William avait saisit la main que Candice lui avait tendu avec un sourire malicieux et satisfait. D’ordinaire il détestait être trainé derrière une fille comme un vulgaire toutou et ce n’était pas dans ses habitudes mais là il savait où elle le menait donc ça ne le gêner pas. Il ne la lâcha plus des yeux et ils firent quelque pause pour échanger quelque fugace baiser avant d’arriver jusqu'à la salle sur demande comme l'avait suggéré, lieu idéal pour ne pas être déranger par qui que ce soit. Une porte finit par apparaitre alors que Candice le prit de nouveau par la main, le jeune homme se collant de nouveau à elle pour l’embrasser. Et dire que tout cela avait pris une telle tournure juste parce qu’eux d’eux n’avaient pas sommeil et qu’il était un brin maladroit… Quelque minute auparavant, voir une bonne heure, il n’aurait jamais penser se retrouvé dans une telle situation avec une fille qu’il connaissait à peine et qui se révélait être la meilleure amie de la sienne. Si elle savait….

Mais le moment n’était pas venu de penser à Elladora et William avait mieux à faire. La main de la jeune fille se baladant sur la poignée tandis qu’il continuait leurs échanges, ils rentrèrent alors à l’intérieur et il décolla ses lèvres des siennes à regret. Candice semblait confuse comme si quelque chose clocher mais la présence d’un lit ne laissait pas deviner au jeune Slayers de quoi il s’agissait. Pour lui elle n’avait pas oublié l’essentielle.

Candice - « Ah, mince ! J’ai fait apparaître ma chambre en Louisiane. »

Elle se mit alors doucement à rire et se mordilla la lèvre d’une façon qu’il trouvait aussi touchante qu’attirante.

William – « Peu importe »

Ce n’était plus le moment de parler pour ne rien dire et les mots ne servaient plus à rien. Il avait besoin d’action plus qu’autre chose et lorsqu’elle se rapprocha de lui, il passa ses mains autour d’elle avant de l’embrasser de nouveau. Ses mains remontèrent bientôt le long du dos de la jeune fille tandis que leur baiser se faisait plus passionner, laissant deviner la suite des évènements….

Si elle pensait le trompait avec ses airs de bisounours innocent et ses cheveux roses, lui laissant penser qu’elle était chaste et innocente c’était perdu d’avance. William avait su a la façon qu’elle avait eut de répondre a ses phrases séductrices quelque minute auparavant que Candice avait des mœurs douteuses. Il n’était toutefois en rien choqué, il lui en faisait plus pour cela et en bon homme qu’il était ce n’était pas lui qui se plaindrait. Après tout il fallait de tout pour faire un monde. Des vierges et des frustrés ainsi que des faciles et des dévergondés. William n’avait aucun doute de la catégorie dans laquelle il plaisait la demoiselle mais il ne la forcé en rien. Elle devait sans aucun faire partie de celles pour qui le mot amour ne signifier rien si n’était l’appellation du plaisir charnelle sans qu’il ne soit là question de sentiments. William lui-même n’avait jamais aimé une femme mais il ne s’en plaigniez pas. L’amour c’était pour les faibles et les fous. L’amour ça aveugler les jugements et empêcher de faire les bons choix. Un homme un vrai ne ressent rien…

Autrefois il avait cru s’attacher à une femme, éprouvait pour elle plus que du désir mais elle ne voyait en lui que le riche fils du ministre qui ne représentait au fond qu’une petite part de lui-même. Désormais ici à Poudlard tout était différent mais ce n’était pour autant qu’il avait revu ses pensées sur l’amour. Il gardait les mêmes opinions, essayant de se fondre dans la masse des autres élèves en saisissant pourtant parfois l’opportunité de se faire plaisir comme se soir. Candice n’avait pas froid aux yeux et il ne pût s’empêcher de sourire quand elle le mit à nu sans plus entendre. Elle pouvait observer pleinement la partie de son corps le plus intime mais il n’en était pas gêner pour autant. Si il avait bien sur une chose qu’il ne complexé pas c’était bien sur son anatomie et cela pour n’importe quel partie. Elle s’approcha de lui et posa alors sa main sur son membre alors qu’il le sentait déjà se rendit, impossible de rester impassible devant un tel toucher, avant qu’elle ne colle ses lèvres dessus. Il la regardait d’un air intéresser, souriant toujours, devinait peu à peu ce qu’elle s’apprêtait à lui faire. Une petite gâterie….

Candice - « Mais je suis peut-être trop dévergondée pour toi au fond… »
William - « Pas du tout » souffla-t-il dans un laisser soupir de satisfaction.

Elle recommença alors il ferma les yeux, désireux qu’elle continue encore. Il sentait le désir grandir en lui et la chaleur parcourir son corps. C’était tellement bon. Les lèvres de Candice lui procurait des sensations des plus savoureuse qu’il appréciait en silence, respirant légèrement plus fort que d’ordinaire…