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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 12 Oct - 18:18 |
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| Few Creatures of the Night Have Captured Our Imagination Like Vampires | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 12 Oct - 20:21 |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Lun 12 Oct - 22:01 |
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| kohar d'arménie & kveld d'arcadie.
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Jeu 1 Juil - 21:25 |
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| général lust née azur walden. | QUI EST LUST? selon sa plume.
Née à l'époque victorienne et écrasée par la discipline de ce siècle, Lust est un maître de discipline ce qui fait d'elle un général particulièrement fiable et efficace pour Dante. La frustration et les pulsions qui la tiennent en permanence font d'elle un vampire capable d'une rare violence et d'une force qu'on ne soupçonnerait pas, aussi est-elle respectée et crainte entre tous malgré la faiblesse qui pourrait la discréditer. Elle n'aime pas qu'on l'attaque là dessus d'ailleurs car dans le fond c'est un aspect de sa personnalité dont le contrôle lui échappe. Elle est donc extrêmement susceptible là dessus parce qu'elle en a honte et qu'au plus profond c'est une femme d'une virginité rare. Mais seuls ces deux magnifiques yeux bleus témoigneront encore de la mortelle qu'elle fut, et parleront pour elle en toute sincérité. Il est donc rare de pouvoir la regarder droit dans les yeux bien longtemps. En dehors de ces aspects, Lust a la séduction au corps. C'est une féline tentatrice et suave qui arrive toujours à se débrouiller pour parfumer sa longues cascades de cheveux blonds de parfums subtils et délicieux. C'est pourtant une femme intelligente qui, outre les plaisirs de la chair goûterait les plaisirs d'une conversation si tant était qu'elle soit véritablement intéressante. Il y a des aspects de sa personnalité que seul Dante, son maître, connait et il les connait mieux que personne. Pour d'autre Lust n'est qu'une pétasse nymphomane qui a acquis son grade à force de coucheries plus que de mérite, et pourtant... . |
▬ 1837-49 : la chute d'Azur Walden
A l'époque je n'avais encore que quinze ans, je faisais la fierté de mon père, riche négociant de l'industrie textile londonienne. Notre famille se faisait remarqué et certains disaient même que notre nom finirait pas être couché sur la liste des familles anoblies par la reine en personne et qu'on ne saurait jamais si alors, ce serait du aux étoffes magnifiques du tailleurs Walden ou à la figure de sa toute jeune fille. J'étais l'unique enfant de James et Rebecca Walden, aussi étais-je choyée autant qu'une jeune fille pouvait l'être à cette époque. Ce n'est qu'en quittant ma vie d'enfant que je me découvrais cette honteuse maladie... On me donna en mariage à un petit aristocrate qui m'avait assidument courtisée aux bals de printemps. Il avait nom Hector Blidworth. Il était joli garçon bien que pas le plus joli que j'ai vu mais j'en tombai amoureuse parce qu'il était intelligent, respectueux et prévenant. Il avait envers moi tous les égards qu'une femme puisse souhaité. Nous nous mariâmes un peu avant mon 17ème anniversaire, et ce fut un mariage d'amour heureux autant que de convenance pour mes parents. Pourtant, être l'ange sage de la maison me pesa bien vite. Peut-être jeunesse ne s'était-elle pas encore tout à fait passée, peut-être aussi était-ce le code victorien qui me pesait trop en temps que femme. Je l'ignore mais très vite, je conçue une intense frustration de ma vie de femme et de ma vie d'épouse surtout. Mon jeune époux faisait sa vie hors de notre maison comme il convenait, il revenait plein de sourires et d'anecdotes, de tracas et d'affaires "auxquelles les femmes n'entendent rien" et je n'avais que peu à dire. Hector pensait que cela tenait au fait que nous n'avions pas d'enfants et que je ne m'étais pas tout à fait accomplie.
« une femme est faite pour être mère ma chérie.»
... où pour être femme de mauvaises moeurs. C'était ce que l'on disait à l'époque et, il n'allait pas tarder à se révéler que je ne serais jamais mère. J'avais commencé à prendre goût à m'enfermer de longues heures dans mon boudoir à la française. Je n'étais plus vierge il était vrai, mais Hector m'avait rarement touchée depuis le mariage. Sans doute une pudeur que l'on devait tant à notre anglicanisme qu'au respect extrême (peut-être trop) qu'il me portait. Enfermée seule dans mon boudoir, je sentais que quelque chose me ronger à l'intérieur mais j'ignorai encore quoi. Ce n'est que lorsqu'Hector s'affirma dans son idée que nous devions avoir des enfants que ma maladie se révéla au grand jour. Comprenez qu'à l'époque, on appréciait guère que sa femme affiche un plaisir si ouvertement partagé aux plaisirs charnels. Aux soupirs inspirés que je soufflais bien malgré moi et il n'empêche, avec de plus en plus d'assurance mon époux rougissait, et généralement il s'arrêtait dans ses étreintes pour s'assurer que j'allais bien et alors je n'avais d'autre choix que de répondre que oui quand à mon corps défendant j'accumulai toute la frustration de le voir s'interrompre et me quitter pour s'endormir finalement. Avec les semaines, ma frustration grandissait au point que sous mes jupons je la sentais s'impatienter du retour de mon époux. Cette pensée m'obsédait et j'étouffais dans mon corset. Avec cette maladie du Diable qui grandissait en moi au lieu d'un enfant, mon mari impatient s'offusquait, me traitait de scabreuse fille du diable, il suppliait que je me taise, que je garde pour moi ces gémissement outranciers qui n'étaient que bien malgré moi pourtant. J'essayai de le lui expliquer, j'essayai de mettre cela sur mon désir d'enfant quoiqu'à la vérité ce désir n'existait pas ailleurs que dans les fantasmes d'Hector. Je ne voulais pas d'enfant. Je ne voulais plus rien que nos étreintes mais comment le lui avouer. De tels mots m'auraient pu valoir l'excommunion. La honte sur ma famille. Bientôt, il me regardait avec mépris, il me regardait comme si je pouvais lui rappeler les femmes de mauvaises moeurs que, j'ose encore l'espérer aujourd'hui, il n'avait pas connu. Une nuit il quitta le lit conjugal et ordonna qu'on fit venir le prêtre auquel nous nous confessions tous les deux. Il comptais que devant les yeux du saint homme tandis qu'il s'essayait à me faire un enfant et pour cette seule raison comme l'édicte la loi de Dieu, j'aurais assez honte de moi pour me ranger à mon rôle d'épouse et de femme honnête. Et je le cru aussi mais dans les faits, la présence d'un témoin à notre acte, si il me refroidit au tout début ne fit qu'exciter un peu plus le démon en moi. On me mit au couvent quelque temps, prétextant pour les autres que j'étais gravement souffrante. Pendant ce temps Hector se confia à mes parents qui furent très affligés. Quand je reviens enfin chez nous, Hector était encore bien plus absent, il refusait jusqu'à partager mon lit "pendant un certain temps" disait-il. Je priais chaque nuit qu'on me délivre de cette maladie du diable qui me tenait constamment le corps. J'allais me confesser, priait le sacristain d'acheter ma rédemption, de me guérir. Mais Dieu ne daignait pas m'accorder sa miséricorde, il me laissait tout entière à mon mal jusqu'à m'abandonner seule dans mon boudoir où je pouvais fomenter les pires pensées et bientôt des gestes si honteux qu'on n'eut même su les concevoir à mon époque, si honteux que j'en pleurais dans ma solitude et que j'en devenais mauvaise en société. Une nuit, je crus que mon Hector revenait dans le lit conjugal et qu'il me pardonnait mais en sentant ses lèvres glacées dans ma gorge alors que je me tenais si tranquille qu'il l'avait toujours souhaité, je comprenais que ce n'était pas mon Hector.
« Vos baisers sont si froids... » « Cela te dérange? » « Cela me fait peur. Vous êtes le diable, vos baisers sont froids comme la mort. » « Je ne suis pas la mort belle Azur, pas vraiment. Mais je peux être la Délivrance. Tu n'as qu'un mot à dire ou même ne dis rien...» « Je... je suis une femme mariée monsieur »', je le repoussai de toute ma force de femme victorienne, c'est à dire presque rien,' « partez, quittez ce lit je ne saurais vous y voir... »
Il sut que c'était sa froideur qui m'incommodait et me laissa seule à mon démon que la peur avait dompter quelque peu, oh si peu. Mais la nuit suivante il revint. Ses baisers étaient pleins de chaleur humaine, une chaleur que je n'avais jamais connu avant...
« Quitte ce corset, il t'étouffe, il te tient dans une cage que tu ne mérite pas et à terme il déformera affreusement ce corps à le rendre souffreteux alors qu'il est si plein de santé... défais tes cheveux d'or, tes cheveux d'ange, ils suffoquent sous l'austérité de ce siècle qui ne te ressemble pas... ne serrent pas tant tes cuisses quand tu t'assois et que tu voudrais les laisser s'ouvrir à leur guise, ne les serrent pas... ne retiens pas ces mots qui n'en sont pas et qui n'appartiennent qu'au langage des amants... ne te retiens plus. Oublie que ce n'est pas moi que tu aimes ou oublie mon visage pour mieux m'aimer mon Azur...»
Et j'obéissais, plus à moi même qu'à lui d'ailleurs mais je crois que c'était ce qu'il désirait. Je n'oubliai pas mon Hector, comme l'aurais-je pu je l'aimais tant, mais révélée dans les bras de Dante et dans son amour, car il était sincère, je souffrais moi de mes peurs et de ma maladie. Je me sentais bien, je reprenais ce visage de la toute jeune fille qu'Hector avait épousé et je voyais dans le regard de mon époux, l'amour renaître progressivement. Dante m'apprit à me satisfaire seule sans rougir ni pleurer bien qu'il n'oublia pas de me recommander à la prudence. Chaque nuit, il revenait m'étreindre et éveiller en moi de nouvelles passions. Il s'en serait fallu de rien que mes deux amours me rendent durablement heureuse mais qui ment ne fait pas toujours bonne récolte. A me voir à nouveau si douce qu'aux premiers jours, mon mari se décida de revenir partager notre couche. Il m'en fit la mauvaise surprise en pleine nuit, me surprenant aux bras de mon amant défendu, dans une position peu flatteuse. Nous fûmes bien sûr arrachés à notre étreinte et je vis mon amant disparaître par la fenêtre, m'abandonnant à la fureur d'Hector. Il ne fallut rien moins qu'un quart d'heure pour que je me retrouve à la rue, dans l'attente d'un divorce qui me trouverait peut-être avant que l'indigence me pousse dans un fossé répugnant. A cette époque, rompre un mariage était synonyme de honte absolue et surtout pour les femmes qui n'avaient aucun bien qui n'appartiennent à leur père ou leur mari, jusqu'à leur enfant. Je me retrouvais donc seule, sans rien, moquée de tous. Dans une tentative veine de racheté son honneur traîné dans la boue par moi même, mon père me donna à exorciser à quelques hommes saints. Hommes qui n'avaient de saints que le nom et qui eurent tôt fait de plonger dans ma maladie avec complaisance au lieu de m'en libérer. Cela ce sut et ma famille tomba définitivement en disgrâce. Si l'on m'avait reconnu derrière mes longs cheveux à présent sales et filasses et derrière cette figure noire, on m'aurait sans doute livrée au bourreau comme exemple. J'étais insultée mais n'en remettait qu'à ma propre faute. J'étais faible, faillible et malade. Folle à liée peut-être. Non pas à cause du démon qui me tenait le corps mais parce que j'étais ce démon. J'en avais enfin conscience alors que recroquevillée dans mes haillons j'attendais que la faim m'achève ou la frustration peut-être, qui était au delà de tout ce que l'on peut soutenir. Mais Dante mon amant revint.
« Est-ce bien la mord que tu cherches ?» « La Délivrance je t'en prie... »
Mes lèvres s'accrochaient au sienne avec le désespoir vorace de cette infection que j'étais et qui me rendait fièvreuse mais il ne voulait pas de moi, du moins le croyais-je et j'en pleurai. Etais-je devenue si laide que mon péché?
« Tu l'auras. » « Pourquoi m'accorde tu la rédemption Dante » « Parce que tu es comme moi. As tu peur de la mort Lust? As tu vraiment peur de la mort... »
▬ 1852 : Benjamin Walden surprend sa soeur disparut alors qu'elle l'observe par la fenêtre. Il la retient en la prenant par les sentiments, pleurant cette soeur qu'il a cru décédée. Lorsqu'il découvre ce qu'elle est devenue, il lui demande de partager avec lui le Don Obscur.
▬ 1853 : Benjamin Walden rappelle Lust auprès de lui, et lui redemande de l'engendrer. Quand elle refuse il se met en colère et l'accuse de jalouser son pouvoir. Il ira jusqu'à lui dire qu'elle n'a plus rien de la soeur qui l'a aimé, et qu'elle est devenue égoïste et cruelle. Le soir suivant, Benjamin Walden devient Envy.
▬ 1854 : Dante confie l'éducation d'Azur Walden, qu'il a renommée Lust, à son fils Ezechkiel. Au début, elle se montre bien piètre, en grande partie parce que la violence lui fait peur. Si elle est déjà une séductrice dangereuse et gourmande, elle est incapable de concevoir le meurtre outre quand c'est sa faim de vampire qui l'oblige à le commettre. Ezechkiel en fera pourtant un général redoutable après de nombreuses et tempétueuses colères.
▬ 1860 : Envy viole Lust pour la première fois. Leur relation malsaine prend un nouveau tournant où le garçon voit son empire sur sa soeur augmenter de plus en plus. Habile manipulateur, il montre devant tous le visage d'un jeune homme doux, pratiquement dépendant de sa soeur. Seul avec elle, il se révèle être obsédé par Lust. Son désir de la posséder, différent de celui du général Greed, le pousse à lui faire croire qu'elle est dépendante de sa protection. Les talents de télépathe manipulateur croissent autant que sa jalousie.
▬ 1870 : Vlad Nospheratov et Wolfgang Orlov se mette d'accord sur une trève. Les généraux vampyrs rangent leurs épées. ▬ 1870 - à nos jours : Lust suit le cours monotone de sa vie.
[ODALISQUE] Contre l'avis de Dante, Ezechkiel engendre l'enfant gangréneux qui servait de page à leur père après qu'il a été jeté dehors dans la neige. Lust nourrira le petit démon au sein.
[AND THOU SHALL KNOW MY NAME] Les généraux de Dante suivent l'Aîné et l'ancienne reine des damnés dans les catacombes de Poudlard... s'en suivra la libération du Poète et de ses neufs Champions.
[LA VIE EST UNE FLEUR...]
Résumé de la saison un, [Le quotidien de Lust est perturbé par les desseins de l'aîné. Dans l'année, Lust est à nouveau armée et suit les cohortes de vampires jusqu'en Ecosse, pour s'emparer du pendule d'un Poète tombé dans l'oubli. Lors de cette tentative, où lycans et vampyrs s'allient, Lust rencontre Vitaly Orlov, fils de Wolfgang Orlov. Elle n'échange aucun contact avec lui, n'étant pas de lignage princier et pas non plus du même sang, mais son odeur la marque et réveille l'obsession. Lust rentre en Valachie, sans grand enthousiasme. Ce n'est même pas la défaite qui a un goût amer mais au contraire, son désintérêt pour le monde qui l'entoure. Elle entre dans cette étape de la vie de chaque vampire où il faudra qu'elle s'endorme pour quelques siècles à moins de trouver le moyen de vaincre la lassitude... ]
▬ Lust commence à ne plus endiguer l'appel de l'obsession qui la hante. Envy la veille, peu désireux de voir la belle lui échapper à nouveau.
NE EN : Angleterre NE LE : 12 mars 1837. LANGUE MATERNELLE : Anglais. LANGUES PARLÉES : Anglais, russe, roumain, hongrois.
PÈRE & MÈRE : James et Rebecca Walden. MEMBRES NOTABLES : Fille de Dante. (Ezechkiel Aldea) FRÈRES & SŒURS : ENVY, né Benjamin Eric Walden. MARI: Hector Blidworth ENFANTS : aucun. AUTRES : THEME - AILLEURS C'EST ICI.
TAILLE : 1.72 YEUX : bleu ciel translucide. CHEVEUX : Blond. APPARENCE : 22 ans.
RACE : Vampyr. MAITRISE : manipulation de l'esprit, antigravité et vitesse accrue, communication par la pensée, charme sur-développé, force surhumaine, transformation en brume.
MORALITE : interchangeable 3/10 ou 10/10. DANGEROSITÉ : 7/10.
PARTICULARITÉS : Lust souffre d'une forme de nymphomanie exacerbée du à un traumatisme dans sa vie de jeune mariée. En pleine crise elle sera incapable de refuser quoique ce soit ni de se maîtriser. Certains hommes attirent sont attention plus que d'autres, et dans ce cas ils deviennent pour elle des obsessions qu'elle n'oubliera pas tant qu'elle ne se sera pas uni physiquement à eux. Une fois la passion consommé, l'effet d'obsession disparaitra et l'union se terminera généralement en meurtre, mais pas toujours... | |
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