énerver. Darwin entra dans une auberge de jeunesse, une sorte de restau du coeur pour enfant, et dit une demande d'émanticipation. Il gagna. Il se lança dans une vie plus active, mais plus merdique. Il venait d'avoir seize ans. Il avait une vie à peu près stable, et il était content du changement. Il était content de changer. Il faisait parfois de la magie, et quelque fois encore, il changeait! Par magie! Parfois, ses cheveux changés, et d'autre fois, c'était ses yeux, et sa peau aussi. Puis un jour, son père lui rendit visite, furieux. Il frappait violemment la porte, et il disait « tout ça ce n'est que de ta faute! Si elle est partit, c'est à cause de toi! ». Quand il ouvrit, son père lui descendit dix balles dans le corps et le laissa agoniser le peu de temps qu'il fallu, et il sentit la vie le quitter. Avant de rendre son dernier souffle, il le détesta. Et cette haine le projetta aussitôt en enfer, profondément.
En Enfer, Darwin hurla, des années et des années durant, tant qu'à la fin, on le trouva amusant ce petit. Alors on lui donna un petit plus. Pour rire. Si jamais un jour il accédait à la terre du dessus...
GRIEFS; A l'origine, la mère de Darwin était une sorcière ayant honte d'elle. Elle lui légat son don de métamorphomagie. En Enfer, le don s'accentua, car à présent Darwin, en plus de pouvoir changer de forme, de sexe, peut même se transformer en animal ou encore... "switcher"! Il détruit la réalité et change votre perception. Machiavélique non? Ainsi, il peut "transformer" votre meilleur ami en votre meilleur ennemi, et lui en ce fameux ami, et tout ça, en un seul claquement de doigt. Darwin est machiavélique. C'est un enfant capricieux, de seize ans, qui ne désirait que vivre. Aujourd'hui, quitte à se créer sa propre réalité, il manipule les apparences et les change, à son grès. A ses côtés, ce que vous croyez être votre ami pourrait bien être... votre ennemi.
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Wolfgang S. OrlovDANGER POTENTIEL ► roi des lycanthropes.
► MESSAGES : 585 Jeu 25 Fév - 3:32 |
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| précisions diverses et variées au sujet de l'intrigue en cours.LES NEUFS CHAMPIONS DE L'ENFER (postes vacants). Ceux sont des fantômes d'une force millénaire, qui ont des pouvoirs bien à eux. En vous les proposant, à durée limitée, nous vous donnant non pas l'occasion de tuer quelques centaines de personne, mais de pouvoir adopter une autre vision du jeu. Nous aurions pu les garder sous forme de pnj du mal, mais c'était d'un banal... les jouer sous un compte mj? Idem.
Nous avons fait le paris fou qu'un prédéfinis comme celui là pourrait être pris et jouer, le temps d'une animation. En effet, ce qu'il faut savoir :
- Si vous êtes intéressé par l'un de ces prédéfinis, envoyez un MP à un administrateur pour qu'il vous donne accès au compte qui vous intéresse. Vous n'avez donc pas besoin d'en créer un de vous même. Ces comptes existent déjà, ils attendent simplement d'être utilisé par vous. - ce prédéfinis ne nécessite aucune fiche de présentation pour être jouer. Cependant, nous vous demanderons de préparer une animation test dont votre fantôme sera l'animateur qui validera ou invalidera l'attribution du personnage. - ce prédéfinis est limité dans le temps puisque tôt ou tard, il sera sûrement tuer/renvoyer/etc. - nous vous les proposons et nous vous faisons confiance en ce concerne le gros billisme possible avec de tels pouvoirs. - une fois une fois que le personnage est à vous, vous pouvez ouvrir un carnet dans le relationship dans le style de celui de d'Isaiah, afin de proposer ou discuter des idées de scénario. !ATTENTION - CES PREDEFINIS SONT RESERVES AUX MEMBRES LES PLUS ACTIFS DU FORUM! En bref, si vous désirez l'un de ses prédéfinis, MP un admin ou un modo, il vous le réservera! (; FUBUKI, LA MUETTE --> prise (par Elthiriel S.). DARWIN SWITCH --> pris (par le Sha). ISAIAH --> pris (par Elo). SUNSHINE --> tuée par l'ange Michael avec l'aide de l'exorciste Matthias de Salamine (relique: un éclair cristallisé). WILLIAM DICKENS --> pris (par Cem Astier). MARIE --> tuée par l'ordre iscariote (relique: balerines de danse). LUCIUS --> tué par la directrice de Poudlard et Aleksandr Souvorov (relique: boîte à musique). KLAVDIA --> tuée par les loups de Orlov. (relique: ???)
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