|
|
| PROFIL & INFORMATIONS |
---|
| |
Nuttah R. LawsonGRYFFONDOR. ► septième année.
► MESSAGES : 56 Lun 5 Sep - 18:57 |
| |
| && Sidney Lawson, dit « Nobody », tente de mettre en application le cours fraîchement vu dont il sort à peine. Cours de métamorphose avancée –vu sa filière, on n’en doute pas. Donc qui dit métamorphose avec option espionnage et infiltration, dit surtout jouer au caméléon. Se faufilant sans bruit derrière une plante, le jeune homme pointe sa baguette vers lui, et avec une formule prononcé, se voit prendre la couleur de la plante au point de devenir invisible au regard des autres. Pour tester le sortilège, il n’hésite pas à se faufiler jusqu’au mur blanc et son corps s’adapte automatiquement à la couleur, il s’amuse et passe entre les différents bâtiments, à peine visible pour un très bon œil. Aussi rapide qu’un fauve, Sid s’élance jusqu’à sa cambuse.
C’est un peu comme s’il a des ailes mais en mieux, et « Nobody » se retrouve devant la porte de son chez soi -misérable comme tout mais quand on est orphelin on prend tout. Et lorsque la porte s’ouvre, le jeune Lawson peut voit un mouvement léger dans le coin de son appartement. Silencieusement, et intrigué, il observe l’endroit et de toute manière c’est trop évident. La lourde chevelure noire derrière le fauteuil, c’est simplement Alejandra, son amie d’enfance, ayant partagé pendant presque la moitié de sa vie son cœur et ses pensées. Se rappelant qu’il est encore invisible, Sidney tire la baguette de sa poche avant de refermer la porte derrière lui.
« Finite Incantatem. »
Lorsqu’il réapparait enfin, le sortilège de caméléon ayant disparu, Sidney s’approche à grand pas de son amie d’enfance. Elle ne va pas s’en échapper comme ça, et lorsque le jeune homme arrive près d’Alejandra, il se laisse tomber mollement sur le fauteuil, une cigarette déjà entre les lèvres. Sans plus attendre, Sid l’allume et crache mollement de la fumée, avant de murmurer d’un ton plat, tellement dénué d’accent comme à son habitude.
« Qu’est-ce que tu as fait cette fois-ci, Alejandra ? »
Ce n’est pas un reproche, au contraire, même si le ton laisse à supposer. Mais toute personne ayant côtoyer longuement Sidney peut affirmer qu’il parle toujours ainsi, comme si rien ne l’atteignait jamais, comme si rien ne le touchait. | |
|
| |
Alejandra Jael Constancio
► MESSAGES : 10 Dim 11 Sep - 15:29 |
| |
| Alejandra s’était glissé dans le district d’Ealdwic. Pourquoi ? Elle n’était plus une universitaire après tout. Elle était une ancienne-auror déchue par ce que l’avenir lui avait réservé. La prise du ministère par les vilains. Elle n’en avait rien à battre qu’ils étaient des supers vilains. Elle voulait leur botter les fesses. Elle voulait se prendre le bec avec eux. Ce n’était pas pour rien qu’elle s’était ainsi glissé dans Ealwic avec en tête d’aller se cacher dans la chambre de l’un de ses amis. En fait, ils avaient vécu tant de choses ensemble, mais jamais elle avait dépassé plus loin que la limite permise. Elle avait trop de gêne face à son ami. Depuis l’orphelinat qu’elle connaissait. C’était peu après l’accident de sa mère qui était une chercheuse de sort. De toute manière, elle n’avait jamais été très heureuse avec sa mère qui avait honte d’elle. C’était une honte justifiée en y pensant. Alejandra, elle était loin d’être la femelle parfaite. Puis, elle était un enfant bâtard. Une sang-mêlée. Face à sa famille, elle était une grande honte. Sa mère avait été rejetée. Elle avait vécu tout de même ses meilleures années de sa vie en compagnie des enfants de l’orphelinat. C’était là qu’elle avait vu le beau Sidney qui avait tout de suite prouvé à Alejandra qu’elle avait sa place parmi eux. Elle l’adorait. Sidney l’avait toujours écoutée. Alejandra ne pouvait espérer avoir mieux comme amitié. Bref, la jeune femme avait décidé de disparaître un moment de la circulation pour ne pas attirer les ennuis à tous ceux qu’elle aimait plus que tout au monde. Elle avait trouvé un job sage dans des commerces du chemin de traverse. Voilà elle avait bien agi jusqu’au jour où en achetant quelques trucs pour faire à manger dans appartement minable pour sa condition minable du moment. Il fallait croire qu’elle cherchait encore une fois des ennuis cette soirée là en interpellant un sang-pur qu’elle avait reconnu qui n’était nulle autre qu’un fier mangemort. Croyez-moi, elle l’avait interpellé avec un beau trou de cul et elle avait fini ses dires par un coup de pied dans le cul avec un hihaaaa bien mérité en le poussant dans un trou de boue. Bref, elle avait fait du rodéo à un mangemort. Croyait-elle ne rien subir ? Elle avait fui rapidement en prenant la peine de retourner chez elle en prenant ses maigres biens depuis qu’elle avait demandé son renvoie dans le département de la justice magique, elle avait le peu que nécessaire. Elle avait des vêtements, quelques livres de poche qu’elle pouvait revendre à sa guise tout en le cachant chez son ami Sidney quand il le voulait bien. Elle avait l’impression de s’imposer à lui.
Alejandra parcourait les lieux tout en sachant où elle s’en allait. Elle devait atteindre les cambuses et finir dans celle de Sidney. C’était le lieu le plus certains et le plus protégé. Ealdwic n’avait pas encore été pris par les vilains de l’histoire. La jeune femme marchait rapidement pour ne croiser personne qui la trouverait suspecte. Elle avait un peu peur de se faire sortir des lieux de l’université. Elle marchait rapidement. On pourrait la confondre avec une étudiante pressée pour une raison quelconque. Elle arriva devant l’appartement de Sidney. Elle utilisa un simple Alohomora pour ouvrir la porte. Alejandra la referma derrière elle. La jeune femme verrouilla la porte avant de se cacher derrière un fauteuil en se couchant au sol où elle se reposait sans dormir. Elle s’était posé tout simplement. Pourtant un bruit attira déjà son attention, ce bruit venait de la porte qu’on ouvrait. Elle resta sur le plancher l’oreille aux aguets. Elle vit apparaître sur le sofa Sidney qui s’allumait déjà une cigarette. « Qu’est-ce que tu as fait cette fois-ci, Alejandra ? » Elle sourit devant ce qu’avait dit Sidney. C’était vrai qu’elle avait fait quelques choses, comme à chaque fois. « Tu veux vraiment ce que j’ai fait ? J’ai vu un mangemort. Je le reconnaissais. Je me suis approchée de lui et je lui ai dit que c’était un trou du cul. Je lui ai placé un coup de pied dans les fesses bien mérité… ensuite je l’ai poussé dans une flaque de boue avant de prendre la fuite. Voilà. J’ose pas retourner chez moi pour l’instant. Je me ferais tuer ! » Elle regarda Sidney et fronça les sourcils. « Je t’ai déjà dit que la cigarette allait te tuer. Allez… arrête maintenant sinon je viens la chercher dans ta bouche ! » | |
|
| |
Nuttah R. LawsonGRYFFONDOR. ► septième année.
► MESSAGES : 56 Mer 21 Sep - 13:53 |
| |
| Un sourire tranquille dessine les lèvres du jeune homme alors qu'il fume sa cigarette, sa capacité à tout se rémomérer après les cours en pleine action. La métamorphose, l'infiltration et l'espionnage. Mais le bruit de sa meilleure amie à ses côtés, l'éloigne de ses cours, réfléchissant plutôt à ce qu'elle avait fait cette fois-ci. Tout les deux étaient complètement opposés, alors qu'Alejandra était grande gueule et n'avait peur de rien, Sidney était réservé et dans son monde tout le temps. L'un et l'autre étaient comme un garde-fou pour l'autre, Sid pouvait toujours compter sur elle pour lui éviter toutes nuisances, pour lui éviter tout ce qui pourrait lui bouffer l'organisme. Alors qu'il fumait sa cigarette, Alejandra c'était relevé pour lui expliquer ce qui c'était passé, elle se plante devant lui et lui, il s'attend au pire.
« Tu veux vraiment ce que j’ai fait ? J’ai vu un mangemort. Je le reconnaissais. » Sidney ne dit rien mais se tend un peu sur son fauteuil, inquiet pour la suite des évènements, même si au premier coup d'oeil Alejandra ne semblait pas blessée. « Je me suis approchée de lui et je lui ai dit que c’était un trou du cul. Je lui ai placé un coup de pied dans les fesses bien mérité… ensuite je l’ai poussé dans une flaque de boue avant de prendre la fuite. Voilà. J’ose pas retourner chez moi pour l’instant. Je me ferais tuer ! » Un froncement de sourcil de la part du jeune homme signalait qu'il n'était pas content. « Ca ne m'étonne pas de toi, mais tu devrais faire attention... Tu vas vraiment te faire tuer un jour. »
Ses yeux bleus se posent sur les maigres affaires de son amie et ne peut s'empêcher de sourire... Ca voulait dire qu'elle allait rester là quelques jours et grand bien lui en fasse. Quand les deux étaient ensembles, ils partageaient le même lit et parlaient jusqu'à très tard dans la nuit. Alejandra savait pertinemment qu'elle pouvait tout demander à Sidney, car celui-ci se pliait en quatre pour lui rendre service. Et dès qu'elle faisait un saut -même lorsqu'elle avait fait des bêtises- et qu'elle décidait de rester, Sidney était plus qu'heureux. Alors un sourire se plaque sur les lèvres du jeune homme lorsqu'il montre de la tête le sac parterre.
« Tu restes dormir ? » demande-t-il, se retenant de laisser un air d'enfant sur son visage, alors qu'Alejandra le dévisage bizarrement. « Je t’ai déjà dit que la cigarette allait te tuer. Allez… arrête maintenant sinon je viens la chercher dans ta bouche ! » « Dans ma bouche... » murmure-t-il, la manie de répéter les fins de phrases pour les imprégner dans sa tête toujours présente. « D'accord. »
Alors il éteins sa cigarette, sachant qu'Alejandra a toujours raison, que c'est bon pour lui. | |
|
| |
Alejandra Jael Constancio
► MESSAGES : 10 Mer 28 Sep - 0:16 |
| |
| Alejandra regardait son ange gardien. Son contraire. Son frère dans un sens. Pourtant, ils étaient loin d’être unis par un vrai lien de sang. La jeune femme savait très bien qu’elle n’avait pas d’origine anglaise, elle était une espagnole, tandis que son Sidney était un anglais pure souche à son avis. Il était le seul qui l’avait écouté dans ses délires de rêve quand elle avait perdu sa mère pour venir joindre les enfants de l’orphelinat du chemin de traverse. Il avait écouté attentivement ses rêves, ses aspirations. Il avait espéré autant qu’elle. Il avait vécu au rythme des déceptions et des réussites de la jeune femme. Cela semblait une relation à sens unique, mais il ne fallait pas croire qu’Alejandra ne rendait pas toute cette attention. Elle était là quand il en avait besoin et même quand il n’avait pas besoin d’elle. L’ex-Auror ne se plaindra jamais de venir le voir. Ce n’était pas une tâche dont elle était obligée d’effectuer. Elle était contente de le voir. Elle passait toujours du bon temps avec lui sans parler de sexe ou quoique ce soit. Ils étaient heureux ensemble, car il était parfait. Sidney était un être complexe, mais si parfait aux yeux d’Alejandra qui venait se cacher auprès de lui sachant qu’il était une source réconfort et qu’il ne la dénoncera jamais. C’était une confiance qui s’était installé lorsqu’ils étaient tout jeune. Personne ne pourra briser ce lien. Ils s’aimaient pas comme des êtres normaux, car ils étaient marginaux. La jeune femme était toujours couchée sur le sol à regarder Sidney qui avait l’air plutôt mécontent de ce qu’elle avait fait. Elle n’était pas stupide pour savoir pertinemment pourquoi. Il l’aimait. C’était évident. Il l’aimait à sa façon. Elle savait qu’il serait terriblement détruit si elle mourrait. Elle devait faire attention pour ne jamais lui faire vivre une telle épreuve. Il méritait. Il méritait d’être l’homme le plus heureux. Alejandra voulait aussi préserver son meilleur ami, son unique ami en fait. Ce n’était pas pour rien qu’elle lui disait d’arrêter de fumer. C’était peut-être une demande égoïste puisqu’elle agissait comme une vraie folle dans la nature sans se soucier si elle allait mourir avec toutes les conneries qu’elle faisait. « Dans ma bouche... » Elle sourit en le voyant éteindre sa cigarette. Elle était heureuse de le voir l’écouter, même si cela semblait totalement égoïste. Elle se leva pour se trouver à ses côtés. Alejandra donna un baiser sur la joue de Sidney. « Je dors ici ce soir… c’est vrai. Je suis heureuse de te voir Sidney. Je suis fière d’avoir un ami aussi près de moi. Tu sais combien tu comptes à mes yeux ? » Elle le serra dans ses bras. « Je te promet, cette fois-ci ce n’est pas une promesse d’ivrogne, que je ferai attention. Je ne ferai plus de connerie pour ne pas te blesser… Tu serais un vrai orphelin sans moi » dit-elle en blaguant, même si la blague était légèrement de mauvais goût. « Alors, qu’est-ce qu’on fait ? »
( c'est court DÉSOLÉE. ) | |
|
| |
Contenu sponsorisé
|
| | |
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|