AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  



 
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €

Partagez | 
 

 F. S. Hill

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
PROFIL & INFORMATIONS









Anonymous

Invité
Invité

F. S. Hill #Jeu 3 Déc - 19:28


OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.


    F. S. Hill 604699mona_27 NOM : Hill
    PRENOM(S) : Freyja, qui signifie « maîtresse », « dame » ou encore « femme ». C’est le nom d’une déesse nordique, déesse également appelée Valfreyja qui veut dire « maîtresse des élus », « maîtresse des tués ». Elle est non seulement la première Valkyrie, mais aussi la déesse de l'amour, de la beauté, de la terre, de la fertilité, de la richesse et de la magie.
    Sthéno, signifiant « Errant dans le monde ». C’est la seconde des sœurs changées en Gorgones dans la mythologie grecque, elle représente la perversion morale.
    AGE : 23 ans
    ORIGINE(S) : Anglaise / Suédoise. Freyja a vécut jusqu’à ses neuf ans en Suède avant d’aller vivre en Angleterre, terre d’origine de son père.
    PROFESSION : Pianiste de renommée mondiale.
    ETAT CIVIL : Célibataire.


OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent.

    Une fois hors de la Tour d'Ivoire,
    Dans ce jardin de fausses beautés blanches.
    Je m'ennivre de l'odeur évacuée par les pistils,
    Mais, je cherche une moyen de m'évader.
    Me laissant balloter par le vent.
    Je m'imagine à sa place magique.
    Autant que lui, j'aimerais être partout.
    Et non ! Je suis emmurée !
    Dans cet univers d'ignoble pureté,
    Aidez moi mes dieux !
    Je vous implore une seconde fois de m'appuyer.
    Tracez moi la route...
    De la noirceur, de la douce obscurité,
    J'exige la liberté !
    Ha non pas lui ! Il s'approche.
    Son teint blême, comme ma prison.
    Ce geôlier, m'observe d'un air sans pitié,
    Sortez moi d'ici, j'abjure cette Tour maudite !
    Que je revoie enfin mon noir pays.

    La Tour d'Ivoire III Maja


    Avant ses neuf ans, Freyja n’avait jamais rencontré son père. Sa mère lui disait qu’elle lui expliquerait pourquoi quand elle serait plus grande, seulement ce que sa mère ne savait pas c’est que finalement elle n’aurait pas la chance de pouvoir attendre bien longtemps, car l’année des neuf ans de sa fille, le petit bout qu’était Freyja, se mit à faire l’éviter ses poupées au-dessus d’elle. Helena, la mère de Freyja, comprit alors que ce qu’elle redoutait le plus se produisait : sa fille était une sorcière. Helena connaissait l’existence de la magie depuis des années, son ancien amant, le père de Freyja, était un sorcier anglais qu’elle avait rencontré une fois alors qu’il se rendait à une coupe du monde d’un sport magique étrange dont elle n’avait pas retenu le nom. Elle s’était laissée séduire par le bel anglais, sachant très bien par avance, que leur relation ne les mènerait à rien étant donné qu’il était le fils unique d’une grande famille d’aristocrates de sang pur. Il n’empêche, leur relation perdura plusieurs années, jusqu’à ce que Helena ne tombe enceinte. Elle avait peur, peur de ce que pourrait devenir son enfant. Helena avait bien supporté le fait que l’homme qu’elle aimait était un sorcier, mais là il s’agissait de l’enfant qu’elle allait porter, pour elle cela changeait tout. James, l’amant d’Helena, voulait que cette dernière vienne vivre en Angleterre avec l’enfant qu’elle portait, pour les avoir près de lui. Pour Helena c’était trop à supporter, déjà elle allait porter un être qui pour elle était « anormal », mais en plus voilà que James lui demandait de quitter son pays alors qu’ils n’allaient même pas se marier ! Elle ne pouvait pas le supporter, elle mit fin à sa relation malgré les protestations de son amant. Durant toute sa grossesse et durant les neuf années qui suivirent, elle éleva seule sa fille, sans aide, sans jamais recontacter James pour lui demander la moindre chose. Quand lui tentait de la joindre, elle refusait de lui parler et voilà que maintenant, neuf ans après, sans jamais lui avoir accordé un signe de vie, elle allait l’obliger à récupérer « le monstre qu’il avait engendré » comme elle disait. C’est comme ça qu’un matin de novembre, Freyja rencontra son père pour la toute première fois. Helena ne ménagea pas sa fille : quand Frey vit son père, Helena lui avoua de manière froide et sans concession qu’il s’agissait de son père et qu’il allait s’occuper d’elle à présent, car elle ne voulait plus d’elle. Elle ajouta même qu’elle ne voulait plus jamais la voir et que si elle tentait un jour de la contacter par n’importe quel moyen, elle agirait comme si elle ne la connaissait pas. Après tout ce n’était pas sa fille, c’était la fille de James et c’est tout, c’était lui son seul parent et pour elle c’était comme si elle n’avait jamais eu d’enfant.

    James prit donc la relève et s’occupa enfin de sa fille. Les choses étaient assez difficiles à expliquer à sa famille, comme personne n’avait été au courant pour son aventure, tout le monde pris la nouvelle très mal. Déjà le fait que James ait un enfant hors mariage était une chose révoltante, mais en plus elle était à moitié moldu… C’est le problème quand on est « métisse » on a du mal à savoir à quel camp on appartient, surtout quand les camps en question on tendance à se relancer la balle des deux côtés, comme si vous étiez une tare qu’ils refusaient d’assumer. James étant un homme très charismatique et autoritaire. Peu de personnes, hormis sa proche famille, osèrent contre dire son choix d’élever Freyja. Heureusement pour Frey, son père ne s’était pas marié, si ça avait été le cas il était certain qu’il n’aurait pas aussi bien assumé son rôle de père. Enfin bref. James était une sorte « d’homme d’affaire » selon ses dires, ce qu’il faisait exactement était assez flou pour Freyja et pour beaucoup d’autres personnes d’ailleurs. En réalité James trempait dans des affaires plutôt louches, comme la contrebande d’objets rares et autres activités tout aussi illégales. Dans le monde des sorciers les gens voyaient James comme un bourgeois qui réussissait très bien dans les affaires, mais les autorités et certaines personnes plus renseignées, savaient très bien que James n’était pas tout blanc, seulement il fallait le prouver et James était très doué pour effacer ses traces. Il rentrait toujours tard le soir et n’avait pas souvent le temps de s’occuper de sa fille. Le peu de temps qu’ils passaient ensemble était assez… bizarre : James ne savait pas du tout si prendre avec les enfants. Il parlait à Frey comme il l’aurait fait avec ses relations de « travail » ce qui faisait que Frey ne comprenait pas la moitié de ce que son père lui racontait et elle passait son temps à le regarder avec de grands yeux, d’un air de dire « mais qu’est-ce qu’il raconte ??», ce que lui interprétait comme de la fascination... La communication était vraiment difficile, mais ils ne s’en sortaient pas trop mal quand on prend en compte le fait qu’ils ne s’étaient pas rencontrés avant les neuf ans de Freyja.

    Le petit bout réussit à se sortir de l’enfance sans trop d’encombres, elle reçu une lettre l’invitant à rejoindre Poudlard, comme son père en son temps. Ce n’était pas une grande nouvelle certes, vu que tous les deux s’y attendaient, mais Freyja était très excitée à l’idée de pouvoir aller à Poudlard. Quand elle était chez son père, il ne la laissait pas beaucoup sortir. James ne semblait pas avoir une grande confiance aux gens du voisinage, à vrai dire il était même assez parano : il imaginait toujours qu’il était suivi ou qu’on le surveillait. Ce qui n’était pas vraiment faux, les aurores gardaient un œil sur ses activités, mais James était très précautionneux et précis dans son travail alors il n’eut jamais aucun problème, mais pour lui le doute était toujours là. Parfois pendant la nuit il venait réveiller Freyja, complètement affolé il lui demandait alors si elle avait parlé à quelqu’un qu’elle ne connaissait pas ou si on lui avait posé des questions sur lui. Au départ Freyja pensait qu’il avait une raison particulière qui pouvait le faire douter à ce point, mais quand il commença à venir de plus en plus souvent la réveillé au beau milieu de la nuit elle si habitua tout simplement. Elle ne voulait pas vexer son père en lui disant quelque chose qui risquait de le contrarier, il était le seul à s’occuper d’elle, si elle le perdait comme elle avait déjà perdu sa mère, elle n’aurait plus personne et cette idée lui était insupportable.

    Depuis son arrivée chez son père, Freyja avait commencé à prendre des cours de piano, d’abord parce que son père l’avait désiré, mais par la suite parce qu’elle y trouva une véritable passion. La musique, c’était une véritable découverte pour elle. Elle n’aimait, pour ainsi dire, que la musique, en dehors de ça rien ne l’intéressait (quand elle entra à Poudlard, la magie l’intéressa également, mais pas au même niveau que la musique). Freyja était une jeune fille assez particulière et au fur à mesure on ne peut pas dire que cela changea. Elle ne trouvait d’intérêt à rien hormis la musique et la magie comme je l’ai déjà dit, mais en dehors de ça, rien ne l’atteignait ! Vraiment rien ! Vous auriez pu être en train de jongler avec des éléphants ou d’agoniser à ses pieds qu’elle n’aurait pas cillé, par contre dès l’instant où elle écoutait de la musique, en jouait ou bien simplement entendait un son, même commun, qui lui plaisait, là, vous aviez une chance de la voir réagir, comme si d’un seul coup elle se réveillait. Les cours de piano qu’elle prenait donnaient des résultats plus qu’épatant. Elle était très douée : lorsqu’elle jouait devant des gens, ceux-ci ne pouvaient s’empêcher d’en rester ébahi, même ceux qui n’appréciait pas forcément la musique classique, elle arrivait à atteindre tout le monde et cela son père le comprit bien vite. Voyant le potentiel de sa fille, James décida de faire d’elle l’un de ses nouveaux pions pour amasser encore plus d’argent. A sa sortie de Poudlard il fit entrer Frey dans une grande école de musique sorcier. Là-bas, elle développa encore plus son art et une fois ses études finies, elle eu la chance de jouer dans les meilleures salles qui soient, se créant une réputation très positive auprès du publique. Sans s’en rendre compte Freyja devint mondialement connue, mais elle passait à côté de beaucoup de choses, elle ne sortait jamais, car elle devait sans cesse répéter, ne faisant jamais de rencontres, très vite son père l’isola de nouveau, comme il l’avait fait tout au long de son enfance. Freyja se rendait bien compte de tout ce qu’elle manquait, mais elle avait l’impression de le devoir à son père, elle ne voulait jamais aller contre son sens, car il avait été le seul à vouloir s’occuper d’elle. Sa sorte de soumission aux envies de son père était également dû au fait qu’elle n’avait pas d’envie réelle : elle n’avait pas de rêve particulier, aucun désir, même pas celui de vivre, c’est dire à quel point elle n’avait envie de rien ! Attention, je ne dis pas qu’elle était suicidaire, je dis juste que si un jour elle devait mourir cela ne lui ferait ni chaud ni froid, car elle n’a rien qui la retienne : aucun amour, aucun désir, aucun rêve.


Bonus. Rien que pour vos beaux yeux.


    Deux assistants de Frey parlant d’elle.

    Assistant 1 :« On dit qu’elle assez particulière… »
    Assistant 2 : « Tout les musiciens le sont un peu, tu sais. »
    Assistant 1 : « Oui, mais elle on la voit jamais en dehors de ses concerts, comme si elle ne sortait jamais de chez elle. »
    Assistant 2 : « Peut-être qu’elle se fait discrète c’est tout… »
    Assistant 1 : « Ah ce que j’ai entendu dire c’est son père qui l’enferme à double tour pour que personne ne l’approche. »
    Assistant 2 : « Ah oui Monsieur Hill. Il parait que c’est un homme très riche. Sa famille est un des plus anciennes familles de sang pur. »
    Assistant 1 : « Tu crois qu’il a peur que sa famille se mêle avec des gens de sang « inférieur ? » »
    Assistant 2 : « Non il parait qu’elle est de sang mêlé, ce doit être pour autre chose… Il pense surement que sortir la ferait trop se disperser et qu’elle ne se concentrerait plus suffisamment sur son art. »
    Assistant 1 : « Ah je vois… Pauvre fille. »
    Assistant 2 : « Pauvre fille ? Tu rigole ?! Je me ficherais bien de sortir ou non si je pouvais avoir ne serait-ce que la moitié de son talent ! »
    Assistant 1 : « Oui, mais ce n’est pas une vie tout de même. »
    Assistant 2 : « C’est vrais tu as raison… elle est très belle, je suis sûr que si elle le pouvait à l’heure qu’il est elle serait déjà fiancée ! »
    Assistant 1 : « Certes elle est belle, mais bon elle semble… »
    Assistant 2 : « Vide. »
    Assistant 1 : « Oui c’est ça ! Comme si rien ne l’atteignait et puis des fois elle fait des trucs bizarres, comme une enfant. »
    Assistant 2 : « L’autre fois, à l’une de ses représentations, elle est montée sur scène pieds nus… »
    Assistant 1 : « Ah bon ? Moi une fois je l’ai vu danser toute seule dans un couloir… il y avait même pas de musique… »
    Assistant 2 : « Elle est peut-être simplement folle. »
    Assistant 1 : « Hum, peut-être. »
    Assistant 2 : « C’est sûrement parce qu’elle est toujours seule. »
    Assistant 1 : « Chute tais-toi elle arrive ! »
    Assistant 2 : « T’as tout préparé j’espère… »


OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler.


    Quelle forme prend votre Epouvantard ? Aujourd’hui si l’on mettait Freyja face à un épouventard, il prendrait certainement l’apparence du père de la demoiselle. L’épouventard ne s’arrêterait pas là, car le père de Freyja n’a rien d’effrayant, non il lui montrerait l’image de son père qui s’en va au loi , ne l’entendant pas quand elle l’appelle. Il s’éloigne tout simplement la laissant seule et abandonnée.
    Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Elle se voit elle, heureuse, vraiment heureuse.
    Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Dans la maison de son enfance, certes elle n’y a pas que des bons souvenirs, mais ce lieu étant néanmoins le plus beau qui lui ait été donné de voir, c'est celui qu'elle choisirait. C’était une grande maison, loin de tout, entourée par une forêt semble-t-il perpétuellement recouverte de neige.
    Quelle forme prend votre Patronus ? Lorsque Frey utilise le sortilège du patronus, c’est un renard polaire qui apparait.
    Quel est votre sortilège favori ? Sonorus. Chaque fois qu’elle monte sur scène, un assistant prononce cette formule sur le piano qui va lui servir.
    Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Hum… le sortilège qui effraie le plus Frey est sans doute le sortilège Doloris. Elle n'a encore jamais eu l'occasion de voir ce sortilège en action, mais même avec les quelques détails qu'on lui a donné sur les effets de ce sortilège, elle pense qu'il y a de quoi le redouter, plus que l'Avada Kedavra. Après tout, avec ce dernier on ne fait "que" mourir, tant dis que le Doloris est un sortilège de torture ce qui est plus à craindre.
    Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? C’était merveilleux ! Frey attendait cet instant depuis longtemps et elle était très excitée d’enfin pouvoir être au milieu de personne de son âge avec qui elle pourrait parler magie en toute liberté, sans avoir peur de se faire surprendre par un moldu.
    Quelle forme de magie vous attire le plus ? La magie blanche, la magie noire, la magie ancienne, la magie plus actuelle, celle de ce pays ou celle de l'étranger. Peu importe. Frey aime la magie, non enfaite Frey aime surtout la puissance, elle la captive, comme une enfant devant un merveilleux jouet. (Chose assez rare quand on la connait) Les histoires de bien et de mal elle n'en à rien à faire, du moment qu'elle sent qu'elle fait quelque chose d'énorme rien ne l'arrête.
    Appréciez-vous la discipline ? La discipline ? Avec des parents comme les siens elle y a été habituée, mais de là à dire qu’elle l’apprécie il y a une marge… Elle la supporte c’est tout, sans l’aimer ni la détester.
    Quelle est la pureté de votre sang ? Frey est de sang-mêlé. Son père venait d'une grande et ancienne lignée de sang pur, mais sa mère, elle, n’était qu’une simple moldue


OO4. Vous ! Oui, vous !


    PSEUDONYME, PRENOM : Elea/Eleazar/Julie (faites votre choix)
    AGE : 20 ans
    AVATAR UTILISE : Mona Johannesson
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Par un de vos membre, enfin à vrais dire je le connaissais déjà de réputation, mais on m’en a reparlé donc voilà… passionnant n’est-ce pas ?
    LE MOT DE LA FIN ? Cacahuète Neutral









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
F. S. Hill #Ven 4 Déc - 9:47



    BIENVENUE CHEZ NOUS!

    F. S. Hill 772465 Quelqu'un qui fait une belle fiche et qui la termine le jour même!! Je suis aux anges XD. Bon mis à part ça, j'adore le personnage, en espèrant que tu te plaira chez nous. Bon jeu Wink

    rang; tu peux demander un rang ici!
    inventaire; tu peux voir ça ici et les objets interdits ici.
    N'oublie pas d'aller réserver ton avatar ici

    Et si tu veux commencer un RP à plusieurs, tu peux voir ici pour les scénards&missions. Voilà. Nous venons tout juste de passer en Novembre donc les animations ne sont pas encore lancées mais ça vient.

    Bienvenue et encore une fois bon jeu! (;










Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
F. S. Hill #Lun 7 Déc - 13:15


    Vaut mieux tard que jamais alors....

    Bienvenue a toi et bon jeu.










Contenu sponsorisé


F. S. Hill #


 

F. S. Hill

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» James Hill Feat Hugh Jackman
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
POET&PENDULUM. :: petite pause aux trois balais. :: la pensine aux rps; :: les anciennes fiches-