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| you & i, close together, a new dimension. | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Dim 17 Juil - 19:36 |
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| && « C’est la… bonne adresse ? » Maëlan observe longuement la porte de l’appartement face à lui et se retient d’un petit rire. C’est absurde… Cette prêtresse vaudou ou il ne sait quoi, se trouve juste au-dessous de son appartement… Bon, d’accord, pourquoi pas. Le Dashwood reste devant la porte à attendre, patiemment… A attendre quoi ? Bonne question. Sûrement qu’il se décide à entrer, ou à penser comment il est arrivé ici. Par la bonne volonté de Dieu ? Certainement pas. Mais par la volonté de Taylor, peut-être. Pour connaître le futur, avoir des idées sur les choses à venir… Il frappe alors à la porte et quelques secondes après une jeune fille ouvre la porte. « Oui ? » Elle semble surprise, en même temps Maël arrive comme un prince sur son cheval blanc et surtout l’air très idiot. Il balbutie un peu. « Salut… euh, j’arrive un peu à l’improviste mais… on m’a dit que tu pouvais m’aider. » Elle ne semble pas comprendre. En même temps Maëlan est un peu idiot et là c’est pire que tout… Mais finalement elle se met à rire. « Une peine de cœur ? » « On peut dire ça comme ça… Je suis Maëlan Dashwood. » Sourire un peu timide, il doit vraiment l’embêter là, à être pantois devant sa porte. « Mana Mayfair… Ben entres et racontes, tu veux boire quelque chose ? » Sans hésiter il répond, un peu bêtement sûrement. « Un Whisky Pur-Feu… Euh, un coca ça ira, merci. » Il secoue sa tête. « Tu vois, y a Avril qui est plutôt jolie et puis… Elle est un peu la femme de ma vie, malheureusement ça c’est pas toujours bien passé entre nous et là je l’ai laissé six mois pour récupérer mon fils des griffes de sa harpie de mère… Et maintenant elle me déteste. » « Et tu veux savoir s’il y a encore une chance ? » « Oui voilà, et savoir si on aura notre fille ! Bah oui… j’ai déjà un garçon, ça me suffit. » Mana semble surprise de tellement de connerie dans ce corps d’homme et finalement elle sourit, sort un petit masque rouge et un bol de lait. « Vas-y, tu peux lui poser des questions… mais reste toujours poli avec lui, et ne fait pas de souhaits ou ne demande rien. » « On peut boire le lait ? euh… vous pensez que Avril elle m’aime encore ? » Le petit masque prend un air menaçant, presque terrible et s’illumine. « Je ne pense pas à ce genre de choses. » « Il faut que ça soit des choses concrètes. » Maëlan fronce ses sourcils. « Bon euh… Vous nous voyez en couple plus tard ? » « Vous serez en couple tous les deux. » L’ancien Serpentard jette un regard à Mana et pousse un léger soupir. « Mais c’est tellement dur, j’aimerais tellement me retrouver coincé avec Avril quelque part, histoire de pouvoir parler avec elle … rien qu’un peu ! Dans mon lit ça serait sympa mais… » La jeune fille lui fait des signes frénétiques pour se taire avant de soupirer en rangeant tout son matériel. « Je t’avais dis de ne rien demander. » « Oh pardon… Et c’est grave ? » Mana hausse les épaules avant de le regarder. « Tu vas peut être te retrouver au lit avec une Avril obsédée, ou si ça se trouve avec ce … » « Charlot ? » « Charlot. » Maël pousse un soupir et se lève avant de se passer une main dans les cheveux, l’air ennuyé. Finalement il se tourne vers la jeune fille. « Je te paye une glace ? Mon fils adore celle qui font pschit pschit sur la langue… »
Maëlan fronce ses sourcils durant son réveil, il n’a même pas encore ouvert ses yeux que son angoisse le reprend. Après ce petit passage assez… difficile avec Mana, l’ancien Serpentard ne fait que de penser, d’angoisser à ce moment. Enfin… C’est possible aussi qu’il n’ait rien, comme l’a dit la demoiselle. La tête encore embrouillée de sa sortie de hier soir, le jeune homme passe une main sur son visage et entrouvre ses yeux bleus entre ses doigts pour observer le soleil s’infiltrer dans l’appartement. Audran n’est pas là aujourd’hui, il a dormit chez sa tante adorée, et il a tellement insisté que finalement… Maël s’est laissé tenter et est sorti pour décompresser. Malheureusement le Whisky Pur-Feu et l’herbe magique a eu raison de lui et c’est avec un mal de crâne qu’il se réveil ce matin, alors que ses yeux encore rougit de la veille semble encore plein de farine. Finalement il laisse retomber sa main et cligne plusieurs fois des yeux pour les habituer au soleil, avant d’abandonner le mur contre lequel est le lit pour se tourner vers la fenêtre. Et là, malgré le soleil qui tape en pleins dans ses yeux, les rendant encore plus clairs qu’ils ne le sont déjà, Maëlan ne peut se résoudre à les fermer. Il n’en revient pas. Là, allongée à ses côtés dans ce lit défoncé… Avril Adler. L’amour de sa vie. Il cligne un peu des yeux et finalement il ose l’effleurer pour voir si c’est vrai. Oui, ses cheveux ont la douceur d’antan. Alors il vient un peu plus contre elle, avide d’effacer cette séparation entre eux, parce que si c’est un rêve… il veut en profiter. La serrer contre lui dans ses bras. Et les remarques de Mana se sont envolés en loin, il n’y pense même plus, tellement heureux. Alors qu’il s’allonge à ses côtés pour observer le soleil éclairé délicatement son visage, elle se blottit contre lui avec douceur. Il n’en revient pas, ses doigts se promènent avec tendresse sur son visage. « Avril… » | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Dim 17 Juil - 20:06 |
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| Elle est là, insouciante dans sa nuisette bleu nuit. Avril Adler dort à point fermé parce qu'aujourd'hui c'est le jour où elle n'a pas cours. D'ordinaire elle aurait quand même demandé à Gustav de venir la réveiller mais en ce moment avec toutes les choses qui se bousculent dans sa vie, elle a fini par se laisser convaincre par Klaus qu'elle avait droit à une demi-journée de repos.
Elle sent bien que quelque chose bouge près d'elle mais elle dort trop profondément vraiment s'en alarmer. Mieux encore, la caresse sur ses cheveux illumine son visage d'un petit sourire. Elle a un long mmmh lascif et se retourne dans le lit. Là elle rencontre une épaule qui est juste faite pour elle alors, toujours endormie, elle s'y pose, cherche d'un peu plus près la chaleur de l'homme de ses rêves. Elle glisse contre Maël et se love contre lui, exactement comme elle l'avait fait ce seul et unique matin où ils s'étaient réveillés dans les bras l'un de l'autre.
« Avril… » « Mmh Klaus… je croyais que j'avais droit à une demi-journée.», murmure-t-elle depuis les tréfonds de son sommeil profond.
Petit à petit pourtant elle émerge. Elle prend conscience du coeur qui bat dans le creux de sa main et qui n'est pas le sien. De la peau chaude et douce sous ses doigts. Elle fronce les sourcils.
« Klaus? Mais… »
C'est là qu'elle se réveille pour de bon. Qu'est-ce que Klaus ferait à demi-nu dans son lit? Non ce n'est pas son frère! Et si ce n'est pas lui... Avril bondit dans le lit, retenant du mieux qu'elle peut sa nuisette sur ses épaules. Un chat sauvage n'aurait pas mieux fait.
« Maël… », elle n'en croit pas ses yeux et elle n'est pas encore assez revenue de sa surprise pour le tuer tout de suite, « Mais… » | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Dim 17 Juil - 20:49 |
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| Il n’en revient pas, c’est presque impossible, il ne sait même pas comment réagir. Alors couché à ses côtés, il observe longuement la femme tant aimée. Mais c’est comme si le moment où le rêve devient sublime qu’il se transforme en cauchemar. La jolie Adler, entre ses mains, vient de murmurer quelque chose à glacer le sang : « Mmh Klaus… je croyais que j'avais droit à une demi-journée. » Frisson. Comment ça ? Klaus ? Maëlan fronce ses sourcils et finalement se détache un peu, dégoûté par cette phrase. Même si elle est sortie des fins fonds des rêves de la jolie demoiselle, ça reste choquant. Traumatisant presque. L’ancien Serpentard n’est pas au bout de ses peines, car à peine a-t-il le temps d’effacer ça de sa mémoire que la voilà qui reprend : « Klaus? Mais… ». Elle commence à se rendre compte et Avril fait un bond de six mètres au moins, histoire de s’éloigner totalement de Maëlan, alors que sa main retient sa nuisette. Nuisette que, malgré lui, le Dashwood dévore du regard, observant la courbe de ces jambes qu’il n’a vu qu’une simple fois, et dont il rêve tant de fois. Cette nuisette, portée cette fois-là devant lui, avait presque hantée ses nuits. « Maël… » C’est déjà plus plaisant, mais n’empêche qu’il voit qu’elle le déteste, et ça a le don de le refroidir. Couché sur le dos, son visage observant le plafond avec insistance, il ne dit pas un mot. Dégoûté et frustré par le prénom dont l’avait affublé Avril deux minutes plus tôt. Elle va l’étriper de toute façon mais bon tant pis, il se lance, c’est sûrement œil pour œil, dent pour dent. « Tiens tu te souviens de mon prénom… » C’est une remarque sarcastique. Non, ce ton là il ne l’a employé qu’une seule fois avec la demoiselle et c’était au tout début, lorsque le génie rencontrait le cancre. Elle est tellement surprise de le voir à ses côtés que Maëlan fini par la regarder, observant ses grands yeux bleus et fronçant un peu ses sourcils. « Mais… » Elle ne semble pas comprendre, et l’ancien Serpentard non plus. Il l’observe longuement puis la surprise dévaste son regard. Il comprend enfin… C’est ce dont Mana lui avait parlé ! Ce que son petit masque rouge avait interprété. Alors pour en être sûr, il ose se lever pour se mettre au-dessus d’Avril sans la regarder pour autant, et tente de sortir sa chambre du lit mais les draps réagissent automatiquement et emprisonnent sa cheville. Bon. Il retourne alors à sa place, aussi rapide et agile qu’un serpent avant de s’allonger à nouveau sur le dos, ses lèvres entrouvertes. Il pousse un soupir, fixe le plafond et… « Désolé. Je crois que tu vas me détester, Adler. » Son ton reste amère, toujours perturbé par ce passage assez… horrible. Oui c’est le mot. | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Dim 17 Juil - 21:28 |
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| Cet air là elle le reconnait: il boude. Mais elle est trop endormie pour se mettre en colère tout de suite et reprendre tout de suite le rôle de Lucifer...
« Désolé. Je crois que tu vas me détester, Adler. »
Elle fronce les sourcils. Qu'est-ce que c'est que ça? Est-ce qu'elle a bien vu ou est-ce qu'il n'arrive pas à sortir de son propre lit? Finalement elle lève les yeux en se disant qu'elle s'en fout, que ce n'est pas son problème, qu'elle ne veut pas savoir alors elle replace une énième fois sa nuisette pour sortir du lit. Mais voilà que les draps s'en prennent à elle cette fois-ci et sans le moindre égard pour la pose de sa nuisette la ramène dans les bras de Maëlan Dashwood.
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, la pauvre Avril se retrouve ficelée à son ancien amour, peau contre peau, incapable ou presque de bouger, il n'y a que le torse de Maël qui la soulève à chaque respiration. Voilà qu'elle est bien réveillée cette fois. Réveillée et de surcroit pas très à l'aise.
« MAEL C'EST QUOI CA? QU'EST CE QUE TU AS FAIT ? Pourquoi je...aaaah! »
Elle enrage à mesure qu'elle se débat mais en vain, plus elle en fait, pire c'est. Alors au bout d'un moment elle cesse et repose sa tête sur l'épaule de Maël, contrainte et forcée.
« Tu comptais qu'on fasse quoi là? », demande-t-elle plus blasée qu'énervée finalement. | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Lun 18 Juil - 8:42 |
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| En deux ou trois mouvements, le lit rejette à nouveau Avril vers Maëlan, soulevant au passage cette pauvre nuisette qui n’a rien demandé… dévoilant ainsi les cuisses de la demoiselle. Le Dashwood détourne le regard, à contrecœur, et presque gêné, avant de remarquer qu’Avril est tout contre lui, que les draps l’ont piégés ainsi. Bah mince… Mana est très douée, ça fait peur. Et la jeune Adler se rend compte qu’il y a un truc qui va pas alors elle bouge un peu dans tous les sens, prête à se dégager de là quoi qu’il arrive. « Je te dégoûtes tellement ? » Ca sort tout seul, et malheureusement Maëlan a repris son ton moqueur et insouciant qu’il avait, comme si son moment de boude vient de se finir d’un coup. « MAEL C'EST QUOI CA? QU'EST CE QUE TU AS FAIT ? Pourquoi je...aaaah! » Si le moment n’était pas si ‘dramatique’, le jeune Dashwood auraite explosé de rire. Voir Avril se démené contre lui et puis finalement perdre son calme à en pousser un cri de désespoir… c’était inespéré. Mais pour ne pas l’énervé plus, l’ancien Serpentard ne dit rien. Il attend qu’elle se calme, qu’elle pose sa tête contre son épaule pour venir caresser ses cheveux doucement. Finalement il murmure, le ton rassurant : « Calme toi, je suis désolé… J’aimerais te dire que ce n’est qu’un rêve, mais j’ai fait une petite bêtise. » Finalement, presque agacée, la demoiselle de ses rêves lance : « Tu comptais qu'on fasse quoi là? » Maëlan fronce ses sourcils et l’observe un peu. « Juste… parler. » Raclement de gorge, bah… comment expliquer ça à une fille aussi intelligente qu’Avril ? En lui disant la vérité. Alors il pose son menton, sur ses cheveux, et puis il a l’excuse de ‘je peux pas faire autrement’, et fini par reprendre d’un ton calme et apaisant : « Je suis allez voir une prêtresse vaudou… pour savoir si on serait encore ensemble… » D’un coup il se sent bête, parce que Maëlan Hadès Dashwood n’a jamais fait ça de sa vie, alors il grogne un peu et se renferme sur lui-même. Il joue au papa ours. Et lorsqu’il reprend, son ton est plus bougon qu’avant. « J’ai fait un souhait, sans faire exprès. Et ça c’est réalisé… apparemment. » Comment ne pas se sentir débile après ça ? Alors Maël détourne son regard au plus possible, préférant même défier le soleil que la regarder, elle. | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Lun 18 Juil - 11:57 |
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| « Je te dégoûtes tellement ? »
Si Avril n'avait pas été à ce point hors d'elle, elle aurait sans doute pris le temps de répondre que non. Mais il ne fallait pas trop en demander. Sur le coup, elle ne prêtait même pas attention au fait qu'elle puisse se retrouver en petite tenue devant Maëlan, d'une parce qu'ils avaient été suffisamment intimes pour qu'elle ne relève pas, de deux parce que la situation en elle même était déjà suffisamment hallucinante pour qu'elle ne se préoccupe de quelque chose d'aussi ridiculement dérisoire.
« Calme toi, je suis désolé… J’aimerais te dire que ce n’est qu’un rêve, mais j’ai fait une petite bêtise. » « Ben voyons! C'est toujours ça avec toi Maël. Tu es "désolé"! », répondit-elle d'une voix chantante qui ne traduisait que trop bien un ras le bol général mais qui d'un autre côté les replaçait tous les deux dans les disputes de vieux couple trop bien habitués l'un à l'autre pour avoir peur de monter le ton, « C'est quoi cette fois-ci la bêtise? Juste par curiosité non pas que je me sente concernée! Ah mais si suis-je bête, bien sûr que je me sens concernée je suis coincée au lit avec mon ex! Tu comptais qu'on fasse quoi là? » « Juste… parler. »
Son air de magyar à pointes ne s'envola pas pour autant, même devant cet élan de sincérité de la part de Maël. Elle voyait bien qu'il ne se payait pas sa tête, et le connaissant bien, elle n'avait pas de mal à croire qu'il avait effectivement fait "une bêtise". Mais n'empêche que ça ne la rassurait ni ne la calmait en rien. D'autant moins qu'elle faisait tout son possible pour éviter d'avoir à se retrouver trop proche de lui, dans tout type de situation qui aurait pu compromettre sa raison et favoriser une attitude plus instinctive dont elle ne voulait surtout pas.
« Je suis allez voir une prêtresse vaudou… pour savoir si on serait encore ensemble… » « … » , Avril affichait très exactement l'air blasé de Klaus Adler quand il se retrouvait face à une situation dont l'absurdité le dépassait... « J’ai fait un souhait, sans faire exprès. Et ça c’est réalisé… apparemment. »
Silence
« Ahem... donc ce que tu es en train de me dire c'est que tu es par hasard allé voir Mana Mayfair, une prêtresse vaudou - dont je ne te rappelle pas à tout hasard que c'est une magie particulièrement noire, malfaisante et incontrôlable, et que tu lui as demandé si par hasard on n'allait pas se remettre ensemble et que TOUT A FAIT PAR HASARD tu as HASARDEUSEMENT souhaité SANS FAIRE EXPRÈS qu'on se retrouve au lit tous les deux... »
Silence à nouveau.
« Au risque de paraître lourde, tu te foutrais pas un peu de ma gueule PAR HASARD Maëlan Dashwood? »
Elle le le regardait pas non plus mais toujours allongée sur lui, elle maudissait en silence et le pire du pire! c'était qu'elle savait très bien que venant de Maël c'était tout à fait possible. Avril soupira profondément. Ca promettait d'être long.
« Mais bon admettons. Maintenant qu'on y est autant discuter. »
De toute façon vu comme c'était parti, elle allait manquer son rendez-vous de 11h avec Sholto donc autant faire en sorte de rentabiliser la matinée puisqu'elle allait la passer au lit avec son ex...
« Je te laisse commencer sans vouloir abuser, mais là si c'est moi qui commence ça va mal commencer et j'ai pas envie. Si on doit discuter autant que ce soit en adultes intelligents et responsables... autant que faire se peut. »
... sans faire exprès, non mais sérieusement... | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Lun 18 Juil - 16:00 |
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| « Ben voyons! C'est toujours ça avec toi Maël. Tu es "désolé"! » C’est tellement stupide ces petites disputes, que finalement Maëlan fronce ses sourcils et se prend au jeu. Si Avril fait monter le ton, pourquoi pas lui ? Alors il commence aussi à le monter, même si il sait que, au fond, rien de ce qu’il peut dire sous la colère n’est vrai. Mais il est comme ça le Dashwood, si on l’enflamme un peu trop, il part au quart de tour… Un peu impulsif ? Oui. Malheureusement il a toujours été comme ça. « Vaut mieux que l’un de nous deux le soit ! » Alors voilà qu’Avril lui lance une pique et lui qui s’enflamme presque aussitôt. Revenge is sweether than you ever were. « C'est quoi cette fois-ci la bêtise? Juste par curiosité non pas que je me sente concernée! Ah mais si suis-je bête, bien sûr que je me sens concernée je suis coincée au lit avec mon ex! Tu comptais qu'on fasse quoi là? » Maël a envie de lui dire que si elle se retrouve entre ses draps c’est bien qu’elle est concernée, mais il ne dit rien. Concentré sur ce qu’elle vient de dire, il se mord la lèvre. Juste parler. Mais pour elle ce n’est pas assez, il a beau être sincère, les mensonges auraient encore mieux marchés. C’est les yeux rougit par la poudre magique qu’il pose son regard sur Avril Adler, l’observant de la tête aux pieds, prêt à prendre de plein fouet ses remarques. Finalement, il doit se calmer. Pour la première fois de sa vie, il regrette qu’Avril soit là dans ses bras, qu’ils soient dans des positions inconfortables pour se parler. Et puis merde, elle arrive encore à le faire pleurer. Ses yeux commencent à nouveau à briller, rien que le parfum de la demoiselle arrive à lui rappeler tant de souvenirs que ça en devient pire que douloureux. Apparemment, le fait qu’il est allez voir une prêtresse vaudou ne semble pas lui plaire et là, la pire chose au monde… sur son visage si doux et si beau vient de se dessiner trait pour trait le visage de Klaus. « Quelle horreur. » C’est sortis tout seul, comme pour lui-même, et instinctivement ses bras la relâche, son visage se détourne et son corps fait tout pour s’éloigner le plus possible de la jeune fille. Malheureusement les draps semblent le piéger à nouveau. Et finalement, elle se prononce. « Ahem... donc ce que tu es en train de me dire c'est que tu es par hasard allé voir Mana Mayfair, une prêtresse vaudou - dont je ne te rappelle pas à tout hasard que c'est une magie particulièrement noire, malfaisante et incontrôlable, et que tu lui as demandé si par hasard on n'allait pas se remettre ensemble et que TOUT A FAIT PAR HASARD tu as HASARDEUSEMENT souhaité SANS FAIRE EXPRÈS qu'on se retrouve au lit tous les deux... Au risque de paraître lourde, tu te foutrais pas un peu de ma gueule PAR HASARD Maëlan Dashwood? » C’est trop pour l’ancien Serpentard, le Dieu des Enfers a repris sa place et règne en maître sur l’esprit encore embrumé de Maëlan. « Garde tes hasards pour ton prof, tu veux bien Adler ? Tu remarqueras quand même que le seul ‘hasard’ a été de proposer stupidement le fait de se retrouver ensemble toi et moi, bloqué quelque part, certes, mais pour se parler … si je parlais dans mon lit, c’était juste pour retrouver nos moments passés qui me manquent affreusement. Et puis merde, j’ai pas à m’expliquer sur mes raisons. Il se trouve que t’es là, et que j’ai pas spécialement envie de t’avoir collé à moi, encore moins pour des raisons sexuelles, merci. » Il allait presque rajouter un ‘je suis père, moi.’ mais c’est comme jouer sur les deux tableaux. C’est dangereux et stupide, et Audran n’a rien à voir avec ça. Contre lui, Avril Adler semble se calmer un peu et finalement elle prend un ton dégagé mais il n’empêche un peu … stressé ? Calme toi Avril, détend-toi sérieux, la vie est cool. Quoi de mieux que rester au lit ? « Mais bon admettons. Maintenant qu'on y est autant discuter. » Sauf que lui, il en a marre de discuter comme ça, sans que ça mène à rien, sans que Avril ne s’énerve ou ne finisse par s’enfuir, sans que lui se mette à se renfermer sur lui-même, comme la vieille habitude qu’il possédait. « Je te laisse commencer sans vouloir abuser, mais là si c'est moi qui commence ça va mal commencer et j'ai pas envie. Si on doit discuter autant que ce soit en adultes intelligents et responsables... autant que faire se peut. » Maëlan pousse un énième soupir… mais oui, parce que de toute manière il n’est qu’un gosse le Maël, et puis il a fini à Serpentard, donc un vieux roublard. Elle est loin l’intelligence des Serdaigles. Alors il tapote machinalement le lit derrière Avril et finit par murmurer : « Et pourquoi parler ? Tu refuses de le faire. Si mon seul moyen de réussir a été de dire bêtement ‘j’aimerais tellement me retrouver avec Avril pour pouvoir lui parler’, alors je suis content. » Un temps de pause. Il se rend compte de ce qu’il a dit quelque secondes plus tôt et finalement il regarde l’ancienne Serdaigle droit dans les yeux, oubliant totalement les larmes dans ses yeux, s’en fichant. « Je regrette très sincèrement ce que je t’ai dit… ainsi que d’être partit il y a six mois. Encore plus sincèrement… si c’était à refaire, je le ferais. Car sauver Audran était la seule chose qui comptait le plus pour moi à ce moment-là… sauf que cette fois-ci, je t’aurais dit où je partais, mais je t’aurais laissé ici. » | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Lun 18 Juil - 18:45 |
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| Et voilà qu'ils se jetaient des mots à la tête, si l'histoire commençait au lit il y avait peu à parier qu'elle se terminerait aussi bien que ça malgré l'endroit propice à toute autre chose qu'une dispute houleuse.
« Vaut mieux que l’un de nous deux le soit ! »
A ces mots Avril ferme les yeux parce qu'elle sait pertinemment que ça c'est une déclaration de guerre. Ils se sont plus ou moins toujours fait la guerre, aussi bien que l'amour, mais là le contexte est différent parce qu'ils n'auront pas le droit à la contrepartie amoureuse. Il n'y aura pas de pardon plein de tendresses inavouées. Ca aussi elle le sait très bien.
Alors ils se jettent des phrases assassines. Ils se font mal pour se faire du bien, égoïstement, et finalement ils se torturent chacun de leur côté. Personne n'en tire rien. Rien que quelques larmes ravalées. Et qu'elle sont amères ses larmes.
« Je regrette très sincèrement ce que je t’ai dit… ainsi que d’être partit il y a six mois. Encore plus sincèrement… si c’était à refaire, je le ferais. Car sauver Audran était la seule chose qui comptait le plus pour moi à ce moment-là… sauf que cette fois-ci, je t’aurais dit où je partais, mais je t’aurais laissé ici. » « Si tu m'avais seulement dit "je pars", même sans rien me dire d'autre, je n'aurais sans doute pas tant pleurer. Je n'aurais pas... », elle évite son regard parce que ses deux grands yeux sont des océans instables qui ne demandent qu'à déborder tout d'un coup mais elle ne veut pas qu'il la voit pleurer. Elle est trop fière et surtout, trop blessée pour venir quémander un peu de réconfort, « ... je ne t'en veux pas, je ne t'en voudrais jamais de faire passer Audran avant tout le reste. Si tu ne le faisais pas alors vraiment tu ne vaudrais rien. Mais tu n'as pas le droit de revenir comme une fleur et de me demander de faire comme si de rien n'était. Tu n'étais pas là. Tu n'étais pas là et moi je ne peux plus faire confiance à un mec si ce n'est à mon frère. J'ai sans cesse peur de m'engager, de construire quelque chose... et pas qu'avec toi d'ailleurs. »
A ce moment là, elle eut une pensée pour Sholto qu'elle ne verrait sans doute pas aujourd'hui puisqu'elle était partie pour passer la journée au lit avec l'autre homme qui occupait ses pensées. | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Mar 19 Juil - 13:25 |
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| Franchement, lui dire qu’il est le seul désolé dans l’histoire, c’est complètement stupide, et Avril est blessée. C’est vraiment mal partit. Avril ferme ses yeux et ne dit rien, elle préfère inspirer lentement… comme si elle savait. Mais elle sait, et Maëlan aussi. Ils se sont toujours détester pour mieux se retrouver, à présent c’était simplement la guerre, il n’y aurait plus jamais de retrouvailles… C’est trop bête. Alors l’ancien Serpentard ravale ses larmes, n’osant même plus bouger de peur que les larmes ne coulent bêtement. Au moindre geste tout peut s’effondrer, et peut être que ce rêve aussi, qu’il finisse. Puis il lui parle du fait qu’il est partit et qu’il ne l’aurait pas pris. Ca non, jamais il n’aurait risqué sa vie aussi bêtement. C’était lui qui ne savait jamais ce qu’il voulait. Récupérer Audran et ne penser à rien, ne pas prévenir Avril et … foirer là-bas. Personne ne sait, mais s’il doit être bloqué ici pendant un long bout de temps et qu’ils devaient parler, alors elle saura tout. Mais pour l’instant c’est elle qui s’explique. « Si tu m'avais seulement dit "je pars", même sans rien me dire d'autre, je n'aurais sans doute pas tant pleurer. Je n'aurais pas... » Il aurait pu mais c’est un idiot fini, alors non il ne l’a pas fait. Et ce qu’il ne voulait pas entendre vient de tomber : elle a pleuré tellement longtemps, il l’a détruite, encore. « ... je ne t'en veux pas, je ne t'en voudrais jamais de faire passer Audran avant tout le reste. Si tu ne le faisais pas alors vraiment tu ne vaudrais rien. Mais tu n'as pas le droit de revenir comme une fleur et de me demander de faire comme si de rien n'était. Tu n'étais pas là. Tu n'étais pas là et moi je ne peux plus faire confiance à un mec si ce n'est à mon frère. J'ai sans cesse peur de m'engager, de construire quelque chose... et pas qu'avec toi d'ailleurs. » Maëlan reste un moment silencieux face à sa dernière remarque, il la connait par cœur, et cet idiot est encore dans sa tête. Presqu’aussitôt, du tac au tac, il répond d’un ton grognon de papa ours. « Ne pense pas à lui quand tu es avec moi, s’il te plait… » Finalement il se racle la gorge et observe la fenêtre derrière Avril, longuement, avec un sentiment de mal être. Alors il inspire lentement et finalement le chat se mouille et il se lance, commence à parler de ce récit qu’il déteste. Mais c’est un peu confus dans sa tête, alors ses paroles sont tout aussi brouillon. « Elle m’a envoyé un hibou lorsqu’elle était déjà en Roumanie, je suis partit aussitôt. Là-bas j’ai dû la retrouver avec toute sa famille, assommer un bon nombre de personnes, et … et j’ai lancé un oubliette sur elle… les autres aussi. Mais elle surtout. Ca fait trois ans effacés de sa vie, Audran… Mais elle ne voulait pas me le donner, c’était soit ça, soit un sortilège impardonnable … j’ai paniqué, Avril, j’ai paniqué. » En quelques minutes, Maëlan Hadès Dashwood, si fort, s’est retrouvé enfant dans les bras d’une Avril devenue mère. Faible et les larmes n’ont pas résistés, elles coulent le long de ses joues, le long du visage d’Avril vu leur proximités. Avec un air d’enfant qui a fait une faute, il finit par déglutir et de balbutier : « Excuse-moi pour ce que je t’ai dit, je ne le pensais pas. » | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Mar 19 Juil - 18:45 |
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| « Ne pense pas à lui quand tu es avec moi, s’il te plait… »
Elle se raidit un peu à cette remarque. Déjà si les choses ne sont pas simples avec Maëlan, elles ne peuvent pas l'être avec Sholto. Pourtant tout était si facile avant que Maëlan ne revienne. Ils avaient le temps, l'éternité même pour se rapprocher, pour savourer ces moments de complicité qu'ils n'avaient partagé sans doute avec personne d'autre... elle avait le temps. Le temps de se dire qu'avec le temps elle pourrait se réparer à son contact. Oublier la méfiance et se réchauffer le coeur à la lumière de ses sourires charmeurs. C'était comme ça qu'elle l'avait imaginé avant que Maël ne réapparaisse dans sa vie.
« Moi qui pensais ne pas être le genre de personne à me donner en spectacle... », souffle-t-elle déduisant que quelqu'un avait été supputer qu'il y avait quelque chose de déjà acquis entre elle et le censeur de sortilèges.
Elle ne voulait ni le lui cacher ni entrer dans les détails. Ils s'étaient souvent blessé l'un l'autre, sciemment, mais elle ne voulait pas lui porter de coup aussi bas. Elle ne voulait pas piétiner son coeur maintenant qu'il était à sa merci. Savoir qu'il savait lui suffisait.
Finalement il se confie lui aussi. Alors elle écoute patiemment et quand les larmes coulent en pluie salée sur son visage, elle glissa sa main dans ses cheveux et lui prête son épaule. Elle est douce. Bien loin de Lucifer la furieuse. Ses doigts vont et viennent, tendrement, comme s'ils enlevaient un peu de tout ce chagrin à chaque passage.
« Elle m’a envoyé un hibou lorsqu’elle était déjà en Roumanie, je suis partit aussitôt. Là-bas j’ai dû la retrouver avec toute sa famille, assommer un bon nombre de personnes, et … et j’ai lancé un oubliette sur elle… les autres aussi. Mais elle surtout. Ca fait trois ans effacés de sa vie, Audran… Mais elle ne voulait pas me le donner, c’était soit ça, soit un sortilège impardonnable … j’ai paniqué, Avril, j’ai paniqué. » « Ssh c'est terminé maintenant. »
Sa voix tombe comme une caresse, sans jamais porter de jugement.
« Excuse-moi pour ce que je t’ai dit, je ne le pensais pas. » « Ca ne fait rien Maël. Ça ne fait rien. »
Elle le garde contre elle, douce, rassurante.
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Mer 20 Juil - 9:07 |
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| « Moi qui pensais ne pas être le genre de personne à me donner en spectacle... » Sauf qu’à Ealdwic, tout comme à Poudlard, les rumeurs vont vites. On a vu la distante et froide Avril Adler, s’engager dans un nouveau jeu avec un certain Sholto de cinquième année… On en a déduit assez facilement que quelque chose se passait et que Maëlan Dashwood avait été jeté aux oubliettes. Même si rien encore n’était certain sur leur relation, pour Maël, c’est comme s’ils étaient mariés. C’est vrai que c’est exagéré, mais quand on y pense, c’est tout à fait plausible sortant de la tête d’une personne telle que Maëlan. Et finalement il pleure, parce qu’entre les deux personnes qui comptent le plus au monde pour lui, il a dû faire un choix. Mais comme tout Dashwood le sait, le lien du sang est vraiment fort… Certainement par la faute du père, qui lui a choisi don amour défunt à la place de ses quatre enfants. Les liens se sont soudés, pour eux c’est Dashwood avant tout. Comment comprendre ? L’ancien Serpentard détourne la tête et inspire lentement, ses yeux bleus fixant le lit derrière Avril, n’osant pas encore poser son regard sur elle. Même si elle lui prête une épaule sur laquelle pleurer, même si tout ça… Il ne peut se résoudre à l’abandonner comme ça. Alors finalement il redresse son visage, rattrape cette main dans ses cheveux avec la sienne, et plonge son regard dans le sien. L’observant longuement. Et son cœur se serre, sa respiration se coupe, c’est comme si on venait de briser son cœur en un million de morceaux… trop petits pour le reconstituer. Alors sa main se serre sur la sienne, mais il n’ose rien dire, de peur de la faire disparaître, de ne plus jamais l’avoir contre lui de cette façon. Il ne sait pas quel mot utiliser, comment faire, que dire. « Je t’aime. » C’est étrange, ça ne sort jamais de sa bouche, sauf si c’est pour Audran. Ca semble si fragile, ça sonne comme du cristal qu’on peut briser à n’importe quel moment. Sur ses chevilles, le drap se défait quelque peu, défaisant ainsi son emprise. Mais c’est un moment de panique alors venant de la part du jeune homme, qui n’est plus qu’un enfant à présent, s’agrippant au corps qu’il aime. Elle est si jolie comme ça, à le rassurer, toute la douceur et la grâce de ses mouvements lui arrache un frisson. Il n’a jamais été aussi fragile et faible qu’en cet instant. Et ça ne semble pas s’arrêter, il est comme un gamin ayant fait une bêtise, les larmes sur ses joues lui donnent un goût amer de sa vie. De tous ces enjeux, de tout ce qu’il perd. D’Elle, surtout. Et le drap se desserre un peu plus, de cette façon malsaine, comme si à chaque fois qu’il relâche la pression, Maëlan devient encore plus faible. « Ne me laisse pas, j’ai besoin de toi. » Oui, c’est le drap qui les libèrent qui lui fait dire ça. Il sait pertinemment qu’elle sera toujours là pour lui s’il a besoin, toujours là pour Audran, mais c’est dans l’instant présent qu’il a besoin d’elle. Besoin d’elle dans ses bras, pour toujours. Ne pars pas Avril. Alors ses bras l’enserrent et son front se pose contre le sien. Il ferme ses océans tumultueux, tentant de se calmer coûte que coûte contre ce corps qui est le seul à l’apaiser. Finalement il ré-ouvre ses yeux, ravalent au loin les pensées de séparation pour ne pas flancher à nouveau, et la regarde longuement. « Avril… la Roumanie m’a changé… Je suis plus raisonnable, plus adulte mais… mais je reste la même personne. J’ai toujours autant besoin de toi, besoin de tes baisers, de tes bras qui me réconfortent, de ton amour démesurément trop grand pour un homme comme moi. J’ai besoin de ces regards qui me rendent plus fort, de tes paroles qui m’aident à avancer, et de ton sourire qui me rassurent. » Et dans ce lit, c’est comme si le temps l’avait fait grandir d’un coup, comme si la présence de cette femme l’avait forgé en maturité. | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Mer 20 Juil - 21:51 |
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| « Je t’aime. »
Bien sûr qu'à se retrouver si proche ils ne pouvaient qu'à ce genre de confidence. Avril se mordit la lèvre ne sachant trop que dire. Ses yeux se perdent dans le piège que leur tend ceux de Maëlan. Ses yeux qui vous mangent et vous font l'amour rien qu'en vous embrassant du regard. Elle cille. Dans tout ce bleu elle voit les miettes de ce coeur qu'elle a brisé. Ou plutôt qu'ils se sont appliqués à briser ensemble puisque dans ces milliers de petits éclats, on ne distingue en rien le coeur d'Avril Adler de celui de Maëlan Dashwood. Ce n'est qu'un amas d'esquilles indistinctes.
« Je ... » « Ne me laisse pas, j’ai besoin de toi. » « Maël... »
Et pourquoi caresse-t-elle ce visage? L'angle de sa mâchoire qu'elle connait par coeur. Qu'elle a dû embrasser mille fois. Plus même...
« Avril… la Roumanie m’a changé… Je suis plus raisonnable, plus adulte mais… mais je reste la même personne. J’ai toujours autant besoin de toi, besoin de tes baisers, de tes bras qui me réconfortent, de ton amour démesurément trop grand pour un homme comme moi. J’ai besoin de ces regards qui me rendent plus fort, de tes paroles qui m’aident à avancer, et de ton sourire qui me rassurent. »
Comment ne pas céder à de telles confessions? Elle sent son coeur se serrait, elle sent sa raison perdre l'avantage sur lui. Elle sait qu'il est sincère, elle le connait trop bien pour en douter. Mais ce qu'elle ne sait pas c'est où elle en est elle. Doucement elle serre sa main et y love son visage, ferme les yeux pour en apprécier la caresse.
« Maël... »
Alors elle passe son bras libre autour de son cou pour le serrer contre elle. Pour le sentir contre sa peau. Contre elle. Peau à peau comme, presque, des enfants perdus l'un sans l'autre. C'est un peu ça. Et c'est un peu malsain aussi. Ca l'a toujours été. Cette façon qu'ils ont de toujours vouloir triompher de l'autre, lui faire mal, jusqu'à ce que les dégâts soit irréparables.
« Maël tu me manques, tu me manques tellement. Mais... j'ai besoin de temps. J'ai besoin... de faire un choix rationnel, de ne pas me noyer dans tout ce que je ressens quand je t'ai près de moi. »
Alors elle craque. Elle pleure. Pas de ses larmes silencieuses et assassines. Mais de ces larmes qui sanglotent et hoquètent, s'étranglent dans votre gorge avant de baigner vos joues, vos lèvres... des larmes sans artifice, naturellement belles et vraies. Elle le serre plus encore contre elle, et ses doigts n'oublient pas ce visage... ce beau visage. | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Ven 22 Juil - 9:26 |
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| Pour Maëlan ce n’est pas le fait de se sentir si près ou si loin d’Avril qui changeait les choses : il l’aime. Pendant tout son temps en Roumanie il n’a pensé qu’à elle, au moment où il allait la revoir. Il vivait Avril Adler jour et nuit, et ça ne le dérangeait pas, au contraire : il était heureux. Dans ses bras, en ce moment même, c’est comme si son rêve le plus cher se réalise. Rester avec elle toute sa vie serait, alors, le bonheur suprême. Et là dans ce lit, il est si faible et tellement heureux qu’il ne sait plus quoi penser. « Je ... Maël… » Il fronce un peu ses sourcils, elle veut dire quoi là ? Lui répondre la même chose ? Ne pas laisser son je t’aime se faner ? Pourquoi ne parle-t-elle pas ? Alors c’est lui qui se jette, et il murmure : « Oui ? … » Il attend, espère, mais dans le fond il sait que c’est pour rien. Elle est trop blessée. Les mains qui caressent son visages sont si douces, elles l’emportent tellement loin, que même s’il se ramasse maintenant, il sera rattrapé par ses mains. Lorsqu’elle love son visage contre sa paume, Maëlan l’observe doucement et c’est le cœur serré d’émotions qu’il caresse avec tendresse sa joue, adorant sa peau si douce et son odeur… Se laissant totalement submergé par les sentiments et les souvenirs. Elle répète à nouveau son prénom avant de venir l’enlacer pour une douce étreinte. Un long frisson traverse le long de sa colonne, alors que leurs peaux se rencontrent à nouveau, comme avant, et ça ému terriblement l’ancien Serpentard. « Maël tu me manques, tu me manques tellement. Mais... j'ai besoin de temps. J'ai besoin... de faire un choix rationnel, de ne pas me noyer dans tout ce que je ressens quand je t'ai près de moi. » Le fait qu’il lui manque, rend Maël heureux, se dire que dans son cœur il a toujours la place qu’il occupait avant. Ses doigts s’entremêlent dans sa chevelure d’ébène. « Prend ton temps alors, je t’attendrais… Je t’attendrais toujours, Avril. » Le Dashwood reste un moment interdit, encore plus lorsque se met à pleurer… Il est stupéfait de la voir craquer, encore plus de se rendre compte à quel point elle est belle lorsqu’elle pleure. Il l’aime tellement, c’est indéniable. Alors ses bras l’enserrent avec toute la tendresse du monde, la berçant et caressant ses cheveux. Ici c’est chacun son tour, chacun montre ses faiblesses. Alors il vient embrasser sa tempe, tout son corps se faisant rassurant, tous ses gestes et tous ses baisers sur son visage. Même s’il en meurt d’envie, il n’ose l’embrasser. « Shh, je suis là. » Il le sera toujours. Alors que ses doigts caressent sa joue et essuie ses larmes, ses yeux la dévisage avec toute la tendresse du monde. Elle est si belle. C’est sans penser, sans réfléchir alors que ses lèvres s’approchent des siennes, les effleurant avec douceur… Mais il hésite, s’arrête au dernier moment pour empêcher ça. Il ne peut lui faire ça, à sa douce Avril.
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Jeu 25 Aoû - 21:28 |
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| « Prend ton temps alors, je t’attendrais… Je t’attendrais toujours, Avril. »
Qu'il est doux et rassurant de s'entendre dire "je t'attendrai toujours". Il n'y a pas de mot qu'elle ait pu souhaiter plus intensément que ceux-là de la bouche de Maël. Toujours c'est un mot qui a même l'air irréel. Comme un petit bout de ce rêve qu'elle a fait tellement souvent et qui ressemble un peu à ce qui est en train de se passer là. Combien de fois le beau Maëlan s'est pencher au dessus d'elle ces derniers mois, posant un genou sur le lit comme un prince poserait un genou à terre avant de la réveiller en l'embrassant? Un nombre incalculable de fois où Avril avait ouvert un oeil sur les baisers d'un rayon de soleil qui au final avait les lèvres amères et sans éclat... La vérité c'est qu'il n'y a que depuis un petit mois qu'Avril ne fait plus ce genre de rêve. Depuis qu'elle a commencé à se rapprocher de Sholto Scrymgeour.
Ce n'est pas pour autant que le censeur a remplacé Maël dans les rêves d'Avril. Il lui a simplement apporté un peu de calme et de sérénité. Des nuits posées et sans rêve. Reposante. Sans déception au réveil. Une merveille d'enchantement que la chaleur de Maël, sa tendresse, son attitude protectrice et il faut bien le dire, adulte, balaye doucement, temporairement.
« Shh, je suis là. » « ... »
Oh non pas ça. Mais pourtant leurs bouches se sont trouvées sans se chercher et le fait qu'il hésite, par respect, c'est une torture pour elle. S'il y avait un charme pour emprisonner Avril Adler dans un médaillon alors ce serait celui-ci. Elle déglutit. Croise le regard de Maëlan et bien que la raison lutte de toutes ses forces elle finit par céder dans un baiser terriblement fougueux. Un baiser qui ne réfléchit pas et qui est avide de tout en lui. Immature? Complètement mais ce qui est fait et fait. | |
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Maëlan Hadès DashwoodSORCIER. ► poursuiveur de l'équipe de Roumanie.
► MESSAGES : 238 Ven 26 Aoû - 11:49 |
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| « Shh, je suis là. » « ... »
Maëlan se sent stupide, idiot à souhait, alors que ses lèvres ont souhaitées les siennes. Il n’ose même pas bouger, son souffle se fait doux, et calme, alors qu’il observe sans un mot les yeux d’Avril, dont lesquels ils plongent encore et encore. Et finalement la tentation est si grande que la jeune femme ose poser ses lèvres sur les siennes, pour partager ce moment. Surpris, l’ancien Serpentard n’ose même pas bouger… Pour lui c’est un doux rêve qui se réalise enfin. Sans attendre, il répond avec la même fougue qu’elle. Son esprit s’éloigne au loin, sans regrets, il se laisse absorber par le baiser, par les retrouvailles de leurs lèvres. Finalement il s’en éloigne, rompt le contact de leurs lèvres avant de la regarder droit dans les yeux. Ses deux océans sont instables, alors qu’il caresse son visage, il vient murmurer à ses lèvres :
« Oh Avril, je t’aime tellement… Sans toi je ne suis plus rien… »
Sans un autre mot de plus il revient l’embrasser alors que ses doigts s’enfouissent dans ses cheveux d’un noir de jais. Tellement attiré par Avril Adler, Maëlan se sent voler, attiré, et alors il vient enfouir son visage dans sa chevelure, inspirant son odeur. Puis il glisse son visage jusque dans son cou, y déposant de tendres baisers. Il n’a plus envie de se séparer d’elle, le contact de sa peau sur la sienne est ce qu’il y a de plus merveilleux au monde. Tellement que le désir brûlant de reconquérir Avril se réveille dans tout son corps, fourmillement dans le creux de ses reins, au bout de ses doigts. Il caresse doucement son ventre alors qu’il se redresse pour la regarder dans ses yeux sublimes.
« Tu es ma merveille, Avril. »
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Ven 26 Aoû - 19:52 |
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| Tant que leurs lèvres se touchent, Avril Adler, promise censeur de droit à Ealdwic d'ici quelques années à n'en pas douter, est incapable de réfléchir. Son coeur s'emballe en vrai petit dictateur et ce sont tous ses sens qui s'affolent. Qui se rappellent les douces musiques que de tels baisers ont pu faire fleurir dans leurs soupirs autrefois. Puis il rompt le baiser. Peut-être parce que pour une fois c'est lui qui a agi avec certitude, la tête froide ou presque. Parce que lui il sait déjà ce qu'il veut, ça ne fait pas l'ombre d'un doute n'est-ce pas.
« Oh Avril, je t’aime tellement… Sans toi je ne suis plus rien… »
Avril cille. Elle redescend doucement, plus rationnelle et quand il l'embrasse, ce n'est plus tout à fait la même chose. Elle lui rend son baiser bien sûr. Plus doucement, plus hésitante. Mais qu'est-elle en train de faire là? Son corps réagit parfaitement bien lui. Tout est beaucoup plus simple dans le physique. Son ventre se creuse de plaisir comme les doigts de Maëlan l'effleurent. Ca ne la laisse pas le moins du monde indifférente c'est évident mais.
« Tu es ma merveille, Avril. » « Je peux pas. Je peux pas Maël. J'ai... besoin de temps. »
Et à ces mots, bien que ça ne lui ressemble en rien de perdre à ce point ses moyens, voilà que la fraîche jeune femme s'échappe comme un rêve au petit matin. | |
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