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 I'll be your mirror (pv)

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PROFIL & INFORMATIONS









Petey Sterling McEnroe

Petey Sterling McEnroe
SERDAIGLE. ► septième année.

► MESSAGES : 19
I'll be your mirror (pv) #Dim 4 Déc - 9:21


Heureusement qu’il était solide comme un roc enrobé d’adamantium., sinon il n’aurait jamais survécu à cette magnifique vision. Ne de ces visions qui changeait absolument tout. Une vision façon bonne fée qui débarque dans une vie banale pour la transformé en super 8 version Disneyland. Il se croirait maintenant à Space Mountain. Tête retournée et grand sourire aux lèvres, pour une life time de bonheur en perspective sous forme de loopings, de virages à 280 degrés et d’adrénaline. Et quand l’on est un adrénaline Junky comme Petey, autant vous dire que cela vous portez sur un petit nuage. En espérant que celui-ci n’aille pas se cogner au mont blanc, il ne lui restait plus qu’à augmenter la force du vent pour provoquer sa chance. Parce que c’était connu Petey McEnroe n’était pas un grand patient et il avait toujours cru que la vie n’était faite que des opportunités dont on s’en donnait les moyens. Alors le jeune homme tourna des talons et il se mit à courir vers sa vision de bonheur, vers son futur ou plutôt sa future, parce que cette femme-là, il le savait, était la femme de sa vie.
Non pas qu’il ait été envouté par son incroyable beauté. La blondinette aurait pu être la pire des morues qu’il serait tout de même à ses courses à cet instant précis. De toute manière il ne l’avait pas vraiment vu, il l’avait tout simplement frôlé dans un couloir sans importance de Poudlard. Mais il y avait juste un quelque chose d’inexplicable chez elle, et ce quelque chose avait fait en sorte qu’il en était maintenant fou d’amour. Stupide Petey ? On aurait pu croire qu’un Serdaigle serait moins extravagant. Et pourtant ce n’était jamais le cas lorsque l’on parlait de McEnroe. Stupide Petey arriva au niveau de sa Belle, parce que oui il se rendait compte maintenant qu’en plus d’être la femme de sa vie, elle était tout simplement sublime.
Un grand sourire de bêta aux lèvres, le jeune homme, qui n’avait jamais était aussi entreprenant qu’à cet instant précis, marchait à reculons à côté de la jeune femme, parce que comme ça, il pouvait admirait son beau visage. Mais plus que les traits de son beau minois, c’était ses yeux qui l’hypnotisèrent. Il ne dit rien au début, se contentant de l’aimer sans limites et surtout avec folie, car tout cela dépassait largement l’entendement. Puis son sourire se fit plus grand, alors que le jeune homme parlait, comme à son habitude, avec une sincérité maladive et déplacé.

« Dis, tu veux m’épouser ? »









Artemisia E. Visconti

Artemisia E. Visconti
SERDAIGLE. ► sixième année.

► MESSAGES : 49
I'll be your mirror (pv) #Dim 4 Déc - 12:24


Il y avait une odeur plutôt agréable lorsque le blond lui était presque rentré dedans, mais Artemisia n'avait pas fait plus gaffe que ça. Aujourd'hui, ses sentiments étaient tous tournés vers Gabriele, et pour une fois, c'était de la haine qu'elle ressentait envers lui. Elle le détestait d'être un Gherardesca... En réalité, elle ne savait pas vraiment pourquoi tant de haine l'habitait ce jour là. Et donc, en marchant dans l'un des nombreux couloirs du deuxième étage, la jolie Visconti ne savait où donner de la tête. Une moue ennuyée barrait son visage, alors qu'elle suivait les autres personnes de sa promotion pour se rendre à son cours. Quel cours d'ailleurs ? Histoire peut-être... Ou était-ce métamorphose ? Peut-être même que c'était le premier jour des vacances de Noël.
Alors qu'elle allait s'arrêter d'un coup au milieu du couloir pour pouvoir reprendre un peu d'ordre dans son esprit, le parfum agréable sentit plutôt a refait son retour. Sauf que voilà, cette fois le blond ne la pousse pas, cette fois il marche à ses côtés, et dans une position plutôt étrange... On ne marche pas à l'envers en Italie, voyez-vous. Alors Artemisia fronce un peu ses sourcils, étonnée, mais elle ne peut s'empêcher de dévisager les deux océans bleus qui la regarde.. Il avait aussi ce genre de sourire qui fait craquer, celui avec des petites fossettes. Alors la Sang-Pur ne dit rien, se contente de sourire simplement, amusée. Finalement il parle, pour dire quelque chose de totalement impensable pour la jeune femme.

« Dis, tu veux m’épouser ? »

La Serdaigle s'arrête net sur le coup, observe le blond comme s'il venait de lui raconter la blague la plus idiote du monde, puis elle ne peut retenir un petit rire. Non, ce n'est pas sérieux, ça doit être un jeu. Et pourtant, il y a une lueur qui brille dans les yeux du jeune homme, qui donne envie de rêver. Artemisia se surprend à l'observer longuement, sa tête légèrement penchée sur le côté alors qu'un sourire dessine ses lèvres, finalement. De plus, son visage lui est familier... Mais elle ne saurait dire d'où il vient. Pensant entrer dans un jeu, elle répond finalement, sans se rendre compte que Gabriele était sortit de sa tête depuis qu'elle avait croisé le regard bleu.

« Ca serait avec joie de t'épouser... homme de ma vie ? » demande-t-elle sur un petit rire, car après tout on se marie sans connaître le prénom de l'un ou l'autre, c'est plutôt amusant.

Et finalement elle se souvient de l'avoir croisé quelque part dans Poudlard... Elle a l'image de la tête blonde et d'une chevelure flamboyante... Phoenix, bien sûr. Ca coule de source, c'est l'une de ses blagues. Artemisia se laisse alors aller contre le mur, son dos contre les dalles froides et son regard vert attrapant l'océan de ceux du jeune homme. Elle le regarde, le dévisage longuement, mais se retient tout juste de lui demander si c'est une blague. Après tout, on peut bien s'amuser un peu, non ? Ca lui libèrera certainement l'esprit.









Petey Sterling McEnroe

Petey Sterling McEnroe
SERDAIGLE. ► septième année.

► MESSAGES : 19
I'll be your mirror (pv) #Dim 4 Déc - 13:41


Alors qu’il reste là à la dévorer du regard, avec ce grand sourire d’abruti taggé sur le visage, Petey attend sa réponse avec patience. Et pour cause, il n’est pas pressé de se faire traiter de fou furieux, et le simple fait de se tenir à ses côtés lui suffit à nourrir ce trop-plein d’amour qui l’inonde depuis qu’il a frôlé la femme de sa vie.

« Ca serait avec joie de t'épouser... homme de ma vie ? »

Son sourire se fait encore plus grand, plus sincère, et plus joyeux, si c’était encore possible bien entendu. Dans sa poitrine son cœur tambourine sur un air de « Hello, I love you » des Doors. Bam bam. « Hello ». Le jeune homme reste planté comme un clou devant la jeune femme qui s’est adossé au mur. « I love you ». Ses yeux se perdent dans le regard océan de la jeune femme. Bam bam. Il rit légèrement, et quelque part en lui, il sait qu’il vit le plus beau moment dans la vie d’un homme. « Won’t you tell me your name ? ». Le moment où on trouve sa moitié, et où l’on sait qu’on ne la laissera jamais partir. Bam bam.

« Petey, mais je vais voir pour changer ça en leplusheureuxdeshommes. Et quel est donc le prénom de ma magnifique future femme ? »

Le serdaigle attend toujours avec ce sourire d’imbécile qu’il aurait presque l’impression d’avoir volé à Phoenix lemaitreensouriredabruti. Normalement Petey n’est pas comme ça. Il n’est pas aussi spontané et aux allures irréfléchis. Mais la vérité c’est qu’ici tout est réfléchi, il va épouser cette fille et ils vont être le couple le plus heureux du monde, tout simplement parce qu’ils sont fait pour être ensemble et il n’y avait aucun doute à avoir là-dessus. Et parce que Petey n’est pas un con romantique, il se sent obliger de préciser, parce qu’il le sait bien sa Belle n’est pas sérieuse là. Qui aurait pu l’être, si ce n’était lui ?

« Tu sais, je suis sérieux hein là, je compte bien t’épouser. »

Son sourire s’estompe un peu, mais ne perd rien de son charme. Le jeune homme plante ses mains dans ses poches sans la perdre une seule fois du regard. Et tout aussi légèrement qu’il l’avait demandé en mariage et qu’il avait réitéré cette demande, le blond change de sujet, passant du coq à l’âne, mais toujours avec son amour à bout de bras.

« Je t’avais jamais vu avant, sinon je t'aurais demandé en mariage bien avant, t’es nouvelle ? »









Artemisia E. Visconti

Artemisia E. Visconti
SERDAIGLE. ► sixième année.

► MESSAGES : 49
I'll be your mirror (pv) #Dim 4 Déc - 16:35


    Le sourire du jeune homme la laisse perplexe, elle ne comprend pas. Au sein de sa famille, elle n'en a jamais vu des aussi resplendissants, même pas Valente pourtant elle est avec lui jour après jour. Son sourire à elle, il est facile, elle aime sourire en faite. Mais les personnes qui l'entourent ne semblent pas dire la même chose, sauf Phoenix bien sûr, et Lui maintenant. Le blond qui est face à lui, dont le coeur semble être une explosion de joie, et pourtant Artemisia ne s'en doute même pas une seule seconde. Elle l'a vite reconnu, l'ami a Phoenix, alors elle ne sait pas. Hello. Et elle le regarde longuement, son sourire amusé ne la quittant pas, alors que celui de l'inconnu est devenu encore plus joyeux si possible. I love you. Elle ne comprend pas vraiment pourquoi ce regard bleu la kidnappe de cette manière, elle aimerait fuir, mais rester ici est plus séduisant. Let me jump in your game.

    « Petey, mais je vais voir pour changer ça en leplusheureuxdeshommes. Et quel est donc le prénom de ma magnifique future femme ? »
    « Artemisia. Mais tu peux m’appeler laplusheureusedesfemmes. »

    Il ressemble à Phoenix... Son sourire qui prend tout son visage, comme s'il avait décidé de le manger. La jolie Serdaigle finit par rire un peu en l'observant, il sait pourquoi il est comme ça, pourquoi il vient de lui préciser qu'il était sérieux. C'est juste qu'elle est semi-vélane et les gens qui la rencontrent sont charmer par ça, par sa beauté qui est fausse. Savent-ils seulement qu'elle peut se transformer en véritable harpie ? Sa beauté déformée par les traits de la rage ? Alors cette promesse de mariage ne vient que de là, Artemisia commence à peine à réaliser, si ça se trouve il n'y a même pas de Gryffondor derrière l'histoire. Comme perturbée par tout ça, elle se redresse, quittant les dalles froides de son dos, mais ses longs doigts toujours délicatement posés contre.

    « Tu me demande en mariage parce que je suis une Vélane, Petey. »

    Oui, elle préfère le mettre tout de suite au courant, peut-être qu'il allait se ressassir un peu ? Oh sans pour autant le voir partir, ça serait tellement regrettable... En faite, elle ne sait plus quoi faire, elle hésite... Mais c'est lui qui la sort de l'embarras en lui posant une question.

    « Je t’avais jamais vu avant, sinon je t'aurais demandé en mariage bien avant, t’es nouvelle ? »
    « Je viens d'Italie, je suis arrivée cette année et... je ne sors pas beaucoup de la tour des Aigles. »










Petey Sterling McEnroe

Petey Sterling McEnroe
SERDAIGLE. ► septième année.

► MESSAGES : 19
I'll be your mirror (pv) #Mar 6 Déc - 12:50


« Artemisia. Mais tu peux m’appeler laplusheureusedesfemmes. »

Petey rit doucement à cette réplique, rire à moitié étouffé par la nouvelle de son prénom. Artemisia, c’était plutôt joli bien qu’original d’un point de vue purement anglais. Mais le serdaigle se dit que cela ne devait être que le début de leurs nombreux points communs vu que son propre prénom n’était pas spécialement répandu, d’un point de vue purement anglais comme des autres d’ailleurs. Quoiqu’il en soit le jeune homme, toujours son petit sourire aux lèvres, restait planté là, devant l’italienne, à lui répéter qu’il la voulait pour épouse. Il ne perdit rien de cette allure alors qu’il voyait bien qu’Artemisia allait lui répondre quelques mots qui, il s’en doutait, ne lui ferait surement pas spécialement plaisir.

« Tu me demande en mariage parce que je suis une Vélane, Petey. »

Le jeune homme ne perdit rien de son sourire malgré la triste réponse de la Serdaigle. A vrai dire celui-ci se fit imperceptiblement plus grand lorsqu’il comprit que la femme de sa vie était un canon, ce dont il ne s’était pas spécialement rendu compte. Artemisia s’était légèrement redressée de sur le mur, et alors qu’elle faisait cela, Petey, lui, prenait place à côté d’elle, l’air de rien, plus détendu que jamais. Parce qu’il ne doutait pas le moins du monde de tout l’amour qu’il avait pour elle, et parce qu’il savait bien que cela n’avait rien à faire avec une quelconque illusion destinée aux autres de son genre.

« Ah ? Tu es vélane ? C’est vrai que tu es belle, j’aurais dû m’en douter. Mais non laplusheureusedesfemmes, ce n’est certainement pas pour ton joli minois que je suis tombé pour toi. Je n’ai eu qu’à frôler ta main, et, sans même avoir vu ton visage, j’ai su. »

Il aimait bien faire de longue phrase un peu stylée du genre… Il tenait ça de sa mère qui était lou-foque et qui vivait à moitié au moyen âge avec les princesses, les chevaliers et tout le reste… Ques-tion d’éducation, en bref, on le pardonnait facilement.
Petey tourna la tête vers la femme de sa vie. Il aurait voulu tout savoir d’elle tout de suite. Si il lui avait été possible de planter une tente dans le couloir, juste ici, et d’allumer un feu avec brochettes au barbecue and co, il aurait vécu sur ses dalles jusqu’à tout avoir entendu de la vie de sa Belle. Au lieu de ça, il allait juste commencer par boire ses paroles version bierraubeurre.

« Je viens d'Italie, je suis arrivée cette année et... je ne sors pas beaucoup de la tour des Aigles. »

« Italienne et serdaigle, c’est une belle combinaison. Tu viens d’où en Italie ? Je connais un peu, je suis allé à Florence l’an dernier, ma mère voulait voir l’Enchanteresse. »

Enchanteresse, inexistante, qu’elle avait cherché durant toute les vacances tandis que Petey et son frère avait visité la ville tranquillement.









Artemisia E. Visconti

Artemisia E. Visconti
SERDAIGLE. ► sixième année.

► MESSAGES : 49
I'll be your mirror (pv) #Lun 16 Jan - 21:37


    Etrangement, ses yeux n'arrivent pas à se détacher de ceux du jeune homme, comme si la lueur océan était entrain de changer beaucoup dans sa vie. Mais non, c'est juste faux, c'est juste son sourire qui lui fait penser ça. Alors lorsque Petey se décale à ses côtés, pour se mettre contre le mur, Artemisia ne peut retenir un léger mouvement de recule, comme pour ne pas trop se laisser tenter par le diable. Finalement elle se mordille la lèvre, baisse la tête, elle voit la connerie énorme de Phoenix juste derrière le blond.
    Au bout du compte, c'est avec un léger sourire qu'elle redresse son visage, et elle ne peut s'empêcher de penser que son comportement puéril la fait penser à une adolescente de treize ans. Si son père la voyait, mon dieu... Si quiconque la voyait en faite... Rien que d'y penser, elle soupire et son coeur se serre, comment ne pas faire faux bond à sa famille lorsqu'on est en si charmante compagnie ?

    « Ah ? Tu es vélane ? C’est vrai que tu es belle, j’aurais dû m’en douter. Mais non laplusheureusedesfemmes, ce n’est certainement pas pour ton joli minois que je suis tombé pour toi. Je n’ai eu qu’à frôler ta main, et, sans même avoir vu ton visage, j’ai su. »

    C'est un charme un peu dingue et différent qu'elle perçoit lorsqu'elle regarde Petey, lorsque ses yeux verts rencontrent les siens océans, elle ne sait plus trop quoi répondre. Et ce qu'il dit la touche, car généralement on s'arrête à son physique... Elle est vélane, vous savez, alors les gens ne s'arrête qu'à son apparence... Et pourtant, il ne semble pas réagir pareil qu'elle. A quelques jours de la rentrée, la voilà qui rencontre cet inconnu, et pourtant, au coup d'oeil qu'elle jette, elle remarque qu'il est dans la même maison qu'elle... Il faudrait qu'elle pense à sortir un peu plus de sa tour d'ivoire. Finalement elle rit un peu, la jolie Artemisia, et fini par hausser les épaules.

    « Tu es sérieux ? » demande-t-elle dans un souffle, parce qu'elle ne peut s'empêcher de douter un peu. « J'ai un peu de mal à te croire quand même, on ne se connait même pas... Tu demande souvent les femmes que tu viens à peine de rencontrer en mariage ? »
    « Italienne et serdaigle, c’est une belle combinaison. Tu viens d’où en Italie ? Je connais un peu, je suis allé à Florence l’an dernier, ma mère voulait voir l’Enchanteresse. »
    « L'Incantevole... Je connais cette histoire, mon père me l'avait raconté lorsque j'étais enfant, et ... Et j'ai toujours vu ma mère un peu comme l'Incantevole. »

    Artemisia ne peut s'empêcher de rire un peu, elle-même fascinée par la beauté vélane de sa mère. Elle se sent comme une toute petite fille, beaucoup plus légère, et elle ne se prend pas la tête pour des futilités... Il semblerait que Petey soit un bon moyen pour s’échapper. Alors pourquoi pas, après tout ? Et comme la chanson le dit : let me jump in your game. Ni une, ni deux, la vélane se rapproche à nouveau du Serdaigle, et montre sa fine main aux ongles vernies couleur lilas. Un sourire un peu amusé se dessine sur ses lèvres, joueuse et mutine, elle montre toujours sa main.

    « Si tu me demandes en mariage, Petey, il me faut une bague, non ? »










Petey Sterling McEnroe

Petey Sterling McEnroe
SERDAIGLE. ► septième année.

► MESSAGES : 19
I'll be your mirror (pv) #Dim 22 Jan - 11:47


« Tu es sérieux ? »

Il sourit alors que la femme de sa vie ne le croit pas le moins du monde. C’était vrai que cela devait être plus que bizarre, de se faire demander en mariage par un inconnu. Pourtant il était un inconnu qui l’aimait plus que tout. Il l’aimait même plus que le quidditch, et ce n’était pas rien venant de lui. Il la regarde d’un air aimant, parce que cette réaction ne la faisait que plus parfaite à ses yeux. Chaque mot prononcé, chaque émotion passant à travers son regard, depuis l’hésitation à l’amusement, ne faisait que renforcer un amour absurde mais tellement réel.

« J'ai un peu de mal à te croire quand même, on ne se connait même pas... Tu demande souvent les femmes que tu viens à peine de rencontrer en mariage ? »

« Pourquoi c’est si difficile à croire ? Tu ne crois pas aux coups de foudre ? Ou alors à la destinée ? A cupidon et tout ce genre de théories ? Certes, cela peut n’être que des mythes, j’ai du mal à imaginer un angelot à couche culottes tirer des flèches à tout va, mais les mythes ont toujours une base de réel. Alors crois-moi quand je dis que la foudre m’a touché, que ca devait être ainsi, et que Cupidon m’a percé de sa flèche. Tu ne le sens ? »

Parce que lui le sentait jusqu’au bout de ses doigts. Des petits picotis d’amour qui lui transperçaient le corps et le cœur. Son rythme cardiaque était plus rapide depuis qu’il lui parlait, signe d’amour, son cœur s’affolait en une mécanique perturbée, et il ratait souvent un battement, à chaque fois que son regard rencontrait celui de l’italienne. Il lui avait dit cela son éternel sourire d’idiot heureux aux lèvres. Parce que c’était le plus beau sentiment du monde. Il était dans son royaume de nuage, et il sentait le coton de l’amour sur ses joues.
Puis il l’écoute parlait de l’enchanteresse, et il sourit de plus belle, imbécile d’amour.

« L'Incantevole... Je connais cette histoire, mon père me l'avait raconté lorsque j'étais enfant, et ... Et j'ai toujours vu ma mère un peu comme l'Incantevole. »
« Moi qui est passé la semaine à dire à ma mère qu’elle n’existait pas, si ca se trouve j’avais tort alors. Ma mère sera contente que je lui dise que ma fiancée est la fille de l’enchanteresse. Comment tu dis ? Incativoilé ? »

Parce que c’était vrai, il avait passé une bonne semaine à rappeler à sa mère que cela ne servait à rien de chercher un être qui n’existait. Esprit cartésien oblige, Petey aurait préféré perdre son temps à des choses plus touristiques. Au lieu de cela ils avaient passé leur premières vacances à errer dans tout Florence. Le point positif était qu’il en connaissait maintenant parfaitement les rues. Et sa mère avait été heureuse pour la première fois depuis longtemps. Son sourire était tellement plus merveilleux en plein soleil que dans une cave étroite. Et alors qu’il repense à tout ca, partant direction les rêves éveillés, sa belle le ramène sur terre de la plus magnifique manière qu’il soit.

« Si tu me demandes en mariage, Petey, il me faut une bague, non ? »
« Oh mais tu as raison ! »

Qu’il pouvait être bête ! Petey se retrouve très vite le nez dans son sac, à chercher un quelque chose en forme de bague. Il y trouve plutôt une plume, prise sur un ange comme il aimait se dire, et il pointe sa baguette dessus. La plume se réduit et prend une forme arrondie, une tige se dessine et s’arrondie pour former une bague. Un solitaire, dont le diamant est un bouton d’or.
Le jeune met bientôt un genou à terre et lève la tête vers son italienne d’âme sœur. Un sourire aux lèvres il commence sa déclaration folle, tandis que les élèves s’arrêtent autour d’eux, ébahis de voir ce qu’il ressemblait, et ce qui était bel et bien, une demande en mariage en bonne et due forme.

« Artemisia, femmelaplusheureusedumonde, je ne te connais pas, tu ne me connais pas, mais je te demande aujourd’hui en mariage. Parce que j’aime tout en toi, depuis ton sourire qui en fait fleurir un sur mes lèvres, à ton regard qui en dit long sur toi, en passant par ton accent chantant. Parce que tu n’y crois pas, et que je suis fou d’y croire. Parce que je sais que tu es mon âme sœur, et que je le lis sur ton visage. Tu es la femme que j’attendais et que je savais arriver. Je sais que tout les deux on sera l’homme et la femme les plus heureux du monde, si seulement nous laissez être ce que nous sommes destinés à être : ensemble. I love you and you should jump in this game. Et de toute manière, si tu ne me dis pas oui maintenant, tu me le diras plus tard, parce qu’on est fait pour être ensemble. Si tu veux du temps je t’en donnerais. Une semaine, un mois, un an, dix ans, toute une vie, Je peux attendre. Mais ce qui est sur, c’est qu’on est fait l’un pour l’autre. »









Artemisia E. Visconti

Artemisia E. Visconti
SERDAIGLE. ► sixième année.

► MESSAGES : 49
I'll be your mirror (pv) #Jeu 26 Jan - 18:51


    « Pourquoi c’est si difficile à croire ? Tu ne crois pas aux coups de foudre ? Ou alors à la destinée ? A cupidon et tout ce genre de théories ? Certes, cela peut n’être que des mythes, j’ai du mal à imaginer un angelot à couche culottes tirer des flèches à tout va, mais les mythes ont toujours une base de réel. Alors crois-moi quand je dis que la foudre m’a touché, que ca devait être ainsi, et que Cupidon m’a percé de sa flèche. Tu ne le sens ? »

    Effectivement, Artemisia ne croyait pas à toute ces choses, à la destinée surtout. Lorsqu'on a une famille comme celle des Visconti, dont le seul but est de se battre sans relâche contre les Della Gherardesca, on sait que son destin est déjà tout tracé. Finir seul, soit mort, soit vainqueur. Mais il n'y a pas de place à l'amour dans tout ça, pas de place au coup de foudre... Cependant, la vision du Cupidon de Petey lui arrache un sourire, alors qu'elle est toujours contre son mur, comme une défense. Elle a presque envie de lui répondre que oui, il y avait sans doute un Cupidon au-dessus d'eux, sinon elle serait déjà partie depuis bien longtemps et aurait abandonné ce jeune homme aux idées étranges. Sauf que voilà, elle n'a même pas envie de jouer, de faire comme d'habitude, celle qui séduit et qui s'enfuit. Cette fois, elle a envie de se laisser séduire, et même si c'est pour qu'il finisse par s'enfuir, elle est prête à prendre le risque. Pour répondre à sa question, elle hoche doucement la tête, histoire d’acquise. Parce que oui, elle sent bien qu'il y a quelque chose, même si elle ne saurait y donner un nom.

    « Moi qui est passé la semaine à dire à ma mère qu’elle n’existait pas, si ca se trouve j’avais tort alors. Ma mère sera contente que je lui dise que ma fiancée est la fille de l’enchanteresse. Comment tu dis ? Incativoilé ? »
    « Incantevole. » le reprend-t-elle aussitôt, dans un petit rire en l'entendant. C'est tellement adorable dit comme ça. « Ta mère a vraiment l'air charmante, surtout si elle aime l'Italie. »

    Et ensuite elle lui parle d'une bague, et Petey semble réagir aussitôt et commence à fouiller dans son sac. Intrigué, elle lâche enfin son mur pour s'approcher un peu de lui, curieuse comme pas deux, et son joli nez se fronçant un peu lorsqu'elle le voit chercher encore un peu. Et enfin, il en tire une plume et l'Italienne l'observe tranquillement avant de voir la plume prendre une forme arrondie pour finir en bague de fiançailles, magnifique. Et sans s'en rendre compte, le coeur d'Artemisia s'emballe un peu, réellement touché, et sachant aussi qu'un mariage arrangé risque certainement de bientôt tombé sur elle. La demoiselle se retient de soupirer à cette pensée et reporte son attention sur Petey qui semble tenir son rôle à coeur, car le voilà qui pose déjà un genoux au sol.

    « Artemisia, femmelaplusheureusedumonde, je ne te connais pas, tu ne me connais pas, mais je te demande aujourd’hui en mariage. Parce que j’aime tout en toi, depuis ton sourire qui en fait fleurir un sur mes lèvres, à ton regard qui en dit long sur toi, en passant par ton accent chantant. Parce que tu n’y crois pas, et que je suis fou d’y croire. » Un léger sourire se dessine sur les lèvres d'Artemisia, touché par cette déclaration, certainement plus que de raison. « Parce que je sais que tu es mon âme sœur, et que je le lis sur ton visage. Tu es la femme que j’attendais et que je savais arriver. Je sais que tout les deux on sera l’homme et la femme les plus heureux du monde, si seulement nous laissez être ce que nous sommes destinés à être : ensemble. I love you and you should jump in this game. » Et là son coeur manque un battement, étrangement, c'est cette musique qui traine dans sa tête depuis qu'il l'a rencontré, et lui... il la chante. « Et de toute manière, si tu ne me dis pas oui maintenant, tu me le diras plus tard, parce qu’on est fait pour être ensemble. Si tu veux du temps je t’en donnerais. Une semaine, un mois, un an, dix ans, toute une vie, Je peux attendre. Mais ce qui est sur, c’est qu’on est fait l’un pour l’autre. »

    Alors elle tend sa main, un peu comme dans un rêve, ses yeux verts ne pouvant se détacher de ceux du jeune homme, et lorsqu'elle se mordit la lèvre, c'est pour retenir sa folle réponse... Elle est à deux doigts d'accepter, sa main vient d'ailleurs de se glisser dans celle de Petey, il la fait rêver, la fait voyager, pire que n'importe quelle autre personne, et c'est ça qui est entrain de la charmer. Oui, elle se fait avoir bêtement, et elle n'a pas peur, elle se laisse même tenter. Alors que ses doigts se serrent doucement sur cette main, et qu'un frisson se déclenche dans ses doigts, Artemisia murmure doucement :

    « J'accepte... Maintenant, Petey, je te dis oui. »

    Mais que fait cette jolie Visconti, perdue dans des yeux bleus et pensant que c'est dans un conte qu'elle se trouve ?










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