William a grandit avec ses sœur et sa mère. Enfant plutôt capricieux et égoiste, il avait tendance à se prendre pour un roi et n’avait de cesse de se disputer avec Willara sa jumelle. D’ailleurs un jour alors que la petite fille s’entrainer aux sortilèges, son frère se prit le sort en pleine face et se mit à pleuré. Résultat Thomas, son père, s’emporta alors que ça ne lui arriver jamais et le giffla lui répétant qu’un homme un vrai ne ressentait rien, bien que le petit garçon ne comprit pas vraiment le sens de ses paroles. Mais a l’âge de six ans son père décèda et il dût se résoudre a devenir l’homme de la maison. Culpabilisant un peu de son comportement, dès lors William mit un point d’honneur à protéger sa famille. Devenant même TROP protecteur avec ses sœurs, les empêchant de lier quelconque lien avec la gente masculine. Le moindre de ses faits et geste n’avait qu’un seul but : devenir un homme un vrai et surtout faire en sorte que son père soit fier de lui. Pour ça, il endosser un role du petit homme malgré son jeune âge et voulait s’occuper de tout, oubliant de s’amuser avec les autres enfants. Juger trop sérieux et ennuyeux il était trop souvent laisser dans un coin, presque invisible. Son cas ne s’arrangea pas lorsque âgé de 8 ans on lui fit sauté une classe en raison de ses immense capacité intellectuelle, et que les autres se mirent à se moquer de lui en raison de son jeune âge et de sa petite taille. Honteux de ses capacité, William fût alors exprès de rater son année pour récupéré le cursus , démentant ainsi la théorie de ses professeur qui le juger surdoué. Tout changea cependant a son arrivé a Poudlard où il fut admit à Serpentard. William devint vite un garçon bien trop sûr de lui, prétentieux, plein d’humour, optimiste, charmeur hors pair et légèrement glandeur sur les bords. Se rendant compte de ses charme, il apprit l’art de la séduction et à prendre confiance en lui. Il apprit notamment à manier les mots et surtout l’humour pour cacher ses sentiments et ce qu’il ressentait, adoptant la devise : un homme un vrai ne ressent rien. Puis il ne tarda pas à délaisser les salles de classe et a apprécier le parc de l’école.