OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.
NOM : Doringhton Slayers . Doringhton ; c'est le nom de son père, ministre de la magie Américaine . Slayers ; C'est celui de sa famille d'accueil charger de sa protection. PRENOM(S) : William Alex AGE : 16 ans - 29 Septembre 1993 ORIGINE(S) : Américain PROFESSION : Elève ETAT CIVIL : Célibataire
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:04
OO2. Nous avons les moyens de vous faire parler.
Quelle forme prend votre Epouvantard ? Son père Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Sa mère Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ?Près de sa mère. Quelle forme prend votre Patronus ? Un Phœnix. Cet animal semble lui ressemble de part sa capacité a toujours se renouveler. De plus le côté flamboyant correspond a la vitalité du jeune homme, ainsi que le fait qu'il s'agisse d'un volatile, montrant bien son besoin d'évasion et de liberté. Quel est votre sortilège favori ? Les siens Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Impéro. Etre incapable d'agir selon sa propre volonté. Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? De la fascination et de l'appréhension. Quelle forme de magie vous attire le plus ? Je suis curieux de tout. Mais plus blanche qu'autre chose. Pour l'instant.... Appréciez-vous la discipline ? Certainement pas. Quelle est la pureté de votre sang ? Pur cru 1993
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:05
OO3. C'est l'histoire de la vie.
« Mais par Merlin où est donc le Docteur Kelso ? » « Dans la 314 ! » « Quoi ?? Mais on a besoin de lui dans la 316 ! Madame Doringhton est en train d’accoucher . » « Eh bien il va falloir appeler quelqu’un d’autre parce que Madame Slayers est en train de faire exactement la même chose et elle de jumeaux. »
Les deux infirmières retournèrent a leurs occupation respective, l’une d’elle poussant un soupir légèrement agaçai par l’urgence de la situation. Cette nuit promettait d’être agiter. Les trois enfants naquirent pratiquement en même temps. Les jumeaux Slayers a 23h24 alors que le petit garçon Doringhton vit le jour a 23h26. C’est donc tout naturellement qu’ils se retrouvèrent côte a côte dans la nurserie. Willara, Sawyer et William. Mais cela qu’un détail. Enfin….
Mais revenons-en plutôt a ce celui qui nous intéresse : William Dorringhton. Certain ont beaucoup de chance dès leurs naissance, et bénéficie de privilège sans qu’il n’ai besoin quelque chose pour le mérité . Ce fût le cas pour William qui n’est autre que le fils du Ministre de la magie Américaine. Sur le papier ça peut sembler genial mais seulement sur le papier….
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:07
OO4. Un jour toi et elle vous vous marierais
C’était en plein été alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. La journée venait a peine de commencer et pourtant il régnait déjà chez les Doringhton une certaine activité. Grace se trouvait en bas de l’escalier, attendant son fis tandis que Mr Doringhton était déjà prêt a transplaner.
Grâce – « William dépêche toi si tu es en retard tu sais ce qui risque encore d'arriver. » William - « Oui oui ça va ça va j'arrive. Papa m'a dit de m'habiller convenablement donc je fais des effort. On va où déjà ? » Grâce - « En Ecosse chez les McGregor. »
William poussa un soupir avant d’attraper la main de sa mère. Hop, une seconde plus tard ils se trouvait en écosse. Le petit garçon de huit ans eut un léger haut le cœur, un peu retourné par le transplanage mais se retenu de vomir se doutant que cela ferait mauvais genre. D’autant plus que son père trouverait certainement dans son geste une excuse pour le réprimander une fois plus. Coincé entre son père et sa mère William était anxieux et il fixait la porte avec une certaine appréhension. De l’autre côté dans la maison McGregor l’effervescence était a son comble mais tout n’était pas encore parfait et une petite fille au cheveux brun aux caractère déjà bien trempé donné du fil a retordre a son frère plus âgé.
Matthew - « Karly, grouilles ! Ils vont arriver d'une minute à l'autre ! » Karly –« Voilà, voilà, rabat-joie. Et c'est qui, qui vient ? » Matthew - « Des amis de père. Allez, vite ! »
La sonnerie retendit juste au moment où Karly était – enfin – prête. Mr McGregor adressa un regard noir à sa fille afin de lui faire comprendre son mécontentement. La porte s’ouvrit alors. D’un côté les Doringhton, de l’autre les McGregor. Deux familles. Un seul destin….
Matthew - « Bonjour ! » Karly - « Bienvenue ! » Mr McGregor – « Monsieur Doringhton, bienvenue ! Avez-vous fait un bon voyage mon cher ? Entrez, entrez. Tobias va prendre vos capes. Voici Matthew et Karly. Et je suppose que voici le jeune William ! » Mr Doringhton – « Merci, nous somme ravis de vous rendre visite . Veuillez accepter mes remerciement pour cet accueil j'en suis combler et il s'agit effectivement de William.
Ce dernier était rester silencieux et devant les regard insistant des gens face a lui il laissa échapper un simple « Salut ». Mr Doringhton envoya un regard noir a son fils qui déglutit avec difficulté et s’empressa de se reprendre, effrayer a l’idée de mettre son père en colère.
William - « Euh j'veux dire merci et bonjour a vous aussi » Mr McGregor – « Et bien, en voilà un jeune garçon plein d'entrain. » Mr Doringhton – « Oui plein d'entrain c'est le moins qu'on puisse dire…. Mais ne vous fier pas aux apparence il est beaucoup plus sophistiqué qu'il n'en donne l'air. »
Mr Gregor ne semblait que moyennement convaincu et William déglutit avec difficulté, peu ravie d’être si vite juger. Sa mère posa une main sur son bras pour la rassuré et il lui adressa un sourire tandis que les deux chefs de famille semblait avoir déjà oublier sa présence.
Mr Gregor – « Le voyage a du vous épuiser, venez, nous allons passer au salon . Vous pourrez vous reposer. Laissons les jeunes nous rejoindre par la suite. Matthew, n'oublie pas : on dîne à 20h tapantes. »
Les adultes s’éloignèrent alors et William attarda son regard sur sa mère avec qui il aurait bien aimé rester. Il était dans un lieu inconnu et peu rassurer. Il était a présent avec Matthew et Karly. L’un semblait jovial, l’autre mécontent d’être là.
Matthew – « Bon, on ne va pas se regarder dans le blanc des yeux toute la nuit. Si t'as besoin de quoique se soit, le vieux Tobias est là. Appelles-le n'importe quand. »
Les trois enfants se mirent alors a marcher, William jeta un œil un peu partout pour découvrir les lieux.
Karly –« Pourquoi t'es là ? »
Eh bin le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle avait le sens de l’hospitalisation ! Heureusement que William était habitué a pire sinon il aurait pût en être surpris.
William – « Bin je.... » Matthew – « Karly... » Karly - « Bah quoi ? L'hiver, c'est pas la période de foules. Les gens préfèrent retourner sur la terre anglaise que les îles écossaises. » Matthew – « Il vient surement pour nos traditions. Les fêtes d'hiver sont toujours plus belles là où la neige est la plus pure. » William – « Woé t'a pas peut-être pas tord mais a vrai dire j'en ai aucune idée. On t'a pas dit pourquoi on venait a toi ? » Karly - « Tu crois que je te poserai la question si je savais ? »
Il commençait a être agacer par son attitude agressive. Qu’avait-il fait pour qu’elle sorte ainsi les griffes ? William avait bien trop l’habitude de se faire dicter ses faits et geste par son entourage pour le toléré de la part d’un inconnu. D’autant plus lorsqu’il s’agissait d’une fille.
William – « Quesque j’en sais j’lis pas dans tes penser » fit-il sur le même ton agressif qu’elle . « Mais tu a l'air fort sympathique dis moi » continua-t-il avec un large sourire. J’suis sur que passer du temps a tes coté doit être GENIAL » termina-t-il avec hypocrisie.
Si elle pensait qu’il allait se laissait faire elle pouvait se fourré la baguette dans l’œil. La jeune McGregor semblait ne pas apprécier le comportement de son invité et ses joues devinrent rouge.
Karly - « Tu es toujours aussi.... charmant ? » William – « Non des fois j'suis même mieux. »
Il se fichait royalement d’elle, faisant preuve d’un arrogance dont il servait peu. D’ordinaire il était garçon simple et facile d’accès mais cette fille avait apparemment le don pour le mettre hors de lui et faire ressortir des traits insoupçonné de son caractère. Les deux enfants se toiser du regard, griffes sortit près a bondir sur l’autre au moindre faux pas mais sentant que la situation aller dégénéré Matthew intervint alors.
Matthew – « Tu viens d'Amérique, Will, c'est çà ? J'peux t'appeler Will ? Alors raconte. Ca doit changer d'ici, non ? » William – « Woé c'est ça d'Amérique et tu peut va y Matt sans soucis. Mais il y a pas grand chose a raconter. Mon père ne me laisse pas sortit très souvent a cause de ses obligation et blabla. Matthew – « Il ne te laisse pas sortir ? Y'en a une qui aurait déjà enjambé la fenêtre de sa chambre... »
Matthew laissa un regard complice à sa sœur qui lui tira la langue, en réponse a ses accusation.
Karly – « Comme si j'étais la seule. » répondit-il a son frère avant de s’adresser a William. « Au moins, tu ne seras pas dépaysée. A part si la ville te manque. La première grande ville n'est qu'à.... deux jours à pieds d'ici. »
Elle venait de dire quelque fois ? Sans aucun doute mais il ne prêta attention qu’au parole de Matthew.
William –« Au croie moi j'ai essayer mais c'est plus dur de s'échapper lorsqu'on fils de ministre que lorsqu'on simple citoyen . Matthew - « Haha, on va t'initier aux joies de la campagne. Ca va te changer de la ville.
Il lui fit une petite tape amicale sur l’épaule. D’hors et déjà une certaine complicité semblait s’installer entre les deux garçons et il était évident qu’il s’agissait là du début d’une amitié qui ne ferait que grandir d’année en année.
William – « J'suis partant pour la visite mais.... " on " ? Tu es sur qu'on est obliger de la trainer avec nous ? » Matthew – « Euh... »
William parlait bien évidemment de la présence de Karly dont il se serait bien passer. Il ne côtoyer que très peu de fille du haut de ses huit ans et ne les aimer guère.
Karly - « Dis donc tête d'enclume, si je suis de trop, tu pourrais me le dire en face... à moins que tu ne sois trop lâche pour cela.... » Matthew : « ... Karly, c'est pas ce qu'il voulait dire... »
William – « Oh mais tu me parle ? » demanda-t-il faussement étonné. « Désolé je t'avais pas vu » fit-il avec hypocrisie. « Mais si si Matthew s'est exactement ce que j'voulais dire » Karly - « Trouve ton chemin tout seul, imbécile ! J'espère que tu rencontreras le duhbar et y restera. »
Elle partit alors la tête en haute et en maugréant tandis que William afficher un sourire triomphant, ravie d’avoir gagner cette bataille.
Matthew - « Dis-moi Will', on t'a déjà parlé de cette forme de parole qui fait fureur. Tu sais, le tact. Si tu veux converser avec elle, j'te le conseille. Karly est... hum. Surveilles tes arrières, quand même. » William – « Tu viens de le dire toi même Matt " si je le veux " hors j'ai pas envie de lui parler. Cette fille est vraiment trop… bizarre. Puis j’ai comme l'impression que c'est de sa faute si j'suis là même si au final ça a l'air sympa ici. » Matthew – « La maison est habituée à recevoir des cris, elle ne s'effondra pas plus » dit-il en semblant plus se parler a lui-même qu’autre chose. Puis il reporta son attention sur William. « Hum, je veux pas défendre ma sœur mais... aucun de nous ne sait pourquoi vous êtes là. Comme le dit Karly, peut-être que tes vieux ont été attiré par le côté festif et traditionnel de nos fêtes d'hiver... mais, on en doute quand même un peu. Père nous a dit que ton père était un vieil ami. Surement des retrouvailles entre les familles. » William – « Surement. Mais si c'est ça j’ai bien peur que ça signifie que j'vais venir souvent... »
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:10
OO5. Comme je voudrais... Partir là-bas....
La nuit avait établie son règne dans la somptueuse demeure des Doringhton. L’immense château baignait dans un calme qu’il ne connaissait pas en journée. William était un petit garçon plutôt éveillé, et sa voix résonnait sans cesse dans les nombreux couloirs de l’habitation. Cela faisait plusieurs heure que Meme Doringhton- Grace - avait coucher son fils unique, rejoignant ensuite sa chambre et son époux afin de s’endormir a son tour. Mais alors que l’horloge affichait 23h53, un bruit sourd réveilla la jeune femme en sursaut. Qu’était-ce que ce bruit ? Poussant les couvertures elle se leva et se dirigea vers la chambre d’enfant afin de vérifier la sécurité de son fils. Qu’elle ne fut pas sa surprise lorsque poussant la porte elle aperçut William debout. Le petit garçon aux cheveux châtain et d’une dizaine d’année sursauta. Il se retourna précipitamment, ses prunelle d’un beau gris-vert briller d’intensité et trahissait une légère inquiétude. Sur le lit en de lui se trouvait une valise ouverte où était déposer quelque vêtement. Sa mère le regarda légèrement surprise et interrogative.
Grace – « Mais William qu’est-ce que tu fait ? » William – « Bin je prépare ma valise ! » affirma-t-il tout simplement comme si c’était évident. Grace – « Ta valise ? Mais pour aller où ? » William – « Bin à Salem . »
Le petit garçon n’avait rien dit quand deux jours auparavant une lettre de la prestigieuse Ecole de Magie Américaine était arrivé par hibou, son père ne lui transmettant pas son courrier et se contentant de le lire avec un certain air suffisant, mais il savait bien de quoi il s’agissait. Il avait en lui les capacités nécessaire a l’apprentissage de la magie et intégrerait bientôt l’école. Depuis de milieux de rêves avait germer dans l’esprit de William qui imaginait déjà sa vie là-bas auprès d’enfants de son âge. Depuis sa tendre enfance il n’en avait côtoyer que très peu, et la plupart était trop préoccuper par les bonne manière pour jouer avec lui. Mais a Salem ça serait différent il en était certain et il découvrirait enfin la définition du mot « amitié ». C’était pour cette raison qu’il était si enthousiasme et qu’il avait déjà préparé son départ sans savoir quand se passerait la rentrée. Meme Doringhton observait son fils et sentit son cœur se serrait sous la peine en entendant sa réponse. Elle adressa un sourire réconfortant a William qui ne comprit pas bien où était le problème.
Grace – « Mais William tu n’ira pas a Salem… » affirma-t-elle d’une voix désolé. William – « Quoi ? Mais pourtant j’ai vu la lettre et… » Grace – « Ton père n’a pas l’intention de t’y envoyer » l’interrompus-t-elle. William – « Quoi ? Mais Pourquoi ?!? » Grace – « Eh bien…. » commença-t-elle hésitante avant de reprendre avec un air presque hautain qui ne lui ressemblait pas et qui n’était qu’un masque. « Tu n’es pas sans savoir que tu n’es pas un garçon comme les autres William…. Que tu leurs aient supérieur…. Etre le fils du Ministre Américain entraine plein de responsabilité et tu te dois d’avoir un enseignement… »
William regardait sa mère avec des yeux brillant, sentant les larmes lui montait tellement la déception était grande. Il ne comprenait pas un traitre mots de se qu’elle racontait. Toucher par la peine de son fils, elle poussa un soupir et abandonna l’idée de parler comme son époux et de suivre ses idée. Elle se rapprocha de son fils et passa sa main dans ses cheveux pour les ébouriffer légèrement d’un geste tendre. Il lui adressa un sourire reconnaissant mais qui sonner faux. Elle s’assit alors sur le lit et tapota le sommier de la main pour que le garçonnet s’assoit a ses côtés. Ce qu’il fit.
Grace – « Ne t’inquiète pas mon chéri, tout se passera bien. Tu va avoir la chance de rester a la maison et tu aura un prof rien que pour toi. Tu verra je suis sûre que tu va trouver ça génial.
Il sourit a sa mère, voulant la tranquilliser et la rassuré, toucher qu’elle se soucie de son bien être. Pourtant son cœur était serré dans sa poitrine. Il refoulé une immense envie de pleuré mais déjà a cet âge il s’efforçait de se montré fort pour que son père soit fier de lui.. Il aurait aimer croire aux propos de sa mère mais tout ses rêve venait de s’effondrait en quelque seconde. A croire qu’il vivrait éternellement dans une prison dorée ou il aurait a jamais la solitude pour seul compagnie….
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:11
006. Pourquoi ne pourrait-je pas simplement être moi ?
William - « Il arrive bientôt ? » Grâce - « Oui »
Le silence régnait dans la pièce. Madame Doringhton était en train de faire du tricot pour s’occuper tandis que William lisait – ou plutôt était censé – un livre devant la cheminée. Son regard était fixer sur l’horloge. Il regardait la trotteuse avec attention, comme désireux de la faire avancer plus vite. Quelque seconde passèrent a peine avant qu’il ne reporte son attention sur sa mère.
William – « Il arrive bientôt ? » Grâce - « William ! » William - « Quoi ?! » Grâce - « Cela fait une vingtaine de fois que tu me pose la question » lui expliqua-t-elle d’une voie douce et un léger sourire amusé. William - « Oh…. » fit le garçon en réalisant son impatience. « Mais il arrive bientôt ? » reprit-il avec un air soucieux ne pouvant s’en empêcher.
Grâce eut un léger rire amusé avant d’ébouriffer les cheveux de son fils avec tendresse. C’est fou ce qu’il avait grandit. Elle avait l’impression que hier encore elle se lever en pleine nuit pour lui donner le sein mais à présent c’était un petit bonhomme d’une douzaine d’année déjà très intelligent pour son âge. Débordant d’imagination, il avait toujours le chic pour crée des histoires délirante et l’écriture semblait être sa plus grande passion. Sa mère était sa plus grande fan, toujours là pour le soutenir et certain qu’il deviendrait plus tard un brillant écrivant. D’ailleurs si William était aussi impatient a l’idée de l’arrivé prochaine de son père se n’était pas seulement dût au fait qu’il ne l’avait pas vu depuis plus de deux mois. En effet il avait un cadeau pour lui. Très bientôt ce serait l’anniversaire de Mr Doringhton et pour cet évènement le petit garçon lui avait écrit un histoire, certain qu’il serait fier de lui. Hors quand le ministre arriva tout ne se passa pas vraiment comme prévu….
Transplanant dans le hall d’entré, il grommela tandis que les serviteurs s’emparaient déjà de ses effets personnel. Entendant du bruit, William accourut vers lui, tenant dans ses mains son présent. Au vue du papier cadeau il était évident qu’il l’avait fait lui-même et non a l’aide de sort ou épaulé par sa mère. Le petit garçon tendit a son père le cadeau avec un air enthousiasme, les yeux pétillant de bonheur tandis que se dernier le regarder d’un air soupçonneux et assez froid.
Mr Doringhton – « Qu’est-ce que c’est qu’ça ? » William – « Un cadeau. Pour ton anniversaire. C’est moi qui l’ai fait. »
Malgré l’air distant du Ministre rien ne semblait entaché la bonne humeur de William qui semblait des plus fier de se qu’il avait fait. Mr Dorringhton défit le paquet et grimaça en apercevant un livre. Il le feuilleta avec vivacité, et le referma brutalement avant de tourner son regard vers sa femme qui se trouvait en retrait et qui les avaient rejoins. Il semblait mécontent et accusateur.
Mr Doringhton – « Toi bien sûr tu étais au courant ? »
Elle préféra se taire devant la colère de son époux, bien consciente que cela n’aurait fait que l’attisait et se contenta de baisser les yeux. William regarda son père et sa mère d’un air ébahie, ne comprenant pas se qui était en train de se passer.
Mr Doringhton – « William monte dans ta chambre » ordonna-t-il d’un air froid. William – « Quoi ?!? Mais… » Mr Doringhton – « Tu m’ a bien entendu. Monte dans ta chambre ! MAINTENANT ! »
William frissonna et déglutit avec difficulté devant la froideur et l’ordre de son père, sachant pertinemment qu’il risquait de se prendre une claque s’il n’obéissait pas. Adressant un regard suppliant a sa mère qui lui fit un léger sourire rassurant, il monta les escaliers laissant ses parents seul. Mais a peine eut-il rejoins sa chambre qu’a pas de loup, il rejoint la rambarde et mettant sa tête entre les barreaux il observa se qu’il se passait d’en haut.
Mr Doringhton – « De l’écriture ! De l’écriture ! Non mais tu rend compte ?!? De l’écriture !! Et puis quoi encore ? De la peinture ? De la musique ou encore du Théâtre ? Notre fils vient d’avoir douze ans il devrait commencer a s’intéresser aux femmes, aux sortilèges et à l’argent et non à l’écriture ! Grâce – « Oh James… »
Elle se rapprocha de lui afin de passer sa main dans ses cheveux afin de le tranquilliser mais il détourna la tête, cette caresse ne semblant pas avoir l’effet voulut contrairement aux dernière fois.
Grâce – « Je sais bien qu’avoir un héritier pour gouverner l’Amérique et important pour toi mais…. ne croit-tu pas que tu devrais le laisser faire ses propres choix ? Je veux dire…. Peut-être importe si William aime lire ou se battre il est peut-être d’avantage capable de chose que tu ne le pense… » Mr Doringhton – « Est-tu en train d’affirmer que je ne connais pas mon fils ? » Grâce – « Non non bien sûr que non. Seulement ce que j’veux dire c’est que…. » Mr Doringhton – « Je sais pertinemment ce que tu veux dire. Tu pense que je lui mène la vie trop dure. Eh bien moi je pense que c’est exactement l’inverse ! Je trouve qu’il a était beaucoup trop chouchouté jusqu'à présent. Trainant dans tes jupes du matin au soir…. Tu es train de faire de lui un faible ma chère mais moi je compte bien faire de lui un homme et un homme, un vrai , n’est pas sentimentale et il ne montre pas se qu’il ressent. Un homme un vrai n’écrit pas… »
Sur ce, il lança avec violence le cadeau de William dans la cheminée. En haut, le petit garçon avait tout entendu et des larmes silencieuses coulèrent sur ses joues a cause du chagrin. Lui qui avait seulement voulu lui faire plaisir…. Il s’empressa de rejoindre son lit, et se recroquevilla sur le côté, continuant de pleuré…
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:14
OO7. Il n'y a pas qu'un roi en moi
William - « Elle se fiche totalement de moi ! »
William poussa un soupir et se laissa retomber sur le canapé en velours du salon de ses appartements. La pièce était l’une des plus petite du château mais elle aurait abrité sans problème une famille de trois enfants.
Kivar - « Mais qu’est-ce que tu raconte, bien sur que non. Cassandra est folle de toi . Comme toutes les autres d'ailleurs. C’est évident. Douterai-tu de tes charmes ? »
Le jeune garçon qui venait d’ouvrir la bouche n’était autre que le meilleur ami de William. Il avait les cheveux d’un noir de jais et semblait moins espiègle que son intelocuteur et d’avantage distant et sérieux bien que sa façon de se tenir trahissait le fait qu’il devait être autant déluré que son ami.
William - « Non bien sûr que non je sais qu’aucune fille ne peut me résister mais… j’ché pas j’ai comme l’impression qu’elle ne m’aime pas pour ce que je suis réellement. Qu’elle ne voit qu’en moi que le fils du Ministre.
Kivar eut un geste de recul et regarda William avec un air suspect comme s’il s’attendait a ce que son meilleur ami sautte soudain sur place et je mette a crier « Je plaisante ». Mais William resta des plus sérieux et cela inquièta légèrement l’autre garçon.
Kivar - « T’es encore aller fouiller dans la bibliothèque de ta mère c’est ça ? D’où tu sort des idioties pareille ? On s’en fiche de savoir pourquoi les filles t’apprécient ! L’essentielle qu’il y en a toujours une coller a tes lèvres non ? William – « Oui. J’pense que oui… »
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:21
OO8. Hacuna Matata.
Willara - « William !!!!!!!!!!! »
Willara tambourina de plus belle a la porte de la salle de bain, tandis que l’eau continue de couler et qu’une voix masculine entrain de chanter se faisait entendre. La jeune fille au long cheveux brun onduler, trépigna des pieds d’énervement et d’impatience, bien décidé a se faire entendre.
Willara - « William sort d’ici tout de suite où je défonce la porte a coup de sortilège !!! WILLIAM !!!!!! »
Cela faisait a peu près une demi heure que le jeune homme se trouvait sous la douche, et il ne semblait pas s’inquiéter le moins du monde du vacarme qui se profiler dans le couloir. Insouciant et un brin égoïste, il ne pressait pas plus que ça et la jeune fille commencer réellement a s’impatienter. Elle leva sa baguette, prête a mettre a exécution ses menace. C’est a ce moment précis que la porte de la salle de bain s’ouvrit et que William fit son apparition avec la bouche en cœur.
William – « Voilà j’ai déjà finie » fit-il d’un ton jovial.
Si elle avait pût Willara l’aurait assassiner sur place.
Willara – « Déjà ??? Ça fait une heure que t’es là-dedans et tu ose me dire DEJA ??? Je vais te tuer. »
Elle s’élança sur lui, prêt a l’étrangler mais au même moment Ariane Slayers passa dans le couloir .
Ariane – « Un peu de calme les enfants,NymphadoraOrphée dorme encore. »
Willara s’arrêta dans son élan et poussa un soupir. William tourna la tête vers le jeune femme et eut un léger sourire. Meme Slayers était celle envers qui il se sentait le plus proche. Cela faisait a peine trois jours qu’il était arrivé a la demeure Slayers mais déjà il avait comme l’impression qu’un lien particulier les unissez. Ariane était une femme élégante et raffiner qui semblait pleine de noblesse tout en sachant faire preuve d’une certaine douceur. Elle avait immédiatement inspiré beaucoup de respect a William qui n’avait pas eut de doute sur ses compétences de mère et d’épouse. C’était elle qui s’était en premier adresser en lui quand il avait franchit le seuil du manoir Slayers. Ce jour là il était des plus anxieux malgré son sourire jovial et son air tranquille. Normal après tout. Qui ne serait-pas angoissé a l’idée de se retrouver dans une famille inconnu suite au fait qu’on est attentait a votre vie ? Brillante idée qu’avait eut là son père. D’autant plus que William avait à présent droit de se rendre dans un lieu qui lui avait toujours était interdit : Poudlard ! En effet Mr Doringhton trouvait que l’école de la magie Anglaise était l’endroit le plus sûr du monde. Pourquoi Poudlard et pas Salem ? Tout simplement parce que William aurait dût y aller et cela aurait rendu la tâche de ses détraqueur moins compliquer.
Willara – « Maman il semblerait que William prenne un malin plaisir a me pourrir la vie ! » William – « Moi ? Non jamais » dit-il avec un large sourire hypocrite et un air amusé qui ne fit qu’aggraver la situation. « Franchement je ne vois pas où est le problème. » Willara – « Tu ne vois pas où est le problème ??? Tu ne vois pas où le … Rhàààààà !!! »
Willara trépigna des pieds tandis que Will afficher toujours cet air si insolent et amusé qui agaçait tant. Ariane, elle gardait toujours son calme .
Ariane – « Willara chérie s’énervait n’a jamais résolut de problème. Quand a toi William je pense que tu va devoir apprendre a partager d’avantage si veux éviter d’être étouffer durant ton sommeil » dit-elle avec un sourire complice.
William s’apprêtait a répondre quelque chose quand une nouvelle personne passa dans le couloirs. Le jeune homme frissonna et son expression changea, son sourire disparaissant de son visage. Il semblait tout a fait sérieux tout a coup et il déglutit avec difficulté quand Mr Slayers posa son regard sur lui. Sans le vouloir vraiment il baissa les yeux. Par respect. William était comme courbé par la majesté de Thomas, cet homme l’impressionnant plus qu’il ne l’aurait souhaité. C’était ainsi depuis qu’il était arrivé. Le jeune Doringhton était incapable de soutenir son regard et en présence de Thomas il se sentait misérable et faible comme un simple lionceau devant le roi de la savane. L’Auror avait un charisme sans pareil et William aurait préféré enduré mille tourment que de s’attiré ses foudre. Quelque peu effrayait, il redouter ses reproches mais l’homme se contenta de passer. Mr Slayers eut un léger sourire mutin au coin des lèvres, amusé que son protéger ait si peur de lui alors qu’en fait il trouvait ses frasque un brin divertissante. William ne vit pas se sourire. Cela faisait a peine trois jours qu’il était chez les Slayers mais déjà il s’y sentait comme chez lui…..
Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Ven 16 Oct - 20:32
OO9. Vous ! Oui, vous !
PSEUDONYME, PRENOM : PsycotSlayers - Aurore AGE : 2122 ans COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Bonne question * siffle * LE MOT DE LA FIN ? non c'est pas moi j'étais au cinéma. J'ai pas du tout oublier de reposté ma fiche avec le changements entre pp1 et pp2
Avril L. Adler
ETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Ven 16 Oct - 23:16
La fille qui arrivait à inventer des déformation de page '-' tu es revalidée XD