OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.
NOM : Malhorn
PRENOM(S) : Lilie.Johanson
AGE : 88 ans ( apparence 26ans )
ORIGINE(S) : Russe
PROFESSION : --
ETAT CIVIL : --
OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent.
Caprice Acte 1. Scène 1
Qui n'a jamais senti se faire suivre, tard, dans la nuit. Qui n'a jamais entendu l'histoire de personne disparue dans cette obscurité.. Son histoire est racontée depuis des générations mais nul na jamais pu prouver sont existence. Racontée ainsi, sa description physique est plutôt vague. On dit de cette chose, qu'elle est un éclat dans la nuit. Sa peau blanchâtre aspirant la vie.. Les survivants si on peu les appeler ainsi, non jamais pu faire de croquis.. Ou même de description plus juste sur cette vieil esprit. Étant sur le bord de l'agonie, leur sang s'écoulant de leur veine a une vitesse phénoménale, leur cœur débâtant s'accrochant à la lumière, leur pensée ne pouvait être juste.. Leur pensée ne pouvait être claire. La seul chose qui l'était.. Était une phrase qui revenait souvent.. Je n'ai rien pu voir.. Tout ses passée si vite..
Lilie est une jeune femme qui porte l'apparence d'une dame dans la 20ene d'année.. Ses yeux reflètent l'obscurité la plus pur du ciel, d'un bleu foncée cristallin, qui ne possède aucune âme, aucune vie. Froid comme les territoires de Sibérie et séducteur comme le malin sous tout ses formes. Son regard mélancolique ne peu ou ne pourrait appartenir au humain. Pourtant porter par une agonie, l'humain ne peu sent séparer. Elle attire d'un seul regard le sexe opposé, comme un aimant invisible strident mais si séduisant. Faisant battre le cœur de ses victimes a vive allure, l'éclat bleuté est peut-être la seul chose au qu'elle il pourront goutés. Ses cheveux de braise, sont aussi sombre que l'encre. Luisant à la lumière de la lune, il reflète le ciel de son éclat bleuté. Il sont si doux et parfumer, qu'on aimerait y toucher. On voudrait les caresser, les sentir sous nos doigt dans nos paumes, il crée un besoin inexpliqué, une sorte de fantasme incontrôlée. Voltigeant dans la nuit, Lilie ne se les attachent jamais. Ses cheveux semblent en tout temps coiffés. Jamais elle ne porte une mèche déplacer. Il semble être parfait presque irréelle... Divin si on hausse se l'avouer.
Ses traits d'une simplicité presque vulgaire, dessine son visage angélique. D'une pâleur quasi fantomatique, elle semble être geler mais est si chaude au toucher. Un peu comme une poupée de soie, elle ne semble porter aucun sentiment, aucune émotion.. Uniquement un besoin, un désir, comme les femmes de joie. Elle en n'est pourtant pas une, beaucoup trop belle pour appartenir à tous.. Elle semble richissime, mais ne possède aucun bien. Ses envie parcourue par une perpétuelle faim. Sa peau est d'une clarté, comment ne pas la regarder ? Quand elle passe sous votre nez, nul ne peu lui résister. Elle a un charme une aura. Elle a quelque chose qui vous enveloppe comme des draps de soie. Elle vous donne qu'une seul envie, savourer ses lèvres sans vie. Lilie ne porte aucun artifice, sa peau étant d'un blanc nacré. Elle est a elle seul une torture, par sa beauté et son allure. Ses dans ses robes de soirée, plus souvent qu'elle Vien vous chercher. Sa silhouette élancer, vous donne des gouts a tout casser. Habiller de tout sont long, de nappe obscure et si profond. Elle semble irréelle dans ses vêtements, comme si un ange était cacher dedans. Ses geste font arrêter le temps, en sa présence tout est calme et si lent. Le monde semble arrêter de vivre.. comme dans un rêve, une illusion. Comment résister à quelque chose d'irréel ? Si a bien dire.. Se n’est pas un pécher charnelle.. De sa voie douce et savoureuse.. Aussi pure que les sirènes, elle vous parle chuchote votre nom, comme une résonnance dans le firmament. Elle va vous chercher dans votre esprit, vous fait léger, vien, vous emporter... Elle semble presque vous amener, dans un autre monde.. Au panthéon.
Caprice. Acte 4. Scène 2
Le grincement d'une épaisse porte en bois, les pas légers d'un ange sens voie. Une silhouette découper dans l'obscurité. Un silence ne cesse de guetter. Une femme s'avance de son pas léger. Sa cape rouge sang, glissant sur le parquer. Un tracer visqueux traçant son chemin, d'un liquide dégeux ? Non tout simplement rouge vin. Sur les plaques de pierres aucun son aucune résonnance, elle s'avance ainsi s'agenouille et fait sa prière. Devant le panthéon, spectateur de son crime, elle prépare la cime de ses canines divines. L'odeur de la mort, est lancer t'elle un sort, humer la dans l'air, première fois sans sa paire...
*Lilie était une jeune femme courtoise, une âme gentille une courtoise. Aimer de tous et chacun, la fille de Jaque Laupun. Un homme assez connu, pour ses grâces et ses paroles émus. Il formait à eu seul, une famille dans le deuil. Souvenir de sa mère, morte et enterrer sous la terre. Femme grassouillette, elle ne fut pas une grande perte. Lilie ne sans était jamais attacher, elle semblait séparer, comme si elle était porter, par un tout autre destin tracer. Elle ne portait aucun sentiment pour sa famille, partant un jour n'apportant que l'équivalent de quelque bille. Elle partait ainsi a l'aventure, disparaissant au loin dans la nature. Elle n'avait nul endroit ou aller, ses pensées quelque peu saccadée, elle semblait comme envouter, par quelque chose d'irréel de damnée. Lilie se fut transformer, lors d'une soirée quelque peu arroser. Au bras d'un homme bourru, qui ne perdit pas de temps et mourus. Elle pour sa part survécue, pour des raisons encore inconnues, la femme qui les avaient attaquées, décida uniquement de la transformer. Anastasia devenue la loi de sa foie. Celle qui l'avait fait renaitre, celle qui l'avait fait connaître. Elle en fit enchanter laisser bercer par ses paroles, himent d'histoire de lointaine contrée. Lilie apprit à ses cotée, a chassé à massacré. Ses yeux jamais ne se sont fermer, pendant que le sang coulait dans sa gorge serrer. Elle prit vite gout a ce plaisir, attaquant toujours d'une façon plus pire. Faisant crier les femmes empourprées, faisant saigner les hommes férocement dilapider.*
Les années passèrent, et elle se sépara de sa paire.. La perdant de vue, l'oubliant la laissant sans plus. Elle fini sa route dernièrement pour briser la croute, dans un temple du panthéon, ou un homme appelons le « pardon ». Celui ci venu la voir, demander la cause de son désespoir, il semblait si séparer.. Lilie en était presque offusquer. Ce du être la raison de sa cruauté, lorsqu'elle aspira la vie du "curée". Elle partit peu après rassasier, de ce festin une lueur enjouée.
Receuil des mystique créature magique.
Chapitre 14- La Capricieuse.
( Extrait tirée du Receuil des mystique créature magique. Par Claude Chasstout )
Avant de vous parler de cette femme.. Laisser moi me baigner dans une marre de sang. Recouvrir mais mur de charbon ardent et invoquer les pires déments. Pourquoi ferais-je cela ? Ses fort simple a comprendre quand on ses sa vie comme moi ! Elle n’est même pas le simple reflet de cette démences. Elle est pire, mille fois pire ! Elle sème la semence, de la mélancolie de la tristesse. Elle sème le mal comme parlent les femmes. Bien que leurs mots sois proverbiale, les siens sont porter par le mal. Elle est d'un sarcasme perpétuelle, le miroir de ses pensées quelque peu cruel. Dans son monde parfait, il n'y a plus rien. Elle en ferait un bassin pour y boire sont vin. Tant de torture sous ses yeux, tant d'âme errante qui la suive de si peu. Sous l'obscurité de la nuit, elle ses installer y a creusé son nids. Elle s'y est baser sa vie, dans un murmure, dans un cri. Ont dit qu'elle ne craint pas les marques divines. Ni les pieux ni l'eau. Ses armes d'histoire mystique, ne servent qu'a enchanté ce personnage critique. Elle est la cruauté incarner, la silhouette de la mort et de ses pécher. Une âme errante affamer, qui se sert du genre humain pour se rassasier. Son esprit borner est parsemer de démon acharner.
Lilie au Lilie.. Qu'elle nom joli vous vous direz..
Lilie au Lilie.. La laisserez-vous, vous approchez ?
Lorsqu'elle vous voit la mort vous guettes. Lorsqu'elle vous parle t'elle un prophète. Le malheur s’acharne, on entend le blâme, les cris de terreur et le silence du tueur. Baigner son sang, devenez aman, contempler la, savourez-la. Ses mots ses paroles, qu'elle belle farandole. Ses mots ses chants, crisper par en dedans. Sont apparence sublime, silhouette divine, cache son jeux, le feux qui illuminent ses yeux. Elle est le sarcasme, d'une anomalie vivace. Une tranchée entre votre monde et ses torpeur immonde.
OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler.
Quelle forme prend votre Epouvantard ?
Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ?
Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ?
Quelle forme prend votre Patronus ?
Quel est votre sortilège favori ?
Quel est celui qui vous terrifie le plus ?
Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ?
Quelle forme de magie vous attire le plus ?
Appréciez-vous la discipline ?
Quelle est la pureté de votre sang ?
OO4. Vous ! Oui, vous !
PSEUDONYME, PRENOM : Marcus
AGE : 22
AVATAR UTILISE : Emmanuelle Beart
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Etheriel
LE MOT DE LA FIN ?
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