QUALITE; Sorcier, né moldu
ORIGINES; Anglais
SPÉCIFICITÉ(S); None
STATUT; FAUSTAOPHILE

CARACTÈRE; Jeune homme très sociable, Phoenix a la tchatche facile et zéro grain de timidité. Résultat : le rou-quin possède un bon nombre d’amis, plus ou moins important pour lui. Il faut dire que, pour lui, l’amitié vaut bien plus que la famille, famille dont il ne parle jamais, tout comme ses années avant Poudlard, ce qui lui donne parfois un petit côté secret qui ne résulte que de son souhait d’oublier le passé et de profiter du présent. Une sorte d’hédonisme propre au gryffondor qui ne sait pas ce que le mot « avenir » signifie. Tout ce qu’il sait, c’est ce qu’il fera le jour même, voir le lendemain. Relativiste, le jeune homme ne se prend pas la tête, ou alors il faudrait vraiment que ce qu’il lui tombe dessus soit très grave, genre, qu’il devienne blond voir pire brun (out). Inconséquent et grande gueule, Phoenix a la répartie facile et ne se laisse jamais faire. Bagarreur quand il le faut, Phoenix met un point d’honneur à rendre les coups quand on lui en donne. Suffirait qu’il se laisse faire tiens, mais quelle idée.
Malgré ce que l’on pourrait penser, le jeune homme est indépendant et responsable (à sa façon). Il s’est se débrouiller tout seul et ne souhaiterait pas que cela change le moins du monde. Parce qu’il ne respecte pas l’autorité et qu’il ne fait presque jamais ce qu’on lui dit. Petit esprit contradictoire, utilisé pour souligné sa liberté ou juste pour le fun ou par conviction. Au final, Phoenix fait ce qu’il veut et si ca ne va pas aux autres, tant pis pour eux.

MEILLEURE QUALITE; Battant

PIRE DÉFAUT; Je m'en foutiste

AFFILIATIONS; Juste la liberté

PATRONUS; Dingo
EPOUVANTARD; Une boite qui se referme sur lui
BAGUETTE; Baguette magique est en bois de merisier. Elle mesure 32,5 cm et contient un cheveu de Vélane.
FAMILIER; (facultatif)
MA VALISE; (facultatif, tous les objets que vous avez en votre possession et qu'il pourrait être intéressant de mentionnée)

Allongé sur son lit du dortoir des gryffondor, Phoenix écoutait la pluie tomber à flot derrière les fenêtres de la chambre. Ils étaient tous partis à la bibliothèque réviser un cours quelconque pour les examens de fin d’années. Lui, il avait de la chance il était déjà sûr de redoubler, alors il n’avait pas à se soucier de ca. Il n’empêcher que Phoenix s’ennuyait un chouia. Aller dans la salle commune pour voir d’autres potes glandeurs ? Ca donnerait surement pas grand-chose. Errer dans les couloirs de Poudlard ? Oui, c’était toujours mieux que de rester tout seul. Il n’aimait pas être seul. Réfléchir à tout plein de trucs existentielles et compagnie, merci bien, mais ce n’était pas sa définition de vivre. Alors Phoenix saute hors de son lit et attrape ses vieilles pompes qu’il enfile ni une ni deux. Puis il s’élance comme la tornade qu’il est dans les escaliers et se retrouve bien vite dans le grand hall d’entrée où il salue avec un grand sourire un groupe de 6e année. Un peu plus loin il rencontre Petey, l’un de ses meilleurs amis. Et après les formalités d’usage auxquelles personne ne fait attention (Salut, ca va ? Ouais et toi ? Ouais. Super qui a vraiment entendu les réponses, personne, hypocrites que nous sommes), on parle de la grande nouvelle du jour. Il y avait pourtant échappé pour le moment, mais venant de Petey ce n’est pas grave, ils peuvent bien en parler.

- Alors c’est vrai ce qu’on dit ? T’as rompu avec Camille ?
- Ouais, enfin c’était d’un comme un accord.
- Ah ouais ?
- Ouais.

Bien sur que ça étonne. Ca faisait plus d’un an qu’ils étaient ensemble, et tout avait semblant être comme d’habitude entre eux : tranquille. Phoenix enfonce ses mains dans ses poches ne s’épanchant pas plus sur les raisons de cette rupture qui n’appartiennent au final qu’eux eux. Et puis le rouquin n’avait pas de mots à mettre sur ses raisons. Une sensation, une assurance, celle que quelqu’un d’autre aller faire une entrée déterminante dans sa vie, et qu’il n’y avait plus de place pour Camille. Ecoutez le… Lui qui détestait la divination. C’était le pompom de penser ca. Non, il valait mieux le garder pour lui. Même si Petey comprendrait, il était un peu chelou, assez pour comprendre ce genre de trucs bien chelou.

- Tu vas faire des contentes toi !
- Boaf.
- On s’tape quelques balles ?
- Grave.

Voici enfin une idée et une bonne. Taper dans un cognard , bon il pleuvait, mais les deux loulous s’en foutaient bien. On était accro au quidditch ou on l’était pas.