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| (v) C’est bizarre j’ai les mains qui sentent la viande. | |
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Izaak A. SolokoffCRIMINEL. ► meurtrier. membre du staff.
► MESSAGES : 93 Mer 7 Oct - 20:46 |
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| « It’s time to kick ass. »I love the smell of napalm in the morning. - Tu as lu « La République des animaux », César ? - Non, mais j'ai déjà vu quelqu'un enculer un mouton.
César est un peu con. César, c'est le mec qui me suit partout car il est persuadé qu'un grand complot se monte dans l'ombre derrière mon dos. César, c'est mon chien, à moi, un grand dadet de cent quarante cinq kilos, pour deux mètres deux. C'est moi qui ait mordu César, qui l'ait élevé. César a l'air d'avoir quarante ans. Il a le teint tanné, l'air fatigué, tout le temps. C'est quelqu'un de bien. Il m'aime bien, comme un grand frère ou un père, et il m'aide... parfois. Je l'ai vu la première fois sur un champ de bataille. Fils de paysan, cinq and, le regard noir, même pas peur de moi. Je l'ai gardé, puis je l'ai mordu. Il a rencontré une femme, a eut un enfant, s'est écarté de moi... et je les ai tué. Pour qu'il reste avec moi.. à moi.
Je suis Isaak Solokoff. J'ai huit cent cinquante et un ans. Cela signifie que je suis né en 1158. Mon nom n'est pas réellement Solokoff. La réalité est que je n'ai jamais eut de nom. Mes deux parents sont des lycanthropes. Je suis le fils d'une grande lignée, puissante, pure, fidèle... archaïque, accessoirement. Je suis différent de tous les autres lycanthropes, car ma croissance est très lente par rapport à la leur. Peut être une dégénérescence dû à la consanguinité? Sans doute. Le fait est qu'après huit siècles et demi, je n'ai toujours pas pris une ride, et je suis toujours un gamin piégé dans un corps de quinze, seize ans, pré-pubère et encore imberbe. Je me haïs parfois. De n'avoir pas une allure virile comme les autres... Mais mon apparence est mon outil de travail. Je suis Isaak Solokoff, le lycanthrope le plus recherché actuellement pour meurtre et grandes vadrouilles. Je ne passe plus inaperçu, pas auprès des chasseurs tout du moins. Mon métier consiste à tuer, tout simplement. J'élimine ce qui est inutile, et je le remplace par quelque chose de meilleur, une bonne graine. Mon seul défaut? Je suis excentrique. J'aime le grandiose, le grand spectacle... et je ne peux pas m'empêcher d'inventer des choses de plus en plus horrible chaque jour. C'est sans doute ce qui fait que seul César me suit, et que Wolfgang m'apprécie. Car je fais le travail comme il le faut. Personne ne m'aime vraiment dans la Meute, car je suis quelqu'un de particulièrement cruel aux yeux des autres, que ce soit avec les miens ou avec les sorciers, que m'importe. D'où le fait que je sois encore célibataire après huit siècles... et puis, entre vous et moi, j'ai un petit penchant pour les mâles. Choquant? César encule bien les moutons, et à lui, on lui dit rien... c'est ridicule... mais ça m'amuse. Outré les autres, c'est ce que je fais de mieux.
Je suis Isaak Solokoff, je suis loup garou, et je suis un criminel. | |
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Izaak A. SolokoffCRIMINEL. ► meurtrier. membre du staff.
► MESSAGES : 93 Mer 7 Oct - 21:06 |
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NOM : Solokoff. Je trouve que ça fait très... tueur en série, vous trouvez pas? PRENOM(S) : Isaak Nataniel Kiev. Je dois avouer que Isaak n'est pas un prénom très recommandable pour un lycanthrope de sang pur, mais on s'y habitue j'imagine... AGE : Huit siècles, cinquante décennies, un an. Oui, 851 ans si vous préférez. ORIGINE(S) : Je suis né dans ce que vous appelez aujourd'hui l'Ukraine, à Kiev, qui était alors à cette époque la ville bâtie par les Khazars, les "errants". PROFESSION : Criminel à temps plein. ETAT CIVIL : Dévoreur de jupon, ça marche?
Quelle forme prend votre Epouvantard ? Une croix en argent. J'ai toujours eu une sainte horreur de l'Eglise. Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Une pièce de viande saignante... et moi. Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Dans une boucherie. Quelle forme prend votre Patronus ? Un dingo. Quel est votre sortilège favori ? Videntraille. L'odeur de la tripaille, moi, ça m'met d'bonne humeur. Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Aucun. Ca s'affronte, c'est comme tout. Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Euh... ? Quelle forme de magie vous attire le plus ? *rires* Celle qui tue, of course. Appréciez-vous la discipline ? Je lui fourre un balais dans l'cul voir si elle peut s'en servir comme cure dent, pigé? Quelle est la pureté de votre sang ? Parents lycans, et sorciers. Je devrais dire sang-pur, mais je ne connais trop rien aux systèmes sorciers, alors...?
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Izaak A. SolokoffCRIMINEL. ► meurtrier. membre du staff.
► MESSAGES : 93 Jeu 8 Oct - 21:36 |
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| isaak solokoff & césar asimov (feat ash stymest & joaquin phoenix) Isaak était un gamin face à l'imposante montagne qu'était César. Ils n'étaient pas de la même époque, pas du même pays, pas du même sang. Rien ne les relié... tout au plus, une simple morsure. Rien n'aurait jamais pu les rapprocher, pas même l'amitié. L'un était taciturne et sombre, l'autre bavard et moqueur. Ils n'avaient rien en commun qu'une profonde intimité, que le confort d'une vie de deux hommes, libres comme l'air, ne devant de compte à personne. Libres, c'était bel et bien le mot. Sur la Russie, le vent soufflait, puissant, de grandes bourrasques soulevaient les cristaux de neige qui s'envolaient au loin, dans des filets froids. Isaak était là, caché derrière une large bure noire, cachant elle même un large pantalon noir, d'une autre époque, et un vêtement léger sur son torse. Pourquoi, Isaak n'avait pas froid. Il ne rougissait même pas. De grandes lunettes noires, comparables à celles des aviateurs, ornaient son regard bleu qui fixaient les steppes de neige qui s'étendaient, à perte de vue, devant lui. Derrière lui, mesurant deux fois sa taille, un géant attendait, calme, derrière une large cape de cuir bouillie noire, le regard sombre lui aussi, mais l'air grave. Isaak resta immobile et haussa un sourcil, se tournant doucement vers le géant. Il hurla, la neige emportant les cris avec lui.
« César, on ne peut pas rester ici, il faut trouver un refuge! » Le géant acquiesça. « Allons vers Omsk, au sud. Nous y serons dans quelques heures... » « Il y a une grotte au nord. À quelques kilomètres d'ici, Isaak. » Le plus petite regarda le plus grand, eut une courte réflexion et tendit sa main. « Alors mène moi, mon César. »
Le géant eut un sourire léger et prit la main, le dirigeant à travers la neige et le froid, tous deux calmes. Isaak suivait César avec une confiance aveugle, une docilité que l'on ne connaissait pas au lycanthrope. Isaak était tout sauf docile. Une vraie furie, un maître du carnage, causant plus de ravages qu'il n'était utile. Wolfgang disait de lui qu'il était « une de ses sales races qui font que l'on regrette d'être lycanthrope », mais il ne se gênait pas quand il fallait faire du nettoyage, que ce soit dans les rangs même de la Meute ou chez les sorciers. Wolfgang avait toujours su où venir pour trouver son neveu, le fils de son frère. Wolfgang avait tué le père d'Isaak, et l'enfant ne lui en avait jamais tenu compte, sachant pertinemment que l'Alpha lui en était redevable. César? Un cadeau. Sans doute. Isaak l'avait eut pour ses cent ans. Il n'avait l'apparence que d'un enfant de cinq ans. César en avait cinq, lui aussi, mais durant trente ans il fut préservé du sort lupin... jusqu'à qu'Isaak le morde, et le fasse devenir ainsi. Beau, grand, et fort. Une sorte de garde, de guide, quand les pulsions lupines se faisaient trop oppressantes sur le petit corps du Solokoff. La grotte se dessina au fond d'un décor blanc. César y poussa Isaak à l'intérieur, sortant de derrière son épaisse cape une baguette noirci par l'âge. Il jeta un lumos, et alluma un feu au milieu de la grotte. César avait vieilli, mais bientôt, il ne vieillirait plus. Isaak l'avait remarqué. Lui n'était pas si vieux. Il avait « quatorze ans » depuis déjà cent ans. Il s'y était habitué. Le regard dédaigneux des autres lycanthropes, les rires en coin.. tout ça ne l'atteignait pas, car il savait, ô oui il savait, que nul d'entre eux n'aurait su être plus cruel, plus puissant que lui. Isaak regarda César déplaça un rocher, posant sur le sol sa lourde besace, déroulant sur le sol la peau d'ours blanc. Isaak s'y allongea, frissonnant, alors que César y prenait place à son tour, mais assis, attentif aux moindres bruits du dehors. Isaak ne dormait pas. Même si cela faisait quatre jours qu'il n'avait pas dormi, il savait que la traque des chasseurs s'arrêteraient avec la tempête, et qu'aucun ne s'y aventurerait avant d'être sûr qu'elle soit passé. Le petit brun se releva, se rapprochant doucement de César. Sa peau tanné, à la bonne odeur virile et puissante, l'avait toujours attiré, sans jamais se transformer en un quelconque sentiment, autre que celui d'une sécurité immense dans ses bras. Isaak avait un problème. Depuis tout petit, il ne voyait que par le sang. À la manière d'un vampire, il buvait, affriolant, et l'hémoglobine était devenu une drogue, un besoin. Il en avait besoin, c'était simplement ça. Sans sang, sans morsure, sans rien, sa vie devenait réellement ennuyeuse, et là, à partir du moment où il n'éprouvait rien qu'un ennui profond, l'adolescent devenait particulièrement brutal, et on le lui reprochait. Mais c'était aussi dans sa nature... il avait toujours été ainsi. Il se redressa alors, sur ses genoux, et rampa jusqu'à César, alors que ce dernier posait sur Isaak un regard curieux, cherchant à anticiper.
« Isaak? » « J'en ai besoin, César... »
Le gémissement ressemblait vaguement à un feulement. Isaak se dressa sur ses genoux, entourant de ses bras fins et fragiles la nuque de César, nichant son visage dans la nuque du lycan, et, du bout de la langue, commença à lécher amoureusement la peau tannée et gelée du lycan. Il sentit la large main de César dans ses cheveux, le caressant, et se mit à ronronner félinement, s'excitant déjà sur le morceau de chair. César eut un regard plus sombre, alors que les bras autour de sa nuque se serrait un peu plus, et que le corps du jeune homme se serrait contre le sien, impétueux. La langue fut remplacée par des dents particulièrement blanches et pointues qui mordiller gentiment la peau, sans jamais la mordre. Isaak avait fermé les yeux, et il s'imaginait autre chose. Il repensait à sa vie d'avant, à celle qu'il avait vécu des siècles en arrière, tellement plus mouvementée que quelques meurtres donnés au hasard. Isaak voulait plus. Isaak voulait la guerre. Celle dans laquelle il avait rencontré César. Il s'en rappelait comme si c'était hier. Ça avait été une battue. La bête ravagée les villages, et ça s'énervait dans les villages. L'Espagne avait connu des ravages avec Isaak, des centaines de brebis, de vaches... d'humains. Puis il y avait eut la battue, celle qui avait rassemblé une centaine d'homme, de fourches et de torches. Il les avait tous tué, tous, sauf un. Sauf César, enfant de cinq ans. C'était son cadeau... à lui. Il avait tué sa famille devant ses yeux. Il avait tout détruit dans la vie de César. Sa femme lycane, son enfant... Par pur jalousie. Par pur désir de domination. Mais César n'avait jamais rien dit. Il avait toujours fermé les yeux, impassible, imperturbable et taciturne. César disait des choses étranges et ridicules... Mais César était César, et c'était déjà beaucoup. Il rejeta la tête en arrière, serrant un peu plus les cheveux d'Isaak entre ses doigts alors que ce dernier enfonçait ses crocs dans sa gorge, se gardant de percer sa jugulaire. Sentir la chaire. Juste un peu. Le corps entier d'Isaak se crispa, immobile, comme en alerte, alors qu'il ronronnait plus fort en sentant le sang emplir sa bouche, sa gorge, filait jusqu'à son estomac, le remplir avec un goût âcre. Isaak enfonça ses ongles dans les omoplates de César, collant un peu plus son corps contre celui de César, et ferma les yeux, en sentant la main de César relâchait ses cheveux. Isaak reprit lentement sa respiration normale, retirant ses ongles de la peau de César, calme, et s'allongea dans la fourrure, rapidement recouvert d'un large manteau, épais et chaud. Le sang avait coulé sur son menton, le pourpre contrastant sur sa peau diaphane. Il sentit l'odeur de tabac, un nuage de vapeur grisâtre s'élevant en une volute étrange. Isaak se tourna, posant sa tête sur les cuisses de César, la main du lycan lui caressant les cheveux.
« Tu vas mieux? » « Oui... » Isaak a un sourire, fermant les yeux. « Tu n'as pas froid? » « Non. Ça ira, merci. »
La main de César caresse les cheveux avec une tendresse étrange, mais quand Isaak lui saisit la main et l'approche de ses lèvres, la main se retire. Isaak ouvre les yeux, croise le regard noir obsidien du lycanthrope.
« Tu ne voudras jamais. » « Ce n'est pas mon penchant. » « Je sais. » Sourire. « Je sais, César... »
Isaak eut un sourire. Il avait tenté, au début, puis il avait abandonné. Mais il avait besoin de cette tendresse paternelle avec lui, lui qui n'avait jamais eut de père, qui avait toujours grandit seul, dans un corps trop petit pour un esprit trop vieux. Il se sentait atroce. Il se sentait surtout... si... petit... si peu... estimable? Tout le monde le regardait avec ce sourire en coin qui signifie tout, alors que lui avait toujours tout donner pour la Meute, avait toujours fait ce que l'on lui avait dit. Isaak ronronna, la main de César sur ses cheveux, et s'endormit, le menton tâchait de sang, le souffle du vent emplissant la grotte, caché entre deux fourrures d'ours... | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Jeu 8 Oct - 22:37 |
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